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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

 

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Les Infos du 27 aout 2023

 

 

 

Note ; quelques problèmes techniques aujourd'hui, certaines images ne s'affichent pas

 

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le décès du patron de Wagner Evgueni Prigojine confirmé par l'expertise génétique…

 

L’ESSENTIEL

  • Trois pilotes de l’armée de l’air ukrainienne, dont un officier décoré, ont été tués vendredi dans une collision entre deux appareils ukrainiens, ont annoncé samedi les autorités du pays. Cet accident représente un revers important pour Kiev, qui chercher à obtenir des avions américains F-16 pour renforcer sa flotte.
  • La Russie a affirmé samedi avoir abattu trois drones ukrainiens en approche de Moscou et dans une région frontalière de l’Ukraine, où six civils ont été blessés dans une frappe ukrainienne.
  • Le Kremlin a démenti vendredi avoir ordonné l’assassinat d’Evgueni Prigojine et a sommé les paramilitaires de prêter serment de « loyauté » à la Russie, deux mois après leur coup de force avorté.

 

12h43 : La mort de Evgueni Prigojine confirmée par l'expertise génétique

La mort du patron du groupe paramilitaire russe Wagner, Evguéni Prigojine, dont l'avion s'est écrasé mercredi en Russie, a été confirmée par l'expertise génétique, a annoncé dimanche le Comité d'enquête russe.

A l'issue des « expertises génétiques moléculaires », il a été établi que les identités des dix victimes dont les corps ont été retrouvés après le crash, « correspondent à la liste » des passagers et des membres d'équipage de l'avion, parmi lesquels figurait Prigojine, a indiqué le Comité d'enquête dans un communiqué.

 

09h47 : En Russie, un drone s’écrase sur immeuble dans une région frontalière

Dans la nuit de samedi à dimanche, un drone s’est écrasé sur un immeuble résidentiel à Koursk, à la frontière de l’Ukraine. A la suite de cet incident, « les fenêtres sur plusieurs étages ont été brisées », a indiqué le gouverneur région Roman Starovoït, en précisant que le bâtiment d’une université régionale située à proximité a également été affecté. « Il n’y a pas eu d’incendie, personne parmi les habitants n’a été blessé », a souligné Roman Starovoït.

 

08h30 : Trois drones abattus en Russie samedi

La défense aérienne russe a abattu dans la nuit de vendredi à samedi un drone qui s’approchait de Moscou, dans le district d’Istrinskii, a affirmé tôt le maire de la capitale, Sergueï Sobianine. Selon les premières informations, « il n’y a pas de victimes ni de dégâts. Les services d’urgences sont sur place », a-t-il ajouté.

Un autre drone ukrainien a été abattu samedi matin par la défense aérienne russe dans le district de Chebekino, dans la région de Belgorod, frontalière de l’Ukraine, selon un communiqué du ministère russe de la Défense.

Dans la région de Belgorod, un autre drone ukrainien a été abattu dans l’après-midi, selon la même source. La Russie a également accusé les forces ukrainiennes d’avoir bombardé samedi aux lance-grenades un village dans cette même région, la frappe ayant fait six blessés parmi les civils, selon un nouveau bilan des autorités locales.

DIRECT

 

 

 

Mort d'Evgueni Prigojine : le décès du chef du groupe Wagner confirmé par les analyses génétiques

 

  • La mort du patron du groupe paramilitaire russe a été confirmée par l'expertise génétique.
    La mort du patron du groupe paramilitaire russe a été confirmée par l'expertise génétique. MAXPPP - ANATOLY MALTSEV

La mort d'Evguéni Prigojine a été confirmée par l'expertise génétique, a annoncé dimanche le Comité d'enquête russe. "Les expertises génétiques moléculaires" effectuées après le crash d'un avion survenu ce mercredi 23 août en Russie dans la région de Tver "ont été terminées", a indiqué cet organisme chargé des principales investigations en Russie.

À leur issue, il a été établi que les identités des dix victimes dont les corps ont été retrouvés après le crash "correspondent à la liste" des passagers et des membres d'équipage de l'avion, parmi lesquels figurait le patron du groupe paramilitaire russe Wagner, a précisé le Comité d'enquête, sans plus de détails.

