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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 23 nov 2023

 

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le nouveau président argentin propose un sommet à Kiev…

 

 

L’ESSENTIEL

  • Le président élu argentin Javier Milei a proposé mercredi au président Volodymyr Zelensky d’organiser en Argentine un sommet entre l’Ukraine et les pays d’Amérique latine, dans le cadre de l’un de ses entretiens avec les dirigeants mondiaux suivant son élection dimanche.
  • Un homme né en Russie et détenu en Lettonie pour espionnage présumé au profit de Moscou dans cet Etat balte est mort à la suite de problèmes de santé soudains, a indiqué mercredi l’administration pénitentiaire lettonne.
  • Un député ukrainien a été placé mercredi en détention provisoire pour avoir offert un pot-de-vin à un haut responsable d’Etat, a annoncé le Parquet spécialisé dans les affaires de corruption, en pleine invasion russe.

 

07h35 : En Géorgie, près de la « poudrière » séparatiste, la peur de l’armée russe

Le soleil inonde le jardin de Lia Tchlatchidzé, à Ergneti, dans le nord de la Géorgie. Mais difficile de profiter de la quiétude des lieux quand vous habitez à quelques mètres d’un territoire séparatiste contrôlé par la Russie. « La menace est permanente. La sécurité est le problème principal des habitants. Les soldats russes pourraient arriver à tout moment et nous arrêter », s’inquiète cette femme de 70 ans. « Vivre ici, c’est comme être assis sur une poudrière. »

Le village est situé à la ligne de démarcation avec l’Ossétie du Sud, une région séparatiste que la Russie contrôle depuis son invasion en 2008 de la Géorgie, un pays montagneux du Caucase frontalier de son territoire. « Nous avons peur des Russes. Ils sont trop près », dit Levan Ilouridzé, 58 ans, un agriculteur vivant à Tirdznissi, une localité proche. Ces inquiétudes se sont matérialisées le 6 novembre quand un civil a été tué à une trentaine de kilomètres, à Kirbali, autre village voisin de l’Ossétie du Sud.

Selon Tbilissi, l’armée russe a tué Tamaz Gintouri, 58 ans, alors qu’il tentait, avec d’autres paroissiens, de prier dans une église dont les forces russes avaient déjà, plus tôt dans l’année, interdit l’accès. Cet incident rare est venu rappeler l’existence de ce conflit gelé entre Tbilissi et la Russie qui contrôle de facto, outre l’Ossétie du Sud, un autre territoire sécessionniste de Géorgie : l’Abkhazie. La persistance des tensions montre la détermination du Kremlin à maintenir son emprise sur une Géorgie tentée par l’attrait de l’Occident, même si l’armée de Moscou jette l’essentiel de ses forces dans l’invasion de l’Ukraine.

 

07h23 : La Russie renforce la sécurité dans une région frontalière de la Finlande

Les autorités russes ont annoncé jeudi avoir renforcé les mesures de sécurité dans la région de Mourmansk (Nord-Ouest), frontalière de la Finlande, après la décision d’Helsinki de ne laisser qu’un seul poste-frontière ouvert avec la Russie.

« Il a été décidé de mettre en place dans la région de Mourmansk le régime d’alerte élevée et un nombre de mesures supplémentaires visant à assurer la sécurité de nos habitants », a déclaré le gouverneur régional, Andreï Tchibis, sur Telegram.

Cette annonce intervient après la décision prise la veille par la Finlande de ne garder qu’un seul poste-frontière ouvert avec la Russie, Raja-Jooseppi, à la frontière avec la région de Mourmansk, dans l’Arctique russe. La Finlande avait déjà fermé samedi quatre de ses huit points de passage frontaliers du sud-est du pays avec la Russie afin d’endiguer l’arrivée de migrants sans-papiers.

