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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 18 juin 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'UE s'engage à « accroître l'effort en matière de livraisons d'armes »…

 

 

L’ESSENTIEL

  • La délégation de médiation africaine a prôné samedi la fin de « la guerre » devant Vladimir Poutine, formulant des propositions jugées « très difficiles à mettre en œuvre » par le Kremlin, au lendemain du rejet de cette initiative par Volodymyr Zelensky.
  • Selon le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, les propositions de paix africaines se résument en 10 points, parmi lesquels une « désescalade des deux côtés », la « reconnaissance de la souveraineté » des pays telle que reconnue par l’ONU, les « garanties de sécurité » pour toutes les parties, la levée des entraves à l’exportation des céréales via la mer Noire, la « libération des prisonniers de guerre », ainsi que la reconstruction.
  • La reconstruction de l’Ukraine va être au cœur de la conférence prévue à Londres mercredi et jeudi et dont ce sera la deuxième édition depuis le début de l’invasion russe, après celle qui s’était tenue l’an passé à Lugano en Suisse. Des responsables de plus de 60 pays et des centaines de dirigeants de grandes entreprises mondiales y sont attendus.

 

10h49 : « L’Europe va accroître l’effort en matière de livraison d’armes et de munitions », annonce Thierry Breton

Dans une interview dans Le Parisien, le commissaire européen Thierry Breton affirme que le soutien de l’Europe à Kiev n’est « pas conditionnel ». « Nous allons accroître l’effort en matière de livraison d’armes et de munitions », annonce-t-il, comme si la guerre « allait durer encore plusieurs mois ». Pour soutenir cet effort, l’UE va lancer « un plan pour augmenter notre capacité de production », visant à fournir dans les douze prochains mois « un million de munitions de gros calibre ». Selon Thierry Breton, les industries de défense « prennent le chemin » d'une économie de guerre.

 

HIER

18h06 : Poutine se dit « prêt à dialogue constructif avec ceux qui souhaitent la paix »

Le président russe s’est exprimé en ouverture d’une rencontre à Saint-Pétersbourg avec les médiateurs africains sur l’Ukraine. Il se dit « prêt » à un « dialogue constructif avec ceux qui souhaitent la paix ».

« Nous saluons une approche équilibrée de nos amis africains envers la crise ukrainienne », a aussi dit le chef du Kremlin.

 

17h28 : Biden toujours

Autre commentaire du locataire de la Maison Blanche auprès des journalistes : le déploiement de premières ogives nucléaires russes au Bélarus est « totalement irresponsable », selon lui.

 

16h38 : Joe Biden n’entend pas rendre plus « facile » une adhésion de l’Ukraine à l’Otan

L’Ukraine ne bénéficiera pas de traitement de faveur pour son processus d’adhésion à l’Otan, a indiqué samedi le président américain Joe Biden. Interrogé par des journalistes pour savoir s’il comptait rendre « plus facile » l’adhésion de Kiev à l’Alliance atlantique, Joe Biden a répondu « non », assurant que l’Ukraine devrait « respecter tous les critères. Donc nous n’allons pas rendre cela facile ».

DIRECT

 

 

 

 

La démilitarisation de l'Ukraine est en grande partie achevée, Kiev utilisant beaucoup moins ses propres armes

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 18 juin 2023

MOSCOU (Spoutnik) - Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré samedi que la démilitarisation de l'Ukraine était en grande partie achevée car Kiev utilisait beaucoup moins ses propres armes et déployait davantage d'armes fournies par l'Occident.

"L'Ukraine était très militarisée au début de l'opération militaire spéciale. Et, comme [le président russe Vladimir] Poutine l'a dit hier, l'une des tâches était la démilitarisation de l'Ukraine. En fait, cette tâche a été principalement achevée parce que l'Ukraine utilise beaucoup moins de ses propres armes, alors qu'il déploie davantage de systèmes d'armes fournis par l'Occident", a déclaré Peskov à la chaîne de télévision russe RT Arabic.

Au sujet des négociations de paix, Peskov a déclaré samedi qu'il existe des dispositions de différentes initiatives de paix ukrainiennes qui ne sont pas en corrélation avec la position russe et sont inacceptables, mais Moscou est prêt pour un dialogue avec Kiev.

