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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 19 aout 2023

 

 

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Vladimir Poutine à Rostov-sur-le-Don pour une réunion avec ses généraux...

 

L’ESSENTIEL

  • La défense antiaérienne l’Ukraine a détruit « quinze drones » russes dans la nuit de vendredi à samedi. Kiev a affirmé qu’un total de 17 drones explosifs Shahed de fabrication iranienne avaient été utilisés lors d’un raid aérien, sans préciser ce qui était arrivé aux deux drones restants.
  • L’Ukraine a salué vendredi le feu vert des Etats-Unis à l’envoi par les Pays-Bas et le Danemark d’avions F-16 à Kiev, une fois les pilotes ukrainiens formés, « une super nouvelle », à l’heure où Kiev mène une difficile contre-offensive face à l’armée russe.
  • Vladimir Poutine est ce samedi matin en visite dans le sud de la Russie avec les généraux supervisant l’opération en Ukraine.

 

12h07 : Environ 150 soldats ukrainiens qui tentaient de franchir le Dniepr « éliminés »

L’armée russe a affirmé samedi avoir « complètement éliminé » environ 150 soldats ukrainiens qui tentaient de franchir le fleuve Dniepr, ligne de front dans le sud de l’Ukraine, où les forces de Kiev tentent de pénétrer les défenses de Moscou.

« Les militaires russes ont vaincu un détachement ennemi d’environ 150 personnes qui tentaient de prendre pied sur la rive gauche du Dniepr », a déclaré le ministère russe de la Défense dans un communiqué. « Les groupes ennemis dispersés ont été complètement éliminés », a-t-il assuré.

 

0h48 : Volodymyr Zelensky en Suède

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est arrivé en Suède pour y tenir des « entretiens » avec le Premier ministre Ulf Kristersson et la famille royale, ainsi que des représentants de partis politiques. « Olena et moi sommes arrivés en Suède », a affirmé le dirigeant ukrainien en référence à son épouse. Il a écrit qu’il rencontrerait le chef du gouvernement et la famille royale.

Ses « entretiens » aborderont les thèmes suivants : « partenariat, coopération de défense, intégration à l’UE et sécurité commune euro-atlantique », a-t-il précisé, en ajoutant : « Je remercie tous les Suédois qui soutiennent l’Ukraine ».

 

09h57 : « Une super nouvelle de nos amis aux États-Unis ! »

Kiev a salué vendredi soir le feu vert des Etats-Unis à l’envoi par les Pays-Bas et le Danemark d’avions F-16. « Une super nouvelle de nos amis aux États-Unis ! », s’est félicité sur Twitter (nouvellement X) le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiï Reznikov. Kiev réclamait depuis le début de l’invasion russe des avions occidentaux pour combattre dans les airs les forces de Moscou, largement supérieures à ce stade.

 

09h50 : Vladimir Poutine à Rostov-sur-le-Don pour une réunion avec ses généraux

Le président Vladimir Poutine a rencontré les généraux en charge de l'opération militaire russe en Ukraine lors d'une réunion à Rostov-sur-le-Don, dans le sud de la Russie, a annoncé le Kremlin samedi matin.

« Vladimir Poutine a tenu une réunion dans le quartier général de l'opération militaire spéciale à Rostov-sur-le-Don », affirme la présidence dans un communiqué. « Le chef de l'Etat a écouté les rapports du chef de l'état-major des forces armées russes Valéri Guérassimov, de commandants de secteurs et d'autres responsables ».

DIRECT

 

 

 

 

Niger : La force de la CEDEAO «prête à intervenir», le jour de l’intervention «aussi fixé»

 

par RT France

La force de la CEDEAO est «prête à intervenir» au Niger dès que les dirigeants des pays ouest-africains en donneront l’ordre, a déclaré le commissaire aux affaires politiques, à la paix Abdel-Fatau Musah.

«Nous sommes prêts à intervenir dès que l’ordre sera donné. Le jour de l’intervention a aussi été fixé», a déclaré le 18 août Abdel-Fatau Musah, le commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité de la CEDEAO, à l’issue d’une réunion des chefs d’état-major des armées ouest-africaines réunis depuis la veille à Accra.