 

07h12 : Le président élu Milei propose à l’Ukraine un sommet avec l’Amérique latine

Le président élu argentin Javier Milei a proposé mercredi au président Volodymyr Zelensky d’organiser en Argentine un sommet entre l’Ukraine et les pays d’Amérique latine, dans le cadre de l’un de ses entretiens avec les dirigeants mondiaux suivant son élection dimanche.

Javier Milei, qui prendra ses fonctions le 10 décembre, a fait cette proposition à Volodymyr Zelensky lors d’une conversation téléphonique, a indiqué le bureau du président élu, sans plus de détails. Mercredi, Javier Milei a également reçu les félicitations du président américain Joe Biden.

 

HIER

12h02 : Un tueur sataniste gracié en Russie à son retour d’Ukraine

Le Kremlin a indiqué mercredi maintenir sa politique de grâce présidentielle pour les prisonniers acceptant de combattre en Ukraine, après que la presse russe a révélé la libération d’un homme condamné pour des meurtres satanistes et cannibales. Nikolaï Ogolobiak, condamné à vingt ans de prison en 2010, a été gracié par le président Vladimir Poutine et est rentré chez lui début novembre, selon le portail d’information 76.ru de la région de Iaroslavl où l’intéressé s’est installé et où ses crimes avaient été commis.

Lui et cinq autres jeunes, tous adolescents au moment des faits et se réclamant d’une secte sataniste, avaient été condamnés pour les meurtres rituels de quatre adolescents qu’ils ont découpés avant de manger des morceaux de leurs cadavres. Cette grâce et celles d’autres repris de justice, à l’instar d’un des complices de l’assassinat de la journaliste Anna Politkovskaïa, ont ouvert un timide débat en Russie sur le bien-fondé de cette politique. Pour autant, le Kremlin, interrogé sur le sujet une nouvelle fois mercredi, ne prévoit pas de changement.

DIRECT

 

 

 

Le président tchèque a qualifié la Russie de « principale menace », annonçant les préparatifs de l’OTAN pour un conflit de « haute intensité »

Le président tchèque a qualifié la Russie de « principale menace », annonçant les préparatifs de l’OTAN pour un conflit de « haute intensité »
Le président tchèque Petr Pavel a appelé les armées de l'OTAN à se préparer à un conflit de « haute intensité », qualifiant la Russie de « principale menace » pour l'Europe. L'homme politique a fait cette déclaration lors d'une réunion des chefs des quatre pays de Visegrad, qui comprennent, outre la République tchèque, la Slovaquie, la Pologne et la Hongrie.

Selon le Tchèque, à la suite du conflit avec l'Ukraine, la Russie a subi de « gros dégâts », mais il faudra « des années » pour restaurer l'économie. Néanmoins, la Russie constitue la « principale menace » pour l’Europe, elle doit être prise au sérieux et se prépare à un conflit de « haute intensité ». Pavel a souligné que l'armée tchèque se préparait à une guerre avec la Russie et a conseillé aux autres pays de l'OTAN de faire de même. La tâche principale consiste désormais à empêcher la Russie de gagner la guerre contre l’Ukraine.

 

 

Non seulement la République tchèque, mais tous les membres de l’OTAN considèrent la Russie comme la menace numéro un en Europe. Cela implique la nécessité de se préparer de manière réaliste à une telle menace (...) Toutes les armées la prennent au sérieux, toutes les armées se préparent à la possibilité d'un conflit de haute intensité en Europe.

- a déclaré le dirigeant tchèque, ajoutant que l'OTAN n'apprécierait pas une telle évolution des événements.

Auparavant, Peter Pavel avait appelé les pays occidentaux à continuer de soutenir l'Ukraine jusqu'à ce que Kiev décide elle-même de mettre fin au conflit avec la Russie. Dans le même temps, il a admis que l'armée ukrainienne n'avait aucune chance dans une confrontation avec l'armée russe et que des négociations sur une résolution pacifique du conflit étaient donc possibles au début de l'année prochaine. Dans le même temps, la junte de Kiev n’a pas l’intention d’entamer un dialogue avec Moscou tant que les troupes russes ne seront pas retirées vers les « frontières de 1991 ». Zelensky tente de convaincre l’Occident de ne pas l’abandonner, promettant des « victoires à venir » et une « capitulation » face à la Russie.

