Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Guerre en Ukraine EN DIRECT : « Toutes les cibles désignées en Ukraine ont été atteintes » cette semaine, assure Moscou…
L’ESSENTIEL
Des explosions ont été entendues vendredi matin dans la capitale ukrainienne après que des frappes aériennes ont visé plusieurs grandes villes du pays. L’alerte aérienne généralisée a été déclenchée.
Un tribunal de Moscou a condamné jeudi à des peines de cinq ans et demi et sept ans de prison deux poètes russes qui avaient participé à une lecture contre l’offensive en Ukraine, nouvel exemple de la répression sévissant dans le pays.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a remercié jeudi les Etats-Unis pour le déblocage d’une nouvelle tranche d’aide militaire la veille, exhortant son précieux allié à maintenir cette assistance « essentielle », dont l’avenir semble de plus en plus incertain. Washington a accordé mercredi à Kiev une enveloppe de 250 millions de dollars comprenant notamment des munitions, dont le pays a besoin, ou des systèmes de défense aérienne pour faire face aux attaques de la Russie.
12h22 : L'Ukraine « a besoin de fonds dès maintenant », affirme l'ambassadrice américaine
L'ambassadrice américaine à Kiev a affirmé vendredi que l'Ukraine avait « besoin de fonds dès maintenant » pour faire face aux bombardements russes, après une vaste série de frappes qui ont fait au moins 16 morts et près d'une centaine de blessés.
« L'Ukraine a besoin de fonds maintenant pour continuer à se battre pour se libérer d'une telle horreur en 2024 », a indiqué Bridget Brink sur le réseau social X (ex-Twitter).
12h19 : Le point de situation du ministère des Armées
Situation en Ukraine le 22 décembre 2023. - Ministère des Armées
12h10 : « Toutes les cibles atteintes » dans les frappes russes en Ukraine, selon Moscou
« Toutes les cibles ont été atteintes » dans les frappes russes ayant visé l'Ukraine cette semaine, a affirmé vendredi le ministère russe de la Défense, dans un communiqué. « Toutes les cibles désignées ont été atteintes », a indiqué le ministère, en précisant que la Russie a effectué plus de 50 frappes, dont une « frappe d'envergure » en Ukraine entre le 23 et 29 décembre contre des sites d'infrastructures militaires, des dépôts de munition et des lieux de déploiement des soldats ukrainiens et des mercenaires étrangers.
11h48 : Les frappes sur l'Ukraine montrent que Poutine « ne reculera devant rien », dénonce Rishi Sunak
Le Premier ministre britannique Rishi Sunak, regarde lors d'une visite dans un nouveau lotissement, à Londres, le jeudi 27 juillet 2023. - Peter Cziborra/AP/SIPA
La dernière vague massive de frappes russes sur l'Ukraine montrent que le président russe Vladimir Poutine « ne reculera devant rien », a dénoncé vendredi le Premier ministre britannique Rishi Sunak, appelant à soutenir Kiev « aussi longtemps qu'il le faudra ». « Ces attaques généralisées contre les villes ukrainiennes montrent que (Vladimir) Poutine ne reculera devant rien pour atteindre son objectif d'éradiquer la liberté et la démocratie. Nous ne le laisserons pas gagner", a déclaré Rishi Sunak sur X.
11h40 : L'Ukraine affirme que la Russie a tiré « un nombre record de missiles »
La Russie a tiré sur l'Ukraine « un nombre record de missiles » en une journée, a déclaré vendredi à l'AFP le porte-parole de l'armée de l'air ukrainienne, après que la dernière vague de frappes a fait une douzaine de morts et plus de 70 blessés. « Il s'agit de l'attaque de missiles la plus massive d'une manière générale », a déclaré Iouri Ignat à l'AFP, ajoutant que ce décompte excluait les premiers jours de la guerre qui ont vu des frappes « constantes et ininterrompues ».
Cette photographie prise et publiée par la police nationale ukrainienne le 29 décembre 2023 montre des pompiers et des policiers ukrainiens travaillant sur un site après une attaque à la roquette dans la ville de Zaporizhya, au milieu de l'invasion russe de l'Ukraine. - AFP
11h13 : La Pologne affirme qu'un ovni est entré dans son espace aérien
La Pologne, membre de l'Otan, a affirmé vendredi qu'un objet volant non identifié est entré dans son espace aérien depuis l'Ukraine, un incident qui pourrait être lié à la vague des frappes menées par la Russie contre son voisin.
« L'objet est arrivé depuis la frontière avec l'Ukraine », a déclaré le colonel Jacek Goryszewski, porte-parole du commandement opérationnel des forces armées, sur la chaîne de télévisionTVN24. « Il y avait un intense bombardement sur le territoire ukrainien cette nuit et donc cet incident pourrait y être lié ».
