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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 2 octobre 2023

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Moscou assure que la « lassitude » du soutien occidental à Kiev va croître...

 

 

L’ESSENTIEL

  • Les Etats-Unis ont évité samedi la paralysie de leur administration fédérale avec l’adoption d’une mesure d’urgence permettant de continuer temporairement son financement. Pierre d’achoppement entre démocrates et de nombreux républicains, l’aide à l’Ukraine est la grande absente du texte voté in extremis par la Chambre des représentants et par le Sénat. Joe Biden s’est toutefois voulu rassurant sur la poursuite de son soutien.
  • L’Union européenne s’est dite « surprise », par la voix de son chef de la diplomatie, Josep Borrell, regrettant « profondément la décision des Etats-Unis ». « J’espère que cette décision ne sera pas définitive et que l’Ukraine continuera à bénéficier du soutien des Etats-Unis », a-t-il ajouté.
  • Le parti populiste Smer-SD qui compte mettre fin à l’aide militaire à l’Ukraine et qui critique l’UE et l’Otan est arrivé en tête des élections législatives en Slovaquie, selon les résultats publiés dimanche.

 

14h38 : Une « réunion historique » à Kiev

Les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne se sont retrouvés lundi à Kiev pour une « réunion historique » visant à tracer les lignes d’un « soutien durable ». Face à une contre-offensive ukrainienne lente et les craintes d’une baisse du soutien occidental à l’Ukraine, il s’agit aussi de montrer à la Russie qu’elle « ne doit pas compter » sur la « lassitude » de l’Union européenne, a expliqué la ministre française Catherine Colonna.

« Je convoque aujourd’hui les ministres des Affaires étrangères à Kiev, première réunion de tous les 27 pays membres en dehors de l’UE », a annoncé le chef de la diplomatie de l’UE Josep Borrell sur X (anciennement Twitter), se félicitant de cette « réunion historique » en Ukraine, « pays candidat et futur membre ».

En recevant ses homologues, le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kouleba a salué la tenue de la réunion à Kiev, soit « à l’intérieur des futures frontières de l’Union européenne », selon lui. « La puissance de nos guerriers sur la ligne de front est en grande partie le résultat de la puissance de nos accords avec nos amis et partenaires », a abondé le président Volodymyr Zelensky sur Telegram.

 

13h44 : L’Allemagne veut protéger l’Ukraine du froid

La cheffe de la diplomatie allemande Annalena Baerbock, en visite à Kiev, a demandé lundi aux Occidentaux « un plan de protection hivernal » pour l’Ukraine afin d’aider ce pays face à la « brutalité » des attaques russes sur ses infrastructures énergétiques attendues en hiver. « L’Ukraine a besoin d’un plan de protection hivernal comprenant une défense aérienne, des générateurs et un renforcement de l’approvisionnement énergétique », a déclaré Annalena Baerbok sur X (anciennement Twitter) depuis Kiev.

 

12h22 : Le Kremlin juge « absurde » de qualifier de « prorusses » les populistes vainqueurs des législatives en Slovaquie

Le Kremlin a estimé lundi qu’il était « absurde » de qualifier de « prorusse » le parti populiste Smer-SD qui a remporté les élections législatives en Slovaquie et qui compte mettre fin à l’aide militaire à l’Ukraine.

« Nous sommes confrontés à une situation où tout homme politique qui est enclin à penser à la souveraineté de son pays, à défendre les intérêts de son pays, est considéré comme prorusse. C’est absurde », a déclaré aux journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

 

12h00 : Le Kremlin assure que la « lassitude » du soutien occidental à l’Ukraine va croître

Le Kremlin a assuré lundi que la « lassitude » du soutien à l’Ukraine va aller croissant chez les Occidentaux, au moment où les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne cherchent à prouver le contraire en se réunissant à Kiev.

« La lassitude du soutien complètement absurde au régime de Kiev va s’accroître dans différents pays, notamment aux Etats-Unis », a jugé le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, tout en estimant que Washington « continuera à s’impliquer dans ce conflit ». L’avenir de l’aide américaine reste en suspens, ayant été laissée de côté d’un accord provisoire sur le budget fédéral.

