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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 3 janvier 2024

 

 

Nous sommes à peine le 3 janvier et la situation de guerre s'aggrave en Ukraine comme en Israël

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : La Russie semble déterminée à accroître ses attaques

 

  • La Russie a effectué mardi de nouvelles frappes « massives » contre l’Ukraine, tuant au moins cinq civils et blessant 130 personnes principalement à Kiev et Kharkiv. L’armée ukrainienne a affirmé que la Russie avait tiré 99 missiles, et que soixante-douze ont été abattus dont 10 Kinjal hypersoniques, par des systèmes de défense antiaérienne Patriot.
  • « La Russie poursuit sa stratégie de terreur visant à détruire les infrastructures civiles ukrainiennes afin de saper la résilience du peuple ukrainien en ce deuxième hiver du conflit » a estimé le Quai d’Orsay dans un communiqué, tandis que Berlin a condamné ces nouvelles frappes russes sur l’Ukraine, estimant qu’elles montrent que Vladimir Poutine veut « anéantir » le pays
  • Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a assuré de son côté au président ukrainien Volodymyr Zelensky que le Royaume-Uni « continuerait de soutenir fermement l’Ukraine dans sa lutte contre l’agression et l’occupation tout au long de l’année 2024 et à l’avenir. »

 

12h07 : L'UE sanctionne le plus gros producteur de diamants russe

L'Union européenne a annoncé mercredi avoir pris des sanctions contre le géant russe du diamant, le groupe public Alrosa, et son PDG, dans le cadre d'un paquet de mesures adopté en décembre en conséquence de l'invasion russe en Ukraine.

Les Vingt-Sept ont ajouté Alrosa, le plus gros producteur de diamants dans le monde, et son patron Pavel Marinychev, à sa liste noire des entités et des personnalités sous le coup de ces sanctions, qui prévoient essentiellement un gel des avoirs et une interdiction de séjour dans l'UE.

Selon l'UE, Alrosa, qui produit 90% des diamants russes, « constitue une part importante d'un secteur économique fournissant de substantiels revenus au gouvernement » russe.

 

11h02 : La Russie semble déterminée à accroître ses attaques

La coordinatrice humanitaire de l'ONU pour l'Ukraine, Denise Brown, avait quant à elle jugé « alarmantes » les frappes russes qui laissent des centaines de milliers d'Ukrainiens « sans électricité (et) sans eau », à un moment où les températures sont négatives en Ukraine. Or, près de deux ans après le début de son invasion, la Russie semble déterminée à accroître ses attaques, un moyen notamment de forcer Kiev, qui manque de munitions, à utiliser les armes livrées par les Occidentaux.

 

10h55 : Récap' de l'aide britannique

Londres a annoncé vendredi l'envoi d'environ 200 missiles anti-aériens à l'Ukraine pour renforcer ses défenses, appelant ses alliés à « redoubler d'efforts » pour soutenir militairement Kiev. 

Depuis le début de l'année, le Royaume-Uni a envoyé en Ukraine des chars de combat Challenger 2, trois batteries de canons d'artillerie AS-90, et des centaines de véhicules blindés et de missiles de croisière Storm Shadow, et des drones d'attaques à longue-portée. Le montant de l'aide militaire britannique à l'Ukraine s'élève à 4,6 milliards de livres (5,3 milliards d'euros).

 

07h24 : De nouvelles frappes « massives » contre l'Ukraine

La Russie a effectué mardi de nouvelles frappes « massives » contre l'Ukraine, tuant au moins cinq civils et blessant 130 personnes principalement à Kiev et Kharkiv, selon les autorités ukrainiennes qui réclament à leurs alliés occidentaux une aide militaire accrue.

