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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 4 aout 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev se félicite d'une attaque « réussie » sur un « navire » russe...

 

L’ESSENTIEL

  • Déjà écroué pour neuf ans dans des conditions compliquées, l’opposant numéro un du Kremlin, Alexeï Navalny, attend vendredi sa nouvelle condamnation, cette fois pour « extrémisme », crime pour lequel le parquet a requis vingt ans. Depuis sa geôle, l’opposant a fermement critiqué l’invasion de l’Ukraine.
  • Volodymyr Zelensky a admis jeudi soir que la contre-offensive ukrainienne en cours était difficile. Il a cependant souhaité rassurer ses compatriotes : « quoi que fasse l’ennemi, c’est l’armée ukrainienne qui domine ».
  • Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a accusé jeudi la Russie, devant le Conseil de sécurité de l’ONU, de « chantage » sur l’accord céréalier de la mer Noire, dont elle s’est retirée en juillet, et d' « agression » sur le système alimentaire mondial.

 

LIRE AUSSI: Le monde n’est pas confronté à une crise du blé après la fin de l’accord avec l’Ukraine

 

14h40 : Selon l’AIEA, il n’y a pas d’explosifs sur les toits de la centrale nucléaire de Zaporijjia

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) « n’a observé aucune mine ou explosif » sur les toits de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, a déclaré vendredi son directeur général Rafael Grossi.

L’organisation a eu accès jeudi après-midi « sans entrave », à la suite de « demandes répétées », aux toits « des deux réacteurs et pouvait également voir clairement les toits des salles des turbines », a-t-il précisé. l’Ukraine soupçonnait les forces russes, qui occupent le site, d’y avoir placé des mines ou des explosifs.

 

13h04 : L’attaque de drones sur une base navale russe en mer Noire confirmée par les autorités ukrainiennes

L’attaque de drones ukrainiens ayant visé vendredi la base navale russe de Novorossïisk en mer Noire a « réussi » à toucher un navire de débarquement russe, a affirmé à l’AFP une source au sein des services de sécurité ukrainiens (SBU).

« L’attaque sur le navire de débarquement à Novorossïisk est réussie », a indiqué cette source, précisant que l’opération visait précisément ce bateau, l’Olenegorski Gorniak.

 

07h56 : Des pays africains demandent le dégel des exportations de céréales russes

Des dirigeants africains participants aux négociations de paix sur l'Ukraine ont demandé le déblocage des exportations de céréales et d'engrais russes afin de relancer l'ancien accord sur les exportations de céréales via la mer Noire, a plaidé Vincent Magwenya, porte-parole du président sud-africain Cyril Ramaphosa, jeudi.

Le mois dernier, la Russie s'est retirée d'un accord conclu sous l'égide de l'ONU qui autorisait l'Ukraine à exporter des céréales via la mer Noire, ce qui a entraîné une flambée des prix des céréales qui a durement touché les pays les plus pauvres.

Moscou exige des garanties sur un autre accord concernant ses propres exportations, en particulier d'engrais. L'appel à satisfaire certaines des demandes du Kremlin a été lancé par Cyril Ramaphosa et six autres chefs d'État, dont Abdel Fattah al-Sisi (Egypte) et Macky Sall (Sénégal), à l'issue d'entretiens avec Vladimir Poutine à Saint-Pétersbourg la semaine dernière, a indiqué Vincent Magwenya.

 

07h26 : Sergueï Choïgou se rend près du front en Ukraine

Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou, s’est récemment rendu en Ukraine pour inspecter un poste de commandement et s’entretenir avec de hauts responsables militaires, a indiqué vendredi l’armée russe dans un communiqué, sans préciser quand ce déplacement a eu lieu.

Sergueï Choïgou a reçu un rapport sur la situation actuelle sur le front et « a remercié les commandants et les militaires (…) pour des actions offensives réussies » dans la zone de Lyman, dans l’est de l’Ukraine, a déclaré l’armée russe.

 

HIER

21h05 : Les combats sont « durs » mais l’Ukraine « domine » selon Zelensky

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a admis jeudi soir que sa contre-offensive était difficile mais assuré que ses troupes dominaient les forces russes.

