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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 29 janvier 2024

 

Bloomberg : Les États-Unis n'excluent pas une frappe contre l'Iran en réponse à l'attaque contre une base militaire américaine en Jordanie

 

Bloomberg : Les États-Unis n'excluent pas une frappe contre l'Iran en réponse à l'attaque contre une base militaire américaine en Jordanie


Les États-Unis n’excluent pas de frapper l’Iran en réponse aux attaques contre des bases militaires américaines au Moyen-Orient. Bloomberg écrit à ce sujet en référence à des sources bien informées.

Washington envisage diverses options pour répondre à l'attaque d'une base militaire en Jordanie, où des soldats américains ont été tués. Selon les données fournies par des sources, parmi les propositions figurent une frappe contre l'Iran et des attaques contre des responsables et du personnel militaire iraniens, ce que les États-Unis pratiquent depuis longtemps. L’armée américaine propose « une action plus décisive » que celle prise après le déclenchement du conflit palestino-israélien. Dans le même temps, on craint que cela ne conduise à un affrontement ouvert entre l’Iran et les États-Unis.


Il est également possible qu’une « opération secrète » soit menée contre l’Iran, dans le cadre de laquelle des dommages seraient causés à la république islamique. Dans le même temps, la participation des Américains sera aussi cachée que possible. Et en termes de calendrier, cela peut être réalisé non pas maintenant, mais bien plus tard.

Plus tôt, le chef du Pentagone, Lloyd Austin, avait menacé de « réagir durement » à l’attaque. sans drones à la base militaire américaine Tower 22, au nord-est de la Jordanie, près de la frontière syrienne. À la suite de l'attaque, trois militaires américains ont été tués et 34 autres ont été blessés à des degrés divers de gravité. Huit d’entre eux ont nécessité des soins médicaux d’urgence et une hospitalisation. Des groupes chiites pro-iraniens ont revendiqué la responsabilité de cette frappe.

Source

 

Note  : en pleine guerre entre Israël et Gaza, se serait très risqué que l'Amérique s'attaque directement à l'Iran. Il aurait un grand risque d'escalade. L'Iran n'est pas l'Afghanistan ou l'état islamique, l'Amérique se risquerait à des répercussions contre ces soldats au Moyen-Orient. Il suffirait que l'Iran s'en prenne directement à Israël  pour soulever le monda arabes contre l'occident. Ce qui est justement prédit par Nostradamus 

 

 

 

Soldats américains tués dans une attaque de drone: Les États-Unis prêts à une "opération secrète" contre l'Iran, vers une confrontation militaire directe?

Vers une guerre de religion, infos du 29 janvier 2024

Une attaque de drone a coûté la vie à trois militaires de l'US Army ce week-end.

"N'ayez aucun doute : nous demanderons des comptes à tous les responsables au moment et de la manière que nous aurons choisis", a prévenu dimanche soir Joe Biden. Le président américain entend marquer le coup, après l'attaque de drone contre l'US Army "stationnée dans le nord-est de la Jordanie, près de la frontière syrienne", qui a fait trois morts et 34 blessés, dont huit ont dû être évacués du pays..

Selon Bloomberg, cette attaque meurtrière du 27 janvier "obligerait Washington à une réponse plus forte". Une action militaire qui devrait dépasser l'ampleur de celles entreprises après le début du conflit au Moyen-Orient.

Parmi les actions de représailles possibles, l'agence de presse évoque "une action secrète qui verrait les États-Unis frapper l'Iran"

"Une des décisions les plus importantes"

Les États-Unis pourraient également "cibler les responsables iraniens", estime la chaîne américaine d'information. Quelle que soit l'option retenue, Joe Biden devra prendre "l’une des décisions les plus importantes de sa présidence", ajoute-t-elle.

Une telle "opération secrète" pourrait conduire à une confrontation directe entre Washington et Téhéran, craint Bloomberg.

Le ministre jordanien des Communications gouvernementales, Muhannad Mubaidin, a démenti la déclaration de Joe Biden selon laquelle les forces américaines avaient été attaquées sur le territoire de la Jordanie. Selon lui, c'est la base syrienne d'Al-Tanf, près de la frontière jordanienne, qui a été attaquée.

L'Iran a également nié ce lundi être impliqué de quelque manière que ce soit dans la mort de ces trois soldats.