 

06h45 : Biden tente de rassurer l’Ukraine

Le président américain a promis dimanche que les Etats-Unis n’abandonneraient pas l’Ukraine en guerre, et exhorté les républicains à cesser « de jouer » avec la menace d’un « shutdown » de l’économie américaine.

« Je veux le dire à nos alliés, au peuple américain et au peuple d’Ukraine, vous pouvez compter sur notre soutien. Nous n’abandonnerons pas » l’Ukraine, a-t-il dit dans une allocution télévisée depuis la Maison-Blanche. « Il y a un sentiment d’urgence » à approuver une nouvelle mesure de financement pour l’Ukraine dans les jours et semaines qui viennent, a déclaré Joe Biden, fustigeant par ailleurs les républicains qui exigent de fortes réductions dans les dépenses du gouvernement.

DIRECT

 

 

 

C’est Impensable : L’Amérique envisage de franchir la ligne rouge économique de Poutine

 

par Sophie Décrypte

Dans cette vidéo, nous plongeons profondément dans un sujet brûlant : la possibilité que l’Occident confisque les réserves russes gelées et son impact potentiel sur l’économie mondiale.

L’expression «un pas de trop» prend tout son sens alors que nous explorons les ramifications de cette action audacieuse.

Nous discuterons de la proposition de l’Envoyée spéciale des États-Unis de consacrer ces actifs à la reconstruction de l’Ukraine et de son potentiel à ouvrir la boîte de Pandore financière.

Nous analyserons également comment cela pourrait affecter la réputation de l’Occident en tant que gardien de l’argent et des réserves financières mondiales.

Enfin, nous examinerons comment cette décision pourrait stimuler la demande d’or physique, remettant en question la confiance dans le dollar américain.

N’oubliez pas de laisser vos réflexions dans les commentaires ci-dessous. L’Occident ira-t-il vraiment jusqu’au bout ou reconsidérera-t-il sa position ?

source : Sophie Décrypte

 

 

 

Les entreprises chinoises réduisent les ventes de drones, leurs composants vers l'Ukraine - Rapport

 

Vers une guerre de religion, infos du 2 octobre 2023

MOSCOU (Spoutnik) - Certains Ukrainiens ont été forcés de mendier et de faire passer en contrebande des drones et leurs composants pour les utiliser sur le champ de bataille en raison de la réduction des approvisionnements en drones par les entreprises chinoises, a rapporté le journal The New York Times samedi.

Le 1er septembre, le gouvernement chinois a imposé des contrôles à l'exportation sur certains drones et équipements liés aux drones.

Selon le rapport, le contrôle des exportations chinois pourrait aggraver les problèmes de la chaîne d'approvisionnement ukrainienne avant l'hiver.

"La nuit, nous faisons des missions de bombardement, et pendant la journée, nous pensons à la façon d'obtenir de nouveaux drones... Nous examinons tous les moyens possibles d'exporter des drones de Chine, parce que quoi que l'on dise, ils produisent le plus là-bas", a déclaré Oles Maliarevych, un officier de la 92e brigade mécanisée d'Ukraine, a déclaré dans le journal.

En juin, le vice-ministre ukrainien des industries stratégiques a déclaré que Kiev négociait avec les fabricants d'armes occidentaux au sujet de la mise en place de la production d'armes en Ukraine, y compris des drones, et pourrait signer des contrats dans les mois à venir.

À la fin du mois d'août, le journal a rapporté que l'Ukraine développait environ six modèles de drones à longue portée, y compris ceux capables de voler plus de 1 000 kilomètres.

Source

 

 

 

Voici combien de chars Leopard livrés à Kiev ont été détruits

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 2 octobre 2023

Au cours de la contre-offensive ukrainienne qui n’a abouti à aucune percée opérationnelle, l’armée de Kiev a perdu au moins un tiers des chars Leopard livrés par l’Occident, selon l’agence DPA.

Le colonel de l’armée autrichienne Markus Reisner a évalué les pertes en matériels livrés à Kiev par l’Occident au cours de la contre-offensive.