« Les occupants tentent de toutes leurs forces d’arrêter nos gars. Les combats sont très violents », a-t-il reconnu, assurant néanmoins que « quoi que fasse l’ennemi, c’est l’armée ukrainienne qui domine ».

 

15h55 : La Pologne renforce sa frontière orientale face au risque de « provocations » russes et biélorusses

La Pologne a dénoncé jeudi le risque accru de « provocations » russes et biélorusses à sa frontière orientale et annoncé un renforcement de ses capacités de surveillance dans cette zone. Ces déclarations interviennent deux jours après la violation de l’espace aérien polonais, et donc de celui de l’Otan, par deux hélicoptères biélorusses.

« La Russie et le Biélorussie font monter la pression à la frontière, intensifient le nombre de leurs provocations et nous devons avoir conscience (du fait) que leur nombre va encore augmenter », a dit à la presse le Premier ministre Mateusz Morawiecki.

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine : Un navire russe aurait partiellement coulé après l'attaque de drones maritimes ukrainiens sur la base navale de Novorossiisk

 

  • Un drone naval ukrainien serait entré en collision avec le navire russe Olenegorski Gorniak.
    Un drone naval ukrainien serait entré en collision avec le navire russe Olenegorski Gorniak. - Capture d'écran Twitter

L'armée ukrainienne a endommagé ce vendredi un navire russe au cours d'une attaque de drones dans la base navale de Novorossiisk, sur la rive orientale de la mer Noire, a déclaré une source ukrainienne du renseignement, une information que Moscou n'a pas commentée.

"À la suite de l'attaque, le (navire russe) Olenegorski Gorniak a subi de sérieuses brèches et ne peut plus mener de missions de combat", a dit la source ukrainienne à Reuters.

Cela corrobore en partie les déclarations du ministère russe de la Défense, qui a déclaré dans un communiqué que la base de Novorossiisk avait été attaquée par deux drones maritimes, en affirmant toutefois qu'ils avaient été neutralisés.

Une source au fait de la situation a indiqué qu'un gros navire russe avait dû être remorqué à terre après avoir été endommagé, sans préciser le nom du bateau.

Andreï Kravtchenko, un responsable de la ville de Novorossiisk, a indiqué sur Telegram que le navire russe Olenegorski Gorniak avait été l'un des premiers à "réagir instantanément" à l'attaque ukrainienne.

Le média ukrainien Ukraïnska Pravda a posté sur X (Twitter, voir ci-dessous) une vidéo de la collision supposée entre le drone naval et l’Olenegorski Gorniak qui aurait été fournie par les services de sécurité.

L'attaque a aussi contraint le port civil, l'un des plus importants en mer Noire qui gère 2% de l'approvisionnement mondial en pétrole et d'où partent des exportations de céréales, à mettre en pause ses opérations avant de reprendre son activité, selon le Caspian Pipeline Consortium qui y exploite un terminal pétrolier.

Plus tôt dans la matinée, les réseaux sociaux s'étaient fait l'écho d'explosions et de tirs près du port qui contrôle notamment l'accès au détroit de Kertch, entre la Russie continentale et la Crimée.

Reuters n'a pas été en mesure de vérifier ces informations de manière indépendante.

Depuis que Moscou a refusé le mois dernier de prolonger l'accord sur les exportations de céréales en mer Noire, les affrontements dans la zone se sont intensifiés. Des drones et missiles russes ont ciblé plusieurs infrastructures portuaires ukrainiennes.

Source

 

Note, : en représailles, la Russie pourrait bien couler tous les navires marchant céréaliers de l'Ukraine

 

 

Le Kremlin publie sa déclaration commune avec sept chefs d'État africains sur la crise en Ukraine

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 4 aout 2023

Faisant suite à la présidence sud-africaine, le Kremlin a diffusé ce 4 août son rapport sur les résultats des entretiens entre sept chefs d’État africains et Vladimir Poutine. Ceux-ci se sont déroulés à Saint-Pétersbourg lors du sommet Russie-Afrique et sont consacrés à la paix en Ukraine. Voici la version intégrale du texte publié.

Le 28 juillet 2023 à Saint-Pétersbourg, le Président russe, Vladimir Poutine, et les dirigeants des sept pays représentant l'initiative de paix africaine ont poursuivi les discussions sur celle-ci, entamées le 17 juin 2023.

