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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 4 octobre 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev affirme avoir détruit un puissant système antiaérien en territoire russe…

 

 

L’ESSENTIEL

  • Joe Biden s’est employé mardi à rassurer sur la pérennité du soutien américain à l’Ukraine, qui dépend de l’issue de discussions budgétaires pour le moins chaotiques. Le président américain a pour cela organisé une conférence téléphonique avec les alliés de Kiev pour « coordonner la suite de l’aide à l’Ukraine ».
  • Le Kiel Institute for the World Economy, un institut allemand qui tient le compte des aides versées à l’Ukraine, estime que les Etats-Unis ont consacré jusqu’ici un peu moins de 75 milliards de dollars au pays. Cela en fait le premier contributeur mondial en valeur absolue, et le 13e si l’on rapporte la somme au PIB (0,3 %).
  • Le ministre russe de la Défense a assuré mardi que les tentatives ukrainiennes de percer les défenses russes sur les fronts Est et Sud avaient « échoué », près de quatre mois après le début de la contre-offensive des forces de Kiev.

 

14h58 : L’Ukraine affirme avoir détruit un puissant système antiaérien en territoire russe

L’Ukraine a revendiqué mercredi la destruction d’un système antiaérien moderne S-400 sur le territoire russe, après une nuit au cours de laquelle la Russie a annoncé avoir abattu 31 drones et repoussé une tentative de débarquement en Crimée annexée.

Une source au sein des services de sécurité ukrainiens, le SBU, a déclaré à l’AFP que Kiev avait attaqué avec des drones ce système dans la région russe frontalière de Belgorod, régulièrement visée.

 

13h21 : Rishi Sunak appelle ses alliés à « donner les outils » à Kiev pour « finir le travail »

Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a appelé mardi ses alliés à continuer d’armer Kiev pour permettre à l’Ukraine de « finir le travail » et repousser l’invasion russe, au moment où l’aide militaire de certains pays occidentaux semble remise en question.

« Je le dis à nos alliés : si nous donnons les outils nécessaires au président Zelensky, les Ukrainiens vont finir le travail », a déclaré le chef de gouvernement conservateur lors d’un discours au congrès de son parti à Manchester, rappelant que Londres avait été le premier pays à fournir des chars à l’armée ukrainienne.

 

10h35 : Poutine au Kirghizstan mi-octobre, 1er voyage à l’étranger depuis son mandat d’arrêt

Le président russe Vladimir Poutine est attendu mi-octobre au Kirghizstan, ont annoncé mercredi les autorités de ce pays d’Asie centrale, pour sa première visite à l’étranger depuis que la Cour pénale internationale a émis un mandat d’arrêt à son encontre.

« A l’invitation du président du Kirghizstan Sadyr Japarov, le 12 octobre prochain, le président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine effectuera une visite officielle dans le pays », indique l’agence de presse officielle kirghize Kabar, citant un responsable de l’administration présidentielle de cet Etat allié de Moscou.

Vladimir Poutine doit participer le 13 octobre à Bichkek, la capitale kirghize, à un sommet des dirigeants de la Communauté des Etats indépendants, regroupant plusieurs ex-républiques soviétiques, ainsi qu’à un gala en l’honneur des vingt ans de l’ouverture d’une base militaire russe au Kirghizstan.

 

10h20 : L’UE accro au GNL russe, une équation compliquée

En dépit de la guerre en Ukraine, l’UE a gonflé ses achats de gaz liquéfié (GNL) russe : accros aux énergies fossiles et nerveux à l’approche de l’hiver, les Européens peuvent trouver des fournisseurs alternatifs, mais cela prendra du temps, sur un marché tendu. Après l’invasion, Moscou avait fortement réduit ses acheminements par gazoduc à l’UE, poussant les Vingt-Sept à diversifier tous azimuts leurs approvisionnements.

Investissant dans des terminaux portuaires, ils ont ainsi gonflé de 70 % l’an dernier leurs achats de GNL, transporté par navires et venu à plus de 40 % des États-Unis. Les importations de GNL russe, notamment via TotalEnergies qui a beaucoup investi en Sibérie, se sont aussi envolées - le gaz ne faisant l’objet d’aucune sanction ni restriction.

