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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 8 aout 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L’armée russe affirme avoir touché un centre de commandement à Pokrovsk lundi…

 

L’ESSENTIEL

  • Au moins huit personnes ont été tuées lundi par le tir de deux missiles russes sur un immeuble à Pokrovsk, dans l’est de l’Ukraine.
  • La Russie a assuré lundi avoir avancé vers Koupiansk, ville de l’est de l’Ukraine située à environ 150 km au nord de Pokrovsk, dans une zone reprise en septembre dernier par les forces ukrainiennes et qui est confrontée à une offensive russe depuis plusieurs semaines.
  • Les services de sécurité ukrainiens (SBU) ont annoncé avoir arrêté une femme accusée d’avoir aidé la Russie à préparer une attaque contre le président Volodymyr Zelensky pendant une visite à Mykolaïv, dans le sud de l’Ukraine. Le SBU a diffusé une photo floutée de cette femme, détenue par des agents, ainsi que des messages téléphoniques et des notes manuscrites concernant des activités militaires.

 

13h03 : L’armée russe affirme avoir frappé un centre de commandement à Pokrovsk

L’armée russe a affirmé mardi avoir frappé un centre de commandement militaire ukrainien à Pokrovsk, dans l’est de l’Ukraine, où au moins sept personnes ont été tuées la veille lors d’une double frappe sur des bâtiments civils, selon Kiev.

« Dans la zone de la localité de Krasnoarmeïsk [nom soviétique de Pokrovsk] un centre de commandement avancé du groupement ukrainien "Khortytsia" a été frappé », a indiqué le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov.

 

12h42 : La Géorgie dénonce « l’agresseur » russe 15 ans après la guerre

La Géorgie a dénoncé mardi « l’agresseur » russe et a prôné « la fin de l’occupation » de deux régions géorgiennes, pour le 15e anniversaire de la guerre avec la Russie. « Nous savions depuis longtemps que la Russie était un agresseur, nous savons cela et le monde entier le sait », a déclaré aux journalistes le Premier ministre géorgien, Irakli Garibachvili.

Dans la nuit du 7 au 8 août 2008, l’armée russe intervenait en Géorgie pour voler au secours de la petite région d’Ossétie du Sud, territoire séparatiste prorusse contre lequel Tbilissi avait lancé une opération militaire. En cinq jours, les forces de Moscou avaient mis l’armée géorgienne en déroute et menacé de prendre la capitale. Un accord de paix avait finalement abouti au retrait des troupes russes, mais Moscou a reconnu l’indépendance de l’Ossétie du Sud et d’une autre région séparatiste, l’Abkhazie, et y maintient depuis une forte présence militaire.

DIRECT

 

 

 

 

Sénateur américain: L'Ukraine "ne peut pas gagner" - C'est "une équipe de lycée jouant contre une équipe universitaire"

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 8 aout 2023

Un sénateur américain a révélé pourquoi il n'avait pas « voté pour un centime pour envoyer l'Ukraine », exprimant son fort doute quant aux chances du régime de Kiev dans sa contre-offensive contre l'armée russe.

L'Ukraine "ne peut pas gagner" contre la Russie, malgré l'énorme aide militaire pompée pour mener la guerre par procuration de l'Occident contre Moscou là-bas, a déclaré un sénateur américain aux médias américains.

"Oui, nous n'obtenons pas le point à Washington, DC … En fin de compte, c'est une équipe de lycée qui joue contre une équipe universitaire. Ils ne peuvent pas gagner", a déclaré le sénateur Tommy Tuberville (R-AL), s'exprimant sur The Ingraham Angle . lundi

Selon le sénateur républicain, ce que fait Washington, c'est « d'essayer de détourner l'attention de tout le monde du vrai problème », qui est « l'administration Biden et les démocrates. C'est un désastre total .

Plus tôt dans l'émission, l'animateur a mentionné un sondage réalisé par l'agence de presse SSRS du 1er au 31 juillet auprès de 1 279 adultes. Il a révélé que plus de la moitié des Américains (55 %) sont opposés à ce que le Congrès autorise davantage de fonds pour l'Ukraine. Cinquante et un pour cent disent que Washington en a fait assez pour aider Kiev, tandis que 48 % ne sont pas d'accord. Ce dernier chiffre est en baisse de 14 points de pourcentage par rapport aux 62 % de ceux qui estimaient que les États-Unis auraient dû faire plus, selon un sondage réalisé au début de l'opération militaire spéciale de la Russie . Interrogés dans le récent sondage sur les types d'assistance que les États-Unis pourraient offrir à Kiev, seuls 17 % ont déclaré qu'ils soutiendraient l'envoi de troupes américaines sur le champ de bataille, et 43 % préfèrent fournir des armes . En outre, le sondage a révélé que 71 % des républicains souhaiteraient que le Congrès cesse d'envoyer plus d'aide aux autorités de Kiev.