 

"Il faut tirer la sonnette d'alarme: après 117 jours de contre-offensive, aucune percée opérationnelle n'a été réalisée", a-t-il déclaré à l’agence de presse DPA.

Il a signalé que l’efficacité du char Leopard 2 était inférieure aux attentes.

"Sur les quelque 90 chars de ce type livrés, au moins un tiers ont été détruits ou endommagés", a-t-il indiqué.

Le militaire a également déploré que les alliés de l'Ukraine n'aient que partiellement tenu leurs promesses en matière de livraison d'équipements militaires.

Une contre-offensive sans succès significatifs

Depuis début juin, les troupes ukrainiennes tentent d'avancer sur les axes de Zaporojié, de Donetsk-Sud et d'Artiomovsk. Cette offensive engage des unités entraînées par l'Otan et équipées de matériel militaire occidental.

Vladimir Poutine a récemment constaté que Kiev n’avait pu obtenir de succès significatifs sur aucun secteur du front. Début septembre, il a indiqué que la contre-offensive avait échoué.

Le 26 septembre, le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, a déclaré que les pertes des forces armées ukrainiennes en septembre dépassaient les 17.000 soldats et 2.700 équipements.

Sputnik a appris d’une source proche des services secrets que début octobre Kiev pourrait lancer une offensive. Selon celle-ci, une unité importante se prépare à franchir le Dniepr et des commandos ukrainiens envisagent de s’emparer de la centrale nucléaire de Zaporojié.

Spoutnik
 

 

Orban : La Hongrie considère le conflit armé ukrainien différemment du reste du monde occidental

 

par Top War

Dans le contexte du conflit ukrainien, la Hongrie continue d’être l’un des rares pays européens à ne pas suivre aveuglément les politiques anti-russes de l’Occident. Et ce malgré la pression constante de Bruxelles et de Washington.

À bien des égards, cette position du pays est liée aux activités de son Premier ministre Viktor Orban. Selon le Premier ministre hongrois, son pays perçoit le conflit ukrainien différemment du reste du monde occidental.

«Il s’agit d’une guerre fratricide slave entre deux pays. Nous sommes des observateurs extérieurs. Parce que ce n’est pas notre guerre», a noté Orban.

L’homme politique a déclaré qu’il était dans l’intérêt de la Hongrie d’empêcher que ce conflit ne s’étende. Il faut ajouter que cela est dans l’intérêt du monde rationnel tout entier.

Selon Orbán, la Hongrie s’est initialement opposée à l’idée du reste de l’Occident selon laquelle c’était sa guerre et qu’elle devait dépenser de l’argent et approvisionner l’Ukraine.

Dans de telles situations, il est nécessaire de savoir exactement dans quelle mesure les objectifs sont réalistes, a souligné le Premier ministre hongrois, ajoutant qu’autrement, il valait mieux ne pas s’impliquer dans une guerre.

«Le monde occidental est loin de la guerre, mais nous en sommes proches. Nous comprenons ce que c’est. Et ils sont loin, donc ils n’ont pas de pensées sobres», a déclaré le Premier ministre.

Le chef du gouvernement hongrois a souligné que la poursuite du conflit augmente de plus en plus le risque d’utiliser «des armes plus modernes et plus dangereuses».

source : Top War

 

 

L’Occident ne sait plus faire qu’une chose : menacer ! Il n’a plus rien à offrir. L’Histoire se fait ailleurs

 

par Alastair Crooke

Nous avons connu un «déluge de sommets» : le sommet de l’OTAN en juillet, où le président Zelensky a été refroidi ; puis il y a eu le sommet des BRICS, au cours duquel six nouveaux membres ont été admis. Cela a été suivi par le G20 à Delhi. Le président Poutine a assisté virtuellement à la réunion des BRICS, mais ni lui ni le président Xi, qui avait assisté personnellement à la réunion des BRICS, ne se sont rendus au G20. Ni l’un ni l’autre n’étaient présents à l’Assemblée générale des Nations unies (AGNU). 