"Ces dispositions de différentes initiatives de paix, qui ne correspondent pas à notre position, sont certainement inacceptables pour nous, mais nous sommes ouverts au dialogue contrairement à la partie ukrainienne", a déclaré Peskov au journal russe Izvestia.

Vendredi lors d'une visite de plusieurs dirigeants africains, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a réitéré que son pays ne discuterait pas de la fin du conflit tant que les troupes russes ne se seraient pas retirées de ce qu'il prétend être les frontières de l'Ukraine.

Spoutnik

 

 

 

"Je n'ai jamais vu autant de tirs":comment la Russie a changé de tactique sur le champ de bataille

Vers une guerre de religion, infos du 18 juin 2023
 

En se préparant à la contre-offensive ukrainienne, les forces de Moscou ont amélioré la discipline, la coordination et le soutien aérien, ayant pris en compte les erreurs commises auparavant, note le New York Times. Selon le quotidien, l'armée russe reste pour l'instant inégalée.

Si au début de l'opération spéciale, l'armée russe semblait avoir sous-estimé les capacités de l'armée de Kiev, elle a désormais pris en compte ses erreurs et s'adapte aux tactiques ukrainiennes, indique le quotidien américain New York Times (NYT), lequel se fonde sur des données de l'Ukraine.

Les colonnes blindées russes, par exemple, ne se précipitent plus dans les zones où elles peuvent être rapidement endommagées ou détruites. Les troupes russes utilisent désormais plus souvent des drones et des "attaques de sondage" pour trouver des tranchées ukrainiennes avant de frapper.

Elles ont également amélioré leur défense, la coordination d'artillerie et le soutien aérien, ajoute l'article. Ces améliorations, selon les responsables occidentaux cités par le NYT, feront très probablement de la Russie un adversaire plus coriace.

Un "haut niveau de compétence"

"Je n'ai jamais vu autant de tirs, depuis autant de positions", a raconté un soldat ukrainien dans un rapport de mission obtenu par le NYT. Lors d'un combat en mars près de la ville de Bakhmout (Artiomovsk en russe), les troupes russes ont fait preuve d'un "haut niveau de compétence et d'équipement", selon le rapport. Elles y ont "tiré avec précision et employé des manœuvres efficaces", les soldats russes étant très bien équipés.

Les capacités militaires de la Russie restent inégalées, ajoute aussi le quotidien. L'armée de l'air russe a en outre adapté ses tactiques et ses munitions, y compris les bombes planées, pour attaquer les forces ukrainiennes sans risquer de pertes d’aéronefs.

En outre, les positions défensives russes "poseront des défis" de taille aux Ukrainiens, a déclaré un responsable américain. Pour lui, il est trop tôt pour juger si Kiev pourra les surmonter.

La contre-offensive de Kiev

Annoncée depuis l’hiver, la contre-offensive ukrainienne a finalement commencé début juin. Volodymyr Zelensky l’a confirmé le 10 juin. Cependant, Kiev n'a pas eu de succès, alors que les pertes qu'il subit en effectifs deviennent "catastrophiques", assure Moscou.

Dans un autre article, le New York Times notait dans ce contexte qu'à cause de la stratégie appliquée par l’armée russe, les forces ukrainiennes pouvaient se voir privées de trop de soldats récemment formés par les instructeurs occidentaux et d’équipements militaires.

Spoutnik

 

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : "Pratiquement une guerre entre Moscou et l'Occident", selon le porte-parole de Vladimir Poutine

 

  • Dmitri Peskov évoque un affrontement global entre la Russie et l'OTAN.
    Dmitri Peskov évoque un affrontement global entre la Russie et l'OTAN. EPA/SPUTNIK POOL - VALERIY SHARIFULIN/SPUTNIK/KREML

Pour Dmitri Peskov, l'invasion de l'Ukraine s'est transformée en affrontement plus global.

"En fait, l'opération militaire spéciale contre l'Ukraine, contre le régime de Kiev, a été lancée pour assurer la sécurité des habitants du Donbass", explique le porte-parole du Kremlin. "C'est la vérité. Maintenant, c'est pratiquement devenu une guerre entre Moscou et l'Occident", ajoute Dmitri Peskov, dans une interview à Russia Today, cité par l'agence de presse officielle TASS

Rappelant la déclaration de Vladimir Poutine sur l'établissement d'un "cordon sanitaire" sur le territoire de l'Ukraine si le bombardement des régions russes se poursuit, Peskov assure qu'à mesure que la gamme d'armes livrées à l'Ukraine s'élargit, la zone tampon "c'est-à-dire la distance de laquelle nous devrons éloigner les Ukrainiens de nos territoires" doit également s'élargir. 