Faille croissante sur le financement de Kiev

Dimanche, des dizaines de manifestants anti-guerre se sont rassemblés devant le siège des Nations Unies à New York pour exiger l'arrêt des fournitures militaires à l'Ukraine. Le rassemblement a été organisé par Humanity for Peace, une coalition internationale de paix, pour marquer l'anniversaire de la première utilisation mondiale d'une bombe atomique par les États-Unis contre la ville japonaise d'Hiroshima en 1945.

Cependant, le président américain Joe Biden semble catégorique, insistant quelques jours seulement après l'annonce des expéditions controversées d'armes à sous-munitions vers l'Ukraine : « Nous n'hésiterons pas. » Biden s'exprimait en Lituanie à la suite d'un récent sommet de l'OTAN, où l'Occident a vanté programme à long terme pour soutenir l'Ukraine.

Pendant ce temps, un nombre toujours croissant de républicains au Congrès se sont insurgés contre les milliards de dollars des contribuables canalisés dans le conflit ukrainien. Le président de la Chambre, le républicain Kevin McCarthy , a déclaré publiquement que Kiev ne devrait pas recevoir de « chèque en blanc ». L'ex-POTUS Donald Trump , un espoir dans la course à la Maison Blanche en 2024, a menacé d'arrêter le financement de la guerre, déclarant le mois dernier que les États-Unis devraient « refuser d'autoriser une seule expédition supplémentaire de nos stocks d'armes épuisés. « Son rival pour la nomination présidentielle républicaine de 2024, le gouverneur de Floride Ron DeSantis, a également été ouvert sur son scepticisme à l'égard du financement.

Le candidat démocrate à la présidentielle Robert F. Kennedy Jr . a critiqué à plusieurs reprises le rôle des États-Unis dans la guerre par procuration contre la Russie. « Le Congrès ne devrait pas autoriser un sou de plus pour l'Ukraine... L'Ukraine n'est pas le 51e État des États-Unis d'Amérique », a déclaré la représentante Marjorie Taylor Greene , une républicaine de Géorgie. Le représentant Matt Gaetz , un républicain de Floride qui a coparrainé un amendement visant à empêcher le démocrate Biden d'envoyer des armes à sous-munitions en Ukraine, a dénoncé plus tôt les États-Unis agissant comme s'ils étaient " la tirelire du monde ".

Contre-offensive de bégaiement

Malgré la contre-offensive tant annoncée, mais constamment défaillante , l'Occident continue de fournir aux forces armées ukrainiennes des armes qu'elles utilisent contre les troupes et les infrastructures civiles russes. La contre-offensive de l'Ukraine a débuté le 4 juin après des mois de retards en raison d'un manque de fournitures militaires de la part des donateurs occidentaux.

Le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konashenkov, a déclaré plus tôt dans un communiqué que depuis le début de sa contre-offensive , l'Ukraine a perdu plus de 43 000 soldats et plus de 4 900 unités d'armes diverses, dont 26 avions, neuf hélicoptères, 1 831 chars et autres véhicules blindés de combat, dont 25 chars Leopard de fabrication allemande, sept chars à roues AMX de fabrication française et 21 véhicules de combat d'infanterie Bradley de fabrication américaine.

Pendant ce temps, des médias occidentaux citant des responsables ukrainiens et occidentaux anonymes ont reconnu que les forces de Kiev avaient perdu environ un cinquième de leur équipement militaire occidental au cours des deux derniers mois, tout en épuisant une grande partie des stocks de munitions qui leur avaient été fournis.

Spoutnik

 

 

 

L’échec" de Paris en Afrique décrié dans une lettre à Macron de 94 sénateurs français

 

 

"Après la Françafrique, sommes-nous condamnés à l'effacement de la France en Afrique?" Une centaine de sénateurs français a adressé au Président Emmanuel Macron une lettre ouverte appelant à revoir la politique de la France en Afrique et dénonçant "l'échec" de l'opération Barkhane.

