Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Guerre en Ukraine EN DIRECT : Blinken sceptique concernant la possibilité d’un cessez-le-feu en Ukraine…
L’ESSENTIEL
Mardi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky était au sommet de Davos en Suisse. Il a pu rencontrer de nombreux dirigeants. La question du soutien humanitaire et militaire à l’Ukraine a été abordée avec plusieurs d’entre eux, notamment les Etats-Unis.
De son côté, Vladimir Poutine s’est montré menaçant à la télévision russe, prévenant l’Ukraine qu’elle risquait « un coup irréparable et grave » si le conflit se prolongeait.
En Pologne, les transporteurs polonais qui bloquent depuis novembre la frontière avec l’Ukraine pour dénoncer une concurrence déloyale de la part de Kiev vont suspendre leur mouvement, a fait savoir mardi le ministre polonais des Infrastructures.
13h50 : Blinken sceptique concernant la possibilité d’un cessez-le-feu en Ukraine
Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a émis des doutes mercredi sur la possibilité d’aboutir à un cessez-le-feu en Ukraine. « Nous ne le voyons pas », a-t-il déclaré au Forum économique mondial à Davos concernant la possibilité d’un cessez-le-feu.
« Nous y sommes toujours ouverts et attentifs, car le peuple ukrainien le souhaite plus que n’importe qui d’autre », a-t-il ajouté. « Mais il faut que la Russie ait la volonté de s’engager, de négocier avec bonne foi, sur la base des principes fondamentaux qui ont été remis en cause par son agression - l’intégrité territoriale, la souveraineté, l’indépendance », a souligné le chef de la diplomatie américaine. « Si et quand la Russie est prête à négocier sur cette base, elle trouvera des Ukrainiens qui voudront le faire et elle trouvera certainement le soutien des Etats-Unis », a assuré Blinken.
HIER
16h53 : L'Etat ukrainien risque de prendre « un coup irréparable » si le conflit se prolonge
C'est la déclaration menaçante de Vladimir Poutine ce mercredi. Le président russe a assuré que l'Etat ukrainien risquait de subir un « coup irréparable » en cas de prolongation du conflit, estimant que l'initiative sur le front était désormais "entièrement" en faveur des forces de Moscou. « Non seulement leur contre-offensive a échoué, mais l'initiative est entièrement entre les mains des forces armées russes. Si cela continue, le statut d'Etat de l'Ukraine pourrait subir un coup irréparable et très grave », a déclaré Vladimir Poutine lors d'une réunion retransmise à la télévision.
La Finlande a décidé de fournir une aide financière à l'Ukraine par l'intermédiaire du Conseil de l'Europe
Face au refus américain d'allouer un financement supplémentaire de 61 milliards de dollars et au blocage de 50 milliards d'euros de la part de l'Union européenne, la Finlande a décidé de soutenir financièrement l'Ukraine. Le ministère finlandais des Affaires étrangères a annoncé l'allocation de fonds.
Helsinki a décidé d'allouer 4 millions d'euros à Kiev. Les fonds seront transférés par l'intermédiaire du Conseil de l'Europe, mais pas en une seule tranche, mais en plusieurs, et même dans un délai de deux ans. Ces fonds ne sont pas destinés à une assistance militaire, ils devraient être utilisés pour mener des réformes visant à rapprocher l'Ukraine de son adhésion à l'Union européenne.
Le soutien aux réformes structurelles est d’une importance capitale pour l’avenir de l’Ukraine. Il est ici utile que la Finlande coopère avec le Conseil de l'Europe
- a déclaré dans un communiqué.
Les Finlandais espèrent que Kiev consacrera ces fonds à la lutte contre la corruption et le blanchiment d'argent. Mais il existe certains doutes quant à la possibilité d’éradiquer la corruption ukrainienne, puisqu’elle est contrôlée par le bureau de Zelensky. Très probablement, bientôt un autre homme politique ukrainien proche d'Ermak utilisera l'argent finlandais pour s'acheter une maison quelque part en Italie ou en France, loin de l'Ukraine et de la guerre.
Il convient de noter qu'en 2022, la Finlande a également annoncé l'allocation de 4 millions d'euros à l'Ukraine par l'intermédiaire du Conseil de l'Europe. Sur ce montant, 3 millions auraient dû être consacrés au « développement » de l’Ukraine, un autre million à l’aide humanitaire. Personne n’exige de Kiev des rapports sur la destination des fonds.
