Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
troisiemeguerremondiale.net

troisiemeguerremondiale.net

Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

_________________________________

Les Infos du 15 aout

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : La Suède annonce près de 300 millions d’euros d’aide militaire pour l’Ukraine…

 

L’ESSENTIEL

  • Des frappes nocturnes ont visé les villes de Lviv et Loutsk, dans l’ouest de l’Ukraine, et ont fait au moins trois morts, ont affirmé des responsables locaux ce mardi matin.
  • L’Ukraine a revendiqué lundi quelques gains dans l’Est et le Sud, de petites avancées dans le cadre de son éreintante contre-offensive déclenchée il y a deux mois. Dans l’Est, la bataille pour Bakhmout continue de faire rage. Dans ce secteur, « 3 km2 ont été libérés la semaine dernière. Au total, 40 km2 ont déjà été libérés sur le flanc sud du secteur de Bakhmout », a annoncé Ganna Maliar, la vice-ministre ukrainienne de la Défense.
  • Face à la chute du rouble, au plus bas depuis mars 2022 dans la foulée de l’assaut du Kremlin contre l’Ukraine, la Banque centrale russe a annoncé la tenue ce mardi d’une réunion surprise sur le taux directeur. Une des causes principales de la chute de la monnaie est l’état du commerce extérieur. La Russie souffre notamment de la baisse considérable des revenus liés à la vente de ses hydrocarbures, sous l’effet des sanctions et de la détermination des Européens de sortir de leur dépendance énergétique vis-à-vis de Moscou.

 

14h35 : La Suède annonce près de 300 millions d’euros d’aide militaire pour l’Ukraine

Le gouvernement suédois a présenté mardi une nouvelle aide militaire de 3,4 milliards de couronnes (286,6 millions d’euros) à destination de l’Ukraine. Ce plan comprend notamment des munitions et pièces de rechange pour les véhicules de combat d’infanterie CV-90, pour des tanks ou encore pour le système d’artillerie Archer, a précisé le ministre de la Défense Pål Jonson lors d’une conférence de presse.

Il inclut également du matériel de déminage et des munitions pour les systèmes anti-aérien afin que la Russie « n’établisse pas de suprématie aérienne ». Cette aide intervient après que « l’Ukraine nous a signalé de grands besoins […] en particulier en matière de munitions et de pièces détachées ». Ce plan va être soumis au vote du Parlement jeudi.

 

10h03 : Les ressources militaires ukrainiennes sont « quasiment épuisées », selon le pouvoir russe

Le ministre russe de la Défense a estimé mardi que les ressources de l’armée ukrainienne étaient « quasiment épuisées ». « Les ressources militaires de l’Ukraine sont quasiment épuisées », a déclaré Sergueï Choïgou lors d’une conférence sur la sécurité à Moscou, assurant que Kiev n’obtenait « pas de résultat » malgré le « soutien total » de l’Occident. Notons que l’armée russe n’obtient pas beaucoup plus de résultats, serait-elle également épuisée ?

 

09h52 : La banque centrale russe relève ses taux pour contrer la chute du rouble

La Banque centrale russe (BCR) a relevé mardi son taux directeur de 8,5 % à 12 %, sur fond de redémarrage de l’inflation et de chute du rouble, au plus bas par rapport à l’euro et au dollar depuis mars 2022. « Cette décision a été prise afin de limiter les risques pesant sur la stabilité des prix », a indiqué la BCR dans un communiqué, à l’issue d’une réunion d’urgence sur ses taux.

 

HIER

15h36 : La Russie dit avoir intercepté un avion militaire norvégien s’approchant de sa frontière

L’armée russe a affirmé avoir envoyé un chasseur pour intercepter lundi un avion militaire norvégien qui s’approchait des frontières de la Russie au-dessus de la mer de Barents, dans l’océan Arctique.

« A l’approche du chasseur russe, l’avion militaire étranger a fait demi-tour », a indiqué le ministère russe de la Défense dans un communiqué, précisant que l’appareil norvégien avait été identifié comme un Boeing P-8A « Poseidon », un avion de patrouille maritime.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : deux avions bombardiers russes volent vers l'espace aérien de l'OTAN, les Pays-Bas réagissent avec des F-16

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 aout 2023
Publié le

Les deux bombardiers russes ont été interceptés par le Danemark alors qu'ils se dirigeaient vers une zone de l'espace aérien de l'OTAN surveillée par les Pays-Bas.