L'opération française Barkhane a-t-elle été un échec? La réponse est positive pour 94 parlementaires français issus de plusieurs bords politiques. Les sénateurs Roger Karoutchi, Bruno Retailleau et Christian Cambon ont en effet adressé lundi une lettre ouverte au Président de la République, en appelant à réviser la politique de la France sur le continent africain.

"Aujourd'hui le Niger, hier le Mali, la Centrafrique, le Burkina Faso ont rejeté la France, les forces françaises, les entreprises françaises", indique la lettre, publiée par Le Figaro sous le titre "Après la Françafrique, sommes-nous condamnés à l'effacement de la France en Afrique?".

"Remettre à plat notre vision de l'Afrique"

"Ce mouvement en Afrique subsaharienne se propage avec des manifestations et des actes anti-français jusque dans les pays réputés proches de nous, comme la Côte d'Ivoire ou le Sénégal", ajoutent les sénateurs, évoquant également des problèmes avec les pays nord-africains comme l'Algérie, la Tunisie et le Maroc.

"Aujourd'hui, la Françafrique d'hier est remplacée par la Russafrique militaire, par la Chinafrique économique ou l'Américafrique diplomatique. Et que dire, malheureusement, de la régression de la Francophonie par rapport à la langue anglaise?"

Les auteurs de la missive se demandent s’il ne serait pas temps de "remettre à plat notre vision de l'Afrique et de son lien avec la France", "alors que l'Afrique, continent ami, ne semble plus comprendre la France, et conteste de plus en plus son rôle et sa présence".

Lecornu n'est pas d'accord

Le ministre des Armées Sébastien Lecornu a déjà réagi à la lettre, réfutant l'idée que l'opération Barkhane ait été un échec. "C'est une faute de dire cela", a-t-il affirmé, tout en soulignant qu'il y a "bien entendu des leçons à en tirer, comme pour toutes les crises et pour toutes les opérations militaires", relate l'AFP.

L'opération Barkhane a succédé en août 2014 à l'opération Serval, lancée en janvier 2013 contre les groupes djihadistes ayant conquis le nord du Mali. Emmanuel Macron a annoncé la fin de l'opération en novembre 2022. Les soldats de Barkhane ont quitté ce pays.

Le Niger, qui vient de vivre un coup d'État, accueille cependant un dispositif militaire français de plus de 1.500 soldats sur la base aérienne de Niamey. Le meneur du coup d'État a accusé le gouvernement déchu d’avoir autorisé la France à intervenir militairement dans le pays pour libérer le leader renversé Mohamed Bazoum.

Source

 

 

La guerre du Niger n’aura pas lieu…

 

Quoi qu’en disent certains médias officiels, le sous-sol du Niger regorge de richesses (uranium, or, terres rares) et le coup d’État militaire qui a destitué le président Bazoum proche des autorités occidentales et pas uniquement françaises pose des questions cruciales à l’Europe (notamment l’Allemagne et la France) et aux États-Unis en matière d’approvisionnement énergétique notamment en Uranium.

Certains médias d’État prétendent que la France a diversifié ses apports et que la France dépend à moins de 20% de l’uranium nigérien tandis que les données européennes donnent 24% pour l’ensemble de l’Europe et près de 30% pour la France. Le changement de régime au Niger est une préoccupation majeure pour l’occident et l’OTAN. De plus, la présence éventuelle de militaires russes déguisés en mercenaire de Wagner n’est pas sans poser de problèmes à l’OTAN.

La CEDEAO a lancé un ultimatum à la junte parvenue au pouvoir menaçant d’une intervention militaire avec des troupes notamment du Sénégal, du Nigeria… tandis que le Burkina Faso et le Mali font bloc derrière les nouvelles autorités nigériennes et que l’Algérie est grandement défavorable à une intervention militaire. Le nouveau pouvoir en place a fermé l’espace aérien et galvanise la population en vue d’une défense militaire du territoire contre des forces étrangères. L’ultimatum lancé par l’organisation régionale à la junte pour rétablir dans ses fonctions le président Bazoum a expiré hier soir et une intervention armée est loin de faire l’unanimité selon Le Monde.

