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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 5 juillet 2023

 

 

 

Assemblée Nationale : Les images d’Elisabeth Borne et Agnès Pannier-Runacher mortes de rire en plein bilan des émeutes scandalisent les internautes

 

 

 

 

Marine Le Pen : « Qu’avez vous fait de la France ? (…) vous n’avez voulu entendre aucun avertissement »

 

 

Mort de Nahel après un refus d’obtempérer : la cagnotte lancée par Jean Messiha pour la famille du policier est à présent clôturée. Elle a atteint 1.6 million d’euros (MàJ)

03/07/2023

Nanterre: GoFundMe assure que la cagnotte de soutien au policier est “conforme” à ses règles

La collecte, qui dépasse les 860.000 euros ce lundi matin, ne sera pas bloquée ni annulée, indique la plateforme à Tech&Co.

La cagnotte destinée à la famille du policier de Nanterre, actuellement en détention provisoire, ne sera pas bloquée par la plateforme de collecte, GoFundMe, celle-ci étant “conforme” aux conditions d’utilisation, indique le site à Tech&Co.

“Actuellement, cette cagnotte est conforme à nos conditions d’utilisation car les fonds seront versés directement à la famille en question. La famille a été ajoutée comme bénéficiaire et donc les fonds leur seront directement versés” explique un porte-parole à Tech&Co.

BFM TV


02/07/2023

https://twitter.com/UsulduFutur/status/1675536870569046016

Cagnotte pour la famille du policier

Cagnotte pour la famille de Nahel

 

 

“On doit mettre des interdictions” : en cas de nouvelles émeutes, Emmanuel Macron n’exclut pas de “couper” les réseaux sociaux

Lors de sa rencontre avec plusieurs centaines de maires français, Emmanuel Macron s’est questionné sur le rôle des réseaux sociaux dans la crise en cours. Il n’exclut pas de les “couper” quand “les choses s’emballent”.

“Nous avons besoin d’avoir une réflexion sur les réseaux sociaux, sur les interdictions qu’on doit mettre. Et, quand les choses s’emballent, il faut peut-être se mettre en situation de les réguler ou de les couper”, a-t-il déclaré.

Le chef de l’État a tout de même demandé à ce que ce débat se fasse “à froid”.

BFMTV

 

 

Emeutes en France : « des dealers ont demandé aux émeutiers de cesser les violences pour pouvoir reprendre le trafic de drogue », explique ce policier

 

 

Lyon : La police municipale proteste sur la manière dont elle a été utilisée pendant les émeutes, en protégeant l’Hôtel de Ville sans rien faire tout en laissant les commerces se faire piller

Bertrand D, représentant FO police municipale de Lyon, affirme que le groupe opérationnel mobile auquel il appartient n’a pas soutenu la police nationale durant les émeutes vendredi, alors qu’il aurait pu intervenir en flagrant délit pour interpeller les pilleurs Au lieu de ça, les agents de cette unité amenée à intervenir dans des zones dites sensibles étaient coincés derrière les grilles de l’Hôtel de ville.

C’était surréaliste, comme l’impression d’être dans le Titanic, en train d’écouter un concert de violons pendant que le bateau coule. On était bloqué soit à l’Hôtel de Ville, soit au festival, pendant que nos collègues de la police nationale prenaient la foudre.


Rappel :

 

Un chercheur britannique s’oppose aux nombreux commentateurs [anglophones] affirmant que la police française est particulièrement violente. Il explique que ce n’est pas ce que disent les données

Depuis que Nahel Merzouk a été mortellement abattu par un policier, déclenchant les pires émeutes que la France ait connues depuis 2005, plusieurs commentateurs ont affirmé que la police française était particulièrement violente – et que cela contribuait à expliquer la réaction brutale de la population. Face à ces affirmations, il convient d’examiner ce que disent les données.