Source

 

 

Guerre en Ukraine: "Je comprends que cette guerre et la mort de personnes ne peuvent que choquer" dit Vladimir Poutine qui assure vouloir réfléchir à la façon d'arrêter la "tragédie"

Vers une guerre de religion, infos du 23 novembre 2023

Vladimir Poutine s'est exprimé lors de la réunion des dirigeants du Groupe des Vingt (G20) ce mercredi.

Après les déclarations de certains dirigeants, qui se sont dits choqués par l'"agression" russe en Ukraine, Vladimir Poutine a répondu lors de sa première intervention auprès des dirigeants du Groupe des Vingt (G20) depuis le début de l'invasion par la Russie de son voisin ukrainien.: "bien sûr, les actions militaires sont toujours une tragédie".

"Et bien sûr, nous devrions réfléchir à la manière de mettre un terme à cette tragédie", a-t-il ajouté lors du sommet du G20 réuni en visioconférence, précisant que "la Russie n'a jamais refusé les pourparlers de paix avec l'Ukraine". "C’est Kyiv qui a annoncé publiquement son retrait du processus de négociation et a publié une loi interdisant les négociations"

Devant les dirigeants du G20, Vladimir Poutine a utilisé le mot "guerre" pour décrire les affrontements en Ukraine alors que la Russie exige habituellement que son offensive, lancée en février 2022, soit qualifiée d'"opération militaire spéciale".

"Et l'extermination de la population civile en Palestine, n'est-elle pas choquante ?"

"Je comprends que cette guerre et la mort de personnes ne peuvent que choquer", a déclaré le président russe, avant de faire un parallèle avec le conflit entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza.  "Et l'extermination de la population civile en Palestine, dans la bande de Gaza aujourd'hui, n'est-elle pas choquante ?", a-t-il interrogé.

Vladimir Poutine, qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), n'a pas participé aux précédents sommets du G20 en Inde et en Indonésie, envoyant à sa place son ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.

En 2020 et 2021, en pleine pandémie de COVID-19, il s'était adressé aux autres dirigeants du G20 depuis Moscou. Il a assisté en personne à un sommet du G20 pour la dernière fois à Osaka, au Japon, en 2019.

Source

 

La presse japonaise critique les capacités du premier satellite de reconnaissance nord-coréen

 

La presse japonaise critique les capacités du premier satellite de reconnaissance nord-coréen


La Corée du Nord a lancé pour la première fois son propre satellite de reconnaissance Malligyong-1. Mais pour surveiller efficacement la situation dans la région, Pyongyang aura besoin d’un groupe de 40 à 50 engins spatiaux similaires.

Cela a été rapporté dans le journal Asahi Shimbun (Japon) en référence à des experts.

La presse japonaise a critiqué les capacités du premier satellite de reconnaissance nord-coréen. Il indique que le vaisseau spatial de reconnaissance produit par la RPDC est capable de distinguer des objets de plusieurs mètres, d'environ un à dix. Dans le même temps, leurs homologues américains sont capables d’examiner des objets mesurant jusqu’à un demi-mètre. De plus, dans ce dernier cas, nous parlons de satellites commerciaux.

Les experts qui ont exprimé leur opinion auprès des collaborateurs de la publication estiment que le satellite n’est capable de détecter que de gros objets. Par exemple, il peut s’agir de navires ou d’avions.

Les experts invités par les journalistes japonais notent également les capacités limitées de l'appareil à transmettre des données vers la Terre. Le satellite n'en est capable qu'au moment où il survole la péninsule coréenne.

