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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 24 octobre 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le soutien à Israël n'affectera pas l'aide à l'Ukraine, assure Olaf Scholz…

 

L’ESSENTIEL

  • Un tribunal russe a ordonné lundi le placement en détention provisoire « jusqu’au 5 décembre » de la journaliste russo-américaine Alsu Kurmasheva, arrêtée la semaine dernière, devenant le second reporter américain détenu dans le pays.
  • Le président russe Vladimir Poutine a appelé lundi à un accès « sans entrave » de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, pilonnée par l’armée israélienne, lors d’un appel avec son homologue brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.
  • Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken recevra son homologue chinois Wang Yi en fin de semaine à Washington. Le rapprochement sino-russe, la guerre en Ukraine et, surtout, celle entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas devraient s’imposer dans les discussions.

 

13h06 : Le soutien à Israël n’affectera pas l’aide à l’Ukraine, assure Olaf Scholz

Le soutien apporté à Israël après l’attaque lancée par le Hamas ne viendra pas contrecarrer l’aide apportée à l’Ukraine, a assuré mardi le chancelier allemand Olaf Scholz. « Nous soutenons l’Ukraine économiquement, financièrement, avec une aide humanitaire mais aussi avec des armes. Ce soutien ne sera en aucun cas affecté par le fait que, depuis les horribles heures du matin du 7 octobre, nous sommes tournés vers Israël et le Moyen-Orient avec la plus grande compassion et la plus grande inquiétude », a déclaré le chancelier allemand lors d’un forum économique germano-ukrainien à Berlin.

 

12h52 : Le Kremlin admet ne pas progresser pour libérer les otages russes du Hamas

Le Kremlin a indiqué qu’aucun progrès n’avait été réalisé à ce jour pour une libération des otages russes enlevés par le Hamas lors de son attaque meurtrière contre Israël le 7 octobre. La Russie, qui entretient depuis des années des relations avec le Hamas et ne considère pas ce groupe comme « terroriste » contrairement aux Etats-Unis, ne sait en outre pas exactement combien de ressortissants russes sont prisonniers de l’organisation palestinienne.

« Pour l’heure, nous n’avons pas réussi, mais nous allons poursuivre ces efforts », a déclaré à la presse Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe. « Nous sommes inquiets pour nos compatriotes. Nous n’avons pas pour l’instant d’information précise sur quand et comment ils peuvent être libérés », a-t-il ajouté, précisant aussi ne pas savoir quel est « le nombre précis » d’otages russes et refusant d’évoquer « un ordre de grandeur ».

 

08h15 : La Russie dit avoir neutralisé trois drones navals en mer Noire

La Russie a affirmé avoir neutralisé trois drones navals ukrainiens en mer Noire qui semblent avoir visé la baie de Sébastopol, en Crimée annexée. Mardi, « vers 4 heures locales, trois vedettes sans équipage de l’armée ukrainienne ont été détectées dans la partie nord de la mer Noire », a indiqué le ministère russe de la Défense dans un communiqué. « Une frappe avec des systèmes de missiles anti-diversion a été effectuée contre la zone de détection » de ces drones navals, a-t-il ajouté, sans plus de précisions.

Des mesures anti-diversion et celles visant à détecter des mines étaient en cours dans la baie de Sébastopol, port d’attache de la Flotte russe de la mer Noire en Crimée, à la suite de cet incident, selon la même source. Les attaques à l’aide de drones navals ou aériens sont courantes au large de l’Ukraine et se sont intensifiées depuis que la Russie s’est retirée en juillet d’un accord permettant les exportations de céréales ukrainiennes.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : récemment repéré en Méditerranée, le sous-marin russe Krasnodar intercepté tout près des côtes françaises

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 24 octobre 2023

Sa destination finale serait la mer Baltique.

Jeudi dernier, la Marine espagnole indiquait avoir détecté deux navires russes près de Mallorca, une île de l'archipel des Baléares en mer Méditerranée. "Les deux navires interceptés sont un sous-marin de classe Kilo II et le remorqueur naval 'Sergey Balk'", précisaient les forces armées espagnoles dans un communiqué.