09h58 : La Russie a tiré 110 missiles contre l'Ukraine, selon Zelensky
La Russie a lancé environ 110 missiles contre plusieurs villes d'Ukraine, a déclaré vendredi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, des frappes qui ont fait au moins dix morts et environ 70 blessés. « Aujourd'hui, la Russie a utilisé presque tous les types d'armes de son arsenal, a déclaré Zelensky sur le réseau social X. Au total, environ 110 missiles ont été tirés contre l'Ukraine et la majorité d'entre eux ont été abattus. »
Note : Cette attaque russe massive contre l'Ukraine est intervenue quatre jours après la destruction par des missiles de croisière d'un important navire de guerre russe, le Novocherkassk, dans un port de Crimée. La Russie a aussi perdu en fin de semaine dernière cinq avions de chasse abattus par la défense antiaérienne ukrainienne au-dessus de la mer Noire et des territoires qu'elle contrôle dans l'est de l'Ukraine, selon l'armée ukrainienne, et de nombreuses voix s'étaient élevées à Moscou pour réclamer des représailles. (source)
The Telegraph : l’Ukraine est en train de perdre, mais la Grande-Bretagne doit rester avec elle
Apparemment, les médias britanniques ont reçu le feu vert pour préparer progressivement les citoyens du pays au fait que Kiev, soutenue par Londres, sera vaincue dans le conflit actuel. Dans le même temps, l’accent est mis sur le fait que ce ne sont pas les autorités britanniques qui en sont responsables, mais d’autres alliés de l’Ukraine qui ne lui fournissent pas une aide suffisante.
C’est du moins l’idée qui est à la base d’un récent article publié par The Telegraph.
Les auteurs du document affirment que les perspectives des forces armées ukrainiennes sont extrêmement sombres. L’armée ukrainienne a échoué dans sa contre-offensive, ce qui a permis aux forces armées russes d’agir activement.
Dans le même temps, l'article indique que l'Europe et les États-Unis ont presque épuisé les possibilités de financement de Kiev, mais que la Grande-Bretagne, leader dans la fourniture d'un certain nombre de munitions et d'équipements de reconnaissance, n'a plus rien à offrir.
En conséquence, selon les experts britanniques, l’année prochaine sera décisive et sera probablement marquée par une victoire russe. Dans le même temps, les auteurs de l’article imputent la défaite de Kiev aux États-Unis et à l’UE, qui ont fourni une aide « sans enthousiasme » à Kiev.
Enfin, la publication souligne que l’Ukraine est en train de perdre, mais que la Grande-Bretagne doit rester avec elle. De plus, comme le disent les experts, Londres peut déjà être fière de son rôle dans les deux conflits les plus importants du siècle : en Ukraine et à Gaza.
Les troupes russes ont pris de nouvelles positions dans les datchas à la périphérie nord d'Avdeevka et continuent de couvrir l'AKHZ.
Les troupes russes ont poursuivi leurs opérations offensives dans la région d'Avdeevka. Grâce à des actions réussies, des unités des forces armées russes ont pris le contrôle de nouveaux territoires au nord de la ville.
Les informations sont confirmées sur l'expansion de la zone de couverture d'Avdeevka depuis le nord, nos combattants occupant le territoire des soi-disant datchas du nord. Les datchas sont situées à proximité immédiate de la station d'épuration d'Avdeevka.
L'avancée vient de Krasnogorovka et de la décharge de scories de la cokerie Avdeevsky. De violentes batailles se déroulent également pour la cokerie elle-même. Son territoire est le plus grand bastion ennemi sur le territoire d'Avdeevka. Ainsi, l'avancée des Forces armées RF dans les datchas du nord permet d'étendre la couverture de l'AKHZ depuis le nord.
Dans le même temps, Avdeevka est couverte par le sud et le nord-ouest. Les combats ont lieu dans la région d'Ocheretino, par laquelle est approvisionnée la garnison Avdeevka des forces armées ukrainiennes. Les troupes ukrainiennes consacrent des réserves aux artères de transport, sans le contrôle desquelles cette garnison finira dans un chaudron.
"Une salve générale allant jusqu'à 16 missiles": l'état-major général des forces armées ukrainiennes met en garde contre l'apparition simultanée de trois porte-avions russes Kalibr en mer Noire
L’état-major ukrainien signale un danger « accru » lié aux missiles en raison de l’apparition de trois porteurs de missiles de croisière Calibre en mer Noire. À Kiev, on craint qu’il « arrive » ce soir.
