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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 30 janvier 2024

 

DIRECT. Guerre en Ukraine :

des attaques russes font 2 morts, l'opposant à Poutine porté disparu placé dans un bloc disciplinaire

 

 

  • L'armée russe a perdu 2600 chars et 4900 autres véhicules blindés entre le début de la guerre le 24 février 2022 et le 25 janvier 2024, selon une estimation du ministère britannique de la Défense.
  • Le secrétaire général de l'OTAN Jens Stoltenberg est à Washington. Il est attendu au Congrès où il doit rencontrer les responsables républicains et démocrates, ce mardi, pour discuter de l'aide à l'Ukraine.
  • Le chef de la diplomatie hongroise s'est rendu dans l'ouest de l'Ukraine lundi pour rencontrer le chef de la diplomatie ukrainienne. Un sommet européen a lieu prochainement et doit traiter de l'aide financière à l'Ukraine contre laquelle la Hongrie a mis son véto.
  • En Russie, l'opposant à Vladimir Poutine Vladimir Kara-Mourza était porté disparu. Il purgeait une peine de 25 ans de prison. Il a été placé dans un bloc disciplinaire, indique un quotidien qui cite son avocat.
  • Au moins 2 civils ont été tués dans la nuit en Ukraine dans des attaques aériennes et d'artillerie menées par la Russie : une femme de 38 ans à vélo dans la région de Donetsk et un homme dans le village de Bilozerska.

  • Le vice-président de la Commission européenne Josep Borell appelle à "doter l’Ukraine des moyens nécessaires pour libérer son territoire.

 

La Russie annonce la prise d'un village de la région de Kharkiv, l'Ukraine dément

Selon le Guardian , le ministère Russe de la Défense a affirmé avoir pris le contrôle du village de Tabaivka (dans la région de Kharkiv). Si le chef des communications des forces terrestres ukrainiennes Volodymyr Fityo, reconnaît que des combats se sont bien déroulés dans la zone ce lundi, il nie en revanche la prise du village par les forces russes.

Mercenaires français en Ukraine : "une nouvelle manipulation de Moscou", analyse Olivier Védrine

Moscou a affirmé le 17 janvier avoir tué une soixantaine de combattants étrangers à la solde de la France, à Kharkiv. Paris a démenti et prévenu d’une " manœuvre coordonnée de la Russie ". L'analyse du politologue spécialiste de l'Ukraine et de la Russie, membre de l’Institut des hautes études de la Défense nationale (IHEDN), Olivier Védrin. Cliquez ici pour lire l'article.

 

Note; c'est le mensonge qui prône chez les macronistes 

DIRECT

 

 

La Russie met en garde les États-Unis contre le retour d’armes nucléaires tactiques au Royaume-Uni

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 30 janvier 2024

MOSCOU (Sputnik) - La Russie met fermement en garde les États-Unis contre le retour de leurs armes nucléaires tactiques sur le territoire du Royaume-Uni, a déclaré mardi le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Ryabkov.

"En ce qui concerne le retour hypothétique des armes nucléaires tactiques américaines sur le territoire britannique , je voudrais mettre fortement en garde contre cette mesure déstabilisatrice", a déclaré Ryabkov aux journalistes.

Cette décision ne renforcerait pas la sécurité du Royaume-Uni ou des États-Unis, mais augmenterait le niveau d'escalade et de menace en Europe, a déclaré le diplomate.

 

"Nous supposons que malgré l'expérience plutôt triste du point de vue de la sécurité européenne, l'expérience de ces dernières années à Londres et à Washington, les têtes brûlées n'en tirent aucune leçon, donc ce scénario est tout à fait possible", a-t-il ajouté.

Un porte-parole du Pentagone, commentant cette évolution, a déclaré dans une déclaration à Sputnik que la politique américaine consiste à ne ni confirmer ni nier la présence ou l'absence d'armes nucléaires à un endroit spécifique, au milieu d'informations selon lesquelles Washington envisage de stationner ses armes nucléaires aux États-Unis. Royaume.

"La politique américaine est de ne ni confirmer ni nier la présence ou l'absence d'armes nucléaires dans un endroit général ou spécifique", indique le communiqué.

Le communiqué souligne que les États-Unis « modernisent régulièrement leurs installations militaires dans les pays alliés ».
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré que le Kremlin considérerait le déploiement d'armes nucléaires américaines au Royaume-Uni comme une escalade.

