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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 1 septembre 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Pour Zelensky, si Poutine avait tué Prigojine, ce serait « une nouvelle démonstration de faiblesse »…

 

L’ESSENTIEL

  • Les attaques de drones ukrainiens en Russie se sont multipliées ces dernières semaines, prenant notamment pour cible la capitale russe. Vendredi, une nouvelle attaque de drone sur la capitale a été déjouée, a indiqué le maire de Moscou.
  • Le ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan, en visite à Moscou, a jugé jeudi « essentielle » la reprise de l’accord sur l’exportation des céréales ukrainiennes par la mer Noire, son homologue russe Sergueï Lavrov demandant lui des « garanties ».
  • Les critiques de la contre-offensive des forces ukrainiennes face aux troupes russes devraient « la fermer », s’est emporté jeudi le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba, en marge d’une réunion des ministres des Affaires étrangères des 27 à Tolède, en Espagne. « Critiquer la lenteur de la contre-offensive revient à cracher à la figure du soldat ukrainien qui sacrifie sa vie », a-t-il lancé. « Je suggère à tous ceux qui critiquent de la fermer, de venir en Ukraine et d’essayer de libérer un centimètre carré par eux-mêmes », a-t-il ajouté.

 

 

14h58 : La Russie annonce s'être emparée de « positions clefs sur les hauteurs » près de Koupiansk, à l'est de l'Ukraine

 

13h01 : « Si Poutine a tué Prigojine, c'est une nouvelle démonstration de faiblesse ».

Abordant la mort du patron du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine, le président ukrainien juge que « s'il est vrai que Poutine a tué Prigojine, c'est une nouvelle démonstration de faiblesse ».

« Vous souvenez-vous de la marche de Prigojine sur Moscou ? Cela n'a certainement pas montré la force de Poutine, il avait peur de Prigojine », a-t-il affirmé.

 

12h59 : « Pas de paix durable » sans retrait russe de la Crimée, annonce Zelensky

Volodymyr Zelensky a prévenu. Il ne pourrait y avoir de « paix durable en Ukraine, ni même en Europe » tant que la Russie ne se retirerait pas de la Crimée, du Donbass et d'autres territoires occupés dans son pays.

« La Crimée, une péninsule qui attirait les touristes et les entreprises, est aujourd'hui un territoire occupé et militarisé qui ne peut pas se développer », a-t-il déploré vendredi, s'adressant en vidéoconférence au forum économique The European House - Ambrosetti à Cernobbio en Italie.

« L'Ukraine et tous les autres pays qui respectent le droit international ne reconnaissent pas » l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014 et « les entreprises non plus », a-t-il déclaré avant d'appeler Moscou à retirer ses troupes.

 

12h43 : Deux nouveaux cargos partis de ports ukrainiens

L'Ukraine a annoncé vendredi que deux nouveaux cargos avaient quitté un port du sud de son territoire et naviguaient en mer Noire dans un couloir maritime établi par Kiev, malgré les menaces russes de représailles contre ces bateaux.

« Les vraquiers Anna-Theresa (battant pavillon du Liberia) et Ocean Courtesy (Îles Marshall) ont quitté le port de Pivdennyi et empruntent le couloir », a déclaré sur X (ex-Twitter) le ministre ukrainien des Infrastructures, Oleksandre Koubrakov.

 

11h14 : La frappe contre l'aéroport russe de Pskov a été lancée depuis la Russie

L'attaque de drones qui a visé cette semaine l'aéroport de Pskov, dans le nord-ouest de la Russie, a été lancée depuis le territoire russe, a indiqué le chef du renseignement militaire ukrainien dans une publication sur Telegram.

« Les drones utilisés pour attaquer la base aérienne de Kresty à Pskov ont été lancés depuis l'intérieur de la Russie », a affirmé Kyrylo Boudanov. C'est la première fois que les autorités ukrainiennes revendiquent une attaque de ce type menée directement depuis le sol russe.