Le président Poutine a cependant accueilli la réunion du Forum économique oriental qui a lieu chaque année depuis 2015 pour souligner la priorité absolue du pivotement de la Russie vers son propre Extrême-Orient – ​​qui, avec d’autres économies d’Extrême-Orient, est en train de devenir rapidement la dynamo de l’économie mondiale.

Mais quelque chose d’important était visible à l’AGNU. Avez-vous vu les discours des chefs d’État ? C’était surprenant : sur les images de MSM, tout le monde était là, à leur place, écoutant Zelensky, mais la réalité était différente : si vous cherchez autour, vous trouverez des images de l’Assemblée générale pendant que Zelensky parlait, et elle était presque entièrement vide, ou au mieux, un tiers plein.

La majorité mondiale s’est retirée. 

Et cherchez plus loin : le Premier ministre Netanyahou s’est également adressé à l’Assemblée générale, tout comme le chancelier Scholtz, et encore une fois, pour chacun d’entre eux, l’auditorium de l’ONU contenait une poignée de preneurs de notes, et dans le cas du Premier ministre Netanyahou, «un petit groupe de loyalistes – du gouvernement, ministre, conseillers, assistants et partisans – qui ont fourni une bande sonore d’applaudissements aux Israéliens qui regardaient le discours chez eux». (Il convient également de noter que lors de son discours à l’Assemblée générale, Netanyahou a brandi une carte qui a complètement effacé la Palestine de la carte)

Cela n’a jamais été comme ça dans le passé. Que se passe-t-il ? 

Le professeur Michael Hudson, qui a noté le même phénomène, a fait remarquer : «Il y a donc en réalité deux mondes différents, et ils ne semblent plus se mélanger, sauf dans la mesure où les États-Unis peuvent essayer d’intervenir – et de ralentir l’ensemble du processus et essayer d’empêcher l’horloge de bouger».

La tentative de geler les aiguilles de l’horloge était en effet très évidente dans le discours du président Biden. Le message de Biden était qu’il n’y aurait aucun compromis en ce qui concerne l’Ukraine. Il a déclaré :

«Mais je vous pose la question suivante : si nous abandonnons les principes fondamentaux de la Charte des Nations unies, pour apaiser un agresseur, un État membre peut-il avoir l’assurance d’être protégé ? Si nous laissons l’Ukraine se diviser, l’indépendance d’une nation est-elle garantie ? La réponse est non. Nous devons nous opposer aujourd’hui à cette agression flagrante – [afin] de dissuader demain d’autres agresseurs potentiels». [Souligné dans l’original]

Pour être clair, lorsque Biden déclare qu’il «ne permettra pas que l’Ukraine soit divisée», il affirme qu’il ne peut y avoir aucun compromis territorial concernant l’Ukraine. «La réponse est non ; nous devons résister à une agression pure et simple».

Il dit peut-être cela pour sauver sa candidature d’une humiliation, mais les mots ont un sens. Et le sens qu’il vient de leur attribuer aura des implications. 

À Moscou, des conclusions sévères ont dû être tirées. 

Sergueï Karaganov, l’un des fondateurs du Club Valdaï, a déclaré sans ambages à Vladivostok que l’époque où la Russie cherchait à s’allier avec l’Occident était «révolue» et, ce faisant, a mis le doigt sur le changement radical pour lequel l’Assemblée générale était emblématique. Karaganov a déclaré sans ambages que la Russie ne reviendrait jamais à cette époque, et vers la fin de ses commentaires, il a ajouté : De toute façon, «Qui voudrait s’allier avec l’Occident ? C’est ennuyant. La véritable excitation est en Asie».

Eh bien, il est évident que la vieille Europe ennuyeuse est à l’abandon : les économies européennes s’effondrent, tandis que le reste du monde, réuni à Vladivostok, «se construit». 

L’un des aspects du fait que les pays non occidentaux coupent de plus en plus – ou réduisent considérablement – ​​leurs liens avec l’Occident pourrait être l’abandon presque total de la diplomatie à l’Ouest. 

Le discours de Biden à l’Assemblée générale n’a même pas tenté d’effleurer la géostratégie ou le langage diplomatique approprié. Aujourd’hui, tout n’est que menace – explicite ou implicite. Il semble que le reste du monde s’ennuie des menaces et s’emploie à construire ses propres solutions de contournement.

