Publié le 23 Juillet 2023 par 3guerremondiale

Publié dans : #Les infos les plus cruciales

Vers une guerre de religion, infos du 23 juillet 2023

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Les Infos du 23 juillet 2023

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Poutine rencontre Loukachenko pour la première fois de la rébellion du groupe Wagner…

L’ESSENTIEL

La Russie a mené une attaque contre la ville portuaire d’Odessa dans la nuit de samedi à ce dimanche, a annoncé le gouverneur de la région, rapportant la mort d’un civil et plus d’une quinzaine de blessés, dont des enfants.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky a assuré qu’il y aurait des représailles : « Missiles contre des villes paisibles, contre des immeubles d’habitation, une cathédrale (…) Il y aura à coup sûr des représailles contre les terroristes russes pour Odessa. »
Par ailleurs, une rencontre entre Vladimir Poutine et le dirigeant bélarusse Alexandre Loukachenko, fidèle allié de Moscou, doit avoir lieu ce dimanche à Saint-Pétersbourg.

12h48 : La Russie dit repousser les troupes ukrainiennes à Rabotino, Kiev revendique des avancées sur Melitopol et Berdiansk

Au nord-est de la région d’Odessa, sur le front de Zaporijia, où se trouve la plus grande centrale nucléaire d’Europe, occupée par les Russes, ces derniers ont repoussé « trois attaques des forces armées d’Ukraine en direction de Rabotino », selon l’agence de presse TASS, citant le responsable de la presse des unités russes « Vostok », Oleg Chekhov. « Des chars, des véhicules d’infanterie et des hommes » de l’armée ukrainienne ont été « détruits », a-t-il affirmé.

De son côté, l’armée ukrainienne a déclaré que Moscou concentrait « le principal de ses efforts à empêcher l’avancée » de ses hommes. La Russie a échoué dans sa tentative de « récupérer une position perdue au sud de Novodarivka, dans la région de Zaporijia », a-t-elle assuré. « Au même moment, les forces de défense de l’Ukraine ont continué à mener une opération offensive sur les fronts de Melitopol et de Berdiansk, consolidant les positions atteintes », a encore dit l’armée.

12h41 : Loukachenko assure qu’il « garde » le groupe Wagner dans le centre de la Biélorussie

Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a assuré dimanche à Vladimir Poutine qu’il « gardait » Wagner dans le centre de la Biélorussie, affirmant à ce sujet que Minsk « contrôlait » la situation, quelques semaines après l’arrivée des combattants de ce groupe à la suite de leur rébellion avortée en Russie. « Ils demandent à "aller vers l’ouest" (…) à Varsovie, Rzeszów », a d’abord déclaré Alexandre Loukachenko à son homologue russe, qui a esquissé un léger sourire. « Mais, bien sûr, que je les garde dans le centre de la Biélorussie, comme nous en avions convenu », a-t-il ajouté, disant toutefois avoir noté « leur mauvaise humeur ».

10h41 : Première rencontre entre Poutine et Loukachenko depuis la rébellion de Wagner

Le président russe Vladimir Poutine rencontre ce dimanche son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko pour la première fois depuis que ce proche allié de Moscou a apporté son aide pour négocier la fin de la rébellion de la milice Wagner le mois dernier, selon des images diffusées par Minsk. Une vidéo postée par le service de presse du président biélorusse montre les deux hommes arrivant ensemble dans un palais de Saint-Pétersbourg, dans le nord-ouest de la Russie, où ils doivent avoir des entretiens bilatéraux. Selon Vladimir Poutine, ces entretiens vont durer deux jours.

10h33 : Moscou affirme avoir frappé des lieux où se préparaient des « actes terroristes contre la Russie »

La Russie a affirmé dimanche avoir détruit toutes les cibles qu’elle avait visées dans le port ukrainien d’Odessa, assurant que les lieux frappés étaient utilisés pour préparer des « actes terroristes » contre elle. « Cette nuit, les forces armées de la Fédération de Russie ont mené une attaque (…) sur des installations où des actes terroristes contre la Russie à l’aide de drones navals étaient en préparation », a déclaré l’armée russe.

