Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
au lendemain du crash d'un avion russe, Kiev et Moscou continuent de s'accuser mutuellement
Un avion militaire russe transportant 74 personnes dont 65 prisonniers de guerre ukrainiens selon Moscou, s'est écrasé hier dans la région de Belgorod. Aucun passager n'a survécu.
Moscou accuse Kiev d'avoir abattu l'avion et dénonce un acte de terrorisme "monstrueux".
Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunit aujourd'hui en urgence à la demande de Moscou.
L'Ukraine affirme ne pas avoir d'informations "fiables" sur les passagers de l'avion. Volodymyr Zelensky a demandé l'ouverture d'une enquête internationale.
L'armée russe a réussi à entrer pour la première fois dans Avdiïvka, mais a été repoussée selon les autorités locales.
11h18.
Kiev promet de continuer à frapper la région de Belgorod
Quelques heures après le crash d'un avion russe transportant selon Moscou 65 prisonniers de guerre russe, l'armée ukrainienne a assuré qu'elle continuera de frapper des cibles militaires en territoire russe, comme elle le fait depuis plusieurs semaines à un rythme soutenu.
10h21.
L'Ukraine dit avoir frappé un site pétrolier en Russie dans la nuit
L'Ukraine a revendiqué une frappe de drones contre un complexe pétrolier du sud de la Russie dans la nuit, site où les autorités russes avaient fait état d'un incendie, selon une source militaire à l'AFP.
Les services de sécurité ukrainiens (SBU) ont frappé une raffinerie de Touapsé, ville située sur les côtes de la mer Noire, et une "unité de traitement de pétrole" a été endommagée, a précisé cette source. Dans la nuit, les autorités régionales avaient annoncé qu'un site pétrolier était en feu à Touapsé, sans expliquer les causes du sinistre. Les flammes avaient été maîtrisées vers 5 heures (3 heures de Paris), et aucune victime n'avait été recensée. La partie russe n'a donné aucune indication quant à l'ampleur des dégâts.
"Le SBU frappe en profondeur en Russie, et va continuer d'attaquer des infrastructures importantes pour l'économie russe et qui fournissent du carburant aux forces russes", a déclaré la source militaire à l'AFP. Après l'échec de sa contre-offensive estivale et confronté à une nouvelle campagne de bombardements russes, l'Ukraine semble multiplier les frappes en territoire russe, visant des sites industriels et militaires. Mais plusieurs de ces attaques ont aussi tué des civils, notamment à Belgorod, ville russe à la frontière avec l'Ukraine.
DECRYPTAGE. Guerre en Ukraine : bientôt un conflit ouvert Otan-Russie ?
Pourquoi une troisième guerre mondiale "n'est pas à exclure"
Alors que la guerre en Ukraine s'inscrit dans la durée, les risques d'un conflit qui déborde en Europe n'ont jamais été aussi grands depuis la guerre froide. Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), répond à nos questions sur les possibilités d'une troisième guerre mondiale.
Le président du comité militaire de l’Otan Rob Bauer avertit qu'il faut se préparer à l’éventualité d’une guerre entre l’Alliance atlantique et la Russie dans les 20 prochaines années. Quel est le but de l'Otan avec ces annonces ?
C’est de la communication ! Il ne faut pas oublier que les pays de l’Otan sont la base arrière de l’Ukraine. On peut même dire que nous sommes en guerre par procuration contre la Russie. Aujourd'hui, la situation est dangereuse, pourtant l’opinion publique n’en est pas vraiment consciente. Elle ne voit pas la guerre et se sent en temps de paix. L'Otan tente ainsi de l'alerter face à un conflit qui dure.
Note ; il reconais que l'Otan est en guerre par procuration contre la Russie, que l'heure est grave, mais il croit que la guerre n'arrivera que dans 20 ans '(il ment) ! ! ! tous les voyants sont au rouge, la guerre est pour cette année, mais d'abords, il va falloir regarder vers Taïwan (je posterai bientôt mes nouvelles recherches sur le livre de l'Apocalypse)
Quels sont les risques d’une guerre qui s’inscrit dans le temps ?
Il va falloir qu’on fasse des efforts sur les livraisons d’armes en Ukraine.Jusqu’à maintenant, nous avons surtout livré nos stocks. Là, nous allons devoir produire. Et tout ça va avoir un coût qu’il faudra, bien entendu, payer. En clair, on va nous demander de l’argent. Récemment, Thierry Breton a lancé l’idée d’un emprunt européen à hauteur de 100 milliards d’euros. Nous sommes dans une situation qui ressemble à celle vécue lors de la crise sanitaire où il a fallu payer la relance. Et tout cet effort financier supplémentaire il faut le justifier, d’où les déclarations de Rob Bauer sur un risque de troisième guerre mondiale. C’est sans doute un peu fort, mais ça reste un moyen pour sensibiliser l’opinion publique.