Le titre d’un article du Washington Post est : “Comment le meurtre d’un adolescent s’inscrit dans l’histoire de la France en matière de brutalité policière”. “La police française a tendance à être violente”, affirme Jon Henley dans le Guardian. “Les policiers français sont devenus plus brutaux que partout ailleurs en Europe”, affirme Michele Barbero dans Foreign Policy. Pourtant, à part quelques chiffres ad hoc, aucun de ces articles ne présente de données à l’appui.

Pour étayer l’affirmation selon laquelle les policiers français sont exceptionnellement violents, il faudrait démontrer qu’ils blessent ou tuent plus de personnes que leurs homologues dans d’autres pays similaires. Malheureusement, il n’existe pas de base de données comparative sur l’usage de la force par la police, comme c’est le cas pour les homicides. Il faut donc rechercher les données sur les sites web des différents gouvernements. Ce n’est pas une mince affaire, étant donné le nombre de langues parlées en Europe.

Un autre problème réside dans le fait que les pays peuvent définir différemment les violences policières. Par exemple, l’Angleterre et le Pays de Galles enregistrent les décès “pendant ou après la garde à vue”, y compris ceux qui résultent de “blessures ou autres problèmes médicaux identifiés ou qui se développent pendant qu’une personne est en garde à vue”. Il n’est pas certain qu’il s’agisse de cas de violences policières à proprement parler.

Pour déterminer si les policiers français sont, en fait, exceptionnellement violents, j’ai obtenu des données sur le nombre de personnes abattues par la police dans sept pays occidentaux : France, Pays-Bas, Royaume-Uni, Australie, Nouvelle-Zélande, Canada et États-Unis.

Parmi ces sept pays, la France se situe à l’avant-dernier rang pour ce qui est du nombre de tirs mortels de la police, avec 1,4 pour 10 millions d’habitants. Il n’y a donc aucune preuve que la police française soit exceptionnellement violente. Bien sûr, il est plausible que si j’avais pu obtenir des données pour d’autres pays européens, la France aurait pu se retrouver un peu plus haut dans le classement. Mais même si ce cas se réalisait, il est clair qu’elle ne serait pas une exception sur le continent.

De plus, des pays comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada ne sont pas connus pour leurs émeutes. Pourtant, ils affichent tous des taux de tirs mortels par la police supérieurs à ceux de la France. (On peut donc se demander si la “brutalité policière” est ce qui explique la réaction énergique à la mort de Merzouk.

Peut-être la police française utilise-t-elle davantage la force non létale que ses homologues d’autres pays ? Cette hypothèse est beaucoup plus difficile à évaluer. Et même si c’est le cas, il pourrait s’agir d’une conséquence plutôt que d’une cause de l’agitation publique : nous savons tous que les Français protestent davantage que la plupart des nations européennes. Il y a peu de raisons d’affirmer que la police française est exceptionnellement violente, et il est irresponsable de faire une telle affirmation sans données à l’appui.

Unherd

 

 

Bruno Retailleau sur les émeutes : “Bien sûr qu’il y a un lien avec l’immigration (…) Pour la 2ème, la 3ème génération, il y a comme une sorte de régression vers les origines ethniques”

Retailleau accusé de «racisme» par LFI après ses propos sur les jeunes émeutiers

«Certes, ce sont des Français, mais ce sont des Français par leur identité et, malheureusement pour la deuxième et troisième générations, il y a comme une sorte de régression vers les origines ethniques.» Les propos du patron des sénateurs LR Bruno Retailleau sur Franceinfo ce matin, évoquant le profil des jeunes qui ont pris part aux émeutes, ont provoqué un tollé à gauche.

La présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale, Mathilde Panot, a dénoncé sur Twitter le «racisme crasse d’un président de groupe en déroute qui n’a plus de républicain que le nom», donnant le la d’un concert d’indignation des personnalités de son mouvement. «Ceci est un propos raciste», a regretté le coordinateur de La France insoumise Manuel Bompard. C’est une «thèse racialiste par excellence. La droite glisse chaque jour un peu plus», a critiqué sur Twitter la députée communiste Elsa Faucillon.