Escortés par le navire Rayo, les Russes ont quitté les eaux territoriales espagnoles au large de la Galice, une région à la pointe nord-ouest de la péninsule ibérique, rapporte le Periódico.

Nos confrères catalans révèlent qu'il s'agit du submersible plus connu sous le nom de "Krasnodar", qui appartient à la flotte russe en mer Noire. Doté de 11 missiles de croisière, il s'agit de l'un des sous-marins les plus modernes de la marine russe, qualifié de "trou noir" par l'US Navy en raison de sa capacité à ne pas se faire détecter par les sonars.

Il a longé les côtes françaises

Hors de surveillance des autorités espagnoles, le convoi maritime a cette fois été repéré la semaine passée au large des côtes françaises. Plus précisément dans le golfe de Gascogne, dans l'Océan Atlantique, comme l'indique la préfecture maritime de l'Atlantique sur X (anciennement Twitter).

Les deux navires ont ensuite poursuivi leur route en direction du nord. Ils ont été une nouvelle fois localisés au large des côtes normandes, dans la Manche, ce samedi 21 octobre, comme le précise la préfecture maritime de la Manche et mer du Nord sur X (ex-Twitter).

Le convoi maritime russe a ensuite franchi le détroit du pas de Calais dans la nuit de samedi et dimanche, sous la surveillance des autorités françaises et britanniques, rapporte La Voix du Nord. Sa destination finale serait la mer Baltique.

Source

 

LIRE AUSSI: Le Royaume-Uni est inquiet de la montée en puissance des sous-marins russes

Extrait de l'article :

"De nombreux sous-marins russes ont été repérés près des côtes de la Grande-Bretagne et des États-Unis. Selon des analystes militaires, cette flotte de submersibles serait la plus grosse menace pour la sécurité des membres de l’Otan."...

 

 

 

Dans l’Arctique, des chasseurs russes s’entraînent au combat dans la stratosphère

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 24 octobre 2023
Des chasseurs-intercepteurs russes MiG-31 se sont entraînés à éliminer un avion ennemi dans l’Arctique, en menant un combat dans la stratosphère à une vitesse supersonique. La cible factice a été anéantie à l’aide de missiles à longue portée.
Lors d’un vol d'entraînement, les équipages de deux chasseurs MiG-31ont "abattu" un simulacre d’avion ennemi à haute altitude et à grande vitesse au-dessus de l’Arctique russe, a annoncé la Flotte du Nord.

"Un autre MiG-31 a joué le rôle d’un intrus ayant violé la frontière aérienne. Volant à une vitesse supersonique, il a simulé une pénétration illégale dans l'espace aérien russe dans les couches inférieures de la stratosphère. Deux chasseurs-intercepteurs MiG-31 BM ont décollé pour intercepter la cible aérienne à haute altitude."

Les équipages ont effectué les manœuvres d’entraînement à une altitude de plus de 15.000 mètres et à des vitesses de près de 2.100 km/h. Les pilotes ont réussi à intercepter et frapper cet ennemi fictif grâce à une manœuvre simulée de lancement de missiles à longue portée, a détaillé l’instance.

Un avion de la Marine US près des frontières russes

Le 18 septembre, un avion de patrouille P-8A Poseidon de l’US Navy s’était approché de la frontière russe au-dessus de la mer de Barents, au nord du pays, selon la Défense russe.

Un chasseur MiG-31avait décollé pour empêcher la violation de la frontière. Le ministère de la Défense avait alors précisé que l’équipage du MiG-31 avait accompli sa tâche "dans le respect strict des règles internationales sur l'utilisation de l'espace aérien au-dessus des eaux internationales" et "sans approche dangereuse" de l'avion américain.

Spoutnik

 

 

 

EN DIRECT - Conflit Hamas-Israël: Emmanuel Macron attendu ce soir à Amman

 

 

 

L’ONU demande une meilleure coordination de l’aide humanitaire à Gaza

Une partie des produits alimentaires acheminés dans la bande de Gaza, comme le riz et les lentilles, n'est pas utilisable faute d'eau pour les faire cuire, a déploré l'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (UNRWA). Tamara Alrifai, porte-parole de l’UNRWA, appelle donc les organisations humanitaires à se coordonner pour constituer «des listes très claires de ce qui est le plus nécessaire» dans la bande de Gaza, où 2,4 millions de Palestiniens sont coincés.