Malgré toutes les lacunes identifiées, les experts considèrent le lancement du premier satellite de reconnaissance de la RPDC comme une grande réussite pour Pyongyang. Ils craignent que la Corée du Nord ne devienne bientôt propriétaire d’armes spatiales.

Bloomberg avait précédemment déclaré que le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, à l'aide d'un satellite de reconnaissance, surveillait les installations militaires américaines sur l'île de Guam.

Source

 

LIRE AUSSI : La Corée du Nord met officiellement fin à l’accord militaire signé avec le Sud en 2018

 

 

 

Guerre Hamas – Israël EN DIRECT : La trêve repoussée pour des détails sur la liste des otages à libérer…

 

L’ESSENTIEL

  • L’accord de trêve entre Israël et le Hamas prévoyant la libération de 50 otages en échange de 150 prisonniers palestiniens n’entrera pas en vigueur avant vendredi, ont annoncé ce jeudi des responsables israéliens sur fond de poursuite des combats dans la bande de Gaza.
  • Après le feu vert du gouvernement israélien et l’accord du Hamas, le Qatar avait annoncé mercredi le « succès » de sa médiation pour une trêve renouvelable de quatre jours dans les combats, doublée d’un échange d’otages et de prisonniers.
  • Joe Biden a discuté mercredi séparément avec l’émir du Qatar Tamim ben Hamad al-Thani, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et le président égyptien Abdel-Fattah al-Sissi, Washington étant impliqué dans la médiation avec Doha et Le Caire. Le président américain et Tamim ben Hamad al-Thani se sont engagés « à rester en contact étroit jusqu’à ce que l’accord soit pleinement mis en œuvre ».

 

14h29 : L’armée israélienne affirme avoir « des preuves » sur Al-Shifa

L’armée israélienne a déclaré avoir « des preuves » qu’Al-Shifa était un « centre » du Hamas, précisant que ses ressources en électricité, si précieuses dans le territoire assiégé, étaient exploitées par le mouvement islamiste dans un « réseau de tunnels » situé sous les bâtiments. « En outre, le Hamas a stocké de nombreuses armes à l’intérieur de l’hôpital », a conclu l’armée israélienne jeudi.

 

 

13h04 : La situation à Gaza, « la pire de tous les temps »

Ce sont les mots durs du Martin Griffiths, chef des secours de l'ONU, à propos de la destruction à Gaza. Ayant travaillé sur le terrain pendant des décennies, il ajoute : « Je ne dis pas cela à la légère ».

 

11h03 : Le ministre iranien des Affaires étrangères s’entretient avec le chef du Hezbollah

Dans un communiqué, le Hezbollah a indiqué que les deux responsables avaient « passé en revue les derniers développements en Palestine, au Liban et dans la région et (…) les efforts déployés pour mettre fin à l’agression israélienne contre la bande de Gaza ».

Hossein Amir-Abdollahian qui a mis en garde mercredi contre un débordement de la guerre si la trêve n’était pas durable, a ensuite quitté Beyrouth pour Doha, selon l’agence de presse iranienne Nour.

Les affrontements ont gagné en intensité dans le sud du Liban, au lendemain d’une frappe dans laquelle cinq combattants du Hezbollah ont été tués, dont le fils du bloc parlementaire du parti. Le parti chiite a revendiqué dans la matinée avoir « ciblé directement une base » militaire à Ein Zeitim, près de la ville de Safed dans le nord d’Israël, à quelque 10 km de la frontière, à l’aide de « 48 roquettes Katioucha ».

 

10h06 : L’Espagne, une voix en soutien des Palestiniens au sein de l’UE

Historiquement proche du monde arabe, l’Espagne tente de pousser une ligne plus favorable aux aspirations palestiniennes au sein de l’Union européenne. Une approche que défendra son Premier ministre Pedro Sánchez, lors d’une visite au Proche-Orient.

Le socialiste rencontre avec son homologue belge Alexander de Croo le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou en Israël, et le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas en Cisjordanie.