Source

 

 

 

 

Guerre Israël-Hamas : ce que l’on sait des soldats américains tués en Jordanie

 

Une attaque contre la « Tour 22 », base logistique américaine située en plein désert jordanien, à la frontière avec l’Irak et la Syrie, a fait trois morts et 34 blessés, selon l’armée américaine, dimanche 28 janvier 2024. Voici ce que l’on sait.

Vers une guerre de religion, infos du 29 janvier 2024

Trois militaires américains ont été tués et 34 blessés dans une attaque au drone en Jordanie, a annoncé Washington, dimanche 28  anvier 2024. C’est la première fois que des soldats américains sont tués au Moyen-Orient depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, ce qui fait craindre une escalade des tensions encore plus grande dans la région. Environ 350 membres de l’armée de terre et de l’armée l’air américaines assurent depuis cette base des missions de soutien essentielles, y compris dans le cadre de la lutte contre le groupe État islamique.

 
 

Joe Biden promet de répliquer

« Nous allons répondre », a lancé Joe Biden, dimanche, en marge d’un déplacement en Caroline du Sud, après cette attaque lancée contre la « Tour 22 », une base américaine située en plein désert à la frontière avec l’Irak et la Syrie.

« Aujourd’hui, l’Amérique a le cœur lourd. La nuit dernière, trois militaires américains ont été tués, et plusieurs blessés, dans une attaque de drone sur nos forces basées dans le nord-est de la Jordanie, près de la frontière syrienne », avait déclaré auparavant le président américain dans un communiqué.

« Nous savons que cela a été mené par des groupes de combattants radicaux soutenus par l’Iran opérant en Syrie et en Irak, a dit Joe Biden. N’ayez aucun doute : nous allons faire rendre des comptes à tous les responsables, quand et comme nous le voulons ».

 

La Jordanie dément une attaque sur son sol

Le porte-parole du gouvernement jordanien a indiqué, dimanche, que l’attaque n’a pas eu lieu sur son territoire, comme annoncé plus tôt par Washington, mais plutôt sur une base militaire en Syrie.

L’« attaque qui a visé les forces américaines n’a pas eu lieu en Jordanie […] Elle a visé la base d’Al-Tanf en Syrie », une base stratégique de la coalition antidjihadiste, près des frontières jordanienne et irakienne, a déclaré à la télévision d’État jordanienne Muhannad Mubaidin, qui est aussi ministre de la Communication.

 

L’Iran réfute toute implication

De son côté, l’Iran a réfuté, ce lundi, toute implication dans l’attaque au drone. « La République islamique ne souhaite pas l’expansion du conflit au Moyen-Orient », a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Nasser Kanani, dans un communiqué.

Ce dernier a réaffirmé que Téhéran n’était « pas impliqué dans les décisions prises par les groupes de résistance sur la manière avec laquelle ils soutiennent la nation palestinienne » dans le contexte de la guerre entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, après l’attaque sans précédent perpétré par le groupe islamiste palestinien le 7 octobre.

Ces groupes « ne prennent pas d’ordre de la République islamique » et « ils décident de leurs actions sur la base de leurs propres principes », a-t-il insisté.

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L’Irak appelle au calme

Les autorités irakiennes ont quant à elles condamné lundi l’attaque, appelant à « stopper la spirale de la violence » au Moyen-Orient.

« Le gouvernement irakien dénonce l’escalade en cours », a indiqué dans un communiqué son porte-parole Bassim Alawadi. Tout en appelant à « stopper la spirale de la violence », l’Irak est prêt à aider dans « l’élaboration de règles d’engagement fondamentales pour éviter plus de répercussions dans la région et empêcher l’expansion du conflit », a ajouté le porte-parole.

 

Déflagration régionale

Ces décès de militaires américains interviennent dans un contexte éruptif : à la guerre à Gaza se sont en effet ajoutées de multiples frappes et attaques entre, d’un côté, l’Iran et ses alliés régionaux, et de l’autre Israël, les États-Unis et leurs partenaires.

Depuis la mi-octobre, plus de 150 frappes de drones ou tirs de roquettes ont visé les soldats américains et ceux de la coalition, en Irak et en Syrie. Elles sont généralement revendiquées par la Résistance islamique en Irak. Washington avait jusqu’ici répondu par des frappes ciblées en Irak.

