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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 21 juillet 2023

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Les armes occidentales « n’aident pas » Kiev sur le front, selon Poutine...

 

L’ESSENTIEL

  • Un « exercice » militaire a été conduit par les forces russes dans le nord-ouest de la mer Noire, a annoncé Moscou vendredi matin, indiquant que des missiles antinavires ont été tirés pour abattre une cible en mer.
  • Kiev a commencé à utiliser les armes à sous-munitions controversées livrées par les Etats-Unis, a indiqué la Maison-Blanche, au moment où l’Ukraine cherche à donner de l’élan à sa contre-offensive contre les forces russes. Dans un entretien diffusé début juillet par la chaîne CNN, le président américain Joe Biden avait confié avoir pris une « décision très difficile » en livrant ces armes à l’Ukraine, justifiant cela par le fait que Kiev est « à court de munitions ».
  • Le ministre ukrainien de la Culture a annoncé sa démission tôt vendredi après des « incompréhensions » quant à l’utilisation de fonds publics à destination de projets culturels au moment où Kiev tente de contrecarrer l’invasion russe.

 

 

13h08 : La contre-offensive ukrainienne ne donne aucun résultat pour le moment, selon Poutine

 

13h06 : Les armes occidentales « n’aident pas » l’Ukraine sur le front, selon Poutine

Le président russe Vladimir Poutine a estimé vendredi que les livraisons d’armes occidentales n’avaient pas aidé Kiev à avancer sur le front lors de sa contre-offensive, jugeant que celle-ci n’avait pour le moment eu « aucun résultat ».

« Les ressources colossales qui ont été "injectées" dans le régime de Kiev n’aident pas, et les livraisons d’armes occidentales, de chars, d’artillerie et de missiles non plus », a-t-il affirmé durant une réunion du Conseil de sécurité diffusée à la télévision.

 

12h50 : Moscou utilisera « tous les moyens » pour protéger la Biélorussie d’une attaque, prévient Poutine

Le président russe Vladimir Poutine a prévenu vendredi qu’une agression contre la Biélorussie équivaudrait à une agression contre la Russie et que Moscou y répondrait « par tous les moyens » possibles.

« Le déclenchement d’une agression contre la Biélorussie équivaudra à une agression contre la Fédération de Russie. Nous y répondrons par tous les moyens à notre disposition »

, a mis en garde le président Vladimir Poutine, durant une réunion de son Conseil de Sécurité diffusée à la télévision.

 

10h10 : Zelensky révoque son ambassadeur au Royaume-Uni qui l’avait critiqué

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a révoqué vendredi son ambassadeur au Royaume-Uni, Vadim Pristaïko, personnage-clef des relations entre Kiev et Londres, selon un décret publié sur le site de la présidence ukrainienne.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a révoqué vendredi son ambassadeur au Royaume-Uni, Vadim Pristaïko, personnage-cle des relations entre Kiev et Londres, selon un décret publié sur le site de la présidence ukrainienne.qui avait réclamé plus de gratitude pour l’aide militaire apportée par les alliés de Kiev.

 

07h28 : Kiev utilise les armes à sous-munitions livrées par Washington, selon la Maison-Blanche

Kiev a commencé à utiliser les armes à sous-munitions controversées livrées par les Etats-Unis, a indiqué la Maison-Blanche, au moment où l’Ukraine cherche à donner de l’élan à sa contre-offensive contre les forces russes. Dans un entretien diffusé début juillet par la chaîne CNN, le président américain Joe Biden avait confié avoir pris une « décision très difficile » en livrant ces armes à l’Ukraine, justifiant cela par le fait que Kiev est « à court de munitions ».

A la question de savoir si les armes à sous-munitions de Washington étaient à présent déployées et utilisées par Kiev, John Kirby, un porte-parole de la Maison-Blanche, a répondu : « Oui. » Selon lui, le déploiement de ces armes sur le front a eu lieu « à peu près au cours de la semaine dernière ».

Les forces ukrainiennes « les utilisent de manière appropriée. Elles les utilisent efficacement et elles ont réellement un impact sur les formations défensives russes et les manœuvres défensives » de Moscou, a déclaré le porte-parole aux journalistes.