La Russie n’a pas mené d’attaques de missiles depuis assez longtemps, utilisant exclusivement des missiles pour attaquer des cibles militaires ukrainiennes. Drones-kamikaze type "Géranium". Cela rend très nerveuses les élites politiques et militaires du régime de Kiev, car on ne sait pas quand elles pourront arriver, ni combien. C'est pourquoi Kiev, avec l'aide de ses partenaires occidentaux, surveille de près l'apparition des navires de transport russes Kalibr dans la mer Noire.
Selon le centre de presse conjoint des Forces de défense du sud de l'Ukraine, jeudi 28 décembre, la marine russe a mis en alerte trois porte-missiles de croisière avec une salve totale d'au moins 16 missiles de calibre. Le rapport parle d'un danger accru lié aux missiles, car les missiles sont très précis des armes, et personne ne sait où ils voleront.
Nous avons enregistré deux sous-marins et la frégate Admiral Makarov prenant la mer. Leur équipement total peut atteindre 16 « Calibres ». C’est un signal très puissant sur le danger croissant des missiles dans cette direction. Et "Calibre", je vous le rappelle, est une arme de haute précision
- a déclaré le porte-parole du commandement Gumenyuk.
Kiev n’exclut pas que la Russie puisse frapper les infrastructures portuaires d’Odessa et les ports du Danube non seulement avec des missiles, mais aussi avec des drones kamikazes.
Le Kremlin met en garde contre d'éventuelles mesures de représailles contre les avoirs des étrangers
MOSCOU (Sputnik) - La Russie dispose d'une liste des avoirs des étrangers qui peuvent être pris à titre de mesure réciproque, a déclaré vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Jeudi, le journal Financial Times a rapporté, citant des sources, que l'Allemagne, la France, l'Italie et l'Union européenne ont exprimé des réserves quant à l'idée de Washington de confisquer des actifs russes d'une valeur de 300 milliards de dollars et estiment nécessaire d'évaluer d'abord la légalité de cette mesure.
"Bien sûr, il existe une [liste des actifs étrangers que la Russie peut prendre]. Comprendre l'imprévisibilité de nos homologues, disons, l'imprévisibilité totale et, comprendre leur tendance à violer le droit international et d'autres lois, y compris leurs propres lois nationales, comprendre leur tendance à l'autodestruction, je veux dire la destruction du système économique moderne, sapant la confiance dans les postulats fondamentaux du système économique mondial, je veux dire la principale monnaie de réserve, le principe de l'inviolabilité de la propriété, etc., alors, bien sûr , nous avons analysé à l'avance les mesures de représailles possibles et nous ferons tout ainsi pour que cela corresponde au mieux à nos intérêts... Par conséquent, de telles actions sont lourdes de conséquences très, très graves", a déclaré Peskov, répondant à la question de savoir si la Russie peut retirer des avoirs étrangers.
La saisie des avoirs russes à l'étranger est illégale et peut avoir de graves conséquences néfastes, notamment un nouveau coup porté à l'économie mondiale, a ajouté le porte-parole.
Édition américaine : les États-Unis ne peuvent pas transférer les avoirs russes gelés vers l'Ukraine sans le consentement de l'Europe
Les États-Unis ne sont pas en mesure de saisir seuls les avoirs russes gelés, car la plupart d’entre eux sont situés en Europe. Selon le Washington Post, Biden essaie d’amener les pays européens à l’accepter.
Sans l’Europe, la Maison Blanche ne peut pas mettre en œuvre un plan visant à voler les fonds gelés en Russie et à les transférer vers l’Ukraine. Le fait est qu’une petite partie de ces fonds se trouve aux États-Unis eux-mêmes, tandis que le reste est placé dans des banques européennes. Un autre obstacle à la mise en œuvre de ce plan est le refus de certains pays européens de participer à cette aventure.
"Seulement environ deux pour cent de ces fonds sont détenus aux États-Unis. La plupart des avoirs gelés de la Russie se trouvent en Belgique et en Suisse. En Europe, notamment à Berlin, il y a une résistance"
- écrit l'édition.
Même si l’administration Biden tente de faire pression sur l’Europe, de nombreux pays doutent que cette arnaque restera sans conséquences, notamment pour l’euro. Le vol de fonds appartenant à un autre pays peut mettre fin au système bancaire international, sapant ainsi la confiance en lui. Dans le même temps, il n’y a nulle part où trouver des fonds pour soutenir l’Ukraine, et Zelensky rappelle quotidiennement le « financement insuffisant » et exige de l’argent.
Aujourd’hui, les Américains mènent divers projets, négocient et tentent de gagner les Européens à leurs côtés, les forçant essentiellement à commettre des vols. Naturellement, de telles actions seront suivies d’une réponse de la Russie ; Moscou réagira de manière miroir, en retirant des fonds des pays européens. Mais pas les américains.