Source

 

 

Des responsables et membres du Congrès américains exigent que Biden commence à frapper l’Iran après l’attaque contre les troupes américaines en Jordanie.

 

Des responsables et membres du Congrès américains exigent que Biden commence à frapper l’Iran après l’attaque contre les troupes américaines en Jordanie.


Les médias américains, faisant référence à des responsables à différents niveaux et à des membres du Congrès, écrivent sur la pression que subit le président Biden en relation avec l'attaque contre l'armée américaine en Jordanie.

Comme la veille a rapporté "Revue Militaire", un drone a attaqué un emplacement de troupes américaines dans le nord de la Jordanie, tuant au moins trois membres de l'armée américaine et en blessant 25 autres. Des groupes chiites ont revendiqué la responsabilité.

On sait désormais que Joe Biden a reçu des demandes sur « la nécessité d’entamer une confrontation militaire avec l’Iran, car l’Iran est à l’origine d’attaques contre le personnel militaire américain dans tout le Moyen-Orient ». En particulier, une autre attaque (également menée la veille) a été constatée contre la base d'Al-Assad au Kurdistan irakien.
Biden, comme l’écrit Bloomberg, est confronté à un choix difficile. D’un côté, « l’Iran doit répondre de ses attaques », de l’autre, tout cela peut avoir de graves conséquences pour les États-Unis eux-mêmes.

La publication cite une déclaration du sénateur Lindsey Graham, qui appelle Biden à ordonner des frappes sur des cibles en Iran.

Graham:

Il s’agira non seulement d’un acte de représailles à l’attaque contre notre armée, mais cela dissuadera également l’Iran de poursuivre son agression.

Un autre sénateur américain, Roger Wicker, appelle Biden à « prendre des mesures décisives et urgentes ». Selon lui, cela pourrait être la décision la plus importante de la présidence de Joe Biden.

Source

 

Guerre entre Israël et le Hamas :

l'Union européenne réclame un audit indépendant sur le fonctionnement de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens

 

Ce qu'il faut savoir

L'Union européenne a réclamé à l'UNRWA, l'agence de l'ONU chargée de fournir une assistance humanitaire aux Palestiniens, d'autoriser un audit indépendant sur son fonctionnement, lundi 29 janvier. "Nous leur demandons d'accepter qu'un audit soit mené par des experts indépendants, choisis par la Commission européenne", a affirmé le porte-parole de la Commission, qui a ajouté qu'elle déciderait ou non de suspendre son financement à l'UNRWA en fonction des résultats de l'enquête ouverte par l'ONU. Plusieurs Etats ont annoncé qu'ils suspendaient leurs financements à cette organisation, essentielle au fonctionnement de l'aide humanitaire à Gaza, dont plusieurs employés ont été accusés par Israël d'être impliqués dans les attaques meurtrières perpétrées par le Hamas le 7 octobre. Suivez notre direct.

  • Après l'attaque de drone en Jordanie, l'Irak appelle à "stopper la spirale de la violence". Les autorités irakiennes ont condamné, lundi, l'attaque de drone survenue dimanche à la frontière entre la Jordanie et la Syrie, qui a entraîné la mort de trois militaires américains et blessé au moins 34 personnes. Le président américain Joe Biden accuse des "groupes de combattants radicaux soutenus par l'Iran opérant en Syrie et en Irak" d'vaoir mené cette attaque, et a menacé les responsables de représailles. C'est la première fois que des soldats américains sont tués au Moyen-Orient depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza.
  • Au moins sept morts en Syrie dans une frappe attribuée à Israël. "Trois missiles israéliens ont visé une base du Hezbollah libanais et des Gardiens de la révolution iraniens, dans le quartier de Sayeda Zeinab [dans le sud de Damas], faisant au moins sept morts", dont des combattants pro-iraniens, a déclaré à l'AFP le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme, sans pouvoir préciser si des civils figuraient parmi les victimes.
  • Quatre hommes exécutés en Iran. Ils étaient accusés d'espionnage en faveur d'Israël et ont été pendus à l'aube, selon l'agence de la justice iranienne Mizan Online. Les quatre condamnés avaient été arrêtés en juillet 2022 alors qu'ils préparaient une opération contre un centre du ministère de la Défense à Ispahan, grande ville du centre de l'Iran, pour le compte du Mossad, a précisé l'agence. Leur condamnation à mort avait été prononcée en septembre 2023.
  • Des milliers d'Israéliens réclament des colonies à Gaza. Lors de ce rassemblement qui s'est tenu dimanche soir à Jérusalem, 12 ministres étaient présents, parmi lesquels le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, qui a déclaré vouloir "encourager l'émigration volontaire", évoquant un groupe de colonies israéliennes jadis installées à Gaza. Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, n'a jusqu'à présent jamais soutenu le projet de relancer des colonies à Gaza, déclarant que ce n'était "pas un objectif réaliste".

