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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 18 janvier 2024

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT :

L’armée de Kiev est confrontée à une « pénurie de munitions » ...

 

 

L’ESSENTIEL

  • Le ministre ukrainien de la Défense, Roustem Oumerov, a annulé sa visite prévue ce jeudi en France « pour des raisons de sécurité », a annoncé le ministère français des Armées. Il participera toutefois ce matin en visioconférence, avec son homologue français Sébastien Lecornu, au lancement à Paris d’une « coalition artillerie » qui vise à renforcer les capacités de Kiev face à la Russie.
  • Joe Biden a fait venir mercredi à la Maison-Blanche les chefs du Congrès pour les presser de poursuivre l’aide américaine à l’Ukraine, pour l’heure interrompue faute d’accord entre parlementaires républicains et démocrates sur une rallonge financière.
  • La France va livrer « dans les prochaines semaines » six canons automoteurs Caesar à Kiev et assure pouvoir en produire 72 autres en un peu plus d’un an destinés à l’Ukraine.

 

14h17 : L’armée ukrainienne est confrontée à une « pénurie de munitions »

 

14h08 : La Russie revendique la prise d’une petite localité dans l’Est de l’Ukraine

L’armée russe a revendiqué la prise d’une toute petite localité dans la région de Donetsk, dans l’Est de l’Ukraine, illustrant la pression accrue exercée par les forces de Moscou sur le front depuis plusieurs semaines.

« Dans la zone de Donetsk, les opérations actives menées par les unités du groupe "Sud" ont permis de libérer le village de Veseloïe », a indiqué le ministère russe de la Défense dans son bulletin quotidien des opérations en Ukraine.

 

10h47 : La France prête à financer 12 nouveaux canons Caesar

Ces douze Caesar représentent un investissement de 50 millions d'euros. « Il restera 60 canons à financer, c'est le message que je passe à l'ensemble de nos alliés », a déclaré Sébastien Lecornu lors du lancement à Paris de la « coalition artillerie », une cérémonie à laquelle assistent son homologue ukrainien par visioconférence et 23 nations alliées de l'Ukraine.

 

6h55 : La France pourra produire 78 Caesar en un peu plus d’un an pour l’Ukraine

Paris va livrer « dans les prochaines semaines » six canons automoteurs Caesar à Kiev et assure pouvoir en produire 72 autres en un peu plus d’un an destinés à l’Ukraine, a indiqué mercredi le ministère français des Armées. « Grâce aux efforts de l’économie de guerre, la France a la capacité de produire en 2024 et début 2025 78 Caesar fléchés pour l’Ukraine », a fait savoir le ministère.

 

6h50 : Le ministre ukrainien de la Défense annule sa visite en France

Le ministre ukrainien de la Défense, Roustem Oumerov, a annulé sa visite prévue ce jeudi en France « pour des raisons de sécurité », a annoncé mercredi soir le ministère français des Armées. Il participera toutefois ce matin en visioconférence, avec son homologue français Sébastien Lecornu, au lancement à Paris d’une « coalition artillerie » qui vise à renforcer les capacités de Kiev face à la Russie.

Cette coalition, pilotée par la France et les Etats-Unis, est l’un des volets du groupe de contact pour la défense de l’Ukraine dit groupe de Ramstein, réunissant plus de 50 pays soutenant Kiev.

DIRECT

 

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : la France va livrer "3.000 obus par mois" et 78 canons Caesar à l'Ukraine cette année

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 18 janvier 2024

Paris souhaite partager la facture avec ses partenaires européens et ses alliés.

La France va produire cette année 78 canons Caesar pour l'armée ukrainienne, dont Paris souhaite partager la facture avec ses partenaires européens et ses alliés, a déclaré jeudi le ministre des Armées. Sébastien Lecornu a précisé sur France Inter que cette initiative était rendue possible par le fait que Nexter, qui fabrique le Caesar, a réduit depuis le début de la guerre en Ukraine le temps de production de ses canons de 30 à 15 mois.