 

07h20 : Des missiles antinavires tirés en mer Noire

Un « exercice » militaire a été conduit par les forces russes dans le nord-ouest de la mer Noire, a annoncé Moscou vendredi matin, indiquant que des missiles antinavires ont été tirés pour abattre une cible en mer.

Selon le ministère russe de la Défense, des navires de la flotte russe de la mer Noire ont tiré des missiles de croisière antinavires « sur un bateau cible dans la zone d’entraînement au combat de la partie nord-ouest de la mer Noire », étendue d’eau où Moscou considère depuis jeudi les navires se rendant vers l’Ukraine comme de « potentiels bateaux militaires ».

« Les données de télémétrie et la surveillance vidéo depuis des véhicules aériens sans pilote ont confirmé le succès de l’exercice de combat. Le bateau cible a été détruit à la suite de la frappe de missile », a ajouté Moscou. La Défense russe a également indiqué que l’aviation de la flotte, de concert avec des navires, a « travaillé à des actions pour isoler la zone temporairement fermée à la navigation » et « retenir le navire ».

 

HIER

18h25 : L’ONU « condamne les attaques russes » contre des ports ukrainiens

Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a « fermement » condamné ce jeudi les attaques russes contre Odessa et d’autres ports ukrainiens en mer Noire, a déclaré son porte-parole Stéphane Dujarric.

« Ces attaques ont un impact bien au-delà de l’Ukraine. Nous voyons déjà l’effet négatif sur les prix mondiaux du blé et du maïs, ce qui fait souffrir tout le monde, en particulier les populations vulnérables dans les pays du Sud », a-t-il indiqué, soulignant que la « destruction d’infrastructures civiles (pouvait) représenter une violation du droit humanitaire international ».

DIRECT

 

 

 

La Pologne envisage d'envoyer des troupes dans l'ouest de l'Ukraine - Le chef du renseignement étranger russe

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 21 juillet 2023

MOSCOU (Spoutnik) - La Pologne envisage d'établir un contrôle sur la partie occidentale de l'Ukraine en y déployant ses troupes, a déclaré vendredi le directeur du Service russe de renseignement extérieur (SVR), Sergueï Narychkine.

Le chef du SVR estime que Varsovie est en train de réaliser que la défaite de l'Ukraine n'est qu'une question de temps.

"Les dirigeants polonais intensifient l'état d'esprit pour introduire le contrôle dans les territoires occidentaux de l'Ukraine, les régions occidentales en y déployant leurs troupes", a déclaré Narychkine lors d'une réunion tenue par le président Vladimir Poutine avec les membres permanents du Conseil de sécurité.

À cet égard, Poutine a chargé le chef du renseignement étranger russe de surveiller les plans de la Pologne pour l'Ukraine.

Poutine a souligné que les dirigeants polonais prévoyaient de former une coalition sous le couvert de l'OTAN et d'intervenir dans le conflit en Ukraine afin de s'emparer de terres et de restituer, comme ils le croient, leurs territoires historiques.

"Quant aux dirigeants polonais, ils s'attendent probablement à former une coalition au sein de l'OTAN... et à intervenir directement dans le conflit en Ukraine pour ensuite s'arracher un plus gros morceau [de terre] pour eux-mêmes, pour regagner, comme ils le croient, leurs territoires historiques - l'Ukraine occidentale d'aujourd'hui", a déclaré Vladimir Poutine.

L'union entre la Pologne, la Lituanie et l'Ukraine, dont les reportages apparaissent dans les médias, est en train d'être faite pour l'occupation ultérieure de l'Ukraine, a ajouté Poutine.

"Il y a eu des reportages dans les médias sur des projets de création d'une certaine soi-disant union polono-lituanienne-ukrainienne : c'est-à-dire que nous ne parlons pas d'un rassemblement de mercenaires, il y en a assez et ils sont en train d'être détruits, à savoir une unité militaire régulière, assemblée et équipée qui est prévue pour être utilisée pour des actions sur le territoire de l'Ukraine, y compris pour prétendument assurer la sécurité de l'actuelle Ukraine occidentale. du Conseil de sécurité russe.

Spoutnik

 

 

 

Guerre en Ukraine : 80 attaques en 24 heures, la Russie frappe de nouveau les terminaux céréaliers ukrainiens

 

 

La Russie a mené ces nouvelles frappes dans la nuit, quelques jours après avoir mis fin à l'accord sur l'exportation des céréales ukrainiennes.