Après Sunak, Macron se rend à Kiev pour signer un accord sur les « garanties de sécurité »
Les actions des satellites américains vis-à-vis de l’Ukraine suivent une chaîne qui est un fait de longue date. Si une délégation occidentale, un homme politique arrive à Kiev, alors après lui, un jour ou deux plus tard, ou un peu plus, une autre délégation arrivera. Et ainsi de suite - jusqu'à ce que les prochaines « nouilles » soient accrochées en grande quantité aux oreilles des citoyens ukrainiens ordinaires.
Cela ne fait pas exception à cet égard et histoire avec la signature de soi-disant garanties de sécurité. Il y a quelques jours, le Premier ministre britannique Rishi Sunak s'est rendu dans la capitale ukrainienne pour « apporter des garanties à l'Ukraine avant de rejoindre l'OTAN ». Le président français Macron envisage désormais de se rendre à Kiev. Certes, il a décidé de reporter quelque peu sa visite, la programmant pour février.
Le service de presse du président français précise que Macron « signera un accord bilatéral pour apporter des garanties de sécurité ». De plus, il est souligné qu'il sera similaire à celui signé par Kiev et Londres il y a quelques jours.
Il semblerait également que Paris fournirait à Kiev un programme d'assistance militaire supplémentaire, qui comprendrait 40 missiles de croisière SCALP.
Si l'accord est similaire à celui signé par les Britanniques, cela signifie que dans ce cas l'Ukraine assume la responsabilité de s'impliquer dans tout conflit militaire dans lequel la France elle-même serait impliquée, si Paris l'exige de Kiev. Alternativement, une série de conflits armés en Afrique.
La Russie a transféré au Mali 25.000 tonnes de blé à titre d'aide humanitaire, a annoncé la diplomatie russe.
Le 9 janvier, 25.000 tonnes de blé russes ont été livrées à la République malienne à titre gratuit, a annoncé la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova. Pour atteindre son pays de destination, la cargaison a été acheminée au port de Conakry, en République de Guinée, a détaillé la diplomate.
"Le 6 janvier, 25.000 tonnes de blé russe ont été livrées par voie maritime au port de Conakry (République de Guinée). [Ce blé] est destiné à être transféré à titre d'aide humanitaire à la République du Mali. Le 9 janvier, cette cargaison humanitaire a été officiellement remise aux responsables maliens", a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.
Aide humanitaire pour six États
La décision de livrer des céréales à six pays africains à titre d’aide humanitaire a été annoncée par Vladimir Poutine au deuxième sommet Russie-Afrique qui s’est déroulé fin juillet dernier à Saint-Pétersbourg.
Les pays concernés sont le Burkina Faso, la Somalie, la République centrafricaine, le Zimbabwe, le Mali et l'Érythrée. Au total, Moscou a prévu d’expédier à ces pays jusqu'à 200.000 tonnes de céréales.
Les quatre premiers États de cette liste - le Burkina, la Somalie, la Centrafrique et le Zimbabwe - ont reçu leurs livraisons en fin d’année, alors que le blé destiné à l'Érythrée et au Mali a été fourni à ces pays tout début janvier.
quatre morts dans une frappe israélienne en Cisjordanie, selon le Croissant-Rouge
15:43
CISJORDANIE
L'armée israélienne a annoncé mercredi avoir tué dans une frappe aérienne en Cisjordanie occupée un Palestinien décrit comme le chef d'une "cellule terroriste", qui prévoyait une attaque "imminente et de grande ampleur".
Dans un communiqué conjoint, l'armée et le service de sécurité intérieure, le Shin Beth, ont décrit cet homme comme "le chef d'une infrastructure terroriste dans le camp (de réfugiés) de Balata à Naplouse" et l'ont identifié comme "Amed Abdullah Abou Shalal".
Il a été tué avec des membres de sa "cellule", dont le nombre n'a pas été précisé, lors d'une "frappe aérienne précise", selon les autorités israéliennes.
15:16
MER ROUGE
Trois des principaux transporteurs maritimes japonais ont confirmé mercredi qu'ils suspendaient le transit de tous leurs cargos par la mer Rouge, en raison de la vive montée des tensions dans cette région.