En filigrane, on est en droit de se demander pour qui agit exactement la CEDEAO. Est-ce que l’OTAN influence les décisions de la CEDEAO et y aura-t-il intervention des forces spéciales occidentales (USA, France, Allemagne) si une intervention militaire devait avoir lieu comme on l’a vu en Libye ? La France a souligné qu’elle «appuyait avec fermeté et détermination» l’initiative de la CEDEAO pour faire échouer la tentative de putsch. «Il en va de l’avenir du Niger et de la stabilité de toute la région», a insisté le ministère des Affaires étrangères français. Mais, rappelons-le encore une fois, la Russafrique est présente au Niger et veille au grain alors que la Russie avait complètement avalisé le renversement de Kadhafi en s’abstenant de donner son veto à une intervention de l’ONU contre la Libye de Kadhafi. Il en a été de même pour la Chine. Le verrou panafricain Kadhafi ayant sauté en 2011, l’Afrique se voit livrée à toutes les puissances prédatrices et leurs instruments (djihadistes, dirigeants affiliés…) pour en piller les richesses. 

Aux dernières nouvelles, selon l’AFPles dirigeants des pays de la CEDEAO se réunissent jeudi à Abuja. Il semble s’engager d’intenses tractations dans les coulisses. À suivre…

source : Le Blog Sam La Touch

 

Guerre en Ukraine : après la rébellion de Wagner, Poutine va équiper la Garde nationale de Russie d'armement lourd pour "assurer la sécurité du régime"

 

  • La Garde nationale russe est l'une des formations chargées de la sécurité de Vladimir Poutine.
    La Garde nationale russe est l'une des formations chargées de la sécurité de Vladimir Poutine. SPUTNIK POOL (archive) - ALEXANDER KAZAKOV / SPUTNIK / KREMLIN POOL

La Rosgvardia, la Garde nationale russe, devrait s'imposer comme "l'une des organisations clés pour assurer la sécurité du régime".

Le 4 août dernier, le président russe Vladimir Poutine a signé une loi qui permet à la Garde nationale de Russie d'être équipé d'armement lourd, selon les informations publiées ce jeudi 8 août par le ministère de la Défense britannique dans son dernier rapport. Cet équipement pourrait inclure de l'artillerie et des hélicoptères d'attaque.

La Garde nationale russe est l'une des formations chargées de la sécurité de Vladimir Poutine. Créée en 2016 dans sa forme moderne, elle est composée de 200 000 personnes et est dirigée par l'ancien garde du corps du président russe Viktor Zolotov. À l’origine censée suppléer la police pour le maintien de l'ordre, la Rosgvardia a pris un tournant plus militaire, selon Ouest France. Elle a notamment participé aux premiers assauts au début de l'offensive russe en Ukraine.

Pas de preuve de son action contre Wagner

La décision de la renforcer intervient après la rébellion avortée d'Evguéni Prigojine et du groupe Wagner à la fin du mois de juin dernier. Selon le ministère de la Défense britannique, "cette décision suggère que le Kremlin redouble d'efforts pour faire de la Rosgvardia l'une des organisations clés pour assurer la sécurité du régime".

Le rapport précise enfin que "malgré l'affirmation de Zolotov selon laquelle sa force avait été 'excellente' pendant la mutinerie, il n'y a pas de preuve que la Rosgvardia ait mené une action efficace contre Wagner".

 

Leader mondial du trafic de transplantations : En Ukraine, les organes vendus en ligne et hors ligne

 

La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, a dénoncé le trafic d’organes humains en Ukraine dans un article du journal Rossiiskaïa Gazeta. Sputnik vous présente son texte intégral.

On sait depuis longtemps que l’Ukraine est devenue l’un des leaders mondiaux de la transplantation «au noir». Les scandales liés au prélèvement illégal d’organes sur les corps de personnes décédées ont commencé dès la fin des années 1990, ce qui a été provoqué par la détérioration de la situation socio-économique du pays.

À partir du début des années 2000, ce problème a commencé à prendre de l’ampleur. Une impulsion supplémentaire à ce processus a été donnée par le coup d’État armé à Kiev en février 2014 et le conflit dans le Donbass. En 2014, l’OSCE a déclaré que des corps de personnes, dont les organes internes avaient été prélevés, avaient été retrouvés dans des fosses communes dans des zones de combat, très probablement, il s’agit de victimes de trafiquants.

La transplantation «au noir» a pris une grande ampleur après le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine. Cela a été facilité par l’adoption d’une législation par le régime de Kiev qui simplifie au maximum les activités des transplantologues dans le pays.