Les forces russes ont frappé des terminaux céréaliers d'une entreprise agricole dans la région d'Odessa, dans le sud de l'Ukraine, a déclaré vendredi le gouverneur de la région.

"100 tonnes de pois et 20 tonnes d'orge"

Ces frappes semblaient toutefois moins intenses que celles des trois nuits précédentes, intervenues après que Moscou a renoncé à l'accord céréalier en mer Noire scellé sous l'égide de l'Onu.

 

Deux personnes ont été blessées dans l'attaque qui a visé l'entreprise agricole, a déclaré le gouverneur régional d'Odessa, Oleh Kiper, qui n'a cependant pas précisé le lieu exact des frappes russes. "Malheureusement, les terminaux céréaliers d'une entreprise agricole de la région d'Odessa ont été touchés. L'ennemi a détruit 100 tonnes de pois et 20 tonnes d'orge", a-t-il dit sur l'application de messagerie Telegram.

Des "frappes de représailles"

La Russie a tiré des missiles de croisière Kalibr depuis la mer Noire, à basse altitude pour contourner les systèmes de défense aérienne, a-t-il ajouté. Deux missiles ont touché les installations de stockage de céréales, provoquant un incendie, tandis qu'un autre a endommagé des équipements agricoles et de sauvetage dans la même entreprise.

Des photos prises sur les lieux montraient un incendie en cours au milieu de bâtiments qui ressemblent à des entrepôts, ainsi qu'un véhicule de lutte contre les incendies gravement endommagé.

Moscou, qui accuse l'Ukraine d'avoir attaqué lundi le pont de Crimée, affirme avoir mené des "frappes de représailles" cette semaine après avoir mis fin à l'accord d'exportation de céréales de la mer Noire.

Quatre personnes tuées

La Russie a également poursuivi ses attaques dans les régions orientales et méridionales d'Ukraine cette semaine.

Youri Malachko, gouverneur de la région méridionale de Zaporijia, a fait état de 80 attaques russes contre des localités de la région au cours des dernières 24 heures, et a déclaré que quatre personnes avaient été tuées. Selon le bureau du procureur général, un couple marié d'une cinquantaine d'années a été tué tôt vendredi lors d'un bombardement sur la ville de Kostiantynivka, dans la région de Donetsk.

Source

 

 

 

Face à Bruxelles, Kiev et Washington, Viktor Orban tient ferme 

 

Pour ce nouvel épisode de «Chocs du monde», Édouard Chanot reçoit Thibaud Gibelin, professeur au Mathias Corvinius Collegium de Budapest.

La Hongrie fait figure d’exception en Europe. Alors que les dirigeants occidentaux déroulent le tapis rouge à Volodymyr Zelensky, Viktor Orban se refuse à prêter assistance militaire à Kiev et remet en cause la politique de sanctions contre la Russie menée par Bruxelles. Une posture qui a valu au dirigeant hongrois d’être qualifié de «pro Poutine», d’autant plus qu’il a jugé récemment le pouvoir russe «fort», à la suite de la rébellion Wagner et refusé de qualifier Vladimir Poutine de «criminel de guerre».

Ces déclarations s’ajoutent à son bras de fer avec le financier George Soros, partisan de la «société ouverte», et à ses critiques de la politique migratoire de l’Union européenne. Décidément, Viktor Orban sait se faire des ennemis…

 

 

 

source : TV Libertés

 

 

Fustigeant la censure contre RT, Poutine estime que la Russie a «beaucoup d’amis» en France

 
 

par RT France

Le 19 juillet, Vladimir Poutine a déclaré que la Russie avait beaucoup d’amis dans les pays occidentaux, en dépit de la propagande ayant pour objectif d’empêcher les gens de penser.

«Nous avons beaucoup d’amis dans les pays européens, notamment en France, je le sais personnellement», a déclaré ce 19 juillet Vladimir Poutine, s’adressant à Christelle Néant, journaliste française expatriée à Donetsk et rédactrice en chef du site Donbass Insider.

Censure des médias russes : «ils ont peur de la vérité», affirme Poutine

«Nous nous sommes rendu compte que c’est une immense machine de propagande, qui consiste à répéter en permanence les mêmes mots, les mêmes schémas, les mêmes idées» lui relate la journaliste française. 

