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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 5 octobre 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Au moins 49 personnes tuées après une frappe russe à Groza, un village près de Koupiansk…

 

L’ESSENTIEL

  • La crise politique à Washington pourrait menacer l’aide américaine à l’Ukraine a pour la première fois laissé entendre Joe Biden, en promettant mercredi un « discours majeur » sur « l’extrême » importance du soutien militaire et financier à Kiev.
  • Le Kiel Institute for the World Economy, un institut allemand qui tient le compte des aides versées à l’Ukraine, chiffre l’aide américaine à l’Ukraine à un peu moins de 75 milliards de dollars, dont plus de 42 milliards en assistance militaire, au travers de la livraison d’équipements parfois lourds et sophistiqués. Cela fait des Etats-Unis le premier contributeur mondial en valeur absolue.
  • Dans ce contexte, le président tchèque Petr Pavel a appelé les Européens à ne pas céder au découragement face à la guerre en Ukraine, au moment où certains en Europe et aux Etats-Unis sont tentés de renoncer.

 

 

14h47 : Zelensky dit avoir discuté avec le Premier ministre arménien de la « stabilité » du Caucase

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé jeudi avoir rencontré pour la première fois le Premier ministre arménien Nikol Pachinian lors d'un sommet européen en Espagne, et avoir discuté de la « stabilité » du Caucase.

« Pour notre première rencontre, le Premier ministre arménien et moi nous sommes concentrés sur la situation sécuritaire dans le sud du Caucase », a-t-il déclaré sur X (ex-Twitter), affirmant que Kiev souhaitait la « stabilité » de la région, où l'Azerbaïdjan vient d'emporter une victoire éclair contre les séparatistes arméniens du Haut-Karabakh.

 

12h58 : La Géorgie est « préoccupée » par l’installation d’une base navale russe

La Géorgie est « préoccupée » par l’installation prochaine d’une base navale russe en Abkhazie, une de ses régions séparatistes prorusse, qu’elle considère comme une « violation » de sa souveraineté, a réagi jeudi son ministère des Affaires étrangères.

« De tels actes constituent une violation flagrante de la souveraineté et de l’intégrité territoriale » de la Géorgie et une « provocation visant à légitimer l’occupation illégale de l’Abkhazie », a déclaré le ministère.

 

12h33 : Une société chinoise a vendu à Wagner deux satellites à des fins de renseignement

Le groupe paramilitaire russe Wagner, longtemps présent en Ukraine et actif en Afrique, a signé un contrat avec une société chinoise pour acquérir deux satellites d’observation et commander des images, lui fournissant une puissance inédite de renseignement, selon ce document consulté par l’AFP.

Selon une source sécuritaire européenne, certaines de ces images ont même servi à son chef Evgueni Prigojine, mort en août dans le crash de son avion, pour préparer sa mutinerie du mois de juin, la plus grande menace jamais vécue par le président Vladimir Poutine en 20 ans de pouvoir.

 

11h36 : Plus de 26.000 Ukrainiens portés disparus depuis le début de l’invasion russe en 2022

Plus de 26.000 Ukrainiens, dont 15.000 militaires, sont portés disparus depuis le début de l’invasion russe en février 2022, a annoncé jeudi le gouvernement ukrainien. « Parmi eux, 11.000 sont des civils et environ 15.000, des militaires », a indiqué un vice-ministre de l’Intérieur, Leonid Tymtchenko, à la télévision nationale.

 

11h32 : Zelensky s’inquiète d’une « période d’élection difficile aux Etats-Unis »

Le président ukrainien a exprimé jeudi ses inquiétudes sur le soutien américain à l’Ukraine en raison d’une « période d’élection difficile » aux Etats-Unis.

« Période d’élection difficile aux Etats-Unis. Il y a des voix discordantes. Certaines d’entre elles sont très étranges », a déclaré Volodymyr Zelensky, qui s’exprimait en anglais, à son arrivée au sommet de la Communauté politique européenne à Grenade, dans le sud de l’Espagne.

 

10h17 : La flotte russe va installer une base dans une région séparatiste de Géorgie

La flotte russe va installer une base en Abkhazie, une région séparatiste prorusse de Géorgie, a annoncé jeudi le dirigeant de ce territoire, au moment où l’Ukraine intensifie ses attaques contre la flotte russe de la mer Noire, en Crimée.