Le Figaro

 

 

Paris : un concert en soutien… aux familles des émeutiers organisée par la gauche dans une salle municipale. La mairie assume, un adjoint d’Anne Hidalgo compte même s’y rendre (MàJ)

05/07/23

Une soirée est organisée ce mercredi soir à la Flèche d’or, une salle rachetée par la Ville il y a deux ans. Les fonds seront reversés aux familles de victimes de violences policières et au collectif d’avocats des interpellés lors des émeutes.

https://www.instagram.com/p/CuSIC1KNji8/

Mais du côté de l’équipe d’Anne Hidalgo, la maire (PS) de la capitale, on ne semble pas choqué par l’initiative. « La Ville de Paris n’a pas de regard sur la programmation de la Flèche d’or, tout comme elle n’en a pas sur le Théâtre de la Ville, la maison des métallos, le 104… C’est dans le contrat, nous n’intervenons pas », balaie Frédéric Hocquard.

L’adjoint (EELV) chargé de la vie nocturne, qui songe d’ailleurs à se rendre à l’événement, va même plus loin : « La Flèche d’or est un lieu hybride, militant, tourné vers l’actualité politique et sociale. Et c’est très bien comme ça. J’ai fait partie du jury et nous avons choisi ce projet-là, d’une culture engagée, à dessein. La soirée de ce soir est en lien avec l’actualité. Que ça défrise l’extrême droite, ça ne m’étonne pas. Cela fait partie du débat public. »

Le Parisien

 

 

« Sa mère a tout fait pour que je ne puisse jamais assumer mon rôle » : le père de Nahel – qui n’a jamais rencontré son fils – sort du silence, cet ex-détenu a décidé de se porter partie civile

Huit jours après la mort de son fils Nahel, Hicham Hammouti, 42 ans, sort du silence. Ce mercredi dans le cabinet parisien de son avocat, Me Serge Money, le quadragénaire annonce son intention de se porter partie civile dans cette tragique affaire.

(…) En 2006, il était incarcéré pour une affaire de stups. Et la mère de son enfant lui aurait annoncé leur séparation au parloir assurant qu’il ne verrait jamais son fils. Après quatre ans et demi passés en prison, il n’est « jamais parvenu à entrer en contact avec Nahel », assure-t-il. « J’ai réussi à l’apercevoir quand il sortait de l’école, raconte-t-il, mais sa mère a tout fait pour que je ne puisse jamais assumer mon rôle de père. »

« Je fais aussi cette démarche parce qu’on a dit beaucoup de mensonges sur mon compte. On a même dit que j’étais mort ou que j’avais abandonné mon fils. (…) Aujourd’hui, Hicham a refait sa vie. Il est le père d’un bébé âgé de 21 mois. « Cette fois, je suis présent pour cet enfant », insiste-t-il.

Le Parisien

 

Détenus étrangers (non-Français) : de 2002 à 2022 leur nombre a augmenté de 79%, représentant aujourd’hui 25% du total des détenus. Algériens +88%, Marocains +36%, Tunisiens +102%, autres pays africains +106%

 

 

Reconduction de la grève au JDD votée à 94%: depuis sa nomination il y a 2 semaines, les journalistes refusent toujours de rencontrer Geoffroy Lejeune. Ils lui demandent d’être raisonnable et de renoncer

05/07/2023

 

Note; les médias de gauche imposent leur dictature pro-immigration

 

 

États-Unis : un jugé fédéral interdit à l’administration Biden de contacter les plateformes de réseaux sociaux pour limiter ou supprimer des contenus qu’elle juge faux ou trompeurs

Un juge fédéral de Louisiane a interdit mardi à l’administration Biden de communiquer avec les plateformes de réseaux sociaux sur de nombreux et larges sujets en ligne, une décision qui pourrait freiner les efforts visant à lutter contre les récits faux et trompeurs sur la pandémie de coronavirus et d’autres questions.