Des pompiers travaillent dans un immeuble résidentiel à plusieurs étages détruit par une attaque de missile dans le centre de Kiev, le 2 janvier 2024, au milieu de l'invasion russe de l'Ukraine.
Des pompiers travaillent dans un immeuble résidentiel à plusieurs étages détruit par une attaque de missile dans le centre de Kiev, le 2 janvier 2024, au milieu de l'invasion russe de l'Ukraine. - AFP

 

7h05 : Deux régions russes et la Crimée visées par des missiles ukrainiens

Deux régions russes, frontalières de l'Ukraine, et la Crimée annexée par Moscou ont été visées mercredi matin et dans la nuit par des frappes ukrainiennes, ont indiqué les autorités russes, au lendemain d'un bombardement massif de Kiev par la Russie. Les responsables régionaux russes ont fait état de dégâts limités, assurant que tous les missiles ukrainiens avaient été abattus. Comme mardi dans la journée, la ville de Belgorod et sa région éponyme ont été visées dans la nuit. Selon le ministère russe de la Défense, six projectiles ont été abattus par la défense anti-aérienne. 

Plus au nord, la région de Koursk, également frontalière de l'Ukraine, a été visée par « une attaque aérienne », a indiqué mercredi matin sur Telegram le gouverneur régional, Roman Starovoït. Enfin, un missile a été abattu au large de Sébastopol, a affirmé le gouverneur de cette ville de Crimée, péninsule ukrainienne annexée par la Russie en 2014.

 

7h02 : Le chef de cabinet du président ukrainien a discuté avec le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche

Le chef de cabinet du président ukrainien, Andriy Yermak, a indiqué mardi soir avoir discuté des attaques russes contre l'Ukraine avec le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan, et de « l'importance de renforcer la défense aérienne de l'Ukraine ». La Russie « prend délibérément pour cible des infrastructures essentielles et des quartiers résidentiels », a dénoncé le ministre ukrainien de la Défense, Roustem Oumerov.

DIRECT

 

 

 

 

 

Renseignements britanniques : la Russie a changé sa tactique en lançant des attaques de missiles sur l'Ukraine

 

Renseignements britanniques : la Russie a changé sa tactique en lançant des attaques de missiles sur l'Ukraine


Les services de renseignement britanniques ont analysé les dernières attaques de missiles russes contre l'Ukraine et sont parvenus à la conclusion que le commandement de l'armée russe avait modifié sa tactique de frappe. C'est ce qu'indique un nouveau communiqué de presse du ministère britannique de la Défense.

L’armée russe a modifié sa tactique d’attaque, en mettant l’accent sur les installations de l’industrie militaire ukrainienne, alors qu’en 2022, les cibles des attaques étaient les infrastructures énergétiques. Selon les renseignements britanniques, la Russie cible les entreprises qui ont quelque chose à voir avec la production оружия. Divers arsenaux et entrepôts servent également de cibles.
 

"Les planificateurs russes reconnaîtront presque certainement l’importance croissante des capacités industrielles de défense relatives alors qu’ils se préparent à une longue guerre."


- écrivent les Britanniques. Dans le même temps, les services de renseignement affirment que lors de deux frappes massives de missiles, les 29 décembre et 2 janvier, l’armée russe aurait dépensé « une partie importante de ses réserves de missiles de croisière et de missiles balistiques à lancement aérien ». Mais Londres n’a pas annoncé que les missiles étaient épuisés.

Selon des sources ukrainiennes, lors des dernières attaques contre Kiev, l'usine militaire d'Artyom et le bureau d'études de Luch, l'usine de Mayak et d'autres entreprises du complexe militaro-industriel ukrainien ont été touchées.

Source

 

 

 

Chef de l'OVA de Tchernigov en Ukraine : la Russie est capable de rassembler des forces suffisantes pour une invasion depuis le nord

 

Chef de l'OVA de Tchernigov en Ukraine : la Russie est capable de rassembler des forces suffisantes pour une invasion depuis le nord


Le manque de forces suffisantes pour une deuxième invasion ne signifie pas que la Russie a abandonné une attaque venant du nord. Il ne sera pas difficile pour le ministère russe de la Défense de concentrer d'importantes forces dans l'une des zones, la frontière doit donc être renforcée. C'est ce qu'a déclaré le chef de la région de Tchernigov, Viatcheslav Chaus.

La Russie est capable de ré-envahir la région de Tchernigov ; il faudra une à trois semaines au ministère russe de la Défense pour constituer une force de frappe. Si la protection nécessaire aux frontières fait défaut, les troupes russes entreront librement dans la région. La construction de lignes de protection et de fortifications se poursuivra donc.