L'armée de l'air danoise a intercepté deux avions bombardiers russes. Ils volaient au-dessus du territoire du pays pour se diriger vers une zone de l'espace aérien de l'OTAN surveillée par les Pays-Bas, d'après les informations dévoilées ce lundi 14 août par l'Armée de l'air royale néerlandaise et citées par l'agence Reuters.

La Russie accuse la Norvège

Les Pays-Bas ont réagi en envoyant des avions de combat F-16 mais les bombardiers russes ont fait demi-tour avant de pouvoir entrer dans l'espace aérien de l'OTAN. Un porte-parole de l'armée royale a toutefois précisé qu'il n'est pas rare de voir des avions russes violer l'espace aérien de pays européens.

La Russie a de son côté annoncé avoir ordonné le décollage d'un avion de chasse MiG-29 après qu'un avion de l'armée de l'air norvégienne, pays membre de l'OTAN, a été vu au-dessus de la mer de Barents, rapporte The Telegraph. Il aurait fait demi-tour à l'approche de la frontière russe.

Source

 

 

«Chair à canon», «guerre par procuration» : Un ancien officier français analyse le conflit ukrainien

 

L’Ukraine a été jetée dans un conflit par procuration qui la dépasse et qui sert avant tout les intérêts d’une élite américaine, a affirmé à Sputnik Afrique Pierre Plas, ancien officier de renseignement de l’armée française. Une oligarchie qui craint par ailleurs le processus de dédollarisation à l’œuvre.

Bien plus qu’un conflit régional. Le conflit ukrainien cache en réalité une opposition plus profonde entre une oligarchie mondialisée et des peuples voulant défendre leur souveraineté, a déclaré à Sputnik Afrique Pierre Plas, ancien officier de renseignement de l’armée française.

Le conflit en Ukraine n’est qu’un prétexte pour protéger les intérêts américains, dont les élites s’inscrivent dans des logiques mondialistes, proches d’un «totalitarisme global, financier et apatride», souligne l’analyste militaire.

«Le conflit qui se déroule actuellement, n’est pas une guerre de la Russie contre l’Ukraine comme on veut nous le faire croire. C’est une guerre où l’Ukraine sert de champ de bataille, où les Ukrainiens servent de chair à canon. C’est une guerre par procuration qui sert seulement les intérêts de l’oligarchie américaine, de l’oligarchie mondialiste», affirme-t-il ainsi.

De son côté, l’Europe qui soutient la politique américaine, est complètement privée d’autonomie par les mondialistes «qui ne veulent plus entendre parler de pays souverains» :

«Les dirigeants de l’Europe ne sont pas au service de leurs peuples, ils sont au service de l’oligarchie mondialiste qui se moquent complètement de la France, de l’Allemagne», déclare ainsi Pierre Plas.

Dimension économique

Citant le célèbre théoricien militaire Carl von Clausewitz, Pierre Plas rappelle encore que l’argent est le nerf de la guerre. «C’est celui qui paie qui décide des buts de guerre», souligne-t-il, en référence à l’implication financière américaine dans le conflit.

Il est d’ailleurs significatif que ce conflit survienne à une heure où l’économie américaine est mise sous pression. Les processus de dédollarisation en cours effraient particulièrement les élites américaines, qui voient les privilèges liés au billet vert leur filer entre les doigts.

«L’hégémonie anglo-américaine repose sur leur monnaie. Il faut comprendre que ces gens sont les héritiers des pirates vikings […] Le système qu’ils ont toujours utilisé, c’est un système de piratage, de pillage de l’économie réelle par une interface virtuelle qui aujourd’hui est la bourse. Ils ont mis en place une rente coloniale qui repose sur l’hégémonie du dollar», explique ainsi Pierre Plas.

La Russie, qui fonctionne de manière autonome, comme «un continent», ne peut qu’être une menace pour les élites des États-Unis dans leur entreprise de destruction des souverainetés, souligne encore l’ancien des renseignements français.