« Nous avons signé un accord et, dans un avenir proche, la marine militaire russe disposera d’un point d’ancrage permanent dans le district d’Otchamtchiré » sur la côte de la mer Noire, a affirmé Aslan Bjania au journal russe Izvestia.

 

10h02 : Une ville russe attaquée par des armes à sous-munitions

Le gouverneur de la région russe de Koursk Roman Starovoït a accusé jeudi l’armée ukrainienne d’avoir tiré sur la ville de Rylsk des bombes à sous-munitions, armement controversé, faisant une blessée parmi les civils.

« La ville frontalière de Rylsk a essuyé des tirs par des armes à sous-munitions de la part de l’Ukraine », a écrit M. Starovoït sur sa chaîne Telegram. « Une femme a été blessée par des éclats d’obus, elle a été hospitalisée », selon le gouverneur.

Washington avait annoncé en juillet que l’armée ukrainienne commençait à utiliser ces armes livrées par les Etats-Unis, à l’usage très controversé car les charges qu’elles dispersent peuvent faire beaucoup de victimes civiles collatérales.

 

09h34 : Zelensky annonce être en Espagne pour un sommet de dirigeants européens

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé jeudi se trouver à Grenade, dans le sud de l’Espagne, pour un sommet réunissant près de 50 dirigeants européens, disant espérer des accords sur le renforcement de sa défense aérienne.

« La clé pour nous, particulièrement avant l’hiver, est de renforcer la défense aérienne, et nous avons déjà les bases de nouveaux accords avec nos partenaires », qui doivent maintenant être « confirmés et mis en place », a-t-il écrit sur Telegram.

 

06h50 : Joe Biden laisse pointer sa préoccupation sur l’aide à l’Ukraine

La crise politique à Washington pourrait menacer l’aide américaine à l’Ukraine a pour la première fois laissé entendre Joe Biden, en promettant mercredi un « discours majeur » sur « l’extrême » importance de ce soutien militaire et financier.

Le Congrès américain, composé du Sénat à majorité démocrate et de la Chambre des représentants contrôlée par les républicains, dispose d’environ un mois et demi pour adopter un budget annuel, lequel doit comporter pour la Maison-Blanche une nouvelle enveloppe pour financer le soutien à Kiev. La présidence évalue à 24 milliards de dollars la rallonge nécessaire pour continuer de soutenir l’effort de guerre ukrainien. Problème : le chef républicain de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, a été évincé mardi de son poste en raison d’une fronde d’élus de l’aile droite de son propre parti opposés au déblocage de ces fonds pour l’Ukraine.

Interrogé sur l’impact de la destitution de Kevin McCarthy sur l’aide à Kiev, Biden a répondu aux journalistes : « Cela m’inquiète ». « Mais je sais qu’il y a une majorité d’élus à la Chambre des représentants et au Sénat, dans les deux partis, qui ont dit qu’ils soutenaient le financement de l’aide à l’Ukraine », a-t-il ajouté.

DIRECT

 

 

 

Politico : L’UE, les États-Unis et la Russie ont eu des négociations avant le conflit au Haut-Karabakh

 

par Observateur Continental

Des négociations ont eu lieu avant une opération antiterroriste à caractère local de l’Azerbaïdjan au Haut-Karabakh.

«L’UE, la Russie et les États-Unis ont tenu des pourparlers secrets quelques jours avant l’attaque au Haut-Karabakh», stipule Politico.

«De hauts responsables des États-Unis et de l’UE ont rencontré leurs homologues russes pour des pourparlers d’urgence non divulgués en Türkiye visant à résoudre l’impasse sur le Haut-Karabakh, quelques jours seulement avant que l’Azerbaïdjan ne lance une offensive militaire le mois dernier pour reprendre le territoire séparatiste du contrôle ethnique arménien», continue le média anglophone.

«Cette réunion hors agenda marque un contact rare – voire finalement infructueux – entre Moscou et l’Occident sur un problème de sécurité majeur, après que le début du conflit en Ukraine ce qui a bouleversé la diplomatie régulière», rajoute Politico.

