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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 29 aout 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Vladimir Poutine ne prévoit pas de se rendre aux funérailles de Prigojine…

 

 

L’ESSENTIEL

  • Le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiy Reznikov, a rejeté lundi de nouvelles accusations de corruption concernant les fournitures de l’armée, des médias ayant dénoncé des achats d’uniformes à des prix gonflés, en pleine invasion russe.
  • Les services de sécurité russes (FSB) ont annoncé lundi avoir inculpé un citoyen russe, un ancien employé de la diplomatie américaine en Russie, arrêté en début d’année et accusé d’avoir transmis aux Etats-Unis des informations sur le conflit en Ukraine.
  • Les attaques de drones contre le territoire russe et la péninsule de Crimée annexée en 2014 sont devenues quasi quotidiennes ces dernières semaines, prenant notamment pour cible Moscou, sur fond d’une contre-offensive de Kiev entamée début juin.

 

 

14h35 : Le pape exalte l’héritage de « la grande Russie », Kiev s’indigne

Le Vatican a cherché mardi à désamorcer une brouille avec l’Ukraine après des déclarations du pape François ayant exalté l’héritage de « la grande Russie » impériale dans une adresse à de jeunes catholiques russes.

« Vous êtes les enfants de la grande Russie, des grands saints, des rois, de Pierre le Grand, de Catherine II, d’un peuple russe de grande culture et de grande humanité », a déclaré le pape par visioconférence à un groupe de jeunes croyants rassemblés dans une église de Saint-Pétersbourg. « N’oubliez jamais ce grand héritage. Vous êtes les héritiers de la grande mère Russie, allez de l’avant avec cela », a-t-il dit selon cette vidéo diffusée en ligne.

Le porte-parole du ministère ukrainien des affaires étrangères, Oleg Nikolenko, a jugé le langage du pape « très malheureux ». « C’est avec ce genre de propagande impérialiste, à l’appui de "piliers spirituels" et au nom de la "nécessité" de sauver la "grande mère Russie", que le Kremlin justifie le meurtre de milliers d’Ukrainiens et la destruction de centaines de villes et de villages ukrainiens », a-t-il réagi lundi en fin de journée.

Il est « très regrettable », a-t-il ajouté, « que les idées russes de grande puissance, qui sont en fait la cause de l’agressivité chronique de la Russie, sortent consciemment ou inconsciemment de la bouche du pape, dont la mission, selon nous, est précisément d’ouvrir les yeux de la jeunesse russe sur la trajectoire destructrice des dirigeants russes au pouvoir ».

Le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni, a assuré mardi que les remarques « spontanées » du souverain pontife visaient à « encourager les jeunes à préserver et à promouvoir ce qu’il y a de positif dans le grand patrimoine culturel et spirituel de la Russie ». Les commentaires n’étaient « certainement pas [destinés] à glorifier les logiques impériales » passées ou présentes de l’Histoire russe, a-t-il souligné.

 

12h53 : Vladimir Poutine ne prévoit pas de se rendre aux funérailles de Prigojine

Le président russe « ne prévoit pas » de se rendre aux funérailles d’Evguéni Prigojine, qu’il considérait comme un traître depuis sa tentative de rébellion avortée en juin, a annoncé le Kremlin mardi.

« La présence du président n’est pas prévue, nous n’avons pas d’informations spécifiques sur les funérailles », a déclaré à la presse le porte-parole Dmitri Peskov. « La décision à ce sujet est prise par la famille et les proches, nous ne pouvons rien dire ici sans eux », a-t-il fait valoir, alors qu’aucune annonce sur la date et le lieu des funérailles n’a été faite.

 

12h12 : Un suspect arrêté en Allemagne pour le commerce de composants de drones militaires avec la Russie

Un suspect germano-russe a été arrêté en Allemagne pour le commerce avec la Russie de composants électroniques utilisés par l’armée, notamment pour des drones actuellement déployés par Moscou en Ukraine.

Connu sous le nom de Waldemar W., le suspect aurait exporté à 26 reprises, des composants à une entreprise russe qui fabrique du matériel militaire, dont le drone « Orlan 10 », indique le parquet fédéral allemand dans un communiqué.

 

09h39 : L’Ukraine affirme avancer sur le front sud près de Robotyne

Les troupes ukrainiennes se sont enfoncées plus profondément dans les lignes de défense russes près de Robotyne, un village du front sud qu’elles revendiquent avoir repris lundi, a affirmé mardi un porte-parole de l’armée ukrainienne.

« Les forces ukrainiennes ont enregistré des succès en direction de Novodanylivka et de Verbove », deux localités situées dans la région de Zaporijia, a indiqué Andriï Kovaliov sur un média d’Etat, ajoutant que les troupes tenaient le territoire capturé et attaquaient l’artillerie russe.