 

 

À Gaza, des tracts de l'armée israélienne réclament des informations sur les otages

L'armée israélienne a largué mardi des tracts dans la bande de Gaza appelant ses habitants à lui communiquer, en contrepartie d'une récompense financière, toute information dont ils disposeraient sur les otages israéliens détenus par le Hamas.

Des journalistes de l'AFP ont vu les tracts largués par des appareils israéliens ondoyer dans le ciel avant d'échoir sur le sol à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza.

«Si vous voulez un avenir meilleur pour vous et pour vos enfants, faites du bien et envoyez nous des informations sûres et utiles sur les personnes kidnappées qui se trouveraient dans votre zone», peut-on lire dans le tract rédigé en arabe. «L'armée israélienne vous promet de tout faire pour préserver votre sécurité et celle de vos foyers, ainsi qu'une récompense financière», ajoute le tract. «Nous vous garantissons une discrétion totale».

Le document fournit un numéro de téléphone et des messageries Telegram, Whatsapp, et Signal sur lesquels elle peut être jointe pour toute information en lien avec les otages.

 

Macron ira également à Amman en Jordanie rencontrer «probablement» le roi Abdallah II

Après Jérusalem puis Ramallah cet après-midi, Emmanuel Macron se rendre à Amman en Jordanie pour voir «probablement» le roi Abdallah II et «peut-être» d’autres dirigeants de la région, annonce l’Élysée.

 

La Russie admet ne pas progresser pour libérer les otages russes du Hamas

Le Kremlin a indiqué mardi qu'aucun progrès n'avait été réalisé à ce jour pour une libération des otages russes enlevés par le Hamas lors de son attaque meurtrière contre Israël le 7 octobre.

La Russie, qui entretient depuis des années des relations avec le Hamas et ne considère pas ce groupe comme «terroriste» contrairement aux États-Unis, ne sait en outre pas exactement combien de ressortissants russes sont prisonniers de l'organisation palestinienne.

«Pour l'heure, nous n'avons pas réussi (à faire libérer d'otages), mais nous allons poursuivre ces efforts», a déclaré à la presse Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe. «Nous sommes inquiets pour nos compatriotes. Nous n'avons pas pour l'instant d'information précise sur quand et comment ils peuvent être libérés», a-t-il ajouté, précisant aussi ne pas savoir quel est «le nombre précis» d'otages russes et refusant d'évoquer «un ordre de grandeur».

La diplomatie russe avait précédemment fait état d'au moins 20 binationaux russo-israéliens tués et deux pris en otage lors des attaques du Hamas.

 

À Gaza, des tracts de l'armée israélienne réclament des informations sur les otages

L'armée israélienne a largué mardi des tracts dans la bande de Gaza appelant ses habitants à lui communiquer, en contrepartie d'une récompense financière, toute information dont ils disposeraient sur les otages israéliens détenus par le Hamas.

Des journalistes de l'AFP ont vu les tracts largués par des appareils israéliens ondoyer dans le ciel avant d'échoir sur le sol à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza.

«Si vous voulez un avenir meilleur pour vous et pour vos enfants, faites du bien et envoyez nous des informations sûres et utiles sur les personnes kidnappées qui se trouveraient dans votre zone», peut-on lire dans le tract rédigé en arabe. «L'armée israélienne vous promet de tout faire pour préserver votre sécurité et celle de vos foyers, ainsi qu'une récompense financière», ajoute le tract. «Nous vous garantissons une discrétion totale».

Le document fournit un numéro de téléphone et des messageries Telegram, Whatsapp, et Signal sur lesquels elle peut être jointe pour toute information en lien avec les otages.

 

Netanyahou évoque une «guerre entre la civilisation et la barbarie»

«Ce n’est pas l’État islamique à des milliers de kilomètres de l’Europe, c’est l’État islamique dans la banlieue de Paris», a assuré le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, évoquant devant Emmanuel Macron la proximité d’Israël avec le Hamas implanté dans la bande de Gaza.