"Il y en a actuellement 49 en Ukraine, qui ont permis des succès tactiques. Notre initiative vise à produire 78 canons Caesar en 2024, en incitant les Européens et nos alliés à se partager cette facture", a déclaré Sébastien Lecornu dans une interview publiée par Le Parisien. Pour amorcer cette initiative, "l'Ukraine vient d'acheter 6 Caesar sur fonds propres", a rappelé le ministre des Armées.

Fleuron de l'artillerie française, le canon automoteur à longue portée Caesar coûte entre trois et quatre millions d'euros, a précisé Sébastien Lecornu, un coût qu'il a jugé "supportable" pour les alliés de Paris alors que "la logique de cession de matériels prélevés sur les stocks des armées touche à sa fin"

"3 000 obus par mois"

Sébastien Lecornu a par ailleurs indiqué que la livraison à l'Ukraine de la quarantaine de missiles de croisière SCALP supplémentaires promis par le président Emmanuel Macron débuterait prochainement et se poursuivrait tout au long de l'année, selon un calendrier qu'il n'a pas souhaité préciser.

Le ministre a également indiqué qu’à compter de janvier 2024, Paris va livrer une cinquantaine de missiles chaque mois jusqu’à la fin de l’année. "Entre février 2022 et fin 2023, c'était 2000 obus par mois" livrés par la France à l’Ukraine, "à partir de janvier, ce sera 3000 obus par mois", a fait savoir Sébastien Lecornu.

Source

 

Note ; la France continue de se dépouiller pour armer l'Ukraine (alors qu'elle n'a maintenant plus aucune chance de l'emporter sur la Russie et que ce conflit engendré par d'autre  ne nous regarde pas)

 

 

Général français : l'Europe n'a pas assez de missiles anti-aériens à transférer en Ukraine

 

Le 17 janvier 2024

Général français : l'Europe n'a pas assez de missiles anti-aériens à transférer en Ukraine


L’Europe ne peut rien faire pour aider l’Ukraine à renforcer sa défense aérienne ; les pays de l’OTAN ne disposent tout simplement pas du nombre nécessaire de missiles anti-aériens pour cela. C'est ce qu'a déclaré le général à la retraite de l'armée de l'air française Patrick Dutartre.

Le général français, s'exprimant sur la chaîne de télévision LCI, a souligné que la Russie avait mené de nombreuses attaques de missiles contre l'Ukraine, épuisant ainsi sa défense aérienne. Kiev demande l’aide des pays de l’OTAN, mais ils ne peuvent pas l’aider car ils ne disposent pas de missiles anti-aériens. Selon Dutartre, l’Europe n’a pas accordé suffisamment d’attention à la défense aérienne depuis longtemps, dont l’Ukraine paie aujourd’hui le prix.

Il y a eu de nombreuses attaques du côté russe utilisant des missiles et drones, ils doivent être interceptés par la défense aérienne. Mais le problème est simplement que nous avons manqué de défense aérienne en Europe et même au sein de l'OTAN (...) Il n'y a pas assez de missiles sol-air, et pas seulement en Ukraine, mais dans toute l'Europe et dans tous les pays de l'OTAN.

- a déclaré le général.

Selon lui, après la fin de la guerre froide, l'Europe croyait en une « paix longue » et « croyait sacrément » que l'OTAN n'avait plus d'adversaires et que la défense aérienne n'était donc pas nécessaire. Désormais, il ne sera plus possible d'établir rapidement la production de missiles anti-aériens, ce sont des produits très coûteux.

Auparavant, des sources ukrainiennes avaient noté qu'après les dernières attaques massives de missiles russes, la défense aérienne ukrainienne s'était sensiblement affaiblie, les forces armées russes ayant détruit un certain nombre de systèmes anti-aériens fournis par l'Occident. Il n’y a rien pour les remplacer pour le moment.

