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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 16 juillet 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev déclare « avancer progressivement » près de Bakhmout...

 

L'ESSENTIEL

  • La Russie dispose d'une « bonne réserve » de bombes à sous-munitions, a indiqué Vladimir Poutine menaçant de les employer sur le front en Ukraine si Kiev utilisait ce type d'armement livré par les Etats-Unis.
  • L'accord sur l'exportation de céréales expire demain, et Moscou n'a toujours pas donné son feu vert pour le prolonger. « Le principal objectif de l’accord, la livraison de céréales aux pays dans le besoin, notamment sur le continent africain, n’est pas réalisé », selon un communiqué du Kremlin.
  • Les services de sécurité russes (FSB) ont affirmé samedi avoir empêché les assassinats de Margarita Simonian, l’une des principales voix de la machine médiatique du Kremlin, et de Ksenia Sobtchak, une célèbre influenceuse critique de l’offensive en Ukraine.

 

13h32 : La Chine et la Russie se préparent à des exercices militaires en mer du Japon

La Chine et la Russie vont organiser des manœuvres militaires conjointes en mer du Japon, a annoncé dimanche le ministère chinois de la Défense, dans un contexte de tensions avec les pays occidentaux. Les deux pays voisins, qui partagent une volonté commune de contrer ce qu’ils présentent comme l’hégémonie américaine, se sont notoirement rapprochés dans le domaine militaire depuis l’intervention russe en Ukraine, que Pékin refuse de condamner.

Pour renforcer leur coordination, la Chine et la Russie ont ainsi organisé ces derniers mois plusieurs exercices entre leurs armées. Le prochain se tiendra en mer du Japon et impliquera notamment cinq bâtiments de guerre chinois, dont le destroyer lanceur de missiles guidés Qiqihar, a indiqué dimanche dans un communiqué le ministère chinois de la Défense. Le calendrier des opérations n’a pas été dévoilé mais le ministère a indiqué que les navires avaient quitté le port de Qingdao pour rejoindre les forces russes dans une « zone prédéfinie ».

 

12h29 : La contre-offensive ukrainienne ne connaît pas « de succès », estime Poutine

Vladimir Poutine estime que la contre-offensive de l’armée ukrainienne, lancée en juin, n’avait pas remporté de succès face à la résistance des défenses russes dans l’est et le sud de l’Ukraine. « Toutes les tentatives de l’ennemi de percer notre défense (…) n’ont pas réussi pendant toute la période de l’offensive. L’ennemi n’a pas obtenu de succès », a indiqué le président russe dans une interview à la chaîne de télévision Rossia-1 diffusée dimanche.

 

11h14 : La Russie dit avoir repoussé une attaque de drones en Crimée

La Russie a affirmé dimanche avoir neutralisé au moins dix drones ukrainiens, lancés en Crimée annexée près de Sébastopol, quartier général de la flotte russe en mer Noire régulièrement ciblé par ce type d’attaques. Dans un communiqué, le ministère russe de la Défense a affirmé avoir abattu deux drones avec sa défense antiaérienne et en avoir mis hors d’état de nuire cinq autres avec des systèmes de brouillage.

Le ministère affirme avoir également détruit deux drones navals de l’armée ukrainienne, des embarcations qui opèrent à la surface de l’eau, sans équipage. « Pas de victime, ni de dégâts après cette attaque terroriste avortée », a-t-il précisé.

 

10h37 : Moscou a une « bonne réserve » de bombes à sous-munitions, prévient Vladimir Poutine

Le président russe Vladimir Poutine a affirmé que son armée disposait d’une « bonne réserve » d’armes à sous-munitions, en menaçant de l’employer sur le front en Ukraine si Kiev utilisait ce type d’armement livré par les Etats-Unis. « En Russie, il y a une bonne réserve d’armes à sous-munitions, de différents types », a souligné le maître du Kremlin, dans une interview à la chaîne de télévision publique « Rossia-1 », diffusée dimanche.