Un haut diplomate connaissant les discussions a déclaré à Politico que la réunion avait eu lieu le 17 septembre à Istanbul dans le cadre des efforts visant à faire pression sur l’Azerbaïdjan pour qu’il mette fin à son blocus de neuf mois de l’enclave et autorise l’arrivée des convois d’aide humanitaire en provenance d’Arménie. Selon l’envoyé, la réunion s’est concentrée sur «comment faire circuler ces foutus camions» et garantir que l’approvisionnement en nourriture et en carburant puisse atteindre ces quelque 100 000 habitants.

Les États-Unis étaient représentés par Louis Bono, conseiller principal de Washington pour les négociations sur le Caucase, tandis que l’UE dépêchait Toivo Klaar, son représentant pour la région. La Russie, quant à elle, a envoyé Igor Khovaev, qui est l’envoyé spécial de Poutine pour les relations entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan.

L’Azerbaïdjan a lancé une offensive éclair contre le Haut-Karabakh le 19 septembre, envoyant des chars et des troupes dans la région sous le couvert de bombardements d’artillerie lourde. Les dirigeants arméniens du Karabakh ont été contraints de se rendre après 24 heures de combats acharnés qui ont tué des centaines de personnes des deux côtés. Depuis lors, le gouvernement arménien affirme que plus de 100 000 personnes ont fui leurs foyers et traversé la frontière, craignant pour leur vie.

La Russie a eu certains contacts avec l’Occident relatifs au Haut-Karabakh, mais pas ceux dont parle Politico, a informé lors d’un point de presse le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov. «Ce n’est pas exactement ce qui a été décrit. Il y a beaucoup d’imprécisions et d’erreurs dans cet article», a-t-il expliqué commentant la publication récente du média européen.

source : Observateur Continental

 

 

Il a attaqué 11 personnes y compris des agents des services secrets : le chien de Joe Biden, Commander, banni de la Maison Blanche

Vers une guerre de religion, infos du 5 octobre 2023

Le berger allemand est âgé de 2 ans. 

Il s'appelle Commander. Il a 2 ans et il est le berger allemand de Joe Biden, le président des Etats-Unis

Le hic, c'est que le chien a la mauvaise manie de s'en prendre au personnel de la Maison Blanche et aux membres des services secrets. Selon CBS News, 11 attaques ont été répertoriées. Et l'une d'entre elles, aux conséquences plus graves que les autres et survenue au mois de septembre, aurait provoqué l'exil du chien en question. 

Antécédents

"Une porte-parole de Jill Biden, la Première dame, a confirmé (ce) mercredi soir au média américain CBS News que le chien de la famille, 'n’était pas présent sur le site de la Maison Blanche et que les mesures à venir étaient en train d’être évaluées'. Elizabeth Alexander n’a pas précisé si ce transfert de Commander était temporaire ou permanent", précisent nos confrères du Parisien.

Un cas de figure qui s'est déjà produit en 2021. Le berger allemand Major avait lui aussi dû quitter la Maison Blanche après plusieurs cas de morsures. 

Source

 

Note : tel maitre, tel chien ! je pense qu'il faut piquer le chien, comme le maitre

 

 

Réductions de production de brut: l’OPEP+ tranche

Vers une guerre de religion, infos du 5 octobre 2023

Suite aux décisions de Moscou et de Ryad de prolonger leurs réductions supplémentaires de production et d’exportation de pétrole, les pays membres de l’OPEP et leurs 10 alliés (OPEP+) ont confirmé leur intention de maintenir la baisse des quotas de production adoptés en juin.

Le Comité ministériel conjoint de suivi de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et de leurs 10 alliés dont la Russie (OPEP+) a recommandé ce 4 octobre de maintenir la réduction des quotas de production jusqu’à la fin de 2024, selon le communiqué officiel du cartel.

"Le comité a réaffirmé l'engagement de ses pays membres pour la Déclaration de coopération qui s'étend jusqu'à la fin de 2024, comme convenu lors de la 35e réunion ministérielle de l'OPEP et des [pays] non-OPEP le 4 juin 2023", indique le communiqué.