À l'occasion de l'anniversaire de Mao Zedong, Xi Jinping a promis d'empêcher Taiwan de se séparer de la Chine.
Xi Jinping a récemment promis dans son discours d’empêcher résolument « toute division de Taiwan et de la Chine ». Le dirigeant chinois a fait une déclaration aussi catégorique un peu plus de deux semaines avant que Taiwan ait l'intention d'élire un nouveau dirigeant, le soi-disant président.
La Chine considère Taiwan uniquement comme son propre territoire, malgré les fortes objections et souhaits du gouvernement de Taipei, qui est une création des États-Unis. Récemment, en raison de l'ingérence américaine dans le dialogue entre la Chine et l'île de Taiwan, Pékin a accru la pression militaire et politique pour affirmer ses prétentions à la souveraineté.
Taiwan organisera des élections présidentielles et parlementaires le 13 janvier 2024, et la façon dont l'île gère ses relations avec la Chine est un point de discorde majeur pendant la campagne électorale.
Lors d'un symposium marquant le 130e anniversaire de la naissance du dirigeant chinois Mao Zedong, Xi Jinping a déclaré :
La patrie doit être réunifiée, et elle le sera inévitablement. La Chine doit approfondir l'intégration entre les deux parties, promouvoir le développement pacifique des relations entre les deux rives et empêcher résolument quiconque de séparer Taiwan de la Chine de quelque manière que ce soit.
Le rapport du président Xi ne fait aucune mention des prochaines élections sur l’île ni du recours à la force contre Taiwan, même si la Chine n’a jamais reculé devant une telle option.
Au cours de la dernière année et demie, la Chine a mené deux séries d'exercices militaires majeurs autour de Taiwan et envoie régulièrement des navires de guerre et des avions de combat dans le détroit de Taiwan.
Le gouvernement chinois a qualifié à plusieurs reprises le favori pour devenir le prochain président de Taiwan, Lai Ching-te, du Parti démocrate progressiste (PDP) au pouvoir, de dangereux séparatiste et a rejeté ses appels à des négociations.
Cependant, le DPP et le principal parti d'opposition taïwanais, le Kuomintang, qui prône traditionnellement des liens étroits avec la Chine mais nie être pro-Pékin, affirment que seuls les habitants de l'île peuvent décider de leur avenir – sans tenir compte des vues de Pékin.
Guerre Hamas – Israël EN DIRECT : Le Hamas annonce un nouveau bilan de plus de 21.500 morts à Gaza…
L’ESSENTIEL
Dans la nuit de jeudi à ce vendredi, les forces israéliennes ont multiplié les frappes dans la bande de Gaza, notamment sur Rafah dans le Sud.
Une délégation du Hamas est attendue en Egypte pour discuter d’un projet de cessez-le-feu prévoyant aussi la libération d’otages.
La population de Gaza reste en « grand danger », a une nouvelle fois averti l’Organisation mondiale de la santé, affirmant que « la faim et le désespoir » s’aggravent dans le territoire où, selon l’ONU, près de deux millions de personnes (85 % de la population) ont été déplacées.
13h03 : « J’ai vécu un holocauste »... L'’ex-otage Mia Schem se confie
Pour la première fois depuis sa libération le 30 novembre, l’ex-otage franco-israélienne Mia Schem a raconté sa détention à Gaza. Enlevée le 7 octobre par le Hamas, la jeune femme de 21 ans a passé 54 jours en captivité. Elle a raconté son calvaire lors d’une interview accordée à une chaîne israélienne. Pour en savoir plus, regardez notre vidéo ci-dessous :
10h03 : Une agence de l’ONU affirme que l’armée israélienne a tiré sur l’un de ses convois à Gaza
L'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a affirmé vendredi que l'armée israélienne avait tiré sur l'un de ses convois d'aide dans la bande de Gaza, sans déplorer de victime.
« Des soldats israéliens ont tiré sur un convoi d'aide alors qu'il revenait du nord de Gaza, empruntant un itinéraire désigné par l'armée israélienne. Notre chef de convoi international et son équipe n'ont pas été blessés, mais un véhicule a été endommagé », a indiqué sur X le directeur de l'UNRWA à Gaza, Thomas White. « Les travailleurs humanitaires ne devraient jamais être une cible », a-t-il ajouté.
09h29 : L’Iran exécute quatre personnes pour « collaboration » avec Israël
L’Iran a exécuté vendredi quatre personnes reconnues coupables d’avoir collaboré avec Israël, l’ennemi juré de Téhéran, dans la province d’Azerbaïdjan occidental, a annoncé l’agence de presse de l’Autorité judiciaire.