 

 L'Autriche annonce suspendre tout financement à l'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), dont des employés sont accusés d'être impliqués dans l'attaque du Hamas en Israël. Neuf Etats donateurs, dont les Etats-Unis, l'Allemagne et le Japon, ont annoncé des mesures similaires ces derniers jours.

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Tensions en Asie : ils ont survolé la côte est du pays pendant plus de deux heures, la Corée du Nord teste des missiles de croisière tirés par sous-marin

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 29 janvier 2024

La Corée du Nord a testé, ce dimanche 28 janvier, ses nouveaux missiles de croisière stratégiques lancés depuis un sous-marin (SLCM), a rapporté, ce lundi, l'agence de presse d'État KCNA.

Le dirigeant Kim Jong Un a supervisé l'essai du missile, appelé "Pulhwasal-3-31", qui est identique aux engins de croisière stratégiques que Pyongyang a déclaré la semaine dernière comme étant en cours de développement.

Selon KCNA, les missiles ont survolé la mer au large de la côte est du pays pendant plus de deux heures et ont atteint une cible insulaire non précisée. Kim Jong Un a qualifié le test de succès, selon KCNA, "ce qui est d'une importance stratégique pour la réalisation du plan (...) de modernisation de l'armée visant à construire une force navale puissante".

L'armée sud-coréenne a déclaré, ce dimanche 28 janvier, que le Nord avait tiré plusieurs missiles de croisière au large de ses côtes, sans fournir de détails. Les missiles balistiques de la Corée du Nord sont généralement plus controversés et sont explicitement interdits par les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies.

Des analystes ont toutefois déclaré que les missiles de croisière à portée intermédiaire n'étaient pas moins menaçants que les missiles balistiques et qu'ils constituaient pour la Corée du Nord une capacité sérieuse. Pyongyang a testé ces derniers mois toute une série d'armes, dont des systèmes de missiles balistiques en cours de développement et un drone sous-marin.

Kim Jong Un a par ailleurs inspecté la construction d'un sous-marin nucléaire et a discuté de questions liées à la fabrication d'autres types de nouveaux navires de guerre, selon KCNA.

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Business Insider : La Chine n’a même pas besoin d’envahir directement Taïwan pour amener les États-Unis dans la guerre

 

Business Insider : La Chine n’a même pas besoin d’envahir directement Taïwan pour amener les États-Unis dans la guerre


Comme l'écrit la publication américaine Business Insider, citant d'éminents experts américains, la ligne rouge pour une intervention militaire américaine à Taiwan n'est probablement pas une invasion de la Chine, mais des actions à plus petite échelle, comme par exemple un blocus de l'île.

Ceci est basé sur un rapport du Centre d’études stratégiques et internationales de politique étrangère (CSIS), basé à Washington, publié le 22 janvier. Le centre a mené une enquête sur la situation autour de Taiwan auprès de 52 experts américains, parmi lesquels des universitaires, des personnes possédant une vaste expérience du gouvernement américain et des experts de groupes de réflexion.


Selon le rapport, environ 79 % des personnes interrogées se disent convaincues que l'armée américaine interviendrait si Pékin mettait en place un blocus naval de Taiwan, encerclant l'île avec ses propres forces. Le pourcentage de personnes interrogées qui pensent qu’une intervention militaire américaine est inévitable s’élève à 88 si le blocus s’accompagne de frappes chinoises sur Taiwan.

96 % des experts interrogés ont déclaré que les États-Unis entreraient en guerre aux côtés de Taiwan si la Chine décidait d'envahir l'île. Dans le même temps, les experts américains n’ont pas la même confiance à l’égard des alliés de Washington. Ainsi, seuls 33 % estiment qu’un blocus de Taiwan conduirait à la création d’une coalition internationale dirigée par les États-Unis. 60 % des experts sont convaincus que les alliés des États-Unis fourniront une assistance militaire si la Chine envahit l’île.