Les dirigeants africains présents à la réunion du 28 juillet étaient: les Présidents Azali Assoumani (Comores, Président en exercice de l'Union Africaine), Cyril Ramaphosa (Afrique du Sud); Denis Sassou Nguesso (République du Congo), Abdel Fattah al-Sissi (Égypte), Macky Sall (Sénégal), Yoweri Museveni (Ouganda) et le ministre des Affaires étrangères de Zambie, Stanley Kakubo.

Les dirigeants ont constaté les progrès accomplis en ce qui concerne les propositions entamées lors de la première rencontre du 17 juin 2023 sur les questions humanitaires, en particulier celles relatives aux droits des enfants dans les zones d'hostilités et aux échanges de prisonniers entre la Russie et l'Ukraine. Ils ont convenu que les efforts humanitaires continueront à produire de nouveaux résultats.

Les dirigeants ont appelé à prendre des mesures concrètes pour lever les obstacles aux exportations de céréales et d'engrais russes, ce qui permettra de reprendre la mise en œuvre intégrale de l'initiative de la mer Noire du Secrétaire général des Nations unies, approuvée le 22 juillet 2022 à Istanbul.

Les leaders ont également invité les Nations unies à œuvrer pour débloquer les 200.000 tonnes d'engrais russes se trouvant immobilisés dans des ports maritimes de l'Union européenne, pour permettre de les livrer immédiatement et gratuitement aux pays africains.

Ils ont convenu de poursuivre le dialogue sur l'initiative de paix africaine afin d'ouvrir la voie à la paix.

Source

 

 

 

L'Ukraine perd plus de 43 000 soldats depuis le début de la contre-offensive - Ministère russe de la Défense

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 4 aout 2023

L'Ukraine a lancé sa contre-offensive tant vantée début juin. Le président ukrainien Zelensky a admis que les progrès étaient « plus lents que souhaités ». Le ministère russe de la Défense a déclaré que les troupes ukrainiennes avaient tenté – mais en vain – d'avancer dans les secteurs de Donetsk Sud, d'Artemovsk (Bakhmut) et de Zaporozhye.

"Depuis le début de la soi-disant "offensive ", les forces armées ukrainiennes ont perdu plus de 43 000 soldats en juin-juillet. Ce nombre n'inclut pas les blessés, qui ont été évacués vers des hôpitaux en Ukraine et à l'étranger, les mercenaires étrangers ainsi que les soldats qui ont été neutralisés lors de frappes à longue portée et de haute précision dans les zones arrière », a déclaré le ministère.

Kiev a également perdu 76 systèmes d'artillerie M777 de fabrication américaine , 84 systèmes d'artillerie automoteurs de pays occidentaux au cours des deux mois de son opération de contre-offensive, a-t-il ajouté.

Pas moins de 4 900 unités de différents équipements militaires ont été détruites sur la ligne de contact depuis le début de la contre-offensive ukrainienne, dont 1 800 chars et véhicules blindés de combat , a également indiqué le ministère.

Les forces russes ont repoussé 8 attaques ukrainiennes, mené une contre-attaque et pris des positions plus avantageuses près de la direction de Donetsk, a indiqué le ministère.

Le régime de Kiev a perdu plus de 1.800 chars et véhicules blindés de combat sur la ligne de front, dont 25 Léopards lors de sa contre-offensive , a souligné le ministère.

"Les pertes totales de l'ennemi dans cette direction se sont élevées à 185 militaires ukrainiens, deux véhicules de combat blindés, deux camionnettes, quatre voitures, une Krab de fabrication polonaise monture d'artillerie automotrice et un obusier D-20", a déclaré le ministère. dans un communiqué, ajoutant que les forces russes avaient pris de meilleures positions suite à une contre-attaque.

Le ministère a indiqué que l'armée ukrainienne continuait de tenter d'attaquer en direction de Donetsk, du sud de Donetsk, de Kupyansk et de Krasny Liman. Selon la partie russe, l'Ukraine a perdu 130 soldats en direction de Zaporozhye, 120 soldats en direction du sud de Donetsk et 70 soldats en direction de Krasny Liman au cours des dernières 24 heures.