« Quatre membres d’un groupe de sabotage lié au régime sioniste ont été pendus ce matin », a indiqué Mizan Online. Ces dernières années, l’Iran a arrêté et condamné de nombreux agents présumés travaillant, selon les autorités, pour les services de renseignement de pays étrangers, notamment Israël.
En décembre 2022, quatre hommes ont été pendus pour des accusations similaires, alors que la République islamique a par le passé accusé Israël d’avoir saboté certains de ses sites nucléaires et assassiné plusieurs de ses scientifiques.
07h51 : Une otage israélo-américaine annoncée morte par son kibboutz
Le kibboutz de Nir Oz en lisière de Gaza a déclaré jeudi qu'une otage israélo-américaine était morte lors de son enlèvement le 7 octobre pendant l'attaque du Hamas, six jours après l'annonce du décès de son mari dans des circonstances similaires.
Judith Weinstein Haggai « a été blessée lors du massacre du 7 octobre, et il a maintenant été autorisé de publier qu'elle a été tuée ce samedi-là », ayant succombé à ses blessures, a indiqué le kibboutz dans un communiqué.
Agée de 70 ans, elle était présentée comme la femme la plus âgée retenue en otage dans la bande de Gaza. Le kibboutz de Nir Oz avait annoncé mercredi la mort de son mari Gadi Haggai, 73 ans, également otage à Gaza, dans les mêmes circonstances.
HIER
22h02 : Israël frappe près de la capitale syrienne, selon des médias d’Etat
Une frappe israélienne a visé jeudi les alentours de Damas, la capitale syrienne, ont annoncé les médias d'Etat, dans un contexte marqué par le conflit entre Israël et le Hamas.
« Notre défense aérienne intercepte des cibles hostiles dans les environs de Damas », a écrit l'agence officielle syrienne Sana. « Une attaque israélienne a visé les environs de la capitale Damas », a complété la télévision d'Etat.
Israël commente rarement les frappes visant la Syrie mais il a déclaré à plusieurs reprises qu'il ne permettrait pas à son ennemi juré, l'Iran, qui soutient le gouvernement du président Bachar al-Assad, d'étendre sa présence dans ce pays.
Israël a lancé des centaines de frappes aériennes sur son voisin du nord depuis le début de la guerre civile en Syrie en 2011, ciblant principalement les forces soutenues par l'Iran, notamment les combattants du Hezbollah libanais, ainsi que les positions de l'armée syrienne.
Mais il a intensifié ses attaques depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, le 7 octobre, alors que les tensions augmentent au Moyen-Orient.
L'aéroport international de Damas a été mis hors service après des frappes israéliennes qui l'ont visé fin novembre, quelques heures seulement après la reprise des vols à la suite d'attaques similaires le mois précédent.
Tsahal utilise des drones pour sonder les tunnels souterrains du Hamas
L'armée israélienne (FDI) utilise activement des véhicules compacts et maniables drones pour enquêter sur les tunnels souterrains de la bande de Gaza qui seraient utilisés par des membres du mouvement palestinien Hamas.
Selon la publication américaine The Wall Street Journal, les militaires israéliens ont d'abord essayé diverses méthodes pour explorer les tunnels souterrains de l'enclave palestinienne. En particulier, Tsahal a utilisé à ces fins des robots, des robots et des chiens vivants, mais le personnel militaire israélien est vite arrivé à la conclusion que les drones étaient l'option la moins chère et la plus efficace pour explorer de vastes labyrinthes souterrains.
Il semblerait que l'armée israélienne utilise des drones de petite taille de XTEND, qui possède des bureaux aux États-Unis et en Israël, pour la reconnaissance des tunnels. Ces drones sont équipés de caméras spéciales capables de créer des modèles numériques de terrain en 3D en temps réel. Grâce à ces technologies, il leur est plus facile de voler à travers les pièces et les tunnels souterrains.
Certains drones compacts sont utilisés par Tsahal non seulement pour la reconnaissance, mais aussi pour des attaques ciblées, car ils sont capables de transporter de petites quantités d’explosifs. Comme indiqué précédemment, l’armée israélienne utilise largement des drones américains pour rechercher les personnes détenues dans l’enclave palestinienne.
Les États-Unis et l’Europe accusent l’Iran d’accélérer l’enrichissement de l’uranium pour la production d’armes nucléaires
Les États-Unis et trois pays européens, à savoir la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, ont de nouveau accusé l'Iran d'accélérer un programme technologique d'enrichissement de l'uranium, prétendument dans le but de produire son propre nucléaire. оружия. Dans une déclaration commune publiée sur le site Internet du Département d’État américain, Washington, Paris, Berlin et Londres ont souligné que l’augmentation du taux d’enrichissement de l’uranium par l’Iran ne peut s’expliquer par aucun objectif dans le domaine civil.