Le Comité de suivi promet de continuer l’évaluation de la situation sur le marché pétrolier, tout en tenant compte de la volonté des pays de prendre des mesures supplémentaires à tout moment.

Les participants à la réunion ont exprimé leur reconnaissance et soutien aux efforts de la Russie et de l'Arabie saoudite. Ces deux pays avaient prolongé jusqu’à la fin 2023 leur baisse d’exportation et de production de pétrole respectivement de 300.000 barils par jour et d'un million de barils par jour supplémentaire, "pour soutenir la stabilité du marché pétrolier", selon les médias.

Baisses de production pétrolière en 2023

Le cartel OPEP+ a réduit sa production de pétrole de 9,7 millions de barils par jour en mai 2020 en raison d’une baisse de la demande à cause de la pandémie de Covid-19. En août 2022, le groupe est passé à l’étape finale de suppression de ces réductions. Mais à partir de novembre, elle a de nouveau réduit sa production de 2 millions de barils par jour à partir du niveau de production le maximum possible pour le mois d’août. Cette décision est valable jusqu’à fin 2023.

À l'issue d'une réunion du 4 juin dernier, l'OPEP+ a annoncé prolonger son accord jusqu'en 2024 et réduire ses objectifs de production de 1,4 million de barils à partir de 2024.

En outre, en mars, la Russie a baissé sa production d’hydrocarbure au-delà des quotas de 500.000 barils par jour. En avril, un certain nombre de membres de l'OPEP+ se sont joints à cette décision, dont l'Arabie saoudite qui a également décidé de réduire volontairement sa production de 500.000 barils. En conséquence, la diminution volontaire totale de la production pétrolière s'est élevée à 1,66 million de barils et ce, jusqu’à fin 2024.

Spoutnik

 

 

 

Ce que l’on sait du début du retrait français du Niger

Vers une guerre de religion, infos du 5 octobre 2023

Les militaires français stationnés au Niger entament leur retrait du pays, comme le confirment les nouvelles autorités du pays. Après leur départ, la base aérienne de Niamey sera démantelée. L’opération se passera "en bon ordre, en sécurité et en coordination avec les Nigériens", selon Paris.

Le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), au pouvoir au Niger, confirme le début du désengagement des troupes françaises du Niger en donnant quelques précisions sur les étapes de celui-ci.

"Le retrait des troupes militaires françaises de notre pays va débuter cette semaine", a-t-il annoncé ce 5 octobre.

"Le CNSP et le gouvernement nigérien seront attentifs à ce que ce retrait se fasse dans le respect de nos intérêts et selon nos conditions", ajoutent les militaires au pouvoir.

Départ "en bon ordre"

La déclaration du CNSP est apparue peu de temps après les premières informations sur le sujet, véhiculées par l’AFP qui se référait à l’état-major des armées françaises. Selon cette source, l’opération débutera "dans la semaine" et se passera "en bon ordre, en sécurité et en coordination avec les Nigériens".

D’après RFI, l’opération a déjà débuté, ce 5 octobre.

Opération complexe

Le retrait s’annonce complexe pour les environ 1.500 militaires français au Niger.

Les premiers "à plier bagage" seront 400 soldats basés à Ouallam, selon le CNSP. Ces militaires sont stationnés dans la zone dite des trois frontières (entre le Niger, le Mali et le Burkina Faso) et participent aux activités antiterroristes conjointement avec les militaires nigériens.

Ensuite partiront les militaires déployés à la base aérienne projetée (BAP) de Niamey. Ce millier d'hommes sera évacué par les airs, selon RFI.

Après leur départ, la base cessera son existence, précise le CNSP: "La base aérienne de Niamey où sont stationnés la majorité des militaires français sera ensuite démantelée d'ici la fin de l'année".

Exigences des militaires au pouvoir

Depuis fin juillet, les relations entre Paris et Niamey sont chahutées.

Arrivés au pouvoir le 26 juillet suite à un coup de force, les militaires nigériens dirigés par le général Abdourahamane Tiani ont demandé de mettre fin à la coopération militaire avec la France. Après des mois de tensions, le 24 septembre, Emmanuel Macron a annoncé le retrait des troupes françaises d’ici la fin 2023.