Livraisons d’armes et dérives

Concernant les livraisons d’armes à l’Ukraine, Pierre Plas souligne encore le trouble jeu des Occidentaux, qui ne fournissent que des armes obsolètes à Kiev. Il s’inquiète de voir ce matériel ressurgir sur le marché noir, ce qui risque d’alimenter davantage de conflits dans le monde, y compris en Europe.

«Les pays occidentaux ont refilé à l’Ukraine tous leurs vieux stocks d’armements dont ils n’ont pas besoin. Je pense qu’ils ont conservé leurs meilleures armes, en particulier les Américains. Ce sont des armes obsolètes, dépassées. Ils continuent à donner ce matériel qui manifestement n’arrive pas entre les mains des Ukrainiens. Il est revendu sur le marché noir, on le sait : on voit déjà des armes qui reviennent», explique ainsi l’ancien officier.

La situation pourrait d’ailleurs empirer en cas d’extension du conflit, avec l’emploi d’armes non conventionnelles. Un scénario auquel le monde doit malheureusement se préparer, souligne Pierre Plas.

source : Sputnik Afrique

 

 

 

Le chef du ministère chinois de la Défense se rendra dans les prochains jours en Fédération de Russie et en Biélorussie, ce qui inquiète l’Occident

 

 

Il semble que les craintes des États-Unis et de leurs alliés pourraient se confirmer. L’Occident craint qu’en dépit de sa position supposée neutre dans le conflit en Ukraine, la Chine continue de maintenir et de renforcer ses liens avec la Russie.

Une confirmation évidente de cela est le projet du chef du ministère chinois de la Défense de se rendre en Russie et en Biélorussie dans les prochains jours. C’est ce qu’a déclaré le service de presse du département militaire chinois, publiant un article correspondant sur WeChat.

On rapporte qu’à Moscou, Li Shangfu a l’intention de participer à une conférence sur la sécurité internationale, qui doit commencer le 15 août. En Biélorussie, un responsable chinois visitera des unités militaires. La date exacte de la visite n’a pas encore été annoncée, on dit seulement qu’elle peut avoir lieu entre le 14 et le 19 août.

En outre, le chef du ministère chinois de la Défense prévoit de s’entretenir avec les dirigeants militaires et politiques de la Russie et de la Biélorussie. Le sujet de la conversation n’est pas non plus signalé.

Rappelons que la Chine a participé à la soi-disant conférence de paix sur l’Ukraine à Djeddah, qui n’a finalement abouti à rien pour Kiev. Dans le même temps, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a contacté son homologue russe Sergueï Lavrov immédiatement après l’événement, soulignant que la position de Pékin sur le conflit ukrainien reste impartiale.

source : Top War

 

 

Comment l'équipe Biden nuit au prestige et à la crédibilité des États-Unis en entrant dans le piège de l'Ukraine

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 aout 2023

Les observateurs américains ont soulevé la question de savoir si le président Joe Biden pourrait abandonner ses objectifs maximalistes en Ukraine qui menacent de se transformer en piège pour Washington.

Avant la très attendue contre-offensive ukrainienne de 2023 , les politiciens américains et la presse grand public avaient dressé un tableau de ce à quoi devrait ressembler la fin de partie en Ukraine, les forces de Kiev saisissant autant de territoire que possible pour prendre le dessus dans les négociations.

Citant des responsables de la Maison Blanche, les médias américains ont laissé entendre que d'ici la fin de l'été, l'Ukraine ferait pencher la balance en sa faveur. Cependant, la réalité sur le terrain ne correspond pas aux attentes.

Le Quincy Institute for Responsible Statecraft, un groupe de réflexion basé à DC, a soulevé la question de savoir si l'équipe Biden a un plan B pour une sortie qui sauve la face après avoir persuadé tout le monde en Occident que tout ce qui n'est pas la victoire de Kiev serait un mondial catastrophe.

En fait, l'administration Biden s'est tendue un piège en employant une « rhétorique hyperbolique » afin de vendre l'idée de la guerre de Washington en Ukraine au public américain et à la communauté mondiale. Le président Biden a fait monter les enchères au maximum tout en affirmant en février 2023 lors de son discours en Pologne que "ce qui est littéralement en jeu, ce n'est pas seulement l'Ukraine, c'est la liberté".