Cette décision, qui pourrait avoir d’importantes répercussions liées au premier amendement, constitue un développement majeur dans une lutte juridique acharnée sur les frontières et les limites de la liberté d’expression en ligne.

Il s’agit d’une victoire pour les républicains qui ont souvent accusé les sites de médias sociaux tels que Facebook, Twitter et YouTube de supprimer de manière disproportionnée les contenus penchant à droite, parfois en collaboration avec le gouvernement. Les démocrates affirment que ces plateformes n’ont pas réussi à contrôler de manière adéquate la désinformation et les discours haineux, ce qui a entraîné des conséquences dangereuses, notamment des actes de violence.

Dans sa décision, le juge Terry A. Doughty, du tribunal de district des États-Unis pour le district occidental de Louisiane, a déclaré que certaines parties du gouvernement, notamment le ministère de la santé et des services sociaux et le Bureau fédéral d’enquête, ne pouvaient pas s’entretenir avec les entreprises de médias sociaux “dans le but d’inciter, d’encourager, de faire pression ou d’induire de quelque manière que ce soit la suppression, l’effacement, la suppression ou la réduction d’un contenu contenant un discours libre et protégé”.

Les procureurs généraux républicains du Texas et de la Floride défendent des lois étatiques inédites qui interdisent aux plateformes Internet de retirer certains contenus politiques, et les experts juridiques estiment que ces affaires pourraient finalement être portées devant la Cour suprême. Cette année, la haute cour a refusé de limiter une loi permettant aux plateformes d’échapper à la responsabilité légale pour les contenus que les utilisateurs publient sur les sites.

La décision rendue mardi, dans le cadre d’un procès intenté par les procureurs généraux de Louisiane et du Missouri, fera probablement l’objet d’un appel de la part de l’administration Biden, mais son impact pourrait contraindre les fonctionnaires, y compris les forces de l’ordre, à s’abstenir d’avertir les plateformes de la présence de contenus gênants.

[…]

New York Times

 

 

Ce que l'on sait de l'opération menée par l'armée israélienne à Jénine, en Cisjordanie occupée

 

 

Cette opération militaire, la plus importante depuis plusieurs années en Cisjordanie, territoire occupé par Israël depuis 1967, est officiellement terminée mercredi. Moins de 48 heures après leur entrée dans Jénine, les soldats israéliens se retirent de la ville.

Vers une guerre de religion, infos du 5 juillet 2023

Les habitants du camp de réfugiés de Jénine n'avaient pas connu un tel raid depuis au moins cinq ans. Deux jours après l'opération de grande ampleur menée par Israël dans cette ville au nord de la Cisjordanie occupée, l'armée israélienne a annoncé officiellement y mettre un terme, mercredi 5 juillet. Mobilisés par centaines, les militaires ont commencé à se retirer de Jénine mardi soir, alors que le bilan continuait de s'alourdir. Voici ce que l'on sait de cette opération.

Le raid militaire a duré moins de 48 heures

Lundi matin, les 18 000 habitants du camp de réfugiés de Jénine, l'un des plus pauvres et des plus denses de ce territoire occupé par Israël depuis 1967, ont été réveillés par des frappes de drones. Puis, des centaines de soldats israéliens sont entrés dans la ville, juchés parfois sur des bulldozers, avant d'en dévaster les rues.

Des fusillades et des explosions ont ensuite retenti pendant plusieurs heures, au point de pousser à l'exode près de 3 000 personnes, selon le gouverneur adjoint de la ville. Le bilan est lourd : le ministère palestinien de la Santé fait état de 12 morts du côté palestinien et d'une centaine de blessés, dont 20 dans un état grave. L'armée israélienne a également annoncé avoir arrêté 30 suspects et confisqué des armes ainsi que de l'argent servant, selon elle, à des fins terroristes.