L’Otan a quand même lancé l'idée d'une "mobilisation citoyenne générale". Ce sont des annonces très anxiogènes qui dépassent la sensibilisation...
Il est évident que nous sommes dans des scénarios de remontée en puissance. La planification de défense de l’Otan (le NDPP) est en train d’être refaite et des contributions de plus en plus importantes vont être demandées aux États membres. Quant à la mobilisation de la population, il y a, effectivement, des réflexions sur la résilience des sociétés. Et c’est d’autant plus vrai quand on se rapproche de la ligne de front comme c’est le cas en Suède ou dans les pays baltes. Là-bas, on commence à préparer la population civile à être en conflit contre la Russie. Dans certains pays européens, on parle même du rétablissement du service national. L’objectif est que, si la situation dégénère, il ne faut pas se retrouver en incapacité de réagir.
C’est ce que nous sommes en train de vivre avec les livraisons d’armes en Ukraine…
Exactement. Les capacités de production des industries de défense et notamment de munitions n’ont pas été capables de suivre la cadence car elles étaient prévues pour le temps de paix. La réflexion qui est donc conduite actuellement sur l’industrie doit être menée sur tout le dispositif de défense. Si jamais il y a un début de conflit, il faut être prêt à pouvoir "switcher" ("changer de niveau d'action"). Or aujourd’hui, la plupart des pays ne le sont pas.
Ce qui explique le lancement cette semaine par l’Otan du plus vaste exercice militaire organisé depuis la fin de la Guerre froide ?
Là nous sommes dans le militaire proprement dit, pas dans la résilience. Ce sont des manœuvres de très grande dimension qui sont adaptées à une crise majeure contre la Russie. C’est un entraînement pour savoir s’ils seront prêts le jour où… Mais il ne faut pas oublier que c’étaient des exercices très fréquents dans les années 70.
Note ; ces forces de l'Otan, basées près des frontières de l'Ukraine, ne serviront jamais, parce que les prédictions disent que les russes utiliseront leurs arsenaux nucléaires contre nos troupes. Ce qui métra en grand danger l'Europe. Plus de munition, les milliers de soldats et d'arme brulés, cela ouvrira les portes de l'Europe aux pays musulmans allié de Poutine. En espérant que je ne me trompe pas en affirment que Poutine finira par changer de camps.
Récemment, le ministre allemand de la Défense s'est montré très alarmiste en évoquant un conflit dans les 4 à 5 prochaines années.
Il y a une réflexion qui agite aujourd’hui l’Allemagne, mais pas seulement. Certains pays européens se disent que le conflit pourrait bientôt s’arrêter, que la Russie en profiterait pour reconstituer ses capacités de défense et industrielles et qu’il va falloir se préparer à un conflit majeur en 2028. Sans oublier que si Donald Trump revient au pouvoir, il y a un risque très fort que les Européens se retrouvent seuls en première ligne. À ce moment, ce qui était encore considéré comme non crédible va rapidement prendre de l’importance, c’est-à-dire la question de la dissuasion nucléaire française.
Note : Les "spécialistes" européens évitent de dire que la Russie se réarme très vite (voir article plus bas), qu'elle n'a pas le même problème que l'Otan, ce qui fait qu'elle va profiter de la faiblesse de l'Ukraine pour contre-attaquer cette année, ce qui va mettre en rogne l'Otan (lire l'article suivent)
"dissuasion nucléaire française ou pas", la Russie ayant perdu beaucoup de soldats en Ukraine, elle n'aura d'autre choix que d'utiliser l'arme nucléaire, lorsque l'Otan deviendra trop menaçante, sûrement par rapport à l'avancée des russes en Ukraine. Je ne pense pas que la Russie va être la première à attaquer l'Otan, c'est l'Otan qui va faire une provocation dangereuse (envoie de soldats sur le terrain, ou donner a l'Ukraine des armes destructive pour attaquer la Russie) qui va pousser la Russie à frapper vraiment très fort.
Un tel scénario est-il réellement plausible ?
Il faut se préparer à une telle éventualité, mais ça ne veut pas dire que ça va arriver. Ça correspond à un scénario où on se retrouverait avec un gel de la ligne de front, et sans accord de paix. Ceci rendra impossible la maîtrise du désarmement ou l’établissement d’un accord de sécurité en Europe. Conséquence, il faut se préparer au conflit suivant. Mais ça ne veut pas dire, encore une fois, qu’il aura lieu. C’est ce qu’on a vécu pendant la Guerre froide.