Où en est l'enquête ?

Les enquêteurs n'ont rien dit pour l'heure des pistes examinées, n'évoquant ni la thèse de l'accident ni celle d'une bombe, d'un missile sol-air ou d'une erreur de pilotage.

Ce drame a immédiatement fait naître des soupçons d'un assassinat orchestré au sommet du pouvoir russe. À Washington, Paris, Berlin ou Kiev, de hauts responsables ont sous-entendu que leurs soupçons se portaient directement sur le Kremlin. Pour sa part, le Kremlin a démenti avoir ordonné d'assassiner Evguéni Prigojine, qualifiant de "spéculations" ces insinuations.

Source

 

 

Mort d'Evgueni Prigojine: Traitre ou héros? La Russie face au casse-tête des funérailles du chef de Wagner

 

La manière dont seront organisées les funérailles d'Evgueni Prigojine pourrait en dire long sur le niveau d'implication de la Russie dans sa mort.

Dans sa première prise de parole publique depuis la mort d'Evgueni Prigojine, Vladimir Poutine avait présenté ses condoléances aux familles des victimes et évoqué la "perte d'une personne talentueuse" au "destin complexe" qui "a fait des erreurs" en parlant du chef du groupe paramilitaire Wagner, engagé plus ou moins officiellement au nom de la Russie depuis de longues années en Afrique, en Syrie et en Ukraine.

Mais derrière la mort de Prigojine, l'Occident y a vu la main de Poutine pour venger la rébellion du 23 juin dernier qui a fait vaciller pendant de longue heure son régime.

"Un mensonge absolu" selon Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin qui a évoqué des "spéculations venues de l'Occident".

Reste désormais à la Russie à régler le casse-tête des funérailles de Prigojine qui pourraient en dire beaucoup plus long sur l'implication de la Russie que les dernières déclarations officielles.

Trois options sur la table

Des sources russes évoquaient d'ailleurs cet embarras, ce samedi, alors que trois possibilités s'offrent à Poutine.

La première serait de laisser faire quitte à ce que les funérailles de Prigojine se transforment en "une manifestation patriotique grandiose, qui peut également prendre un caractère antigouvernemental et conduire à des résultats politiques négatifs inattendus".

La deuxième option évoque des funérailles publiques interdites et organisées strictement dans l'intimité familiale. Une solution qui accréditerait la thèse selon laquelle les autorités russes auraient tué Prigojine avec, pour conséquence, de provoquer un ressentiment des patriotes vis-à-vis du pouvoir.

Enfin, dernière possibilité: les autorités russes organisent des funérailles publiques avec "une manifestation patriotique modérée et contrôlée". Reste à savoir si Poutine y assisterait. Un choix délicat à faire puisqu'il reviendrait à "oublier" le rôle de Prigojine dans la rébellion du mois de juin. Pour le moment, le Kremlin a botté en touche évoquant "un programme très chargé" du président russe.

"On ne pardonne jamais aux traites"

Pour le moment, aucune décision n'a été prise concernant les funérailles puisque, officiellement, Prigojine est toujours considéré comme "présumé mort" et les autorités russes disent attendre "les résultats de l'enquête sur l'accident d'avion".

Peut-être faut-il voir un début de réponse dans la déclaration d'Alexei Dioumine, l'ancien garde du corps de Poutine et actuel gouverneur de l'oblast de Toula. Pour lui, il est possible de "pardonner les erreurs et même la lâcheté, jamais la trahison" avant d'affirmer "que Prigojine et son adjoint, Dmitri Outkine, n'étaient pas des traîtres".

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine : Kiev révèle avoir utilisé un "nouveau" missile pour détruire le système de défense aérienne russe S-400 "Triumph" en Crimée

 

L'Ukraine a développé un "nouveau" missile "absolument moderne" qui s'est révélé "parfait" pour frapper le système de missiles anti-aériens russe S-400 "Triumph" ​​en Crimée il y a quelques jours.

Ce mercredi 23 août, le renseignement militaire ukrainien a revendiqué une frappe contre un système russe de défense aérienne S-400 "Triumph", installé dans les environs du village d’Olenivka, sur la péninsule de Tarkhankout, dans l’ouest de la Crimée. Et il en a diffusé les images, prises par un drone.