Ces derniers ont décidé des modalités d’une possible intervention armée en dernier ressort pour rétablir au pouvoir le président élu Mohamed Bazoum écarté depuis le 26 juillet par le nouveau régime militaire à Niamey. Mais ils ont réaffirmé que la CEDEAO privilégie toujours la voie du dialogue.

«Il faut être deux pour danser le tango»

L’organisation a ainsi annoncé une «possible» mission diplomatique le 19 août au Niger alors que les précédentes délégations de l’organisation régionale n’ont pas réussi jusqu’ici à rencontrer le général Tchiani, le nouvel homme fort du pays. «Nous sommes prêts à résoudre le problème pacifiquement, mais il faut être deux pour danser le tango», a déclaré M. Musah. «Nous n’allons pas être ceux qui frappent à la porte alors qu’ils nous la claquent», a-t-il toutefois ajouté.

Si les militaires au Niger «veulent emprunter la voie pacifique pour rétablir très rapidement l’ordre constitutionnel, nous sommes prêts à renoncer à l’option militaire, car ce n’est pas notre option préférée, mais nous sommes obligés de le faire en raison de l’intransigeance du régime», a-t-il poursuivi.

Au sujet de la possible intervention, «tous les États membres de la CEDEAO présents ici aujourd’hui se sont engagés à fournir les éléments, les équipements et les ressources nécessaires pour mener à bien cette mission», a déclaré le responsable

«Nous avons convenu et mis au point ce qui sera nécessaire pour l’intervention. Quels sont les objectifs stratégiques, l’équipement nécessaire et l’engagement des États membres», a-t-il précisé.

Tous les pays de la CEDEAO non suspendus étaient représentés à cette réunion hormis le Cap-Vert et la Guinée-Bissau, soit le Bénin, la Côte d’Ivoire, la Gambie, le Ghana, le Liberia, le Nigeria, la Sierra Leone, le Sénégal et le Togo. Quant à la Guinée, le Mali et le Burkina Faso, ils sont suspendus des instances dirigeantes de la CEDEAO depuis qu’ils sont eux aussi dirigés par des militaires putschistes.

source : RT France

 

«Agression, on l’attend» : Le Burkina commente le projet d’intervention de la CEDEAO au Niger

 
 

par Sputnik Afrique

Le gouvernement burkinabé apportera l’aide militaire au Niger en cas d’agression de la CEDEAO, a déclaré à Sputnik Afrique le ministre de la Défense du pays Kassoum Coulibaly en commentant le projet d’intervention de la CEDEAO au Niger. Si cette décision est prise, le Burkina sera prêt à quitter la Communauté, selon l’officiel burkinabè.

Le Burkina-Faso s’attend à une intervention militaire de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) au Niger et s’apprête à soutenir son allié dans ce cas de figure, a annoncé dans une interview à Sputnik Afrique le colonel Kassoum Coulibaly, ministre burkinabé de la Défense.

«L’agression, on l’attend. De toute façon, on a déclaré sur le radio. Les chefs d’État ont déclaré : on est prêts, on soutiendra le Niger», a confirmé l’officiel burkinabè.

Selon le colonel Coulibaly, il n’est pas logique que les pays membres d’une communauté économique créée pour «vivre ensemble», «commencent à nous faire des barrières inutiles pour sauver des intérêts particuliers». Ainsi, si la CEDEAO déclenche une agression contre le Niger, le Burina Faso sera prêt à quitter cette organisation.

«On est même prêt à se retirer de la Communauté économique des États de l’Afrique», a martelé le ministre de la Défense.

 

Communauté économique et non pas militaire

Les pays membres de la CEDEAO «partis d’un regroupement sur les bases économiques» n’ont pas le droit de se faire la guerre entre eux, quel que soit le prétexte, a poursuivi le colonel Coulibaly.

«C’est assez choquant de penser que parmi les mêmes États on veut se faire la guerre entre nous et que certains chefs d’État veulent faire la guerre à d’autres pays sous le prétexte de gouvernance, de démocratie», a affirmé M.Coulibaly ajoutant qu’il est surtout «inutile et choquant et d’essayer de ramener, instaurer un régime qui est déchu par le coup d’État».