Quels seraient les signes annonciateurs d’un conflit qui se généraliserait ?
Je ne pense pas que le conflit se déclenche avec une attaque majeure car il faudrait quand même que Vladimir Poutine s’attaque directement à l’Otan. Mais il pourrait se dire qu’il y aurait une fenêtre de tir, si jamais il n’y a pas de garantie de sécurité américaine. Dans ce cas, il tentera de déstabiliser les pays du Nord et les pays baltes, soit avec des politiques de migration forcée, soit en prenant appuie sur les minorités pour menacer d’intervenir. Ça prendra au début la forme d’une guerre hybride.
Pas de guerre totale alors ?
Pas au départ, mais au point d’arrivée on peut se retrouver avec une arme nucléaire sur Paris. C’est vraiment une situation dangereuse. Le risque d’un engrenage qu’on ne contrôle pas est réel, on ne peut pas l’écarter. Il faut s’y préparer !
C’est le retour de la Guerre froide ?
C’est certain que nous avons changé d’époque. Il y a quelque chose d’irréversible dans ce qui s’est passé avec la Russie. Politiquement, ça va être extrêmement difficile de revenir à une situation apaisée, à une architecture de sécurité paneuropéenne avant plusieurs années.
Chef du renseignement russe : la défaite imminente de l’Occident en Ukraine augmente les risques de provocations contre la Russie
MOSCOU (Sputnik) - La probabilité que l'Occident, perdant en Ukraine, organise de nouvelles provocations contre la Russie est très élevée, mais elles n'auront pas d'effet durable, car les mensonges sont aujourd'hui détectés rapidement, selon le Service russe de renseignement extérieur ( SVR) Le directeur Sergueï Narychkine a déclaré à Spoutnik.
"Aujourd'hui, alors que l'Occident est en train de perdre sur le sol ukrainien, la probabilité de commettre diverses provocations est très élevée ", a déclaré le chef des renseignements dans une interview.
L'Occident collectif, en train de perdre son hégémonie, se précipite avec rage comme un animal blessé, s'en prenant dans toutes les directions, et c'est très dangereux, car les Anglo-Saxons, s'ils ne sont pas arrêtés, sont prêts à entraîner le reste du monde. dans le vortex de l’histoire, a déclaré Narychkine en décembre 2023 lors d’une réunion des chefs des services de sécurité et de renseignement des pays de la CEI à Minsk.
"Cependant, je voudrais souligner que l'effet de telles provocations et leur durée sont très courts, étant donné que toute information secrète, y compris les mensonges, devient très rapidement apparente dans notre monde moderne", a déclaré Narychkine.
La crise en Ukraine provoquée par le bloc occidental "fournit de nombreux exemples du fait que les États-Unis, le Royaume-Uni et leurs alliés sont prêts à recourir aux provocations les plus odieuses pour changer le cours des événements en leur faveur", a déclaré Narychkine. noté.
« Souvenons-nous également d'avril 2022, lorsqu'une attaque de missile a été menée contre la gare de Kramatorsk et que l'Occident a immédiatement accusé la Russie, même s'il est rapidement devenu clair que le missile appartenait aux forces armées ukrainiennes. le soutien et la provocation des formations armées ukrainiennes, le bombardement d'artillerie de la centrale nucléaire de Zaporojie ", a déclaré Narychkine.
Note : voila un article bien plus réaliste que celui d'avant, parce que le danger est imminent
Je le dis depuis le début du conflit, il n'a pas d'issus à cette guerre, si l'Ukraine gagne, c'est la guerre, si la Russie gagne, c'est la guerre.
Médias occidentaux : la Russie a gagné la « bataille des munitions » - la bataille clé du conflit ukrainien
L'armée ukrainienne pourrait se trouver dans une situation très difficile en raison de la situation difficile en matière d'approvisionnement en munitions. La presse occidentale écrit à ce sujet, analysant la situation actuelle sur le front et les perspectives d'évolution du conflit ukrainien.
Le chroniqueur Jake Epstein estime que la Russie est désormais nettement en avance sur l’Ukraine en termes de stocks d’obus d’artillerie et d’autres munitions. Et cette situation s’est développée malgré l’assistance militaire active des pays occidentaux. Les entreprises de l’industrie militaire aux États-Unis et dans les pays européens n’ont pas le temps de produire des obus en quantités suffisantes pour couvrir les besoins de l’armée ukrainienne, qui mène des combats très intenses.