"Dans la direction de Kupyansk, les détachements d'assaut du groupement de forces occidentale [russe] poursuivent leurs opérations offensives sur un large front et ont pris des positions plus avantageuses dans les zones des colonies d'Olshana, Petropavlovka et Tokarovka dans la région de Kharkov", a déclaré le ministère. a dit.

Spoutnik

 

 

 

Coup d'Etat au Niger : la junte révoque des accords de coopération militaire avec la France qui "prend note"

 

La France a "pris note" vendredi 4 août de la décision de la junte au pouvoir au Niger de révoquer différents accords de coopération militaire avec la France, une décision à même de redessiner complètement les contours de la lutte contre les groupes insurgés dans la région du Sahel.

Un décret annonçant la fin de différents accords militaires avec Paris a été lu à la télévision publique jeudi soir par Amadou Abdramane, un représentant de la junte nigérienne. En réaction, Paris a appelé de nouveau "au rétablissement des institutions démocratiques au Niger", les seules "autorités nigériennes légitimes" reconnues par la France. "La France rappelle que le cadre juridique de sa coopération avec le Niger en matière de défense repose sur des accords qui ont été conclus avec les autorités nigériennes légitimes", indique le Quai d'Orsay.

Comme au Mali et au Burkina Faso, deux pays voisins théâtres d'un putsch au cours des deux dernières années, le coup d'Etat mené par l'armée nigérienne pour déposséder le président démocratiquement élu Mohamed Bazoum du pouvoir est intervenue sur fond de ressentiment à l'égard de la France, ancienne puissance coloniale accusée par certains locaux d'interférer dans les affaires du pays. La France compte entre 1000 et 1500 soldats stationnés au Niger afin de contribuer à la lutte contre les groupes insurgés liés à Al Qaïda et au groupe Etat islamique qui mènent des attaques à travers le Sahel, en Afrique de l'Ouest.

 

La France a rappelé dans la journée, par la voix de la ministre des Affaires étrangères, qu'elle restait attachée au rétablissement de la démocratie au Niger. Catherine Colonna a ajouté sur le réseau social X, anciennement Twitter, à l'issue d'un entretien avec son homologue américain Antony Blinken, que Paris soutenait le président démocratiquement élu, Mohamed Bazoum. À l'instar de partenaires régionaux et occidentaux du Niger, la France a pris des sanctions contre Niamey à la suite du coup d'Etat militaire, avec l'objectif de contraindre la junte à rétablir l'ordre démocratique. Mais le chef de la junte, Abdourahamane Tiani, qui était à la tête de la garde présidentielle de Mohamed Bazoum, a assuré qu'il ne céderait pas aux pressions.

 

Signe supplémentaire de la défiance locale à l'égard de la France, les autorités nigériennes ont suspendu plus tôt dans la journée la diffusion de France 24 et de Radio France Internationale (RFI) dans le pays, une décision condamnée par le Quai d'Orsay. La situation rappelle celle au Mali et au Burkina Faso à l'issue des coups d'Etat, les deux pays ayant ordonné le départ des troupes françaises, depuis lors déployées pour la plupart au Niger.

Source

 

 

 

États-Unis : Donald Trump plaide non coupable de complot contre les institutions américaines après l'élection de 2020 et dénonce une persécution

Vers une guerre de religion, infos du 4 aout 2023

"Non coupable", a dit l'ancien locataire républicain de la Maison blanche, insistant sur le premier mot, à la juge Moxila Upadhyaya, alors que le procureur spécial Jack Smith, qui supervise l'enquête fédérale sur les émeutes sanglantes du 6 janvier 2021 au Capitole de Washington, se trouvait au premier rang dans la salle.

L'audience, qui a duré environ une demi-heure, s'est déroulée dans un tribunal se trouvant à un kilomètre à peine du Capitole, où des partisans de Donald Trump ont mené un assaut dans le but d'empêcher le Congrès de certifier la victoire électorale de Joe Biden.

Aux yeux des procureurs, Donald Trump a mené des efforts sans précédent pour nuire aux piliers de la démocratie américaine. L'ancien président est accusé de complot visant à commettre une fraude au détriment des Etats-Unis, de subornation de témoins, de conspiration contre les droits des citoyens et de complot pour faire obstruction à une procédure officielle.

Le plus important chef d'inculpation est passible d'une peine allant jusqu'à 20 ans d'emprisonnement.