 

06h50 : Le ministre ukrainien de la Défense rejette de nouvelles accusations de corruption

Le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiy Reznikov, a rejeté lundi de nouvelles accusations de corruption concernant les fournitures de l’armée, des médias ayant dénoncé des achats d’uniformes à des prix gonflés, en pleine invasion russe.

Selon une enquête de plusieurs médias ukrainiens, le ministère de la Défense a signé à l’automne 2022 un contrat avec une entreprise turque pour la fourniture d’uniformes d’hiver, dont le prix a triplé après la signature. Des journalistes ukrainiens ont également déterminé que des uniformes d’hiver pouvaient être achetés en Turquie à des prix bien inférieurs à ceux payés par le ministère à cette entreprise turque, dont l’un des propriétaires est, selon eux, Oleksandre Kassaï, un neveu de Gennadi Kassaï, membre du parti du président Volodymyr Zelensky.

Le ministre de la Défense Oleksiy Reznikov a dénoncé lundi de fausses accusations, assurant que les prix facturés correspondaient à ce qui était offert par les fabricants en Turquie.

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine : le pape François accusé de glorifier l'impérialisme russe, le Vatican répond à la polémique

 

  • Lors de son discours, le pape François a également souhaité que les jeunes Russes deviennent des "artisans de paix" malgré les tensions actuelles.
    Lors de son discours, le pape François a également souhaité que les jeunes Russes deviennent des "artisans de paix" malgré les tensions actuelles. Spaziani (archive) - Stefano Spaziani

Kyiv a critiqué des remarques lancées par le pape lors d'un discours à Saint-Pétersbourg, les qualifiant de "profondément regrettables", tandis que le Kremlin les a jugées "très gratifiantes", saluant l'intérêt du pape pour l'histoire russe.

Le pape François n'avait pas l'intention de glorifier l'impérialisme russe lorsqu'il a fait l'éloge des tsars qui ont étendu l'empire russe, a déclaré le Vatican mardi, après des critiques de l'Ukraine.

Lors d'un discours à Saint-Pétersbourg devant des jeunes catholiques, le pape a encouragé les jeunes Russes à se rappeler de leur histoire et d'être les héritiers d'anciens tsars, tels que Pierre Ier et Catherine II.

Ces figures historiques ont étendu l'empire russe aux XVIIe et XVIIIe siècles, incluant une partie de l'Ukraine. Le président russe Vladimir Poutine a invoqué cette période pour justifier l'annexion de l'Ukraine.

"Le pape souhaitait encourager les jeunes à préserver et à promouvoir tout ce qui est positif dans le patrimoine culturel et spirituel russe, certainement pas à exalter la logique impérialiste et les personnalités gouvernementales, (qu'il a) mentionnées pour indiquer certaines périodes historiques", a déclaré le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni, dans un communiqué.

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov a salué le pape pour sa connaissance de l'histoire russe et a noté que les racines du peuple russe étaient profondes et que l'héritage russe était bien plus ancien que les deux personnalités mentionnées.

Lors de son discours, le pape François a souhaité que les jeunes Russes deviennent des "artisans de paix" malgré les tensions actuelles. Il les a encouragés à semer des "graines de réconciliation" qui "fleuriront lors d'un prochain printemps."

Source

 

 

 

L’UE envisagerait de déployer une nouvelle mission militaire en Afrique

 
 
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par Infos d’Alahed

L’Union européenne prévoit de déployer une nouvelle mission militaire en Afrique de l’Ouest, rapporte le journal allemand Welt am Sonntag.

D’après la source, le signal de départ pour le Ghana, le Togo, le Bénin et la Côte d’Ivoire devrait être donné dès l’automne.

Le nombre de militaires européens qui seront envoyés dans les pays concernés n’est pas encore connu.

Outre la préparation d’opérations antiterroristes, il est également prévu de renforcer les forces de sécurité locales et leur soutien technique, selon le média.

L’UE a pris cette décision par crainte du renforcement des positions des groupes terroristes en Afrique de l’Ouest et au Sahel, relate le journal.

Les gouvernements du Bénin et du Ghana auraient déjà envoyé des invitations officielles à l’UE.

L’Occident déstabilise le continent africain

Quoi qu’il en soit, l’Occident favorise la «mal gouvernance» en Afrique, a récemment déclaré auprès de l’agence russe Sputnik le panafricaniste burkinabé Abdoulaye Nabaloum.

Selon lui, les événements au Niger montrent «la volonté des populations de ne plus vouloir l’assistance des Occidentaux».