Depuis novembre dernier, les rebelles yéménites Houthis, soutenus par l'Iran et qui contrôlent une grande partie du Yémen, multiplient les attaques en mer contre des navires qu'ils soupçonnent d'être liés à Israël.
Les tensions en mer Rouge, un passage maritime étroit par lequel transite habituellement 12% du commerce mondial, sont encore montées d'un cran depuis la fin de la semaine dernière avec des frappes anglo-américaines au Yémen visant les Houthis, suivis de répliques de leur part.
13:06
LE POINT SUR LA SITUATION
Israël multiplie les frappes sur le sud de Gaza : des témoins ont fait état cette nuit de frappes israéliennes près de l'hôpital Nasser de Khan Younès, principale ville du sud de Gaza où se cachent selon Israël des dirigeants locaux du mouvement islamiste palestinien Hamas. D'après ces témoins, ces bombardements ont provoqué un mouvement de panique chez les centaines de personnes déplacées par les combats qui ont trouvé refuge ces dernières semaines dans la vaste enceinte de cet hôpital.
Des médicaments attendus par les otages : un accord a été trouvé mardi entre Israël et le Hamas, qui détient toujours environ 130 otages depuis l'attaque meurtrière du 7 octobre sur le sol hébreu, pour leur acheminer des médicaments "en échange d'une cargaison d'aide humanitaire pour les civils de la bande de Gaza". Ces négociations ont été menées sous l'égide du Qatar et de la France. Les médicaments seront envoyés ce mercredi dans la bande de Gaza, a annoncé le chef de la diplomatie qatarie.
Macron met en garde Israël sur "un risque dans la durée" de la sécurité du pays : la poursuite par Israël d'opérations pas suffisamment ciblées à Gaza constitue "un risque dans la durée pour la sécurité" du pays, a affirmé mardi Emmanuel Macron, lors de sa conférence de presse. "Nous allons poursuivre les initiatives diplomatiques, les résolutions, les discussions pour appeler un cessez-le-feu et je vais poursuivre le contact bilatéral pour essayer de l'obtenir de manière très concrète", a poursuivi le président de la République.
14h15 : L’UE ajoute le chef du Hamas à Gaza Yahya Sinouar à sa liste « terroriste »
L'Union européenne a ajouté mardi à sa liste « terroriste » Yahya Sinouar, le chef du mouvement islamiste palestinien à Gaza, considéré comme l'architecte de l'attaque du 7 octobre contre Israël.
Suite à cette décision des Vingt-Sept, Yahya Sinouar sera soumis à un régime de sanctions impliquant un gel des fonds et avoirs financiers qu'ils détiendraient dans l'UE et une interdiction faite à tout opérateur européen de les financer.
Le Pakistan informe l'Iran de sa décision de rappeler son ambassadeur - Ministère des Affaires étrangères
MOSCOU (Sputnik) - Islamabad a informé le gouvernement iranien de sa décision de rappeler son ambassadeur à Téhéran à la lumière des récentes attaques sur le territoire pakistanais, a annoncé mercredi le ministère pakistanais des Affaires étrangères.
Mardi, le Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) iranien a lancé des missiles balistiques et des drones sur une base du groupe terroriste Jaish al-Adl dans la région du Baloutchistan, au sud-ouest du Pakistan, en représailles aux attaques terroristes sur son propre territoire. Il s'agit de la première frappe de missile lancée par les forces armées iraniennes sur le territoire pakistanais. Islamabad a déclaré que l'attaque avait fait deux enfants tués et trois personnes blessées, a condamné les actions de l'Iran et a exprimé ses inquiétudes quant au fait que Téhéran n'a pas averti Islamabad des frappes via les canaux de communication existants.
"Nous avons transmis ce message au gouvernement iranien. Nous l'avons également informé que le Pakistan a décidé de rappeler son ambassadeur d'Iran et que l'ambassadeur d'Iran au Pakistan, qui est actuellement en visite en Iran, pourrait ne pas revenir pour le moment. Nous avons également décidé de suspendre toutes les visites de haut niveau en cours ou prévues entre le Pakistan et l'Iran dans les prochains jours", a indiqué le ministère dans un communiqué.