Un autre point de discussion de l'establishment américain de la politique étrangère, des législateurs et des universitaires était que la victoire de la Russie non seulement "enhardirait" Moscou pour de nouvelles "invasions", mais encouragerait également Pékin à "entreprendre une action militaire" contre Taïwan - ce qui a été nié à plusieurs reprises comme un non-sens. par la Chine qui a toujours considéré l'île comme son territoire inaliénable.

Le candidat républicain à la présidentielle Chris Christie est même allé jusqu'à affirmer que l'éventuelle « invasion » de Taïwan par la Chine nécessiterait inévitablement de mettre les bottes américaines sur le terrain.

En conséquence, le récit à la mode a privé l'équipe Biden de marge de manœuvre : si le président américain décidait de se retirer, il devrait expliquer à la communauté internationale pourquoi il « renonce » à la démocratie et aux valeurs humaines, s'inclinant aux "dictateurs", et laissant le monde en "danger".

"Même si les responsables ne croient pas vraiment que la sécurité américaine et européenne est en jeu, il est clair que quelque chose d'autre pourrait l'être : le prestige et la crédibilité des États-Unis et de l'OTAN", indique le rapport du groupe de réflexion. "Pire, tout succès russe - qu'il soit réel ou perçu - pourrait être considéré comme politiquement inacceptable ou même humiliant pour les dirigeants de l'OTAN, tout en révélant des divisions qui ont jusqu'à présent été largement réprimées."

Selon le groupe de réflexion, la peur de perdre son prestige et sa crédibilité était l'un des facteurs à l'origine de l'engagement prolongé des États-Unis au Vietnam, en Irak, en Afghanistan et dans d'autres guerres.

Pour compliquer davantage les choses, Biden se présentera pour une réélection en 2024, la victoire attendue de Kiev dans la contre-offensive ayant été considérée comme un argument de vente pour la campagne du titulaire. Maintenant que les forces armées ukrainiennes ont perdu plus de 43 000 soldats et 20 % de l'armement de l'OTAN et se sont enlisées, l'administration Biden s'est retrouvée entre le marteau et l'enclume, selon le groupe de réflexion.

D'une part, les appels de Biden à 20 milliards de dollars supplémentaires pour l'Ukraine sont intervenus à un moment où une majorité d'Américains, dont 71 % de républicains et 55 % d'indépendants, s'opposent à une aide militaire supplémentaire à l'Ukraine , selon de récents sondages. Dans ces conditions, la poursuite du conflit comporte le risque d'un sentiment négatif croissant et, par la suite, de pires chances électorales.

D'autre part, le retrait de Biden de l'Ukraine alors que cette dernière est en train de perdre évoquerait de forts souvenirs du retrait humiliant et bâclé des États-Unis d'Afghanistan en août 2021. De plus, dans tous les cas où le conflit ukrainien se terminerait dans des conditions moins favorables à Kiev que promis plus tôt, on peut s'attendre à une tempête de critiques contre l'équipe Biden, selon le groupe de réflexion.

En plus de cela, plus l'administration américaine attend pour préparer le terrain pour mettre fin au conflit diplomatiquement, "plus ce sera difficile à faire, avec les coûts les plus élevés supportés par le peuple ukrainien", a averti le groupe de réflexion.

Spoutnik

 

 

La domination du dollar et de l'euro est actuellement contestée, dit Sergueï Lavrov

 

Lors de la Conférence de Moscou sur la sécurité internationale, le chef de la diplomatie russe a entre autres constaté l'émergence d'un paysage plus multipolaire. Selon lui, le monde se tourne vers les paiements en monnaies nationales, et le dollar perd en influence.

Le monde se tourne vers les paiements en monnaies nationales, alors qu'un paysage plus multipolaire est en train d'émerger, a déclaré ce mardi le ministre russe des Affaires étrangères.

Les efforts menés par les États-Unis pour préserver la domination occidentale sont voués à l'échec, a martelé Sergueï Lavrov en intervenant lors de la XIe Conférence de Moscou sur la sécurité internationale. Il a accusé Washington de privatiser l'Onu et d'utiliser l'Otan comme barrière pour ignorer les accords.