Cette opération militaire est la plus importante depuis des années en Cisjordanie occupée. Depuis lundi, les habitants du camp doivent composer avec des coupures d'eau et d'électricité. Le maire de la ville décrit "une situation désastreuse".

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Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le Kremlin avertit d’un possible « acte subversif catastrophique » à la centrale de Zaporijia…

 

L’ESSENTIEL

  • La centrale nucléaire de Zaporijia était au cœur d’accusations croisées entre Kiev et Moscou mardi en fin de journée. Volodymyr Zelensky a indiqué avoir averti Emmanuel Macron que les Russes « préparaient des provocations dangereuses » dans la centrale. Dans le même temps, à Moscou, un conseiller du géant russe du nucléaire Rosatom, Renat Karchaa, a accusé Kiev de préparer une « attaque » de la centrale.
  • La Russie a annoncé mardi avoir abattu cinq drones au-dessus de son territoire. Cette attaque attribuée à l’Ukraine visait des sites dans la région de Moscou et à la lisière de la capitale. Elle n’a fait ni victimes ni de dégâts, selon le ministère russe de la Défense, mais elle a perturbé pendant trois heures le fonctionnement de l’aéroport Vnoukovo, l’un des trois grands aéroports internationaux de la capitale.
  • Le chancelier allemand Olaf Scholz et le président ukrainien Volodymyr Zelensky ont appelé lundi au prolongement au-delà du 17 juillet d’un accord permettant l’exportation des céréales ukrainiennes vers le marché mondial. Négocié par l’ONU il y a un an, il a été renouvelé depuis à plusieurs occasions.

 

 

12h17 : Le Kremlin avertit d’un possible « acte subversif » ukrainien « catastrophique » à la centrale de Zaporijia

Le Kremlin a averti d’un possible « acte subversif » ukrainien aux « conséquences catastrophiques » à la centrale nucléaire de Zaporijia, contrôlée par la Russie dans le sud de l’Ukraine, les deux camps s’accusant d’une provocation imminente.

« La situation est très tendue car le risque d’un acte subversif par le régime de Kiev est très élevé. Un acte subversif qui peut avoir des conséquences catastrophiques », a déclaré aux journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

DIRECT

 

 

 

 

Le Kremlin prévient que la menace de l'Ukraine contre l'usine de Zaporozhye pourrait provoquer une catastrophe

 

Vers une guerre de religion, infos du 5 juillet 2023

MOSCOU (Spoutnik) - Le porte-parole du Kremlin a ajouté que Kiev avait déjà démontré qu'il n'avait aucune limite lorsqu'il a fait sauter la centrale hydroélectrique de Kakhovka (HPP).

Il y a une énorme menace de sabotage à la centrale nucléaire de Zaporozhye (ZNPP) depuis Kiev et ses conséquences pourraient être catastrophiques, a déclaré mercredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

Un porte-parole de Rosenergoatom, filiale de Rosatom, Renat Karchaa, a déclaré que Kiev prévoyait de mener une attaque contre le ZNPP mardi soir.

« La situation est assez tendue. La menace de sabotage du régime de Kiev est vraiment énorme. Le sabotage, qui peut être catastrophique dans ses conséquences", a déclaré Peskov aux journalistes.

"Le régime de Kiev a démontré à plusieurs reprises qu'il était prêt à ne pas avoir de limites. Plus récemment, nous l'avons vu sous la forme de l' explosion de la centrale hydroélectrique de Kakhovka (HPP), également avec des conséquences horribles. Par conséquent, bien sûr, toutes les mesures sont prises prises pour s'y opposer", a déclaré Peskov.

Sur l'accord céréalier d'Istanbul

La Russie annoncera sa décision concernant l'avenir de l'accord sur les céréales au bon moment, a déclaré le porte-parole du Kremlin.