Riposte à une éventuelle agression

Selon le chef de la Défense, si les militaires de la CEDEAO décident d’entrer au Niger, ils feront face à des protestations populaires. Il y a déjà une forte dynamique au sein de la population, et surtout parmi les jeunes qui ne souhaitent pas être manipulés et qui ont «même pris leurs responsabilités pour faire face à toute agression quelconque», a constaté le colonel Coulibaly.

«Il y a toujours des tentatives de nous mentirentre nous-mêmes et la jeunesse a bien compris ça. Elle est actuellement sensibilisée sur ce plan, elle est mobilisée […]. Ils ont même dit qu’ils sont prêts à jouer le rôle de bouclier humain», a déclaré l’officiel burkinabè.

CEDEAO mal informée

En tant qu’ancien collaborateur de la CEDEAO, il croit que le centre d’alerte précoce de la communauté aurait dû être prévenu de ce qui se passait au Niger. Par contre, la CEDEAO qui a des cellules dans les différents pays et même au niveau central à Abuja, «est toujours peu avertie», a-t-il déploré.

«Si les dirigeants tenaient compte des avis, des conseils et du travail des techniciens il y aurait beaucoup d’erreurs qu’on aurait pu éviter», a-t-il conclu.

source : Sputnik Afrique

 

 

Le Burkina Faso prêt à soutenir le Niger si la CEDEAO lance une intervention – Ministre de la Défense

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 aout 2023
MOSCOU (Spoutnik) - Vendredi, le commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité de la CEDEAO, Abdel-Fatau Musah, a déclaré que les chefs d'état-major de la CEDEAO s'étaient mis d'accord sur une date pour le début de l'intervention militaire, mais ne la rendraient pas publique.
Le Burkina Faso se prépare au fait que les forces de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest ( CEDEAO ) pourraient lancer une intervention militaire au Niger, et le pays est prêt à soutenir Niamey, a déclaré à Sputnik le ministre burkinabé de la Défense, Kassoum Coulibaly.

"Nous anticipons l'agression [des forces de la CEDEAO contre le Niger]. En tout cas, le chef de notre Etat [Ibrahim Traoré] a dit que nous sommes prêts à l'agression, nous soutenons le Niger", a déclaré Coulibaly.

Il a ajouté que le Burkina Faso est même prêt à se retirer de la CEDEAO car il considère la politique de l'association vis-à-vis du Niger illogique.

Les membres de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest ne devraient pas se faire la guerre, et l'idée même de tels événements est choquante, a déclaré Coulibaly.

"Nous n'avons pas le droit de nous battre. Nous faisons partie d'une seule union économique. L'idée même que certains États de l'association veuillent mener une guerre intestine est choquante. Il est également choquant que certains chefs d'État veuillent faire la guerre contre d'autres pays sous le couvert de la démocratie », a déclaré Coulibaly.

Il a également noté que l'organisation dispose d'un vaste réseau de bureaux dans toute la région , mais que ses dirigeants ignorent souvent les messages des experts sur le terrain.

"S'ils n'avaient pas ignoré les messages des experts de la CEDEAO, ils auraient vu les signes [du conflit à venir]. Et beaucoup auraient pu être évités", a déclaré le ministre.

Coulibaly a également qualifié d'étrange l'intention de la CEDEAO de réintégrer le président nigérien déchu, Mohamed Bazoum, ajoutant que la communauté elle-même devrait aider des États comme le Niger dans sa lutte contre le terrorisme.

"Le Burkina Faso est solidaire du Mali et s'oppose à toute agression contre le Niger car nous partageons une frontière commune. Nous menons une guerre contre le terrorisme et nous devons continuer à la mener", a-t-il déclaré.

Un coup d'État militaire a eu lieu au Niger le 26 juillet. Le président nigérien Mohamed Bazoum a été évincé et détenu par sa propre garde, dirigée par le général Abdourahamane Tchiani. Suite à la prise de contrôle, la CEDEAO a suspendu toute aide financière au Niger, gelé les avoirs de l'armée et imposé une interdiction des vols commerciaux à destination et en provenance du pays. Début août, lors d'un sommet dans la capitale nigériane d'Abuja, les dirigeants de la CEDEAO ont convenu d'activer une force en attente pour éventuellement contraindre l'armée nigérienne à réintégrer Bazoum .