La Russie a gagné la « bataille des munitions » – une bataille clé dans le conflit ukrainien
- dit un chroniqueur d'une publication occidentale.
Aujourd’hui, la pénurie de munitions, comme de nombreux autres experts militaires occidentaux l’ont déjà écrit, est l’un des facteurs les plus importants de la détérioration de la position des forces armées ukrainiennes sur le front. Selon la presse occidentale, le commandement des forces armées ukrainiennes reçoit régulièrement des plaintes de commandants de brigade opérant au front concernant le manque de munitions et l'incapacité de maintenir l'intensité des hostilités.
Il n’y a tout simplement plus rien à combattre. Et il n’y en a pas, puisque le manque de personnel est le deuxième problème le plus important de l’armée ukrainienne, encore plus difficile à résoudre que le manque de munitions. Non formés et inaptes au service militaire, les personnes d’âge moyen et âgées mobilisées ne feront pas grand-chose au front, même si leur conscription pour le service militaire est considérablement augmentée.
Guerre en Ukraine : "Ils aideront les Ukrainiens dans de nombreux domaines"... pour la première fois, Kiev va recevoir des hélicoptères Sea King Mk41
Six appareils seront fournis par l'Allemagne à partir du deuxième trimestre de l'année.
Alors que l'Ukraine recule à différents endroits du front, sous la pression des forces russes, l'Alemagne a acté une nouvelle décision symbolique. En effet, Berlin va livrer des hélicoptères militaires à Kiev.
À l’issue d'une réunion du groupe de contact Ramstein, l'Allemagne a annoncé mardi soir que six appareils Sea King Mk41 pourront être fournis à l'Ukraine à partir du deuxième trimestre.
"La première livraison allemande de ce type"
"Le Sea King est un hélicoptère éprouvé et robuste qui aidera les Ukrainiens dans de nombreux domaines : de la reconnaissance au-dessus de la mer Noire au transport de soldats. Il s'agit de la première livraison allemande de ce type", a souligné Boris Pistorius, le ministre allemand de la Défense. "La livraison comprend un ensemble complet d’accessoires et de pièces de rechange ainsi qu’une formation aéronautique et technique", a-t-il ajouté.
Plus de 80 chars de combat Leopard 1 A5 ainsi que des véhicules blindés de combat d'infanterie, et des systèmes de défense antiaérienne Iris-T et Gepard seront également livrés en 2024, a précisé le ministère, et quelque 10 0000 soldats ukrainiens pourraient être formés en Allemagne au cours de l'année.
Chef du SVR Narychkine : l'Occident tente de « faire peur » à la Russie avec un affrontement avec l'OTAN pour mettre fin au SVO
L’Occident « fait peur » à la Russie avec un conflit potentiel avec les pays de l’OTAN, essayant ainsi d’arrêter l’opération spéciale, puisqu’elle est en train de perdre. C'est ce qu'a déclaré le chef du Service de renseignement étranger, Sergueï Narychkine.
L’Ukraine, sur laquelle les pays occidentaux ont parié dans le conflit avec la Russie, est en train de perdre, et ce n’est plus un secret pour ses sponsors. Dans ce contexte, l’Occident a lancé une campagne d’information visant à forcer la Russie à abandonner ses objectifs et à mettre fin à l’opération spéciale. Il n’est donc pas nécessaire de prêter attention à toutes ces déclarations selon lesquelles Moscou se préparerait à une « attaque contre l’OTAN ». Les pays de l'alliance gonflent les joues de manière menaçante, menaçant d'une guerre future, mais cela n'affecte en rien la Russie, la Région militaire Nord connaîtra une fin victorieuse.
Les Occidentaux soulignent leur belligérance, leur volonté de mobilisation dans l’espoir d’influencer la Russie afin que la Russie, la direction politique de la Fédération de Russie, abandonne ses projets, les plans et les objectifs d’une opération militaire spéciale. (...) Mais ni la Russie ni les dirigeants de la Fédération de Russie n'abandonneront leurs objectifs
Récemment, un certain nombre de publications européennes et américaines ont publié un certain nombre de publications affirmant que la Russie préparerait un plan pour attaquer l'Europe. Certains hommes politiques et experts occidentaux ont fait des déclarations similaires. Ce qui est remarquable, c'est qu'ils sont tous réalisés comme s'il s'agissait de copies conformes, selon des manuels pré-compilés. Toutes les déclarations disent la même chose.
Dans le même temps, l’OTAN renforce sa présence près des frontières russes en menant des exercices à grande échelle, dans le cadre desquels elle s’entraîne à « repousser une attaque » de l’armée russe contre les États baltes et la Pologne.