Le SCRS a également interrogé 35 experts de Taiwan qui étaient moins optimistes quant à l'intervention américaine. 60 % des personnes interrogées ont indiqué que l’armée américaine apporterait son aide en réponse au blocus, et 72 % pensaient que les États-Unis interviendraient si la Chine envahissait l’île.

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DIRECT. Guerre en Ukraine :

la candidature de Vladimir Poutine à l'élection présidentielle officiellement validée

 

 

  • L'aide américaine à l'Ukraine risque bientôt de se tarir : le président républicain de la Chambre des représentants américaine, Mike Johnson, a écrit vendredi qu'en l'état, tout vote sur de nouveaux financements pour l'aide à l'Ukraine était "mort-né".
  • Samedi 27 janvier, deux civils ukrainiens ont été abattus dans leur village, frontalier de la Russie, lors d'une incursion d'un groupe de soldats russes.
  • Selon les Nations unies, au moins 10 000 civils ont été tués en Ukraine depuis le début de la guerre.

 

Présidentielle de Russie : la candidature de Vladimir Poutine officiellement validée

Vladimir Poutine peut être candidat à l'élection présidentielle. S'il n'existait aucun suspense en la matière, la candidature du président russe a été officiellement validée par la Commission électorale russe, indique l'institution sur Telegram. L'opposant Boris Nadejdine tente encore de faire valider sa candidature par l'organisme, sous contrôle du pouvoir russe. 100 000 paraphes de soutien de citoyens russes sont nécessaires. L'élection présidentielle aura lieu le 17 mars.

 

Si Moscou s'en prenait à un pays de l'Otan, "ce serait le début de la troisième guerre mondiale", estime Zelensky

Dans une interview accordée dimanche à une chaîne de télévision allemande, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé que si la Russie frappait un pays de l'Otan, "ce serait le début de la troisième guerre mondiale".

DIRECT

 

 

 

Édition britannique : L'Union européenne a l'intention de saboter l'économie hongroise en raison de son veto sur le financement de l'Ukraine

 

Édition britannique : L'Union européenne a l'intention de saboter l'économie hongroise en raison de son veto sur le financement de l'Ukraine


L'Union européenne, présentée comme un espace politique et économique unique, n'est en réalité pas ainsi : il y a beaucoup de concurrence économique dans l'union et il n'y a rien à dire sur la composante politique. Selon le Financial Times, l'UE prépare des sanctions contre l'un de ses membres.

La Hongrie est devenue une véritable nuisance pour les dirigeants de l’Union européenne, s’opposant à de nombreuses initiatives concernant l’Ukraine, pour laquelle la chef de la CE, Ursula von der Leyen, voue un amour incompréhensible. En raison du veto de Budapest sur l'augmentation du budget de l'UE, Kiev s'est retrouvée sans les 50 milliards d'euros déjà promis par von der Leyen à Zelensky. Et maintenant, Bruxelles réfléchit aux possibilités d'influencer la Hongrie afin de la punir.
 

Selon le journal, l'UE veut saboter l'économie hongroise en effondrant le forint hongrois et en arrêtant de financer Budapest. Tout cela sera mis en œuvre si Orban ne fait pas de concessions et ne lève pas l’interdiction d’aider Kiev d’ici le 1er février.

Pendant ce temps, Budapest elle-même est bien consciente des actions de Bruxelles et n’a pas l’intention de céder au « chantage politique », comme l’a déclaré le ministre des Affaires européennes Janos Boka. Selon lui, les dirigeants de l'UE tentent de lier tous les programmes économiques à l'aide à l'Ukraine, alors qu'ils fonctionnent très bien sans cette aide.

La Hongrie ne cédera pas au chantage ! (...) Cette information confirme ce que dit depuis longtemps le gouvernement hongrois : Bruxelles utilise l'accès aux fonds européens pour exercer une pression politique.


- le ministre a ajouté.