Les effets secondaires de la présence prolongée militaire ont été également pointés par l’ex-président français Nicolas Sarkozy : «Aussi bonnes et généreuses soient nos intentions, toute mission qui s’éternise finit par nous faire apparaître […] comme une force d’occupation», a-t-il dit dans une interview au journal français Le Figaro.

source : Infos d’Alahed

 

 

 

BRICS : Un nouveau monde étonnant

 

L’élargissement de la zone des BRICS a laissé de nombreux analystes perplexes. Et a plongé les hommes politiques et les opérateurs économiques dans une sorte d’état de confusion. La démonstration – s’il en était besoin – du vieil adage selon lequel les dieux aveuglent ceux qu’ils veulent perdre. Car ce qui se passe était évident et implicite dans l’évolution des choses. Mais, dans ce qu’il est convenu d’appeler l’Occident, nous avons continué à jouer avec l’idée que les BRICS n’étaient qu’un acronyme sans substance. Et que les désaccords entre les membres historiques ne déboucheraient sur rien de concret lors du sommet sud-africain.

Et au lieu de cela ?

Et bien, au lieu de cela, ce sommet a changé la carte du monde.

Essayez de la regarder.

Avec l’entrée de l’Égypte, les BRICS contrôlent effectivement Suez. Avec l’entrée de l’Éthiopie dans le club, ils dominent le détroit de Djibouti et les pays bordant la mer Rouge.

Avec l’Arabie saoudite, ils contrôlent non seulement la mer Rouge, mais aussi l’accès au golfe Persique. Une coopération jusqu’alors impensable avec l’Iran. Et les Émirats arabes contrôlent Ormuz et le passage entre le golfe Persique et l’océan Indien.

Un Océan qui est occupé par le colosse Inde. Et le long duquel court la route de la soie maritime, qui part de la mer de Chine méridionale.

Si, comme cela semble très probable, l’Indonésie devait bientôt rejoindre les BRICS, les étendues maritimes de la Chine à la Méditerranée deviendraient une sorte de mer intérieure «bricsienne». Totalement contrôlée par le nouveau géant multinational.

Il ne s’agit pas seulement d’échanges et de commerce. Il s’agit d’une révolution radicale de l’échiquier géopolitique. Ce qui ne fait pas dormir Washington et, peut-être surtout, le Pentagone sur leurs deux oreilles. Ce n’est pas un hasard si l’US Navy concentre depuis des années l’essentiel de ses forces dans l’océan Indien. Et que les secrétaires d’État des derniers présidents, de Rice à Clinton, se sont efforcés de resserrer une «ceinture de retenue» autour de la Chine. En misant sur une alliance avec l’Inde, les Saoudiens, l’Indonésie.

Un projet stratégiquement fondamental, contrarié en un jour au sommet sud-africain. Effet boomerang, en outre, de la politique insensée de Biden en Ukraine. De même que la stratégie de confrontation, peut-être encore plus folle, avec Pékin au sujet de Taïwan.

Si vous regardez la carte de l’Afrique, vous constaterez qu’avec l’Afrique du Sud, l’Éthiopie et l’Égypte, les BRICS occupent trois côtés et centres névralgiques du continent. Il ne manquerait plus que le Nigeria pour compléter le tableau. Le grand jeu africain serait alors terminé.

Mais le Nigeria, malgré la présence économique massive de la Chine, est encore trop subordonné via ses élites à l’Occident. Et avec trop de conflits internes. Trop de risques.

En revanche, au Maghreb, l’intégration prochaine de l’Algérie et de la Tunisie consolidera l’hégémonie des BRICS sur l’ensemble de l’Afrique du Nord méditerranéenne.

Seule la Turquie manque à l’appel. Mais c’est un pays lié (encore) à l’OTAN. Et, comme on peut le constater, les BRICS ont jusqu’à présent banni les pays ayant des liens politico-militaires étroits avec Washington.

C’est peut-être ce qui explique la énième valse de Erdogan. Qui, après plus d’un an de neutralité substantielle, est soudain devenu un ardent défenseur de la cause ukrainienne. Du moins en paroles… car, on le sait, le sultan est connu pour sa capacité à négocier. Et augmenter le prix de son amitié.

Sans oublier l’Amérique latine. L’entrée de l’Argentine crée un axe sans précédent entre les deux géants du continent. Ouvrant, comme je l’ai déjà écrit, à une agrégation des pays andins. Ce qui conduirait à un marché sud-américain – l’ancien modèle MERCOSUR – toujours plus fort et plus intégré.

Et, en perspective, à la réalisation d’une unité substantielle d’intentions politiques, clairement opposée à l’hégémonie des «gringos». C’est le rêve de la «Bolivarie».

Cependant, l’Argentine semble être le talon d’Achille des BRICS. En effet, les prochaines élections argentines pourraient amener Javier Milei, ultra-libéral et totalement aplati face à Washington, au gouvernement.

Et vous pouvez parier que de nombreuses personnes à Langley et à Wall Street travaillent d’arrache-pied pour que cela se produise. Et pour éviter la victoire du péroniste Massa.