 

Aucune discussion sur l'établissement d'une base militaire russe au Burkina Faso n'est en cours

Il n'est pas prévu d'établir une base militaire russe au Burkina Faso, a déclaré le ministre burkinabé de la Défense, Kassoum Coulibaly.

"Il ne s'agit pas d'inviter des troupes étrangères ou d'établir des bases. Je ne pense pas que cela puisse résoudre le problème [du terrorisme]. Nous savons nous-mêmes ce qui se passe réellement sur notre terre", a déclaré Coulibaly, interrogé sur les éventuelles bases militaires russes dans le pays.

Le ministre a déclaré que le Burkina Faso devait être doté des moyens nécessaires pour lutter seul.

"Il est difficile pour nous de laisser d'autres soldats mourir pour nous. Nous devons obtenir les moyens nécessaires pour mener nos propres batailles", a-t-il déclaré.

Le ministre a également évoqué le nouveau concept de "volontaires pour la défense de la patrie", qui stipule la création de petits groupes armés à partir de la population pour combattre les terroristes .

"Ce concept est né de la volonté de notre peuple. Nous le mettons maintenant en pratique en l'améliorant et en développant des réglementations légales pour nous assurer que ces personnes savent manier les armes et, surtout, respectent les droits de l'homme", a déclaré Coulibaly. .

 

 

Les États-Unis se livrent à des activités biomilitaires plus que tout autre pays au monde – Pékin

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 aout 2023

BEIJING (Spoutnik) – Les États-Unis sont plus engagés dans des activités biomilitaires que tout autre pays au monde, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Wang Wenbin, commentant le récent rapport du Pentagone sur les menaces biologiques.

Le département américain de la Défense (DOD) a publié jeudi un bilan des menaces biologiques. La première revue de la posture de biodéfense du DoD, en particulier, qualifie la Chine de principale menace à long terme en raison de ses développements dans le domaine des armes biologiques , qui constitueraient une menace pour la sécurité des États-Unis.

"Comme nous le savons tous, ce sont les États-Unis qui mènent le plus d'activités biomilitaires au monde, mènent le plus d'actions qui suscitent des doutes", a déclaré Wang aux journalistes.

Les États-Unis fabriquent souvent des rapports sur de soi-disant menaces à des fins géopolitiques « pour dissuader et réprimer d'autres pays, pour protéger leurs intérêts hégémoniques », a déclaré le diplomate, ajoutant qu'ainsi Washington provoquait la confrontation et endommageait le système mondial de gestion de la biosécurité.

La Chine soutient la communauté internationale dans l'examen de la façon dont les États-Unis se conforment à la Convention sur les armes biologiques, et appelle les États-Unis à remplir efficacement leurs obligations internationales, a déclaré M. Wang.

Plus tôt, la Chine a déjà exhorté les États-Unis à expliquer leurs activités militaro-biologiques à l'étranger et à respecter leurs obligations internationales.

« Nous réitérons nos appels aux États-Unis pour qu'ils respectent fidèlement leurs obligations internationales et fournissent des explications complètes sur leurs activités militaro-biologiques dans le pays et à l'étranger », a déclaré Wang Wenbin aux journalistes le 12 avril.

En mars, la Russie et la Chine ont publié une déclaration conjointe sur les activités biologiques militaires menées par les États-Unis.

"Les parties expriment leur vive inquiétude face aux activités militaires biologiques des États-Unis d'Amérique, menées sur leur territoire et au-delà de leurs frontières, qui constituent une grave menace pour la sécurité d'autres États et de régions entières, exigent que les États-Unis fournissent des éclaircissements sur cette question et de ne pas mener d'activités biologiques contraires à cette convention, ni d'entraver la mise en place d'un mécanisme de vérification du respect des obligations en vertu de cette convention », lit-on dans le communiqué.

Début mars 2022, le ministère russe de la Défense a publié des informations indiquant que les États-Unis déployaient un vaste programme de recherche biologique en Ukraine. Selon le ministère russe de la Défense, les États-Unis ont dépensé plus de 200 millions de dollars pour 46 laboratoires biologiques en Ukraine qui ont participé au programme biologique militaire américain.