Cette visite se poursuivra vendredi en Egypte où Pedro Sánchez, qui assure la présidence tournante de l’UE, et Alexander de Croo, qui lui succédera dans cette mission le 1er janvier, s’entretiendront avec le président Abdel-Fattah al-Sissi et le secrétaire général de la Ligue Arabe Ahmed Aboul Gheit.

L’occasion pour le Premier ministre espagnol – dont le pays avait organisé en 1991 une conférence de paix ayant ouvert la voie aux accords d’Oslo – de renouveler son appel à un cessez-le-feu durable à Gaza et à la tenue d’un sommet pour la paix, aboutissant à une solution politique au conflit entre Israël et les Palestiniens sur la base de deux Etats.

 

08h05 : Perquisitions en cours chez des partisans du Hamas en Allemagne

Des perquisitions sont en cours jeudi matin dans quatre régions différentes d’Allemagne, chez des membres et des sympathisants des organisations palestiniennes Hamas et Samidoun, interdites dans le pays, a indiqué le ministère de l’Intérieur dans un communiqué.

« Nous poursuivons notre action conséquente contre les islamistes radicaux. En interdisant le Hamas et Samidoun en Allemagne, nous avons envoyé le signal clair que nous ne tolérons aucune apologie ou soutien de la terreur barbare du Hamas contre Israël », a déclaré la ministre fédérale de l’Intérieur, Nancy Faeser, dans le communiqué.

 

07h52 : La trêve a été repoussée pour des discussions de dernière minute sur la liste des otages à libérer, selon un responsable palestinien

Un responsable palestinien a indiqué jeudi à l’AFP que la trêve dans la bande de Gaza avait été repoussée en raison de discussions « de dernière minute » sur les « noms des otages israéliens et les modalités de leur remise » à une tierce partie. « Le Qatar, en coordination avec les Egyptiens et les Américains, devrait annoncer dans les heures qui viennent aujourd’hui » l’heure du début de la trêve, a-t-il précisé.

 

07h41 : Un médecin de l’hôpital Al-Shifa annonce que son directeur a été arrêté par l’armée israélienne

Khaled Abou Samra, chef de service à l’hôpital al-Chifa de la ville de Gaza, a annoncé tôt jeudi l’arrestation du directeur de l’établissement, actuellement sous le contrôle de l’armée israélienne qui dit y chercher des installations militaires du Hamas.

« Le docteur Mohammed Abou Salmiya a été arrêté avec plusieurs autres cadres soignants », a indiqué le docteur Abou Samra. Le docteur Abou Salmiya avait raconté à l’AFP avoir reçu un « ordre » d’évacuation le 18 novembre après avoir dit en avoir refusé un précédent, alors que l’armée israélienne assurait avoir évacué des centaines de patients et de déplacés d’al-Chifa à la « requête » du même médecin.

 

07h08 : Les Etats-Unis interceptent des drones explosifs lancés depuis le Yémen

Un navire de guerre américain patrouillant en mer Rouge a intercepté jeudi des drones explosifs lancés depuis une région du Yémen contrôlée par les rebelles Houthis, a annoncé le Commandement militaire américain au Moyen-Orient (Centcom). « Le matin du 23 novembre l’USS Thomas Hudner a tiré et détruit de nombreux drones d’attaque lancés depuis la région du Yémen contrôlée par les Houthis », a indiqué le Centcom sur le réseau social X (ex-Twitter).

« Les drones ont été abattus pendant que le navire de guerre patrouillait en mer Rouge. Le navire et son équipage n’ont subi aucun dommage ou blessure », a-t-il ajouté. La guerre entre le Hamas et Israël, déclenchée par l’attaque du mouvement islamiste palestinien sur le sol israélien le 7 octobre, fait craindre une escalade régionale entre d’un côté Israël et ses alliés et de l’autre l'« axe de la résistance » formé de groupes soutenus par l’Iran dont le Hamas, le Hezbollah et les Houthis.