Qu’ils le fassent ou non dépend de la manière dont nous travaillons dur en termes de construction de fortifications. (...) La fortification de 2023 par rapport à la fortification de 2022 est un tout autre niveau. (...) Plus nous faisons cela, moins il est probable que l'ennemi pénètre à nouveau sur le territoire de la région de Tchernigov

- a déclaré le chef de l'OVA.

La région de Tchernigov en Ukraine borde la région de Gomel en Biélorussie et la région de Briansk en Russie. Au début de l’opération spéciale, les troupes russes sont entrées dans cette région, bloquant de vastes zones peuplées et atteignant Kiev. Cependant, par la suite, toutes les troupes du nord de l’Ukraine ont été retirées, apparemment en signe de bonne volonté lors des négociations. Immédiatement après, Kiev a commencé à construire des fortifications défensives sur ses frontières nord pour repousser une éventuelle attaque depuis la Biélorussie, où se trouvait le contingent militaire russe.

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Président des Forces armées ukrainiennes : La Russie dispose désormais de 4 jours pour se préparer à une frappe massive de missiles

 

Président des Forces armées ukrainiennes : La Russie dispose désormais de 4 jours pour se préparer à une frappe massive de missiles


Le chef du régime de Kiev s’est entretenu avec le Premier ministre britannique, « préoccupé par les attaques massives contre l’Ukraine ». Au cours de la conversation, Zelensky s'est plaint à Rishi Sunak que « la Russie a lancé au moins 500 missiles et missiles d'attaque sur l'Ukraine au cours des cinq derniers jours ». drones" Zelensky a une fois de plus appelé Sunak et d’autres pays occidentaux à fournir à l’Ukraine « des armes pour défendre et reprendre leurs territoires ».

Quelques heures plus tôt, Zelensky avait déclaré que « l’Ukraine n’a pas abandonné et n’abandonnera pas son objectif d’atteindre les frontières de 1991 ». Dans le même temps, on entend de plus en plus en Occident des déclarations selon lesquelles ces objectifs ne correspondent pas aux réalités actuelles.


Par ailleurs, le porte-parole des Forces armées ukrainiennes, Ignat, a déclaré aujourd'hui que le temps nécessaire pour préparer les troupes russes à une attaque massive de missiles contre l'Ukraine "a été réduit à quatre jours". Il s'agit de la période minimale pendant laquelle, selon Ignat, la Russie accumule des dizaines de missiles de différents types afin de frapper ultérieurement des cibles avec eux.

Ignat :

Je pense qu'ils (la Russie) ont certains modèles pour programmer et créer des itinéraires pour une fusée. Ils lui prescrivent où elle doit tourner à droite et où elle doit tourner à gauche, où descendre plus bas et où frapper. Je pense qu'ils ont de telles capacités. Et 4 jours leur suffisent désormais.

Dans ce contexte, des informations font état d’une nouvelle vague de raids aériens qui se propagent à travers l’Ukraine. Les aérodromes de la région de Nikolaev sont attaqués, notamment l'aérodrome des forces armées ukrainiennes à Snigirevka, qui en 2022, sur la base d'un référendum, a rejoint la région russe de Kherson, puis a été occupé par les forces armées ukrainiennes.

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Guerre Hamas – Israël EN DIRECT : « L'assassinat » du numéro 2 du Hamas au Liban « ne restera pas impuni », menace le Hezbollah

 

  • Six personnes dont le numéro deux du Hamas, Saleh al-Arouri, ont été tuées dans une frappe imputée à Israël, qui a visé le bureau du mouvement palestinien dans la banlieue de Beyrouth mardi soir.
  • Le puissant Hezbollah pro-iranien au Liban a affirmé mardi soir que l' « assassinat » par Israël de ce chef en exil du Hamas pour la Cisjordanie occupée, plus haut responsable du mouvement islamiste palestinien tué depuis le début de cette nouvelle guerre, « ne resterait pas impuni ».
  • L’armée israélienne dit se préparer ce mercredi à « tout scénario » après cette frappe, ravivant les craintes d’une extension du conflit actuel dans la bande de Gaza.