 

HEIR

15h00 : Les critiques de la contre-offensive ukrainienne devraient « la fermer », estime Kiev

Les critiques de la contre-offensive des forces ukrainiennes face aux troupes russes devraient « la fermer », a estimé jeudi le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba.

« Critiquer la lenteur de la contre-offensive revient à cracher à la figure du soldat ukrainien qui sacrifie sa vie », a-t-il lancé en marge d’une réunion des ministres des Affaires étrangères des 27 à Tolède, en Espagne. « Je suggère à tous ceux qui critiquent de la fermer, de venir en Ukraine et d’essayer de libérer un centimètre carré par eux-mêmes », a-t-il ajouté.

La contre-offensive ukrainienne lancée en juin dans l’est et le sud s’avère très difficile, avec des avancées réduites en termes de km2. Elle doit notamment faire face aux solides défenses russes, faites de tranchées, de pièges antichars et de champs de mines établis sur des centaines de kilomètres.

DIRECT

 

 

Note ; si les Ukrainiens ne se seraient pas lancé dans une guerre ethnique pendent 8 ans, personne ne mourait aujourd'hui dans une guerre voulue par les Américains. De même, si les Ukrainiens n'auraient pas envoyer leurs nazis dans le Donbass pour tuer du russe, personnes ne mourait aujourd'hui

Vers une guerre de religion, infos du 1 septembre 2023 Vers une guerre de religion, infos du 1 septembre 2023
Vers une guerre de religion, infos du 1 septembre 2023 Vers une guerre de religion, infos du 1 septembre 2023

 

 

Le système de missiles stratégiques Sarmat de la Russie est mis en service au combat, selon le chef de Roscosmos

 

Le 1er sept 2023

Vers une guerre de religion, infos du 1 septembre 2023

MOSCOU (Sputnik) - Le système de missiles stratégiques russe Sarmat a été mis en service au combat, a déclaré vendredi Yuri Borissov, chef de la société spatiale russe Roscosmos.

"Le complexe stratégique Sarmat a été mis en service de combat", a déclaré Borissov lors d'un événement éducatif.

La Russie a testé le missile Sarmat à capacité nucléaire tout au long de l'année 2022. En décembre dernier, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que la Russie maintiendrait sa préparation au combat et améliorerait la triade nucléaire du pays, qu'il a qualifiée de principal garant de sa souveraineté.

Le système Sarmat est destiné à remplacer les systèmes de missiles RS-20 Voevoda. Le nouveau missile est capable de frapper des cibles à longue distance en utilisant diverses trajectoires de vol et est assuré de vaincre tous les systèmes de défense antimissile existants et potentiels. Disposant de la plus longue portée d’engagement, Sarmat devrait également renforcer les capacités de combat des forces nucléaires stratégiques russes. Le premier lancement test du missile Sarmat a eu lieu le 20 avril.

Spoutnik

 
 

 

 

Les États-Unis vont déployer des avions F-35A capables de frappes nucléaires au Royaume-Uni

 

Le 31 aout 2023

Vers une guerre de religion, infos du 1 septembre 2023

MOSCOU (Sputnik) - Deux escadrons d'avions F-35A de fabrication américaine capables de mener des frappes nucléaires arriveront bientôt sur la base de Lakenheath, louée par les États-Unis, au Royaume-Uni, pour remplacer les F-15 déjà déployés là-bas, a rapporté le média, citant un source de défense.

"Les F-35 seront basés [à la base]. Ils ont [été] déployés et arriveront à la fin de cette année, voire en 2024", a déclaré la source au journal, ajoutant qu'un total de 54 de tels avions remplaceraient des F-15 « considérablement » inférieurs, également capables de transporter des bombes nucléaires, mais avec une portée et une furtivité moindres.

Les nouveaux chasseurs sont conçus pour effectuer des bombardements nucléaires tactiques, mais sont également capables de combats aériens et de collecte de renseignements, a rapporté le journal.