Le premier ministre a de nouveau insisté sur la violence de l’attaque du 7 octobre dernier : «Le Hamas a brûlé des bébés, a décapité, a violé, a kidnappé plus de 200 otages.» Benyamin Netanyahou a qualifié le conflit de «guerre entre la civilisation et la barbarie», estimant que le Hamas «ne menace pas seulement les juifs mais toute la région» et même le reste du monde.

 

La lutte contre le Hamas «doit être sans merci mais pas sans règles», rappelle Macron

La lutte contre le Hamas «doit être sans merci mais pas sans règles», a prévenu Emmanuel Macron devant Benyamin Netanyahou. «Nous sommes des démocraties [...] qui respectent le droit de la guerre», a-t-il précisé, appelant Israël à favoriser l’aide humanitaire et à ne pas cibler les civils à Gaza.

 

Une des otages libérées lundi dit avoir été «bien traitée» lors de sa captivité

Yocheved Lifshitz, 85 ans, l’une des deux otages libérées lundi soir, a assuré qu’elle a été «bien traitée» lors de sa captivité, malgré des violences lorsqu’elle a été enlevée le 7 octobre dernier. Elle a raconté, devant des journalistes, qu’elle avait été retenue dans le réseau de tunnels sous Gaza. Elle dit avoir reçu la visite d’un médecin.

 

Le Liban «paiera le prix» si le Hezbollah «entraîne» Israël en guerre, prévient Herzog

«Nous ne cherchons pas la confrontation à notre frontière nord ou avec n’importe qui d’autre», a assuré le président israélien Isaac Herzog lors d’un entretien avec Emmanuel Macron, martelant qu’Israël se concentre sur le combat contre le Hamas. «Mais si le Hezbollah nous entraîne dans une guerre, il est clair que le Liban en paiera le prix», a ajouté le chef de l’État hébreu.

«Je pense qu'il est de notre devoir de combattre ces groupes terroristes, sans confusion, et je dirais, sans élargir le conflit», a affirmé de son côté Emmanuel Macron.

 

Massacres du 7 octobre: Tsahal dévoile des vidéos insoutenables tournées par les djihadistes du Hamas

De notre envoyé spécial à Tel-Aviv, 

Dans la pénombre de la salle de conférences de la base militaire israélienne de Glilot, dans le nord de Tel-Aviv, résonnent les cris euphoriques des combattants du Hamas. À l'écran, et devant une centaine de journalistes de la presse internationale, deux djihadistes arpentent un kibboutz du sud du pays à la recherche de victimes. Les images sont tournées par une caméra GoPro, fixée sur le front du combattant. Cette vue à la première personne, où le terroriste se dévoile par ses seules mains fichées sur une kalachnikov, le souffle court qui ponctue la vidéo, les pièces fouillées les unes après les autres, construisent une impression de jeu vidéo immersif. Pourtant, sous les yeux des journalistes rassemblés, c'est bien le spectacle d'une horreur indicible qui se joue. Aux cris d'«Allah akbar», les assaillants abattent à travers les fenêtres un vieillard assis dans son canapé devant la télévision, achèvent des hommes gisant au sol, traînent des corps à travers des corridors ensanglantés.

L'armée israélienne a réuni les correspondants et envoyés spéciaux du monde entier ce lundi 23 octobre, deux semaines après le massacre perpétré dans les bourgades des alentours de Gaza par le Hamas. Chacun a laissé sa caméra et son téléphone à l'entrée ; les images projetées ne sont pas destinées à être diffusées au-delà de cette salle de conférences. «Par respect pour les familles des victimes», précise un communicant. Sur les centaines d'heures de vidéo rassemblées par les Israéliens, seules 45 minutes ont été sélectionnées et présentées à la presse. Pour lire l'entièreté de notre article, cliquez sur le lien ci-dessous:

Les deux otages libérées lundi réunies avec leur famille à Tel-Aviv

Après avoir été transporté dans un hélicoptère militaire, les deux otages libérées ce lundi, Yocheved Lifschitz, 85 ans, et Nourit Kuper, 79 ans, sont arrivées au centre médical Sourasky de Tel-Aviv, l'une sur une civière et l'autre en fauteuil roulant. Le gouvernement israélien a précisé que leurs familles se trouvaient sur place pour les accueillir.