C'est la troisième fois depuis avril dernier que Donald Trump, 77 ans, se présente devant la justice et plaide non coupable d'accusations le visant, à quinze mois de l'élection présidentielle de 2024 pour laquelle il est candidat et fait figure de favori pour l'investiture du Parti républicain.

Il répète que les procédures judiciaires à son encontre sont une "chasse aux sorcières" destinée à l'empêcher de revenir à la Maison blanche.

"JOUR TRÈS TRISTE POUR L'AMÉRIQUE"

"C'est un jour très triste pour l'Amérique", a-t-il déclaré devant des journalistes à l'issue de l'audience, avant de prendre place à bord de l'avion privé devant le ramener à sa demeure de Bedminster, dans le New Jersey.

"C'est une persécution d'un opposant politique", a ajouté Donald Trump, premier président de l'histoire du pays à avoir été inculpé au pénal.

Il fut aussi le premier locataire de la Maison blanche à être visé par deux procédures de destitution ("impeachment"), dont une en 2019 pour avoir fait pression sur l'Ukraine pour qu'elle mène une enquête contre Joe Biden, alors son rival annoncé pour l'élection présidentielle de 2020.

Dans l'acte d'inculpation de 45 pages dévoilé mardi, Jack Smith accuse notamment Donald Trump et des alliés d'avoir promu de fausses accusations selon lesquelles le scrutin de 2020 était truqué, et d'avoir fait pression sur des représentants locaux et fédéraux pour qu'ils modifient les résultats électoraux.

Il est attendu que la date du procès soit fixée lors d'une audience programmée le 28 août, pour laquelle la présence de Donald Trump ne sera pas requise, a indiqué la juge Moxila Upadhyaya.

L'avocat de Donald Trump, John Lauro, a déposé une objection, estimant que l'ampleur de l'affaire et la quantité des documents concernés nécessitaient beaucoup de temps.

Donald Trump est reparti du tribunal sans restrictions sur ses déplacements. Comme conditions, il lui a notamment été ordonné de ne pas discuter de l'affaire avec un quelconque témoin, à moins que les avocats ne soient présents.

TOUJOURS GRAND FAVORI POUR L'INVESTITURE RÉPUBLICAINE

Plus tôt cette année, l'ancien président républicain a notamment plaidé non coupable d'accusations fédérales selon lesquelles il a conservé illicitement des documents confidentiels après son départ de la Maison blanche.

Il pourrait bientôt être inculpé aussi en Géorgie, où le parquet boucle une enquête sur les efforts présumés de Trump pour faire inverser le résultat du vote de 2020 dans l'Etat.

Les soucis judiciaires de Donald Trump semblent avoir peu affecté son statut de favori dans la course à l'investiture républicaine pour l'élection présidentielle de 2024.

Un sondage Reuters/Ipsos réalisé mardi, après sa nouvelle inculpation, montre que 47% des électeurs du Parti républicain ont déclaré qu'ils voteraient pour Donald Trump l'an prochain, loin devant les intentions de vote dont est crédité son premier rival, le gouverneur de Floride Ron DeSantis.

Trois-quarts des sondés ont dit être d'accord avec le fait que les accusations relèvent de motivations politiques, indiquant que le discours victimaire de Donald Trump résonne auprès de sa base électorale.

Cependant, la même enquête d'opinion montre que la moitié des électeurs républicains entendent ne pas soutenir Donald Trump pour l'élection présidentielle s'il venait à être reconnu coupable d'un crime.

Dans les rangs des républicains, les principaux politiciens - dont plusieurs candidats à l'investiture du parti l'an prochain - défendent Donald Trump ou se refusent de le critiquer réellement, choisissant plutôt d'accuser l'administration Biden de se servir du département de la Justice contre un opposant.

Joe Biden a refusé de commenter l'inculpation de Donald Trump.

Plus de 1.000 personnes ont été inculpées pour leur implication dans l'assaut contre le Capitole, dont des membres de groupes d'extrême droite qui ont été condamnés pour complot séditieux.

Les incidents sont survenus peu après que Donald Trump a exhorté dans un discours ses partisans à "se battre comme des diables" pour "empêcher le vol" de l'élection présidentielle.