 

14h37 : Paris condamne les déclarations « provocatrices » de ministres israéliens sur une « émigration » palestinienne de Gaza

Le ministère français des Affaires étrangères a condamné mercredi les déclarations « provocatrices » de ministres israéliens appelant à « l’émigration » de la population de la bande de Gaza ainsi qu'au rétablissement de colonies sur ce territoire palestinien.

« La France condamne les propos des ministres israéliens des Finances, M. Bezalel Smotrich, et de la Sécurité nationale, M. Itamar Ben Gvir » et appelle Israël « à s’abstenir de telles déclarations provocatrices, qui sont irresponsables et alimentent les tensions », indique ce ministère dans un communiqué. Itamar Ben Gvir a appelé lundi à un retour de colons juifs à Gaza et à « encourager » la population palestinienne à émigrer, au lendemain d'un appel similaire du ministre Smotrich.

 

 

14h35 : Le Mossad « réglera ses comptes » avec le Hamas

Le chef du Mossad, les services secrets israéliens, a affirmé mercredi que son agence « réglera ses comptes » avec toute personne impliquée dans l'attaque sanglante du Hamas du 7 octobre sur le sol israélien. « Aujourd'hui, nous sommes en pleine guerre. Et le Mossad, aujourd'hui comme il y a 50 ans, s'engage à régler ses comptes avec les meurtriers qui sont descendus sur la lisière de Gaza le 7 octobre, avec les planificateurs et leurs commanditaires », a déclaré David Barnea lors des funérailles d'un ancien chef du Mossad, Zvi Zamir, décédé mardi.

« Cela prendra du temps, tout comme après le massacre de Munich, mais nous mettrons la main sur eux où qu'ils soient. Chaque mère arabe devrait savoir que si son fils a participé, directement ou indirectement, au carnage du 7 octobre, son sang sera sur sa tête », a ajouté David Barnea, citant un verset biblique.

 

Note ; la plupart des hauts placés du Hamas sont déjà à l'étranger,  Israël a éliminé le numéro 2 au Liban, mais le numéro un, du Hamas Ismaël Haniyeh est, lui aussi, caché à l'étranger. Les rats islamiques du Hamas,  mettent le feu entre Israël et Gaza, pour après fuir la queue entre les jambes à l'étranger. Comme les palestiniens peuvent accepter d'être représenté par de tels poltrons.

 

 

13h26 : Au Liban, la Finul craint l'escalade « dévastatrice » avec Israël

Après la mort du numéro 2 du Hamas Saleh al-Arouri, tué par trois frappes de drones attribuées à Israël sur la banlieue de Beyrouth mardi soir, la Finul (Force intérimaire des Nations unies au Liban) s'est déclarée mercredi préoccupée par les « conséquences dévastatrices » que pourrait avoir une escalade entre Israël et le mouvement islamiste libanais Hezbollah. 

« Nous continuons d'implorer toutes les parties de cesser leurs tirs et tous les interlocuteurs influents d'appeler à la retenue »a déclaré la porte-parole adjointe de la Force intérimaire de l'ONU au Liban, Kandice Ardiel, dans un communiqué.

 

13h19 : « Est-ce qu'il va y avoir une extension du conflit ? », se questionne le directeur de l'Iris Pascal Boniface au micro d'RTL

Au micro d'RTL, ce mercredi, le directeur fondateur de l'IRIS (Institut de Relations Internationales et Stratégiques) Pascal Boniface réagissait à « l'assassinat » du numéro 2 du Hamas au Liban la veille. « C'est la première fois depuis très longtemps qu'Israël attaque un leader du Hamas en dehors de la Cisjordanie ou de la bande de Gaza. La question qu'on se pose : "Est ce qu'il y va y avoir une extension du conflit ?". Est-ce que le Hezbollah va répliquer ? ».


 

 

11h05 : Le ministère de la Santé du Hamas annonce un nouveau bilan de 22.313 morts

Le ministère de la Santé du Hamas palestinien a annoncé mercredi que les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza avaient fait 22.313 morts depuis le début de la guerre le 7 octobre. Parmi ces morts figurent 128 personnes tuées au cours des dernières 24 heures, a précisé le ministère, qui a aussi fait état de 57.296 personnes blessées depuis le 7 octobre.