Les BRICS en passe de se renforcer?

Et d'ajouter que l'élargissement des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) permettra d'augmenter le poids du groupe sur la scène internationale.

"L'une des questions clés à l'ordre du jour du prochain sommet à Johannesburg sera l'élargissement des BRICS, qui renforcera sans aucun doute cette association", a indiqué le ministre.

Source

 

 

 

Donald Trump : les principales enquêtes judiciaires qui menacent l’ex-président américain

 

Plusieurs procédures judiciaires, menées aux niveaux local et fédéral, sont en cours, concernant des manipulations fiscales et électorales.

Donald Trump arrive à l’aéroport de Miami, à la veille de son inculpation, le 12 juin  2023.

Donald Trump est de nouveau rattrapé par les affaires. Lundi 14 août, l’ex-président américain a été officiellement inculpé pour ses tentatives d’inverser le résultat de l’élection présidentielle de 2020 dans l’Etat de Géorgie.

Avec quatre inculpations pénales en moins de six mois – et des procès à la clé –, ses ambitions présidentielles pourraient être freinées, tant les accusations qui pèsent sur lui sont graves et nombreuses.

La tentative d’entraver la présidentielle de 2020 en Géorgie

Inculpation étatique

Après deux ans et demi d’enquête et avec l’accord d’un grand jury, la procureure de district du comté de Fulton (Géorgie), Fani Willis, a inculpé, lundi 14 août, Donald Trump et dix-huit autres personnes pour avoir tenté de renverser le résultat de l’élection présidentielle de 2020 dans l’Etat-clé de Géorgie. Parmi les dix-huit autres inculpés, on trouve notamment le conseiller de M. Trump et ancien maire de New York Rudolph Giuliani, son ancien chef de cabinet, Mark Meadows, et un responsable du ministère de la justice sous son administration, Jeffrey Clark.

Lire la suite

 

Note: les démocrates n'ont vraiment honte de rien, ils tentent par tous les moyens d'éliminer juridiquement  Trump de la prochaine présidentiel de 2024

 

 

 

La politique américaine au Niger inquiète la France

 
 

La France espère toujours conserver son influence en Afrique. Cependant, les États-Unis ont l’intention d’utiliser la région à leurs propres fins. Au final, Paris devra céder. La position américaine sur la situation au Niger a déçu la France. 

La France s’assurait pendant longtemps sa position internationale grâce à son influence en Afrique. En particulier, Paris était responsable des approvisionnements en ressources et matières premières depuis le continent. En conséquence, les Français ont la conviction que ce sont eux qui doivent gérer les crises dans la région. 

En même temps, pour les États-Unis, l’Afrique est un autre outil permettant d’assurer leur domination mondiale. C’est pourquoi Washington menace les rebelles au Niger d’utiliser la force si le nouveau gouvernement ne revient pas dans la sphère d’influence occidentale. 

Paris considère une telle politique de «cow-boy» comme excessivement dangereuse. Surtout que c’est aux Français, et non aux Américains, qu’il reviendra de se battre «pour la démocratie» sur le continent. La concurrence entre Washington et Paris pour l’influence dans la région s’intensifie, selon les experts. 

Cependant, au final, la France devra céder aux États-Unis. La montée de la conscience de soi des pays du Sud global frappe principalement les pays qui ont encore des ambitions coloniales. Et dans l’ensemble, Paris est trop faible pour jouer un rôle significatif dans la lutte à venir pour l’influence en Afrique. 

Il a été rapporté plus tôt que la position des États-Unis sur la situation au Niger avait déçu la France, selon Le Figaro. Il est à noter que la principale raison de l’irritation de Paris a été la récente visite à Niamey de Victoria Nuland, la numéro deux de la diplomatie américaine par intérim. 

Ainsi, la France attendait «tout le contraire» des États-Unis, déclarant qu’«avec des alliés comme ça, on n’a pas besoin d’ennemis». Alors que Paris soutient la préparation par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) d’une opération militaire, Washington a plaidé pour une solution pacifique et a cessé d’exiger la réintégration de l’ancien président du Niger, Mohamed Bazoum. 