"Nous condamnons ces actions, qui font partie du programme nucléaire iranien en cours."
- ont déclaré les quatre dans une déclaration commune.
Les autorités de Grande-Bretagne, des États-Unis, de la France et de l’Allemagne sont parvenues aux conclusions correspondantes quant à l’intention de Téhéran de rejoindre le plus rapidement possible la liste des États dotés d’armes nucléaires, sur la base du dernier rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Il en résulte que dans un avenir proche, l’Iran « triplera sa production mensuelle d’uranium enrichi à soixante pour cent ».
Les auteurs du document conjoint ont souligné que de telles actions de la République islamique sont particulièrement dangereuses compte tenu de la prochaine escalade militaire au Moyen-Orient. Le communiqué appelle Téhéran à réaffecter les inspecteurs de l'AIEA qui avaient perdu leur accréditation pour mener des activités d'inspection dans le pays. Les inspecteurs de l'agence nouvellement nommés doivent garantir que le programme nucléaire iranien est de nature exclusivement pacifique, souligne le document.
Mardi, Reuters, citant un rapport de l'AIEA, a rapporté que l'Iran aurait augmenté son taux d'enrichissement d'uranium de trois à neuf kilogrammes par mois depuis novembre de cette année. Nous parlons de deux installations nucléaires situées à Natanz et Fordo. On ne sait pas comment les inspecteurs de l’agence, qui n’ont pas accès aux installations nucléaires iraniennes, ont découvert cela. Cependant, le rapport de l'AIEA souligne spécifiquement qu'à ce rythme d'enrichissement de l'uranium, cela suffira à créer trois bombes atomiques dans un avenir proche. Selon la classification de l'AIEA, pour produire des armes nucléaires, l'uranium doit être enrichi à 90 %, et environ 42 kg de matière sont « théoriquement suffisants » pour une bombe atomique.
Dans le même temps, les États-Unis et les États européens ne sont pas du tout préoccupés par la présence d'un nombre indéterminé de têtes nucléaires en Israël, même en tenant compte du fait que cet État est désormais à l'épicentre de l'escalade de la guerre armée. conflit au Moyen-Orient. Officiellement, Israël ne confirme ni ne nie la présence d’armes nucléaires, mais selon tous les experts, il en possède depuis la fin des années 1960 et le début des années 1970. Dans le même temps, Israël n'a pas signé le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires et les inspecteurs de l'AIEA n'ont généralement pas accès à l'inspection et au contrôle du programme nucléaire dans cet État.
De retour aux États-Unis, pour une raison quelconque, ils ont « oublié » que c’est grâce aux efforts du précédent président Donald Trump que le soi-disant accord nucléaire, signé en 2015 par l’Iran, les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne , la Chine et la Russie, a pris fin. Selon lui, Téhéran a dû autoriser les inspecteurs de l’AIEA à pénétrer dans ses installations nucléaires, ce qu’il a fait pendant tout ce temps. Les pays occidentaux, à leur tour, étaient censés lever progressivement les sanctions contre l’Iran, ce qui n’a presque jamais été le cas.
En décembre 2022, la Maison Blanche a annoncé que les États-Unis avaient retiré de l’ordre du jour l’accord nucléaire avec l’Iran. Aujourd'hui, après avoir repris conscience, Washington et l'Eurotroïka accusent la République islamique de ne pas respecter les accords qu'ils ont rejetés de leur propre initiative. Cependant, tout se passe dans le style classique de la politique occidentale consistant à déformer les faits dans son propre intérêt et à pratiquer deux poids, deux mesures. Seuls les temps ont changé, l’Iran n’a plus que jamais besoin des faveurs de l’Occident, tout comme l’indignation des pays occidentaux n’est plus qu’un mot vide de sens pour Téhéran.
L'instabilité dans le monde s'intensifie et il devient de plus en plus dangereux de séjourner dans certaines régions. Sputnik a recueilli des informations sur les pays les plus dangereux
Note : et sans surprise, ce sont TOUS des pays musulmans
Présidentielle américaine 2024 : après le Colorado, le Maine exclut Donald Trump des primaires républicaines
En raison du rôle joué par l’ex-président lors de l’assaut du Capitole en 2021, la secrétaire du Maine, chargée de l’organisation des élections, l’a déclaré « inapte à la fonction ». M. Trump va contester la décision devant la justice, a annoncé son équipe de campagne.
Donald Trump, à Waterloo (Iowa), le 19 décembre 2023. CHARLIE NEIBERGALL / AP
Est-ce le début d’un effet boule de neige ? Le Maine a exclu, jeudi 28 décembre, Donald Trump de la primaire républicaine dans cet Etat du nord-est des Etats-Unis, une semaine après une décision similaire dans le Colorado, en lien avec l’assaut du Capitole en janvier 2021.