10h12 : L’Ukraine accuse la Russie d’avoir « détruit » la cathédrale d’Odessa classée par l’Unesco, un « crime de guerre »

HIER

18h13 : L'armée ukrainienne dit avoir attaqué « des infrastructures militaires » russes en Crimée

L'armée ukrainienne a confirmé samedi avoir attaqué «des infrastructures militaires» russes dans la péninsule annexée de Crimée, provoquant dans la matinée notamment l'explosion d'un dépôt de munitions selon les autorités prorusses.

« La frappe sur des installations militaires dans le territoire temporairement occupé de la Crimée a été menée par les forces ukrainiennes », a déclaré à l'AFP une source interne à l'armée ayant requis l'anonymat.

DIRECT

Destruction d’une cathédrale d’Odessa: la Défense russe pointe l’incompétence ukrainienne

Vers une guerre de religion, infos du 23 juillet 2023

La Défense russe a démenti les allégations de Kiev d’après lesquelles ses frappes auraient visé la cathédrale de la Transfiguration d’Odessa qui a visiblement été touchée par un missile sol-air ukrainien. La cause en serait l’incompétence du personnel des systèmes antiaériens déployés dans les zones résidentielles.

Le ministère russe de la Défense a balayé les accusations de Kiev selon lesquelles Moscou aurait frappé une cathédrale d’Odessa la nuit dernière. Ces informations "ne collent pas à la réalité".

"Compte tenu des vidéos de la cathédrale de la Transfiguration publiées par des habitants d’Odessa, la cause la plus probable de sa destruction a été la chute d’un missile guidé antiaérien suite à des actions incompétentes du personnel des systèmes antiaériens que les forces armées ukrainiennes installent exprès dans les quartiers résidentiels des villes, y compris à Odessa."

Le ministère a précisé que tous les sites où l’Ukraine préparait des "attaques terroristes contre la Russie" détruits dans la nuit du 22 au 23 juillet se trouvaient à une distance de sécurité de la cathédrale.

La planification des frappes avec des armes de précision sur des infrastructures militaires et terroristes de Kiev est menée sur la base d’une information "minutieusement vérifiée" et confirmée par plusieurs sources. Toute attaque contre des sites abritant des civils, ainsi que contre des sites du patrimoine historique et culturel est a priori exclue.

Une nouvelle frappe de représailles

Dans la nuit de samedi à dimanche, l'armée russe a réalisé une nouvelle frappe contre des sites "de préparation d'attaques terroristes contre la Russie", a annoncé ce dimanche la Défense russe. Les attaques devaient être effectuées avec des vedettes sans pilote. Des ateliers de fabrication de ces engins ont entre autres été détruits dans les environs de la ville portuaire d'Odessa, sur la mer Noire.

Des mercenaires étrangers se trouvaient également sur les sites ciblés, a ajouté le ministère.

Ces attaques sont une réponse russe à celle de Kiev effectuée le 17 juillet contre le pont de Crimée.

Spoutnik

La Maison Blanche admet que les forces de Kiev ont subi de lourdes pertes dans le cadre d'une "contre-offensive difficile"

Environ un mois et demi après le lancement de la « contre-offensive » ukrainienne tant médiatisée, les sponsors occidentaux de Kiev ont commencé à admettre à contrecœur que les forces ukrainiennes n'avaient pas bien résisté sur le champ de bataille.

S'exprimant vendredi au Forum sur la sécurité d'Aspen, le conseiller américain à la sécurité nationale, Jake Sullivan, a admis que la "contre-offensive" ukrainienne était "en bonne voie", même si un certain nombre de hauts responsables ukrainiens avaient précédemment affirmé que les troupes de Kiev ne faisaient que sonder les défenses russes et que le véritable assaut était encore à venir.

"Et c'est difficile. Et nous avons dit que ce serait difficile", a déclaré Sullivan, cité par les médias.

Il a toutefois insisté sur le fait que Kiev disposait encore d'une "puissance de combat substantielle qu'elle n'avait pas encore engagée dans le combat" et que les "résultats probables de cette contre-offensive" deviendraient apparents lorsque l'Ukraine engagerait ces forces sur le champ de bataille.

Dans le même temps, Sullivan a admis qu '"il y a déjà eu un nombre important de victimes et de morts de combattants ukrainiens" au milieu de cette "contre-offensive".