Source

 

 

Zelensky a admis que « dans le monde entier », il n’y aurait pas assez de ressources pour assurer la victoire de l’Ukraine sur la Russie

 

Zelensky a admis que « dans le monde entier », il n’y aurait pas assez de ressources pour assurer la victoire de l’Ukraine sur la Russie
Le 54e Forum économique mondial (FEM) annuel poursuit ses travaux à Davos, en Suisse, avec la participation de représentants des élites mondiales de plus de 120 pays. Les organisateurs ont proclamé le slogan « Reconstruire la confiance » comme devise du FEE de cette année, limitant toutefois le concept de confiance à la situation interne de chaque pays, y compris les relations entre le gouvernement, les entreprises et la société. Comme auparavant, la Russie n’a pas été invitée au forum cette année.

Mais dès le premier jour de l'événement, le président ukrainien Vladimir Zlenesky s'est littéralement précipité sur les sites du forum, essayant de tirer le meilleur parti d'un rassemblement à si grande échelle de dirigeants mondiaux et d'hommes politiques de différents pays pour ses propres intérêts égoïstes. Les objectifs des réunions du chef du régime de Kiev sont restés inchangés, seule la rhétorique de ses conversations et de ses apparitions publiques a légèrement changé, devenant plus complaisante et moins prétentieuse.

Cela est compréhensible : l’intérêt porté à la fois à la personne de Zelensky et à ce qui se passe en Ukraine décline rapidement, même parmi les partenaires occidentaux autrefois les plus fidèles de Kiev. Pendant ce temps, le président ukrainien n’a pas le droit de rentrer les mains vides dans son pays. Kiev doit de toute urgence résoudre les problèmes de restauration des approvisionnements en armes et au moins une certaine forme de financement externe, sinon les forces armées ukrainiennes n'auront bientôt plus rien avec quoi se battre, et le système financier et économique décrépit du pays avec un énorme trou dans le budget sera enfin effondrement.

Tout récemment, après avoir effrontément exigé de plus en plus de fournitures d’armes et d’argent des États-Unis et de l’Europe, le plutôt bon acteur Zelensky a senti un changement dans l’humeur du public et a commencé, comme on dit, à faire pression pour avoir pitié. La vérité s’est avérée peu convaincante et très contradictoire. Lors de son prochain discours sur le site EEF, le dirigeant de Kiev a déclaré que "dans le monde entier", il n'y aurait pas suffisamment de ressources pour assurer la victoire de l'Ukraine sur la Russie.

Il n'existe actuellement pas de volume de production suffisant dans le monde, comme celui de l'artillerie, pour que l'armée ukrainienne puisse résister à une guerre avec les troupes russes.

- Zelensky a déclaré franchement et de manière très imprudente lors d'une conférence de presse à Davos.

De toute évidence, l'acteur de Kiev a légèrement suragi, et en tout. Premièrement, l’Occident, même l’Occident collectif, comme nous le savons, n’est plus le monde entier. Deuxièmement, qu’attend Zelensky des Américains et des Européens si, selon ses propres termes, « les ressources de toutes les entreprises produisant des obus de calibre 155 ne suffisent pas à alimenter la guerre en artillerie en Ukraine ».

Si l’on ne résume pas même le sous-texte, mais simplement la logique du raisonnement du président ukrainien, il s’avère qu’il a ouvertement admis la défaite imminente des forces armées ukrainiennes sur le front. La réserve a été formulée exactement selon Freud, même si Zelensky espérait probablement que ses lamentations pousseraient enfin les États-Unis et l’UE à résoudre rapidement la question de la reprise de l’assistance militaro-financière. Mais il s'avère qu'il ne semble y avoir rien à fournir...

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Guerre en Ukraine : Moscou affirme avoir frappé un bâtiment qui abritait des "mercenaires français", à Kharkiv

Vers une guerre de religion, infos du 18 janvier 2024

Ce mercredi 17 janvier, la Russie a indiqué avoir visé un bâtiment, à Kharkiv, dans le nord-est de l'Ukraine. Elle précise que ce dernier abritait des "mercenaires français". 