 

09h09 : A Gaza, ministre israélien préconise un départ massif de Palestiniens

Le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a de nouveau préconisé mercredi un départ massif de Palestiniens de Gaza, rejetant les critiques américaines qualifiant ses précédentes déclarations évoquant ce scénario d'« irresponsable ». « Les Etats-Unis sont nos bons amis, mais avant tout, nous ferons ce qui est bon pour l'Etat d'Israël : encourager l'émigration de centaines de milliers de personnes de Gaza permettra aux résidents (israéliens) de rentrer chez eux (en lisière de Gaza) et de vivre en sécurité tout en protégeant nos soldats », a écrit Itamar Ben Gvir sur le réseau social X en réponse aux critiques américaines.

 

07h57 : Nouvelles frappes israéliennes ce mercredi matin sur Khan Younès

Tôt ce mercredi matin, un journaliste de l'AFP a fait état de frappes sur Khan Younès dans le sud de la bande de Gaza où le ministère de la santé du Hamas a dénombré de « nombreux » morts. Des frappes avaient déjà eu lieu mardi sur ce site qui abrite notament un hôpital et des installations locales du Croissant-rouge palestinien. Dans la nuit de mardi à mercredi, le chef de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, avait « déploré » des frappes « inadmissibles ».

 

07h49 : Des opérations israéliennes dans divers secteurs de la Cisjordanie occupée

L'agence palestinienne Wafa fait état ce mercredi matin d'opérations israéliennes dans divers secteurs de la Cisjordanie occupée, après la frappe mardi soir dans la banlieue de Beyrouth fatale au numéro deux du mouvement islamiste palestinien Hamas. Peu après l'annonce de sa mort, de nombreux Palestiniens se sont rassemblés dans les rues de Ramallah, en Cisjordanie occupée. « La nouvelle du martyre [de Saleh al-Arouri] est très difficile pour nous, mais il ne vaut pas mieux que plus de 20.000 martyrs morts à Gaza », a dit sur place Diya Zaloum, un jeune manifestant.

 

 

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21h44 : Le Hezbollah dit que l' « assassinat » du numéro 2 du Hamas au Liban « ne restera pas impuni »

Le puissant Hezbollah pro-iranien au Liban a affirmé mardi soir que l'« assassinat » par Israël, dans son fief de la banlieue sud de Beyrouth, du numéro deux du Hamas palestinien « ne resterait pas impuni ».

« Le crime que constitue l'assassinat de Saleh al-Arouri au coeur de la banlieue sud de Beyrouth est une grave agression contre le Liban (...) et ne restera pas sans riposte ou impuni », a affirmé dans un communiqué le Hezbollah, qui depuis près de trois mois lance quotidiennement des attaques contre Israël depuis le sud du Liban.

 

21h01 : Le Hamas « ne sera jamais vaincu » affirme son chef Haniyeh après « l'assassinat » de son adjoint

Le chef du Hamas Ismaïl Haniyeh a affirmé mardi que son mouvement « ne sera jamais vaincu », après la mort de son numéro deux Saleh al-Arouri dans une frappe à Beyrouth imputée à Israël.

« Un mouvement dont les leaders et les fondateurs tombent en martyrs pour la dignité de notre peuple et de notre nation, ne sera jamais vaincu », a déclaré Haniyeh dans une allocution télévisée. « C'est l'histoire de la résistance et du mouvement qui, après l'assassinat de ses leaders, devient encore plus fort et déterminé », a-t-il ajouté.

 

18h13 : Le Premier ministre libanais dénonce un « crime israélien » au sujet de l’assassinat du numéro 2 du Hamas, à Beyrouth

Le Premier ministre libanais Najib Mikati a dénoncé ce mardi soir comme « un crime » la frappe israélienne sur la banlieue de Beyrouth qui a conduit à la mort du numéro deux du Hamas palestinien. Dans un communiqué, il a estimé que « ce nouveau crime israélien vise à entraîner le Liban dans une nouvelle phase de confrontation » avec Israël. Les affrontements entre l’armée israélienne et le Hezbollah libanais, allié du Hamas, étaient jusque-là limités aux zones frontalières dans le sud du Liban.