Pendant ce temps, la Maison Blanche semble désireuse de continuer à fournir à Kiev des armes jusqu'à ce que l'Ukraine soit à court de main-d'œuvre, et un autre programme d'assistance militaire d'une valeur pouvant atteindre 400 millions de dollars devrait être annoncé la semaine prochaine.

Le paquet en question devrait comprendre plusieurs véhicules blindés de transport de troupes Stryker, du matériel de déminage, des munitions pour les systèmes nationaux avancés de missiles sol-air (NASAMS), des munitions pour les systèmes de roquettes d'artillerie à haute mobilité (HIMARS), des armes antichars et des munitions pour les systèmes antiaériens Patriot et Stinger, selon les médias.

Les États-Unis et leurs alliés ont déjà fourni à Kiev des milliards de dollars de véhicules blindés, de défense aérienne et de systèmes de lancement de roquettes multiples, de pièces d'artillerie et d'armes légères, sans parler des tonnes de roquettes et de munitions, y compris des armes à sous-munitions.

Spoutnik

Les marchands étrangers en Ukraine subissent des pertes importantes en raison de la stupidité - Poutine

Kiev a lancé sa contre-offensive le 4 juin après avoir été bombardée d'armes lourdes par les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN. Un mois et demi plus tard, les forces ukrainiennes n'ont pas grand-chose à montrer pour leurs opérations, à part de lourdes pertes en troupes et en équipement.

L'armée ukrainienne a perdu "plus de" 26 000 soldats au cours de sa contre-offensive, a déclaré le président russe Vladimir Poutine.

"Selon les estimations américaines, les pertes irrémédiables des forces armées ukrainiennes s'élèvent à 26 000 hommes", a déclaré dimanche le président biélorusse Alexandre Loukachenko lors d'entretiens avec Poutine à Saint-Pétersbourg.

"C'est plus. C'est maintenant plus que ça", a répondu Poutine.

Poutine a également commenté les opérations des mercenaires étrangers combattant aux côtés de l'Ukraine, affirmant qu'ils avaient subi de lourdes pertes en raison de leur "stupidité".

"En ce qui concerne les mercenaires étrangers, ils subissent également de lourdes pertes", a déclaré Poutine.

"Lourdes pertes dues à leur tactique", a lancé Loukachenko.

"Oui, à cause de leur stupidité", a déclaré Poutine.

"Les membres du grand public des pays dont les gouvernements envoient des personnes dans la zone de conflit aujourd'hui devraient également être conscients de ce qui s'y passe. Et nous porterons cela à l'attention des gens afin qu'ils puissent évaluer les actions de leurs dirigeants", a ajouté Poutine.

L'armée russe a estimé samedi que près de 5 000 mercenaires étrangers avaient été tués au combat en Ukraine depuis le début de l'opération militaire russe en février dernier, dont plus de 4 900 fuyant la zone de combat et quittant l'Ukraine.

Loukachenko a déclaré que selon ses informations, plus de 15 chars Leopard et 20 véhicules de combat d'infanterie Bradley avaient récemment été détruits, le tout en l'espace de 24 heures.

Poutine a semblé confirmer ces chiffres, affirmant que "tant de [pièces d'armure] étrangères n'avaient jamais été détruites en une journée comme celle-ci", et que les forces russes semblent avoir frappé des unités entièrement équipées de matériel étranger.

« [Vous êtes] obligé de mener une guerre contre l'ensemble du bloc de l'OTAN », a ajouté Loukachenko. « Nous ne pouvons que deviner combien de soldats de l'armée ukrainienne sont morts là-bas, alors que tant d'équipements ont été détruits. Je le sais parce que j'ai servi comme officier sur des équipements blindés à mon époque.

Plans polonais pour l'ouest de l'Ukraine

"Il y a eu beaucoup de discussions récemment sur l'intégration de l'Ukraine dans l'OTAN 'petit à petit'. Qu'y a-t-il derrière tout cela ? Tout n'est qu'un écran de fumée. Derrière cela, il y a l'objectif d'arracher la partie occidentale de l'Ukraine sous prétexte d'être accepté dans l'OTAN, pour que la population l'approuve ; ils veulent couper l'ouest de l'Ukraine et que la Pologne l'annexe. C'est le prix de la participation active des Polonais à cette opération contre les forces russes. Les Américains la soutiennent », a déclaré Loukachenko.