Mercredi, Israël a indiqué avoir intercepté un « missile de croisière » qui s’avançait vers le sud du pays, un tir revendiqué par les rebelles Houthis au Yémen.

 

6h40 : « Pas de pause » dans les combats

Le chef du Conseil national de la sécurité israélien, Tzachi Hanegbi, a déclaré cette nuit que la libération des otages n’interviendra « pas avant vendredi » et que les négociations « se poursuivent sans cesse », sans épiloguer sur les dernières tractations en cours.

Par conséquent, il n’y aura « pas de pause » dans les combats ce jeudi, a indiqué dans la foulée un responsable israélien. Dans la nuit, l’agence de presse palestinienne Wafa a d’ailleurs fait état de frappes israéliennes ayant fait des « dizaines » de morts dans différents secteurs de la bande de Gaza.

DIRECT

 

 

 

Israël n’écarte pas l’option d’une riposte contre les rebelles yéménites soutenus par l’Iran

 

Soutenu par l’Iran, le groupe armé Ansar Allah [ou « Houthis »] s’est constitué un arsenal aussi important que diversifié pour contrer la coalition militaire que l’Arabie Saoudite avait mise en place pour appuyer les troupes restées fidèles à Abdrabbo Mansour Hadi, le président yéménite reconnu. C’est ainsi qu’il dispose désormais de missiles balistiques et de drones ayant une portée suffisante pour atteindre le sud d’Israël, comme l’ont montré les récentes attaques qu’il a lancées en soutien au Hamas.

Cela étant, outre les opérations aéro-terrestres menées à Gaza pour réduire le Hamas, après les attaques terroristes du 7 octobre, Israël doit composer avec un foyer d’instabilité entretenu par le Hezbollah, la milice chiite libanaise, au nord de son territoire, tout en veillant à empêcher les livraisons d’armes iraniennes aux groupes armés présents en Syrie. Et il doit donc aussi tenir compte des menaces de la milice « Houthis », lesquelles ne consistent pas seulement à lancer des missiles et des drones en direction du territoire israélien.

Le 14 novembre, les rebelles yéménites ont prévenu qu’ils « n’hésiteront pas à prendre pour cible » les bateaux israéliens susceptibles de passer par le détroit de Bab el-Mandeb, en mer Rouge. Et ce ne sont pas des menaces en l’air dans la mesure où ils ont l’armement nécessaire pour les mettre à exécution… et qu’ils ont déjà mené ce type d’action par le passé, notamment contre des navires saoudiens et émiriens.

Pour le moment, aucun des missiles lancés depuis le Yémen n’a fait de victimes en Israël, grâce en grande partie à l’efficacité de la défense aérienne israélienne qui, pour la première fois, aurait intercepté et détruit l’un de ces engins dans la haute atmosphère. Mais il n’est pas exclu que l’un d’eux finisse par atteindre sa cible… D’où l’avertissement lancé par le général Tomer Bar, le chef de la force aérienne israélienne [IAF], le 16 novembre.

« En tant que bras stratégique de l’État d’Israël, l’IAF est prête et opère dans tout le Moyen-Orient, dans tous les domaines, partout où c’est nécessaire », a affirmé le général Tomer Bar, devant un F-15I du 133e Escadron, une unité qui, basée à Tel Nof, prit part à la frappe menée contre le site nucléaire d’Osirak [Irak] en 1981 [opération « Opera »]. « Nous sommes bien sûr bien préparés, avec des plans opérationnels », a-t-il ajouté.

Si le général Bar ne l’a pas explicitement dit, Tsahal ne s’interdit pas de riposter aux attaques des rebelles Houthis. D’autant plus que, a-t-il admis, si les systèmes de défense aérienne « Dôme de fer » [Iron Dome], « Fronde de David » [David’s Sling] et Arrow ont un « pourcentage élevé » d’interceptions à leur actif, ils ne constituent pas pour autant une défense « hermetique ».