«Je ne sais pas où j'ai été emmenée», a déclaré Yocheved Lifschitz, citée par le site d'information israélien Ynet. «Ils m'ont fait monter de côté sur une moto pour que je ne tombe pas, un terroriste me tenant par l'avant et l'autre par l'arrière. Ils ont franchi la barrière frontalière pour entrer dans la bande de Gaza et m'ont d'abord détenue dans la ville d'Abasan, près de Be'eri. Ensuite, je ne sais pas où j'ai été emmenée», a-t-elle ajouté.

Le porte-parole de la branche militaire du Hamas, Abou Obeida, avait affirmé plus tôt dans un communiqué que les deux femmes avaient été libérées «pour des raisons humanitaires pressantes» grâce à une médiation du Qatar et de l'Egypte.

 

HIER

 

L'Iran «facilite activement» des attaques sur des bases américaines au Moyen-Orient

La Maison-Blanche a accusé lundi l'Iran de «faciliter activement» les attaques de bases militaires américaines au Moyen-Orient, sur fond d'inquiétudes d'un potentiel élargissement du conflit entre Israël et le Hamas. «L'Iran continue à soutenir le Hamas et le Hezbollah, et nous savons qu'ils surveillent de près ces événements et dans certains cas, facilitent activement ces attaques et incitent d'autres qui veulent exploiter ce conflit pour leur propre intérêt ou celui de l'Iran», a affirmé le porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, John Kirby, à des journalistes.

 

Moscou, Téhéran et Ankara appellent à arrêter de «viser des civils innocents» à Gaza

Les chefs de la diplomatie de Russie, d'Iran et de Turquie ont appelé lundi à Téhéran à arrêter «immédiatement» de «viser des civils innocents» à Gaza, le territoire palestinien bombardé par Israël en riposte à une attaque sans précédent du Hamas.

Réunis à Téhéran pour discuter de la situation dans le Caucase, les ministres de Russie, d'Iran, de Turquie, d'Arménie et d'Azerbaïdjan ont aussi échangé sur la «situation à Gaza». «Ils ont souligné la nécessité de cesser immédiatement de viser des civils innocents», selon un communiqué commun publié à l'issue de la réunion.

 

Le  ministre israélien de la Défense promet que l’offensive terrestre aura bien lieu et qu’elle sera «mortelle»

Le ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant, a promis qu’Israël allait bien mener une offensive terrestre dans la bande de Gaza. Il s’agira d’une attaque «mortelle», a mis en garde le ministre. Yoav Gallant a demandé aux forces israéliennes de «continuer à se préparer à l’offensive car elle va venir». «Nous nous préparons minutieusement. Ce sera une attaque mortelle. Il s'agira d'une attaque combinée terrestre, maritime et aérienne», a-t-il déclaré. «Faites votre travail, préparez-vous, nous vous déploierons», a ajouté Gallant.

 

DIRECT

 

 

 

 

Deux bases militaires américaines attaquées par des drones en Syrie

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 24 octobre 2023

Les forces américaines ont été prises pour cible par des drones le 24 octobre en Syrie, sans que des blessés soient à déplorer, a indiqué le Pentagone. Le groupe la Résistance islamique en Irak a dit avoir lancé ces engins contre les bases qui se trouvent dans le nord de la Syrie sans le consentement de Damas.

La Résistance islamique en Irak, qui comprend des groupes armés chiites, a revendiqué une attaque contre deux bases militaires américaines en Syrie avec des drones.

"Il y a eu une tentative d'attaque de drones à al-Tanf en Syrie", base stratégique près des frontières jordanienne et irakienne, a déclaré à la presse le porte-parole du Pentagone, le général Pat Ryder.

Deux drones d'attaque ont été "abattus" à l'aide de "système de défense", sans qu'aucun blessé ne soit à déplorer parmi les forces américaines, a-t-il indiqué, sans fournir davantage de détails.