Minsk et Moscou s'opposeraient à un tel scénario et seraient prêts à aider la population de l'ouest de l'Ukraine à résister à l'annexion polonaise, a ajouté Loukachenko.

"Ils recrutent activement des mercenaires. Je vous ai apporté une carte spécialement sur le transfert des forces armées de la Pologne aux frontières de l'État de l'Union", a déclaré Loukachenko, faisant référence à l'union supranationale russo-biélorusse. "Nous voyons qu'ils préparent le terrain", a ajouté le dirigeant biélorusse, soulignant le déploiement des forces polonaises près de Brest et de Grodno dans l'ouest de la Biélorussie, et l'activation de la base aérienne de Rzeszow, où les forces américaines déplacent leur équipement.

Loukachenko a personnellement exprimé sa gratitude à Poutine pour son soutien en cas d'agression étrangère contre la Biélorussie. "Nous en tenons compte lors de la constitution de nos forces armées."

Économie

Poutine et Loukachenko ont également discuté d'autres questions, notamment des questions économiques.

"Tous nos plans sont mis en œuvre, et à un rythme encore meilleur que prévu. Je voudrais également souligner l'excellent état des économies de la Russie et de la Biélorussie", a déclaré Poutine, soulignant les projections d'une croissance du PIB russe de plus de 2% et du PIB biélorusse de 3,75%. "En tout cas, la Russie et la Biélorussie traverseront cette année calmement et avec confiance", a-t-il déclaré.

"Nous mettons pleinement et complètement en œuvre tous les plans liés à la construction de l'État de l'Union, nous avançons avec confiance dans cette direction. Le commerce augmente, il est estimé légèrement différemment selon les devises. Selon nos données, si nous parlons en équivalent dollar, il est de 43,7 milliards de dollars, alors que selon les statistiques biélorusses, il est de près de 45 milliards de dollars. C'est un très bon indicateur", a déclaré Poutine.

Loukachenko a proposé la création d'un plan économique conjoint russo-biélorusse basé sur la nécessité d'assurer l'autonomie et l'indépendance économique des deux pays. "Nous avons les cerveaux. Nous avons plus qu'assez de ressources. Et nous devons créer un plan pour le développement de notre patrie. Comme je le dis - deux États, une patrie. Nous pouvons le faire. Mais les principales forces ici sont concentrées en Russie... Si nos gouvernements pouvaient proposer un tel plan, ce serait bien", a-t-il déclaré.

Spoutnik

Kiev fait face à une pénurie de places pour l’inhumation de ses soldats

Au cours de l’offensive, la partie ukrainienne perd tellement de soldats que Kiev a des problèmes avec l’enterrement des soldats tombés. Ainsi, selon le groupe de hackers Beregini, à Kharkiv, il n’y a plus de places vides au cimetière Bezlyudovsky, ainsi qu’aux cimetières 17 et 18.

De plus, les anciennes tombes doivent être démantelées au cimetière de Lvov et les militaires ukrainiens morts y sont placés. Au cimetière Bykivnyansky de Kiev, ce printemps, 50 000 places ont été attribuées au reste des soldats des forces armées ukrainiennes, mais pour le moment, il n’y a plus de place. Dans le même temps, les autorités étouffent ces informations et les cachent au public.

Cependant, les lourdes pertes du côté ukrainien ne devraient pas surprendre, puisque les forces armées russes conservent la supériorité sur l’ennemi, en particulier dans l’aviation. Ainsi, les chasseurs russes Su-35 constituent une menace sérieuse pour les militants. Comme l’a noté le représentant de l’armée de l’air ukrainienne Yuri Ignat, cet avion transporte des armes sérieuses, auxquelles il est extrêmement difficile de résister.

Dans le même temps, la fatigue mentale et morale des Forces armées ukrainiennes est devenue un problème important pour les unités ukrainiennes. Ce point de vue a été exprimé par l’ambulancier paramédical militaire Yegor Firsov.

source : Reporter

Washington dépêche deux nouveaux navires dans le détroit d’Ormuz

Les États-Unis envoient dans le détroit d’Ormuz deux navires de débarquement en renfort du destroyer Thomas Hudner déjà déployé dans la zone pour «garantir la liberté de navigation et dissuader les activités iraniennes», selon le département américain de la Défense.