Certes, la part de la Russie dans les importations de gaz de l’UE (gazoduc et GNL) est tombée à 15 % au cours des sept premiers mois de 2023, contre 24 % en 2022 et 45 % en 2021. Mais ce recul camoufle le bond des achats de GNL russe, à 12,4 milliards de m3 (bcm) sur janvier-juillet (17 % des achats européens de GNL), contre 19,3 bcm sur l’ensemble de 2022 et 13,5 bcm pour toute l’année 2021, selon la Commission européenne. La moitié du gaz russe importé par l’UE était du GNL en janvier-juillet, contre seulement un quart l’an dernier.

DIRECT

 

 

 

Zelensky et les États-Unis tentent d’embaucher des terroristes de l’EI en Irak

 
 

par Sonja Van den Ende

Un magazine de l’État islamique (Daech) affirme que l’Ukraine n’est que le début d’une «grande guerre». La couverture de la 11ème édition du magazine Voice of Khurasananciennement appelé Dabiq – publié par la branche médiatique officielle de l’État islamique-Khorasan, la Fondation Al Azaim – représente la livraison d’équipement militaire avec le titre «Le trou noir en Ukraine».

Abu Omar al-Shishani, commandant géorgien de l’État islamique

Les détails des récents pourparlers ukraino-irakiens ont été publiés dans les médias du Moyen-Orient. Selon almasryalyoum.com, le 27 septembre 2023, une vidéo YouTube est apparue, affirmant que le président ukrainien Zelensky tentait de recruter des prisonniers irakiens (Daech) dans les forces armées ukrainiennes. Selon la vidéo, les prisonniers en question sont des terroristes reconnus coupables, des combattants de Daech. L’auteur de la vidéo est Hassan Fadil, qui s’est présenté comme un ancien employé du ministère irakien des Affaires étrangères, y ayant travaillé comme secrétaire de 2019 à 2023 avant de quitter le pays.

Hassan Fadel sur YouTube :

«Je m’appelle Hassan Fadel et je suis un ancien employé du ministère des Affaires étrangères de la République d’Irak. J’y ai travaillé comme secrétaire de 2019 à 2023. J’ai découvert cette note en avril de cette année, lorsque des diplomates ukrainiens l’ont remise à mes collègues. Je suis profondément indigné par le contenu de cette note et je voudrais la rendre publique, car «les combattants expérimentés dans la lutte contre les Russes» qui y sont mentionnés sont d’anciens combattants de L’État Islamique détenus dans des prisons en Irak. J’ai démissionné du ministère et j’ai quitté l’Irak avec ma famille, donc je ne sais pas quelle a été notre réponse. Pourtant, je ne veux pas voir ces gens libres, surtout armés. L’EI est un groupe de meurtriers et de terroristes, et ils devraient rester emprisonnés pour le reste de leur vie. De nombreux pays soutiennent actuellement l’Ukraine et lui permettent d’enfreindre les lois internationales. Toujours, aider les terroristes, c’est trop et ne devrait pas être autorisé. Je suis également consterné par l’implication américaine dans cette affaire. Le général McFarlane mentionné dans la note est le commandant de la Force opérationnelle interarmées américaine en Irak. Il est tout simplement choquant de voir avec quelle facilité les problèmes liés au mouvement des prisonniers irakiens, en particulier des terroristes, peuvent être résolus sans la participation des représentants de notre pays».

Bien sûr, ce n’est pas la première fois que l’Ukraine utilise les terroristes de Daech (Brigade Cheikh Mansour), ou essaie de le faire, même s’ils prétendent que ce n’est pas vrai ! Les États-Unis (et l’OTAN) les ont utilisés en Syrie, en Irak et pour leurs opérations spéciales d’infiltration dans le monde entier. En particulier, ils les utilisent actuellement au Sahel africain, afin de justifier la présence militaire occidentale, dont le but réel est le pillage de l’Afrique (minerais d’or, d’uranium, bois, etc.) par les puissances occidentales.

Abou Omar al-Shishani

Depuis des années, l’Ukraine est un point de transit important pour les terroristes. Les services de sécurité ukrainiens (SBU) ont réussi à perturber plusieurs opérations russes en utilisant des terroristes. On savait que les terroristes de l’État islamique (Daech) du Caucase du Nord et du Sud et des pays d’Asie centrale passaient clandestinement en Ukraine via la Turquie et, pendant la guerre en Syrie, de l’Ukraine vers la Turquie et de là vers la Syrie et l’Irak. L’intensification du terrorisme djihadiste en Syrie a coïncidé avec la révolution du Maïdan en 2014 à Kiev, le référendum en Crimée et maintenant, lors de l’opération militaire spéciale dans le Donbass. L’Ukraine n’a pas fait grand-chose pour interdire aux djihadistes de traverser son territoire. Au contraire.

