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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 13 juin 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le bilan grimpe à dix morts après les frappes russes sur Kryvyï Rig…

 

L’ESSENTIEL

  • Lors d'une réunion à l’Elysée avec le chancelier allemand Olaf Scholz et le président polonais Andrzej Duda, Emmanuel Macron a confirmé lundi que la contre-offensive de l’armée ukrainienne contre les forces russes avait commencé, estimant qu’elle allait durer « plusieurs semaines, voire mois ».
  • L’offensive tant attendue de l’armée ukrainienne est « difficile » mais « progresse », a affirmé lundi le président Volodymyr Zelensky, après que son administration a assuré dans la journée avoir repris aux forces russes au moins sept villages dans le Sud et l’Est du pays.
  • Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, sera mardi à Kiev avant de se rendre dans la centrale ukrainienne de Zaporojie, fragilisée après la destruction d’un barrage sur le fleuve Dniepr.

 

10h32 : L’armée russe affirme avoir capturé des chars allemands Leopard et des blindés américains Bradley

L’armée russe a affirmé mardi, vidéo à l’appui, avoir capturé pour la première fois sur le front en Ukraine des chars de fabrication allemande Leopard et des blindés de fabrication américaine Bradley, fournis à Kiev par les Occidentaux pour sa contre-offensive.

« Des chars Leopard et des véhicules de combat d’infanterie Bradley. Maintenant, ce sont nos trophées », a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram, accompagnant son message d’une vidéo filmée au téléphone montrant plusieurs véhicules militaires endommagés.

 

06h20 : Zelensky salue une offensive ukrainienne « difficile » mais qui « progresse »

L’offensive tant attendue de l’armée ukrainienne est « difficile » mais « progresse », a affirmé lundi Volodymyr Zelensky, après que son administration a assuré dans la journée avoir repris aux forces russes au moins sept villages dans le Sud et l’Est du pays.

« Les pertes ennemies sont exactement au niveau dont nous avons besoin », a déclaré le président ukrainien lors de son adresse quotidienne. « La météo n’est pas favorable - la pluie rend notre tâche plus difficile - mais la force de nos soldats donne de bons résultats », a-t-il ajouté, en saluant le retour du drapeau ukrainien dans des « territoires nouvellement libérés ».

 

HIER

21h49 : L’offensive est « difficile » mais « progresse », selon Zelensky

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré lundi soir que l’offensive en cours contre les troupes russes était « difficile » mais qu’elle « progressait ».

« Les combats sont difficiles, mais nous progressons », a déclaré le président ukrainien dans son adresse quotidienne sur Internet, saluant le retour du drapeau ukrainien dans les villages des « territoires nouvellement libérés ».

 

20h59 : L’Ukraine affirme avoir repris sept villages aux forces russes

Le gouvernement ukrainien a affirmé lundi avoir repris depuis ce week-end sept villages aux forces russes dans le Sud et l’Est du pays, dans le cadre de son offensive.

« Sept villages ont été libérés », a annoncé la vice-ministre de la Défense Ganna Malyar sur le réseau social Telegram, évoquant plusieurs localités reprises dans la région de Zaporojie.

DIRECT

 

 

 

L'Ukraine perd plus de 600 militaires dans le sud de Donetsk et les directions d'Artemovsk au cours de la dernière journée - Moscou

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 13 juin 2023

MOSCOU (Spoutnik) - L'Ukraine a perdu plus de 600 militaires dans la direction sud de Donetsk et près de la ville d'Artemovsk (Bakhmut) au cours des dernières 24 heures, a annoncé mardi le ministère russe de la Défense.

Au cours de la journée écoulée, les forces armées ukrainiennes ont poursuivi leurs tentatives d'offensive dans la direction sud de Donetsk, ainsi que près d'Artemovsk. Kiev a envoyé des unités, formées à la hâte à partir des restes des brigades militaires des forces armées ukrainiennes qui avaient auparavant subi de lourdes pertes, à l'offensive dans la corniche de Vremevka.

"Les pertes totales de l'ennemi au cours de la journée écoulée dans ces zones [dans la direction sud de Donetsk] se sont élevées à 275 militaires ukrainiens, quatre chars, 15 véhicules blindés de combat, huit véhicules, ainsi que l'obusier Msta-B", a déclaré le ministère. dit dans un communiqué.

La Russie a également repoussé trois attaques de troupes ukrainiennes renforcées par des chars et des véhicules blindés dans la République populaire de Donetsk au cours de la journée passée, a déclaré le ministère, ajoutant que la Russie avait repoussé deux attaques près de la colonie de Revnopel, avec la plupart du personnel du groupe tactique de la compagnie du Forces armées ukrainiennes détruites près de la colonie de Prechestevka.

De plus, deux attaques ennemies ont été repoussées avec succès au sud d'Artemovsk au cours de la dernière journée, indique le communiqué.

"Pendant les combats, jusqu'à 350 militaires ukrainiens, deux véhicules de combat blindés et six véhicules ont été détruits", a ajouté le ministère.

Spoutnik

 

 

 

Huit jours après le lancement de l’offensive ukrainienne, le bilan pour Kiev est désastreux

 
 

par Christelle Néant

Huit jours après le lancement des premières tentatives d’offensive de l’armée ukrainienne contre les lignes défensives russes en région de Zaporijia et dans le sud de la République populaire de Donetsk (RPD), le moins que l’on puisse dire est que le bilan tant en matière de pertes, qu’en matière d’avancée est un désastre.

L’offensive ukrainienne a commencé le 4 juin 2023, par une tentative de percée de la ligne de front dans le sud de la RPD. L’armée ukrainienne a déployé plusieurs bataillons mécanisés et de chars pour son offensive, qui s’est soldée par un échec cuisant, et des pertes importantes tant en hommes qu’en matériel (plusieurs chars, véhicules de combat d’infanteries et véhicules blindés ont été en mieux endommagés au pire détruits).