Ce déploiement intervient après que l'US Air Force a annoncé avoir obtenu le financement d'une nouvelle installation de stockage nucléaire au Royaume-Uni, prévoyant le retour des capacités nucléaires américaines dans le pays après leur retrait en 2008.

Spoutnik

 

 

Note ; l'escalade nucléaire continue

 

 

Guerre en Ukraine : après les F-16, Kyiv souhaite renforcer son aviation de combat grâce à la France et son modèle Rafale

 

  • La fourniture d'avions Rafale aurait des avantages en matière "stratégique" et d'investissement pour l'Ukraine.
    La fourniture d'avions Rafale aurait des avantages en matière "stratégique" et d'investissement pour l'Ukraine. AFP POOL - LUDOVIC MARIN / POOL

Le ministre ukrainien des Affaires étrangères s'est dit confiant quant à la solidarité française avec l'Ukraine.

L'Ukraine ne souhaite pas limiter son aviation de combat aux F-16, si l'on en croit les propos du ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kuleba dans une interview au Monde publiée ce jeudi 31 août et citée par The Kyiv Independent.

Nouvelle rencontre avec Emmanuel Macron

Il a en effet assuré que Kyiv était intéressé par l'obtention de nouveaux types d'avions, dont le modèle Rafale de la France. "Nous travaillons avec d'autres pays [que les Etats-Unis] qui produisent des avions de dernière génération" a-t-il expliqué, en ajoutant que la fourniture d'avions Rafale aurait des avantages en matière "stratégique" et d'investissement.

Le chef de la diplomatie ukrainien était en France ce mercredi 30 août. Il a notamment rencontré le président Emmanuel Macron pour discuter de futur "soutien militaire" et la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna ce mardi 29 août.

Un long temps de formation

La fourniture d'avions de combat pose toutefois plusieurs problèmes au niveau technique, comme le rappelait Le Point en mai dernier. Un modèle évoqué était alors le Mirage 2000-C, datant des années 1980, mais il serait dépassé par une grande partie des appareils russes auxquels il devrait faire face et nécessiterait de nombreux investissements pour être modernisé.

Les avions Rafale disponibles sont de leur côté limités, usés et nécessiteraient un long temps de formation et d'adaptations techniques pour les Ukrainiens. La demande de Kyiv devrait donc avoir du mal à être acceptée.

Source

 

 

Note: L'appétit de l'Ukraine, n'a pas de limite. Pas assez que L'Ukraine nous dépouille de nos stocks de munition, mettant l'Europe en vulnérabilité en cas de conflit mondiale. Après missiles, canon César, chars et F16, maintenant, ils veulent des Rafales ! 

 

 

Orbán sur la guerre en Ukraine : « Ramener Trump, c’est la seule façon de s’en sortir »

 

Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, estime que l’Occident doit conclure des accords avec la Russie pour ramener la paix sur le continent européen. Il a par ailleurs fait connaître son soutien au parti républicain étasunien.

 

Pour mettre fin à la guerre en Ukraine, l’Occident doit conclure des accords avec le président russe Vladimir Poutine. L’Ukraine doit, elle, obtenir des garanties en matière de sécurité et de souveraineté, mais ne peut pas adhérer à l’Otan. C’est ce qu’a déclaré mercredi le Premier ministre hongrois Viktor Orbán lors d’une interview avec le présentateur américain Tucker Carlson sur le réseau social X, anciennement Twitter. « Ramener Trump, c’est la seule façon de s’en sortir », a-t-il ajouté

 

Il est impossible pour l’Ukraine de gagner la guerre contre la Russie, affirme Viktor Orbán. Dans le même temps, la Russie ne parvient pas non plus à vaincre les Ukrainiens. Le Premier ministre hongrois estime que les alliés de l’Otan qui soutiennent aujourd’hui l’Ukraine avec de l’argent et du matériel militaire prolongent inutilement le conflit. C’est notamment le cas de l’administration du président américain Joe Biden, a-t-il pointé dans cet entretien avec Tucker Carlson. Il détient « la clé », car l’Ukraine ne pourra pas poursuivre la lutte contre la Russie sans le soutien des Etats-Unis. « Si les Etats-Unis veulent la paix demain matin, il y aura la paix », a lancé le dirigeant hongrois.