Source

 

 

 

On a demandé à Poutine pourquoi la Russie ne répondait pas plus durement aux attaques ukrainiennes sur le territoire russe

 
 

Les attaques ukrainiennes sur le territoire russe sont décrites en Occident comme la réaction justifiée de Kiev à ce que l’Occident appelle la «brutale guerre d’agression russe». 

Cependant, cela ne fonctionne que parce que les médias occidentaux, au mieux, ne rapportent que marginalement au public occidental que ces attaques visent exclusivement des cibles civiles et que les attaques sont menées avec des armes fournies par les pays de l’OTAN

Si le public occidental le savait et était conscient que cette combinaison comporte le grand danger d’une guerre entre la Russie et l’OTAN, la réaction du public occidental serait certainement différente.

Mais les médias occidentaux ne montrent pas ces connexions, c’est pourquoi le public occidental ne sait même pas à quel genre de jeu avec le feu joue Kiev avec le soutien de ses tireurs de ficelles occidentaux.

En Russie, en revanche, les appels au gouvernement russe pour qu’il réponde durement aux attaques ukrainiennes contre des civils russes se font de plus en plus entendre. 

Par conséquent, le président russe a été interrogé à ce sujet lors de la table ronde du Forum économique de Saint-Pétersbourg . 

*

Traduction de la question et la réponse de Poutine.

Modérateur : Mais ce qui se passe, et cela se passe à Washington avec, disons, une attitude bienveillante, condescendante, c’est qu’il y a de plus en plus d’attaques contre la Russie, sur le territoire russe dont personne ne nie qu’il est russe à Moscou, où Daria Dugina a été tuée, et à Saint-Pétersbourg, où un jeune blogueur est mort, et bien sûr l’attaque au drone contre le Kremlin, etc.

C’est une situation très intéressante. D’une part, l’administration Biden déclare catégoriquement qu’elle ne tolère pas de telles actions, qu’elle ne contribue pas à de telles actions, qu’elle n’a en aucun cas soutenu la destruction de Nord Stream 1 et Nord Stream 2. Mais encore une fois, elle ne prétend même pas expliquer à Kiev que de telles actions sont mauvaises et que de telles actions pourraient avoir des conséquences sur le soutien américain au régime de Zelensky. Comment voyez-vous cette attitude des USA et comment allez-vous y faire face ?

Poutine : Vous voyez, tout ce que vous avez dit était une tentative de nous provoquer pour que nous prenions enfin des mesures sérieuses et puissantes. 

La tentative d’endommager le Kremlin, la résidence du président de la Fédération de Russie, les attaques contre la région de Belgorod et les régions voisines de la Russie – ce sont toutes des tentatives pour nous inciter à prendre des mesures de représailles. 

Mais écoutez, si nous sommes capables de détruire cinq systèmes Patriot près de Kiev, quel serait le problème de détruire des bâtiments et des structures dans le centre de Kiev ? Aucun.  Ce ne serait pas un problème. 

Nous ne le faisons pas pour un certain nombre de raisons. Il y en a beaucoup, je vous parlerai de ces considérations plus tard. Je vais vous le dire, mais pas publiquement.

Mais il y a cette possibilité et cela tout le monde le comprend, tout le monde attend juste que nous commencions à appuyer sur les boutons. nous n’avons pas besoin de cela, c’est la première considération. 

Ce n’est pas nécessaire, parce que l’ennemi ne réussit pas sur la ligne de front, c’est de cela qu’il s’agit. Et sachant que le succès est peu probable, il nous provoque dans des mesures sévères dans l’espoir qu’il pourra alors nous pointer du doigt et dire et dire : «Regardez comme ils sont méchants, comme ils sont cruels, vous ne pouvez rien avoir à faire avec eux

Et ils veulent le montrer à tous nos partenaires avec qui nous travaillons aujourd’hui. Donc aujourd’hui, il n’y en a pas besoin.