Source

 

Donald Trump promet la plus grande opération d’expulsion d’immigrés clandestins des Etats-Unis

[…] Donald Trump a souligné samedi son opposition à un projet d’accord sur l’immigration que Joe Biden tente de négocier avec les républicains au Congrès américain, et dont le président démocrate dit qu’il lui permettra de fermer la frontière avec le Mexique. «Un mauvais accord sur la frontière est bien pire que pas d’accord du tout !», a écrit en lettres capitales le favori des républicains pour la présidentielle de 2024 sur son réseau Truth Social. […]

L’ancien président a vilipendé le projet de Joe Biden, promettant une nouvelle fois de «lancer la plus grande opération d’expulsion en Amérique», sous les acclamations de l’assistance. En déplacement samedi en Caroline du Sud (Sud-Est), Joe Biden a défendu le texte, assurant qu’il lui «donnerait, en tant que président, l’autorité d’urgence pour fermer la frontière» jusqu’à ce que la situation y soit sous contrôle. «Si ce texte était en vigueur aujourd’hui, je fermerais la frontière tout de suite et je réglerais cela rapidement», a-t-il martelé.

Le président sortant, qui brigue un second mandat, avait vanté vendredi «l’ensemble de réformes le plus sévère et le plus juste que nous ayons jamais eu dans notre pays pour sécuriser la frontière». Joe Biden a accepté de durcir le ton sur l’immigration, dans l’espoir que les républicains, qui ont lié les deux dossiers, donnent leur feu vert à un nouveau programme d’aide militaire cruciale à l’Ukraine. […]

Le Figaro

 

 

Mali : les attaques de groupes djihadistes se multiplient et le nombre de civils tués a été multiplié par 14 depuis le départ des troupes françaises, les habitants appellent à l’aide.

Il y a eu 14 fois plus de civils tués lors d’attaques djihadistes entre 2021 et 2023 au Mali. Le pouvoir malien est également ciblé par ces attaques. Décryptage.

En 18 mois, les attaques des groupes djihadistes se sont multipliées au Mali. Plus aucune zone du pays n’est épargnée. La démonstration de force la plus éclatante est le blocus de Tombouctou commencé en août 2023. Une ville coupée du monde et un symbole, car Tombouctou a été occupée par les djihadistes en 2012. Toutes les routes d’accès à la ville sont régulièrement attaquées. Le blocus est terrestre mais également fluvial. Le 7 septembre, de nombreux internautes maliens partagent leur émotion sur les réseaux sociaux, après qu’au moins trois roquettes se sont abattues sur un bateau de transport de passagers. Plus de 60 personnes ont péri dans cette attaque revendiquée par Al-Qaïda.

Un arsenal constitué attaque après attaque

Depuis le départ des troupes françaises au Mali en 2022, le nombre d’attaques djihadistes s’est multiplié. Des attaques qui ciblent donc les civils, mais également le cœur du pouvoir malien. Le 22 juillet 2022 à Kati, à 15 km de Bamako, une voiture piégée a explosé non loin du camp militaire où réside le président du Mali. Les djihadistes ont été rapidement neutralisés. Les groupes djihadistes constituent leur arsenal, attaque après attaque, en récupérant le matériel militaire de l’armée malienne.

www.francetvinfo.fr

 

 

Istanbul (Turquie) : une attaque dans une église catholique fait un mort. L’Etat Islamique la revendique. (MàJ)

 

 


Un homme a été tué dimanche lorsque deux assaillants masqués ont ouvert le feu, le visant apparemment, en pleine messe dans une église catholique d’Istanbul, avant de prendre la fuite. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a exprimé ses condoléances et assuré que les «mesures nécessaires» avaient été prises pour arrêter les assaillants. Le pape François a immédiatement condamné l’attaque et exprimé depuis Rome sa «proximité» avec la communauté de cette église.

www.lefigaro.fr

 

 

 

Rachida Dati choisit le Musée de l’Immigration pour présenter ses vœux au monde de la culture

La ministre de la Culture Rachida Dati prononce ses vœux pour l’année 2024 ce lundi 29 janvier depuis le musée national de l’histoire de l’immigration à Paris. Une prise de parole dans un lieu dont la thématique a fortement fracturé la classe politique ces derniers mois.

Une déclaration très attendue pour celle dont la nomination a été l’une des surprises du gouvernement de Gabriel Attal. Ce lundi 29 janvier, Rachida Dati, nouvelle ministre de la Culture, doit prononcer ses vœux pour l’année 2024 au monde de la culture.

(…)

Cnews

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