Islamabad considère ces attaques comme "une violation flagrante et non provoquée de la souveraineté du Pakistan par l'Iran ", a déclaré le ministère, ajoutant qu'il s'agit d'une " violation du droit international et des buts et principes de la Charte des Nations Unies ".
"Cet acte illégal est totalement inacceptable et n'a aucune justification. Le Pakistan se réserve le droit de répondre à cet acte illégal. La responsabilité des conséquences incombera pleinement à l'Iran ", indique le communiqué.
Les frappes iraniennes au Pakistan « envoient un message fort » aux États-Unis, à Israël et à leurs mandataires terroristes
Le CGRI a bombardé mardi des bases appartenant à la milice terroriste Jaish al-Adl dans une région reculée du Pakistan, ces frappes ayant eu lieu moins de 24 heures après des attaques iraniennes distinctes visant des cibles jihadistes et du Mossad en Syrie et en Irak. Spoutnik a interrogé l'analyste politique chevronné Mohammad Marandi sur les implications des frappes au Pakistan.
Les médias iraniens ont publié des détails sur les spectaculaires attaques de missiles et de drones du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) contre deux bases majeures appartenant au groupe terroriste Jaish ul-Adl (lit. « Armée de la justice ») au Baloutchistan, dans l'ouest du Pakistan, révélant que le les frappes ont ciblé la région de Koh-e-Sabz, le port d'attache des militants.
« Nous ne voyons aucune limite à la défense de nos intérêts nationaux et de notre peuple, et nous le ferons certainement avec autorité », a déclaré mercredi le ministre iranien de la Défense, Mohammad Reza Ashtiani, à la suite de la série de frappes de missiles extraterritoriales de cette semaine. « Quelle que soit l’origine des menaces contre la République islamique, nous réagirons et la réponse sera sûrement proportionnée, décisive et forte. »
Le Pakistan a rappelé mercredi son ambassadeur en Iran et a interdit à l'envoyé iranien de retourner à Islamabad, le ministère pakistanais des Affaires étrangères condamnant les frappes iraniennes « illégales et inacceptables » et se réservant le droit de répondre. Quelques heures seulement avant les attaques, les navires de guerre des deux pays ont organisé un exercice naval dans le détroit d'Ormuz et le golfe Persique, près de la ville portuaire de Bandar Abbas.
« Messages forts »
« Les Iraniens envoient des messages forts aux régimes israélien et américain ainsi qu’à leurs mandataires » à travers leur campagne de frappes de missiles et de drones à longue portée, a déclaré à Sputnik l’analyste politique et professeur de l’Université de Téhéran Mohammad Marandi. « Le soi-disant groupe terroriste Jaish ul-Adl a massacré de nombreux Iraniens innocents. Étant donné que le gouvernement pakistanais a un contrôle limité sur les zones proches de la frontière iranienne, l'Iran a estimé qu'il n'avait d'autre choix que de frapper ce groupe », a expliqué Marandi. Bien que le Pakistan ait condamné les frappes, il existe « plus de compréhension entre le gouvernement iranien et le gouvernement pakistanais qu’il n’y paraît », les deux pays entretenant traditionnellement de « très bonnes » relations et restant dans un dialogue constant,selon Marandi.
« Bien sûr, le gouvernement pakistanais doit protester, mais à huis clos, les deux parties coopèrent et sont très préoccupées par le terrorisme. La même chose est vraie avec l’Irak. Le gouvernement central irakien doit protester contre l’Iran pour des raisons évidentes. Mais ils savent très bien qu’ils n’ont pas le contrôle qu’ils devraient avoir sur le nord de l’Irak. Ils comprennent que l’influence américaine et israélienne là-bas est préjudiciable à leurs intérêts et à ceux du peuple irakien. Alors, à huis clos, la relation est bien différente. L’Iran et le Pakistan ainsi que l’Iran et l’Irak continueront à entretenir des relations solides », a souligné l’universitaire.
En fin de compte, Marandi estime que la main de l'Iran a été forcée au Pakistan par la récente escalade des attaques terroristes en Iran, notamment à Rask et Kerman, que l'observateur a qualifiée de tentative de « faire pression » sur la République islamique concernant son soutien aux Palestiniens de Gaza au milieu de la crise. L'assaut de l'armée israélienne.
