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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 8 déc 2023

 

 

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Vladimir Poutine candidat à sa réélection en 2024…

 

L’ESSENTIEL

  • Au moins une personne a été blessée et des bâtiments résidentiels ont été endommagés à Kharkiv après des frappes russes dans la nuit de jeudi à vendredi.
  • Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Cameron, en visite à Washington, a appelé jeudi le Congrès américain divisé à approuver une nouvelle enveloppe budgétaire pour l’Ukraine.
  • La Grande-Bretagne et les Etats-Unis ont accusé jeudi la Russie d’être derrière des tentatives « inacceptables » de cyber-ingérence visant des politiques de haut rang, des journalistes et des organisations non-gouvernementales.

 

13h12 : « Je vais me présenter à la présidentielle », déclare Poutine

« Je vais me présenter à la présidentielle », a dit Vladimir Poutin à un vétéran du conflit en Ukraine et en marge d'une cérémonie au Kremlin. « Je comprends qu'aujourd'hui il n'y a pas d'autre choix », a-t-il encore dit selon des images retransmises par la chaîne de télévision d'Etat Rossiya-24.

 

12h53 : Vladimir Poutine candidat à sa réélection en 2024

Le président russe a annoncé vendredi en marge d'une cérémonie de remises de décoration au Kremlin qu'il se présentera à la présidentielle du mois de mars 2024, ont rapporté les trois grandes agences de presse russe. Vladimir Poutine brigue un cinquième mandat.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine: Kyiv réclame de nouvelles armes aux États-Unis dont des avions de combat F-18, des hélicoptères Apache et Black Hawk

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 8 décembre 2023

L'Ukraine a fourni une nouvelle liste d'armes qu'elle réclame au gouvernement américain.

Kyiv a adressé récemment à l'administration américaine "une liste des armes destinées à répondre aux besoins des forces de défense ukrainiennes".

Des représentants du ministère ukrainien de la Défense ont présenté cet inventaire à Washington lors d'une réunion avec des représentants du gouvernement américains et des dirigeants de l'industrie de défense, le 6 décembre. 

Cette liste "étendue", dont le coût est estimé à plusieurs milliards de dollars, comprend également des armes que l’Ukraine a déjà reçues ou devrait bientôt recevoir de ses alliés occidentaux dont des chars Abrams, de l’artillerie de 155 mm, des chasseurs F-16, des drones et des missiles longue portée ATACMS.

Plusieurs "surprises"

Mais plusieurs "surprises" figurent sur cette liste, selon l'agence de presse Reuters qui a pu avoir accès au document, dont les coûteux avions C-17 Globemaster et C-130 Super Hercules, des hélicoptères d'attaque Apache et Black Hawk, des chasseurs F-18 Hornet, trois types de drones General Atomics, dont le MQ-9B Sky Guardian et le Terminal High Altitude Area Defense (THAAD), un système de missiles antibalistiques à haute altitude.

Depuis quelques mois, le Congrès américain ne parvient pas à se mettre d'accord sur un nouveau paquet d'aide à l'Ukraine. Dans le même temps, l’administration présidentielle américaine a déclaré que le temps et l’argent nécessaires pour soutenir l’Ukraine étaient pratiquement épuisés.

Le 6 décembre, les sénateurs républicains ont bloqué un projet de loi qui prévoyait d'allouer 61,4 milliards à Kyiv en raison de désaccords avec les démocrates sur la politique d'immigration américaine.

Source
 

 

 

L'Allemagne a remis un autre paquet d'aide militaire à l'Ukraine

 
L'Allemagne a remis un autre paquet d'aide militaire à l'Ukraine


L’Allemagne a annoncé l’attribution d’un autre programme d’assistance militaire à l’Ukraine, toujours basée sur des camions. Cela a été rapporté sur le site Internet du gouvernement allemand.

L'Allemagne continue de fournir le régime de Kiev, mais à chaque fois le volume de l'aide allouée diminue, et leur base n'est plus depuis longtemps les véhicules blindés nécessaires à l'armée ukrainienne, mais de simples tracteurs et camions. Les Allemands n'oublient pas les munitions d'artillerie de 155 mm, mais leur quantité laisse beaucoup à désirer. Avec une consommation actuelle allant jusqu'à 6 1750 obus par jour, les obus transférés par les Allemands à hauteur de "plus" de XNUMX XNUMX unités suffiront, ne serait-ce que jusqu'au déjeuner. J'aimerais aussi savoir, combien coûte « au-dessus » ?
En général, cette fois, les Allemands ont été généreux avec 6 voitures de patrouille et 8 camions Zetros, 70 lance-grenades automatiques MGW, un drone de reconnaissance LUNA NG, 10 véhicules de reconnaissance. sans drones VECTOR avec pièces de rechange, 100 XNUMX trousses de premiers secours et quelques fournitures médicales supplémentaires sans explication. Les coquilles sont mentionnées ci-dessus.