Quoi qu’il en soit, regardez la carte. Avec attention. Car ce qui se dessine aujourd’hui, c’est bel et bien un incroyable nouveau monde.

source : Electo Magazine via Euro-Synergies

 

 

Niger : La junte coupe l’eau et l’électricité à l’ambassade de France

 

Alors que les militaires au pouvoir au Niger ont demandé à l’ambassadeur de France à Niamey la capitale du pays, de quitter le territoire et que Paris s’entête à rester, les autorités ont coupé l’eau et l’électricité à l’ambassade et aucune livraison de nourriture n’est autorisée, ont rapporté plusieurs médias sociaux.

Selon un rapport de l’agence de la chaîne turque TRT World, le président du Comité national de soutien au Conseil national de sauvegarde du pays (CNSP), Elh Issa Hassoumi Boureima, a demandé à tous les partenaires des bases françaises au Niger de suspendre toute fourniture d’eau, d’électricité et de produits alimentaires.

Le même rapport indique que la junte a averti que tous les partenaires qui continuent d’aider les Français dans le processus de fourniture de biens et de services seront considérés comme des «ennemis du peuple souverain». Ces informations interviennent après que le délai de deux jours accordé par l’administration militaire à l’ambassadeur de France pour quitter le pays ait expiré dimanche.

Au milieu des tensions qui se sont accrues dans les semaines qui ont suivi l’éviction du président démocratiquement élu Mohamed Bazoum, le ministère des Affaires étrangères de l’administration a donné 48 heures à l’ambassadeur Sylvain Itté pour «quitter le territoire nigérien». Selon les informations, ce dernier, qui est toujours au Niger après le refus de Paris de se conformer aux injonctions de la junte, se serait réfugié à la base militaire française dans la capitale.

source : Actu Cameroun

 

 

Pourquoi les États-Unis et leurs alliés hésitent-ils à attaquer la République populaire démocratique de Corée ?

 

Les forces armées de la RPDC sont capables de riposter immédiatement contre les États-Unis. 

Le 21 août 2023, des navires de guerre de la marine de la RPDC ont effectué des tirs de missiles à courte portée, auxquels a assisté le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un. 

Ces tirs de missiles depuis des navires ont été effectués dans le cadre d’exercices militaires visant à accomplir des missions dans des conditions proches de celles du combat réel. Le navire nord-coréen a atteint toutes ses cibles et n’a commis aucune erreur dans l’exécution de sa mission. La préparation opérationnelle et la capacité offensive du navire ont été notées comme «excellentes». 

En juillet de cette année, la RPDC a également lancé un missile balistique intercontinental en direction de la mer du Japon. Cela a été rapporté par l’agence sud-coréenne Yonhap, citant une source au sein du ministère sud-coréen de la Défense. 

Notons que les militaires japonais n’ont jamais essayé d’intercepter les missiles nord-coréens qui survolaient leur territoire. 

L’un des tirs les plus médiatisés a été effectué par la RPDC en août 2017, lorsque le missile balistique intercontinental Hwasong-12 a survolé le territoire japonais. 

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a qualifié l’événement de «première étape de l’opération militaire de l’Armée populaire de Corée dans le Pacifique et de prélude à la dissuasion de Guam», une île du Pacifique où se trouvent des bases militaires américaines. 

Selon les forces armées de la Corée du Sud, le missile a parcouru une distance de 2700 km, atteignant une altitude de 550 km. Selon les autorités japonaises, la trajectoire du missile est passée par la partie nord de la région de Tohoku, située sur l’île d’Honshu. Selon les informations américaines, le missile est passé beaucoup plus au nord, c’est-à-dire au-dessus de l’île d’Hokkaido. Après avoir survolé le territoire japonais, le missile s’est désintégré en trois parties avant de tomber dans la mer. 

Des systèmes de défense antimissile américains Patriot PAC-3 sont déployés sur le territoire japonais. Ils sont situés à l’ouest du pays dans trois préfectures – Shimane, Hiroshima et Kochi, qui pourraient être sur la trajectoire des missiles balistiques nord-coréens en cas de lancement en direction de l’île américaine de Guam. 

Cependant, les militaires japonais sont bien conscients des statistiques négatives de l’utilisation au combat des systèmes Patriot PAC-3, dont l’inefficacité a été reconnue à plusieurs reprises par le Pentagone. Les Japonais comprennent qu’ils ne pourront pas intercepter le Hwasong-12 nord-coréen pendant son vol dans la stratosphère. Il serait plus facile de détruire le missile au décollage. Rien de cela n’a été fait, permettant au Hwasong-12 de survoler le Japon et de tomber dans la mer. 

Au début de sa présidence, Donald Trump a laissé entendre lors d’une interview à Fox Business News qu’il envisageait des plans pour une attaque militaire contre la RPDC, mais qu’il «ne les annoncerait pas à l’avance». 