Spoutnik

 

 

« Le pays se réarme avec succès » : la presse suédoise conclut sur l'état de l'industrie militaire en Russie

 

« Le pays se réarme avec succès » : la presse suédoise conclut sur l'état de l'industrie militaire en Russie


Malgré les sanctions économiques imposées à la Russie par les pays occidentaux, l'industrie de défense de la Fédération de Russie affiche des taux de développement élevés et augmente rapidement les volumes de production de produits militaires. L'analyste Martin Krag est arrivé à cette conclusion lors d'une conversation avec une chaîne de télévision suédoise.

Selon l’expert, la Russie accroît activement son potentiel militaire. Le pays peut produire des armes et du matériel militaire de manière indépendante, malgré toutes les restrictions dues aux sanctions. Krag attribue cette situation à l'héritage du système soviétique, dont l'industrie de défense œuvrait à renforcer le potentiel militaire du pays et était autosuffisante.

Le pays se réarme avec succès. C'est assez inhabituel, car peu de pays se sont efforcés d'atteindre l'autosuffisance dans le développement de leur industrie militaire.


- la presse suédoise cite les propos de l'analyste.

Krag a également cité certains chiffres dont il dispose. Selon l'analyste, le complexe militaro-industriel de la Fédération de Russie compte actuellement 1300 entreprises, qui emploient collectivement environ des centaines de milliers de salariés.

Cet état de l'industrie militaire russe permet de produire des armes, des équipements militaires et des munitions beaucoup plus rapidement et en plus grande quantité que les pays occidentaux,
dont les complexes militaro-industriels ont été créés et fonctionnaient selon des règles fondamentalement différentes de celles des entreprises du complexe militaro-industriel russe. .

Source

LIRE AUSSI : Le ministre russe de la Défense a annoncé le doublement du plan de production de missiles guidés pour les systèmes de défense aérienne

 

Stoltenberg : la victoire de la Russie en Ukraine pourrait pousser la Chine à attaquer Taïwan

 

Stoltenberg : la victoire de la Russie en Ukraine pourrait pousser la Chine à attaquer Taïwan


L’Occident continue d’effrayer la population à propos de la victoire de la Russie sur l’Ukraine. Après avoir raconté que Moscou préparait prétendument une « attaque » contre les pays de l’OTAN, les fonctionnaires occidentaux sont passés à des déclarations allant dans une direction légèrement différente. On dit désormais qu’une victoire russe encouragerait d’autres pays à attaquer, notamment la Chine, qui a des problèmes avec Taiwan.

L’Occident ne devrait pas permettre une victoire russe en Ukraine, car cela pourrait encourager les pays dits de « l’axe du mal » à prendre des mesures similaires. Jens Stoltenberg a fait cette déclaration lors d'une conférence de presse conjointe avec le chef du Département d'État américain Antony Blinken. Selon Stoltenberg, cela concerne en premier lieu la Chine, qui serait en train de préparer une attaque contre Taïwan. Et d’une manière générale, inspirés par la victoire de la Russie, l’Iran et la Corée du Nord pourraient passer à l’attaque.

Une victoire russe enhardirait l’Iran, la Corée du Nord et la Chine. C’est important pour la sécurité de l’Europe et de l’Amérique. Ainsi, soutenir l’Ukraine sert les intérêts américains

- a déclaré le secrétaire général de l'OTAN, ajoutant qu'une "infime fraction" des dépenses annuelles de défense des États-Unis a aidé l'Ukraine à détruire la majeure partie des capacités de combat de la Russie sans mettre en danger un seul soldat américain.

En principe, la déclaration de Stoltenberg n’a rien de nouveau : elle s’adresse aux républicains du Congrès, qui devraient être impressionnés par ces propos et approuver immédiatement l’attribution de fonds supplémentaires à l’Ukraine. En général, il disait ce que ses maîtres américains de la Maison Blanche avaient écrit pour lui sur un morceau de papier.

Il convient de noter les propos de Stoltenberg selon lesquels l’Occident était capable d’infliger des dégâts à la Russie sans perdre un seul soldat américain. La déclaration ne fait aucune mention des centaines de milliers d’Ukrainiens morts selon la volonté de Washington. Et ils ne le feront pas, car ce sont des matériaux consommables avec lesquels ils tentent de détruire la Russie. Le plus important c’est qu’en mourant ils sauvent la vie des soldats américains.