Washington renforce son groupe naval dans le détroit d’Ormuz en invoquant la menace émanant de l’Iran.

Selon un communiqué du Pentagone, «en réponse aux récentes tentatives de l’Iran de menacer la libre circulation du commerce dans le détroit d’Ormuz et ses eaux environnantes, le secrétaire à la Défense a ordonné le déploiement» des navires de débarquement USS Bataan et USS Carter Hall. Ceci «en plus des forces récemment approuvées comprenant des F-35, des F-16 et le destroyer USS Thomas Hudner».

«Par ces actions, les États-Unis démontrent leur engagement à garantir la liberté de navigation et à dissuader les activités iraniennes de déstabilisation dans la région», affirme le Pentagone.

Accusations contre Téhéran

Les États-Unis avaient précédemment accusé l’Iran d’avoir arraisonné des navires commerciaux.

Le 6 juillet, ils ont fait état de la saisie d’un navire, probablement de contrebande, dans le Golfe.

Plus tôt, ils avaient annoncé que le Corps des gardiens de la révolution islamique aurait saisi dans le golfe d’Oman un pétrolier battant pavillon marshallais.

L’agence ISNA avait alors signalé que la marine iranienne avait stoppé un pétrolier intrus appartenant apparemment aux États-Unis.

La Cinquième flotte américaine avait également déclaré que l’Iran avait saisi un pétrolier battant pavillon panaméen dans le détroit d’Ormuz.

source : Sputnik Afrique

60% des Américains disent que la nation est sur la « mauvaise voie », l'économie « faible », Biden « mentalement inapte »

La saison électorale est bien avancée aux États-Unis, les candidats des deux principaux partis étant déjà en campagne électorale avant les caucus et les primaires qui devraient débuter en janvier et février.

Harvard CAPS-Harris . un nouveau sondage Bien plus de la moitié des Américains pensent que leur pays va dans la mauvaise direction et que le président Biden est inapte à servir, selon

61% ont déclaré aux sondeurs que le sur la "mauvaise voie" pays était globalement , avec seulement 29% affirmant qu'il était sur la "bonne voie". 62 % conviennent que l'économie du pays est également sur la « mauvaise voie », 29 % affirmant qu'elle est sur la « bonne voie ». 61% des Américains pensent que l' économie est «faible», contre 39% qui disent qu'elle est «forte».

35% des personnes interrogées pensent que les États-Unis sont déjà en récession, 39% s'attendant à ce qu'ils soient en récession dans un an et 27% exprimant leur confiance dans le fait que le pays peut éviter une récession.

Le sondage a également révélé que 44 % des Américains continuent à « approuver fortement » ou « plutôt approuver » le travail de Joe Biden en tant que président, tandis que 55 % ont exprimé leur désapprobation. 34% ont cité les hausses de prix et l'inflation comme le problème numéro un auquel le pays est confronté, l'économie/l'emploi (26%), l'immigration (24%), les armes à feu (21%) et la criminalité/la drogue (17%) complétant les cinq premiers, respectivement. Entre 53 et 58% des personnes interrogées ont déclaré que l'administration Biden avait trop dépensé et trop augmenté le déficit, respectivement, 60% déclarant qu'elles n'étaient "pas confiantes" dans la capacité du président Biden à gérer les problèmes économiques du pays.

59% des Américains ont également déclaré qu'ils "avaient des doutes" sur l'aptitude mentale du président Biden à la présidence, 41% affirmant qu'il était "mentalement apte". Un énorme 68% ont convenu qu'il était «trop vieux», et 32% ont déclaré qu'il restait «apte» au bureau.

Le tir de Trump en 2024

54% s'attendent à ce que l'ancien président Donald Trump remporte les primaires républicaines. Du côté démocrate, 62% des répondants ont déclaré qu'ils choisiraient Joe Biden, Robert F. Kennedy Jr. étant deuxième à 16%. Si Biden devait abandonner, 44% ont déclaré qu'ils voteraient pour Kamala Harris et 22% pour RFK Jr.