La journaliste évoque également les tentatives visant à «discréditer systématiquement» les voix dissonantes dans la sphère médiatique francophone. 

«C’est la raison pour laquelle ils bannissent partout notre source d’information destinée au public occidental : Russia Today. Celle-là est chassée partout, ils lui font des obstacles», lui répond Vladimir Poutine. «Ils ont peur de la vérité, y compris de la part de vos collègues venant des pays occidentaux et travaillant pour la chaine de télévision RT», poursuit-il.

La politique des dirigeants européens «est erronée», estime Poutine

«Celles qu’on appelle les élites dirigeantes, à mon avis, ont usurpé leur position et ont abusé de leur monopole du pouvoir», a également estimé le président russe, les accusant d’avoir travaillé les opinions publiques européenne pour leur faire croire que le conflit ukrainien avait débuté en février 2022 et non huit années auparavant, avec la répression de Kiev contre le Donbass russophone. Des faits, que rapportaient entre autres les antennes françaises des médias russes, telles que RT France et Sputnik, toutes deux interdites de diffusion au sein de l’UE puis poussées vers la liquidation judiciaire.

«Alors que des personnes comme vous, de mon point de vue, remplissent une mission très importante qui va au-delà des intérêts du peuple du Donbass, qui sert les intérêts de votre pays. Car vous essayez de montrer que la politique des élites dirigeantes de ces pays

 

 

 

Ukraine : Macron et l’OTAN veulent-ils une guerre mondiale ? 

 

Suivre l’information sur une excellente chaîne TV alternative est un exercice auquel il faut savoir se livrer de temps en temps, si l’on veut avoir une vue différente de celle présentée et reprise en meute par les médias mainstream.

Cette information alternative est souvent plus complète parce qu’elle n’occulte pas les sujets qui fâchent.

Elle est plus équilibrée justement parce que l’on occulte pas les sujets qui fâchent, comme le font les médias mainstream qui préfèrent mettre l’accent sur «l’excellence des mesures prises par nos gouvernances» (France, Europe, OTAN, évidemment).

Elle est plus sincère parce que le financement participatif d’une chaîne alternative exclue les pressions des financeurs publics ou privés, souvent très engagés.

Voir par exemple le dernier journal télévisé de TV Libertés qui ne dure que 23 minutes et qui couvre tous les sujets essentiels de la semaine écoulée.

Dominique Delawarde

***

Au programme ce soir, le point sur la situation autour de la guerre en Ukraine. Quelques jours après l’inquiétante annonce d’Emmanuel Macron de fournir des missiles Scalp de longue portée, l’attaque ukrainienne contre le Pont de Kertch et l’utilisation de plus en plus généralisée par Kiev des bombes à sous-munitions fait craindre le pire.

Nous reviendrons ensuite sur le rôle de la Turquie dans l’adhésion de la Suède à l’OTAN, une adhésion qui va sans doute devoir attendre plus que prévu.

Et puis nous reviendrons en France pour évoquer les annonces du Premier ministre sur la sécurité routière. Une nouvelle opération de com sans effets concrets.

 

 

 

source : TV Libertés

 

La Chine s’oppose à l’expansion de l’OTAN en Asie-Pacifique

 
 

La Chine s’est catégoriquement opposée au mouvement vers l’est de l’OTAN dans la région Asie-Pacifique, avertissant qu’elle donnera une réponse résolue à toute menace contre ses droits légitimes.

Elle avertit l’OTAN dans un communiqué publié mardi par la mission chinoise auprès de l’Union européenne à la suite d’un sommet de l’Alliance atlantique dans la capitale lituanienne Vilnius, où l’alliance militaire occidentale dirigée par les États-Unis s’est déchaînée contre Pékin.

L’OTAN a déclaré plus tôt dans la journée dans un communiqué à ton virulent que la République populaire de Chine (RPC) défiait ses intérêts, sa sécurité et ses valeurs avec ses «ambitions et ses politiques coercitives».