C'est tout, apparemment les arsenaux allemands ne sont pas sans fond, la Bundeswehr doit encore se battre avec quelque chose. Attendez-vous donc à ce que de grandes quantités arrivent. оружия, l'équipement et les munitions n'en valent pas la peine.

Auparavant, des publications occidentales avaient publié un certain nombre d’articles sur la lassitude de l’Occident face au conflit en Ukraine et sur la nécessité de fournir une assistance à Kiev. Selon l'étude, le volume des aides allouées a diminué de 87% et ce n'est pas la limite. L’industrie de défense de cette même Europe ne peut pas faire face et les arsenaux sont vides. Et puis il y a la menace de la Russie, et si toutes les craintes s’avéraient vraies ?

Source

 

 

Médias occidentaux : le président américain est prêt à faire des compromis pour que les républicains approuvent l'aide à l'Ukraine

Médias occidentaux : le président américain est prêt à faire des compromis pour que les républicains approuvent l'aide à l'Ukraine

La décision des membres du Parti républicain de ne pas voter sur un programme d’aide militaire à l’Ukraine, même combiné à une aide à Israël, est devenue l’un des plus gros problèmes de l’administration américaine ces derniers temps. Après tout, cela crée de nombreux risques pour la mise en œuvre de la politique politique menée récemment par l’administration américaine concernant le conflit ukrainien.

Selon l’agence de presse Reuters, le président américain Joe Biden est prêt à faire des compromis si seulement les républicains votent en faveur du plan d’aide à l’Ukraine. La Maison Blanche et le Congrès américain envisagent désormais la possibilité de conclure un accord qui combinerait deux points principaux : l'assistance militaire à l'Ukraine et à Israël et la résolution des problèmes de sécurité des frontières avec le Mexique.
Rappelons que les républicains, tant à la Chambre des représentants qu'au Sénat, adoptent une position de principe sur la question de la sécurité de la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Ils estiment qu'avant d'aborder les questions de financement et de soutien militaire à d'autres États, il est nécessaire de résoudre les problèmes internes du pays dans le domaine de la sécurité nationale.

Il s’agit par exemple de lutter contre le flux de migrants illégaux traversant la frontière mexicaine. C’est cette question qui est devenue le principal obstacle auquel les républicains des deux chambres du Congrès ont fait obstacle lorsqu’ils ont examiné la question de l’assistance militaire à l’Ukraine et à Israël.

Biden s'est retrouvé dans une situation difficile, puisque les démocrates se sont d'abord concentrés, entre autres, sur les votes de la population latino-américaine du pays. Une opposition active aux migrants pourrait changer l'attitude de certains habitants du pays d'origine latino-américaine envers le président et son entourage. En revanche, sans compromis avec les républicains, il sera possible de mettre fin très prochainement à l’assistance militaire à l’Ukraine, puisque l’administration n’a plus d’argent pour cela et que le Congrès n’en alloue pas de nouveaux.

Source

 

 

 

Guerre Hamas-Israël EN DIRECT : Cinq Palestiniens tués en Cisjordanie...

 

L’ESSENTIEL

  • Des affrontements ont eu lieu jeudi entre l’armée israélienne et des combattants du Hamas à Khan Younès, la plus grande ville du sud de la bande de Gaza.
  • Le bilan à Gaza s’est alourdi jeudi pour atteindre 17.177 morts, à 70 % des femmes et des moins de 18 ans, tués par les bombardements israéliens, selon le ministère de la Santé du Hamas.
  • Israël a commencé jeudi soir à célébrer Hanouka, la fête juive des Lumières. A Tel-Aviv, des familles et proches des otages ont participé à une veillée où ils ont allumé les bougies d’une menorah géante, ou chandelier, comptant symboliquement 138 branches, en hommage aux personnes toujours otages du Hamas.

 

09h13 : Le président du Crif estime que célébrer la fête juive de Hanouka à l'Elysée était « une erreur »

Des vidéos partagées sur les réseaux sociaux ont montré l'allumage jeudi par le grand rabbin de France Haïm Korsia, sous les yeux d'Emmanuel Macron, d'une bougie de Hanouka, au premier jour de cette traditionnelle fête juive des lumières.