En avril 2017, une puissante flotte menée par le porte-avions Carl Vinson a été envoyée vers les côtes de la RPDC. Plus tard, un autre groupe aéronaval mené par le porte-avions Ronald Reagan s’est également dirigé vers la mer du Japon. Cependant, cette «puissante flotte» a simplement patrouillé près des eaux territoriales de la RPDC avant de se retirer. Alors, qu’est-ce qui a empêché les Américains d’attaquer la RPDC ? 

La RPDC n’a aucune chance non seulement de détruire ne serait-ce qu’un seul groupe aéronaval américain, mais même de lui infliger des dommages minimes. 

La RPDC ne possède pas de croiseurs d’artillerie, mais elle dispose d’une flotte sous-marine. Sur ses sous-marins les plus modernes de la classe Sinpo, il y a un seul lanceur pour le missile balistique Pukkuksong-1 (Étoile polaire), qui peut avoir une portée allant jusqu’à 2500 km. 

Ces sous-marins diesel, armés d’un seul missile balistique avec une ogive nucléaire, représentent la principale menace pour les États-Unis et le Japon. Si les salves de missiles depuis le territoire nord-coréen sont facilement interceptées et les missiles sont détruits encore pendant leur phase d’accélération, il est assez difficile de localiser un sous-marin caché quelque part pour le détruire avec une frappe préventive. Et un missile lancé depuis un tel sous-marin devrait être intercepté lors de son approche de la cible, ce qui comporte des risques élevés. Ainsi, même une frappe préventive massive sur la RPDC ne peut garantir la prévention d’une riposte nucléaire sur le territoire de ses adversaires. 

Cette menace a amené Donald Trump à renoncer à une attaque contre la RPDC. L’administration Biden ne songe même pas à une telle opération. 

L’agence américaine Stratfor a fourni un sérieux motif à cette «retenue» des autorités américaines en publiant un rapport qui suggère que bien que la RPDC ne puisse pas empêcher une frappe américaine sur ses installations nucléaires, elle dispose d’un potentiel militaire significatif, même s’il ne correspond pas aux normes occidentales, pour répondre de manière substantielle à toute agression extérieure : «Le principal outil militaire de la RPDC est son artillerie. Elle ne peut pas raser Séoul, mais elle peut causer des dommages considérables».

Les analystes de Stratfor ont calculé que si les lance-roquettes multiples de 300 mm de la RPDC concentraient leur feu sur la capitale sud-coréenne, cela provoquerait une «pluie de feu» non seulement dans la ville elle-même, mais aussi dans ses environs. Le poids d’une seule salve serait de 350 tonnes en équivalent TNT, ce qui est comparable à la charge de bombes de 11 bombardiers B-52. 

La RPDC a érigé le long de sa frontière avec la Corée du Sud une sorte de Ligne Maginot, composée de milliers de pièces d’artillerie et de lance-roquettes multiples sur des positions fortifiées permanentes. Cette ligne de défense est dotée de nombreux tunnels souterrains et est protégée par des champs de mines. 

Cependant, les stratèges américains, y compris les analystes de Stratfor, craignent moins un bombardement d’artillerie de la Corée du Sud que la possibilité d’une frappe nucléaire sur Séoul, le Japon et les groupes aéronavals américains. Il est également pris en compte que les missiles nord-coréens pourraient frapper le territoire des États-Unis. 

Mais ce qui empêche surtout les stratèges américains d’attaquer la RPDC, c’est la certitude d’une riposte immédiate.

source : Observateur Continental

 

 

France : 25 000 chefs d’entreprise au chômage en 6 mois

 

Le premier semestre 2023 marque une percée de la perte d’emploi chez les chefs d’entreprise. 25 296 d’entre eux se sont retrouvés au chômage, selon les chiffres publiés le 28 août par l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs.

En progression de 36,6% sur un an, le chômage des chefs d’entreprise a retrouvé son niveau d’avant crise sanitaire. Une enquête réalisée par l’association GSC et la société Altares pour l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs, tire le 28 août la sonnette d’alarme : le phénomène touche les Très Petites Entreprises mais aussi désormais les plus grandes structures.

Tous les secteurs et tous les âges

De la restauration à la construction, tous les secteurs de l’économie sont touchés pas la forte hausse des pertes d’emploi. Dans une enquête de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs, les chiffres publiés témoignent d’une tendance fortement haussière avec une large majorité de pertes d’emploi pour les structures petites et de taille moyenne. Ainsi, 9 pertes d’emploi sur 10 chez les chefs d’entreprises concernent des structures de moins de 5 salariés avec un chiffre d’affaire inférieur à 500 000 euros. Le rapport révèle néanmoins que les «dirigeants de plus grandes structures sont désormais fortement touchés».