Source

 

 

 

Fêtes de Bayonne : Un homme, âgé de 46 ans, avait demandé à un groupe de passants d’arrêter d’uriner devant son domicile. Ces derniers l’ont alors roué de coups. Il est mort de ses blessures ce jeudi (MàJ)


02/08/2023

Trois hommes ont été pris le premier soir des Fêtes de Bayonne avec 95 téléphones volés au total. Ils écopent de trois mois de prison, ce lundi 31 juillet. La géolocalisation a permis de retrouver deux d’entre eux

Ils portent encore le t-shirt blanc des festayres. Ne manque que le foulard rouge. Trois hommes ont été condamnés à trois mois de prison ferme pour le recel de nombreux téléphones portables, volés lors des Fêtes de Bayonne, ce lundi 31 juillet. Trois affaires distinctes, aux nombreux points communs. Ces deux Roumains et ce Sénégalais débarquent mercredi, au soir de l’ouverture. « Pour profiter des festivités ou des opportunités ? », interroge la présidente, Florence Bouvier. Par appât du gain.

[…]

Sud-Ouest

 

Notre ;  encore un Français qui meurt cause de l'immigration ! !

 

 

En 30 sec chrono, Sabrina Agresti-Roubache (gouvernement) dénonce “le raccourci terrible entre immigration et émeutiers” puis parle “d’intégration”

 

Suite : Sabrina Agresti-Roubache: “Le raccourci entre l’immigration et les émeutiers est faux, il y a un travail à faire sur l’intégration” – (…) la secrétaire d’État chargée de la Ville, était en direct dans le Live BFM.

BFMTV

 

Note:  si vous écoutez bien, les macronistes ont exactement le même discours que leur gourou (90% des émeutiers sont bien français - il n'a pas de rapport avec l'immigration)

 

 

Émeutes : la prochaine fois, «je regarderai faire», à Marseille la lassitude des policiers

À Marseille, le policier placé en détention provisoire pourra-t-il sortir de prison ? La décision de la cour d’appel d’Aix-en-Provence devrait être donnée ce jeudi. Depuis sa mise en examen, plus de 800 policiers se sont mis en arrêt de travail, en signe de soutien. Pierre* est l’un d’entre eux. Les traits tirés, le brigadier-chef tente de se reposer, de s’aérer l’esprit, mais en vain. En arrêt de travail depuis plusieurs jours, il a du mal à digérer l’incarcération provisoire de son collègue.

“Les prochaines émeutes, je peux vous garantir que soit je n’irai pas, soit j’irai mais je regarderai faire. Le lundi on nous parlait de félicitations, de primes car nous avions bossé sans compter nos heures. Et le mardi on a eu une convocation de l’IGPN. Ça devient de plus en plus compliqué”, confie le policier.

www.europe1.fr

 

 

Hedi, Jalil, Mohamed, Abdelkarim…… 31 enquêtes ouvertes par l’IGPN suite aux émeutes

Hedi, Jalil, Mohamed, Abdelkarim...... 31 enquêtes ouvertes par l'IGPN suite aux émeutes

Ce jeudi, la justice se penche sur la détention provisoire d’un policier, soupçonné avec trois collègues d’avoir gravement blessé un jeune homme lors des émeutes à Marseille, un dossier inflammable qui a suscité une fronde dans certains commissariats et une polémique politique.

www.lavoixdunord.fr

 

 

Près de 550 000 migrants ont le statut de réfugiés, 29 % des demandes d’asile reçoivent une réponse positive

La France a passé la barre du demi-million de réfugiés, selon le rapport 2022 de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides. « La population sous protection de l’Ofpra est ainsi estimée au 31 décembre 2022 à 547 102 personnes », selon cet organisme. Les réfugiés afghans sont en tête des demandes, suivis de ceux en provenance du Bangladesh, de Turquie et de Géorgie.

L’Office français de protection des réfugiés et apatrides a publié son rapport d’activité 2022, lundi 3 juillet 2023. Un document de près de 150 pages qui présente « l’état de la demande d’asile en France en 2022 ». Voici ce qu’il faut retenir de ce rapport. Sur 131 254 demandes formulées en 2022, en hausse de 27 % sur un an, quasiment au niveau de 2019 (année pré-Covid), 56 000 demandes d’asile ont été acceptées, soit 42 %.