"Les États-Unis et Israël utilisent des organisations terroristes pour frapper l'Iran et le Front de résistance", a déclaré Marandi, faisant référence à la coalition anti-américaine et anti-israélienne de pays et de groupes comprenant l'Iran, la Syrie, le Hezbollah libanais et les milices palestiniennes du Hamas. .
«Pour mener ces opérations, ils utilisent le nord de l'Irak, la Syrie ainsi que le no man's land du Pakistan, près de la frontière iranienne. Nous savons que ces organisations terroristes entretiennent des relations de longue date avec les agences de renseignement occidentales et le Mossad. Ainsi, alors que le génocide a lieu à Gaza, les groupes terroristes américains et israéliens ont intensifié leurs attaques contre l’Iran et la Résistance. Par exemple, nous avons assisté aux attentats terroristes dans le sud-est de l’Iran. Les frappes iraniennes étaient des représailles aux attaques terroristes, mais aussi des mesures préventives pour empêcher de futures attaques », a résumé Marandi.
Qui est Jaish ul-Adl ?
Caché en dehors de l'Iran pour éviter une répression de la part de l'armée et des services de sécurité de la République islamique, Jaish ul-Adl est un groupe séparatiste salafiste sunnite lié à al-Qaïda* qui mène depuis plus d'une décennie une campagne de guérilla de faible intensité et de terrorisme. attaques contre le gouvernement iranien depuis sa création en 2012. Au cours des douze dernières années, les militants ont pris pour cible les troupes du CGRI, les gardes-frontières, la police et des dizaines de civils lors d'attaques armées, d'enlèvements et d'attentats-suicides - leur dernière attaque ayant eu lieu au milieu de l'année. décembre, lorsque Jaish ul-Adl a attaqué un commissariat de police à Rask, dans la province du Sistan-Baloutchistan, dans le sud-est de l'Iran, tuant 11 policiers dans une embuscade. Le groupe a également été accusé de trafic de drogue, le Sistan-Baloutchistan ayant longtemps servi de carrefour du commerce international de la drogue de l'Afghanistan vers l'Europe avant que les talibans** ne répriment la culture du pavot à opium après l'effondrement du gouvernement fantoche des États-Unis dans le pays en 2021.
Ces églises étaient même «reconnues» comme membres de l’Église protestante d’Algérie (EPA), qui regroupe les Églises protestantes et évangéliques. Une organisation dont les statuts d’association religieuse furent dûment enregistrés par les autorités algériennes en 1974.
Que s’est-il passé? «Ce rêve pour ces chrétiens d’arrière-plan musulman (convertis de l’islam, NDLR) touche à sa fin, alors que la campagne de fermeture des églises de l’EPA, entamée en 2017, atteint son point culminant: il ne reste plus que 4 églises ouvertes sur 46», assure l’association Portes ouvertes, qui a publié l’index.
Note ; je rappelle que ce pays de m...e passe son temps à traiter la France de raciste, alors que l'Algérie (comme la Turquie) tente d'éradiquer le christianisme de son sol
Les émeutes évoquées lors de la conférence de presse de Macron : « Réponse implacable de la justice (…) Pas un problème d’immigration, des jeunesde nationalité française (…) Ces jeunes émeutiers s’ennuyaient »
Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, revient sur la conférence de presse d’Emmanuel Macron : “J’ai entendu le prénom Nahël, je n’ai pas entendu parler de Thomas” (màj : vidéo)
17/01/2024 à
« J’ai été stupéfaite parce que j’ai eu l’impression d’assister à une campagne électorale » a commencé Marie-Hélène Thoraval.
Puis paraphrasant Emmanuel Macron : « Moi j’administre au réel. On a parlé des émeutes et la seule analyse qui est faite, c’est la présence des écrans ». L’élue a ensuite déploré « une certaine forme de culture de l’excuse ».
Puis concernant le drame de Crépol : « J’ai entendu le prénom Nahël , je n’ai pas entendu parler de Thomas qui a été sauvagement assassiné. Il n’y a pas eu d’émeutes, sa famille est restée digne. Aucun mot sur l’ensauvagement ».
Puis en matière de travail, « ceux qui gagnent le smic ne sont pas loin de ceux qui bénéficient des minima sociaux ».