Durant l’interview, Viktor Orbán a par ailleurs explicitement exprimé son soutien au parti républicain américain, décrivant l’ancien président Donald Trump comme un « véritable ami ». Selon le Hongrois, ce dernier peut « sauver le monde occidental ».

Les déclarations du Premier ministre hongrois ont suscité une réaction de désapprobation de la part de l’Ukraine. « Nous ne connaissons pas la situation en Hongrie, mais l’Ukraine n’échange ni territoires ni souveraineté », a affirmé un porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères sur Facebook. L’Ukraine exclut toute négociation avec la Russie, car elle veut récupérer tous les territoires occupés.

Source

 

 

 

Note :  un grand homme ce Viktor Orbán, comme on en trouve malheureusement plus beaucoup en Europe. Il a tout compris, aussi bien pour le danger de l'immigration musulmane, que la guerre en Ukraine, déclencher  et alimenter principalement par les démocrates.

Seul Trump pourrait changer les choses   

 

 

 

La Corée du Nord organise un exercice de frappe nucléaire tactique simulant des frappes contre la Corée du Sud

 

MOSCOU (Sputnik) - La Corée du Nord, en réponse aux exercices américano-sud-coréens, a mené un exercice de frappe nucléaire tactique simulant des frappes nucléaires sur le territoire de la Corée du Sud, a déclaré mercredi l'état-major général de l'Armée populaire coréenne (APC).

"Le 30 août, les impérialistes américains ont laissé une formation de bombardiers stratégiques nucléaires B-1B mener un exercice d'attaque conjoint contre la RPDC avec les combattants des gangsters militaires de la "République de Corée" dans le ciel au-dessus des mers orientale et occidentale de la Corée du Sud. Corée du Nord", ont déclaré les médias d'État nord-coréens citant l'état-major.

"Pour faire face à cela, l'APK a organisé mercredi soir un exercice de frappe nucléaire tactique simulant des frappes de terre brûlée sur les principaux centres de commandement et aérodromes opérationnels des gangsters militaires de la "ROK" [République de Corée, Corée du Sud]".

Vers une guerre de religion, infos du 1 septembre 2023

L'armée nord-coréenne a déclaré que l'exercice Ulchi Freedom Shield des États-Unis et de la Corée du Sud constituait une menace sérieuse « car il s'agissait simplement d'un scénario de frappe nucléaire préventive » et « a ouvert ce fait à la presse et l'a annoncé haut et fort comme une « démonstration de la mise en œuvre de la dissuasion élargie contre Pyongyang.

L'armée a confirmé qu'une unité de missiles avait tiré deux missiles balistiques tactiques vers le nord-est et "avait correctement mené sa mission de frappe nucléaire grâce à des rafales aériennes à une altitude prédéfinie de 400 mètres au-dessus de l'île cible".

Mercredi, les chefs d'état-major interarmées de la Corée du Sud ont déclaré que la Corée du Nord avait lancé deux missiles balistiques vers la mer du Japon, qui ont parcouru environ 360 kilomètres (223 milles) avant de tomber dans la mer. L'armée a ajouté que les caractéristiques détaillées des missiles étaient en cours d'analyse par les agences de renseignement sud-coréennes et américaines.

Le bureau du Premier ministre japonais Fumio Kishida a déclaré jeudi que le Japon protestait contre les tirs de missiles balistiques de la Corée du Nord. Après le lancement, Kishida a également demandé que des efforts maximaux soient consacrés à la collecte et à l'analyse des informations et à leur fourniture au public, ainsi qu'à ce que la sécurité des avions, des navires et des autres actifs soit assurée, et que toutes les mesures possibles soient prises pour prendre des précautions, y compris préparation aux imprévus, a indiqué le bureau.