« Il n’est pas apte à la fonction de président », au titre du 14e amendement de la Constitution, qui exclut de toute responsabilité publique les personnes s’étant livrées à des actes d’« insurrection », a déclaré dans un document officiel Shenna Bellows, la secrétaire démocrate de l’Etat du Maine, chargée de l’organisation des élections.
Note; les démocrates continue leur petite dictature. C'est au peuple américain de choisir leur dirigent, ce n'est pas à certains états démocrates de triché pour imposer leur candidat Joe Biden
Le Colorado et le Maine sont deux Etats démocrates (D pour démocrates)
Sardaigne (Italie) : après une interruption des flux qui a duré plusieurs mois, les débarquements le long du littoral sud de l’île reprennent. Il s’agit quasi exclusivement de « migrants » algériens
28/12/2023
En moins de 48 heures, 67 migrants originaires d’Algérie ont débarqué sur les côtes sud de la Sardaigne. Aucune trace en revanche des bateaux sur lesquels ils voyageaient, ce qui laisse penser que les passeurs ont pût rentrer en Algérie échappant à tout contrôle. Il y a deux jours à Teulada, sur la plage de Sa Perda Longa, la police a trouvé 22 personnes, toutes en bonne santé. Parmi eux se trouvaient 13 hommes, cinq femmes, et quatre mineurs, tous de nationalité algérienne.
Hier, il y a eu plusieurs débarquements. Le premier à Sant’Anna Arresi. Certains habitants ont signalé la présence de 16 migrants à Porto Pino : 13 hommes, une femme, et deux mineurs, Algériens eux aussi. Peu de temps après, toujours à Porto Pino, cinq autres Algériens ont été retrouvés, dont quatre hommes et une femme enceinte. Plus tard, cinq autres migrants, tous des hommes, ont été retrouvés à proximité, à Sant’Anna Arresi.
Finalement, vers 21h30, sur la plage de Peonia Rosa, à Sant’Antioco, les carabiniers ont retrouvé 19 autres hommes, également Algériens.
Les migrants sont tous partis de la région d’Annaba, située à quelques 600 km à l’est d’Alger et à environ 200 km des côtes sardes. La plupart d’entre eux n’a nullement intention de rester en Italie, mais vise à atteindre la France, Paris où Marseille, où ils peuvent compter sur la présence de compatriotes prêts à les insérer dans le marché noir ou dans les différents trafics de cigarettes, de médicaments ou de stupéfiants, qui gangrène les grandes villes françaises.
Alpes-Maritimes : deux nouvelles expulsions d’individus radicalisés, un Tchétchène et un Tunisien. En un an, 8 expulsions d’étrangers délinquants et fichés S ont été effectuées par la préfecture
28/12/2023
Le nouveau préfet des Alpes-Maritimes, Hugues Moutouh, a annoncé sur X l’expulsion du septième et huitième individus étrangers délinquants, et surtout, radicalisés, dans le département. Il s’agit d’un Russe d’origine tchétchène et d’un Tunisien, qui étaient tous les deux fichés au FSPRT (fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste), un sous-dossier des plus connus «fichés S». «La sécurité des Maralpins est notre priorité !», a-t-il ajouté sur le compte de la préfecture.
Selon nos informations, le premier était connu pour apologie d’acte terroriste, qu’il avait manifesté sur la place publique. Il soutenait explicitement des thèses pro-djihadistes, nous précise-t-on encore. Ce dernier avait été placé au sein du centre de rétention administrative de Nîmes (Gard) dans l’attente d’une mesure d’éloignement, appliquée le 22 décembre dernier.
L’individu de nationalité tunisienne avait, lui, proféré des menaces de mort pendant la manifestation contre l’antisémitisme à Nice. Il s’en était également pris à des policiers, ce jour-là, en les menaçant de mort et en «se comparant à Oussama ben Laden». L’homme était également connu pour s’en être pris à des fonctionnaires du service dédié aux étrangers de la préfecture en escaladant le guichet, apprend-on auprès d’une source proche du dossier. Il avait aussi agressé une prostituée transsexuelle sur la voie publique en justifiant les motivations d’un tel acte délibéré aux forces de l’ordre. Cette accumulation avait poussé les autorités à le considérer comme radicalisé et potentiellement dangereux. […]
Note : des milliers de fichiers S, mais ils en ont expulsé 8 en un an !