Source

 

 

Séisme politique aux Pays-Bas : victoire écrasante du PVV anti-immigration de Geert Wilders aux législatives (MàJ)

Le chef de file du Parti pour la liberté (PVV, extrême droite), Geert Wilders, qui a promis de stopper complètement l’immigration aux Pays-Bas, est en passe de réaliser une victoire retentissante aux élections législatives organisées mercredi, un sondage de sortie des urnes donnant le PVV en tête.

Battant toutes les attentes, le PVV est crédité de 35 des 150 sièges parlementaires, devant l’alliance travaillistes-écologistes dirigée par l’ancien Commissaire européen Frans Timmermans, qui obtiendrait 25 sièges. Le Parti libéral (VVD) du Premier ministre sortant Mark Rutte, qui a présenté sa démission en juillet, se classe troisième avec 24 sièges.

Cet écart est bien plus important que ne le laissaient anticiper les enquêtes d’opinion, qui indiquaient un coude-à-coude entre l’actuelle ministre de la Justice, Dilan Yesilgoz, issue du VVD, Frans Timmermans et Geert Wilmers. Les sondages de sortie sont traditionnellement fiables dans le pays, avec une marge d’erreur d’à peine deux sièges, ce qui laisse à penser que Geert Wilders aura effectivement la charge de former un nouveau gouvernement.

Au cours d’un discours de victoire, le chef de file du PVV, anti-Europe et anti-islam, a promis mercredi soir de mettre fin “au tsunami de l’asile et de l’immigration, déclarant qu’il allait “rendre le pays aux Néerlandais”.

Geert Wilders a profité d’un ressentiment croissant à l’égard de l’immigration, imputant la pénurie de logements aux flux de demandeurs d’asile et se servant aussi des inquiétudes des électeurs face à la hausse du coût de la vie et à la surcharge du système de santé.

Boursorama


Le parti néerlandais d’extrême droite de Geert Wilders a remporté les élections législatives mercredi 22 novembre, suggèrent les sondages à la sortie des urnes, ce qui, si cela était confirmé, provoquerait un séisme politique bien au-delà des frontières des Pays-Bas. Le PVV (Parti de la Liberté) a reporté 35 sièges, selon le sondages Ipos. L’alliance de gauche de Frans Timmermans est deuxième avec 26 sièges. Le centre-droit VVD a remporté 23 sièges, selon ce sondage. (…)

Le Figaro

 

La police néerlandaise publie des chiffres de criminalité par origine qui révèlent une alarmante surreprésentation des immigrés et descendants d’immigrés extra-européens

 

 

 

Crépol (26) : Thomas, 16 ans, poignardé à mort lors de l’attaque d’une fête de village par des « jeunes » armés de couteaux, qui criaient « On va tuer du blanc » (MàJ : Les 7 individus interpellés, dont le principal suspect, sont de type « nord-africain »)


L’individu soupçonné d’avoir poignardé Thomas avait été condamné deux fois

(…) “(Il) a un casier judiciaire portant trace de deux condamnations par ordonnance pénale à des peines d’amende, l’une pour un fait de recel de vol, l’autre pour port d’arme blanche ou incapacitante de catégorie D sans motif légitime”, indique le parquet.

Cette deuxième condamnation était associée d’une interdiction de détenir ou portée une arme pour une durée de deux ans, notifiée le 25 septembre dernier. (…)

BFMTV

 

 




Selon nos informations, les suspects — deux sont mineurs — envisageaient de quitter la France en direction de l’Espagne ou du Maghreb.

Un peu plus de 48 heures après la mort de Thomas, jeune rugbyman de 16 ans mortellement poignardé à la sortie d’un bal organisé dans sa commune, sept personnes suspectées d’être directement impliquées dans la rixe ont été interpellées ce mardi vers 15 heures par le GIGN sur le parking d’un restaurant situé au sud de la ville de Toulouse. Selon nos informations, les suspects — deux sont mineurs — envisageaient de quitter la France en direction de l’Espagne ou du Maghreb.