De plus, selon les Français, l’Amérique veut «conserver ses bases» dans le pays et est prête à «saboter le processus de retour à l’ordre constitutionnel» pour ce faire. Paris est également mécontent que les contingents des deux pays au Niger soient à peu près égaux, mais que seul le contingent français soit l’objet de ressentiment de la part des habitants locaux. 

Rappelons que Victoria Nuland, première adjointe par intérim du secrétaire d’État américain, a visité le Niger et a tenu des pourparlers avec les représentants militaires qui ont évincé le président du pays Mohamed Bazoum. 

Précédemment, l’Observateur continental a écrit que la visite de Victoria Nuland à Niamey avait été un échec. La diplomate a déclaré qu’il lui avait été refusé de rencontrer le président déchu Mohamed Bazoum. Elle n’a pas non plus réussi à rencontrer le général Abdourahamane Tchiani, qui dirige le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie. Victoria Nuland a principalement parlé avec le nouveau ministre de la Défense du pays. 

Les États-Unis ne sont pas le seul pays à se distancer de la position des autorités françaises au Niger. Aucun des alliés de la France dans ce pays, que ce soit l’Allemagne, la Belgique ou l’Italie, ne remet en question la rhétorique des putschistes, surtout lorsqu’il s’agit du retrait des troupes françaises. L’Allemagne a besoin du Niger pour assurer le retrait de ses troupes du Mali, tandis que l’Italie est davantage concentrée sur la stabilité de la région afin d’éviter une nouvelle crise migratoire.

source : Observateur Continental

 

 

 

« 40 % du territoire malien est livré à des groupes armés terroristes qui menacent de reconstituer une forme de califat » : Niger, Mali, Burkina Faso, constitution d’un foyer terroriste majeur à un jet de pierre de la Méditerranée

Sébastien Lecornu, ministre des Armées, sera dans le Var lundi. Il rappelle que la menace terroriste aux portes de l’Europe n’a pas disparu.

 Aujourd’hui, 40% du territoire malien est livré à des groupes armés terroristes qui menacent de reconstituer une forme de califat. La situation est fragile aussi au Burkina Faso. Le sujet n’est donc pas uniquement un sujet d’influence, mais bien de sécurité collective. On ne peut pas ne pas voir qu’un foyer terroriste majeur est à nouveau à un jet de pierre des rives de la Méditerranée. J’invite donc au sang-froid. N’oublions pas que les vraies victimes de ce qui se passe aujourd’hui sont, avant tout, les populations des États africains concernés.

[…]

 

Var-Matin

« Les mouvements terroristes islamistes sont maintenant bien installés au Sahel, notamment au Mali et au Burkina Faso », confirme le chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), Jean-Marc Gravellini. Deux groupes principaux y sévissent : le Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans (GSIM) et l’État islamique au grand Sahara (EIGS). Le premier, le plus important, est la branche locale d’Al Qaida. Surtout implantée au Mali, elle poursuit un objectif de « déstabilisation complète du territoire », contrairement à l’EIGS, qui cherche à y implanter un « califat », indique Jean-Marc Gravellini.

Un terreau « très favorable »

Ces deux groupes – en compétition l’un avec l’autre – ont prospéré sur un terreau rendu « très favorable » par les tensions entre groupes ethniques, la pauvreté extrême, ou la répétition des coups d’État dans la région, énumère le chercheur. Ils ont également profité du départ, en 2022, des forces françaises engagées dans l’opération Barkhane. « La situation n’était déjà pas brillante, mais elle s’est encore aggravée depuis », explique au Parisien un bon connaisseur de la région.

[…]

 

Malgré leur expansion, les groupes djihadistes actifs au Sahel n’ont pour l’instant pas mené d’attentats sur le sol européen. « Ce n’est pas impossible, mais je ne pense pas qu’ils en aient les moyens, ni l’ambition », juge un expert cité précédemment. Les intérêts économiques français dans la région pourraient être menacés, mais ils sont « de plus en plus marginaux », relève pour sa part Jean-Marc Gravellini. « Là où il y a un danger, c’est pour tous les pays voisins », en Afrique de l’ouest, voire au Maghreb, estime-t-il en revanche, mettant en garde contre un « effet domino ». « Pour un continent qui va peser pratiquement un cinquième de la population mondiale d’ici quelques décennies, ce serait un souci majeur », prévient-il.