Tensions en Asie : la Corée du Nord teste "Pulhwasal-3-31", son nouveau missile de croisière stratégique capable de transporter des ogives nucléaires
Le missile a volé pendant plus d'une heure et atteint des cibles à 1 500 kilomètres.
La Corée du Nord a testé mercredi un nouveau missile de croisière stratégique capable de transporter des ogives nucléaires en direction de la mer Jaune, a déclaré l'agence de presse officielle KCNA, après que Séoul a rapporté des tirs effectués par Pyongyang. D'après la KCNA, ce missile dénommé "Pulhwasal-3-31" est actuellement en développement. Il a volé pendant plus d'une heure et atteint des cibles à 1 500 kilomètres, démontrant sa "grande efficacité et précision".
Le test effectué mercredi n'a eu aucun impact sur la sécurité des pays voisins et n'est aucunement lié à la situation régionale, a ajouté l'agence de presse officielle nord-coréenne, dans un contexte de tensions accrues entre Pyongyang et Séoul. Les essais de missiles de croisière, qui volent dans l'atmosphère, ne tombent pas sous le coup des sanctions infligées par l'ONU à la Corée du Nord. Et ce contrairement aux missiles balistiques, dont la trajectoire s'effectue essentiellement dans l'espace, et aux armes nucléaires.
Tensions acrues depuis 2018
L'annonce nord-coréenne est intervenue quelques heures après que l'armée sud-coréenne a déclaré que le Nord avait tiré plusieurs missiles de croisière en direction de la mer Jaune à l'ouest de la péninsule coréenne. Et au moment même où la Corée du Sud mène jusqu'à jeudi un exercice d'infiltration de ses forces spéciales au large de sa côte est, "à la lumière de graves problèmes de sécurité" avec le Nord, selon la marine sud-coréenne.
Les tensions entre les deux Corées se sont fortement aggravées ces derniers mois. Les deux pays ennemis ont renoncé à des accords conclus en 2018 pour prévenir les incidents armés, renforcé les moyens militaires à la frontière et procédé à des exercices d'artillerie à munitions réelles près du territoire de l'autre.
La Corée du Nord dispose déjà de trois types de missiles de croisière stratégiques.
Actuellement, la République populaire démocratique de Corée (RPDC) dispose de trois missiles de croisière stratégiques, dont le missile Fire Arrow-3-31 (Pulhwasar-3-31). Le dernier missile est en cours de développement, mais ses tests ont déjà eu lieu.
Le premier des trois missiles en question est le Strela-1, le deuxième est le Strela-2. Aujourd'hui, l'Agence centrale de presse coréenne (KCNA) a annoncé le lancement réussi du missile de croisière stratégique Fire Arrow-3-31.
Aujourd'hui, le pays travaille très activement à la modernisation des armes de l'Armée populaire coréenne (KPA). Tout d'abord, l'attention est portée aux armes de missiles en tant qu'instrument principal de dissuasion contre les adversaires de la RPDC - les États-Unis et leurs satellites régionaux représentés par la Corée du Sud et le Japon.
La présence d’un impressionnant arsenal de missiles en RPDC est l’un des principaux facteurs qui dissuadent les ennemis de cet État de mettre en œuvre leurs plans agressifs contre Pyongyang, ce qu’ils ont certainement fait.
L'armée nord-coréenne teste régulièrement différents types d'armes de missiles, ce qui inquiète particulièrement les voisins du pays comme la Corée du Sud et le Japon. Ces pays parlent constamment des risques pour leur sécurité dus aux actions de la RPDC, mais pour une raison quelconque, ils estiment que la Corée du Nord ou la même Chine ne devraient pas voir de risques en présence de milliers de contingents militaires américains bien armés. les territoires japonais et sud-coréens.
L'armée chinoise escorte un destroyer américain transitant par le détroit de Taiwan
BEIJING (Sputnik) - L'armée chinoise a escorté et surveillé l'USS John Finn qui a traversé mercredi le détroit de Taiwan tout au long de son parcours, a déclaré Shi Yi, porte-parole du commandement du théâtre oriental de l'Armée populaire de libération de Chine (APL).
La 7e flotte américaine a déclaré mercredi que l'USS John Finn avait transité par le détroit de Taiwan le 24 janvier pour démontrer « l'engagement des États-Unis à faire respecter comme principe la liberté de navigation pour toutes les nations ».
"Le commandement du théâtre oriental de l'APL, conformément à la loi et aux réglementations, a organisé des forces pour escorter et surveiller le navire de guerre américain tout au long de son parcours", a déclaré Shi dans un communiqué publié sur le réseau social chinois WeChat.