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21h01 : Le Hamas « ne sera jamais vaincu » affirme son chef Haniyeh après « l'assassinat » de son adjoint

Le chef du Hamas Ismaïl Haniyeh a affirmé mardi que son mouvement « ne sera jamais vaincu », après la mort de son numéro deux Saleh al-Arouri dans une frappe à Beyrouth imputée à Israël.

« Un mouvement dont les leaders et les fondateurs tombent en martyrs pour la dignité de notre peuple et de notre nation, ne sera jamais vaincu », a déclaré Haniyeh dans une allocution télévisée. « C'est l'histoire de la résistance et du mouvement qui, après l'assassinat de ses leaders, devient encore plus fort et déterminé », a-t-il ajouté.

 

18h13 : Le Premier ministre libanais dénonce un « crime israélien » au sujet de l’assassinat du numéro 2 du Hamas, à Beyrouth

Le Premier ministre libanais Najib Mikati a dénoncé ce mardi soir comme « un crime » la frappe israélienne sur la banlieue de Beyrouth qui a conduit à la mort du numéro deux du Hamas palestinien. Dans un communiqué, il a estimé que « ce nouveau crime israélien vise à entraîner le Liban dans une nouvelle phase de confrontation » avec Israël. Les affrontements entre l’armée israélienne et le Hezbollah libanais, allié du Hamas, étaient jusque-là limités aux zones frontalières dans le sud du Liban.

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Une double explosion en Iran fait au moins 70 morts : elle a eu lieu lors d'un hommage à un ancien chef des Gardiens de la révolution islamique tué par les Etats-Unis

 

  • L'agence semi-officielle Nournews a rapporté que plusieurs bonbonnes de gaz avaient explosé sur la route conduisant au cimetière.
    L'agence semi-officielle Nournews a rapporté que plusieurs bonbonnes de gaz avaient explosé sur la route conduisant au cimetière. Capture écran Twitter @Calam_media
Publié le
 

Au moins 50 personnes ont été tuées et des dizaines d'autres blessées, ce mercredi 3 janvier, dans deux explosions "terroristes" à Kerman, dans le sud-est de l'Iran, où se déroulait une cérémonie marquant le troisième anniversaire de la mort de l'ancien chef de la force d'élite Al Qods, Qassem Souleimani, a déclaré un responsable iranien.

Ce mercredi 3  janvier, deux explosions sont survenues coup sur coup près du cimetière où est enterré Qassem Souleimani, l'ancien chef de la force d'élite Al Qods, et où avait lieu la commémoration, selon la télévision.

"Les explosions ont été provoquées par des attaques terroristes", a déclaré un responsable local cité par les médias d'Etat. L'agence semi-officielle Nournews a rapporté que plusieurs bonbonnes de gaz avaient explosé sur la route conduisant au cimetière.

La télévision publique a diffusé les images de secouristes du Croissant-Rouge prenant en charge les blessés à la cérémonie, à laquelle assistaient plusieurs centaines de personnes. "Nos équipes sont en train d'évacuer les blessés (...) mais il y a des mouvements de foule qui bloquent les routes", a déclaré le chef du Croissant-Rouge pour la province de Kerman, Reza Fallah.

Selon Babak Yektaparast, porte-parole des services d'urgence iraniens, les explosions ont fait 73 morts et 170 blessés.

Qassem Souleimani, qui dirigeait la Force Al Qods du corps des gardiens de la Révolution, a été tué le 3 janvier 2020 par une frappe américaine à l'aéroport de Bagdad.

Source

 

Note : Qassem Soleimani a été tué  le , à sa sortie de l'aéroport de Bagdad par une frappe de drone ciblée, sur une demande de  Donald Trump. 

Les attentats d'aujourd'hui cherchent  à raviver les hostilités entre l'Iran et les USA.  Qui est derrière ces attentats, si c'est Israël, cela pourrait avoir des conséquences très grave

Mais, Israël ou pas, les autorités iraniennes, pointerons vite du doigt Israël

 

 

U

Yemen : l'opération lancée par les Américains est-elle en train de tomber dans le piège houthi ?