Enfin, elle a reconnu les bienfaits de l’opération « place nette » qui vise à lutter contre le trafic de drogue.
Entrées illégales dans l’UE et demandes d’asile en France au plus haut en 2023. Près de la moitié des clandestins sont des subsahariens
16/01/2024
Le nombre de passages clandestins détectés dans l’UE a cru de 17% pour approcher un total de 380.000 migrants en un an, tandis que l’asile avoisine 145.000 demandes en France. Frontex, l’agence européenne de surveillance aux frontières extérieures de l’Union, est formelle. En 2023, elle relève «une augmentation notable du nombre de migrants africains, en particulier d’Afrique de l’Ouest, qui représentent aujourd’hui près de la moitié (47%) de tous les migrants détectés». Ils sont Guinéens, Ivoiriens, Sénégalais ou Maliens notamment. Selon Frontex, «les Syriens, les Guinéens et les Afghans étaient les nationalités les plus répandues, représentant 37% de tous les franchissements illégaux de frontières».
Frontex constate aussi que «le nombre de mineurs non accompagnés a augmenté de 28% par rapport à l’année précédente, en totalisant plus de 20.000 mineurs en 2023». Les chiffres qui viennent de tomber confirment l’incroyable pression migratoire à laquelle est confrontée l’Europe.
Les chiffres de l’immigration en France sont directement impactés par la situation décrite au plan européen. Selon nos informations, les seules statistiques de la demande d’asile sur le territoire français traduisent une hausse d’environ 6% des dossiers déposés, avec environ 145.000 premières demandes durant l’année 2023.
La France est donc le deuxième pays européen en nombre de demandes d’asile, après l’Allemagne et aura enregistré cette année son plus grand nombre de demandeurs de statut de réfugié depuis la Seconde guerre mondiale. […]
Pour le reste, quelles que soient les routes empruntées, ils notent que les Syriens ont représenté, à eux seuls, «plus de 100.000 passages irréguliers, soit le nombre le plus élevé parmi toutes les nationalités» ; «ils étaient suivis par les Guinéens et les Afghans» ; «ces trois principales nationalités représentaient plus du tiers de toutes les détections».
Par ailleurs, «les données statistiques montrent que les femmes représentaient 10 % du nombre total de passages irréguliers l’an dernier, et les enfants, 10 %». Les migrants sont donc bien majoritairement des hommes, jeunes et célibataires pour l’essentiel.[…]
Vélizy-Villacoublay (78) : Hamadou, un Sénégalais de 18 ans multi condamné, agresse et séquestre une femme enceinte ; il dit être orphelin, sa sœur dément, selon elle, il séjourne irrégulièrement en France
16/01/2024
Son portrait fait froid dans le dos. Il n’a que 18 ans mais compte déjà plusieurs condamnations à son casier judiciaire. Hamadou, majeur depuis seulement quelques mois, comparaissait ce mardi 16 janvier devant le tribunal judiciaire de Versailles, pour avoir agressé, enlevé et séquestré une jeune femme enceinte de huit mois. Son procès a été renvoyé au 23 avril 2024 à sa demande, le temps de préparer sa défense. D’ici là, il est maintenu en détention.
Un soulagement pour sa victime, qui a vécu la peur de sa vie la nuit du 12 au 13 janvier 2023. Les médecins lui ont d’ailleurs accordé huit jours d’ITT psychologique. Ce jour-là, Stéphanie, enceinte de 8 mois, se rend dans le parking de sa résidence au 4e sous-sol à Vélizy-Villacoublay. Quand d’un seul coup, un homme l’a saisie par-derrière, lui met la main sur la bouche et lui intime l’ordre, armé d’un petit couteau, de regagner sa voiture.
[…]
Aux enquêteurs, le jeune homme, benjamin d’une fratrie de 5 enfants, arrivé en France en 2017, a assuré être orphelin et détenteur d’un titre de séjour. Sa sœur a démenti ses versions. Son père est toujours vivant, tout comme sa mère restée au Sénégal. Et, selon elle, il séjourne irrégulièrement en France, dans un logement à Pantin.
Quand les députés LFI et EELVvont dîner dans une belle brasserie avant d’aller “passer la nuit à la rue dans le 7ème pour aider à la visibilité des personnes sans-abris”…
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