Quant à la question de savoir si nous devons ou non dialoguer avec eux, je le répète : nous n’avons pas refusé ce dialogue, mais ils ont décidé de rompre le dialogue avec nous. Mais s’ils ne veulent pas nous parler, alors non. Quand ils le voudront et nous verrons quand et de quoi nous pourrons leur parler.

Quant aux zones frontalières. C’est une tentative de nous distraire des directions principales possibles de cette attaque principale qu’ils ont planifiée là-bas, une tentative de nous forcer à déplacer certaines unités qui ont été déployées vers d’autres zones de combat, et ainsi de suite. Il n’y a rien d’inhabituel ici pour nous.

 Nous allons juste réagir calmement, nous allons le combattre.

J’ai déjà dit que si ces attaques contre nos zones frontalières se poursuivent, nous envisagerons d’établir une «zone sanitaire» sur le territoire ukrainien. Ils ont juste besoin de comprendre à quoi cela les mènera. Nous travaillons contre des cibles militaires avec des armes de haute précision, à longue portée et de haute performance, et nous y parvenons.

Il suffit de voir comment les dépôts d’armes sont détruits, les emplacements du personnel, y compris les mercenaires étrangers, il suffit de voir comment fonctionne notre équipement ici. Il y a toujours une réponse, souvent nous ne la publions même pas, mais c’est une réponse tangible et l’adversaire le sait.

source : Bruno Bertez

 

L’interview en intégralité de Piotr Tolstoï, vice-Président de la Douma

 

Interview de Piotr Tolstoï, vice-Président de la Douma Russe qui s’exprime en français face à 4 journalistes de BFMTV qui essayent d’imposer leurs affirmations gratuites comme des éléments d’information. Si l’on en croit les 6700 commentaires des téléspectateurs sur le net, ce combat à un contre 4 est largement gagné par le Russe, comme d’habitude, et par KO.

Ce qui est fascinant, c’est que la chaîne BFMTV, dont les responsables ne doivent pas lire les commentaires sur leurs émissions, continuent inlassablement à se décrédibiliser chaque jour un peu plus. L’essentiel ne semble pas, pour les journalistes de la chaîne, de faire de l’information ou de dire la vérité, mais plutôt de faire de l’audience.

Ce qui est fascinant aussi, c’est la stupidité des questions, les inversions accusatoires, les mensonges éhontés des journalistes de BFM

«Nous avons menti, triché, volé, c’est comme si nous avions reçu des cours de formation entier pour apprendre à le faire».

La méthode Pompéo est parfaitement appliquée par nos pitoyables journalistes de BFMTV.

On se demande ce que BFMTV nous racontera en fin d’opération spéciale, lorsque l’Ukraine et l’OTAN auront perdu, mais on lui rappellera ce genre d’émission. Bien sûr, ils auront oublié tout ça et seront passés à autre chose. C’est ça l’information aujourd’hui en France.

 

 

 

source : BFM TV

Dominique Delawarde

 

 

Jean-Luc Mélenchon : “l’abaya n’est pas un vêtement religieux, ce n’est pas un problème

 

 

 

 

A propos du couplet anti-France de l'hymne algérien, Catherine Colonna, ministre des Affaires étrangères:

 

 

 

Samuel Lafont dénonce un “triple scandale” dans l’attaque contre Éric Zemmour à Brest : les violences des milices d’extrême-gauche, l’inaction du Préfet et les mensonges des médias (MàJ)


https://twitter.com/LouvesMatthieu/status/1670059268513361923

 

 

Lyon. Forte hausse des agressions au couteau depuis début juin. « Les agressions n’arrêtent pas. C’est un festival »

Loi des séries ou montée de la violence dans la société ? Depuis début juin, les agressions au couteau blessant gravement des victimes se multiplient, avec presque une affaire tous les deux jours. Un jeune homme a perdu la vie à Meyzieu. Les dossiers n’ont pas de liens entre eux, mais participent au sentiment d’insécurité

 Les agressions n’arrêtent pas. C’est un festival » dernièrement, observe Sébastien Gendraud, responsable départemental du syndicat Unité SGP Police FO. « La violence ne fait qu’augmenter sur Lyon ces dernières années ».