 

 

Manifestation contre l'opération occidentale visant à protéger les navires commerciaux dans la mer Rouge, à Sanaa, au Yémen, le 22 décembre 2023. (OSAMAH YAHYA / MAXPPP)

Le week-end du 31 décembre, une nouvelle attaque a été organisée en mer Rouge. C'est la 24ème depuis le 19 novembre, date à laquelle les rebelles houthis ont décidé de s’engager officiellement pour s’opposer à la réponse israélienne sur Gaza.

 

Ce nouvel incident révèle à quel point le niveau de tension ne cesse d’augmenter au passage du détroit de Bab al-Mandeb, entre le Golfe d’Aden et la mer Rouge. Pour la première fois, les rebelles houthis ont pris à partie des hélicoptères américains venus défendre le navire marchand Maersk Hangzhou, alors que celui-ci était menacé par quatre embarcations rapides de cette force yéménite.

Premiers morts depuis le début des affrontements en mer Rouge

Trois bateaux houthis ont été coulés et dix soldats rebelles yéménites ont été tués dans cette opération. Ce sont les premiers morts depuis le début de cette série d’attaques, destinée à paralyser une partie du transit maritime mondial.

Les États-Unis avaient annoncé fin décembre la création d’une coalition destinée à sécuriser ce passage de la mer Rouge. L’opération "Gardien de la Prospérité", initiée à la mi-décembre par les Américains sous la forme d'une coalition navale, intègre aujourd’hui une vingtaine de pays. Cette opération est considérée comme "vitale" pour les États-Unis, car entre 10 et 15% du commerce mondial transite par la mer Rouge, avec des marchandises destinées aux pays occidentaux.

D’où l’importance pour Lloyd Austin, ministre américain de la Défense, de protéger les règles et les lois de libre circulation des biens à travers le monde : "Ce droit fondamental universel est aujourd’hui la cible d’une nouvelle menace : celle des attaques totalement inacceptables de bâtiments de la marine marchande, par les forces houthies au Yemen, a-t-il déclaré. Ces attaques inconscientes constituent un sérieux problème international et nécessitent une réponse ferme au niveau international."

Un navire iranien positionné

Mais cette réponse ferme contribue à militariser une zone déjà très fournie en navires de guerre, qu’elle ne décourage absolument pas les intentions belliqueuses des combattants houthis, et que l’on est finalement à deux doigts d’ouvrir un nouveau front contre une force spécialiste de la guerre asymétrique.

Les États-Unis entraînent de plus en plus de pays dans cette stratégie. Depuis mi-décembre, d’autres nations ont décidé d’intégrer l’opération, comme la Grèce, le Danemark et l'Inde. Les Britanniques, fidèles alliés des États-Unis, haussent même le ton. Ils envisagent de prendre des "mesures directes" et de ne plus s’en tenir à abattre les drones yéménites.

Pendant ce temps, les Iraniens, principal soutien des rebelles houthis, viennent d'annoncer le positionnement de l’un de leur navire dans cette zone. En résumé, tous les composants d’une escalade militaire sont aujourd’hui réunis en mer Rouge. Ce qui explique peut-être pourquoi certains États comme la France, l’Italie et l’Espagne ont préféré, ces derniers jours, prendre leur distance avec les "Gardiens de la Prospérité".

Source

 

 

 

L’ambassade française au Niger "fermée jusqu’à nouvel ordre"

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 3 janvier 2024

L’ambassade de France au Niger est désormais fermée "jusqu’à nouvel ordre", indique le ministère franâis des Affaires étrangères.

Pour expliquer cette décision, la France évoque des "entraves rendant impossible l’exercice" des missions de l'ambassade, selon le communiqué.

La mission diplomatique poursuivra ses activités depuis Paris, les services consulaires seront pris en charge par les consulats français dans la région.

L'ambassadeur Sylvain Itté a quitté le Niger fin septembre. Son départ, ainsi que celui des troupes françaises, ont été exigés par les militaires venus au pouvoir à Niamey fin juillet.

spoutniks

 

 

 

L'Onu annonce la fin du retrait de sa mission Minusma du Mali

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 3 janvier 2024

Le secrétaire général de l'Onu a annoncé la fin du retrait de la Mission des Nations unies MINUSMA du Mali, après dix ans de présence dans ce pays.