Allemagne: il rapporte que des migrants volent quantités de produits à son magasin pour les revendre,l’extrême-gauche le menace et dit que c’est leur droit. Ses confrères du reste du pays disent vivre pareil
28/12/2023
Ratisbonne – Il a rendu public ce qui se passe quotidiennement dans son magasin Edeka : Des résidents d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile situé à proximité et d’autres bandes de voleurs se remplissent les poches pour des centaines d’euros et quittent le magasin sans payer.
Le directeur du marché de Ratisbonne, Konstantin Gatzke (48 ans), est maintenant menacé pour cette raison.
Sur Facebook, Gatzke a écrit : “Malheureusement, je suis en train de me faire démolir par l’extrême-gauche, j’ai déjà été menacé par Instagram. Et l’extrême-droite fait de la récupération. Je ne suis ni de droite ni de gauche. Je n’ai fait que rapporter des faits”.
Gatzke à BILD : “Il y avait un compte avec 3500 followers, mais je ne pouvais pas savoir si c’était un homme ou une femme. Il ou elle a écrit que je devais m’attendre à des ‘conséquences'”.
L’extrême gauche reproche au patron de l’Edeka du centre commercial du Danube (DEZ) de Ratisbonne d’attiser la haine contre les réfugiés.
Pourtant, son premier post était un appel à l’aide : “Chaque jour, des hommes vêtus de noir, tous issus des foyers d’asile de Ratisbonne, viennent chez nous. Ils remplissent leurs sacs à dos et leurs poches et ressortent par l’entrée sans payer” !
Cela dure depuis l’été. Gatzke : “Chaque jour, ce sont en moyenne 300 à 500 euros de marchandises qui sortent”. Dommage : jusqu’à 12 500 euros par mois.
Gatzke a maintenant supprimé ce post Facebook – mais pas à cause des menaces, comme il le dit. Le directeur du magasin déclare à BILD : “Je ne veux offrir à personne, qu’il soit de droite ou de gauche, une plateforme d’incitation à la haine. Ce qui m’intéressait, c’était les vols”.
Et de poursuivre : “Je ne veux pas être rangé à l’extrême-droite. Je suis moi-même issu de l’immigration, j’emploie des collaborateurs de différents pays et je n’ai aucun préjugé !”
Outre les menaces, Gatzke a également reçu “beaucoup de soutien”, notamment de la part de nombreux autres directeurs de magasin qui seraient dans le même cas. “Ils m’ont appelé de toute la Bavière, de Nuremberg, de la région de Munich, ils sont dans le même cas, ces vols sont un fléau”.
Gatzke affirme avoir déposé une vingtaine de plaintes depuis l’été.
Interrogée, la police de Ratisbonne confirme le problème : “La police de Ratisbonne a également pu constater des accumulations de vols à l’étalage depuis l’automne 2023. Il est frappant de constater que dans environ un tiers des cas, les suspects identifiés sont de nationalité tunisienne et issus du monde de l’asile”.
Ratisbonne – Ils sont sortis du magasin avec des sacs remplis de nourriture et de boissons – mais qu’ont volé les bandes de voleurs dans le magasin Edeka de Ratisbonne ?
BILD a la liste de course des voleurs !
En décembre, un voleur a été arrêté à la sortie par des employés d’Edeka. Il avait sur lui deux sacs en tissu noir remplis de produits alimentaires. Valeur des marchandises volées : environ 140 euros !
[…]
Le responsable du magasin, Gatzke : “Plus bas, dans le sac, il y avait d’autres spiritueux : encore de la vodka et des liqueurs. Ce sont des musulmans – voulaient-ils revendre l’alcool ?”
Selon Gatzke, il s’agit dans la plupart des cas de demandeurs d’asile des environs. La police ajoute : “Il est frappant de constater que dans environ un tiers des cas, les suspects identifiés sont de nationalité tunisienne et ont un passé d’asile”.
Gatzke n’en revient pas : “Pourquoi a-t-on besoin de dix dorades et d’autant de crevettes ? Personne ne vole ça par faim”.
Selon Gatzke, même les sacs coûtent désormais de l’argent ; “Ils les volent directement au marché. Les sacs surgelés coûtent 2,50 euros, les sacs en tissu 1 euro”.
Traduction du tweet du député antifasciste allemand Ferat Koçat (rappel: la Tunisie n’a jamais été colonisée par l’Allemagne)
EDEKA est l’abréviation de “coopérative d’achat des commerçants de denrées coloniales” : Je dirais que les gens récupèrent ce qui leur revient de droit. Mais ce n’est pas si simple à expliquer.
L’un des problèmes centraux est que les autorités sont surchargées et que de nombreux exilés ne reçoivent même pas ce dont ils ont besoin pour vivre. Et cela aussi est secondaire. Il est plus important d’accorder immédiatement un permis de travail aux personnes en fuite afin qu’elles puissent gagner leur vie de manière autonome.
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