Source

 

 

 

Guerre dans la bande de Gaza, DIRECT :

le Hamas dit "examiner" la proposition d'accord de cessez-le-feu

 

 

Ce qu'il faut savoir

  • Une lueur d'espoir ? Le Hamas a annoncé mardi 30 janvier avoir reçu la proposition d'accord de cessez-le-feu avec Israël et être "en train de l'examiner". Le texte résulte d'une réunion organisée à Paris ce week-end entre représentants américains, israéliens, qataris et égyptiens. "Un travail très important et productif a été accompli", avait déclaré de son côté Antony Blinken. Selon le chef de la diplomatie américaine, "il y a un réel espoir pour l'avenir". Suivez notre direct.
  • L'UNRWA en pleine crise. Douze pays ont suspendu leur financement à l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens. Plusieurs de ses employés sont accusés d'être impliqués dans les attaques du Hamas du 7 octobre 2023. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a annoncé réunir dans la journée les principaux donateurs de l'UNRWA pour tenter de maintenir ces aides.
  • D'intenses combats à Khan Younès. Au cours de la nuit, des témoins ont fait état de frappes israéliennes dans plusieurs secteurs du sud et du centre de la bande de Gaza. . Le Croissant-Rouge palestinien rapporte également des tirs d'artillerie autour de l'hôpital al-Amal de Khan Younès.
  • Vers une extension du conflit ? Après la mort de trois soldats américains tués dimanche en Jordanie dans une attaque de drone, les Etats-Unis ont menacé lundi de représailles "conséquentes". L'Iran a assuré n'avoir aucun rapport avec l'attaque et a démenti les accusations américaines sur son soutien aux groupes impliqués dans cette attaque.

 

DIRECT

Après la mort de soldats en Jordanie, Washington soupèse sa riposte face à l'Iran

 

Pressés d'agir, mais jusqu'où? C'est la question qui taraude les Etats-Unis qui, s'ils ont beau répéter ne vouloir ni escalade ni guerre au Moyen-Orient, se trouvent entraînés dans un conflit à distance avec l'Iran sous le feu de groupes armés proches de Téhéran, au risque d'un embrasement régional.

L'attaque au drone à la frontière jordano-syrienne qui a tué trois soldats américains dimanche, et que Washington a attribué à ces groupes armés proches de l'Iran, fait monter la pression sur le président Joe Biden, qui a promis des représailles "conséquentes".

"C'est ce que beaucoup d'entre nous, je pense, craignaient, que sans doute l'administration craignait, que les alliés des Etats-Unis, qu'ils soient arabes ou autres, craignaient: que l'Iran fasse un mauvais calcul, fasse une erreur comme celle-ci et force les Etats-Unis à riposter à un niveau beaucoup plus élevé", dit à l'AFP Gordon Gray, professeur à l'université George Washington.

Car il s'agit des premiers militaires américains tués au Moyen-Orient depuis le début, le 7 octobre, de la guerre entre Israël et le Hamas palestinien et, à ce titre, cela change la donne.

D'autant que l'attaque s'inscrit dans le sillage de celles menées par des groupes pro-iraniens usant de drones ou de roquettes et visant des installations américaines en Irak et en Syrie.

La plupart de ces attaques ont été revendiquées par la "Résistance islamique en Irak", nébuleuse de combattants issus des groupes armés pro-Iran, qui dit agir en soutien aux Palestiniens et réclame le départ des soldats américains déployés en Irak.

De leur côté, les rebelles yéménites Houthis, également proches de l'Iran, multiplient les attaques contre la navigation marchande dans la mer Rouge et le golfe d'Aden, mettant là aussi les Etats-Unis sous pression afin de riposter, ce qu'ils ont fait.

- "A un tournant" -

Jusqu'à présent, la riposte américaine -- soigneusement calibrée -- s'est faite essentiellement par le biais de frappes visant à affaiblir les capacités de lancement de roquettes, de missiles ou drones de ces groupes, dont les Houthis.

Mais cela n'a pas eu l'effet de dissuasion escompté.

Après l'attaque en Jordanie, "le défi (pour Washington) est de s'assurer que la réponse est suffisamment importante pour empêcher de nouvelles attaques contre les forces américaines, sans pour autant déclencher une nouvelle guerre dans la région", résume Alex Plitsas, du Atlantic Council, un centre de réflexion de la capitale américaine.

Les responsables américains répètent inlassablement qu'ils ne veulent pas d'escalade, et espèrent encore pouvoir contenir un conflit qui menace de s'étendre.