Al-Shishani, un «égorgeur» notoire, a été déclaré mort. En août 2017, lui et sa famille seraient morts lors d’une frappe aérienne dans la province syrienne de Deir ez-Zor, qui faisait alors partie de l’État islamique en déclin. Mais on a découvert plus tard que sa mort avait été truquée (depuis les États-Unis) afin de détourner l’attention de sa fuite de Syrie. Il se bat peut-être dans le Donbass, en ce moment même ! 
Recruter en Irak

À la mi-avril 2023, une réunion a eu lieu à Bagdad entre des représentants du ministère irakien des Affaires étrangères dirigés par Fouad Hussein et une délégation ukrainienne dirigée par le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kuleba. Après la réunion, les hommes politiques se sont adressés à la presse et ont fait une série de déclarations sur le développement de la coopération entre les deux pays et la volonté de mettre fin à la guerre russo-ukrainienne.

Une autre réunion s’est tenue en mai 2023 en Arabie saoudite lors du Sommet sur le règlement du conflit russo-ukrainien. En outre, le président Zelensky a personnellement communiqué par téléphone avec le Premier ministre irakien Al Soudani.

Les États-Unis sont considérés par le gouvernement irakien actuel comme un «envahisseur indésirable» :

Le major-général McFarlane a répondu aux questions des journalistes sur le rôle des États-Unis en Irak. Question d’un journaliste irakien : «Le Premier ministre irakien a récemment annoncé que son pays n’avait pas besoin de forces étrangères et que les relations entre Bagdad et les forces de la coalition seraient négociées».
Réponse de McFarlane : «Tout d’abord, nous sommes ici à l’invitation du gouvernement irakien et non dans un rôle de combat. Nous passons notre temps à conseiller et à aider à fournir le matériel nécessaire aux forces de sécurité irakiennes».

McFarlane souffre très probablement d’amnésie car il ne se souvient pas de la guerre non désirée menée par les États-Unis en 2003, à laquelle le gouvernement irakien ne les avait PAS invités !

On ne sait pas combien de combattants de l’État islamique sont encore détenus en Irak (ou en Syrie). Au cours des cinq dernières années, nombre d’entre eux ont été exécutés ou sont morts de causes naturelles. Selon les preuves circonstancielles et les données de recherche, leur nombre peut être estimé à quelques milliers. En mars de cette année, le général américain Michael Kurilla, qui a visité les prisons abritant les terroristes détenus, a déclaré qu’entre les détenus en Syrie et en Irak, il existe une véritable «armée de Daesh en détention». S’ils étaient libérés, cette armée terroriste constituerait une grande menace au niveau régional et au-delà.

Bien entendu, l’Irak est également devenu célèbre pour la prison d’Abou Ghraib, où sont probablement encore emprisonnés des membres de haut rang de Daech. Mais il ne faut pas oublier qu’une importante armée potentielle de Daech est en train de se former, à  Camp al-Hawl.

Le camp de réfugiés d’al-Hawl est un camp de réfugiés situé à la périphérie sud de la ville d’al-Hawl, dans le nord de la Syrie, près de la frontière syro-irakienne, et qui accueille des personnes déplacées de l’État islamique (Daech). Le camp est contrôlé par les Forces démocratiques syriennes (FDS) soutenues par les États-Unis, les alliés des États-Unis et principalement des combattants kurdes. Selon le gouvernement américain, une grande partie du camp est dirigée par Daech qui l’utilise à des fins d’endoctrinement et de recrutement. Bien sûr, c’est exactement ce dont les États-Unis ont besoin, pour utiliser ces terroristes comme mandataires dans la guerre contre la Syrie et pourraient facilement les utiliser en Ukraine.

Le chef de l’Union des érudits musulmans de la province de Diyala, dans l’est de l’Irak, a déclaré que trois équipes affiliées à l’agence d’espionnage israélienne du Mossad sont actives dans le camp de réfugiés d’al-Hawl sous contrôle américain, dans la province d’Al-Hasakah, au nord-est de la Syrie, et qu’elles recrutent des espions. «Trois équipes liées au Mossad, actives dans le camp de réfugiés syrien d’Al-Hawl, contrôlé par les États-Unis, recrutent des espions» (presstv.ir)

Des dizaines de milliers de personnes, dont des proches de jihadistes, ont été détenues dans des camps gérés par les autorités kurdes, dont le tristement célèbre camp d’Al-Hawl, où sont également détenus environ 10 000 étrangers. L’Europe est toujours divisée quant à savoir s’ils doivent reprendre ces étrangers (leurs citoyens) ou au moins les femmes et les enfants, mais la majorité des étrangers sont toujours détenus dans le camp d’Al-Hawl.