Si Biden et Trump avaient une revanche de 2020 aujourd'hui, 45% des électeurs ont déclaré qu'ils choisiraient Trump, 40% choisissant Biden. Si Harris se présentait à la place de Biden, Trump gagnerait 47% et Harris 38%.

64% des personnes interrogées ont déclaré que Biden ne devrait pas briguer un second mandat, 57% disant la même chose à propos de Trump. 57% ont déclaré qu'ils "envisageraient un candidat modéré indépendant" si le choix lors des élections se résumait à Biden et Trump.

Interrogés sur la troisième mise en accusation potentielle de Trump, cette fois liée à ses actions/inaction le 6 janvier, 49 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles pensaient que le président était « personnellement responsable » de la violence, tandis que 51 % ont déclaré que la prise d'assaut du Capitole était « l'acte d'une foule indisciplinée ». 53% ont déclaré que ses appels à ses partisans pour qu'ils se rendent au Capitole pour manifester pacifiquement étaient protégés par le 1er amendement, tandis que 47% ont déclaré qu'il avait "commis un crime".

56% s'attendent à ce qu'un autre acte d'accusation blesse Trump, mais sont également d'accord avec le sentiment que ce serait une "distraction" qui "ajoute plus de drame aux élections de 2024". Les mêmes 56% disent que Trump serait probablement acquitté s'il était jugé.

Les électeurs ont également été invités à commenter la cocaïne trouvée à la Maison Blanche, 63% d'entre eux affirmant que l'affaire devrait faire l'objet d'une enquête plus approfondie. 37% ont déclaré avoir trouvé acceptables les conclusions des services secrets selon lesquelles il était impossible de déterminer qui l'avait fait.

Le premier débat présidentiel républicain de 2024 devrait se tenir le 23 août à Milwaukee, Wisconsin. Le Comité national démocrate a exprimé son soutien sans réserve à Biden et ne devrait pas tenir de débats primaires officiels. Les caucus républicains et les primaires débuteront à la mi-janvier avec le caucus de l'Iowa, suivi de la primaire du New Hampshire. Les démocrates tiendront leur première primaire en Caroline du Sud le 3 février.

Spoutnik

Voici ce qui devrait faire couler Joe Biden, selon un observateur US

L'actuel Président des États-Unis risquerait de ne pas être réélu s'il est prouvé qu'il a accepté un pot-de-vin juteux de la part d'une compagnie ukrainienne dans le cadre d'une affaire de corruption. Tel est l'avis d'un observateur américain.

Une confirmation de la réception par Joe Biden d'un pot-de-vin de la société ukrainienne Burisma le priverait de ses chances d'être réélu en 2024. C'est le point de vue de Sean Duffy, observateur de Fox Business.

L'expert s'est dit choqué par le fait que les membres du Parti démocrate assurent à Biden une position de leader lors des primaires et soutiennent ainsi sa candidature lors de la prochaine présidentielle.

Comment soutenez-vous ce gars et pensez-vous qu'il va gagner?"

Des soupçons qui pourraient tout faire sauter

Sean Duffy a rappelé les témoignages de lanceurs d'alerte de l'IRS (Internal Revenue Service), l'agence du gouvernement fédéral des États-Unis qui collecte l'impôt sur le revenu et des taxes diverses. Selon ceux-ci, la famille de l'actuel Président a reçu illégalement de l'argent d'entreprises étrangères.

S'il est question de Joe Biden, "je crois que les choses vont s'aggraver", estime M.Duffy. "Ce sera un problème que les démocrates ne pourront pas ignorer", a-t-il ajouté. S'il s'avère que Joe Biden a bien accepté les 5 millions de dollars de Burisma, cela fera chuter ses chances d'être réélu en 2024, pense l'observateur.

Selon des allégations contenues dans un document non classifié du FBI publié par le sénateur Chuck Grassley, Joe Biden et son fils Hunter auraient contraint le PDG de Burisma, Mykola Zlochevsky, à leur verser des millions de dollars en échange de leur aide pour faire licencier le procureur ukrainien enquêtant sur l'entreprise. Une somme de 5 millions de dollars aurait été versée à Joe Biden.