« Jusqu’à présent, nous les avons pas employées, nous n’en avions pas la nécessité, même si nous avons eu une pénurie de munitions bien connue, à un certain moment », a poursuivi Vladimir Poutine. « Mais si elles sont utilisées contre nous, nous nous réservons le droit à des mesures de représailles », a ajouté le président russe.

DIRECT

 

 

 

"Ils manquent de munitions": Poutine sur la décision des États-Unis d'envoyer des bombes à fragmentation en Ukraine

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 juillet 2023

L'administration Biden a dévoilé le 7 juillet un nouveau programme d'assistance militaire pour l'Ukraine, qui comprenait des bombes à fragmentation. Les armes létales sont interdites par la Convention sur les armes à sous-munitions, qui a été ratifiée par 123 pays, à l'exclusion des États-Unis et de l'Ukraine, et de plusieurs autres nations.

Les États-Unis ont décidé de fournir des armes à sous-munitions à l'Ukraine parce que la guerre par procuration menée par l'Occident contre la Russie est à court de munitions, a déclaré le président Vladimir Poutine aux médias locaux.

"Ils [les Etats-Unis] font cela non pas à cause de 'la belle vie', mais parce qu'ils manquent de munitions en général", a déclaré le chef de l'Etat, répondant à une question d'un journaliste russe.

Le dirigeant russe a rappelé que Washington avait précédemment qualifié l'utilisation de bombes à fragmentation de "crime".

"En ce qui concerne les armes à sous-munitions, l'administration américaine elle-même a fourni une évaluation de ces munitions avec des commentaires de son personnel il y a quelque temps, lorsque l'utilisation d'armes à sous-munitions a été qualifiée de crime par l'administration américaine elle-même. C'est ainsi que je pense qu'il faut le considérer. ," il a dit.

Moscou se réserve le droit de réagir en conséquence en cas d'utilisation d'armes à sous-munitions contre le pays, a souligné le président russe.

"Bien sûr, s'ils sont utilisés contre nous, nous nous réservons le droit de refléter les actions", a déclaré Poutine dans l'interview pour la télévision russe.

Il a souligné que la Russie, qui dispose de divers types d'armes à sous-munitions, n'a pas encore eu besoin de recourir à l'utilisation d'armes létales.

« La Russie a en sa possession un stock suffisant de divers types d'armes à sous-munitions. Jusqu'à présent, nous ne les avons pas utilisées… nous n'en avions pas besoin, bien que nous ayons déjà connu une pénurie de munitions », a noté Poutine.

Les armes à sous-munitions promises par les États-Unis ont déjà été livrées au régime de Kiev, a confirmé jeudi le Pentagone. Le lieutenant-général Douglas Sims, directeur des opérations de l'état-major interarmées J3, a déclaré que les bombes " ont effectivement été livrées à l'Ukraine à ce stade.

Les forces armées ukrainiennes, selon l'armée russe, ont déjà eu recours à l'utilisation des armes à sous-munitions controversées pour bombarder le Donbass, en particulier Donetsk. Selon le porte-parole du ministère russe de la Défense, le lieutenant-général Igor Konashenkov, cela indique que l'objectif de l'armée ukrainienne est de tuer un maximum de civils.

Les bombes à fragmentation sont extrêmement meurtrières et contiennent des dizaines ou des centaines de sous-munitions explosives , ou bombelettes , et sont conçues pour maximiser les dégâts aux forces ennemies sur une zone pouvant atteindre plusieurs centaines de mètres carrés....

Source

 

 

Poutine évalue les progrès de l'opération militaire spéciale russe

 

Le Président russe s’est exprimé sur le déroulement de l’opération spéciale dans le Donbass et les actions surprises des forces russes. Il a qualifié de braves les soldats qui mettent en déroute toute offensive ukrainienne en tout temps et en tout lieu.