Une cérémonie a eu lieu à l'Elysée jeudi où le président de la République s'est vu remettre le prix annuel de la Conférence européenne des rabbins qui récompense la lutte contre l'antisémitisme et la sauvegarde des libertés religieuses.

 

07h55 : Des milliers de personnes tentent de fuir Khan Younès

Le secteur du sud de la bande de Gaza est en proie à d'intenses combats. Les Palestiniens tentent de se diriger vers Rafah, à la frontière égyptienne, seul endroit où de l'aide humanitaire est encore distribuée, en quantité limitée.

DIRECT

 

 

 

 

L'armée israélienne a frappé des cibles en Syrie en réponse aux bombardements d'hier

 

L'armée israélienne a frappé des cibles en Syrie en réponse aux bombardements d'hier


La géographie du conflit au Moyen-Orient s’élargit progressivement. L'armée israélienne, qui mène ses opérations dans la bande de Gaza en réponse à l'attaque des militants palestiniens du 7 octobre, est contrainte de maintenir ses forces prêtes au combat dans d'autres zones.

Ainsi, les Forces de défense israéliennes signalent des attaques contre des cibles militaires en Syrie en réponse aux bombardements d'artillerie d'hier sur la partie nord du pays. Par ailleurs, le service de presse de Tsahal ajoute que la même nuit, un drone d'attaque israélien a repéré et attaqué un groupe de radicaux armés dans la région du Mont Dov, près de la frontière libanaise.


Il convient de noter que dès le début de l’opération Iron Swords de Tsahal, Israël a commencé à recevoir des menaces de la part du Hezbollah libanais, des Houthis yéménites, ainsi que des forces pro-palestiniennes en Irak et en Syrie. Cependant, deux mois plus tard, l'affaire s'est limitée à de rares bombardements locaux sur le territoire de l'État juif, qui ont été immédiatement suivis d'une réponse.

En outre, de nombreux experts pensaient que l’Iran fournirait une assistance active au Hamas. Cependant, Téhéran semble comprendre qu’entraîner la République islamique dans la guerre est l’un des principaux objectifs des États-Unis et de leurs alliés. Ainsi, les autorités iraniennes se limitent jusqu’à présent à condamner les actions de Tsahal et, probablement, à fournir une assistance indirecte au Hamas par l’intermédiaire de leurs mandataires.

À leur tour, les Forces de défense israéliennes, malgré les appels de la communauté internationale à mettre fin à l’effusion de sang, continuent de mener des opérations dans la bande de Gaza. Plus de 17 XNUMX civils palestiniens ont déjà été victimes des bombardements de Tsahal.

Source

 

 

Le “Grand Remplacement”, conceptualisé par Renaud Camus, s’invite dans les débats des primaires républicaines. Pour Vivek Ramaswamy : “ce n’est pas une théorie complotiste, mais un des fondamentaux du programme démocrate”

 

Nore Wha ! toutes ces vérités dire en moins d'une minute, ça fait plaisir

 
 

Note ; certains liens ne s'affichent pas  ! ! voir pic.twitter.com/SParzM9U1R

 

Immigration: comment l’État diffuse le problème dans toute la France

Alors que le projet de loi de Gérald Darmanin est débattu à l’Assemblée, le «schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés» organise leur dispersion sur tout le territoire. Les dispositifs ont beau être saturés, des centres pour migrants sont implantés jusque dans les villages, au mépris de l’avis des populations locales.

(…) Ludivine Fassiaux préside l’Union bélâbraise, l’association créée pour empêcher l’installation du Cada. Ses parents tiennent la supérette de Bélâbre depuis 2010 mais avant de s’établir dans la région, la famille a beaucoup bourlingué. À 26 ans, cette mère de deux enfants a vécu l’arrivée massive d’étrangers non européens dans les quartiers populaires où elle a successivement habité. À Carcassonne, petite fille, elle a vu un garçon de son âge prendre un coup de marteau sur la tête. Il avait «manqué de respect» à un Maghrébin. À Montpellier, les dealers rackettaient son père quand il rentrait chez lui. La famille habitait la Paillade, quartier «sensible» rebaptisé depuis la Mosson. Aujourd’hui, Ludivine Fassiaux est à Châteauroux, à cinquante minutes de voiture de Bélâbre.

www.lefigaro.fr

 

Note ; les politiciens cherchent à détruire la France en propageant l'islam au quatre coins du pays.