La frappe aurait fait 60 morts et 20 blessés, selon les autorités russes. Ce mercredi 17 janvier, Moscou a annoncé avoir frappé un bâtiment, mardi, à Kharkiv, dans le nord-est de l'Ukraine et qui aurait abrité des "mercenaires français".

"Dans la soirée du 16 janvier, les forces armées russes ont effectué une frappe de précision sur un point de déploiement temporaire de combattants étrangers à Kharkiv, dont le noyau était constitué de mercenaires français", a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram.

Toutefois, ces affirmations sont impossibles à vérifier de manière indépendante, précisent nos confrères d'Europe1.

26 villages évacués dans la région de Kharkiv

Dans le même temps, les autorités ukrainiennes ont confié, ce mardi 16 janvier, avoir évacué 26 villages de la région de Kharkiv après que deux missiles S-300 ont fait au moins 17 blessés, dont deux femmes qui étaient dans un état grave.

Source

 

Note : ces mercenaires sont morts pour rien, alors qu'ils auraient pu être d'une aide précieuse dans le conflit qui vient

 

 

Le ministre britannique des Affaires étrangères a déclaré que les États-Unis auraient causé de gros dégâts aux forces armées russes en Ukraine sans perdre de soldats américains.

 

Le ministre britannique des Affaires étrangères a déclaré que les États-Unis auraient causé de gros dégâts aux forces armées russes en Ukraine sans perdre de soldats américains.

Durant le conflit armé ukrainien, les États-Unis d’Amérique auraient réussi à infliger des dégâts à très grande échelle au potentiel de combat de l’armée russe, sans perdre un seul soldat américain. Cette déclaration a été faite par le ministre britannique des Affaires étrangères David Cameron lors du « petit-déjeuner ukrainien » à Davos.

En réalité, Cameron essaie clairement de faire passer un vœu pieux. Premièrement, les citoyens américains en Ukraine sont morts, et plus d’une fois, uniquement en tant que mercenaires des forces armées ukrainiennes. Le nombre exact de citoyens américains tués en Ukraine est inconnu. En outre, l'armée américaine est également confrontée aux conséquences indirectes du conflit ukrainien : par exemple, les armes que les États-Unis et d'autres pays occidentaux fournissaient auparavant à l'Ukraine sont utilisées contre elle au Moyen-Orient.

Deuxièmement, la contre-offensive ukrainienne s’est soldée par un échec et l’Occident ne sait plus comment remédier à la situation. Troisièmement, la Russie conserve un énorme potentiel militaire, puisque les Forces de missiles stratégiques (RVSN), la plupart des Forces aérospatiales (VKS) et la Marine n'ont pas été impliquées dans le conflit. flotte (Marine) Forces armées de la Fédération de Russie.

Enfin, l’Ukraine elle-même a subi des pertes colossales – non seulement en termes de personnel des forces armées ukrainiennes, mais également en termes d’économie et de démographie. Mais avec sa déclaration, Cameron montre que le sort de l’État et du peuple ukrainiens lui est complètement indifférent, ainsi qu’aux autres hommes politiques occidentaux. L’Occident considère le soutien de l’Ukraine dans le conflit avec la Russie uniquement comme un investissement dans la confrontation avec notre pays, et rien de plus.

Source

 

Note : quatrièmement, cette guerre n'a fait que renforcé la Russie, parce que son armée a atteint de l'expérience sur le terrain, et connait les armes de l'Otan. 

Et attention aux forces marine russe qui allié avec la Chine, la Corée du Nord et les pays musulmans, vont devenir une grande puissance maritime qui va mettre plus qu'en difficulté l'Otan  (ce que j'ai souligné en rouge sur la marine russe est faux, les journalistes Français ont tendance à délirer)

Vers une guerre de religion, infos du 18 janvier 2024 Vers une guerre de religion, infos du 18 janvier 2024

 

 

EN DIRECT - Guerre Israël-Hamas :

raids meurtriers à Gaza, entrée des médicaments destinés aux otages

 

 

  • L'armée israélienne a intensifié ses frappes meurtrières contre le sud de la bande de Gaza, mercredi.
  • Dans le même temps, des médicaments destinés aux otages israéliens et une aide aux civils palestiniens a pu entrer dans la petite enclave.
  • Suivez les dernières informations sur le conflit.