Ainsi, le GUR a expliqué que la frappe avait visé un TEL [tracteur-élévateur-lanceur] qu’il a identifié comme faisant partie d’un système S-400.

Un "nouveau produit qui s'est montré absolument parfait"

Il restait désormais à savoir comment le GUR avait réussi son coup. Selon le secrétaire du Conseil de défense et de sécurité nationale d'Ukraine, la frappe a été menée par un nouveau missile de fabrication ukrainienne. 

"Le missile était nouveau, absolument moderne", a déclaré Oleksiy Danilov, selon des propos tenus à la radio ukrainienne et rapportés par l'agence de presse Interfax-Ukraine. "C'est notre nouveau produit, qui s'est montré absolument parfait", a-t-il ajouté, sans en dévoiler davantage, notamment s'il s'agissait d'un développement complètement nouveau ou simplement d'une modification d'armes déjà existantes. 

Source

 

 

 

"L’Algérie entrera dans les BRICS, elle y parviendra", avance un ministre algérien

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 27 aout 2023

Dans un contexte de débats et de "décisions difficiles", l’Algérie n’a pas été retenue comme nouveau membre des BRICS élargis, constate le ministre algérien des Finances. Malgré ce revirement, le pays continue de prôner un "partenariat solide" avec le groupe et espère y entrer.

L’Algérie "a pris acte" de la décision des dirigeants des BRICS concernant son élargissement, a déclaré le ministre des Finances Laâziz Faid, relayé par TSA Algérie.

Le pays maghrébin, qui a rendu publique sa volonté d’intégrer les BRICS en 2022, n’a pas été retenu parmi les nouveaux membres à l’issue du sommet des BRICS, lequel a eu lieu du 22 au 24 août à Johannesburg.

Ouverture aux liens de partenariat

Il existe une "perspective d’ouvrir la voie à d’autres pays dans un avenir proche", a détaillé le ministre.

L’Algérie veut coopérer avec les BRICS pour "établir un partenariat solide et permanent, conformément à une vision complémentaire qui consolide la coopération Sud-Sud", a-t-il soutenu.

"Je peux vous assurer que l’Algérie entrera dans les BRICS, elle y parviendra", a-t-il conclu, en soulignant que le choix des candidatures des six pays admis n’avait pas été facile, car "il y a eu des débats et des décisions difficiles".

Candidature algérienne

Soutenue par la Russie, la Chine et l’Afrique du Sud, la candidature algérienne n’a pas été validée par l’Inde et le Brésil, selon TSA Algérie.

Le pays pourrait faire "probablement partie" du prochain groupe à rejoindre les BRICS, a fait savoir au dernier jour du sommet le ministre des Finances de l’Afrique du sud, Enoch Godongwana.

Début août, Abdelmadjid Tebboune a déclaré que l’Algérie avait obtenu l’accord du groupe pour la "première phase" afin de devenir membre observateur.

Au total 6 pays, dont deux africains, ont été admis. Il s’agit de l’Arabie saoudite, des Émirats arabes unis, de l’Égypte, de l’Éthiopie, de l’Iran et de l’Argentine. Ils deviendront membres à partir de 2024.

Spoutnik

 

 

 

 

Niger : Des manifestants donnent une semaine à la France pour partir complètement, «sinon il y aura des morts»

 
 

Si la France n’est pas partie dans les délais que lui ont impartis par les émeutiers de Niamey, samedi, ces derniers vont prendre d’assaut la base militaire française. Rien de moins. C’est du reste ce que certains de leurs porte-parole, manifestement «prêts à mourir pour la patrie», ont laissé entendre aux médias samedi, l’air farouches et très déterminés.