Ces réfugiés « ont été nouvellement placées sous la protection » de la France, que ce soit après une décision en première instance de l’Ofpra ou en appel auprès de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA), précise l’AFP.

Pour la cinquième année consécutive, ce sont les ressortissants afghans qui ont le plus sollicité l’asile en France. Ils représentent 17 000 des 131 000 demandes déposées, une tendance qui s’est encore accentuée depuis le retour au pouvoir à l’été 2021 des talibans (+37 % entre 2021 et 2022).

Suivent les réfugiés du Bangladesh, de Turquie et de Géorgie, qui représentent chacun 7 % du total des demandes. Les demandes d’asile en provenance de Russie ont bondi de 75 % (avec 2 617 demandes), conséquence du conflit en Ukraine, dont les ressortissants bénéficient eux d’une « protection temporaire » .

Leur part diminue légèrement mais les hommes restent majoritaires. Les primo-demandeurs de protection internationale sont de sexe masculin à 63,9 %. Les majeurs représentent 74,1 % du total des primo-demandeurs, selon l’Ofpra, qui n’a recensé que 980 demandes d’asile de mineurs non accompagnés. Quasiment un demandeur sur deux est célibataire.

Au moment où le gouvernement planche sur un nouveau projet de loi immigration, dont l’un des objectifs principaux est la réduction des délais de traitement des demandes d’asile afin d’expulser plus rapidement les déboutés, l’Ofpra s’enorgueillit d’un délai de décision quasiment divisé par deux en un an : 159 jours (cinq mois) en 2022, 261 jours en 2021.

L’organisme, dont trois décisions sur dix sont positives (29 %, +3 points comparé à 2021), a « non seulement absorbé le flux annuel de demandes, mais aussi poursuivi la résorption du stock », se félicite Jean-François Monteils, président du conseil d’administration de l’office, dans le rapport.

Ouest France

 

 

La BBC se demande pourquoi l’Afrique du Sud s’écroule depuis les années 2000. Épisode 1: les longues coupures d’électricité incessantes dues à la corruption, au manque de maintenance et à la perte de compétences

L’Afrique du Sud disposait autrefois de l’électricité la plus abondante et la moins chère du continent. Aujourd’hui, elle connaît des coupures de courant. C’est ce qu’on appelle le délestage, processus par lequel la compagnie d’électricité Eskom réduit occasionnellement la demande d’électricité sur le réseau national.

Pour de nombreux Sud-Africains, cela signifie qu’ils sont privés d’électricité jusqu’à dix heures par jour, presque tous les jours. Il en résulte des perturbations dans la vie quotidienne, qui ont un impact sur le travail, l’éducation, l’hygiène, l’alimentation et le chauffage.

En 1994, le parti de Nelson Mandela, le Congrès national africain, a promis une vie meilleure pour tous les Sud-Africains. Alors pourquoi les infrastructures sud-africaines s’effondrent-elles ?

BBC (podcast en anglais de 23 minutes non partageable ici)

 

 

Suède : émeutes et affrontements à l’occasion d’un festival érythréen à Stockholm ; 52 blessés, dont 8 graves

 

Des affrontements entre partisans et opposants du gouvernement érythréen ont eu lieu jeudi dans la banlieue de Stockholm et ont fait 52 blessés à l’occasion d’un festival organisé par des partisans du gouvernement érythréen, a indiqué la police suédoise.

«Un autre rassemblement a eu lieu à proximité du site du festival, au cours duquel une violente émeute a éclaté», a déclaré la police dans un communiqué, ajoutant qu’une centaine de personnes avaient été arrêtées.

Des «actes criminels»

Au moins 52 personnes ont été blessées, dont huit «sérieusement» et ont été soignées par des médecins, soit sur place soit dans des cliniques et hôpitaux locaux, a ajouté la police. «C’est une opération importante et complexe. De nombreuses personnes sont encore sur place et le nombre total des blessés n’est pas encore établi», a indiqué Patrik Soderberg, médecin-chef pour la région de Stockholm. La police a ajouté qu’elle se trouvait sur les lieux dans une banlieue au nord-ouest de Stockholm et qu’elle «poursuivait ses efforts pour mettre fin aux actes criminels et rétablir l’ordre».

(…) Le Figaro

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K
N'oubliez pas... tout se fera en août.
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3
2025, d'après vos dires