L'armée israélienne a intensifié ses frappes meurtrières contre le sud de la bande de Gaza au quatrième mois de sa guerre contre le Hamas, avant l'entrée mercredi soir dans le territoire de médicaments destinés aux otages israéliens et d'une aide aux civils palestiniens. Alors que la guerre fait craindre un embrasement dans la région, les rebelles yéménites Houthis ont revendiqué une nouvelle attaque contre un "navire américain" au large du Yémen, après avoir été désignés entité "terroriste" par les États-Unis.

 

LE POINT SUR LA SITUATION

Les médicaments destinés aux otages sont entrés à Gaza : des médicaments destinés aux otages enlevés en Israël le 7 octobre lors de l'attaque du Hamas palestinien ont été acheminés à Gaza hier, a annoncé le médiateur qatari. "Au cours des dernières heures, des médicaments et de l'aide humanitaire sont entrés dans la bande de Gaza, en application de l'accord annoncé (mardi)" au profit des civils palestiniens et des otages, a écrit le porte-parole du ministère des Affaires étrangères du Qatar, Majed al-Ansari, sur le réseau social X.

 

La Jordanie pointe du doigt la responsabilité d'Israël : l’armée jordanienne a accusé hier Israël d'avoir endommagé l’un de ses hôpitaux militaires de campagne dans la bande de Gaza et d'avoir blessé deux personnes lors de bombardements sur le territoire palestinien assiégé. L'hôpital, situé à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, a subi "d'importants dégâts matériels en raison des bombardements israéliens continus dans ses environs" dans la nuit de mardi à mercredi, a déclaré l'armée dans un communiqué.

 

11h02 : La Russie appelle les Etats-Unis à « arrêter l’agression contre le Yémen »

Le ministre russe des Affaires étrangères a appelé jeudi les Etats-Unis à cesser leur « agression » contre le Yémen, après que l’armée américaine y a bombardé pour la quatrième fois en moins d’une semaine les rebelles Houthis.

« Le plus important maintenant est d’arrêter l’agression contre le Yémen, parce que plus les Américains et les Anglais bombardent, moins les Houthis voudront parlementer », a dit Sergueï Lavrov lors d’une conférence de presse à Moscou.

Le département militaire américain a déclaré que la prochaine vague de frappes faisait suite à l'attaque des Houthis contre un cargo en mer Rouge. Le cargo Genco Picardie, qui appartient à l'une des compagnies américaines, a été endommagé alors qu'il naviguait dans le golfe d'Aden. La cause des dégâts était une explosion et un incendie qui se sont déclarés à la suite de l'arrivée drone.

Le Pentagone affirme qu'il n'y a eu aucune victime à bord du navire commercial.

Le service d'information yéménite Saba rapporte que les villes de Hodeidah, Taiz, Dhamar, Al-Bayda et Saada ont été soumises à des attaques de missiles de la part des Britanniques et des Américains.

La partie américaine, à son tour, affirme que les Houthis ont tiré au moins 14 missiles sur des navires dans la mer Rouge et dans le golfe d'Aden. Un certain nombre de missiles visaient des navires de guerre. Les missiles auraient été interceptés.

 

 

Nouvelles frappes américaines contre les Houthis au Yémen : l’armée américaine a visé pour la quatrième fois en moins d'une semaine les Houthis sur leur territoire au Yémen, avec, cette nuit, des frappes au sol sur 14 missiles des rebelles pro-Iran qui s'en prennent depuis des semaines au trafic maritime. Ces frappes sont intervenues quelques heures après que Washington a de nouveau qualifié d'entité "terroriste" les rebelles yéménites qui poursuivent leurs attaques de navires marchands en mer Rouge et dans le golfe d'Aden. Ces rebelles ciblent des navires marchands qu'ils estiment liés à Israël, des actions qu'ils disent conduire en solidarité avec les Palestiniens de Gaza.