En espérant que cette menace ne tombera pas dans les oreilles des sourds, l’Hexagone qui ne s’est pas beaucoup bougé dernièrement pour inverser la tendance qui est plutôt au french-bashing ambiant en Afrique, a intérêt à prendre ses jambes à son cou pour éviter une autre «Guerre d’Algérie», car en réalité, c’est sa faute d’avoir laissé à ses rivaux et à leurs suppôts africains, finalement beaucoup plus fin tacticiens, et surtout particulièrement prodigues pour ce qui est de l’utilisation du nerf de la guerre, le soin de gérer son image à leur convenance, en la donnant on ne peut plus négative à cette Afrique très convoitée, qui a toutes les raisons de monnayer son charme, puisque devenant de plus en plus le centre d’un monde où des pays jadis puissants comme la France, les États-Unis, le Royaume Uni… et compagnie, seront mis à l’écart sans autre forme de procès.

En d’autres termes, la France, pour avoir commis l’erreur de laisser le terrain aux autres, doit reculer pour cuver sa déchéance, quitte à se préparer pendant les prochains millénaires à mieux sauter. L’Égypte, la Nubie, Rome, le Japon, la Grèce, jadis puissantes civilisations, sont passés par là. La Russie et la Chine qui sont en passe de tenir le monde en respect aujourd’hui, également. Toute chose a une fin, a-t-on coutume de dire. En France !

source : Cameroon Voice

 

 

 

Niger : Niamey n’a pas besoin d’autorisation pour expulser l’ambassadeur de France 

 

Suite à la réaction de Paris de qualifier la décision des nouvelles autorités nigériennes d’expulser l’ambassadeur de France à Niamey «d’illégitime» et son refus d’acter cette décision, le ministère nigérien des Affaires étrangères a estimé ce samedi 26 août que son pays n’a pas besoin d’autorisation pour faire quitter le diplomate Sylvain Itté, sous 48h.

Dans un communiqué rendu public, le ministère nigérien des Affaires étrangère, «rappelle à ceux qui s’agitent et qui doutent encore de l’expression de sa volonté souveraine, que le Niger n’a nullement besoin d’une autorisation ou d’une interprétation de la convention de Vienne de 1961, pour exercer ses prérogatives et faire quitter l’ambassadeur (de France) Sylvain Itté, après ce délai de 48h».

Vendredi soir, le diplomate Sylvain Itté a été prié de quitter le territoire nigérien sous 48h, à cause des «agissements du gouvernement français, contraires aux intérêts du Niger». Mais immédiatement Paris a réfuté cette décision, estimant ne reconnaitre que la seule autorité du président Mohamed Bazoum, renversé le 26 juillet 2023.

source : Algérie 54

 

 

Plus de 3 000 migrants ont débarqué sur l’île de Lampedusa en 24 h

La situation est critique sur l’île de Lampedusa et s’explique par l’arrivée sur l’île d’un nombre record vendredi 25 août de 1 918 personnes en 65 débarquements et de 1 116 autres personnes en 29 débarquements depuis minuit, ce 26 août, soit plus de 3 000 en 24 h. 4 121 migrants et réfugiés à Lampedusa, ce samedi, à la mi-journée, alors que la petite île italienne ne peut normalement en accueillir que 400…

Des navires et des avions militaires sont mis à disposition de Lampedusa pour faciliter les transferts vers d’autres régions italiennes, mais “Lampedusa ne peut plus accueillir de réfugiés” affirme le préfet.

Les autorités italiennes s’efforcent de transférer les nouveaux arrivants vers d’autres régions du pays, notamment vers la Vénétie, l’Émilie-Romagne, l’Ombrie et la Calabre. Des navires et des avions militaires sont mis à disposition de Lampedusa pour faciliter ces transferts. 

Lampedusa ne peut plus accueillir de réfugiés” , a déclaré le préfet d’Agrigente, Filippo Romano. Il répondait ainsi à la polémique qui aurait éclaté après que le navire-ambulance de l’ONG SOS Méditerranée, l’Ocean Viking et ses 439 personnes sauvées des eaux, ont dû prendre la direction du port de Gênes.

msn ; Euuronews

 

 

Bruxelles : l’insécurité grandissante à la Gare du Midi devient une affaire nationale (MàJ : des dizaines d’associations dénoncent la violence croissante dans l’ensemble de la capitale et font le lien avec les sans papiers)

27/08/2023

Dans une lettre ouverte publiée mardi, des dizaines d’associations locales  dénoncent l’insécurité croissante dans la capitale. Après le coup de gueule de la SNCB sur la situation désastreuse à la Gare-Midi, le gouvernement fédéral s’est emparé du dossier. L’initiative est inédite et le constat alarmant. “Selon nous, Bruxelles est confrontée à un problème qui s’amplifie et qui rend la vie quotidienne difficile pour de plus en plus d’habitants”, déplorent une trentaine d’associations et comités de quartier de la zone du canal.