Eh bien, Biden ayant dit «une chose» au début de la semaine (pas d’ATACMS pour l’Ukraine), s’est inversé en fin de semaine et a dit «oui» – mais «seulement quelques-unes».

Ensuite, il a nommé un inspecteur général pour l’Ukraine chargé de rendre compte de l’application par Kiev du financement américain. Jusqu’à présent, il n’y a eu absolument aucune comptabilité des dépenses.

De toute évidence, Biden espère, par ces mesures, persuader les Républicains d’adopter un projet de loi dans lequel 24 milliards de dollars supplémentaires pour l’Ukraine ont été intégrés – ainsi que d’autres éléments sans rapport, tels que les secours en cas de catastrophe à Hawaï. 

Cela suffira-t-il aux rebelles républicains qui exigent de voter seuls sur le financement de l’Ukraine ? Jusqu’à présent, le groupe républicain reste fermement opposé à son financement, alors que l’opposition au financement de la guerre en Ukraine grandit au sein de la base du Parti, alors que les besoins nationaux sont si présents. 

Il est probable que cela finira par passer. La pression politique sur les «rebelles» est intense. Mais rappelez-vous que les 24 milliards de dollars sont réservés à un seul trimestre (c’est-à-dire du 1er octobre au 31 décembre), après quoi 24 milliards de dollars supplémentaires doivent être approuvés. 

Le budget fédéral annuel total de l’Ukraine nécessite environ 50 milliards de dollars rien que pour faire fonctionner les services gouvernementaux – sans compter les dépenses militaires et de guerre qui se situent entre 60 et 100 milliards de dollars. Cela signifie que l’Ukraine a besoin d’un total d’environ 100 milliards de dollars ou plus par an pour diriger l’État et poursuivre la guerre. C’est pourquoi ces injections de 25 milliards de dollars actuellement débattues à Washington sont essentiellement «trimestrielles».

La dure réalité est que même si l’Ukraine obtient cette tranche trimestrielle, «la demande» pour la suivante sera presque certainement encore plus problématique. L’argent s’épuisera le 31 décembre, date à laquelle la capacité de l’Ukraine à monter une quelconque résistance militaire sera remise en question – en l’absence d’un sauvetage de l’UE. Mais un sauvetage de l’UE est-il réalisable alors que le niveau de vie de l’Europe s’effondre ?

source : Bruno Bertez

 

 

Kosovo : l’OTAN renforce sa présence avec 600 militaires britanniques

 

Les 200 nouveaux déployés, s’ajoutant aux 400 déjà présents pour des exercices, proviennent d’une force de réserve mise en fin de semaine à disposition de la KFOR, pour faire face au regain de tension dans la région.

 

Quelque 600 militaires britanniques vont être déployés au Kosovo pour renforcer la présence de l’OTAN dans cette ancienne province serbe, où une attaque lourdement armée a eu lieu le 24 septembre, a annoncé dimanche 1er octobre un porte-parole de l’Alliance. « Le Royaume-Uni va déployer environ 200 militaires provenant du 1er bataillon du régiment royal Princesse de Galles, qui rejoindront 400 autres militaires britanniques déjà présents au Kosovo pour des exercices. Des renforcements suivront de la part d’autres pays de l’Alliance », a précisé Dylan White, porte-parole de l’OTAN.

Les 200 nouveaux déployés, s’ajoutant aux 400 déjà présents pour des exercices, proviennent d’une force de réserve mise en fin de semaine à disposition de la KFOR, la force déployée par l’OTAN au Kosovo, par l’armée britannique pour faire face au regain de tension dans la région. Présente dans le pays depuis la guerre de 1998-99, elle reste la principale institution en charge de la sécurité du pays, avec 4 500 soldats de 27 pays.

L’OTAN appelle au calme

« Cette décision fait suite à la violente attaque contre la police du Kosovo le 24 septembre et aux tensions grandissantes dans la région », a ajouté Dylan White, sans faire explicitement référence aux déclarations américaines vendredi, alertant sur un déploiement militaire serbe à la frontière du Kosovo.