Les États-Unis et la Corée du Sud organisent du 21 au 31 août l'exercice annuel baptisé Ulchi Freedom Shield. Mercredi, Séoul et Washington ont mené un exercice aérien impliquant au moins un bombardier stratégique B-1B.

Source

 

 

 

Quel a été le menu de la rencontre des dirigeants du Burkina et du Mali avec une délégation russe?

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 1 septembre 2023

Une délégation russe menée par un vice-ministre de la Défense a visité jeudi le Burkina Faso et le Mali. Les entretiens ont porté sur la coopération bilatérale et les questions de sécurité, les deux pays africains étant confrontés à la menace djihadiste.

Le Président burkinabé Ibrahim Traoré a rencontré à Ouagadougou, le 31 août, une délégation russe conduite par le vice-ministre russe de la Défense Iounous-Bek Evkourov, a annoncé l'Agence d'information du Burkina.

Les parties ont examiné l'état et les perspectives de leur coopération militaro-technique, dans le sillage de la rencontre des dirigeants burkinabé et russe au cours du deuxième sommet Russie-Afrique, fin juillet à Saint-Pétersbourg.

Le délégué russe a assuré Ibrahim Traoré du soutien de Moscou aux autorités de la transition au Burkina Faso et au peuple burkinabé dans tous les domaines de développement, selon l'agence.

Les négociants ont également évalué la situation sécuritaire globale dans le Sahel, en proie au terrorisme depuis des années.

Le Mali également au programme

Le même jour, la délégation de la Défense russe menée par le vice-ministre a été reçue par le Président de la transition du Mali Assimi Goïta à Bamako.

Les entretiens ont porté sur le renforcement des liens de coopération en matière de défense et de sécurité entre les deux pays et, tout comme au Burkina, la situation sécuritaire dans le Sahel.

Le Burkina Faso et le Mali sont tous deux confrontés à des violences djihadistes et sont dirigés par des militaires ayant pris le pouvoir entre 2020 et 2022.

Spoutnik

 

 

 

Niger : Les militaires ont ordonné à la police de procéder à l’expulsion de l’ambassadeur de France

 

Les militaires au pouvoir au Niger ont indiqué à Paris le 29 août avoir «instruit» les services de police de la nécessité de procéder à l’expulsion de l’ambassadeur français à Niamey, selon l’AFP.

Les militaires au pouvoir au Niger ont annoncé avoir «instruit les services de police» afin de procéder à «l’expulsion» de l’ambassadeur de France à Niamey, dans un courrier adressé à Paris consulté le 31 août par l’AFP, après l’expiration d’un ultimatum au diplomate français pour quitter le pays. 

Selon cette lettre du ministère des Affaires étrangères datée du 29 août, l’ambassadeur Sylvain Itté «ne jouit plus de privilèges et immunités attachés à son statut de membre du personnel diplomatique de l’ambassade de France».

Ses «cartes diplomatiques et visas» ainsi que ceux des membres de sa famille «sont annulés», précise la lettre, ajoutant que les services de police nigériens «sont instruits afin de procéder à l’expulsion» de Sylvain Itté

Paris conteste

Le 25 août au soir, les militaires au pouvoir avaient donné 48 heures au diplomate français pour quitter le territoire, ce que Paris a refusé, arguant que ce gouvernement était illégitime et n’avait aucune autorité pour fonder une telle requête.

À l’expiration de ce délai, Sylvain Itté, dont Emmanuel Macron a salué le 29 août le travail, se trouvait toujours en poste à Niamey.

Le 30 août, le porte-parole de l’état-major français, le colonel Pierre Gaudillière, a prévenu que «les forces militaires françaises sont prêtes à répondre à tout regain de tension qui porterait atteinte aux emprises militaires et diplomatiques françaises au Niger» et que «des dispositions ont été prises pour protéger ces emprises».

source : RT France

 

 

 

Non-adhésion aux BRICS : Alger réagit officiellement

 

Lors d’une conférence de presse le 29 août, le ministre algérien des Affaires étrangères a abordé pour la première fois de façon officielle la non-adhésion de l’Algérie aux BRICS. «Nous ne pouvons pas considérer le fait de ne pas rejoindre le groupe comme une défaite dans un match». «Les pays des BRICS sont des pays amis».