La lettre est adressée à Rudy Vervoort, ministre-président de la Région de Bruxelles-Capitale, et aux bourgmestres de Bruxelles, Molenbeek, Saint-Josse, Saint-Gilles et Anderlecht. Les riverains et acteurs de terrain mâchent pas leurs mots et appellent les autorités bruxelloises à prendre le taureau par les cornes.

Nos quartiers sont confrontés à un nombre croissant de réfugiés, de sans-abris, de mendiants, de personnes en errance, dans nos rues et nos places, dans les parcs, les stations de métro et les gares. Beaucoup d’entre eux sont sans papiers, n’ont pas ou peu de liens avec l’environnement dans lequel ils se trouvent et n’ont rien à perdre”

La situation ne cesse de se détériorer”, déplore Eric Vandezande, du comité de quartier Yser-Sainctelette, dans Bruzz. “C’est devenu tellement grave que cela affecte notre vie quotidienne. Consommation de crack ostensible, trafic de drogue sur la voie publique, agressions, personnes en errance: le résultat, c’est que les parents n’osent plus autoriser leurs enfants à prendre le métro seuls pour aller à l’école ou promener leur chien le soir”.

Des voisins ont déjà été agressés physiquement. Nous avons assisté à des incidents avec des couteaux et des haches sur nos trottoirs. C’est l’impunité totale. J’ai vu ce quartier se redresser au cours des deux dernières décennies, mais depuis un an, les choses se dégradent à vue d’oeil”.

7 sur 7 (Voir l’intégralité de la lettre ouverte)

22/08/2023

Quelque 3 500 infractions pénales ont lieu chaque année en gare de Bruxelles-Midi, soit une dizaine par jour. Soit autant d’actes criminels et délictueux dans et aux abords de la gare de Bruxelles-Midi que dans toutes les gares des 13 centres urbains flamands réunis, rapportent De Standaard, Het Nieuwsblad et Gazet van Antwerpen. Ces quotidiens néerlandophones se basent sur des chiffres de la police que le député N-VA Tomas Roggeman a demandés à la ministre de l’Intérieur, Annelies Verlinden (CD&V). Plusieurs responsables, dont la secrétaire d’État à l’Asile et aux Migrations Nicole de Moor (CD&V), se sont réunis pour évoquer la situation et nommer un coordinateur. La SNCB (SNCF belge) s’alarme de l’état « dramatique » de cette gare.

À Saint-Gilles, la commune bruxelloise où se situe la gare du Midi, quelque 3 500 délits ont été enregistrés entre 2020 et 2021, soit une dizaine par jour. Ce chiffre était plus élevé en 2019 (4 205 contre 2 807) et légèrement inférieur en 2018. Les délits les plus fréquents à Bruxelles-Midi sont le vol et l’extorsion, suivis par les faits liés à la drogue.

À Anvers, le nombre d’infractions pénales varie entre 648 et 853 dans et autour des gares, principalement pour des vols. À Gand, le millier de délits a été atteint en 2021, lors d’un pic.

La semaine dernière, la CEO (Chief Executive Officer) de la SNCB, Sophie Dutordoir, a adressé un courrier aux autorités fédérales, régionale et communales en leur demandant de renforcer tant la sécurité que la propreté autour de la gare de Bruxelles-Midi.

Dans la foulée de ce coup de gueule, la crise a pris une ampleur nationale. Selon la Dernière Heure, le cabinet du Premier ministre a réuni ce lundi les différentes instances autour de la table avec l’objectif de trouver une solution commune. Le problème s’enlise depuis des années et trop de fois “tout le monde s’est renvoyé la balle”, explique le cabinet du Premier ministre.