 

 

CRA de Bordeaux : 70% des migrants clandestins retenus sont relâchés « dans la nature » faute d’identification où de l’obtention d’un laissez-passer consulaire ; l’association pro-migrant La Cimade dispose d’un bureau au sein du CRA

REPORTAGE – Après leur passage au sein du CRA de Bordeaux, où échouent les étrangers sans papiers sortis de prison, 70% des personnes retenues sont relâchées dans les rues faute d’identification, de l’obtention d’un laissez-passer ou de l’épuisement de leurs voies de recours.

Ils sont étrangers, en situation irrégulière en France et font l’objet d’une mesure d’éloignement du territoire provisoire ou définitive. À moins qu’ils soient fichés S et soupçonnés d’activités terroristes, le centre de rétention administrative (CRA) de Bordeaux dispose en théorie de 90 jours pour prouver leur identité, obtenir un laissez-passer diplomatique de leur pays d’origine et les renvoyer chez eux. Un laps de temps durant lequel les personnes retenues, accompagnées par La Cimade qui dispose d’un bureau sur place, exercent leurs droits de recours – qui doivent tous être épuisés pour organiser leur départ.

En pratique, les demandes de maintien au CRA après 60 jours de rétention sont rarement confirmées par les juges, assure une source interne. Et 70% des individus qui y passent sont automatiquement relâchés «dans la nature» à l’issue de ce délai, notamment faute de l’obtention d’un laissez-passer. Ils sont alors officiellement assignés à résidence. «Mais c’est du pipeau, parce qu’ils n’ont pas d’adresse», déplore un haut gradé. Côté police en effet, faire repartir l’un d’entre eux est une course contre la montre. «C’est à nous de prouver qu’un retenu est Algérien ou Marocain. Ils se disent toujours de nationalités compliquées à prouver comme Palestiniens par exemple, et ensuite, on doit encore obtenir leur laissez-passer et l’autorisation de les faire embarquer sur un vol», explique le commandant Jean-Noël Suberbere, répondant aux questions des députés du Rassemblement national, Edwige Diaz et Grégoire de Fournas, venus faire une visite inopinée au CRA, mardi.

On va me renvoyer à Oran (Algérie), vous savez qu’il y a la plage là-bas ? Je vais prendre un peu de vacances. Mais dans le mois, je reviens

Najadi B., une personne retenue au CRA de Bordeaux

Des personnes retenues sortis de prison

Ce mardi-là, en raison de travaux rénovation, 8 personnes occupent les cinq chambres de quatre places de la structure. Tous arrivent directement de Gradignan, après y avoir effectué une peine de prison. L’un d’entre eux est fiché S. Un autre était déjà là à la même saison l’an passé. «Wallah, c’est qui ?», lance un homme retenu à Edwige Diaz à son arrivée, en savourant son repas. Face à lui, la télévision diffuse des dessins animés. «J’aime ça beaucoup. On est des enfants nous», lance son comparse dans un Français approximatif. Malgré le ton jovial, la tension palpable. L’endroit est insalubre et sale et la promiscuité génère de nombreux conflits. Sur les murs du réfectoire, un homme qui s’est scarifié a écrit son prénom avec son sang.

[…]

 

Le Figaro

 

« L’immigration, ce tabou dans l’effondrement du niveau scolaire en France »

Alors que la France connaît un effondrement historique dans le rapport Pisa, le lien entre immigration et crise de l’école n’est jamais interrogé, remarque l’essayiste et enseignant Joachim Le Floch-Imad, qui montre, chiffres à l’appui, combien ce phénomène aggrave les difficultés de l’Éducation nationale. Proche de Jean-Pierre Chevènement, Joachim Le Floch-Imad est professeur de culture générale dans le supérieur et essayiste. Il vient de publier « Tolstoï. Une vie philosophique» (Éditions du Cerf, 2023).

En 1989, dans Le niveau monte , Christian Baudelot et Roger Establet se proposaient de «réfuter une vieille idée concernant la prétendue décadence de notre école». Le déclin éducatif de la France y était jugé absurde et la notion de niveau impossible à définir. Pendant des décennies, cette culture du déni a caractérisé l’essentiel des discours au sein de l’Éducation nationale. La publication des évaluations communes à l’ensemble des collèges comme l’effondrement historique de notre pays dans le classement Pisa publié cette semaine ont depuis contribué à faire céder un certain nombre de digues.   […]