Spoutnik

Crise alimentaire : L’Inde annonce une autre mauvaise nouvelle

Face à de mauvaises conditions climatiques et une baisse mondiale de la production, l’Inde a décidé d’interdire ses exportations de riz blanc non-basmati. Cette mesure vise à garantir la sécurité alimentaire de sa propre population.

Sales temps pour les céréales. Après la non-prolongation de l’Initiative céréalière de la mer Noire, une nouvelle crise semble se profiler du côté du riz. L’Inde, plus gros producteur mondial avec la Chine, a ainsi décidé de suspendre ses exportations de riz blanc non-basmati, a annoncé le ministère de la Consommation et de l’Alimentation.

Une mesure destinée à garantir l’approvisionnement intérieur et à maîtriser les prix, qui s’envolent sur les marchés. Le prix du riz au détail a ainsi augmenté de 11,5% en Inde sur un an et de 3% rien qu’au cours du dernier mois, selon New Delhi.

«Afin d’assurer une disponibilité suffisante de riz blanc non-basmati sur le marché indien et d’atténuer la hausse des prix sur le marché intérieur, le gouvernement indien a modifié la politique d’exportation de la variété susmentionnée», explique ainsi le communiqué du ministère.

En 2022, l’Inde avait déjà introduit un droit d’exportation de 20% sur le riz blanc non-basmati, mais cela n’a pas empêché ces exportations de s’envoler de 35% en un an.

L’Afrique en première ligne

Cette décision indienne intervient dans un contexte tendu sur le marché du riz. La pandémie, le conflit ukrainien et le phénomène climatique El Niño ont fait exploser les prix. Plus généralement, les stocks mondiaux connaissent un creux, lié à la baisse de la culture du riz dans le monde. De nombreux pays ont en effet réduit leur production d’une céréale qui se montre gourmande en eau et en énergie, comme l’expliquait récemment à Sputnik G. V. Ramanjaneyulu, directeur du Centre indien pour l’agriculture durable.

Cette crise du riz pourrait affecter en particulier les pays africains, la Turquie, la Syrie et le Pakistan, déjà touchés par une forte inflation des prix alimentaires, a souligné dans une note la société Gro Intelligence, qui analyse des données sur les matières premières.

Certains pays d’Afrique comme l’Égypte ou le Nigeria sont eux même des producteurs de riz, même si 90% de la production vient d’Asie. L’Éthiopie a également consenti d’importants efforts dans ce secteur et a vu sa production doubler cette année, portant le domaine agricole en pleine croissance.

source : Sputnik Afrique

Royaume-Uni : 500 migrants seront logés dans une barge flottante

Le Premier ministre Rishi Sunak a fait de la lutte contre l’immigration illégale l’une de ses principales priorités. Les mauvaises langues diront qu’il s’agit de l’énième opération de communication en vue des élections prévues pour l’année prochaine, d’autres d’une réelle préoccupation qui inquiète fortement les Anglais.

Après le coup dur reçu par la cours d’appel de Londres qui n’entend pas permettre l’accord sur l’envoi des clandestins reboutés au Rwanda de voir le jour, le gouvernement de Rishi Sunak travaille à d’autres solutions. Hier, mardi 18 juillet, la péniche géante Bibby Stockholm, est arrivée à sa destination finale sur la côte sud de l’Angleterre. Elle sera amarrée dans le port de Portland, où elle servira de logement à 500 migrants dans l’attente de l’étude de leur dossier, (ce qui peut prendre jusqu’à deux ans).

Les associations pro-migrants sont évidemment montées au créneau, dénonçant l’utilisation d’une “prison flottante.” Une prison, vraiment ? La structure – qui n’a jamais été conçue comme une geôle, mais comme un hébergement offrant toutes les commodités – dispose d’un restaurant, d’un bar, d’une salle télévision et billards, d’une salle de sport, de l’accès garanti à la Wifi et chaque chambre est munie d’une salle de bains privative. La barge avait été utilisée au préalable pour accueillir des sans-abris et des demandeurs d’asile en Allemagne et aux Pays-Bas, et a fait l’objet de travaux de rénovation dans la ville de Falmouth depuis son arrivée au Royaume-Uni en début d’année.