L'opération militaire spéciale évolue positivement, les soldats russes combattent en héros, faisant échouer toutes les tentatives de Kiev de percer la défense pendant toute la durée de l'offensive, a déclaré Vladimir Poutine.

"Nos troupes se comportent de manière héroïque. Elles passent elles-mêmes à l'offensive de manière inattendue pour l'ennemi dans certaines zones, prenant les positions les plus favorables, les hauteurs, etc.", a-t-il indiqué dans une vidéo publiée ce 16 juillet par le journaliste Pavel Zaroubine.

Selon M.Poutine, aucune tentative de l’armée ukrainienne de percer la défense russe n'a été couronnée de succès pendant l'offensive. Pourtant, les forces ennemies ont même utilisé leurs réserves stratégiques, a-t-il noté.

"L'ennemi n'a aucun succès", a conclu le Président.

Une réponse à huit clos

Interrogé par le journaliste sur les prochaines actions de la Russie, le chef du Kremlin a promis de lui répondre "lorsque les caméras seront éteintes".

La contre-offensive de Kiev a débuté le 4 juin. Depuis lors, les troupes ukrainiennes n’ont atteint leurs objectifs sur aucun des axes, selon le ministère russe de la Défense.

Les pertes humaines ukrainiennes sont estimées à au moins 26.000 militaires, avec des dégâts matériels, 1.244 blindés mis hors d'état de nuire, dont des chars Leopard, AMX et des véhicules de combat Bradley.

Spoutnik

 

 

 

Poutine évoque le destin des équipements militaires étrangers capturés à l’armée de Kiev

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 juillet 2023

Vladimir Poutine soutient l’étude des armements de production étrangère des troupes ukrainiennes saisis par l’armée russe afin de voir ce qui peut être utile. Il a également vanté le matériel moderne russe, comme c’est le cas avec le meilleur char au monde, le T-90 Proryv.

La Russie dispose de son propre équipement militaire très performant, mais il ne faut pas renoncer à l'opportunité de regarder à l'intérieur des armes trophées capturées par les forces russes à l’armée ukrainienne, a déclaré le Président russe.

En guise d’exemple, Vladimir Poutine a rappelé que le T-90 Proryv était le meilleur char d’assaut au monde.

"Nous en avons et il [cet équipement moderne, ndlr] est très efficace. Par exemple, le char T-90 Proryv. Le meilleur char au monde! Sans aucune exagération", a-t-il précisé dans une interview qui sera diffusée ce 16 juillet sur la chaîne Rossiya-1.

Le dirigeant russe a noté que l'ennemi produisait également du matériel moderne.

"Il existe un terme, l’"ingénierie inversée". (…) S'il est possible de regarder à l'intérieur et de voir s'il y a quelque chose qui peut être utilisé dans notre pays, pourquoi pas", a-t-il souligné.

Le "meilleur tank du monde"

En juin, M.Poutine avait estimé lors de sa rencontre avec des correspondants de guerre qu’aucun char n’était comparable au T-90 Proryv russe.

Il s’agit de blindés dont la version modernisée est impliquée actuellement dans l’opération spéciale.

Le T-90M permet l'utilisation de nouvelles munitions de haute efficacité ainsi que de roquettes guidées qui peuvent détruire des chars et d'autres blindés de l'ennemi à une distance allant jusqu'à cinq kilomètres.

La grande vitesse du T-90M, son économie de carburant et son autonomie de marche sont assurées par un moteur diesel d'une puissance de 1.130 chevaux-vapeur. Il est aussi doté d'une tourelle de combat avec un canon de 125 millimètres.

L’armement est bien protégé, car la coque frontale et la tourelle sont recouvertes d'un blindage combiné avec une protection supplémentaire. En outre, un système de défense dynamique capable de résister aux missiles antichars les plus récents protège le véhicule des obus cumulés.

Spoutnik

 

Note ; vous comprenez pourquoi les Américains ont poussé l'Europe à envoyer leurs chars, tous en refusent d'envoyer les leurs !