Si l’âge moyen de la perte d’emploi de ces chefs d’entreprise est fixé à 46 ans, le phénomène connait une forte progression chez les plus jeunes entrepreneurs avec +40% pour les moins de 26 ans et +43% pour les 26/30 ans.

Le bâtiment et les services particulièrement touchés

Le secteur de la construction est le plus touché et représente 23,6% des pertes d’emploi des chefs d’entreprise soit une hausse de 50% par rapport au premier semestre 2022. Le coût des matières premières et l’augmentation des taux directeurs affectent directement le marché de l’immobilier, selon le rapport.

Les services ne sont pas en reste, avec de nombreuses défaillance d’entreprises dans les secteurs des soins de beauté et de la coiffure. Dans ces seuls domaines, 1152 chefs d’entreprise ont dû abandonner leur activité, soit une hausse de 57,8%.

Le secteur commercial connaît lui une hausse de 47,2% et le secteur de «l’hébergement, restauration, débits de boisson» connaît une augmentation de 65,9% avec 3470 pertes d’emploi. Enfin le domaine de l’assurance et de la finance est celui qui connaît la plus forte hausse avec 76,4% d’augmentation et cela majoritairement pour les domaines des courtiers et des gestionnaires d’actifs.

L’augmentation du nombre de défaillances, et donc la perte d’emploi des chefs d’entreprises, pourrait enfin connaître une nouvelle accélération, selon le rapport, qui relève une renforcement du recouvrement forcé de l’URSSAF.

source :  RT France

 

 

Irak : Nicolas Mazier, militaire des forces spéciales françaises, tué lors d’une opération antiterroriste ; d’autres membres de l’unité blessés

(…) «C’est avec une très vive émotion que le président de la République a appris la mort du sergent Nicolas Mazier du commando parachutiste de l’air n°10, tué hier en Irak alors que son unité appuyait une unité irakienne en opération antiterroriste», a annoncé la présidence française, précisant que d’autres membres de son unité avaient été blessés à ses côtés. (…)

Le Figaro

 

Note; il faudrais lancer une pétition pour que nos militaires reviennent d'Irak et de Syrie. s'ils doivent risquer leur vie, c'est seulement pour leur patrie et pour défendre les leurs 

Officiellement les milliaires français seraient en Irak et en Syrie pour former les soldats de ces pays à la guerre, MAIS on constatera que les militaires français meurent dans des opérations antiterroristes ! ! !

 

LIRE AUSSI : Pourquoi y a-t-il encore des militaires français en Irak ?

 

 

 

La France face à un « tournant démographique » : « Si les tendances actuelles se poursuivent, dans les années qui viennent, l’immigration va constituer l’essentiel de la croissance de la population "française" »

Dans une note publiée ce lundi, l’Institut Montaigne estime que dans les prochaines années, «l’apport migratoire va constituer l’essentiel de la croissance de la population française».

C’est une nouvelle équation démographique à résoudre. Dans une note d’éclairage rédigée par Bruno Tertrais, expert associé à l’Institut Montaigne et publiée lundi 28 août, un constat sans équivoque est dressé : la France se trouve à un tournant démographique. «Si les tendances actuelles se poursuivent, dans les années qui viennent l’apport migratoire va constituer lessentiel de la croissance de la population française», affirme-t-il.

(…) En 2022, l’immigration a compté pour «près des trois-quarts de l’accroissement de la population, une proportion inédite», avance Bruno Tertrais. Par conséquent, si ces tendances se poursuivent, l’apport migratoire est appelé à être structurellement majoritaire dans la croissance démographique du pays. Pour autant, «si l’immigration devient la composante majoritaire, cela ne veut pas dire que les immigrés seront plus nombreux que les natifs ; mais ces immigrés et leurs descendants immédiats représentent désormais un cinquième de la population» précise l’expert.

(…) Selon Bruno Tertrais, l’impact de l’immigration sur l’économie «est très peu important, contrairement aux idées reçues, en France l’impact est légèrement négatif».

(…) Le Figaro

 

 

Dammarie-les-Lys (77) : une femme de 80 ans rouée de coups, frappée au visage et trainée par les cheveux lors d’un violent cambriolage ; le suspect recherché est de “type africain”

Les faits ont eu lieu lundi à son domicile de Dammarie-les-Lys. L’octogénaire a notamment été frappée à coups de poing et traînée au sol par les cheveux.