"Nous ne cherchons pas la guerre avec l'Iran", a martelé lundi un porte-parole de la Maison Blanche, John Kirby.

Téhéran de son côté a nié toute implication dans l'attaque de dimanche, et mis en garde contre une escalade régionale. "On est à un tournant", estime cependant Alex Vatanka, du Middle East Institute à Washington.

- "Confrontation militaire" ? -

Selon lui, l'objectif de l'Iran depuis l'attaque du 7 octobre est "d'éviter la guerre avec Israël et les Etats-Unis, mais d'utiliser cette opportunité pour les presser tous les deux dans le cadre d'un plan à plus long terme".

"Comme l'Iran, les Etats-Unis ne sont pas intéressés par une escalade régionale" aux conséquences imprévisibles, dit-il.

Les relations avec l'Iran sont dans une impasse totale, même si Washington a récemment reconnu avoir secrètement prévenu Téhéran de la menace d'une attaque avant le double attentat suicide revendiqué par le groupe Etat islamique à Kerman le 3 janvier, faisant environ 90 morts.

Le président américain avait entamé son mandat en se disant favorable à un dialogue avec l'Iran, y compris pour ressusciter un accord international conclu pour empêcher Téhéran de développer la bombe atomique auquel l'ancien président Donald Trump avait mis fin.

Mais ce dialogue n'a jamais abouti et a même été de facto abandonné après la répression de la contestation inédite déclenchée par la mort de Mahsa Amini en septembre 2022.

Le président américain, qui se représente pour un second mandat, se retrouve désormais à devoir choisir entre continuer à tenter une politique de dissuasion ou, au contraire, frapper fort au risque de l'escalade.

Gordon Gray estime que les Etats-Unis pourraient vouloir, en représailles, viser "une cible militaire ou les Gardiens de la révolution islamique à l'intérieur même de l'Iran".

Il souligne que l'administration Biden "a veillé à ne pas réagir de manière excessive et à faire passer le message que les attaques ne seraient pas tolérées".

Mais "les dirigeants iraniens n'ont malheureusement pas compris ce message. Je pense que cela augmente les chances d'une confrontation militaire", prévient-il.

Source

 

Note : Je poste quelques extraits d'un autre article de spoutnik :

Le Dr Hasan Unal, professeur de sciences politiques à l'Université Bashkent d'Ankara, en Turquie, a rejoint  lundi le programme Lignes de faille de Spoutnik pour discuter de ces questions et bien plus encore.
"C'est en fait une escalade", a déclaré l'expert en relations internationales à propos des  attaques lancées ces derniers mois contre les troupes américaines au Moyen-Orient. « Il existe des dimensions dangereuses auxquelles cela peut réellement dégénérer. »

(..)

"En ce qui concerne les groupes soutenus par l'Iran, il ne fait aucun doute qu'ils interagissent avec l'Iran, et je suis sûr que l'Iran les soutient politiquement, diplomatiquement, économiquement et militairement", a déclaré l'analyste. « Mais cela signifie-t-il que l’Iran leur dit de le faire ou que l’Iran appuie sur le bouton, puis qu’ils passent à l’action ? Je ne le pense pas… Ils prennent peut-être leur propre initiative.

Unal affirme que des incidents comme celui de ce week-end déclencheraient généralement des pourparlers en coulisses pour tenter de maîtriser les groupes militants, mais l'attaque de dimanche survient dans un moment particulièrement tendu....

(..)

dans le cas de la Syrie, les États-Unis n’ont aucune base légale pour stationner des troupes sur le sol syrien. Mais ils sont arrivés en 2014, 2015, puis ils sont restés. » "Et encore une fois, alors que vous parliez des forces américaines aidant à voler le pétrole syrien , puis à prendre le pétrole, tous ces groupes liés au PKK sont sous les auspices des troupes américaines" Source

 

LIRE AUSSI : Secrétaire d'État américain : Il n'y a pas eu de situation aussi dangereuse au Moyen-Orient depuis 1973

 

 

 

 

Les États-Unis ne retirent pas leurs forces armées de Syrie (Nuland)

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 30 janvier 2024

MOSCOU (Sputnik) - Les États-Unis n'envisagent pas de retirer leur armée de Syrie, a déclaré la secrétaire d'État adjointe par intérim des États-Unis, Victoria Nuland.