 
Vers une guerre de religion, infos du 16 juillet 2023

 

 

Le New York Times : L’Ukraine a perdu environ 20% de ses armes lors de la contre-attaque

 

Le New York Times a rapporté samedi que «20% des armes envoyées par l’Ukraine sur le champ de bataille lors de la contre-attaque ont été endommagées ou détruites», selon des responsables américains et européens.

Le journal a indiqué «qu’au cours des deux premières semaines de la contre-attaque lancée par l’Ukraine contre la Russie, environ 20% des armes de Kiev ont été détruites, et les pertes comprenaient des chars occidentaux, des véhicules blindés de transport de troupes et d’autres armes lourdes».

«Dans les semaines qui ont suivi la contre-attaque ukrainienne, le taux de pertes est tombé à environ 10%», ont déclaré des responsables américains et européens.

Les responsables ont également noté que «cette amélioration est due au fait que l’Ukraine a changé sa tactique et s’est davantage concentrée sur l’affaiblissement des forces russes avec de l’artillerie et des missiles à longue portée plutôt que sur l’attaque des champs de mines ennemis».

Hier, le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriy Yermak, a reconnu que la contre-attaque de Kiev, qui se heurte à la résistance des forces russes, «ne progresse pas rapidement».

Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, révélait il y a quelques jours que «les pertes de l’Ukraine, depuis le début de la contre-attaque, s’élevaient à plus de 26 000 soldats et 3000 unités d’armes diverses», dont 1244 véhicules blindés, dont 17 chars Leopard, et 5 AMX français. chars et 12 véhicules américains Bradley.

Et samedi dernier, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a admis, dans une interview, que «le rythme de la contre-attaque ukrainienne n’était pas celui escompté».

Avant cela, l’officier de renseignement américain à la retraite, Scott Ritter, a révélé que «les brigades de combat des forces armées ukrainiennes ont perdu, lors de la contre-attaque, plus de la moitié de leurs effectifs».

source : Al Manar

 

 

Guerre en Ukraine: Des responsables russes opposés à une "frappe nucléaire préventive" sur l'Europe pour "briser la volonté de l'Occident"

 

  • La petite musique se répand à Moscou de frapper l'Europe avec des armes nucléaires.
    La petite musique se répand à Moscou de frapper l'Europe avec des armes nucléaires. Image par Gerd Altmann de Pixabay

Les membres du Conseil russe de politique étrangère et de défense ont publié le 13 juillet une déclaration condamnant cette idée qui se répand à Moscou.
 

"Espérer qu'un conflit nucléaire limité puisse être géré et empêcher qu'il ne dégénère en une guerre nucléaire mondiale est le comble de l'irresponsabilité", écrivent les membres du Conseil de la politique étrangère et de défense de la Fédération de Russie. "Cela signifie que l'enjeu est la destruction de dizaines, voire de centaines de millions de personnes en Russie, en Europe, en Chine, aux États-Unis et dans d'autres pays. C'est une menace directe pour l'humanité en général", s'inquiètent-ils dans un communiqué relayé par le média d'opposition russe Meduza.

Les signataires de cette déclaration, qui s'expriment en leur nom et pas en celui du Conseil, réprouvent l'idée qui se répand en Russie de frapper l'Europe avec des armes nucléaires notamment depuis la publication d'un article, en juin 2023, par l'un des fondateurs du Conseil de politique étrangère et de défense, Sergueï Karaganov, intitulé "Une décision difficile mais nécessaire. L'utilisation d'armes nucléaires peut sauver l'humanité d'une catastrophe mondiale".

"Raisonnements pseudo-théoriques"

L'auteur y expliquait, entre autres choses, que la Russie, pour gagner en Ukraine, devait lancer une "frappe nucléaire préventive sur l'Europe" afin de "briser la volonté de l'Occident". Selon le politologue, une telle frappe ne conduirait pas à une guerre nucléaire mondiale, puisque les États-Unis ne défendraient pas l'Europe.