En particulier, le 16 décembre 2021, la Rada (Parlement ukrainien) a adopté la loi n°5831 sur la réglementation de la transplantation de matériaux anatomiques humains, selon laquelle il n’est plus nécessaire de notarier l’accord écrit d’un donneur vivant ou de ses proches pour la transplantation. Les signatures n’ont pas besoin d’être authentifiées. De fait, les organes étaient également autorisés à être prélevés sur des enfants. La procédure de prélèvement d’organes sur le défunt, qui n’a pas donné son accord au don de ses organes après le décès, a été considérablement simplifiée. L’autorisation de prélever du matériau biologique ou anatomique sur le corps d’un défunt peut être obtenue auprès de la personne responsable qui s’engage à l’enterrer. Par exemple, le médecin-chef d’un hôpital ou le chef d’une unité militaire. Le droit de procéder à une transplantation a été accordé non seulement aux cliniques publiques, mais aussi aux cliniques privées.

Le 14 avril 2022, la Rada a adopté la loi n°5610 sur la modification au Code fiscal, qui exonère les opérations de transplantation d’organes du paiement de la TVA.

Cette «clause de la nation la plus favorisée» est activement utilisée par les criminels, le commerce d’organes a lieu sur le darknet, et pas seulement.

Comme l’ont écrit les médias, les organes des soldats morts des forces armées ukrainiennes sont apparus en vente dans l’un des plus grands magasins du darknet. Cœurs, foies, reins et autres parties du corps étaient proposés à partir de 5000 euros chacun.

C’est impossible à réaliser, mais selon le vendeur, on peut rapidement livrer un cœur pour 25 000 euros et des reins pour 12 000 euros. Il est à noter que la livraison s’effectue «uniquement vers les pays de l’UE dans une boîte médicale en 48-60 heures». Ou ils peuvent être livrés dans un lieu prédéterminé sous réserve d’un prépaiement intégral. S’ils sont remis personnellement, un acompte de 35% est nécessaire, une copie du passeport, des liens vers les réseaux sociaux et une photo à un certain endroit avec des choses annoncées d’avance. Et ce n’est pas une liste exhaustive des services des éventreurs.

Il existe des preuves que les personnes impliquées dans l’Armée de libération du Kosovo pourraient être propriétaires ou au moins coopérer avec le magasin, dont l’un des dirigeants vient d’être jugé pour trafic d’organes de soldats, de civils et d’autres dissidents serbes morts pendant la guerre de Yougoslavie. L’Armée fonctionne toujours, mais sous un nom différent, et peut être présente en Ukraine en tant que mercenaires.

En juin 2023, un homme a été arrêté à la frontière ukraino-slovaque, qui en tant qu’employé d’une certaine organisation caritative, se livrait au trafic d’enfants ukrainiens à l’étranger, y compris pour la transplantation d’organes. Ce qui est révélateur, la caution que le tribunal a fixée pour le criminel ne s’élevait qu’à 1 million de hryvnias. Après avoir versé la caution, l’accusé de crime grave a été libéré. Dans le même temps, une caution astronomique de 33 millions de hryvnias a été fixée au vicaire de la laure des Grottes de Kiev, le métropolite Paul.

Cela indique clairement que l’État ukrainien dissimule cette affaire sanglante et la soutient. Il existe également des preuves qui témoignent de l’implication de l’entourage de Volodymyr Zelensky dans celle-ci.

On vend les organes en Ukraine non seulement au noir en ligne, mais aussi hors ligne.

Il existe des preuves qu’en juin 2023, des représentants du ministère de la Santé d’un pays de l’OTAN se sont mis d’accord avec les autorités ukrainiennes sur la fourniture d’une voiture frigorifique contenant des organes et des parties du corps humain, qui sont le plus souvent utilisés en transplantation. Ce sont des cornées de l’œil, certains os, des tissus conjonctifs, des cœurs et des foies.

Du côté ukrainien, des «entrepreneurs individuels» ont travaillé avec l’aide de personnes également du ministère de la Santé d’Ukraine et du bureau du Président.

Si quelqu’un dit maintenant «ce n’est pas possible», laissez-moi vous rappeler que le don et la vente posthumes d’organes à l’étranger sont légaux en Ukraine. Une autre chose est étrange : les membres de l’équipe de Volodymyr Zelensky ne veulent pas rendre cette information publique, bien qu’ils aient eux-mêmes pris cette décision. Les experts attribuent cela au fait que, dans la plupart des cas, les hommes d’affaires ukrainiens ne peuvent pas expliquer l’origine exacte des biomatériaux dont la livraison est prévue. Ils estiment qu’une partie importante de ces biomatériaux provient de «transplantologues au noir» qui prélèvent illégalement des organes sur les combattants morts, dont les corps non réclamés sont ensuite simplement brûlés. Ces conclusions sont confirmées par le taux de mortalité élevé et le nombre important de soldats ukrainiens portés disparus, ainsi que par le manque de spécialistes et de réactifs sur le territoire contrôlé par le régime de Kiev pour examiner les corps. Cela permet aux criminels de brouiller les pistes et de transporter des organes utilisés dans la transplantation vers les régions occidentales de l’Ukraine, où ils sont préparés pour être expédiés à l’étranger.