"Nous n'avons pas encore annoncé officiellement la décision [de prolonger ou non l'accord sur les céréales]. Nous l'annoncerons au bon moment. Il est encore temps. Il est également encore temps de remplir la partie des accords qui concerne notre pays, " a déclaré Peskov aux journalistes.

Il n'y a pas encore de motif pour la prolongation de l'accord, mais il reste encore du temps jusqu'à son expiration, a ajouté le responsable.

Source

 

 

Guerre en Ukraine : le Kremlin évoque une menace de sabotage ukrainien "aux conséquences catastrophiques" à Zaporijjia

 

  • La centrale nucléaire de Zaporijia (illustration).
    La centrale nucléaire de Zaporijia (illustration). Le Pictorium - Nicolas Cleuet

En réponse, Kiev accuse Moscou de "provocations dangereuses" sur le site de la plus grande centrale nucléaire d'Europe.

La Russie prend des mesures pour contrer la menace d'un sabotage par l'Ukraine de la centrale nucléaire de Zaporijjia, a déclaré mercredi le porte-parole du Kremlin, alors que Kyiv accuse Moscou de "provocations dangereuses" sur le site. Kyiv et Moscou s'accusent régulièrement de préparer une attaque contre la plus grande centrale nucléaire d'Europe, dont les troupes russes ont pris le contrôle dans le cadre de leur opération d'invasion lancée en février 2022.

"Grande menace de sabotage catastrophique"

"La situation est très tendue car il y a une grande menace de sabotage par le régime de Kyiv, qui pourrait être catastrophique par ses conséquences", a déclaré Dmitri Peskov. "Toutes les mesures sont donc prises pour contrer une telle menace", a ajouté le porte-parole du Kremlin, sans fournir de détails ni de preuve à l'appui de ses accusations.

 

 

Attaques de drones sur Moscou: la Russie pointe Washington et l’Otan du doigt

Vers une guerre de religion, infos du 5 juillet 2023

La responsabilité des attaques de drones sur Moscou ne pèse pas seulement sur les épaules de Kiev, mais aussi sur celles de ses alliés occidentaux, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères.

Kiev n’a pas agi seul. Les attaques de drones qui ont encore visé Moscou cette semaine ne sont possibles que grâce à l’argent et à l’expertise des Occidentaux, a affirmé le ministère russe des Affaires étrangères.

Les États-Unis et les pays de l’Otan fournissent en effet un appui essentiel à ces attaques en territoire russe, fournissant des drones ou des images satellitaires qui permettent à Kiev de frapper, ont souligné les autorités russes dans un communiqué.

 


"De telles attaques n'auraient pas été possibles sans l’aide des États-Unis et de leurs alliés de l'Otan au régime de Kiev. Ils continuent de le droguer avec des armes, y compris des drones, de former des opérateurs de drones et de fournir des informations de renseignement nécessaires pour commettre de tels crimes […] Tout cela rend Washington et ses satellites complices dans la préparation et la mise en œuvre d'actes terroristes exécutés par Kiev", écrit ainsi le ministère.

Des attaques avortées

Ce 4 juillet, la défense antiaérienne russe a abattu plusieurs drones dans la banlieue de la capitale russe. Le "Nouveau Moscou", extension de la ville, a notamment été ciblé. L'aéroport de Vnoukovo a temporairement suspendu ses vols.

La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, avait qualifié l'incident de "nouvel acte terroriste", au vu de l’infrastructure installée dans ces quartiers, en particulier un aéroport accueillant des vols extérieurs.

Des drones avaient déjà tenté de frapper des quartiers résidentiels de Moscou fin mai. Deux immeubles avaient été touchés sans faire de victimes. Plus tôt dans le mois, deux aéronefs avaient également essayé de s’en prendre aux bâtiments du Kremlin mais avaient été abattus par la Défense russe. Le Président Vladimir Poutine ne se trouvait de toute façon pas sur place.