Selon le lieutenant-général Igor Kirillov, chef des Forces de radioprotection, de protection chimique et biologique des forces armées russes, l'une des tâches prioritaires des laboratoires ukrainiens était de collecter et d'envoyer aux États-Unis des souches d'agents pathogènes de maladies infectieuses . dangereuses - choléra, anthrax, tularémie, et autres . Dans le même temps, le transport des agents pathogènes n'était pas contrôlé au sein de l'OMS, du BWC ou d'autres institutions internationales, et divers agents et substances biologiques ont été testés sur le personnel militaire ukrainien, les citoyens indigents et les patients des hôpitaux psychiatriques.

Selon la Russie, les États-Unis, sous couvert d'activités scientifiques et d'efforts pour améliorer les systèmes de sécurité des laboratoires, ont développé des armes biologiques en Ukraine .

Selon le ministère chinois des Affaires étrangères, le département américain de la Défense contrôle 336 biolaboratoires dans 30 pays à travers le monde. À cet égard, la question de la recherche biologique menée par les États-Unis préoccupe beaucoup la Chine, et ces informations fournies par le ministère russe de la Défense ont immédiatement trouvé un écho dans le pays.

Spoutnik

 

 

Tensions en Asie - 42 avions de combat et 8 navires déployés : la Chine a lancé une nouvelle série d'exercices militaires autour de Taiwan

 

  • Le ministère taïwanais de la Défense a dit avoir repéré 42 avions chinois et huit navires impliqués dans ces exercices.
    Le ministère taïwanais de la Défense a dit avoir repéré 42 avions chinois et huit navires impliqués dans ces exercices. XinHua - Yu Hongchun

La Chine a de nouveau lancé ce samedi une série d'exercices militaires autour de l'île de Taiwan en réponse à la visite aux États-Unis du vice-président William Lai, des manœuvres condamnées par Taipei.

William Lai, considéré comme le favori pour devenir président de Taiwan lors des élections de janvier, est rentré des États-Unis vendredi. Il n'a officiellement fait que des escales à l'aller et au retour d'un déplacement au Paraguay, mais il a prononcé des discours aux États-Unis.

La Chine considère Taiwan, gouverné démocratiquement, comme son propre territoire, malgré les protestations des autorités de l'île.

Le Commandement du théâtre oriental de l'Armée populaire de libération, responsable de la région de Taiwan, a fait savoir dans un bref communiqué qu'il effectuait des patrouilles conjointes de préparation au combat naval et aérien autour de l'île.

Le ministère taïwanais de la Défense a dit avoir repéré 42 avions chinois et huit navires impliqués dans ces exercices qui ont débuté samedi, et qu'il avait déployés des navires et des avions pour y répondre.

Vingt-six avions chinois ont traversé la ligne médiane du détroit de Taiwan, large d'une centaine de kilomètres, ou des zones à chaque extrémité de la ligne, précise le ministère dans un communiqué. Pendant des décennies, la ligne a servi de barrière officieuse entre les deux armées.

Le Parti progressiste démocrate au pouvoir à Taiwan a accusé la Chine d'utiliser les exercices pour s'immiscer dans les élections de janvier et le bureau présidentiel a déclaré que Pékin devrait "s'acquitter de ses obligations internationales en matière de sécurité et de stabilité régionales".

Le ministère taïwanais de la Défense a publié une courte vidéo non datée montrant les forces taïwanaises en train d'effectuer des manœuvres en mer, en ville et à la campagne. Les images étaient assorties d'un message : "Défendez fermement la souveraineté nationale et protégez la liberté démocratique et la sécurité du peuple !"

"JE NE PENSE PAS QU'IL Y AURA LA GUERRE"

Quelques heures avant les exercices, le président américain Joe Biden et les dirigeants de la Corée du Sud et du Japon se sont mis d'accord à Camp David pour approfondir leurs relations en matière de défense et de coopération économique, tout en réaffirmant "l'importance de la paix et de la stabilité à travers le détroit de Taiwan en tant qu'élément indispensable de la sécurité et de la prospérité dans la communauté internationale."

L'ampleur exacte des manœuvres de samedi n'était pas mesurable et il n'y avait aucun signe d'affolement dans les rues de Taiwan, habituée depuis longtemps aux menaces de la Chine.

"Je ne pense pas qu'il y aura de guerre, je n'ai pas peur", a déclaré Chou Yu-hsuan, 20 ans, étudiant à l'université.