source : Sputnik Afrique

 

 

Marion Lalisse, coordinatrice à la lutte contre la haine antimusulman de la Commission, s’adresse aux musulmans de l’UE en arabe (MàJ: Bien que son message ne concernait que l’UE, la Commission prétend que cette version était destinée aux pays arabophones)

 

08/08/2023

Question du 30 mars 2023 à la Commission européenne des eurodéputés Jean-Lin Lacapelle (ID), Gianantonio Da Re (ID), Eric Minardi (ID), Susanna Ceccardi (ID), Jean-François Jalkh (ID), Filip De Man (ID), Angel Dzhambazki (ECR), Andrey Slabakov (ECR), Jorge Buxadé Villalba (ECR), Guido Reil (ID), Margarita de la Pisa Carrión (ECR), Hermann Tertsch (ECR), Gunnar Beck (ID), Joachim Kuhs (ID), Catherine Griset (ID), Jean-Paul Garraud (ID) :

Usage de la langue arabe dans la communication de la Commission

Lors d’une récente intervention diffusée sur le site et les réseaux sociaux officiels de la Commission, Marion Lalisse, récemment nommée «coordinatrice de la lutte contre la haine antimusulmane», s’adresse aux «musulmans de l’Union européenne» en langue arabe.

Au vu des traités, il n’apparaît pas que l’arabe fasse partie des 24 langues officielles de l’Union. Ce n’est pas davantage la langue de l’islam, le pays musulman le plus peuplé étant l’Indonésie, dont la langue est le malais indonésien, et l’islam étant pratiqué en farsi en Iran, en ourdou au Pakistan, etc.

Ces propos s’interprètent donc en réalité comme une adresse aux minorités ethniques que sont les populations européennes originaires du Maghreb et du Proche-Orient arabophone, sous le prétexte de s’adresser à tous les musulmans sur un critère confessionnel.

Il s’agit également, au vu du caractère officiel des propos, d’une atteinte aux principes de l’Union relatifs au multilinguisme.

Par conséquent, quelles sanctions la Commission entend-elle prendre contre cette fonctionnaire?

Question n° E-001090/2023

Réponse du 7 août 2023 donnée par M. Reynders (Renew), Commissaire à la Justice, au nom de la Commission européenne :

L’attention des Honorables Parlementaires est attirée sur le fait que le mandat de la coordinatrice pour la lutte contre la haine antimusulmane se concentre sur l’UE. Les activités de communication de la coordinatrice se déroulent donc principalement dans les langues officielles de l’UE.

Le 14 mars 2023, la coordinatrice a adressé une vidéo informelle aux citoyens de l’UE en français, en allemand et en anglais. Un résumé destiné aux pays tiers a également été enregistré en arabe. La langue arabe et les dialectes arabes sont parlés par plus de 400 millions de personnes dans le monde. Les délégations de l’UE dans les pays arabophones, ainsi que dans des pays non arabophones tels que le Pakistan, l’Afghanistan, la Turquie, la Bosnie-Herzégovine et la Malaisie, ont décidé de diffuser les messages de la coordinatrice dans d’autres langues de pays tiers.

En l’espèce, la Commission n’a pas violé les principes de l’UE relatifs au multilinguisme. Rien n’indique que l’intéressée ait manqué aux obligations prévues par le statut. En outre, le personnel de l’UE qui communique avec les pays tiers, y compris le personnel des délégations et le personnel associé à la communication au niveau mondial, est naturellement autorisé à communiquer dans des langues autres que les 24 langues officielles.

Parlement européen

 

 

 

Marseille : Agressé dans la rue, un policier ouvre le feu et blesse un homme (MàJ)

08/08/23

07/08/23

Un homme a été blessé par balle en pleine rue, à Marseille, dans le 2e arrondissement, ce lundi en fin de matinée a appris Actu17, confirmant une information de BFMTV. Selon les premiers éléments, un policier a ouvert le feu alors qu’il était violemment agressé par deux hommes. L’un d’eux a été blessé par un tir mais son pronostic vital n’est pas engagé.