Présentant le 29 août lors d’une conférence de presse l’initiative du président de la République pour le règlement de la crise au Niger, le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger Ahmed Attaf s’est exprimé sur la candidature de l’Algérie pour adhérer aux BRICS qui n’a pas été retenue au dernier sommet.

Il a assuré qu’il n’y avait «aucune animosité» derrière cette décision.

«Bien que nous n’ayons pas rejoint les BRICS, nous allons poursuivre d’autres démarches en vue d’intégrer la Nouvelle Banque de développement et l’Organisation de coopération de Shanghai», a-t-il signalé.

«Nous ne pouvons pas considérer le fait de ne pas rejoindre le groupe comme une défaite dans un match».

Attaf a indiqué que «le président de la République a orienté l’un des axes de la politique étrangère vers l’Asie centrale et l’Asie». «Les BRICS n’ont altéré en rien ces orientations ni notre capacité à défendre nos intérêts, dans le cadre de la nouvelle orientation décidée par le président de la République».

Pas d’inimitié, ce sont «des pays amis»

Selon lui, l’Algérie aspire à adhérer aux BRICS pour renforcer les cadres de déploiement de sa politique étrangère, assurant qu’en dépit de sa non-adhésion au groupe, l’Algérie «poursuivra résolument ses choix».

«Les pays des BRICS sont des pays amis, voire alliés, et pendant longtemps, et même avant les BRICS, nous avions l’habitude de traiter et de prendre des mesures communes avec ces pays sur les questions de politique étrangère les plus importantes… et il n’y a aucune inimitié avec aucun d’entre eux», a-t-il déclaré.

Au cours de la conférence de presse, il a réaffirmé une position ferme de l’Algérie concernant la crise au Niger : le double refus d’une intervention militaire et du coup d’État. Il a également exposé les six axes de la médiation algérienne pour trouver une solution à la crise.

source : Sputnik Afrique

 

Qatargate : l’eurodéputée socialiste Eva Kaili, pivot du scandale de corruption, reprendra ses fonctions au sein du Parlement européen (MàJ : 280.000 euros en liquide retrouvés chez le fils de l’eurodéputée socialiste Marie Arena)

MàJ 01/09/2023

Les enquêteurs en charge du dossier du Qatargate ont mené des perquisitions, le 19 juillet dernier, dont une dans l’appartement bruxellois d’Ugo Lemaire, le fils de Marie Arena. Ils y ont découvert une somme d’un peu plus de 280.000 euros en liquide. L’appartement était attenant à celui de l’eurodéputée socialiste.


15/06/2023

Nouveau volet dans l’affaire du Qatargate ? Un logiciel espion a été découvert dans certains téléphones de policiers et magistrats belges. Le nombre exact d’appareils touchés n’est pas encore connu mais celui du juge d’instruction chargé de l’affaire de corruption au Parlement européen, Michel Claise, figurerait sur la liste.

C’est à la suite de soupçons d’espionnage que plusieurs appareils, de procureurs, juges d’instruction, policiers ou encore membres du personnel de justice, ont été confiés aux policiers fédéraux de la Computer crime unit (FCCU), spécialisés dans la cybercriminalité. Après plusieurs analyses, des traces d’un logiciel espion ont été trouvées sur certains téléphones.

Le Parisien


27/05/23

L’eurodéputée grecque Eva Kaili, impliquée dans le scandale du “Qatargate”, prévoit de reprendre ses fonctions la semaine prochaine, suite à l’autorisation de retirer son bracelet électronique jeudi, a déclaré vendredi son avocat.