«La RPC utilise un large éventail d’outils politiques, économiques et militaires pour accroître son empreinte mondiale et sa puissance de projet tout en restant opaque sur sa stratégie, ses intentions et son renforcement militaire… Les opérations malveillantes hybrides et cybernétiques de la RPC, sa rhétorique conflictuelle et sa désinformation ciblent les Alliés et nuisent à la sécurité de l’Alliance», ont déclaré les chefs d’État de l’OTAN dans leur communiqué.

La mission chinoise a rejeté les prétendues préoccupations de l’alliance militaire concernant ce qu’elle a décrit comme les ambitions et les politiques coercitives de la Chine.

Dans un communiqué, elle indique que Pékin sauvegardera fermement sa souveraineté, sa sécurité et ses intérêts en matière de développement. Elle accuse aussi l’OTAN d’ignorer les faits fondamentaux, de déformer délibérément la politique de Pékin et de salir la Chine.

Les déclarations répétées de l’OTAN sur le statut chinois d’«alliance nucléaire» dans ses communiqués ne font qu’exacerber les tensions dans la région Asie-Pacifique ; c’est une profonde préoccupation pour la Chine, ajoute le communiqué.

La Chine a mis en garde à plusieurs reprises contre «l’extension continue de l’OTAN vers l’est dans l’Asie-Pacifique et l’ingérence dans les affaires régionales», estimant que les activités de l’alliance militaire occidentale «saperont inévitablement la paix et la stabilité régionales et alimenteront la concurrence entre les camps».

Pékin a mis en garde contre la création d’une «version Asie-Pacifique de l’OTAN» et a clairement exprimé son opposition à toute implication militaire étrangère dans la région.

Le mois dernier, plus de 90% des répondants à une enquête mondiale se sont dits opposés fermement à l’implication de l’OTAN dans la région Asie-Pacifique, décrivant les activités de l’alliance militaire occidentale dirigée par les États-Unis dans la région comme la source de grande inquiétude.

93% des répondants étaient tout à fait d’accord pour dire que les actions de l’OTAN ces dernières années ont violé sa position déclarée en matière de défense.

Plus de 92% des personnes interrogées pensent que l’OTAN est devenue un outil permettant aux États-Unis de maintenir leur hégémonie et de poursuivre des intérêts politiques.

«L’OTAN sème le trouble partout et continue de s’ingérer dans les affaires d’autres régions, ce qui n’aura que ses propres conséquences», a déclaré un répondant cité par CGTN.

source : Pars Today

 

Emeutes : Le premier syndicat de la police, Unité SGP, appelle au service minimum “sur tout le territoire national”, après le placement en détention provisoire d’un policier marseillais. Les policiers n’interviendraient que pour les appels au 17 (MàJ)

Six policiers placés en garde à vue suite aux émeutes

21/07/23

20/07/23

Sept policiers de la brigade anticriminalité (BAC) sud et centre de Marseille, soupçonnés de violence en réunion en marge des émeutes survenues à Marseille après la mort de Nahel tué par un tir de policier à Nanterre le 27 juin, ont été placés en garde à vue mardi dans les locaux de l’IGPN.

Mercredi, six d’entre eux étaient toujours auditionnés dans d’autres commissariats de la ville où ils ont été transférés en deux temps. Au moins quatre d’entre eux devraient être déférés ce jeudi matin, indiquait hier soir BFM. Le septième officier avait été remis en liberté mardi après-midi.

Plusieurs heures de coma

Le mercredi 5 juillet, une information judiciaire du chef de « violences en réunion par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné une ITT supérieure à 8 jours » a été ouverte par le parquet de Marseille. Dans la nuit du 1er au 2 juillet, un jeune homme de 22 ans, dont le témoignage avait été mis en lumière par nos confrères de La Provence, assure avoir été victime de violences de la part de policiers. Ils sont soupçonnés de lui avoir tiré dessus avec un flash-ball, puis de l’avoir roué de coups, le laissant pour mort sur un trottoir. La victime, toujours hospitalisée, a été opérée d’un lourd traumatisme crânien après avoir été plongée plusieurs heures dans le coma après son agression.

www.lamarseillaise.fr

 

 

Emeutiers : Emmanuelle Ménard évoque des « Français de papier », la gauche scandalisée (MàJ)

 