La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma) a "achevé son retrait" du territoire malien le 31 décembre comme convenu, a annoncé dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier le secrétaire général de l'Onu Antonio Guterres.

Cette annonce intervient au lendemain de la remise officielle de l'un des derniers camps de la Minusma situé à Tombouctou, dans le nord du pays, aux autorités nationales.

M.Guterres a salué dans son communiqué "le rôle clé" joué par la Minusma au Mali. Il a rendu hommage aux 311 membres du personnel de la mission qui avaient perdu la vie et aux plus de 700 blessés au service de la paix au cours des 10 années de déploiement de la Mission au Mali.

Le Mali avait réclamé en juin, après des mois de dégradation des relations, le départ sans délai de la Minusma déployée depuis 2013. Le Conseil de sécurité de l'Onu avait mis fin au mandat de la mission au 30 juin.

Spoutnik

 

 

 

Nice : un Tunisien en situation irrégulière et armé d’un couteau, agresse sexuellement une femme et blesse deux policiers

Un homme âgé de 29 ans a été interpellé ce lundi matin sur la promenade des Anglais, à Nice (Alpes-Maritimes), soupçonné d’avoir agressé sexuellement une touriste de 52 ans en pleine rue, a appris Actu17. Le suspect, en situation irrégulière en France, s’est rebellé lors de son interpellation et a blessé deux policiers municipaux.

Cette agression s’est déroulée vers 07h20, alors que la première journée de cette nouvelle année venait de débuter. Une touriste suisse avait décidé d’aller promener son chien sur la promenade des Anglais et a stationné sa voiture à proximité. Elle a alors croisé le chemin d’un inconnu qui l’a abordée. “Il a proposé à cette femme de lui ‘faire l’amour’, puis l’a agressée sexuellement lorsqu’elle a refusé”, décrit une source proche de l’affaire.

La victime a mordu son agresseur pour se défendre

[…]

 

Actu17

 

 

Un djihadiste d’origine tchétchène, condamné à dix ans de prison, déchu de la nationalité française

Un Tchétchène naturalisé Français en 2008, Khassanbek Tourchaev,  qui était notamment accusé d’avoir été «émir» d’un groupe djihadiste en Syrie en 2013 et 2014, a été déchu de la nationalité française par un décret publié ce mercredi au Journal officiel. Il avait été condamné en 2019 à une peine de dix ans de prison, assortie de la sûreté aux deux tiers, par la cour d’assises spéciale de Paris

Entre 2019 et 2023, au moins une vingtaine de déchéances de nationalité ont été prononcées pour terrorisme en France.

Lors de son procès, Khassanbek Tourchaev avait reconnu s’être rendu en Syrie et y avoir séjourné environ trois mois en 2013 et 2014. Il avait affirmé y être allé dans le but de chercher ses frères, «pas pour faire la guerre». Il était cependant accusé d’avoir participé à des combats et assuré une formation en explosifs à d’autres combattants. Il était aussi soupçonné d’avoir joué le rôle d’«émir» dans un groupe djihadiste, au sein de l’Émirat du Caucase affilié à Ahrar al-Cham, qui faisait lui-même partie du Front islamique.

Khassanbek Tourchaev, aujourd’hui âgé de 53 ans, a grandi à Grozny en Tchétchénie. La guerre l’a poussé à fuir son pays pour demander l’asile en France. Dès 2005, il avait été repéré par les services de renseignement en raison de son extrémisme religieux. Il se décrit lui-même comme salafiste. «Aujourd’hui, je suis sur la voie d’Allah», avait-il déclaré lors de son procès en 2019, avant d’affirmer que «la Syrie (était) un sujet clos» pour lui. «La prison a changé beaucoup de choses en moi. Ce dont j’ai besoin, c’est ma famille», avait ajouté l’homme en situation de polygamie, père de plusieurs enfants qui vivent en Alsace.  […]

Le Figaro

 

Note ; il en reste encore 10 millions 😁

 

 

Désinformation: 3 politiques français dans le top 200 mondial publié par X/Twitter, Sandrine Rousseau, Jean-Luc Mélenchon et Mathilde Panot. Le compte de BFM TV classé 40ème

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