Responsables régionaux de la défense et analystes cherchent à mesurer l'intensité des opérations chinoises en comparaison avec celles menées en août 2022 et en avril dernier.

Après la visite de l'Américaine Nancy Pelosi, alors présidente de la Chambre des représentants, à Taipei l'an dernier, l'armée chinoise a organisé des exercices navals autour de Taiwan et tiré des missiles au-dessus de l'île dont certains ont atterri dans la zone économique exclusive du Japon.

Les exercices d'avril ont été déclenchés après une rencontre en Californie entre le président Tsai Ing-wen et le président de la Chambre, Kevin McCarthy.

Un haut responsable taïwanais au fait du dossier a déclaré à Reuters qu'à la différence de la séquence d'avril, la Chine n'a pas baptisé les opérations en cours et elle a attendu la fin du sommet de Camp David pour les lancer, signe de sa volonté d'éviter une "confrontation directe".

La Chine a une aversion particulière pour Lai qui a déclaré par le passé travailler "pour l'indépendance de Taiwan". Pendant la campagne électorale, le candidat s'est cependant engagé à maintenir le statu quo et il a proposé à plusieurs reprises des pourparlers avec Pékin.

L'annonce des exercices militaires de Pékin a été accompagnée dans la presse d'Etat chinoise d'articles sévère pour Lai, traité de "menteur" par l'agence de presse officielle Xinhua.

Source

 

 

 

Pakistan : 87 domiciles chrétiens et 21 églises saccagées et incendiées lors d’une vague de violences après l’accusation de blasphème contre deux chrétiens pakistanais qui auraient profané un Coran

 

 

Luxembourg : une syndicaliste policière provoque une polémique en faisant le lien entre la hausse de la criminalité et l’immigration


Il n’est pas possible de dire clairement si les violences policières augmentent. En tout cas, aujourd’hui les policiers sont plus visibles et “il n’y a plus de respect de l’uniforme“, a déclaré la nouvelle présidente du syndicat de police SNPGL, Marlène Negrini, qui était l’invitée de la rédaction de RTL jeudi matin. Depuis 2018, 123 cas de violences policières ont été dénombrés, soit environ 25 cas par an, selon les statistiques de l’IGP, l’Inspection générale de la police.

(…)

La criminalité a-t-elle augmenté?

Il est bien possible que la criminalité ait augmenté parce que beaucoup de ressortissants étrangers tournent autour de la Gare, et trafiquent de la drogue” et parce que la population augmente également, indique Marlène Negrini. En outre, “aujourd’hui, tout est public. Tout le monde a un smartphone et tout est filmé.

 

Infos.rtl.lu


Evandro Cimetta, président de l’Asti, a regretté les propos du syndicat de la police SNPGL, dont la présidente Marlène Negrini avait déclaré que la délinquance augmentait au Luxembourg en raison de l’augmentation des étrangers qui se trouvaient autour de la gare de Luxembourg. “Tous les délinquants et criminels ne sont pas des étrangers“, a rétorqué Evandro Cimetta.

infos.rtl.lu

 

 

Paris : La place de l’Hôtel de Ville est devenue un véritable camp de migrants (MàJ)

 

18/08/23

03/08/23

 

 

Roanne (42). 8 mois avec sursis pour le père qui a tabassé l’agresseur sexuel de sa fille de 6 ans, le prédateur sexuel migrant guinéen condamné à 18 mois (MàJ)

18/08/2023

Le jeune Guinéen de 17 ans, auteur d’une intrusion et d’une agression sexuelle sur une mineure de 6 ans à Roanne, en octobre 2022, a été condamné à dix-huit mois de prison ferme, ce jeudi 17 août.

Cnews

07/03/2023

Le père de famille qui avait frappé l’adolescent suspecté d’avoir agressé sexuellement sa fille de 6 ans a été condamné à 8 mois de prison avec sursis par le tribunal judiciaire de Roanne.

Dans son délibéré, le tribunal à  expliqué avoir tenu compte des circonstances particulières des faits.

Deux des trois hommes qui l’accompagnaient ont été relaxés. Le dernier mis en cause, reconnu par les policiers alors qu’il frappait le jeune homme, a été condamné à 6 mois ferme.