Les faits se sont déroulés sur le boulevard des Dames vers 11h45. Tout a débuté par une altercation entre deux hommes à bord d’un véhicule et ce policier en civil qui était à pied. “Le conducteur aurait refusé la priorité au policier qui traversait la rue”, confie une source proche de l’affaire. Le ton est vite monté et les deux hommes sont descendus de leur véhicule. Selon une source policière, le fonctionnaire aurait alors fait état de sa qualité mais la tension n’est pas redescendue.

L’agent a alors été roué de coups par les deux hommes. L’un l’aurait étranglé selon cette même source. C’est ainsi que le policier a décidé de faire usage de son arme à deux reprises, touchant l’un des agresseurs à l’épaule. Le second suspect est ensuite parvenu à se saisir de l’arme à feu et à mettre en joue la victime. Un équipage de police-secours est arrivé sur place quelques instants plus tard, mettant fin à cette scène de violences. “Le déroulement exact des faits devra être retracé par la suite des investigations”, souligne cette même source proche de l’enquête. L’homme qui a été blessé par balle a été conduit à l’hôpital, le second a été interpellé.

actu17.fr

 

 

Tours (37) : Bilal, un émeutier de nationalité italienne, condamné à 18 mois d’emprisonnement dont 9 fermes pour des dégradations commises lors des émeutes après la mort de Nahel

Plus d’un mois après les émeutes urbaines consécutives à la mort du jeune Nahel à Nanterre (Hauts-de-Seine), la police et la justice poursuivent leurs investigations. Et la traque des délinquants. À Tours, un jeune homme de 19 ans – Bilal A. -, a ainsi été condamné mercredi 2 août à 18 mois d’emprisonnement dont 9 fermes, a appris Le Figaro de sources concordantes. Jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Tours, (Indre-et-Loire), il a été incarcéré.

Le suspect, de nationalité italienne et déjà connu pour des jets de projectiles sur les forces de l’ordre lors d’une manifestation en novembre 2022, a participé à des dégradations et des vols dans le quartier de l’Europe, au nord de Tours (Indre-et-Loire), dans la nuit du 29 au 30 juin.

Cette nuit-là, un petit groupe d’individus cagoulés, dont faisait partie Bilal A., dégrade et pille la médiathèque municipale, un laboratoire d’analyses, un poste de police municipale ou encore de nombreux commerces. Quatre véhicules de particuliers sont également brûlés. «On le voit très actif sur les images de vidéosurveillance», détaille une source policière. Une photo de son visage, partiellement dissimulé, avait ensuite été diffusée.

Le jeune homme a finalement été appréhendé, mardi 1er août, par la brigade anticriminalité (BAC) lors d’un contrôle d’identité. Des analyses génétiques effectuées sur un bloc de béton ayant brisé les vitres d’un supermarché pillé ont permis de le confondre.

Le Figaro

 

 

Grenoble : deux Algériens condamnés à plusieurs mois de prison ferme pour une très violente agression

Deux ressortissants algériens âgés de 25 et 27 ans été jugés en comparution immédiate ce lundi pour une très violente agression commise dans le centre-ville de Grenoble dans la nuit de samedi à dimanche.  Ils s’en étaient pris à plusieurs personnes qui rentraient de soirée, dont une jeune femme. L’une des victimes, un homme de 60 ans, a été rouée de coups alors qu’il se trouvait au sol et a été gravement blessée, notamment au visage.

En comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Grenoble ont été placés en détention immédiatement après l’audience avec des peines de plusieurs mois de prison ferme à exécuter. Les juges les ont en effet déclarés coupables de violences volontaires, considérant, malgré leurs dénégations ou leurs trous de mémoire, qu’ils sont bien les auteurs d’une très violence agression survenue ce dimanche, peu après 2 h 30, cours Lafontaine dans le centre-ville de Grenoble.

Le Dauphiné

 

 

Montauban (82) : un migrant marocain attaque une femme enceinte qui emmenait son petit garçon de 6 ans aux urgences, il écope de 6 mois de prison avec sursis

Les faits se sont produits le 21 juin dernier, à Montauban, aux alentours de 21 heures. La victime, une maman enceinte qui conduisait son fils de 6 ans aux urgences, s’est retrouvée arrêtée à un feu rouge, la fenêtre ouverte.

C’est alors que Bilal N. surgit de nulle part, introduisant la moitié de son corps par la fenêtre ouverte du véhicule, pour subtiliser le téléphone de la conductrice. Malgré la panique de la victime et ses tentatives pour l’en empêcher, Bilal a arraché le téléphone de ses mains.