« Avant, quand il y avait des rixes, ça se terminait la plupart du temps à coups de poing. Maintenant, des couteaux sont sortis plus fréquemment. Les conséquences ne sont pas les mêmes. »

Le Progrès

 

 

Massacre dans un lycée en Ouganda par une milice islamiste liée à l’Etat islamique : 41 morts, majoritairement des étudiants, de nombreuses victimes brûlées

Au moins 41 personnes ont été tuées, majoritairement des étudiants, dans un raid mené dans la nuit de vendredi à samedi par des djihadistes contre un lycée dans l’ouest de l’Ouganda, la pire attaque de ce type dans le pays depuis des années

Des responsables de l’armée et de la police ont accusé des membres des Forces démocratiques alliées (ADF), une milice islamiste qui a prêté allégeance au groupe Daesh, après l’assaut sanglant contre ce lycée situé dans le district de Kasese, près de la frontière de la République démocratique du Congo. Les assaillants, qui ont aussi kidnappé six personnes, ont fui en direction du parc national des Virunga, situé en territoire congolais.

[…]

 

Sud-Ouest

 

 

Attaque islamiste déjouée en Autriche : trois sympathisants de l’État islamique âgés de 14, 17 et 20 ans, interpellés juste avant la Pride de Vienne qui était la cible ; de grandes quantités d’armes saisies

 

 

États-Unis: «Le Parrain n’aurait aucune chance», dès 2024 les films devront faire la part belle aux minorités pour être aux Oscars. Des règles critiquées par tout Hollywood en privé, mais tous craignent de parler publiquement

S’il sortait aujourd’hui, “Le Parrain” n’aurait possiblement aucune chance de remporter l’Oscar du meilleur film.

En effet, l’Académie des arts et des sciences du cinéma est tenue de respecter de nouvelles normes d’inclusion.

À partir de la cérémonie de remise des prix de mars 2024, les films ne seront pas pris en considération pour une nomination à l’Oscar du meilleur film s’ils ne présentent pas un personnage principal ou un personnage secondaire important issu d’un “groupe racial ou ethnique sous-représenté”, si l’intrigue principale est centrée sur un groupe sous-représenté, ou si au moins 30 % des acteurs n’appartiennent à au moins deux groupes sous-représentés (femmes, minorités ethniques, LGBTQ ou personnes handicapées).

Une description complète des normes est disponible sur le site de l’Académie.

Certains membres votants de l’Académie se sont mis en colère.

“C’est complètement ridicule”, a déclaré un réalisateur au Post. “Je suis pour la diversité, mais vous obliger à choisir certains types de personnes si vous voulez être nommé ? Cela rend tout le processus artificiel. La personne qui convient au rôle doit l’obtenir. Pourquoi devriez-vous être limité dans vos choix ? Mais c’est le monde dans lequel nous vivons. C’est de la folie”.

Richard Dreyfuss est tout à fait d’accord.

En discutant des nouvelles normes d’inclusion dans l’émission “The Firing Line” sur PBS le mois dernier, l’acteur chevronné a fustigé les règles : “Elles me font vomir”

Décrivant le cinéma comme “une forme d’art” et “une forme de commerce”, l’acteur de “Rencontres du troisième type” a ajouté : “Personne ne devrait me dire, en tant qu’artiste, que je dois me plier à l’idée la plus récente et la plus actuelle de ce qu’est la moralité”.

Un initié de l’industrie a déclaré au Post : “Leur objectif n’est pas de disqualifier des films, mais plutôt de célébrer et d’encourager les progrès vers une plus grande représentation et inclusion dans l’industrie”.

L’un des plus grands producteurs d’Hollywood a déclaré au Post que très peu de personnes dans l’industrie sont favorables aux nouvelles règles – mais, contrairement à Dreyfuss, elles ne s’expriment pas par crainte de la cancel culture.

“Tout le monde pense que l’Académie est allée trop loin. Il est ridicule de nous dire que nous devons réglementer notre travail”, a-t-il déclaré. “On en parle entre nous, mais cela ne vaut pas le prix d’en parler publiquement.

[…]

New York Post

 

 

Cinéma : “Élémentaire” inclue le 1er personnage non-binaire de Disney/Pixar et signe le pire démarrage d’un Disney/Pixar aux USA

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