En avril, des fuites du Pentagone avaient déjà révélé que le dirigeant ukrainien Volodymyr Zelensky songeait à frapper des unités militaires en Russie avec des drones. La région russe de Belgorod, à l’arrière du front, a d’ailleurs fait l’objet de plusieurs attaques de ce type, sans que l’Occident ne s’en émeuve.

Spoutnik

 

 

 

L’Arabie saoudite et la Russie optent pour une nouvelle réduction de leur production de pétrole

 
 

Riyad prolongera sa réduction de production de pétrole d’un million de barils et Moscou réduira ses exportations de 500 000 barils par jour au mois d’août. Cette énième coupe vise à augmenter les prix de l’or noir, actuellement en berne.

L’Arabie saoudite a annoncé ce 3 juillet qu’elle prolongeait la réduction de sa production de pétrole d’un million de barils par jour pour doper des prix en berne, la Russie annonçant dans la foulée qu’elle réduirait ses exportations de 500 000 barils par jour en août.

Ces mesures sont les dernières en date prises par de grands producteurs pour stabiliser des prix confrontés à la forte volatilité des marchés, aux retombées persistantes de la guerre en Ukraine et à la reprise économique de la Chine.

Riyad pourrait prolonger sa réduction

L’Arabie saoudite, poids lourd de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), avait décidé début juin de procéder à une nouvelle coupe de production dans l’espoir de faire remonter les cours. Cette réduction volontaire, entrée en vigueur ce week-end, se poursuivra en août et «peut être prolongée» au-delà de cette période, a indiqué l’agence de presse officielle du royaume, qui cite une source du ministère de l’Energie.

«La source a confirmé que cette réduction volontaire additionnelle vient renforcer les mesures de précaution prises par les pays de l’OPEP+ dans le but de soutenir la stabilité et l’équilibre des marchés pétroliers», a ajouté l’agence. Cette décision maintient à environ neuf millions de barils par jour la production du riche royaume pétrolier.

En annonçant cette coupe le mois dernier à la suite de la réunion des producteurs de pétrole, le ministre saoudien de l’Énergie, le prince Abdelaziz ben Salmane, a précisé qu’elle était potentiellement «extensible».

En avril, plusieurs membres de l’OPEP+ avaient décidé de réduire volontairement leur production de plus d’un million de barils par jour. Une décision surprise qui a brièvement soutenu les prix mais n’a pas entraîné une hausse durable.

«Dans le cadre des efforts visant à équilibrer le marché, la Russie va volontairement diminuer les livraisons aux marchés pétroliers de 500 000 barils par jour en août en réduisant les exportations à hauteur de cette quantité», a déclaré le vice-Premier ministre Alexandre Novak, cité par les agences de presse russes.

Depuis 2023, les prix du Brent et du WTI ont baissé

La Russie avait déjà annoncé en février 2023 une baisse de sa production de brut de 500 000 barils par jour, mesure qu’elle affirme vouloir maintenir jusqu’à fin 2024. La décision annoncée ce 3 juillet concerne les exportations, et non la production.

Depuis le début du conflit en Ukraine, Moscou a réorienté ses exportations d’énergie de l’Europe vers l’Inde et la Chine. À la suite des annonces faites ce 3 juillet par Riyad et Moscou, alliés au sein de l’OPEP+, le Brent, référence du brut en Europe, a augmenté de 0,98% pour atteindre 76,15 dollars le baril, et son équivalent américain, le WTI, a connu une hausse 1,02% pour atteindre 71,36 dollars le baril. Des sommets avaient été enregistrés en mars 2022, au début du conflit en Ukraine (près de 140 dollars).

Depuis le début d’année, le Brent a baissé de 11% et le WTI de 7%. L’Arabie saoudite, plus grand exportateur de pétrole au monde, compte sur des prix plus élevés du pétrole pour financer un programme de réformes ambitieux qui pourrait permettre à son économie de se passer des énergies fossiles.

source : RT France

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