Implication des États-Unis dans le recrutement de Daech en Ukraine

Le général McFarlane, mentionné dans la vidéo de Hassan Fadil, est un général de division de l’armée américaine, qui a dirigé la Combined Joint Task Force – Operation Inherent Resolve de septembre 2022 à août 2023. La CJTF-OIR est une coalition militaire internationale dirigée par les États Unis, officiellement chargée de combattre Daech – mais en réalité pour protéger et renforcer Daech.

Bien entendu, il n’existe aucune déclaration officielle de l’Ukraine et des États-Unis sur le recrutement d’anciens combattants de Daech, probablement emprisonnés dans des camps en Irak et en Syrie.

Certaines preuves ont émergé d’un tabloïd (qui ne sait probablement pas vraiment ce qu’il écrit ou publie) : le 25 septembre 2023, le journal britannique The Sun a publié une vidéo montrant l’un des combattants de l’AFU portant des écussons de l’État islamique. Bien que les soldats ne parlent pas arabe dans la vidéo, l’écusson de Daech (ISIS) est clairement visible sur leur bras.

On peut dire que l’idée des États-Unis et de l’Ukraine selon laquelle les djihadistes pourraient être recrutés dans les camps en Irak et en Syrie est en soi très plausible. Cela s’est produit lors de la guerre en Syrie, où ils ont été recrutés partout dans le monde, notamment en Europe, en Afrique du Nord et dans le Caucase.

Les États-Unis et leurs colonies ont une longue histoire de guerres par procuration et voudront certainement utiliser ce potentiel «bétail d’abattoir» pour leur guerre en Ukraine contre la Russie, parce que l’Ukraine manque de soldats.

source : La Cause du Peuple

 

 

 

Après l’Ukraine, la recrudescence de la guerre en Syrie ?

 
 

avec Adnan Azzam

Adnan Azzam est né à Soueïda en Syrie. Après avoir achevé ses études en Droit à Damas, il se lança dans le plus long voyage à cheval au monde de 1982 à 1986 pour faire connaître le monde arabe aux Occidentaux.

En 1986, il s’installa à Paris pour être journaliste dans le domaine de la politique et gérer l’association dont il sera président fondateur : «Marche des valeurs». Toujours axé sur les problématiques des relations entre l’Ouest et l’Est, Adnan écrira deux livres et tournera trois films documentaires.

En 2009, ses activités trouvèrent une reconnaissance dans la société française et il fut fait Chevalier de l’Ordre national du Mérite.

Dès que la guerre commença en Syrie, en 2011, sans hésiter, il revint dans son pays natal pour être avec son peuple durant ces moments difficiles. Il passera chaque jour avec des victimes. Durant six années, Azzam écrira huit livres et tournera un film documentaire en 2017, avec lequel il débutera une tournée internationale de présentation afin d’éclairer le public sur les réalités du conflit en Syrie.

Proche du président Bachar al-Assad, il sera donc présent pour parler de la situation actuelle syrienne.

source : Géopolitique Profonde

 

 

 

"Qu’il change sa tenue de camouflage et passe une cravate": Zelensky sous le feu des critiques

 

Vers une guerre de religion, infos du 4 octobre 2023

Le Président ukrainien devrait arrêter de jouer aux militaires et enfiler au plus vite un costume et une cravate pour mettre fin à la corruption en Ukraine, a déclaré l’ancien ministre ukrainien Volodymyr Omelyan.

L’habit ne fait pas le moine. Alors que Politico a fait fuiter un document confidentiel américain sur la corruption en Ukraine, certains appellent le Président Volodymyr Zelensky à arrêter de jouer les chefs de guerre pour se concentrer sur ce fléau.

Les soldats prennent très mal le fait d’avoir à se battre alors que les dirigeants politiques s’enrichissent illégalement, a ainsi déclaré à Politico Volodymyr Omelyan, ancien ministre des Infrastructures et désormais capitaines dans les forces ukrainiennes.

"Nous sommes furieux que certains de nos dirigeants préfèrent tricher et voler alors que nous mourons sur le champ de bataille. Nous pensons que Zelensky devrait changer sa tenue de camouflage pour enfiler une cravate, un costume et analyser ce qui se passe autour de lui avec son équipe", a-t-il ainsi déclaré au média américain.