Des témoins, ayant été assisté à la scène, ont immédiatement alerté la police et ont poursuivi l’individu, le voyant se réfugier dans un immeuble. Ils ont finalement retrouvé le téléphone et l’ont empêché de s’échapper jusqu’à l’arrivée de la police.

(…) La victime a été profondément choquée, ayant eu besoin de trois jours d’arrêt de travail en raison d’un syndrome anxieux. Quant à son fils de 6 ans, il a perdu le sommeil et nécessitera probablement un suivi psychologique pour faire face aux traumatismes.

Après délibération, le tribunal a condamné Bilal N. à 6 mois de sursis simple avec une période probatoire de 5 ans.

La Dépêche

 

Note : 6 mois ferme et comme d'ab pas d'expulsion

 

 

Refus d’obtempérer à Lyon : un policier municipal traîné sur plusieurs mètres (MàJ : remis en liberté, le procès aura lieu en décembre prochain)

Lyon Refus d’obtempérer : un policier municipal traîné sur plusieurs mètres

(…) Le parquet, qui avait requis un mandat de dépôt n’a pas été suivi par le juge des libertés et de la détention qui a décidé de placer le suspect sous contrôle judiciaire.

Une annonce difficile à vivre pour le policier municipal assure Bertrand, un de ses collègues à Lyon. «Je l’ai eu plusieurs fois aujourd’hui. Il souffre d’une blessure à l’épaule. Il a appris, comme nous tous, que la personne qui l’a traîné sur plusieurs mètres a été remise en liberté. Cette annonce a peut-être été pire que la blessure elle-même pour lui», confie ce syndicaliste FO. (…)

Le Figaro


 

05/08/2023

Peu avant 23 heures, l’équipage faisait signe à un automobiliste de s’arrêter. Ce dernier a obtempéré mais a refusé d’éteindre le moteur.

Le conducteur arrêté

Subitement, il a accéléré et son véhicule a touché un des agents à l’épaule. Ce dernier a eu la main gauche coincée dans l’habitacle et a été traîné sur plusieurs mètres.

Finalement le conducteur, âgé de 42 ans, a pu être arrêté. Alcoolisé et sans permis de conduire, il a été placé en garde à vue.

www.leprogres.fr

 
 
 
 

 

 

Émeutes à Marseille : décès de Mohamed, 27 ans, il aurait reçu un tir de LBD à 01h du matin ; selon sa femme « il ne faisait pas parti des émeutes » (Màj : 5 policiers du RAID en garde à vue)

 

05/07/2023

Avocat

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Béthencourt (25) : construite dans les années 50, l’église Sainte-Thérèse a été transformée en 10 logements sociaux

Voici une transformation rarissime. L’ancienne église catholique Sainte-Thérèse de Bethoncourt, dans le Doubs (25) abrite désormais dix HLM, de 2 à 4 pièces. La configuration de l’ancienne église, avec sa nef surélevée accessible depuis un escalier extérieur de quelques marches, a dicté sa transformation.

«La grande nef à l’étage a rendu possible d’y installer cinq duplex avec balcons. La partie basse donnant sur l’extérieur est devenue un rez-de-jardin de quatre appartements avec terrasse et il restait la chapelle, qui était dimensionnée pour accueillir un 2 pièces», explique Xavier Llamas, directeur de développement territorial chez Néolia, le bailleur social qui gère le nouvel immeuble.

Parmi les occupants, le couple Benmahdi a troqué un 3-pièces chez Néolia pour un quatre pièces de 82 m2, agrémenté d’une terrasse de 50 m2. «On était bien là où on était avant, mais là on tombe dans le prestige!», a apprécié Soraya Benmahdi, malgré un loyer «plus cher, mais ça se comprend». Les loyers «se situent dans la moyenne» du bailleur, pour une «performance énergétique égale à du neuf», obtenue notamment grâce aux épais murs en pierre d’origine, a souligné Xavier Llamas. Ils grimpent jusqu’à 530 euros par mois pour les plus grands T4 de 82 m2, auxquels s’ajoutent environ 50 euros de charges.  […]

L’église avait été construite en 1953 dans la commune ouvrière de Bethoncourt, voisine de l’usine Peugeot (aujourd’hui Stellantis) de Sochaux, dans le contexte d’une arrivée importante de main-d’œuvre majoritairement catholique avant et après la Seconde Guerre mondiale. Elle a été désacralisée en 2018 et revendue par le diocèse de Belfort-Montbéliard à Néolia, après avoir perdu beaucoup de fidèles. […]

Le Figaro

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