En réagissant à cette annonce, le CNSP a affirmé que ce retrait "doit être établi dans un cadre négocié et d’un commun accord pour une meilleure efficacité".

Récemment le général de brigade Mohamed Toumba, nommé ministre de l’Intérieur du pays, a estimé que Paris "n’est pas dans une logique de quitter le Niger".

Arrivées en 2013 au Sahel pour mettre un terme à la menace terroriste, les forces françaises "n'ont pas réussi à vaincre" ce fléau, a estimé le 1er octobre le général Abdourahamane Tiani.

Spoutnik

 

 

 

A l’occasion de la St Michel, le régiment du 8e RPIMA lance son clip officiel

 

 

 

#StopFascismFrance : le pouvoir turc a orchestré une campagne anti-France en réaction à l’interdiction du voile islamique pour les athlètes françaises aux JO 2024. De nombreux ministres turcs et députés de l’AKP y ont participé

La campagne sur les réseaux sociaux du KADEM en réaction aux interdictions en France a fait entendre sa voix

La Fondation Femmes et Démocratie (KADEM) a réagi à la décision de la France d’interdire aux athlètes portant le foulard de participer aux Jeux Olympiques de Paris 2024 avec la campagne #StopFascismFrance

La dernière décision de la France concernant les athlètes féminines, qui ajoute chaque jour de nouvelles pratiques à ses pratiques ciblant les femmes musulmanes/voilées, a cette fois été mise à l’ordre du jour par une campagne sur les réseaux sociaux.  KADEM a organisé une campagne sur les réseaux sociaux avec une participation internationale pour attirer l’attention sur l’attitude oppressive de la France et les violations des droits humains à l’égard des femmes musulmanes.

La décision de la France, qui applique depuis un certain temps strictement des interdictions allant des établissements d’enseignement aux espaces publics du pays, interdisant aux athlètes voilés de participer aux Jeux olympiques, a également suscité des réactions dans le monde. La porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH), Marta Hurtado, a critiqué la dernière interdiction du port du foulard imposée par la France aux athlètes féminines.

Les publications du KADEM sur le sujet sur ses comptes de réseaux sociaux, à partir de 19h00 hier soir, ont rapidement reçu une grande publicité et un grand soutien. La campagne, devenue TT en quelques minutes avec le hashtag #StopFascismFrance, a révélé la sensibilité de la société en ce sens.

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La campagne, soutenue par le ministre turc de la Famille Mahinur Özdemir Göktaş [NFDS : une ancienne députée bruxelloise, belgo-turque, réputée proche des Frères musulmans], le ministre turc du Travail et de la Sécurité sociale Vedat Işıkhan et le ministre turc de la Jeunesse et des Sports Osman Aşkın Bak, a été portée à l’ordre du jour par de nombreux témoignages avec de nombreux adeptes. La campagne sur les réseaux sociaux du KADEM a également fait sensation sur la scène internationale. 15 000 partages ont été réalisés sur la campagne du KADEM. Plus de 30 000 utilisateurs uniques ont interagi et le hashtag #StopFascismFrance est resté sur TT pendant 4,5 heures.

Dans la campagne du KADEM avec le hashtag #StopFascismFrance, les messages publiés sur les réseaux sociaux disaient : « La France interdit aux athlètes portant le foulard de participer aux Jeux Olympiques de Paris 2024 ; Ce fut la dernière des décisions d’oppression et d’exclusion visant les femmes musulmanes. « Nous invitons la communauté internationale à s’opposer aux pratiques antidémocratiques de la France et à se tenir aux côtés des femmes. » Ses déclarations ont été incluses.

Invitant le monde entier à s’opposer aux pratiques antidémocratiques de la France et à se tenir aux côtés des femmes avec la campagne qu’elle a organisée, la KADEM a également publié un film lors du Sommet international femmes et justice sur « Les codes culturels et les femmes » à l’automne dernier, abordant l’interdiction du burkini en France. et les critiques contre les athlètes féminines. Il a attiré l’attention sur l’imposition de vêtements.

Kadem

Qu’est-ce le KADEM ?