(…) Ce jour-là, en début d’après-midi, l’octogénaire tombe nez à nez avec un cambrioleur dans sa cuisine. Ce dernier, porteur d’un masque chirurgical, lui demande de l’argent tout en lui assénant des coups de poing au visage. Puis il la traîne au sol en la tirant par les cheveux. (…)

Le suspect recherché est un individu de type africain, âgé d’une trentaine d’années, de grande taille et de corpulence fine, précise une source proche du dossier. (…)

Le Figaro

 

 

 

« Il vieillit de six ans en deux semaines » : Alors qu’il se promenait au centre-ville de Reims avec son épouse, un touriste australien victime d’un vol à l’arraché ; X., alias Bouhafs Abdesslam, condamné à six mois de prison ferme

Bienvenue à Reims ! Le 21 août à 19 h 15, un couple de touristes australiens se promène aux abords de la place d’Erlon lorsqu’à l’angle du boulevard Foch et de la rue Noël, un inconnu bloque le monsieur en exécutant devant lui une drôle de danse. « Il bougeait les pieds. Il n’avait pas de ballon mais c’est comme s’il voulait jouer au foot avec mon mari. On lui a demandé d’arrêter », racontera la dame. Soudain, l’importun pose violemment sa main sur le thorax de son époux puis s’éloigne d’un pas tranquille. Le touriste constate alors la disparition de sa chaîne de cou en or. Il a le temps de filmer le supposé voleur avant qu’il ne disparaisse.

Il vieillit de six ans en deux semaines

Grâce à la vidéo, les policiers de Reims identifient un ressortissant algérien en situation irrégulière qu’ils ont déjà arrêté à deux reprises pour des vols en février 2022, la première fois sous le nom de Yasser Bouhafs, âgé de 15 ans, deux semaines plus tard sous le nom de Bouhafs Abdesslam, 21 ans (!). Point de vieillissement accéléré mais un usage habituel des fausses identités : le jeune homme est connu de la justice française sous cinq alias différents, et Bouhafs Abdesslam serait son véritable nom, assure-t-il.

[…]

X., alias Bouhafs Abdesslam, est condamné à six mois de prison ferme, plus trois mois de sursis révoqués. Il a été écroué pour purger sur le champ ses neuf mois d’emprisonnement.

L’Union

 

Note ; et pas d'expulsion !

 

 

Délinquance et criminalité : on tue plus en France que l’on tuait il y a 30 ans

 

 

 

 

Interdiction de l’abaya à l’école : La France insoumise souhaite saisir le Conseil d’Etat

 

Sondage IFOP (Juin 2023) : 77% des Français sont opposés au fait que l’école publique autorise le port de l’abaya ; les électeurs de LFI sont aussi majoritairement opposés

Un sondage IFOP pour Sud Radio, effectué en juin 2023 et republié pour l’occasion par l’institut d’opinion, rappelle pourtant la très forte adhésion des Français à cette interdiction, y compris chez les sympathisants de gauche. Au total, seules 23 % des personnes sondées se sont dites favorables à une autorisation de ces tenues à l’école.

[…]

 

Plus surprenants sont les résultats de ce sondage auprès des Français se disant proches des partis politiques de gauche, puisqu’une large majorité de partisans du Parti socialiste (75 %) mais aussi de la France insoumise (60 %) et d’Europe-Écologie-Les Verts (60 %) se disent favorables à l’interdiction des abayas et des qamis.

 

[…]

Le Figaro

 

 

Pour l’islamologue Razika Adnani, le port de l’abaya est un « marqueur de différenciation » et illustre la montée du fondamentalisme religieux en France

Gabriel Attal a annoncé l’interdiction de l’abaya à l’école ce dimanche sur TF1. Pour l’islamologue Razika Adnani, membre du Conseil d’Orientation de la Fondation de l’Islam de France et membre du conseil scientifique du centre civique du fait religieux, ce vêtement illustre l’adaptation du discours religieux au contexte occidental et la montée du fondamentalisme religieux en France. «Les filles qui portent l’abaya à l’école sont des filles voilées qui enlèvent leur foulard devant la porte de l’établissement.»

En France, le phénomène des filles portant des robes longues et amples à l’école suscite des inquiétudes. L’abaya s’oppose-t-elle à la laïcité? Une question qui en appelle une autre: l’abaya est-elle un signe religieux? Aucun objet n’est en soi un signe religieux. Ce sont les êtres humains qui lui attribuent ce rôle. Il en est de même pour la robe ou le foulard. Les filles qui portent l’abaya à l’école sont des filles voilées qui enlèvent leur foulard devant la porte de l’établissement. De ce fait, leur robe est, pour elles, un signe religieux mais aussi un marqueur de différenciation qui leur permet de se distinguer des autres filles même quand elles enlèvent leur foulard. Le discours religieux veut que les musulmans se distinguent des non-musulmans.