L’individu « auteur du coup de couteau mortel » interpellé

Parmi eux figure, selon Laurent de Caigny, le procureur de la République de Valence, un individu « formellement désigné comme auteur du coup de couteau mortel ». Âgé de 20 ans, de nationalité française et installé dans le centre-ville de Romans-sur-Isère, il a déjà eu affaire à trois reprises avec la justice pour des délits mineurs.

Depuis sa majorité, il a ainsi été condamné une première fois pour recel de vol, puis une seconde à une amende de 200 euros pour le port prohibé… d’un couteau. En septembre 2023, la justice lui avait notifié son interdiction de détenir une telle arme… Quelques instants après les premières interpellations survenues en Haute-Garonne, deux autres mineurs ont été arrêtés à Romans-sur-Isère par le GIGN. La garde à vue des neuf suspects peut durer jusqu’à 96 heures.

[…]

Le Parisien

 

 

Note : nord africain, c.-à-d des arabes ou plus précisément des magrébins (certains préfèrent qu'on les dissocie des Arabes). On remarque que ce sont toujours les mêmes qui font l'actualité, bien que les politiciens et les journalistes refusent de faire le lien entre immigration et violence, parce que faire le lien remettrait en question leur idéologie du vivre ensemble

Regardez cette capture d'écran, le procureur refuse de voir un dépendant d'immigré

Vers une guerre de religion, infos du 23 novembre 2023

 

Les insultes antisémites de plus en plus nombreuses venant de taxis parisiens selon le Canard Enchainé

 

 

Poisy (74) : suite à une erreur administrative, le migrant clandestin qui squattait la maison d’Isabelle et Éric a été assigné à résidence dans le logement qu’il occupe illégalement

Quatre squatteurs en situation irrégulière occupaient jusqu’à présent la maison d’Isabelle et Éric à Poisy. L’un d’entre eux a étrangement obtenu une assignation à résidence dans ce domicile.

Le 24 octobre dernier, un couple de quinquagénaires découvre que la maison de leurs parents, construite dans les années 1970, était illégalement occupée. Ces derniers alertent aussitôt les gendarmes qui placent rapidement les squatteurs en garde à vue. Une fois de retour chez eux après avoir changé les serrures, nouvelle surprise pour Éric et Isabelle : leur domicile est de nouveau squatté, seulement quelques jours après l’intervention de la gendarmerie, explique Le Dauphine Libéré

Cette fois-ci, les gendarmes n’ont pas pu faire grand-chose pour expulser ces quatre squatteurs sous OQTF. Pire encore : l’un d’entre eux a obtenu une assignation à résidence dans cette maison. “On n’a pas compris comment c’était possible”, témoigne le couple au micro du Dauphiné Libéré. 

[…]

 

Midi-Libre

Une erreur administrative

Heureusement pour le couple, alors qu’il souhaitait faire un constat d’huissier pour faire les démarches nécessaires, la maison était vide, le 7 novembre dernier. Éric et Isabelle ont pu réinvestir les lieux et reprendre leur bien désormais sécurisé contre les intrusions. Quant aux quatre squatteurs : ils sont dans la nature.

Cette erreur administrative pourrait coûter cher aux propriétaires : « Quand nous avons récupéré le logement, il a fallu tout nettoyer pour faire partir les odeurs de tabac, réparer les toilettes du rez-de-chaussée et il faudra réparer les portes qui ont été défoncées », énumère Éric. Sans parler du traumatisme moral : « Ma femme est en arrêt de travail. Elle est à son compte, donc elle ne gagne rien. Moi je ne m’y sens plus chez moi, alors que j’ai construit cette maison avec mon père. » « C’est rassurant pour la France que ce soit qu’une simple erreur, mais ça va mettre du temps à passer », s’émeut Isabelle, au bord des larmes.

Le Dauphiné

 

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