Récemment, les forces américaines ont « mené à plusieurs reprises des actions provocatrices et porté atteinte de manière malveillante à la paix et à la stabilité régionales », indique le communiqué.
L'armée chinoise maintient un niveau élevé de préparation au combat pour protéger la souveraineté et la sécurité du pays ainsi que la stabilité régionale, a ajouté le porte-parole.
Taiwan est gouvernée indépendamment de la Chine continentale depuis 1949. Pékin considère l’île comme sa province, tandis que Taiwan – un territoire doté de son propre gouvernement élu – maintient qu’il est un pays autonome mais ne déclare pas son indépendance. Pékin s'oppose à tout contact officiel d'États étrangers avec Taipei et considère comme incontestable la souveraineté chinoise sur l'île.
le bilan des tirs contre un refuge de l'ONU à Khan Younès s'élève à 13 morts
Ce qu'il faut savoir
Les tirs contre un refuge de l'ONU abritant des personnes déplacées de la bande de Gaza ont fait au moins 13 morts et 56 blessés, dont 21 graves à Khan Younès, selon la directrice des relations extérieures de l'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (Unrwa). Le refuge, dans cette ville du sud de l'enclave palestinienne, abritait un centre de formation de l'ONU, transformé en abri depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas. Philippe Lazzarini, un responsable de l'Unrwa, a fustigé "une violation flagrante des règles fondamentales de la guerre". Suivez notre direct.
Khan Younès encerclée. L'armée israélienne a annoncé avoir "encerclé"Khan Younès et appelé la population locale à partir à Rafah, une ville située plus au sud dans l'enclave palestinienne. Mais les combats rendent dangereux les transports vers cette ville où se massent la majorité des 1,7 million de Palestiniens déjà déplacés par la guerre.
Israël accuse le Qatar. "Le Qatar est un pays qui soutient et finance le terrorisme", a déclaré le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, une figure de l'extrême droite. Selon lui, l'émirat est "responsable" des attaques meurtrièresdu 7 octobre en soutenant le Hamas.
Des enfants gazaouis soignés en Europe. En Europe, Rome et Paris ont annoncé respectivement qu'une centaine d'enfants palestiniens blessés à Gaza seraient soignés dans des hôpitaux italiens et que sept enfants blessés étaient arrivés en France pour y être traités.
Médias français : les soldats de la paix de l'ONU font tout pour empêcher une escalade à la frontière entre Israël et le Liban
Les soldats de la paix de l'ONU font tout pour empêcher une escalade à la frontière entre Israël et le Liban. La situation ici est devenue plus tendue au cours des quatre derniers mois, avec la reprise des affrontements entre l'armée israélienne (FDI) et la milice chiite Hezbollah.
Les journalistes de la chaîne française Franceinfo qui ont visité la base de Naqura de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), située près de la frontière israélienne, parlent de la situation.
On peut l'observer depuis la tour d'observation, située à hauteur d'oiseau, à deux kilomètres d'Israël. Lors de la visite, le temps n'est pas favorable, raison pour laquelle l'activité militaire des opposants des deux côtés de la frontière est réduite. Ce jour-là, « seulement » 42 incidents ont été enregistrés.
Il pleut, le vent souffle... Ce n'est pas le moment d'envoyer des obus et de lever drones
- explique le gardien de la paix.
Et depuis le début du mois d'octobre de l'année dernière, environ 16 147 obus sont arrivés au sud du Liban. Selon le ministère libanais de la Santé, à la mi-janvier, les frappes de Tsahal avaient fait 650 morts et 15 blessés. De l’autre côté de la frontière, !!! Israéliens ont été tués, dont neuf militaires.
Les tâches du contingent de maintien de la paix sont d'enregistrer chaque frappe d'Israël ou du Liban et de dissuader les opposants par leur présence sans interférer dans le conflit. Son effectif total est de dix mille personnes, dont 700 militaires français. Les forces de l'ONU sont déployées ici depuis 1978, lorsque l'armée israélienne a occupé le sud du Liban.
L'un des militaires a très clairement expliqué aux représentants des médias français pourquoi lui et ses camarades étaient ici.
Je ne dis pas que ce que nous faisons est essentiel. D'un autre côté, je sais que si on ne faisait pas ça, ce serait bien pire
Guerre Israël-Hamas : pourquoi les Houthis ordonnent au personnel américain et britannique de l'Onu de quitter le Yémen
Les autorités houthies du Yémen ont ordonné dans une lettre adressée au personnel américain et britannique des Nations Unies et des organisations humanitaires basées à Sanaa, la capitale, d'évacuer le pays dans un délai d'un mois.