Le Progrès

24/01/2023

Jugé pour violences aggravées aux côtés de trois de ses amis, le père de famille a reconnu avoir voulu se faire justice lui-même après l’agression de sa fille de 6 ans.

Le procureur de Roanne a requis 18 mois de prison dont 6 à 9 mois avec sursis probatoire de 2 ans contre un père de famille qui avait lynché l’agresseur sexuel présumé de sa fille de 6 ans, une peine aménageable.

[…]

 

BFMTV

 

 

 

La première édition du «JDD» sous l’ère Geoffroy Lejeune a attiré davantage de lecteurs. les ventes au numéro ont atteint 61.000 exemplaires, en hausse de 22% par rapport à la moyenne des numéros vendus tout au long du mois de juin.

La première édition du «JDD» sous l’ère Geoffroy Lejeune a attiré davantage de lecteurs

Simple effet de curiosité ou premier signe d’une nouvelle dynamique ? Les chiffres de vente du premier numéro du Journal du Dimanche (JDD) de l’ère Geoffroy Lejeune, paru le 6 août dernier, n’ont pas manqué de surprendre certains kiosquiers français. Préparé en quelques jours par une équipe resserrée et quelques bénévoles, l’hebdomadaire du dimanche à la pagination réduite (trente-deux pages au lieu de cinquante-deux) consacrait sa Une à l’insécurité et à la justice. (…)

La nouvelle direction de la rédaction allait-elle séduire les lecteurs ? Selon les informations du Figaro, les ventes au numéro de cette 3995e édition ont atteint 61.000 exemplaires à travers le pays. Ce qui correspond à une hausse de 22% par rapport à la moyenne des numéros du journal vendus tout au long du mois de juin. La diffusion payée du journal papier – soit les ventes au numéro et les abonnements – atteignait les 131.770 exemplaires en 2022, en recul de 8% sur un an.

www.lefigaro.fr

 

 

L’accord du 27 décembre 1968, qui facilite l’immigration des Algériens en France, a eu raison de ce qui avait été le cœur de la politique algérienne du général De Gaulle : éviter la submersion de la France par l’immigration

Alors que se succèdent crises et rebondissements dans les relations franco-algériennes sous l’égide d’Emmanuel Macron et de son homo­logue Abdelmadjid Tebboune, l’ancien ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, a jeté en mai dernier un pavé dans la mare en révélant, dans une note destinée à la Fondapol (Fondation pour l’innovation politique), l’existence d’un traité international dont l’opinion française ignorait tout : celui qui lie depuis le 27 décembre 1968 la France à la République algérienne et institue pour ses ressortissants un système préférentiel de séjour et d’immigration.

Destiné à favoriser l’immigration de travailleurs algériens en France, celui-ci a institué en effet un titre de séjour qui leur est propre et qui n’a jamais été, à ce jour, remis en question : le certificat de résidence administrative, valable dix ans pour tout immigré algérien titulaire d’un visa de plus de trois mois ; il a dans le même temps facilité pour les mêmes Algériens le regroupement familial en les dispensant de l’exigence d’intégration dans la société française. Permettant aux étudiants de transformer leur visa en titre de séjour permanent, il prévoit en outre la régula­risation de tout Algérien sans papier ­pouvant attester de dix ans de résidence en France, ou de son mariage avec un conjoint français. Toutes dispositions exorbitantes du droit commun mais impossibles à changer par la loi puisque, en vertu de la hiérarchie des normes, les traités internationaux, dans l’ordre juridique français, l’emportent sur la législation.

(…)

L’accord que, après Édouard Philippe, toute une partie de la classe politique française veut désormais remettre en question n’apparaît ainsi nullement comme une aberration, un acte politique marqué par un manque singulier de sens de l’anticipation. Il s’inscrit bien plutôt dans une logique politique qui avait consisté à acheter la bienveillance du tiers-monde, fût-ce au prix des intérêts du pays, dans la perspective du nouveau rôle que le général De Gaulle rêvait de jouer sur la scène internationale. L’illusion a été payée, depuis cinquante-cinq ans au prix fort. Elle constitue l’héritage le moins connu du gaullisme. Les émeutes qui ont secoué la France en ce début d’été 2023 montrent qu’il n’est pas sûr que ce soit le moins lourd de conséquences pour la France.

www.lefigaro.fr

 

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