Le gouvernement fédéral dit vouloir trouver une solution pour mettre fin aux nuisances et aux incivilités autour de la gare la plus fréquentée du pays. Alexander De Croo ne prend pas la main sur le dossier, mais il a estimé que l’urgence méritait d’apporter une réponse fédérale à ces problèmes persistants qui ternissent l’image internationale de la Belgique.

Étaient donc réunis lundi : les chefs de cabinet de la ministre de l’Intérieur Annelies Verlinden (CD&V), du ministre Gilkinet, de la secrétaire d’État à l’Asile et aux Migrations Nicole de Moor (CD&V), des bourgmestres d’Anderlecht et de Saint-Gilles, Fabrice Cumps (PS) et Jean Spinette (PS), ainsi qu’un représentant de la région bruxelloise. Selon la DH, une première proposition concrète qui émerge des discussions chapeautées par le Premier ministre est de nommer un coordinateur comme cela s’est fait à la gare du Nord. La transversalité de sa fonction lui permettrait de passer outre le fameux “ce n’est pas moi, c’est lui”.

La Libre ; Les Echos

 

 

 

 

Briançon (05) : des pompiers frappés lors d’une intervention, un migrant marocain placé en garde à vue

 

Pibrac (31). Pronostic vital engagé pour un homme de 18 ans qui a reçu 3 balles dont une dans la tête

Un homme a été transporté en urgence absolue après avoir été blessé à l’arme à feu dans la nuit du vendredi 25 au samedi 26 août à Pibrac (Haute-Garonne). La victime a reçu trois balles, dont une à la tête selon les pompiers.

L’homme a été retrouvé sur un parking dans un quartier résidentiel de la commune d’environ 8000 habitants, située à une quinzaine de kilomètres de Toulouse. Il n’était pas connu de la justice

La Dépêche et Le Figaro

 

 

 

Castelnau-le-Lez (34) : Mohamed, un Marocain arrivé en France en 2022, et qui est sous le coup d’une interdiction du territoire européen depuis le 19 mai dernier, profite de ses cambriolages pour agresser sexuellement ses victimes

Un Marocain a été condamné à trois ans de prison pour des faits commis en juillet à Castelnau-le-Lez.

[…]

 

L’individu âgé de 28 ans, qui était en possession d’un marteau, d’un couteau et d’un morceau de bois flotté, a entrepris de fouiller l’appartement, menaçant sa victime en espagnol.

[…]

 

Alors que le calvaire de cette femme durait depuis près d’une heure et demie, sa cousine est rentrée dans l’appartement et a vécu une mésaventure similaire. “Il m’a dit d’entrer dans la chambre puis m’a caressée et a essayé de m’embrasser”, a-t-elle expliqué au tribunal.

[…]

 

De son côté, Mohamed, qui est sous le coup d’une interdiction du territoire européen depuis le 19 mai, a expliqué être en France depuis décembre 2022, après avoir passé quelques années en Espagne. Il a affirmé être venu dans l’Hérault pour rendre visite à son grand-père qui réside à Lunel une partie de l’année mais qui était absent.

[…]

 

Midi-Libre

 

 

Nîmes (30) : un adolescent blessé à l’arme blanche près du centre-ville, il a été poignardé à la gorge et laissé pour mort en pleine rue (Màj : Cette nuit, tir à la Kalashnikov par deux individus en scooter, un homme de 26 ans blessé)

 

27/08/2023


26/08/2023

INFO ACTU17. Tentative de meurtre à l’arme blanche à proximité du centre-ville de Nîmes ce samedi soir. Un adolescent a été poignardé à la gorge puis laissé pour mort par deux agresseurs qui ont pris la fuite.

Un adolescent a été grièvement blessé à l’arme blanche ce samedi soir à Nîmes (Gard), à proximité du centre-ville, a appris Actu17. Il a été évacué à l’hôpital avec un pronostic vital qui serait engagé selon une source proche de l’affaire. Deux suspects ont pris la fuite.

Cette tentative de meurtre s’est déroulée dans la rue Corconne vers 19h15, où se trouvent de nombreux commerces. La victime – qui serait âgée de 15 ans – marchait dans la rue lorsqu’elle a été attaquée par deux individus qui seraient arrivés à bord d’un scooter. “Elle a été poignardée au niveau de la gorge et a été touchée au niveau de la carotide”, confie la même source.