Le Parisien

 

 

Marseille : avec 32 morts en huit mois, le bilan des assassinats liés au trafic de stupéfiants dépasse déjà celui de 2022 dans la ville

Depuis le début de l’année, 32 personnes ont été tuées à Marseille sur fond de trafic de stupéfiants. Un bilan à la mi-août qui dépasse donc celui de toute l’année dernière. 

L’été n’a pas calmé les ardeurs des clans rivaux. “Il n’y a pas de saison”, observe, presque fataliste, un policier marseillais.

Malgré la mise sous les verrous de dizaines de membres des deux principaux clans en lutte pour le contrôle du trafic de stupéfiants, la guerre des territoires continue de faire couler le sang. “Les ressources humaines sont presque infinies”, se désole un enquêteur.

France Info

 

 

Sainte Hélène (33). Deux morts et 2 personnes avec pronostic vital engagé après un refus d’obtempérer

Deux personnes ont été tuées lundi 14 août au soir lors d’un accident de la route impliquant deux voitures, dont une en «délit de fuite ». Deux autres personnes ont été grièvement blessées dans l’accident avec leur pronostic vital engagé.

L’accident s’est produit lorsqu’un véhicule qui tentait d’échapper à un contrôle a percuté une voiture «immatriculée en Suisse». Le conducteur «impliqué dans le délit de fuite, était positif aux dépistages d’alcool et de stupéfiants». Cet homme de 38 ans conduisait sans permis et est connu pour plusieurs infractions routières.

Le Figaro

 

 

Intervention musclée à Bagneux (92) : enquête ouverte contre les policiers, l’individu libéré faute de place à l’hôpital (MàJ : délinquant multirécidiviste avec 19 mentions au TAJ)

 

14/08/2023 – 23h

(…) Selon nos informations, le mis en cause, né en 1990, est très défavorablement connu des services et totalise 19 mentions au Traitement d’antécédents judiciaires (TAJ), notamment pour délits routiers, outrage, rébellion, refus d’obtempérer, infraction à la législation sur les stupéfiants, association de malfaiteurs, enlèvement et séquestration, et délit de fuite. (…)

Valeurs Actuelles

14/08/2023 – 19h

Une enquête a été confiée à un service de déontologie pour évaluer le comportement des forces de l’ordre.

(…) La garde à vue du mis en cause avait «été levée au vu de l’expertise psychiatrique» et il avait été conduit par les pompiers à l’hôpital «en vue de son hospitalisation d’office». Mais «malgré l’expertise concluant à la nécessité de soins immédiats dans le cadre d’un péril imminent, l’hôpital n’a pas admis l’intéressé qui a été remis à sa famille», a indiqué le ministère public.

Le Figaro

Samedi, un homme a été interpellé à la frontière entre Bagneux et Fontenay-aux-Roses puis placé en garde à vue en raison d’un refus d’obtempérer aggravé. Depuis, une courte vidéo de l’intervention enregistre plusieurs centaines de milliers de vues sur Internet.

Cette intervention ferait suite à un refus d’obtempérer aggravé. Un homme circulant à scooter aurait grillé un feu rouge. Il aurait ensuite refusé d’être contrôlé, aurait pris la fuite et se serait dirigé vers une voiture de la police nationale avant de la percuter.

Toujours selon la préfecture, le conducteur serait ensuite descendu de son deux-roues avant d’être rattrapé par la police.

Le Parisien

 

 

Toulouse : une jeune femme poignardée dans le dos sans raison en sortant du métro. L’agresseur maîtrisé par un passant

Une jeune femme de 26 ans a été soudainement poignardée dans le dos ce dimanche matin à Toulouse, en sortant du métro. L’agresseur, un homme de 39 ans, a été maîtrisé par un passant et est actuellement en garde à vue. Ses motivations restent inconnues.

Cette violente agression a eu lieu vers 9 heures, à la sortie de la station de métro Patte d’Oie. “La jeune femme venait d’arriver en haut de l’escalator lorsqu’elle a été poignardée sans raison, dans le bas du dos“, décrit une source proche de l’enquête. La victime, très sérieusement blessée, s’est effondrée devant son agresseur et a demandé de l’aide.