“La semaine prochaine, elle sera au Parlement européen pour exercer ses fonctions”, a affirmé l’avocat grec d’Eva Kaili, Michalis Dimitrakopoulos, à la chaîne de télévision grecque Skaï.

Elle demandera également au Parlement de déterminer si sa surveillance, son arrestation et son incarcération ont violé ses droits en tant que députée européenne, a ajouté Michalis Dimitrakopoulos.

Ancienne étoile montante du Parlement européen, Eva Kaili a été déchue de sa fonction de vice-présidente et exclue de son groupe au parlement des Socialistes et Démocrates (S&D).

La Libre

Note :  si Eva Kaili peu aussi facilement reprendre sa place d'eurodéputé après un tel scandale de corruption, c'est parce que la plupart de ces gens-là sont corrompus jusqu'à l'os

 

 

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme critique l’interdiction en France des abayas à l’école : “les limitations aux manifestations de la religion (…) ne sont autorisées que dans des circonstances très limitées”

Marta Hurtado, pour le Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCDH), a déclaré que le Haut-Commissariat était au courant de l’annonce de l’interdiction du port de l’abaya dans les écoles en France, mais qu’il n’était pas en mesure de faire des commentaires détaillés, étant donné que l’on ne savait pas exactement ce qui était prévu ni comment cela serait mis en œuvre.

Toutefois, à ce sujet, il convient de rappeler que, selon les normes internationales en matière de droits de l’homme, les limitations aux manifestations de la religion ou des convictions, y compris le choix des vêtements, ne sont autorisées que dans des circonstances très limitées, notamment la sécurité publique, l’ordre public et la santé ou la moralité publiques. En outre, en vertu du droit international des droits de l’homme, les mesures adoptées au nom de l’ordre public doivent être appropriées, nécessaires et proportionnées. Par ailleurs, pour parvenir à l’égalité des sexes, il faut comprendre les obstacles qui empêchent les femmes et les jeunes filles de faire des choix libres et créer un environnement qui favorise leur propre prise de décision, y compris, mais pas seulement, le choix de leur tenue vestimentaire.

Nations Unies

 

Note ; corrompue

 

 

Thibault de Montbrial: « la France se tiers-mondise, les violences urbaines c’est quasi tous les soirs. Les journaux des grandes chaînes parlent des ventes de glace quand il fait chaud et font vivre 10 millions de Français dans un monde parallèle »

 

 

 

 

Greffes d’organe: une filière de migrants lucrative pour les mafias et onéreuse pour la France. Des clandestins prioritaires sur des français car un peu plus jeunes. « Par peur d’être étiquetés racistes peu de soignants osent en parler »

 

[…]

En 2022, les personnes de nationalité algérienne, géorgienne et comorienne étaient les plus nombreuses à avoir déposé une demande de titre de séjour pour bénéficier d’une prise en charge médicale concernant la dialyse et la greffe rénale. Or, en Algérie comme en Géorgie, la dialyse existe, elle y est même gratuite. Indéniablement sous-équipées, les Comores sont un cas à part : c’est généralement le système hospitalier de l’île de la Réunion qui doit prendre en charge les malades comoriens. En France, toute personne se présentant sur le territoire et dont l’état de santé le nécessite peut postuler à une greffe, quel que soit son statut administratif. Entre 2017 et 2023, près de 9 500 demandes de titres de séjour pour soins pour insuffisance rénale chronique ont été enregistrées. En 2022, près de 85 % des demandes ont bénéficié d’un avis favorable pour, au minimum, des dialyses, dont le coût s’élève à 80 000 € par an et par personne. La députée Véronique Louwagie (LR), à l’origine d’un rapport parlementaire publié en 2021, note que « depuis 2015, les étrangers ont bénéficié de 14,8 % des transplantations alors que les étrangers résidant en France représentent 7,4 % de la population ».