Un champ lexical qui a tout de suite fait bondir la gauche. « Jour après jour l’extrême droite se lâche, encouragée par les droites qui la copient, l’intègrent à l’arc républicain et la notabilisent », a déploré sur Twitter le Premier secrétaire du PS Olivier Faure. « Immonde. Les pires mots de l’extrême droite prononcés dans l’hémicycle. Il n’est pas beau l’arc réactionnaire de la Macronie ? », a renchéri la présidente du groupe LFI à l’Assemblée, Mathilde Panot. Plus directs, ses collègues Thomas Portes et Carlos Martens Bilongo ont qualifié Emmanuelle Ménard, apparentée RN, de « raciste ».

www.huffingtonpost.fr

 

 

« Je t’encule, sale Française, je vais revenir avec une kalach » : une gendarme en vacances dans le Var, agressée sur la presqu’île de Giens ; victime d’une fracture d’une vertèbre, elle devra porter un corset pendant trois mois

Une jeune femme, en vacances dans le Var, a été prise à partie par deux individus éméchés ce samedi sur la presqu’île de Giens. Quand Sandrine (les prénoms de la victime et de ses amis ont été modifiés) a mentionné sa qualité de gendarme, l’un des deux hommes lui a porté des coups et l’a fait chuter dans un ravin profond de plus de deux mètres.

[…]

 

Une altercation a éclaté entre Sandrine et les deux individus. “Je t’encule, sale Française, je vais revenir avec une kalach”, a lancé Badir Y., un compatriote âgé de 24 ans, également condamné pour le délit “d’injure en raison de la nationalité.

[…]

 

“Gendarmes, c’est des gens comme les autres, je vais pas les insulter plus (sic)”, s’est expliqué Badir Y. “Je ne l’ai pas poussée, c’est dans l’altercation qu’elle a trébuché.”. L’auteur des violences a été condamné, tard dans la soirée, à quatre ans de prison dont deux assortis d’un sursis probatoire. Ce Hyérois a été maintenu en détention et est frappé d’une interdiction de séjour dans le Var pendant trois ans.

[…]

 

Var-Matin

 

 

« Violence inouïe » : une jeune femme de 19 ans défigurée à coups de tesson de bouteilles en raison de sa tenue vestimentaire à Toulouse ; quatre mineurs connus de la police interpellés (Màj : Elle témoigne)

21/07/2023


20/07/2023

L’agression survenue dans la nuit de mardi à mercredi à Toulouse a été d’une violence inouïe. (…)

Le visage de cette jeune femme âgée de 19 ans est méconnaissable et marqué à jamais. Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 3 heures du matin, une passante et son petit ami se trouvent boulevard Lazare Carnot en plein centre-ville de Toulouse lorsqu’ils croisent quatre jeunes, deux filles et deux garçons âgés de 14,16 et 17ans. Cette rencontre fortuite va tourner au drame. Selon plusieurs témoins, le quatuor aurait indiqué à ce couple que la tenue vestimentaire de la jeune femme n’était pas correcte. Une réflexion qui n’aurait pas plu au petit ami de cette dernière qui a tenté de prendre sa défense. Des premières insultes fusent et sont très vite remplacées par des coups, violents. (…)

(…) Son compagnon est lui aussi cible de coups de la part des deux autres garçons âgés de 17 ans. (…)

Le quatuor, déjà très défavorablement connu des services de police, a été interpellé et placé en garde à vue. (…)

La Dépêche

 

 

 

Nice : un homme poignardé dans une gare, il est grièvement blessé ; un témoin s’agace « on a l’impression que c’est toutes les semaines (…) au milieu de tout le monde, ils n’en ont plus rien à foutre ! »

Ce jeudi 20 juillet, vers 14 h 45, un homme a été grièvement blessé à l’arme blanche sur les quais de cette gare SNCF très fréquentée. S’il était encore en vie au moment de son évacuation, il le doit à une chaîne de secours exemplaire. Six ou sept témoins se sont portés à son secours, permettant de le stabiliser et de lui prodiguer les premiers gestes salvateurs. Les massages cardiaques des sapeurs-pompiers et du SMUR ont ensuite permis de le maintenir en vie. (…)

Les agresseurs ont pris la fuite. Outre les secours, la police nationale et la police municipale ont investi les lieux. La police technique et scientifique a ratissé la scène de crime. (…)