De tels "raisonnements pseudo-théoriques" et "déclarations émotionnelles" sont inacceptables, car ils créent des humeurs dans la société russe qui peuvent pousser à "prendre des décisions catastrophiques", condamnent les signataires dans leur communiqué. 

"Nous, les membres du Conseil de la politique étrangère et de défense, considérons ces propositions comme absolument inacceptables et les condamnons sans équivoque. Personne ne devrait jamais faire chanter l'humanité avec la menace d'utiliser des armes nucléaires et, de plus, donner le commandement de leur utilisation au combat", concluent-ils.

Source

 

 

 

Elon Musk condamne l’"hypocrisie" de Washington sur les armes à sous-munitions pour Kiev

 

 

Les États-Unis font preuve d’hypocrisie en envoyant des armes à sous-munitions à l’Ukraine, alors qu’ils ont depuis toujours condamné leur utilisation, a déclaré Elon Musk. Le patron de Tesla et Space X se montre pessimiste pour la suite.

Washington n’est plus à un paradoxe près. Alors que les États-Unis s’apprêtent à livrer des armes à sous-munitions à Kiev, Elon Musk a critiqué un double discours sur Twitter. Le milliardaire a rappelé que les Américains avaient toujours désapprouvé l’usage de ce type d’armes et se retrouvaient pourtant aujourd’hui à en fournir à l’Ukraine.

"Les États-Unis ont toujours condamné comme mauvais ceux qui employaient des armes à sous-munitions, mais nous les envoyons désormais pour qu’elles soient utilisées? Il n’en sortira rien de bon. Le destin aime l’ironie mais déteste l’hypocrisie", a ainsi écrit ElonMusk sur le réseau social.

Ce n’est pas la première sortie de l’homme d’affaires donne son avis sur le conflit en Ukraine. Il avait par exemple déjà condamné l’utilisation de ses satellites Starlink par les forces de Kiev ou s’était montré critique sur l’efficacité des chars Leopard dans la contre-offensive en cours.

Des armes qui suscitent l’indignation

Début juillet, la Maison-Blanche avait annoncé la livraison d’armes à sous-munitions à Kiev. Un armement qui repose sur la dispersion d’un grand nombre de petites bombes à partir d’un missile ou d’un obus et qui reste très controversée. Plus d’une centaine de pays ont interdit l’utilisation et le stockage de telles armes en vertu de la Convention d’Oslo.

De nombreuses ONG se sont indignées devant la décision américaine, soulignant le risque de telles armes pour les civils. Les bombes larguées n’explosent en effet pas forcément. Une fois tombées au sol, celles-ci peuvent disparaître sous terre, jouant de facto le rôle mines anti-personnel. Elles peuvent aussi être ramassées par des enfants, qui sont les premiers exposés aux blessures.

"C'est une peine de mort pour les civils sur le long terme. Il y a des personnes qui ne sont pas encore nées qui en seront les victimes", avait ainsi dénoncé auprès de l’AFP Baptiste Chapuis, de l'organisation Handicap International - Humanity and Inclusion (HI).

Les alliés européens de Washington se sont quant à eux montrés très discrets sur ces livraisons. "Nous sommes convaincus que nos amis américains n’ont pas pris cette décision à la légère", a ainsi déclaré le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Hebestreit, qui s’est même permis de parler de "munitions appropriées".

D’autres pays ont par contre élevé la voix, comme la Chine, qui a fustigé un "transfert irresponsable d’armes pouvant entraîner des problèmes humanitaires". Moscou a de son côté moqué les promesses de Kiev d’utiliser ces armes "avec prudence", y voyant surtout un aveu de faiblesse dans un contexte d’échec de la contre-offensive. La décision américaine vise à prolonger le conflit jusqu’au "dernier Ukrainien", a encore souligné la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova.