Plusieurs médias arabes et internationaux ont rapporté que les États-Unis envisageaient un retrait complet de leurs forces de Syrie, mais que la décision finale n'a pas encore été prise.

« Eh bien, permettez-moi d’abord de remettre les pendules à l’heure : les États-Unis ne se retirent pas de Syrie », a déclaré Nuland à CNN Turk.

https://sputnikglobe.com/20240129/rockets-fall-near-us-base-in-syrias-oil-rich-town-of-ash-shaddadi---source-1116468913.html

Les déclarations concernant la légitimité même de la présence militaire américaine en Syrie ont refait surface sur fond de multiples attaques de drones et de missiles visant des bases américaines au Moyen-Orient.

Lundi, une source locale a déclaré à Sputnik que deux roquettes étaient tombées près d'une base militaire américaine contrôlant les champs pétroliers d'Al-Jabsa, dans la ville d'Ash Shaddadi, dans le nord-est de la Syrie. L'armée américaine a dépêché des hélicoptères en réponse à cette attaque, survenue juste un jour après une attaque de drone qui a tué trois soldats américains et en a blessé 25 autres dans une autre base américaine en Jordanie, près de la frontière avec la Syrie.

Les États-Unis et leurs alliés contrôlent de vastes étendues de terres dans la région de production de gaz et de pétrole du nord-est de la Syrie. Ses bases en Syrie, en Irak et en Jordanie ont été la cible fréquente d’attaques de ce que le Pentagone décrit comme des milices soutenues par l’Iran.

Spoutnik

 

 

 

Le parti du président turc Erdoğan va se présenter aux élections européennes en Allemagne

Le Parti de la justice et du développement (AKP) du président turc Recep Tayyip Erdoğan se présentera aux élections européennes en Allemagne, selon plusieurs médias et personnalités politiques allemandes, qui estiment que cela renforcera l’influence de la Turquie au sein de l’UE. Selon l’Office fédéral allemand des statistiques, 1,3 million de citoyens allemands sont issus de l’immigration turque, soit environ 1,6 % de la population totale du pays.

L’Alliance démocratique pour la diversité et l’éveil (Demokratische Allianz für Vielfalt und Aufbruch, Dava), parti affilié à l’AKP actif en Allemagne, est composée de quatre candidats qui ont tous déjà fait campagne pour l’AKP de M. Erdoğan ou pour ses organisations de soutien, a rapporté le journal Bild dimanche (28 janvier).

« Un représentant de M. Erdoğan qui se présente aux élections est la dernière chose dont nous ayons besoin », a écrit sur la plateforme X le ministre écologiste de l’Agriculture, Cem Özdemir (Alliance 90/Les Verts), qui a des origines turques.

L’Union chrétienne-démocrate (CDU), le plus grand parti d’opposition en Allemagne, a également critiqué cette initiative. « Un représentant de M. Erdoğan et le l’AKP en Allemagne signifierait un autre parti extrémiste dans le pays », a déclaré Jens Spahn, chef adjoint du groupe parlementaire de la CDU/CSU (Union chrétienne-sociale en Bavière), sur X.

Étant donné que le seuil électoral de 5 %, qui empêche généralement les petits partis d’accéder au parlement lors des élections fédérales allemandes, ne s’appliquera pas aux élections européennes, de nouveaux acteurs politiques auront plus de chances d’obtenir une place au Parlement européen. Lors des dernières élections européennes de 2019, six petits partis qui n’avaient pas de représentants au niveau national ou régional sont entrés au Parlement européen, certains d’entre eux n’ayant obtenu que 0,7 % des voix.

« Nous assistons actuellement à la naissance de partis un peu partout, dont le seul but et objectif est de déchirer l’Europe de l’intérieur », a déploré Marie-Agnès Strack-Zimmermann, candidate tête de liste du Parti libéral-démocrate allemand (FDP) en commentant l’annonce de la Dava.

« Nous devons nous rendre compte que l’Europe n’a jamais été autant sous pression, en termes de politique étrangère et de politique intérieure, qu’aujourd’hui », a déclaré la candidate FDP au journal die Welt.

euractiv

 

Note ; l'Europe est soumise à la Turquie et au Qatar (entre autres) les preuves de corruption et de soumission avec  des pays musulmans sont légion.  On comprend donc pourquoi l'Europe peut accepter que le Parti de la "justice" islamique (AKP) du terroriste Erdoğan puisse se présenter aux élections européennes !