2. QUEL RÔLE JOUENT LES FILIÈRES D’IMMIGRATION ?

Les filières existantes viennent en particulier d’Europe de l’Est et ne sont pas nouvelles. À la tête de l’association France Transplant, l’ex-député et professeur de médecine Jean-Louis Touraine décrit le processus : « Il y a une dizaine d’années déjà, les passeurs d’Europe de l’Est demandaient 2 000 € par personne, le malade avait en sa possession la liste des établissements pratiquant la dialyse. » Parce qu’elles présenteraient des chances plus élevées d’obtenir une greffe, Bretagne et Rhône-Alpes sont les régions les plus visées. « Les mafieux connaissent les chiffres d’attente de greffe par le site de l’Agence de la biomédecine et ils déposent les personnes dans les villes où les listes d’attente sont plus faibles » […]

3. QUELLES CONSÉQUENCES POUR NOTRE SYSTÈME DE SOINS ?

Ces arrivées seraient moins un problème si les greffons ne manquaient pas. Et si le système de santé français, déjà extrêmement sous tension, ne traversait pas une crise profonde. Face aux listes d’attente importantes et au manque de donneurs, la transplantation rénale pose des problèmes éthiques aux soignants. Qui doit être greffé en priorité, alors que, d’après les chiffres officiels, plus de 20 000 patients, en France, attendent de l’être et que seules 5 000 transplantations sont effectuées chaque année ? Et tandis que deux à trois personnes meurent chaque jour faute d’une greffe d’organe ? […]

Face à des patients qui risquent de ne pas prendre correctement leur traitement parce qu’ils ne comprennent pas le français, ou encore face à ceux qui veulent retourner dans leur pays d’origine, alors qu’ils ne bénéficieront pas sur place des médicaments antirejet, les différents profils compliquent la donne… Les professionnels de la santé sont confrontés à des enjeux moraux, que les responsables politiques préfèrent ignorer. « Nous sommes livrés à nous-mêmes. On doit se débrouiller avec des cas parfois complexes, confie un médecin sous le couvert de l’anonymat. Par peur d’être étiquetés racistes ou xénophobes peu de soignants osent en parler. » Avant de conclure : « On vit avec l’idée de l’abondance, l’État pourrait tout, et, au prétexte de valeurs éthiques, on ne réfléchit plus. »

Marianne

 

 

Immigration : Darmanin demande aux maires RN d’ouvrir des centres de rétention administratifs dans leur commune

INFO EUROPE 1 - Immigration : Darmanin demande aux maires RN d'ouvrir des centres de rétention administratifs dans leur commune

Gérald Darmanin en appelle aux maires du Rassemblement national. Dans un courrier qu’Europe 1 s’est procuré, le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer demande aux élus issus du RN d’accueillir des centres de rétention administratifs dans leur commune, afin de développer les capacités d’accueil dans le cadre de la politique migratoire du gouvernement, et accroître l’efficacité des expulsions de clandestins.

 

Dans cette lettre, Gérald Darmanin explique qu’il a demandé aux préfets “d’identifier avec les élus les sites susceptibles d’accueillir ces équipements. Mes services n’ayant reçu à ce jour aucune proposition de la part de communes dirigées par le Rassemblement national, je tenais à vous signaler personnellement l’importance de ce programme de construction pour l’efficacité de notre politique migratoire”, appuie le ministre de l’Intérieur.

L’objectif de 3.000 places d’ici à 2027

Le Rassemblement national est pourtant favorable à la construction de nouveaux centres, qui reçoivent des étrangers faisant l’objet d’une décision d’éloignement. Mais d’après ce courrier rédigé par le ministre de l’Intérieur, aucun maire appartenant au RN n’a proposé un site dédié à la construction d’un tel équipement.

Pour appuyer sa demande, Gérald Darmanin rappelle que le Parlement a adopté “une loi de programmation et d’orientation du ministère de l’Intérieur qui fixe l’objectif de 3.000 places de rétention à échéance 2027”, contre 1.857 aujourd’hui. Selon lui, l’État a besoin de huit nouveaux centres disposant de 140 places chacun pour remplir ces objectifs.

www.europe1.fr

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