Face aux polémiques, Downing Street continue de défendre son utilisation, car elle est une alternative moins coûteuse de l’hébergement en structure hôtelière. “Il est juste pour la collectivité de nous éloigner d’une situation où 6 millions de livres par jour d’argent des contribuables sont consacrés à loger ces personnes dans des hôtels” a déclaré le porte-parole officiel de Rishi Sunak. 500 personnes cela peut paraître peu au regard des quantités de migrants qui débarquent chaque année sur les côtes anglaises, mais le système est voué à être exporté dans plusieurs régions d’Angleterre, pour “soulager” les localités qui sont devenues avec le temps des centres d’accueil à ciel ouvert.

Mais le but serait aussi de décourager les départs de demandeurs d’asile : “Si les gens savent qu’il est impossible pour eux de rester au Royaume-Uni, ils ne risqueront pas leur vie et ne paieront pas des milliers de livres aux criminels pour arriver ici illégalement. Il est donc normal que nous brisions le système de business des gangs criminels qui exploitent les personnes vulnérables, ce qui permettra au gouvernement d’avoir une plus grande capacité d’offrir un refuge à ceux qui risquent vraiment guerre et persécution. »

Source

Policier de la BAC incarcéré à Marseille : les policiers ont reçu ce soir là la consigne de rétablir l’ordre sans opérer d’interpellations car les geôles étaient pleines à ras bord (MàJ)

23/07/2023

Six policiers placés en garde à vue suite aux émeutes

23/07/23

“Il y a une victime, et c’est malheureux, concède l’un de ses collègues à la division Nord. Ce soir-là, la mission était de rétablir l’ordre sans interpeller, car les geôles étaient pleines, mais on a dû faire face à un niveau de violence exceptionnel.“

La Provence

21/07/23

Une source bien informée évoque près de 400 arrêts maladies déjà comptabilisés, rien que sur Marseille. “D’autres communes du sud sont concernées par cette mobilisation qui s’est répandue assez vite depuis jeudi”, confie une autre source policière. “Le mouvement pourrait continuer à s’étendre ailleurs en France”.

Actu17

Nice : Un voleur fonce volontairement sur les policiers de la BAC, la tentative d’homicide n’est pas retenue par le parquet. Le syndicat Unité SGP Police scandalisé (MàJ)

23/07/2023

Tour de France 2023 : pourquoi le peloton français est-il si blanc ?

22/07/2023

Manque d’infrastructures, déficit d’attractivité, absence de volonté de détection… «Libé» a interrogé des acteurs du cyclisme sur le manque de diversité dans la discipline, alors que le Tour de France s’achève ce dimanche.

www.liberation.fr

Football : l’ex-joueur du Real Madrid et international allemand Mesut Özil, vu avec un tatouage des « Loups Gris », une organisation islamiste antichrétienne interdite en France, et dont le Parlement européen veut ajouter à la liste des terroristes

23/07/2023

Mesut Özil (34 ans), on ne sait pas avec quelle intention ou si c’était volontaire, a pris une photo avec son entraîneur personnel, Alper Aksaç, qui donne une conférence. Avec l’intention supposée de montrer au monde sa forme impeccable, l’ancien milieu de terrain d’Arsenal et du Real Madrid arbore des abdos dans la salle de sport.

Cependant, sur l’image, postée par Aksaç sur Instagram, on peut clairement voir un petit loup gris tatoué sur la poitrine de l’ancien international allemand. Ce loup est le symbole politique d’une organisation turque d’extrémiste. Les trois croissants ainsi qu’un loup hurlant sont le symbole des « loups gris » turcs extrémistes.

Le drapeau aux trois croissants (‘Üç Hilal’) a servi de drapeau de guerre dans l’Empire ottoman et est aujourd’hui le logo du parti d’extrémiste turc MHP (‘Parti du mouvement nationaliste’). L’idéologie va de l’extrémisme de droite au racisme nationaliste et de l’antisémitisme à l’islamisme.

Mesut Özil, qui compte 26,9 millions d’abonnés sur Instagram, est le partisan le plus populaire d’Erdogan et le MHP est un proche allié du président turc.

Mundo Deportivo

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Vers une guerre de religion, infos du 23 juillet 2023

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