Vers une guerre de religion, infos du 30 janvier 2024 Vers une guerre de religion, infos du 30 janvier 2024 Vers une guerre de religion, infos du 30 janvier 2024
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Après les émeutes « xénophobes » de Dublin, l’Irlande en crise face à l’immigration: 75 % des Irlandais estiment qu’il y a trop d’immigrés. L’an dernier, le nombre de demandeurs d’asile a augmenté de 415 %.

Reste qu’après un quart de siècle plus de 20 % de la population irlandaise est aujourd’hui née à l’étranger, et l’afflux d’immigrés se poursuit de plus belle. L’an dernier, le nombre de demandeurs d’asile a augmenté de 415 %. Selon les informations de l’émission irlandaise Newstalk, on constate que 70 % de ces demandeurs d’asile sont des hommes, et près de 40 % d’entre eux ne disposent soit d’aucun document officiel, soit de faux passeports. Dans les rares cas où un clandestin fait l’objet d’un ordre d’expulsion, seule une condamnation sur sept est effectivement mise en œuvre.

Plus de 40 % de ressortissants de pays non occidentaux

D’ici à la fin de l’année 2024, les dépenses publiques consacrées aux prestations sociales devraient connaître une augmentation considérable, triplant par rapport à leur niveau de 2020. Cette hausse survient à un moment où les deux tiers des Irlandais de moins de 40 ans se trouvent dans l’incapacité financière d’acquérir un logement, et où le nombre d’Irlandais sans abri atteint des records.

Sur le papier, l’Irlande est un pays riche, notamment grâce aux entreprises des secteurs pharmaceutique et technologique qui ont installé leur siège social à Dublin et dans ses environs. Mais, en réalité, bien de ces prétendus « investissements étrangers » sont des IDE fictifs, une sorte d’évasion fiscale, et le coût de la vie a explosé. Histoire d’alléger la pression sur Dublin, le gouvernement aura massivement envoyé des immigrés dans les zones rurales. Dans certains villages, le nombre de demandeurs d’asile surpasse désormais celui des Irlandais.

Le pourcentage de ressortissants de pays non occidentaux est passé de 10 % dans les années 1990 à plus de 40 % au cours des cinq dernières années. Des immigrés qui ne souhaitent pas forcément tous s’assimiler à la culture locale. Si noue ne disposons d’aucun chiffre pour l’Irlande, au Royaume-Uni voisin, certains sondages indiquent que 40 % des musulmans voudraient instaurer la charia.

(…)

www.lepoint.fr

 

 

Colère des agriculteurs. Un document de France Stratégie dévoile les ambitions du gouvernement : diviser la consommation de viande par 2, faire baisser les constructions neuves de 85%, la consommation d’eau de 15%…

En pleine grogne des agriculteurs, les chiffres avancés comme base de travail donnent le tournis au maire : en 2050, la consommation de viande est divisée par deux. Le maïs ? 40 % de cultures en moins. La vigne ? Moins 20 %, comme pour la betterave et la pomme de terre. Partant de ces hypothèses, les besoins d’irrigation sont revus de 15 % à la baisse, malgré l’augmentation prévisible des périodes de sécheresse.À LIRE AUSSI Le vrai scandale de l’eau

Le document table sur « une baisse générale de l’activité industrielle ». Avec une diminution de 85 % de la construction neuve. Ou encore de 30 % de l’industrie pharmaceutique grâce à l’hypothétique développement de la marche et du vélo et à une alimentation moins carnée ( !). Quant au nucléaire, il est quasiment rayé de la carte, avec 80 % de production en moins.

Administration hors sol

Intitulé « Étude prospective des besoins en eau », le document porte l’en-tête de France Stratégie, institution autonome placée auprès du Premier ministre et chargée d’« éclairer les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux ». Ses prévisions s’appuient sur l’étude Transitions 2050 de l’Ademe. Parmi les quatre scénarios qui mènent à la neutralité carbone, le choix s’est porté sur l’un des deux décroissants, qui aboutit à « une réduction de la consommation en eau ». Au détriment de certaines productions agricoles. Les scénarios reposent pourtant sur des bases fragiles, l’Ademe reconnaissant que ses « indicateurs de la dépendance à l’eau [sont] une première approche qu’il conviendrait d’affiner ».

Le Point

 

 

Mayotte : des barrages de collectifs citoyens contre l’insécurité et l’immigration (Màj : Conformément aux engagements de Darmanin, 40 migrants africains ont quitté l’île pour Paris)

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