Les premières investigations ont montré que cet homme ne connaissait pas sa victime. Il n’y aurait d’ailleurs eu aucun contact entre eux avant ce violent coup de couteau.  L’homme avait un couteau sur lui au moment de son interpellation

Actu 17

 

Loos-en-Gohelle (62) : Anthony, père de famille poignardé à une fête d’anniversaire, est toujours dans un état critique, son pronostic vital reste très engagé. un jeune de 16 ans mis en examen (MàJ)

15/08/23

Le jeune homme, âgé de 16 ans, a été placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention lundi.

L’adolescent interpellé dimanche après l’agression au couteau d’un homme à Loos-en-Gohelle (Pas-de-Calais) a été mis en examen pour tentative d’assassinat ce lundi, a indiqué le parquet de Béthune dans un communiqué. Il a également été placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention.

L’adolescent, âgé de 16 ans, a été interpellé et placé en garde à vue dès dimanche. Il est suspecté d’avoir poignardé au niveau du cou un homme de 25 ans sur le parking de la salle communale Saint-Vaast dans la nuit de samedi à dimanche, en marge d’une soirée d’anniversaire.

BFM

14/08/23

Il est entre la vie et la mort depuis sa prise en charge par les secours. Anthony Monet, l’homme de 25 ans poignardé devant une salle des fêtes à Loos-en-Gohelle dans la nuit de samedi à dimanche, se trouvait toujours dans un état très critique au CHR de Lille, lundi 14 août. Son pronostic vital reste « très engagé », comme l’annonçait le parquet de Béthune la veille. Anthony est père de deux fillettes, il vit à Avion.

La Voix du Nord

 

13/08/23

Vers 5 heures 30, ce dimanche matin, un homme de 25 ans a été poignardé au niveau de la carotide à l’issue d’une fête. Il aurait été agressé par plusieurs jeunes extérieurs à la soirée. Son pronostic vital est engagé.

Une fête d’anniversaire se tenait dans la salle communale. Plusieurs jeunes, extérieurs à la soirée, auraient tenté de s’introduire. L’entrée leur a été refusée. C’est, plus tard, lorsque le jeune homme serait sorti pour fumer que le groupe l’aurait attaqué avec un couteau.

La Voix du Nord

 

15 août, Fête de l’Assomption : 10 février 1638, Louis XIII consacre le royaume de France à la Vierge Marie

La fête de l’Assomption est célébrée le 15 août est. Ce jour est férié depuis 1638, le roi Louis XIII souhaitait alors remercier la Vierge d’avoir réalisé son souhait d’avoir un enfant, celui qui deviendra Louis XIV.

Le 10 février 1638, en son château de St-Germain-en-Laye, Louis XIII décidait de consacrer le royaume de France à Notre-Dame. C’est le fameux « vœu de Louis XIII » en remerciement de la grossesse de son épouse Anne d’Autriche après vingt-trois ans de mariage.

Mais la date du 15 août en elle-même ne doit rien au hasard. “Si l’Eglise a fixé la date au cœur de l’été, c’est parce qu’elle est la fête du temps des moissons, la fête du temps où l’on s’arrête, où il y a un point d’équilibre entre le printemps et l’hiver. Le soleil est à son zénith, les fruits sont abondants, la fécondité est à son maximum. Tout cela symbolise Marie“, explique à Europe 1 Jean-François Colosimo, historien des religions.

Les Écritures saintes du christianisme disent peu sur la façon dont la Mère du Christ a quitté sa vie terrestre mais une tradition s’est installée dès les premiers siècles de l’Église à Jérusalem – toujours à cette date du 15 août – pour célébrer la «dormition» de la Vierge. Ce terme de «dormition» de la Vierge signifiant son mystérieux endormissement dans la mort et sa montée, selon la foi chrétienne, corps et âme, au ciel.

Ce sont les Églises chrétiennes orthodoxes qui ont tout d’abord conservé intacte cette tradition qui inspire de nombreuses icônes et où elle demeure une très grande fête. Elle s’est ensuite transmise à l’Église latine au cours du premier millénaire jusqu’à être définie comme un dogme catholique par le pape Pie XII en 1950.

msn ; Le Figaro

Commenter cet article