L’origine de la rixe est à ce stade inconnue. “On a l’impression que c’est toutes les semaines à Nice : dans le tramway, à la gare…, peste notre principal témoin. Des coups de couteau en plein jour, au milieu de tout le monde : ils n’en ont plus rien à foutre ! A une époque on se serait mis deux coups de poing ; aujourd’hui, on se met deux coups de couteau.” (…)

Nice Matin

 

Mélenchon taxe le Crif d’«extrême droite» (MàJ)

 

18/07/23


17/07/23

En assimilant le président du Conseil représentatif des institutions juives de France, qui l’avait pris à partie, à l’extrême droite, le leader insoumis s’est attiré les foudres d’une partie de la gauche.

«Le président du Crif utilise la cérémonie à la mémoire des victimes de la rafle des juifs par la police française pour me prendre à partie. Abject. L’extrême droite n’a plus de limite.» Une fois encore, en écrivant n’importe quoi, Jean-Luc Mélenchon a réussi à s’attirer les foudres de la classe politique. Le contraire eût été étonnant après avoir qualifié le Conseil représentatif des institutions juives de France, fondé en 1944 et issu de la Résistance, d’«extrême droite» après que son président, Yonathan Arfi, a estimé dimanche que les insoumis se compromettent «loin du pacte républicain» et «font davantage partie du problème que de la solution» face à au danger de l’extrême droite.

La vigueur des réactions est à la hauteur de la violence des mots de Mélenchon. Même au sein de la Nupes, on s’indigne. «Que les critiques [du président du Crif] conduisent Mélenchon à le taxer d’extrême droite est indécent et contraire à l’essence de la démocratie», s’est émue la députée PS Valérie Rabault. «Ce qui est abject, c’est de qualifier le représentant des institutions juives de France d’extrême droite. Le jour des commémorations de la rafle du Vél d’Hiv. Refusons l’indignité», a estimé le chef des sénateurs roses Patrick Kanner. Le numéro 2 du PS opposé à la Nupes, Nicolas Mayer-Rossignol, a dénoncé «une faute et une insulte». «Heureusement, nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir que la gauche sorte de ces outrances», a-t-il ajouté.

Libération

 

 

Plus d’un milliard de dollars attribué aux étudiants noirs et hispaniques qui ont raté le concours enseignant de New York

Plus d’un milliard de dollars attribué aux étudiants noirs et hispaniques qui ont raté le concours enseignant de New York

La justice a estimé que l’examen pour devenir enseignant à New York était «culturellement biaisé». La ville doit indemniser les candidats déçus, issus de minorités.

Un montant d’1,8 milliard de dollars. C’est la somme que la ville de New York s’apprête à reverser aux aspirants enseignants noirs et hispaniques qui ont échoué à l’examen d’entrée entre 1994 et 2014. Si les sommes varient parmi les 5200 personnes concernées, certains ont déjà reçu plus d’un million de dollars.

Parmi eux Herman Grim, âgé de 64 ans, qui a perçu plus de 2 millions de dollars. Ou encore Andrea Durant, 62 ans, qui vient d’obtenir environ 1.900.000 dollars et Kathy Faye Bailey, indemnisée à hauteur de 1,8 million de dollars. Des sommes calculées en fonction de ce que ces candidats enseignants auraient perçu s’ils avaient été admis à travailler dans les écoles de la ville. Plus les candidats ont échoué à l’examen, plus ils obtiennent une somme importante, indique le New York Post dans un article publié samedi 15 juillet. Les indemnisations devraient continuer à être versées auprès des plaignants jusqu’en 2028.

La moitié des candidats noirs ou hispaniques ont échoué

Ces versements mirobolants font suite à un long parcours judiciaire. En 1996, quatre enseignants ont intenté un procès à l’encontre de la ville de New York, affirmant que l’examen d’aptitude à leur métier était «culturellement biaisé» en faveur des candidats blancs, complète le New York Post. À titre d’exemple, le média américain évoque l’une des questions du test, qui demandait aux candidats «d’expliquer la signification d’un tableau de l’artiste pop Andy Warhol». Selon les plaignants, plus de 90% des candidats blancs ont réussi le test à choix multiples et l’essai, contre 53% pour les candidats noirs et 50% pour les hispaniques.

etudiant.lefigaro.fr

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