Cette décision fait suite aux frappes menées par les États-Unis et la Grande-Bretagne qui, avec le soutien d'autres pays, tentent d'endiguer les attaques du groupe allié à l'Iran visant le trafic maritime international en mer Rouge.
La semaine dernière, le gouvernement américain a également réinscrit les Houthis sur sa liste de groupes terroristes. Les Houthis ont déclaré que leurs attaques s'inscrivaient dans le cadre de la solidarité avec les Palestiniens, alors qu'Israël bombarde la bande de Gaza. "Le ministère (...) tient à souligner que vous devez informer les fonctionnaires et les travailleurs de nationalité américaine et britannique qu'ils doivent se préparer à quitter le pays dans les 30 jours", indique une lettre envoyée par le ministère des Affaires étrangères des Houthis au coordinateur humanitaire par intérim de l'Onu au Yémen, Peter Hawkins.
La lettre ordonne également aux organisations étrangères de ne pas embaucher de citoyens américains et britanniques pour les opérations au Yémen. Le principal négociateur des Houthis, Mohammed Abdulsalam, a confirmé l'authenticité de la lettre à Reuters. Le bureau de Peter Hawkins, lui-même de nationalité britannique, n'a pas répondu dans l'immédiat à une demande de commentaire.
L'ambassade des États-Unis a déclaré dans un communiqué être au courant des informations concernant la lettre, mais qu'elle "ne peut pas parler au nom de l'Onu ou des organisations humanitaires au Yémen sur ce qu'elles ont pu recevoir de la part des 'autorités' houthies". L'ambassade britannique a déclaré être en contact étroit avec l'Onu à ce sujet et que le personnel n'avait pas encore reçu d'ordre de partir. "Les Nations unies fournissent une aide vitale au peuple yéménite en empruntant les voies maritimes que les Houthis mettent en péril", a déclaré l'ambassade britannique au Yémen dans un communiqué. "Rien ne devrait être fait pour entraver leur capacité à fournir cette aide", a-t-elle ajouté.
Le mouvement houthi contrôle la majeure partie du Yémen après près d'une décennie de guerre l'opposant à une coalition soutenue par les États-Unis et dirigée par l'Arabie saoudite.
Elections européennes : L’extrême-droite pourrait arriver en tête dans 9 pays, passer de 18 à 25% du parlement, et par conséquent, participer à une coalition de gouvernement
25/01/2024
(…)
Fondé en 2007, l’ECFR se veut le premier centre de recherche et d’influence pan-européen. D’après l’analyse du think tank, “9 Etats membres sur 27 pourraient voir la droite radicale ou l’extrême droite l’emporter aux prochaines européennes : Belgique, France, Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Autriche, Pays-Bas, Italie, Hongrie” [RTBF]. “Ils devraient également arriver en deuxième ou troisième position dans neuf autres pays”, ajoute Euronews.
(…)
A l’issue du scrutin qui se déroulera du 6 au 9 juin dans l’Union, la donne est amenée à changer. “Les auteurs de l’étude […] ont recueilli les sondages d’opinion les plus récents dans chaque Etat membre de l’UE”, indique Le Soir. “Leurs projections sont sans appel : les deux principaux groupes politiques du Parlement européen – le PPE (droite) et S&D (socialistes) – continueront à perdre des sièges, comme lors des deux dernières élections” de 2014 et 2019. D’après les projections de l’ECFR, à l’issue du scrutin de juin, le Parti populaire européen passerait de 179 à 173 députés (6 sièges en moins), tandis que les sociaux-démocrates en auraient 10 de moins qu’actuellement (131 contre 141 aujourd’hui).
“Rien de réjouissant pour le parti centriste Renew […] ou pour le groupe des Verts/ALE qui perdront également des plumes”, poursuit le journal belge. Les premiers passeraient de 100 à 86 sièges (14 députés en moins), tandis que les seconds obtiendraient 61 sièges, contre 71 aujourd’hui (-10). Le groupe La Gauche (GUE/NGL) passerait lui de 38 à 44 sièges (+6), tandis que les députés non-inscrits seraient en baisse, passant de 50 à 42 (-8).
“Les pertes des uns seront les gains des autres”, écrit La Libre. Selon les projections du think tank européen, les deux groupes eurosceptiques et nationalistes qui siègent au Parlement européen devraient sortir renforcés de cette élection. “Le groupe de droite radicale Identité et Démocratie (ID), dont fait partie le Rassemblement national, pourrait ainsi passer de 58 à 98 sièges, et s’imposer comme la troisième force du Parlement”, au détriment de Renew Europe, explique Le Figaro. “Les Conservateurs et réformistes européens (ECR) qui abritent entre autres le PiS polonais, les Fratelli d’Italia de Giorgia Meloni, les néo-franquistes de Vox et la N-VA, obtiendraient pour leur part 85 sièges contre 67 aujourd’hui”, ajoute La Libre.