KADEM est une organisation non gouvernementale qui œuvre depuis sa création le 8 mars 2013 à bâtir une société sûre et un avenir juste où les femmes pourront vivre dignement et prône le principe « d’égalité dans l’existence, de justice dans la responsabilité » .

Il s’efforce de créer un discours centré sur la justice en produisant des solutions applicables et permanentes aux questions concernant les droits des femmes et la famille. Il vise à renforcer la représentation des femmes dans tous les domaines de la vie sociale.

Kadem

 

 

 

Réforme Schengen : Les macronistes et l’extrême gauche s’allient au Parlement européen pour restreindre les contrôles aux frontières intérieures et lancer les négociations avec le Conseil de l’UE (MàJ)

Aujourd’hui, le Parlement européen a voté l’autorisation de négociations interinstitutionnelles sur la réforme du code frontières Schengen.

Avec 370 voix pour, 163 contre et 31 abstentions, les députés ont autorisé le début des négociations avec le Conseil sur la forme finale des règles révisées aux frontières pour l’espace de libre circulation Schengen. L’équipe de négociation du PE sera dirigée par la rapporteure Sylvie Guillaume (S&D, France).

La position du Parlement vise à clarifier les règles, à renforcer la libre circulation au sein de l’UE et à introduire des solutions ciblées aux menaces réelles. Dans le même temps, les députés souhaitent garantir une réponse cohérente de l’UE en cas d’urgences sanitaires publiques transfrontalières à grande échelle, plutôt qu’une approche fragmentée.

Arrière-plan

Le Parlement a appelé à une réforme du code frontières Schengen « afin de renforcer la confiance mutuelle et la solidarité, et de sauvegarder l’intégrité et la restauration complète de l’espace Schengen », qui englobe actuellement 27 pays .

Dans un arrêt d’avril 2023, la Cour de justice de l’Union européenne a statué que les contrôles aux frontières réinstallés en raison de menaces graves ne peuvent excéder six mois et ne peuvent être prolongés que lorsqu’une nouvelle menace survient, sauf circonstances exceptionnelles rendant la situation impossible. le fonctionnement global de l’espace Schengen est menacé.

Le début des négociations interinstitutionnelles a été annoncé au début de la session plénière du 2 octobre. Un vote sur les négociations était prévu après que le nombre requis de députés ait décidé de s’opposer à la décision. Après le vote d’aujourd’hui, les négociations avec le Conseil peuvent commencer.

Parlement européen

Interventions de Jean-Paul Garraud (RN/ID) et de Sylvie Guillaume (PS/S&D) :

 

Résultats des votes :

Liste des votes par appel nominal

 

Pacte asile et migration : les Etats membres de l’UE trouvent un accord sur son dernier volet. Les négociations entre le Parlement, la Commission et le Conseil vont pouvoir commencer

04/10/2023

Aujourd’hui, les représentants des États membres de l’UE sont parvenus à un accord sur le dernier volet d’une politique européenne commune en matière d’asile et de migration. Lors d’une réunion du comité des représentants permanents du Conseil, les États membres ont scellé leur mandat de négociation sur un règlement sur les situations de crise, y compris l’instrumentalisation de la migration et la force majeure dans le domaine de la migration et de l’asile. Cette position constituera la base des négociations entre la présidence du Conseil et le Parlement européen.

La nouvelle loi établit le cadre qui permettrait aux États membres de faire face aux situations de crise dans le domaine de l’asile et de la migration en ajustant certaines règles, par exemple concernant l’enregistrement des demandes d’asile ou la procédure d’asile aux frontières. Ces pays pourraient également demander des mesures de solidarité et de soutien à l’UE et à ses États membres.

Mesures exceptionnelles en situation de crise

En cas de crise ou de force majeure, les États membres peuvent être autorisés à appliquer des règles spécifiques concernant la procédure d’asile et de retour. En ce sens, entre autres mesures, l’enregistrement des demandes de protection internationale peut être achevé au plus tard quatre semaines après leur dépôt, allégeant ainsi la charge des administrations nationales surchargées. 