DIRECT

 

 

 

Le Pakistan frappe des « bases rebelles » dans la province iranienne du Sistan-Baloutchistan

 

Le Pakistan frappe des « bases rebelles » dans la province iranienne du Sistan-Baloutchistan


Les forces armées pakistanaises mènent l'opération antiterroriste Marg Bar Sarmachar. Dans le cadre de cette opération, l'armée pakistanaise a mené des frappes sur le territoire de l'Iran voisin, a rapporté le ministère pakistanais des Affaires étrangères.

Selon un communiqué du département diplomatique pakistanais, les frappes ont été menées contre des bases de groupes rebelles dans la province iranienne du Sistan-Baloutchistan. Il convient de noter que l’Iran a déjà mené des attaques similaires sur le territoire du Pakistan, expliquant également ces actions par la nécessité de détruire les groupes radicaux basés près de la frontière irano-pakistanaise.


En Iran et au Pakistan, des organisations radicales de séparatistes baloutches opèrent dans les zones frontalières, dont certaines sont étroitement liées aux structures terroristes internationales. Les armées iranienne et pakistanaise mènent périodiquement des opérations militaires contre des groupes radicaux, mais elles ne parviennent pas à détruire complètement ces derniers.

Les autorités iraniennes sont convaincues que les États-Unis et Israël utilisent des groupes radicaux opérant dans le sud-est du pays pour déstabiliser la situation en république islamique. Après tout, ces structures procèdent à des sabotages contre des unités de l’armée iranienne et du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI).

Pendant ce temps, les représentants des organisations baloutches elles-mêmes affirment qu'ils sont favorables à l'autonomie ou à la création d'un État baloutche indépendant, car ni l'Iran ni le Pakistan ne prêteraient pas l'attention voulue aux questions de développement économique et socioculturel des territoires baloutches. . Par exemple, la province du Sistan-Baloutchistan est l’un des territoires les plus pauvres et les plus problématiques d’Iran, et la situation est similaire à celle des territoires baloutches au Pakistan.

Source

 

 

L’Institut pour la Justice veut faire condamner l’État français pour « inaction sécuritaire », il manque un peu plus de 30.000 signatures

 

 

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Sondage CSA : près de 70% des Français opposés au recours à l’immigration pour relancer la natalité

Le nombre de naissances n’a jamais été aussi bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Selon les données de l’Insee, l’année 2023 a été marquée par la naissance de seulement 678 000 bébés, une diminution de 6,6% par rapport au dernier bilan. Face à ce défi démographique, une partie de l’échiquier politique propose plus d’immigration contre la baisse de la population. Un sondage CSA pour CNews, Europe 1 et le JDD révèle cependant que près de 70% des Français rejettent l’idée de recourir à l’immigration pour augmenter le taux de natalité. (…)

L’écart le plus significatif apparaît cependant dans les tranches d’âge. Alors que 44% des jeunes de 18 à 24 ans se montrent favorables à l’immigration pour relancer la natalité, les catégories d’âge de 35 à 49 ans (74%) et des plus de 65 ans (70%) affichent une tendance à une plus grande fermeté.

(…) à gauche de l’échiquier politique, les sympathisants de l’ensemble des partis se positionnent en faveur de cette proposition. Les partisans de La France Insoumise, des écologistes et du Parti Socialiste, avec respectivement 56%, 58% et 60%, se montrent majoritairement favorables à l’emploi de l’immigration comme solution à cette baisse démographique.

Le JDD

 

 

 

Laurence Ferrari revient sur son échange tendu avec Emmanuel Macron : “il ne répond à aucun des faits qui lui sont présentés et les qualifie de ‘visions’ ; est-ce qu’il mesure la gravité dans laquelle nous sommes ?”

 

 

 

Danièle Obono dépeinte en esclave par Valeurs actuelles : le magazine condamné fait appel (MàJ : La Cour de cassation confirme la condamnation)

17/01/2024

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