(…)
“Cette poussée de l’extrême droite pourrait permettre à une coalition composée de démocrates-chrétiens, de conservateurs et de l’extrême droite radicale de réunir une majorité et de diriger la politique de l’UE pour la première fois”, fait observer Euronews. La nouvelle coalition, qui remplacerait la grande coalition actuelle des groupes centristes, est “susceptible de s’opposer à une action ambitieuse de l’UE pour lutter contre le changement climatique” et de freiner la transition verte de l’Union, prévient le rapport.
Note ; les européens commence à se réveiller, mais bien trop tardivement.
Évreux (27) : ouverture du plus grand hypermarché ethnique de France, qui ne propose que de la viande halal et ne vend pas d’alcool (MàJ : l’intermarché remplacé avait été pillé et saccagé en juillet. Ces émeutes auront contribué à sa liquidation)
24/01/2024
Nancy : une quinzaine de jeunes, pour la plupart âgés de 12 ans, sèment le chaos dans le centre-ville et attaquent des commerces; un client et des restaurateurs les prennent en chasse
24/01/2024
TAPAGE – Un groupe d’une quinzaine d’ados a semé le désordre dans le centre de Nancy. Un client et des restaurateurs les ont pris en chasse, avant que la police n’interpelle une partie des fuyards
Ils ont dans les 12 ans et mettent déjà le waï au resto. Samedi, une quinzaine d’ados ont semé le désordre en début de soirée devant deux restaurants du centre de Nancy. L’un d’eux a provoqué des clients, pris la planche en bois présentant le menu d’un établissement et l’a utilisé pour taper sur la porte et la devanture des commerces, rapporte L’Est Républicain.
Une attitude qu’un client n’a pas appréciée. Le ton est monté avec le petit groupe et les jeunes ont pris la fuite, poursuivis par le client, très mécontent, qui finalement a chuté un peu plus loin. Au menu de la victime, une blessure au genou et des douleurs au niveau des côtes.
Un restaurateur ainsi qu’un de ses collègues ont également essayé de rattraper les fuyards, en vain, précisent nos confrères. Quatre patrouilles de police sont finalement parvenues à intercepter six des jeunes ados, âgés d’une douzaine d’années.
La présidente tanzanienne veut renvoyer plus de 250 000 réfugiés dans leur pays d’origine. Elle évoque le coût économique et la menace sécuritaire
24/01/2024
La présidente tanzanienne Samia Suluhu a annoncé lundi 22 janvier sa volonté de renvoyer dans leur pays d’origine les plus de 250 000 réfugiés présents sur le sol tanzanien. Si officiellement, ces réfugiés doivent partir volontairement, la pression sur eux est de plus en plus forte.
Samia Suluhu Hassan a fait part de sa volonté de renvoyer tous les réfugiés qui sont sur le sol tanzanien il y a deux jours à Dar es-Salaam, au cours d’une rencontre avec le haut commandant de la TDF, l’armée tanzanienne, qui venait de le lui demander. « En tant que chef de l’État, j’ai pris en compte votre recommandation d’identifier tous les réfugiés résidant en Tanzanie, (…) afin que nous puissions voir comment nous pouvons les renvoyer dans leur pays d’origine », a déclaré la présidente de Tanzanie.
Le pays abritait en juin 2023, selon les chiffres du Haut-Commissariat de l’ONU (HCR) plus de 250 000 réfugiés, dont les deux tiers ont fui le Burundi depuis la crise de 2015. Le reste est constitué essentiellement de réfugiés congolais en provenance de l’est de la RDC, en proie à des violences armées récurrentes.
Depuis quelques années, la Tanzanie estime que ces réfugiés lui pèsent de plus en plus économiquement et pourraient constituer une menace sécuritaire : elle veut donc les voir partir. Mais toutes les campagnes imposées en vue d’un retour volontaire ou les restrictions de toutes sortes n’ont pas réussi à convaincre les réfugiés, surtout les Burundais, à retourner massivement dans leur pays d’origine.
Même si Samia Suluhu accuse le HCR de ne pas être à la hauteur de sa mission, elle a promis à son armée lundi 22 janvier de continuer de « travailler » avec l’organisation onusienne. Elle compte surtout sur « le dialogue politique » avec les pays concernés, dit-elle, pour résoudre cette question.
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