Spoutnik

 

 

 

Les États-Unis, le Japon et la Corée du Sud organisent un exercice de défense antimissile en mer du Japon

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 juillet 2023

TOKYO (Spoutnik) - Les exercices étaient organisés autour d'un scénario de lancement de missile balistique par la Corée du Nord et mettaient en scène trois destroyers équipés d'Aegis, selon les médias.

Les États-Unis, la Corée du Sud et le Japon ont organisé des exercices trilatéraux de défense antimissile dans les eaux internationales de la mer du Japon , a rapporté dimanche une agence de presse sud-coréenne citant la marine de Séoul.

"Cet exercice a été l'occasion de renforcer les capacités de réponse de nos militaires contre les missiles balistiques et d'améliorer la coopération en matière de sécurité entre la Corée du Sud, les États-Unis et le Japon", a déclaré un responsable de la Marine, cité par l'agence, ajoutant que les trois pays "répondront efficacement aux menaces nucléaires et de missiles de la Corée du Nord. »

Plus tôt dans le mois, le président Joe Biden a déclaré que les États-Unis fourniraient des bombes à fragmentation à l'Ukraine dans le cadre de son programme d'aide militaire au régime de Kiev d'une valeur de 800 millions de dollars pour une période temporaire, tandis que la base industrielle américaine produirait davantage d'obus d'artillerie de 155 mm. Auparavant, Biden et d'autres responsables de l'administration avaient officiellement laissé échapper que la base industrielle de défense américaine avait rencontré des difficultés pour reconstituer les dizaines de milliards de dollars d'armes envoyées en Ukraine pour combattre la Russie.

Le 46e président a ajouté qu'il avait consulté les alliés et partenaires de Washington au sujet de sa décision sur les bombes à fragmentation et qu'ils comprenaient la raison de cette décision.

Les États-Unis ont largement utilisé des armes à sous-munitions dans leurs opérations militaires qui remontent à près de six décennies, larguant des centaines de millions de bombes sur le Vietnam, le Laos et le Cambodge, ainsi que pendant la guerre du Golfe de 1991, ainsi que sur la Yougoslavie, l'Afghanistan et l'Irak.

Plusieurs alliés des États-Unis, des défenseurs des droits de l'homme et des groupes anti-guerre, en plus de l'ONU et de Moscou, ont condamné la décision de Washington d'envoyer des bombes à fragmentation DPICM lancées par des obusiers en Ukraine.

La Russie a averti que la livraison d'armes à sous-munitions à Kiev marque une autre escalade majeure de la crise ukrainienne. Des experts militaires et des groupes de défense des droits de l'homme ont exprimé leurs craintes quant à l'utilisation par le régime de Kiev d'armes à sous-munitions fournies par les États-Unis pour terroriser des civils dans le Donbass et ailleurs, comme ils l'ont déjà fait en utilisant d'autres armes fournies par l'OTAN, telles que des canons à longue portée de 155 mm. des systèmes d'artillerie, des roquettes HIMARS et des missiles, à des dizaines de milliers d'occasions au cours de la dernière année et demie.

Le gouvernement ukrainien a offert des assurances par écrit à Washington "sur l'utilisation responsable des DPICM, notamment qu'ils n'utiliseront pas les cartouches dans des environnements urbains peuplés de civils, et qu'ils enregistreront où ils utiliseront ces cartouches, ce qui simplifiera les efforts de déminage ultérieurs, le sous-secrétaire à la Défense pour la politique Colin Kahl ", a déclaré lors d'un briefing vendredi. Cependant, les responsables russes et les experts militaires qui se sont assis pour parler à Spoutnik ont ​​souligné les antécédents de Kiev en matière d'utilisation des armes fournies par l'OTAN comme un témoignage qui parle de lui-même .

Spoutnik

 

 

 

Pays Basque : la justice suspend l’utilisation de drones par les autorités pour surveiller la frontière ; les avocats pro-migrants ont plaidé qu’il s’agissait d’une “disproportion de moyens” face à l’immigration clandestine

L’utilisation des drones pour surveiller la frontière est interdite. Le tribunal administratif de Pau a suspendu l’arrêté préfectoral jeudi. Les avocats de l’ADDE avaient plaidé la disproportion de moyens face à la réalité migratoire clandestine, et une atteinte aux libertés individuelles.