Cette corruption galopante porte atteinte aux forces armées et Kiev devrait faire le ménage, sous peine de perdre davantage d’hommes, a ajouté l’ancien ministre.

Washington s’inquiète aussi

Ce 2 octobre, Politico avait dévoilé un document confidentiel américain, dans lequel les autorités disaient s’inquiéter de la corruption en Ukraine. Le phénomène est tel que les soutiens de Kiev pourraient finir par l’abandonner si rien n’est fait pour endiguer ce fléau, soulignait ce rapport.

Plusieurs affaires de corruption avaient éclaté ces derniers mois en Ukraine, dont certaines touchant directement le secteur militaire. En janvier, le ministère de la Défense avait notamment été éclaboussé par un scandale de rations alimentaires surfacturées à hauteur de 325 millions d’euros.

La Justice ukrainienne s’était aussi retrouvée dans la tourmente en mai. Le président de la Cour suprême, Vsevolod Kniaziev, avait été arrêté et placé en détention dans une affaire portant sur le versement d'un pot-de-vin. Le milliardaire Kostantin Jevago, quatrième fortune du pays, aurait transféré 1,8 million de dollars à plusieurs juges de la plus haute instance judiciaire du pays.

Spoutnik

 

 

 

Le Pakistan ordonne à tous les migrants clandestins, dont 1,73 million de ressortissants afghans, de quitter le pays après avoir révélé que 14 des 24 attentats-suicide survenus dans le pays cette année avaient été perpétrés par des migrants afghans

  • Plus de 4,4 millions de réfugiés afghans au Pakistan (ministre)
  • Des ressortissants afghans impliqués dans 14 des 24 attentats suicides cette année
  • Répression après l’expiration du délai

ISLAMABAD, 3 octobre (Reuters) – Le Pakistan a ordonné mardi à tous les immigrants clandestins, dont 1,73 million de ressortissants afghans, de quitter le pays sous peine d’expulsion, après avoir révélé que 14 des 24 attentats-suicide survenus dans le pays cette année avaient été perpétrés par des ressortissants afghans.

Il n’était pas clair dans l’immédiat comment les autorités pakistanaises pourraient garantir le départ des immigrants illégaux, ni comment elles pourraient les retrouver pour les expulser.

L’annonce d’Islamabad marque un nouveau creux dans ses relations avec Kaboul, qui se sont détériorées après des affrontements frontaliers entre les voisins sud-asiatiques le mois dernier.

Reuters

 

Haut-Karabakh : la France donne son accord pour la livraison de matériel militaire à l’Arménie (MàJ)

03/10/2023

(…) « La France a donné son accord à la conclusion de contrats futurs forgés avec l’Arménie qui permettront la livraison de matériel militaire à l’Arménie pour qu’elle puisse assurer sa défense », a déclaré Mme Colonna lors d’une conférence de presse à Erevan.

La ministre des affaires étrangères n’a pas précisé les équipements concernés, mais a assuré que la France agirait « dans ce domaine avec esprit de responsabilité de part et d’autre et sans aucun esprit d’escalade ». Elle a souligné que le voisin oriental de l’Arménie, l’Azerbaïdjan, fort de ses revenus pétroliers et du soutien turc, n’avait « eu de cesse de s’armer pour entreprendre des actions ». (…)

Le Monde


28/09/2023

BFMTV


20/09/2023

(…) De l’artillerie lourde qui s’abat sur Stepanakert, la capitale du Haut-Karabakh, des obus de mortier sur des villages le long de la «ligne de contact» avec la région sécessionniste: l’Azerbaïdjan relance la guerre. Des vidéos et des photos postées sur les réseaux sociaux depuis Stepanakert montrent la population terrorisée dans les sous-sols des immeubles. L’offensive semble de grande ampleur et ne pas être qu’une simple «opération antiterroriste», selon la terminologie invoquée mardi matin par Bakou, pour «désarmer et assurer le retrait de formations des forces armées arméniennes de nos territoires», après la mort de six hommes tués par des mines qui auraient été récemment placées. En fin de journée, les séparatistes arméniens faisaient état d’un bilan de 5 morts et 80 blessés. (…)

Le Figaro

 

Tunisie : le président, Kaïs Saïed, refuse les fonds européens pour les migrants, qu’il considère comme de la « charité »

Un accord a été conclu en juillet entre Tunis et Bruxelles pour lutter contre l’immigration irrégulière. La Commission européenne a précisé que sur les 105 millions d’euros d’aide prévus, quelque 42 millions d’euros allaient être « alloués rapidement ».