Attaques contre les bases US

Les 18 et 19 octobre, des contingents américains en Syrie et en Irak ont subi plusieurs attaques de roquettes et de drones.

Le 19 octobre, la base militaire américaine d'Aïn al-Assad, dans l'ouest de l'Irak, a été visée par deux attaques à la roquette. Cette agression n’a pas été revendiquée dans l’immédiat. Peu avant, la base américaine dans la région d’al-Tanf en Syrie avait été aussi la cible de drones, ce qu’a revendiqué la Résistance islamique en Irak.

La base d'al-Tanf est une installation militaire exploitée par une coalition internationale dirigée par les États-Unis. Elle a été créée sans le consentement de Damas en 2014 pour contrer Daech* dans deux pays à la fois, elle est donc située à la frontière de la Syrie, de l'Irak et de la Jordanie, dans la province de Homs.

* Organisation terroriste interdite en Russie.

Spoutnik

 

 

 

Israël affirme qu’il mène la Troisième Guerre mondiale contre l’islam radical

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 24 octobre 2023

"L’armée la plus morale du monde" mène la Troisième guerre mondiale contre l’islam radical, selon le ministre israélien de l’Énergie. Il insiste sur le fait qu’elle est menée de façon humaine: "Il y a de nombreux pays qui auraient anéanti leur pays voisin après de tels événements."

Le ministre israélien de l’Énergie, Israël Katz, pour lequel l’attaque du Hamas du 7 octobre est "très similaire à ce qui s’est passé le 11 septembre aux États-Unis", estime que son pays est actuellement en Troisième Guerre mondiale contre l’islam radical.

"Nous sommes dans la Troisième Guerre mondiale contre l’islam radical", a-t-il déclaré dans un entretien accordé au tabloïde allemand Bild.

Selon lui, cette guerre ne concerne pas uniquement l’État hébreu, et "l’engagement en Europe et aux États-Unis" lui "paraît tout à fait compréhensible". "Parce qu'il ne s'agit pas seulement de notre guerre. La guerre se déroule également en Europe. Dans les communautés radicales."

"J'insiste encore une fois: nous sommes des gens humains. Nous sommes l’armée la plus morale du monde. Il y a de nombreux pays que je connais, que vous connaissez, qui auraient anéanti leur pays voisin après de tels événements. Si, à Dieu ne plaise, il y avait eu une telle attaque du Mexique contre le Texas aux États-Unis, il n’y aurait plus de Mexique."

 

 

Darfour Sud : face au regain de violence, l’asile en France ouvert aux ressortissants

Darfour Sud : face au regain de violence, l’asile en France ouvert aux ressortissants

La Cour nationale du droit d’asile (CNDA) a annoncé lundi 23 octobre qu’elle considère désormais le Darfour Sud en «situation de violence aveugle d’exceptionnelle intensité», ouvrant la voie à la protection des Soudanais originaires de cette région au titre de l’asile en France.

www.lefigaro.fr

 

 

Suède : une enquête révèle que d’anciens djihadistes de Daesh travaillent désormais dans des centres de loisirs, des écoles maternelles et pour les services sociaux ; la ministre de l’Éducation déplore une politique « naïve »

Une enquête du média suédois « Expressen » a révélé qu’une vingtaine d’anciens djihadistes de l’État islamique occupent des postes dans des centres de loisirs, des écoles maternelles ou encore au sein des services sociaux depuis leur retour dans le pays scandinave. La ministre de l’Éducation, Lotta Edholm, déplore une politique « naïve » concernant le retour et le suivi des ex-combattants islamistes suédois.

« La société suédoise, notamment les écoles, a été trop naïve en ce qui concerne les rapatriés de l’État terroriste Daech. »

Ce sont les mots de la ministre de l’Éducation, Lotta Edholm, à gauche, après l’examen d’Expressen qui montre que plus d’une personne sur quatre a travaillé avec des enfants, des jeunes et des personnes vulnérables.

« Les informations sur ces personnes sont évidemment en possession des services de sécurité suédois. Il est clair que ces informations doivent également être mises à la disposition des écoles d’une manière ou d’une autre, a déclaré Lotta Edholm et a annoncé qu’elle allait maintenant convoquer les services de sécurité suédois et les organisations scolaires à une réunion pour empêcher davantage de rapatriés à l’école.