Jusqu’à nouvel ordre, l’utilisation des drones est interdite à la frontière basque. Le préfet avait signé un arrêté autorisant le survol d’une zone de vingt-deux kilomètres carré sur les communes d’Hendaye et Urrugne, au nom de la lutte contre l’immigration irrégulière. Sauf que l’ADDE, l’Association de défense des étrangers, a saisi le tribunal administratif estimant que la réalité migratoire ne nécessite pas de tels moyens.

Isabelle Casau, la présidente de l’ADDE, explique : “Il y a cette technologie qui existe, qui est très confortable pour les autorités. Mais, en l’espèce, ce n’est absolument pas justifié parce que ce n’est pas l’unique moyen de surveiller la frontière. Il y a d’autres moyens de surveiller la frontière : des moyens humains, les voies sont carrossées. Il n’y a pas non plus un afflux migratoire qui nécessiterait qu’on ait recours à ce type très intrusif de surveillance.”

(…) France Bleu

 

Note: on constate ici tous le problème des juges et avocats de gauches, cette gangrène communiste collabos  qui paralyse la FRANCE

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 juillet 2023 Vers une guerre de religion, infos du 16 juillet 2023
Vers une guerre de religion, infos du 16 juillet 2023 Vers une guerre de religion, infos du 16 juillet 2023

 

 

« La Chinoise » : un migrant syrien en situation irrégulière depuis 10 ans et déjà connu de la police, jugé pour injure raciste. Il se présente en bermuda au tribunal du Havre ; relaxé

L’affaire pour injure raciale et menace de crime en raison de l’ethnie, jugée mardi 11 juillet, a pris un air de légèreté un peu inattendu au tribunal du Havre. D’abord, parce que le président s’est attardé en début et fin d’audience sur le fait que le prévenu de 25 ans comparaisse… en bermuda. “C’est mieux que les joggings troués que l’on voit parfois”, a observé l’avocate de la Défense. Et le président de surenchérir : “On verra bientôt des prévenus en short de bain.”

Ensuite, c’est la façon de s’exprimer du prévenu, originaire de Syrie, qui a de quoi déconcerter : un français plutôt fluide, mais pas toujours bien articulé, avec des termes pas très bienvenus, comme “mec” et “meuf”. Le prévenu – qui comparaît pour des faits sur fond de racisme – appelant même “la Chinoise” la gérante de bar-tabac ayant porté plainte.

[…]

 

Au-delà des faits, le tribunal s’attarde sur le profil du prévenu : en situation irrégulière sur le continent européen depuis dix ans, travaillant de temps en temps sur les marchés en région parisienne sans être déclaré et “consommateur de cannabis depuis tout petit”. Son casier comporte six mentions pour des faits de stupéfiants et outrages. Le tribunal a toutefois fait le choix de le relaxer dans le cadre de cette affaire.

Le Courrier Cauchois

 

Laurent Ruquier, qui a voté Mélenchon lors des deux dernières présidentielles et qui a toujours revendiqué le boycott de Marine Le Pen, débarque sur BFMTV la saison prochaine

Trois jours après avoir officialisé son départ de France 2, Laurent Ruquier a annoncé au Parisien, samedi 15 juillet, qu’il rejoindrait BFM-TV à partir du mois d’octobre. Il animera la tranche d’informations de 20 heures à 21 heures, aux côtés de Julie Hammett.

« Laurent Ruquier rejoint la première chaîne info de France pour animer un nouveau rendez-vous avec Julie Hammett à ses côtés, du lundi au jeudi de 20 heures à 21 heures », a détaillé BFM-TV dans un communiqué. Julie Hammett est une journaliste qui pour sa part arrive de LCI, au terme de dix ans au sein des rédactions du groupe TF1.