Solidarité avec les pays confrontés à une situation de crise

Un État membre confronté à une situation de crise peut demander des contributions de solidarité aux autres pays de l’UE. Ces apports peuvent prendre la forme de :

  • la relocalisation des demandeurs d’asile ou des bénéficiaires d’une protection internationale depuis l’État membre en situation de crise vers les États membres contributeurs
  • des compensations de responsabilité, c’est-à-dire que l’État membre qui soutient assumerait la responsabilité d’examiner les demandes d’asile en vue de soulager l’État membre qui se trouve dans une situation de crise
  • des contributions financières ou des mesures de solidarité alternatives

Ces mesures exceptionnelles et ce soutien solidaire nécessitent l’autorisation du Conseil conformément aux principes de nécessité et de proportionnalité et dans le plein respect des droits fondamentaux des ressortissants de pays tiers et des apatrides.

Contexte et prochaines étapes

Le règlement traitant des situations de crise et de force majeure dans le domaine de la migration et de l’asile fait partie du nouveau pacte sur la migration et l’asile proposé par la Commission le 23 septembre 2020. Le pacte consiste en un ensemble de propositions visant à réformer les règles de l’UE en matière de migration et d’asile. Outre le règlement de crise, d’autres propositions marquantes comprennent le règlement sur la gestion de l’asile et des migrations et le règlement sur la procédure d’asile.

Conseil de l’UE

Un calendrier serré 

Le dossier sera-t-il bouclé d’ici la fin de la mandature ? L’approche générale des Etats membres trouvée sur le volet “Crises” en Coreper permet de démarrer une étape essentielle : les trilogues entre le Parlement européen et le Conseil de l’Union européenne.

La totalité du Pacte européen sur la migration et l’asile entre maintenant en discussions, la présidence espagnole souhaitant finaliser les textes d’ici la fin de l’année. Car le temps est compté : Parlement et Conseil se sont engagés à l’adopter pour février 2024, avant les élections européennes. 

Touteleurope.eu

 

Menton (06) : les habitants s’opposent à l’installation de migrants “mineurs isolés” dans un ancien centre de vacances avec vue mer. Plus de 900 000 euros de travaux. (MàJ)

2/10/23

Les lieux sont désertés depuis plus d’un an mais pourraient retrouver une utilité dans les prochaines semaines. Un ancien centre de vacances pour les salariés du groupe EDF et GRDF, à Menton (Alpes-Maritimes), pourrait être réaménagé afin d’accueillir des mineurs étrangers non accompagnés (MNA), qui affluent à la frontière franco-italienne depuis le début de l’année.

Des représentants du département maralpin – à qui revient la gestion de ces mineurs – se sont rendus sur place pour faire des repérages et voir si les bâtiments pourraient, à terme, convenir. La préfecture indique au Figaro avoir proposé cette option, confirmant les premières informations de BFM Nice Côte d’Azur. (…)

Le Figaro

 

 

« La France, pays catholique et blanc » : l’enseignant d’un lycée privé catholique d’Angers jugé pour provocation à la discrimination plaide le second degré et rappelle qu’il a accueilli des migrants (MàJ)

05/10/2023

Très vite, le président Matthieu Fiorini, avec son passé d’ancien juge d’instruction à Angers, parvient à le faire parler en lui posant des questions sur ses cours et notamment sur les phrases qu’il aurait tenues devant les élèves ce jour-là : « La France est un pays de blancs, qu’il n’y a pas de musulmans. Que les musulmans n’ont rien à faire ici, surtout dans ce lycée, qui est un lycée catholique. » Mais aussi : « À l’époque de Vercingétorix, il n’y avait que des blancs, des purs blancs, de religion catholique. » Frédéric Mortier répond : « L’intention était de provoquer le jeune sur ce qu’il avait envie de dire. On est sur du second degré. »

(…)

« Et les autres propos tenus à caractère racial ? », demande le président. « Je n’ai pas tenu ces propos. Ce n’est pas moi. J’ai travaillé pour les apprentis d’Auteuil, j’ai accueilli des migrants », répond l’enseignant.

Frédéric Mortier dit « ne pas utiliser l’accent africain » mais « l’accent des pays de l’est car c’est mon truc quand un élève n’entend pas et que je dois lui répéter ». La salle réagit vivement.