(…) Actu 17

 

 

« Si les pêcheurs n’avaient pas été là… » : une femme de ménage échappe de justesse à un inconnu « qui voulait une fellation » en pleine nuit à Sète (34) ; le migrant somalien clandestin placé en CRA

La femme de ménage rentrait à pied du travail lundi 21 août vers 5 h du matin  lorsqu’elle a été suivie par un inconnu menaçant quai de la République. 

“Si les pêcheurs n’avaient pas été là, je ne sais ce qu’il m’aurait fait”. Lundi 21 août, en pleine Saint-Louis, vers 5h, Valérie sortait du travail, place de Delille, lorsqu’elle a été victime d’une agression dont elle a réchappé aux conséquences qu’auraient pu être plus dramatiques encore. Elle est femme de ménage pour plusieurs entreprises sur Sète, et effectue donc ses heures souvent de labeur de nuit.

[…]

 

Mise en sécurité par des pêcheurs

“Je lui ai demandé d’arrêter de me suivre mais il a continué à me suivre sans rien dire”, dira Valérie aux policiers dans sa plainte. Soudain, il va lui saisir le bras et “il m’a tiré vers lui en disait “viens””. J’ai vu des gens au niveau du magasin de pêche, j’ai crié à l’aide”. L’un de ces témoins comprenant qu’il y avait danger, a lui-même crié “lâche-la” et Valérie s’est mise à courir vers la boutique où elle a pu se réfugier et être mise en sécurité par les personnes présentes à l’intérieur.

[…]

 

“Il faisait que répéter “elle est avec moi” m’ont dit les gens qui étaient là. Il leur a dit qu’il voulait une fellation, mais il ne parlait pas bien français”.

[…]

 

Midi-Libre

 

 

"Il haïssait les Noirs" : un suprémaciste blanc abat trois Afro-Américains dans une épicerie en Floride

 

Un jeune homme blanc puissant armé a abattu samedi trois Afro-Américains dans une épicerie de Jacksonville, en Floride, avant de se donner la mort, une fusillade dont les autorités estiment qu'elle était motivée par le racisme du tireur.

Un jeune homme blanc puissant armé a abattu samedi trois Afro-Américains dans une épicerie de Jacksonville, en Floride, avant de se donner la mort, une fusillade dont les autorités estiment qu'elle était motivée par le racisme du tireur. "Cette fusillade était motivée par la haine raciale. Il haïssait les Noirs", a déclaré le shérif de Jacksonville, T.K. Waters , pendant une conférence de presse. L

e jeune homme âgé d'une vingtaine d'années avait sur lui un fusil d'assaut semi-automatique de type AR-15, avec des croix gammée dessinées sur la crosse, un pistolet et un gilet pare-balles. Il a écrit "plusieurs manifestes" traduisant sa haine des Noirs à l'intention des médias et ses parents ont déclaré aux autorités qu'il détestait les personnes de couleur, a précisé le shérif.

"Crime de haine"

Avant de pénétrer dans l'épicerie, où il a abattu deux hommes et une femme, le tireur avait été vu devant l'Edward Waters University, première université privée fondée par des Noirs aux Etats-Unis, il y a un siècle et demi. Sherri Onks, qui dirige le bureau du FBI à Jacksonville, a indiqué que l'enquête portait sur un "crime de haine". "Les crimes de haine seront toujours la priorité du FBI parce qu'il ne s'agit pas seulement d'une attaque visant une victime, mais d'un moyen de menacer et intimider une communauté entière", a-t-elle déclaré.

Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a condamné un acte "inacceptable" et "lâche".

Selon l'organisation à but non lucratif Gun Violence Archive, les Etats-Unis ont été le théâtre de 469 fusillades depuis le début de l'année. Une fusillade est classée comme telle à partir du moment où elle a fait au moins quatre morts ou blessés, tireur compris. La fusillade de Jacksonville fait écho à celle de l'an dernier à Buffalo, dans l'Etat de New York, où un suprémaciste blanc avait abattu dix Noirs.

Source

 

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