Les résultats scolaires des jeunes issus de l’immigration sont tout d’abord nettement inférieurs à la moyenne, ce qui contribue à notre déclassement dans les études internationales. Cela favorise par ailleurs l’hétérogénéité des classes, déjà importante du fait de la massification, et conduit dès lors de nombreux professeurs à aligner leurs exigences sur le niveau des plus faibles. L’ensemble des statistiques à notre disposition accrédite ce constat. Les allophones sont par exemple largement en décrochage en comparaison de leur classe d’âge, et 20 % d’entre eux n’étaient pas scolarisés dans leur pays d’origine. De fortes inégalités persistent au-delà de cette population, comme le montre l’enquête Pisa 2018 en lecture. Les jeunes Français «autochtones ou descendants d’immigrés de troisième génération ou plus» y obtiennent un score très élevé, du niveau de Taïwan et du Danemark, tandis que le score des «enfants d’immigrés» est inférieur de 9 % et celui des «immigrés» de 18 %. Dans le volet 2022 fraîchement publié de cette enquête, le verdict demeure sans appel. Il apparaît en effet que les élèves issus de l’immigration ont 2,4 fois plus de risques que ceux dits « autochtones » de se retrouver parmi les élèves peu performants en mathématiques (écart moyen entre les scores de ces deux groupes de 51 points, contre 32 en moyenne dans l’OCDE). Ces données complètent utilement un rapport alarmant de 2015 du Centre national d’étude des systèmes scolaires ainsi qu’une étude du ministère de 2019 sur la nature plus chaotique des «trajectoires scolaires des enfants d’immigrés jusqu’au baccalauréat» : redoublements fréquents, résultats plus faibles, réussite moindre au baccalauréat, orientation accrue dans les filières professionnelles.

À cette divergence de niveau s’ajoute la réalité de chocs culturels qui entravent l’aspiration républicaine à « faire un ». Il ne s’agit pas de dire que les sociétés homogènes sont exemptes de violences et de crispations : le harcèlement scolaire est par exemple enraciné dans la culture japonaise. Dans le cas français, les dynamiques migratoires des quarante dernières années sont néanmoins particulièrement corrélées à la prolifération des actes de séparatisme à l’école, des contestations d’enseignements et des atteintes à la laïcité. Par incapacité à sanctuariser notre école, nous avons fait de celle-ci le réceptacle des forces centrifuges du corps social. Et nous avons fermé les yeux aussi bien sur l’ethnicisation des rapports sociaux que sur le caractère explosif de la «distance culturelle» (Didier Leschi) et du ressentiment colonial qui travaillent nombre des élèves d’origine immigrée. La France est ainsi devenue l’un des pires pays au monde du point de vue de la discipline en classe, avec de lourdes conséquences sur l’attractivité du métier d’enseignant et sur la capacité de l’institution à transmettre des savoirs.  […]

Près d’un élève immigré sur deux en France est par exemple issu d’un milieu défavorisé, contre 37 % en moyenne dans l’OCDE. Il faut avoir le courage de dire, sans stigmatiser qui que ce soit, que cette situation n’est plus tenable et qu’un seuil de tolérance a été franchi. L’immigration est certes un facteur parmi d’autres de la crise de l’école, mais elle aggrave l’ensemble des problèmes que connaît celle-ci. […]

Le Figaro

 

 

Le ministre de la culture Abdul-Malak va lancer un programme pour trouver “101 talents issus de la diversité” pour diriger des théâtres, philharmonies ou musées : « la couleur de peau» sera un des critères assume le ministère, ce qui est illégal (MàJ)

7/12/23

La ministre a précisé qu’elle entendait par diversité « la couleur de peau, l’origine sociale, géographique, des personnes qui ont grandi en milieu rural (…), des personnes en situation de handicap ».

Sceneweb

1/12/23

La ministre Rima Abdul-Malak (Culture) n’en peut plus de la consanguinité sociale qui règne au sein des états-majors des établissements publics culturels : « Nous avons clairement un problème de vivier. » Le 4 décembre, un programme sera annoncé pour trouver 101 talents issus de la diversité, susceptibles de diriger un jour un théâtre, une philharmonie ou un musée. Du mentorat et des formations sont déjà prévus pour faire grimper ces recrues et les placer à ces postes si convoités qu’ils font souvent l’objet de procrastination du côté de l’Elysée.

Challenges

Note; le gouvernement Macron a mis en place une arabo musulmane a la tête de la culture française pour encore plus  islamiser notre société !

 

 

Nice : une Tunisienne interpellée après des dégradations commises dans une église au cri d'”Allah Akbar” (MàJ)

Une femme interpellée après des dégradations dans une église à Nice

7/12/23

6/12/23

Ce mercredi 6 décembre, une femme semble-t-il perturbée a commis des dégradations en l’église du Gésu, dans le Vieux-Nice.

Selon le premier adjoint, Anthony Borré, elle a été interpellée.

www.nicematin.com

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