« Je suis peut-être raciste des pays de l’est », lance-t-il au tribunal. Puis il ajoute : « L’enseignement avec l’humour n’est peut-être plus possible aujourd’hui et c’est ce qui me conduit devant vous. »

Il est compliqué de suivre ses propos, ses explications. « Ma pédagogie est risquée. Elle est devenue risquée en raison de la société qui change. Je regrette qu’on en soit arrivé là. Je leur souhaite le meilleur pour la suite. »

Ouest France

12/12/2021

Une convocation en justice pour le 4 mai 2022 lui a été remise. Il sera jugé par le tribunal correctionnel pour des faits de harcèlement, provocation publique à la discrimination en raison de la religion et dénonciation calomnieuse.

Lors d’un cours dans cet établissement catholique sous contrat, l’enseignant aurait « invité » l’un de ses élèves musulmans à « changer de religion ». Ouest-France rapporte que le professeur aurait dit en classe, le 30 novembre dernier, que « les établissements catholiques auraient dû continuer à n’enseigner qu’à des élèves de confession catholique ». Avant de poursuivre : « Depuis Vercingétorix, la France est un pays catholique et blanc ». L’enseignant, joint par Le Monde, plaide un trait d’humour mal compris, même s’il admet « ne pas avoir employé le bon ton ».

« J’enseigne le droit et l’histoire juridique qui est beaucoup rattachée au catholicisme et à la chrétienté. Une élève me dit qu’il n’y a pas de religion en France, que la seule qui existe c’est la laïcité. Je lui rappelle qu’on est dans un établissement catholique, qu’à une époque des prêtres et des sœurs enseignaient à ma place et que les élèves étaient catholiques. Et, au second degré, je dis que si des musulmans le veulent, ils peuvent nous rejoindre », expliquait-il à nos confrères avant sa garde à vue.

Le Parisien

Le professeur craint en effet pour sa sécurité, dans le contexte actuel: “Je ne veux pas devenir un nouveau Samuel Paty”, a-t-il déclaré. Il prétend avoir invité les “musulmans à devenir catholiques” avec “second degré et humour”. Il reconnaît avoir dit “qu’à une époque, les élèves étaient plutôt catholiques dans les établissements catholiques” dans le cadre d’un cours de “droit” de “d’histoire de France”. 

7sur7.be


08/12/2021

​Un élève de première du lycée professionnel et catholique Joseph-Wresinski d’Angers a déposé plainte contre l’un de ses professeurs jeudi 3 décembre. Il lui reproche des injures liées à sa religion. L’enseignant, qui a été suspendu à titre conservatoire, s’en défend et a porté plainte à son tour, dénonçant des violences.

L’élève indique dans sa plainte que l’enseignant a déclaré : “Les établissements catholiques auraient dû continuer à n’enseigner qu’à des élèves de confession catholique”. Mais selon Ouest-France, un autre élève de la classe aurait contesté les dires de son professeur et lui aurait lancé : “Les établissements catholiques ne sont pas réservés aux catholiques”, tout en montrant un camarade de classe de confession musulmane. Dans sa plainte, ce dernier précise que l’enseignant a répondu, “c’est le problème”, en le désignant et en ajoutant qu’il pouvait “changer de religion”.

Plainte contre plainte

Ces propos auraient provoqué les contestations de la classe. L’élève s’est levé pour quitter la salle. Il aurait lancé “raciste !” à l’enseignant et l’aurait bousculé. Vendredi 3 décembre, le professeur d’éco-gestion a, à son tour, déposé plainte au commissariat d’Angers pour “violences sur une personne chargée d’une mission de service public”. Il a précisé que les propos tenus face à la classe l’ont été “au second degré”. Le procureur de la République Éric Bouillard confirme le dépôt de “plaintes croisées” et indique que “l’enquête ne fait que débuter”.

« 20 % de nos élèves sont musulmans »

Enfin, Anthony Bélangé souhaite qu’aucun amalgame ne soit effectué entre cet événement et les valeurs défendues dans son lycée. Il rappelle que les établissements catholiques n’ont pas vocation à accueillir des catholiques seulement. “20 % de nos élèves sont de jeunes musulmans” note-t-il. “On vit très bien tous ensemble. Nous défendons la laïcité, le respect des croyances de chacun”.

Ouest France

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