Au Parisien, l’animateur de 60 ans révèle avoir eu « le choix » entre une tranche d’informations sur LCI ou sur BFM-TV. « J’ai fait [le choix] du gros challenge, de la chaîne la plus exposée… et de l’amitié », assure-t-il. Laurent Ruquier est un ami de longue date de Marc-Olivier Fogiel, patron de BFM-TV. « Laurent fait le choix de la passion, lui, le passionné d’info qui passe des heures et des heures à lire la presse, écouter la radio et la télé », a commenté M. Fogiel.

Le Monde


Rappel :

Laurent Ruquier a tendance à voter plutôt à gauche qu’à droite. L’animateur de télévision et de radio a confirmé ses opinions politiques, dans le podcast “Dechavanne Cherche Copains”. Après l’élection présidentielle de 2017, il avait notamment dévoilé publiquement avoir voté Jean-Luc Mélenchon. Six ans plus tard, se considère-t-il comme étant un “mélenchoniste”, après s’être montré déçu par l’ex-leader de La France Insoumise ? “Oui plutôt”, a expliqué Laurent Ruquier à Christophe Dechavanne“Mais pas ‘mélenchoniste’ au sens de Jean-Luc Mélenchon. Lui aussi m’agace”, a-t-il cependant nuancé dans son argumentaire.

Gala

Devant les proportions que prend l’affaire, Laurent Ruquier explique son choix ce matin sur LePoint.fr: “Tant que rien ne m’y oblige, je choisis les invités politiques que je reçois comme bon me semble. Je veux avoir plaisir à les recevoir et ne souhaite pas livrer mon audience aux idées du Front national, qu’il soit représenté par Marine, Jean-Marie Le Pen ou Bruno Gollnisch. Je n’invite pas les gens qui font de mauvais films. Je ne prends pas non plus ceux qui encouragent les mauvais sentiments et sont un danger pour la cohésion nationale. C’est ma vision du service public.” Voilà qui est dit !

Programme-TV

 

Suède : le gouvernement va durcir les conditions d’immigration familiale

Le gouvernement suédois et le parti populiste de droite des Démocrates de Suède ont annoncé jeudi (13 juillet) vouloir faire avancer une proposition visant à renforcer les exigences en matière d’immigration familiale afin de réduire le nombre de passages vers la Suède.

La coalition de droite suédoise et les Démocrates de Suède (SD) ont annoncé qu’ils soutenaient un projet de loi visant à réduire le nombre d’arrivées en Suède.

« Le gouvernement et les Démocrates de Suède continuent de défendre une législation plus stricte en matière d’immigration », a déclaré Bäckström Johansson, secrétaire du parti des Démocrates de Suède, lors d’une conférence de presse.

« Les propositions visent à réduire le nombre de demandeurs d’asile arrivant en Suède », a-t-il ajouté.

Pour restreindre davantage les entrées, le projet de loi cherche à rendre plus difficile l’obtention de permis de séjour pour des raisons humanitaires, ce qui, selon le gouvernement, devrait être considéré comme faisant partie du « changement de paradigme » qu’il souhaite mettre en œuvre dans la politique migratoire.

À cette fin, le projet de loi propose de relever de 18 à 21 ans l’âge minimum pour refuser un permis de séjour à un conjoint ou à un concubin.

« Cela correspond à la limite d’âge la plus élevée autorisée par la législation européenne », a expliqué la ministre suédoise de l’Immigration, Maria Malmer Stenergard. La proposition devrait permettre d’éviter davantage de mariages forcés, a-t-elle ajouté.

Dans le même temps, la possibilité d’accorder aux enfants et à certains adultes un permis de séjour sur la base de ce que l’on appelle des circonstances « particulièrement » pénibles sera supprimée. Au lieu de cela, l’exigence plus stricte de raisons « exceptionnelles » s’appliquera également aux enfants.

(…) Euractiv.fr

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