Sur le plan islamique, l’abaya est même plus conforme aux recommandations coraniques que le foulard étant donné qu’aucun verset n’évoque le foulard ni ne dit que la femme doit cacher sa chevelure.   […] Les filles qui portent les abayas au collège et au lycée et qui enlèvent le foulard devant la porte de l’établissement sont dans ce que les religieux appellent «l’adaptation du discours religieux au contexte français» où la laïcité interdit tout signe religieux ostentatoire à l’école.    […]

L’idée est défendue par le prédicateur fondamentaliste Youcef al-Qaradaoui sous le concept de «la jurisprudence des minorités musulmanes» à laquelle il a consacré un livre publié en 2001. […] Elle sous-entend que l’islam ne pose aucun problème et ne nécessite aucune réforme ou changement, mais seulement que certains musulmans vivant en Occident ont des difficultés à pratiquer leur religion et doivent donc adapter certaines de ses règles à leur contexte en tant que minorité. L’adaptation du discours religieux au contexte occidental ou français est donc une jurisprudence de contexte. Elle ne concerne pas tous les musulmans et s’annule d’elle-même lorsque les musulmans ne sont plus en minorité.  […]

L’adaptation du discours religieux fige donc l’islam, mais aussi accroît chez les musulmans d’Occident, qui sont pratiquants, le sentiment de vivre dans des sociétés qui ne leur permettent pas d’être de bons musulmans. Ainsi, si certains se sentent coupables de vivre en Occident et se replient sur eux-mêmes, d’autres multiplient leurs actions pour obliger la loi à s’adapter à leur religion et non le contraire.

Que des filles voilées décident de porter l’abaya est donc un signe de la montée du fondamentalisme religieux et un symptôme de radicalisation dans la manière de porter le voile. L’utilisation du terme abaya révèle un désir des Françaises de confession musulmane de ressembler aux femmes saoudiennes dans leur façon de porter le voile étant donné que ce terme est utilisé dans la péninsule arabique pour désigner une robe longue et ample que les femmes mais aussi les hommes portent. Au Maghreb, c’est le terme gandoura qui est utilisé.

Le Figaro

 

 

«Libération» annonce qu’il va renforcer sa couverture de l’extrême droite et lancer une nouvelle newsletter sur ce sujet : «Frontal»

«Libération» renforce sa couverture de l’extrême droite et lance une nouvelle newsletter : «Frontal»

Informer sur l’extrême droite, arracher ses masques, braquer la lumière sur ses mots et ses actes : cet engagement est de très longue date celui de Libération. Dans l’histoire de notre journal, il s’est traduit par d’innombrables enquêtes, portraits et reportages, ainsi que par des unes mémorables. Poursuivre ce travail nous semble plus essentiel que jamais. Il nous faut même l’accroître, face à la banalisation d’un Rassemblement national entré en force à l’Assemblée et aux groupuscules racistes qui prospèrent jusque dans les plus petites villes du territoire.

Fidèle à son histoire et aux attentes de ses lecteurs, Libération a décidé de faire du traitement de l’extrême une priorité éditoriale. Et d’abord d’y consacrer des moyens inédits dans la presse nationale. Au quotidien, ce sont désormais quatre journalistes qui travaillent à temps plein sur le sujet : Nicolas Massol, chargé du Rassemblement national, Tristan Berteloot, enquêteur, Maxime Macé et Pierre Plottu, spécialistes des mouvements ultraradicaux et de leur activité en ligne. Ces derniers mois, ils sont les auteurs d’enquêtes sur la gestion litigieuse des mairies RN de Fréjus et Perpignan, l’entreprise e-Politic et ses dirigeants radicaux, la dissémination des groupuscules d’extrême droite, la multiplication de leurs actions violentes, le harcèlement du maire de Saint-Brévin ou encore le développement des théories complotistes et leurs relais médiatiques…

Au-delà du service politique, c’est l’ensemble de la rédaction qui est amené à traiter le sujet, comme l’ont souvent démontré nos services CheckNews et Enquête.

Nous ajoutons à cela, dès le mardi 5 septembre, un nouveau support entièrement dédié au suivi de l’extrême droite : la newsletter «Frontal», un rendez-vous hebdomadaire préparé par notre cellule de journalistes spécialisés. En plus d’une sélection d’articles parus sur notre site et dans le journal, cette lettre proposera, chaque mardi à 17 heures, des contenus exclusifs réservés à nos abonnés : enquêtes, décryptages, reportages, analyses, recension des exactions commises par les groupes violents…

Ces nouveaux moyens et cette offre traduisent notre engagement : pour Libération, l’extrême droite ne sera jamais une famille politique comme les autres. Nous documenterons ses mensonges, l’inconsistance de ses propositions politiques, son racisme toujours présent, la gestion litigieuse de nombre de collectivités qu’elle dirige, son affairisme, ses liens avec des puissances étrangères, son recours à la menace et, dans les pires des cas, à la violence physique. Face à l’extrême droite, nous prenons la voie du journalisme, c’est-à-dire de l’examen des faits : ils sont souvent, contre elle, le plus sévère des réquisitoires.

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