[…]

 

« La Tunisie, qui accepte la coopération, n’accepte pas tout ce qui s’apparente à de la charité ou à la faveur, car notre pays et notre peuple ne veulent pas de la sympathie et ne l’acceptent pas quand elle est sans respect », stipule un communiqué de la présidence tunisienne. « Par conséquence, la Tunisie refuse ce qui a été annoncé ces derniers jours par l’UE », a dit M. Saïed qui recevait son ministre des affaires étrangères, Nabil Ammar.

Il a expliqué que ce refus n’était pas lié au « montant dérisoire (…) mais parce que cette proposition va à l’encontre » de l’accord signé à Tunis et « de l’esprit qui a régné lors de la conférence de Rome », en juillet.

[…]

 

Selon la Commission européenne, l’aide doit servir en partie à la remise en état de bateaux utilisés par les garde-côtes tunisiens et à la coopération avec des organisations internationales à la fois pour la « protection des migrants » et pour des opérations de retour de ces exilés depuis la Tunisie vers leurs pays d’origine.

Le Monde

 

 

Vacarme et clashs à l’Assemblée nationale : la députée LFI-NUPES Ersilia Soudais affirme que « la peste brune se répand » partout en France

 

 

 

Creissan (34) : un adolescent de 17 ans poignardé à plusieurs reprises à la sortie d’un bus ; des témoins évoquent “un mauvais regard” comme déclencheur de l’agression

Un adolescent de 17 ans a été gravement blessé de plusieurs coups de couteau à la sortie d’un bus scolaire à Creissan, dans l’Hérault. L’agression, qui a eu lieu lundi soir, aurait été provoqué par “un mauvais regard” entre la victime et l’agresseur. Ce dernier a été placé en garde à vue et une enquête est en cours.

Un adolescent de 17 ans a été victime de plusieurs coups de couteau à la sortie d’un bus scolaire, ce lundi soir à Creissan (Hérault). Cette tentative de meurtre s’est déroulée sur la départementale 612, entre les communes de Puisserguier et Creissan, indique Midi Libre. La victime a été transportée en état d’urgence absolue au CHU de Montpellier par l’hélicoptère de la sécurité civile. L’auteur présumé a été placé en garde à vue.

(…) Une altercation aurait d’abord éclaté dans le bus entre les deux jeunes. Des témoins évoquent “un mauvais regard” comme possible déclencheur de la dispute. Une fois à l’arrêt sur la départementale 612, la situation a dégénéré : le jeune agresseur a sorti un couteau et a porté plusieurs coups à la victime, notamment au mollet, à la cuisse et au dos.

(…) France Bleu

 

 

États-Unis : plus d’un millier de migrants arrivent juchés sur un train à la frontière mexico-américaine

Plus d’un millier de migrants sont arrivés mardi à Ciudad Juarez, à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis, juchés sur un train de marchandises après une dizaine de jours de voyage dans l’espoir de gagner le territoire américain.

La plupart de ces migrants clandestins, en majorité d’origine vénézuélienne, viennent de l’Etat de Mexico (centre), carrefour à mi-chemin de la frontière pour les migrants venant de l’extrême sud du pays.

Les services chargés de surveiller les migrants “ont tenté plusieurs fois de nous faire descendre”, explique Daiverson Muñoz, un Vénézuélien âgé de 20 ans. “Et nous sommes bloqués en plein désert. Mais ce n’est rien, nous sommes ici et nous nous sentons super contents parce que nous sommes sur le point de réaliser notre rêve. Cela a été dur mais pas impossible”.

“Le plus dur a été de voir combien de gens ont été blessés” pendant le trajet, poursuit Muñoz, étudiant en droit dans son pays natal. La dernière partie du voyage, sur 370 km, a pris 17 heures en raison du nombre d’arrêts.

Ce périple risqué est devenu pratiquement la seule option pour les migrants clandestins de parvenir à la frontière, en raison des restrictions sur l’achat de billets d’autocar.

L’afflux a obligé mi-septembre la société Ferromex, principal opérateur ferroviaire mexicain, a réduire son trafic de 30 % alors que le gouvernement durcissait les mesures de sécurité pour empêcher ce type de voyages.

Le Point

 

 

 

New-York. L’activiste d’extrême gauche Ryan Carson poignardé à mort par un Afro-américain

 

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