Sur les 83 personnes identifiées comme étant rentrées en Suède après avoir quitté le territoire contrôlé par l’État islamique (EI), 21 travaillent désormais avec des enfants, des jeunes et des personnes vulnérables, selon une enquête menée par le média suédois Expressen.

Il s’agit de personnes qui ont à la fois combattu pour l’EI et vécu dans des zones contrôlées par l’EI.

Au total, ce sont 24 de ces ex-combattants de l’EI ont trouvé du travail auprès d’employeurs publics, malgré plusieurs avertissements des services de sécurité sur le fait que ces personnes peuvent contribuer à la radicalisation et au recrutement de l’EI en Suède.

Ces révélations ont suscité une vive réaction de la part de la ministre de l’Éducation, Lotta Edholm, du Parti libéral (Renew Europe).

« Il est tout à fait inacceptable que des terroristes de l’EI travaillent dans des écoles suédoises, des centres de loisirs, etc. Cela ne devrait pas être autorisé », a-t-elle déclaré à la presse, ajoutant que la société suédoise avait été trop naïve.

Dans plusieurs cas, des personnes ayant rejoint l’État islamique ont été embauchées peu de temps après leur retour de Syrie, où, dans de nombreux cas, elles avaient passé plusieurs années au sein du groupe terroriste.

Marianne / Euractiv / Expressen

 

Note : il n'a que les gauchistes pour être aussi  inconscient ! Du social, il fond du social avec des coupeurs de têtes !

 

« Un meurtre aurait pu avoir lieu » : À Reims (51), un individu déjà connu de la police est armé d’un couteau hurle « Allah Akbar » devant le commissariat ; il a été maîtrisé à l’aide d’un pistolet à impulsion électrique et interpellé (Màj)

Un homme s’est présenté à l’hôtel de police de Reims (Marne) ce lundi vers 13 heures et a menacé les policiers avec plusieurs couteaux, hurlant “Allah akbar”, a appris Actu17. Il a été maîtrisé à l’aide d’un pistolet à impulsion électrique (PIE) et interpellé. Il n’y aurait pas de blessé à déplorer.

Le suspect, qui a été placé en garde à vue, est déjà connu des services de police, selon plusieurs sources. Son véhicule, stationné non loin du commissariat, a été inspecté par les démineurs et aucun objet dangereux n’a été découvert.

Le syndicat Unité SGP Police FO zone Est dénonce une “tentative d’attaque ignoble”, et apporte son soutien aux policiers du commissariat de Reims. “Nous saluons nos collègues et les félicitons pour l’interpellation de cet individu”, réagit Éric Henry, délégué national du syndicat Alliance Police Nationale. “Heureusement qu’ils l’ont immédiatement maîtrisé, sans quoi, a minima, un meurtre aurait pu avoir lieu. Preuve en est de l’importance d’être également doté d’armes intermédiaires. Cela démontre encore et toujours que les policiers sont des cibles parce qu’ils représentent l’État, et au-delà, la République”.

 

Actu17


[…]

En milieu d’après-midi, le maire (Horizons) de Reims, Arnaud Robinet, a exprimé son soutien envers l’institution policière par voie de communiqué. “Je pense évidemment en tout premier lieu aux forces de l’ordre, toujours fortement sollicitées et dont la réactivité a permis de stopper l’assaillant avant qu’un drame ne survienne.”

“La ville de Reims a évidemment une vigilance plus qu’accrue, en lien avec le directeur départemental de la sécurité publique, le préfet et le recteur en matière de risque terroriste. Cela se matérialise par des patrouilles véhiculées et des présences piétonnes accentuées aux abords et sur les différents lieux de vie de la commune : écoles, services publics, zones commerçantes…” Une marque de soutien visant donc aussi à rassurer la population.

France3

 

Bélâbre (36) : les habitants organisent un rassemblement le 28 octobre contre l’installation d’un centre pour demandeurs d’asile dans leur petit village (MàJ : le préfet va interdire la manif annonce Pierre Gentillet)

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