L’OTAN a de nouveau appelé au calme dimanche et réclamé que Belgrade et Pristina reprennent la voie du dialogue le plus rapidement possible, « unique moyen de parvenir à une paix durable », selon ce porte-parole

Un policier kosovar albanais a été tué dimanche dans un embuscade dans le nord du Kosovo, où les Serbes sont majoritaires dans plusieurs villes. Une fusillade s’en est suivie, opposant les forces spéciales de la police kosovare et un commando serbe lourdement armé. Il s’agit d’une des plus graves escalades qui survenue au Kosovo ces dernières années.

La Serbie refuse de reconnaître l’indépendance que son ancienne province méridionale, à majorité albanaise, une décennie après une guerre meurtrière entre guérilla indépendantiste kosovare et forces serbes, qui a pris fin après une campagne de bombardements de l’OTAN.

Source

 

Alertes à la bombe dans plusieurs lycées du Val-de-Marne : “Je suis un membre d’Al Qaïda” (màj : nouvelles menaces en Val-de-Marne, à Roubaix, Tourcoing…)

02/10/2023

Des messageries Pronote et ENT ont été piratées et plusieurs messages menaçant d’attentat terroriste ont été reçus ce lundi matin par les élèves et parents d’élèves. Sont concernés les lycées Colbert à Tourcoing, Beaudelaire à Roubaix, Corbusier à Tourcoing et Emile Zola à Wattrelos.

Une mère d’élève indique que le lycée de son fils lui a conseillé de ne pas se rendre au lycée, dans l’attente des consignes des forces de l’ordre.

La Voix du Nord

26/09/2023

Des alertes à la bombe ont ciblé trois lycées du Val-de-Marne, ce vendredi 29 septembre au matin, selon nos informations.

« Je suis un membre d’Al Qaïda », a indiqué au téléphone un individu vers 7h30, annonçant « déposer trois bombes » dans les lycées Edouard Branly à Créteil, Jean-Macé à Vitry-sur-Seine et Samuel de Champlin à Chennevières-sur-Marne.

Depuis la rentrée scolaire le 4 septembre, une cinquantaine de collèges et lycées ont dû être évacués dans le pays à cause de fausses alertes à la bombe, selon le ministère de l’Éducation nationale. Toujours dans le Val-de-Marne, les lycées Gutenberg et Saint-Exupéry de Créteil avaient dû être évacués le 26 septembre.

(…) Valeurs

 

Montreuil (93) : un homme poignardé à mort en pleine rue, deux suspects en garde à vue

Meurtre à l’arme blanche en pleine rue à Montreuil (Seine-Saint-Denis) ce dimanche matin. Un homme est décédé à l’hôpital. Deux suspects, qui l’ont conduit aux urgences, ont été interpellés et placés en garde à vue.

Bagarre mortelle en pleine rue à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Deux hommes ont été placés en garde à vue pour meurtre, ce dimanche matin à Bobigny, dans les locaux du service départemental de police judiciaire (SDPJ 93), a appris Actu17.

C’est vers 09h10 que des témoins préviennent la police. Ils viennent de voir trois hommes agresser un quatrième au couteau sur l’avenue du Colonel-Fabien. Le trio fait monter le blessé dans une berline de marque Audi et prend la fuite.

(…) Actu 17

 

 

Accusations d'”islamo-droitisme” contre Valérie Pécresse et Patrick Karam (LR) : Damien Rieu mis en examen

Lors de l’élection présidentielle de 2022, Damien Rieu, lanceur d’alertes identitaire et soutien d’Éric Zemmour, avait publié une vidéo mettant en avant les accointances entre Patrick Karam, bras droit de Valérie Pécresse, et l’islamisme. Ce dernier avait annoncé à l’époque porter plainte contre Damien Rieu pour diffamation. L’activiste identitaire nous a indiqué avoir reçu son avis de mise en examen. (…)

Livre Noir

 

 

Jean-Luc Mélencon : “Notre pays est traversé en profondeur par une absurde xénophobie (…) Quand il s’agit d’aller dans l’espace, tout le monde est Créole”

 

 

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