Malgré cet échec, dès le matin du 5 juin 20223, l’armée ukrainienne a de nouveau lancé une offensive en direction d’Ougledar, dans le sud de la RPD, et vers Velikaya Novossiolka, en région de Zaporijia.

Cartes fournies par Military Maps

L’attaque du 5 juin près d’Ougledar est beaucoup plus puissante que celle de la veille, et a permis à l’armée ukrainienne de pénétrer dans la périphérie de Novodonetskoye, sans réussir à s’y installer. Les soldats de l’armée ukrainienne y sont massivement bombardés par l’artillerie russe, et un véritable système de navettes de véhicules de transport de troupes blindés fait alors des aller-retours pour amener «du sang frais». Ces véhicules tombent eux-mêmes sous les frappes de l’artillerie russe ou explosent sur des mines, et sont remplacés au fur et à mesure des destructions.

C’est lors de cette bataille que les chars allemands Léopards ont fait leur première apparition sur la ligne de front.

Le même jour, la 23e brigade des forces armées ukrainiennes (FAU) a attaqué la ligne Novopol-Novodarovka avec un groupe tactique de bataillon et deux pelotons de chars. Mais l’attaque fut repoussée par les forces russes.

Cette même brigade ukrainienne lança aussi une offensive sur les hauteurs proches de Novossiolka, et avec des renforts d’unités d’infanterie de marine et des groupes tactiques de bataillon a commencé à avancer à 2 km à l’ouest de Neskoutchnoye.

 

 

 

Au deuxième jour de l’offensive ukrainienne, devant l’échec manifeste de cette dernière, Kiev garde alors le silence, faisant comme si l’attaque n’avait pas encore commencé. Le lendemain, le 6 juin 2022, l’Ukraine détruit le barrage de Novaya Kakhovka, noyant plusieurs villages ainsi qu’une partie de la ville de Kherson. Dans le même temps elle détruit aussi le gazoduc d’ammoniac reliant Togliatti à Odessa, qui faisait partie de l’accord céréalier.

Entre temps, l’aviation russe a lourdement bombardé Novossiolka, où se trouve une importante zone fortifiée ukrainienne, avec près de 15 bombes planantes FAB-500 de 500 kg. Et l’armée ukrainienne a dû se retirer de Novodonetskoye après de lourdes pertes.

Les drones kamikazes ont aussi été utilisés par l’armée russe pour détruire l’équipement de l’armée ukrainienne en région de Zaporijia.

 

 

 

Le 6 juin, le ministre russe de la Défense annonce qu’en trois jours, 71 soldats russes sont morts et 210 ont été blessés en repoussant l’offensive ukrainienne. Côté ukrainien, les pertes sont monstrueuses. Le ministère de la Défense russe indique ainsi que l’armée ukrainienne a perdu près de 1900 soldats (blessés et morts) lors de la même période, et plus de 200 pièces d’équipement dont de nombreux chars, incluant plusieurs Léopards.

Dans le même temps, l’armée ukrainienne retente d’attaquer Novodonetskoye depuis plusieurs directions à la fois avec une vingtaine de véhicules blindés fournis par l’OTAN, mais sans succès. Les unités de reconnaissance russes détectent le mouvement des FAU, une bataille s’engage rapidement et se solde par l’échec de l’avancée ukrainienne.

Le 7 juin, l’armée ukrainienne a tenté d’attaquer plus à l’ouest, dans la région de Zaporijia, vers le village de Lobkovoye. Un petit groupe avec deux véhicules de transport de troupes blindés et deux Hummer a tenté d’avancer prudemment vers les positions russes, mais a été découvert. Une bataille s’est engagée et s’est terminée par le retrait des troupes ukrainiennes.

Carte fournie par Military Maps

Les FAU ont ensuite lancé une bataille exploratoire entre le Dniepr et Orekhov avec une compagnie et une dizaine de blindés, pour essayer de chercher une faille dans la défense russe. Sans succès. Deux véhicules blindés américains ont explosé dans un champ de mines, les troupes ukrainiennes se sont alors arrêtées et ont commencé à reculer sous le feu de l’artillerie russe, qui a ensuite pilonné leurs positions. Les deux véhicules blindés endommagés ont été abandonnés dans le champ de mines.

Et les tentatives d’attaque vers Vremievka se sont elles aussi soldées par un échec cuisant grâce à l’intervention massive de l’aviation et de l’artillerie russe, et aux actions des troupes russes du groupe Vostok. En une journée, l’armée ukrainienne a de nouveau perdu plusieurs centaines de soldats et plusieurs dizaines de chars, de véhicules blindés et de véhicules de combat d’infanterie, plus trois systèmes d’artillerie automoteurs Krab et d’autres pièces d’armements.

 

 

 

Le 8 juin 2023, les forces russes signalent que l’armée ukrainienne a de nouveau tenté une offensive dans la zone d’Orekhov, en région de Zaporijia. En pleine nuit, après des frappes massives de d’artillerie, 1500 hommes et 150 véhicules blindés de la 47e brigade mécanisée des FAU ont lancé une nouvelle offensive. Mais les unités de reconnaissance ont détecté l’avancée des troupes ukrainiennes, qui ont été massivement frappées par les missiles antichars, l’artillerie et l’aviation russes. Les systèmes de guerre électronique russes s’activent aussi, et brouillent les signaux des troupes ukrainiennes, qui se retrouvent totalement désorganisées.

Après deux heures de combat, l’armée ukrainienne avait perdu plusieurs dizaines de chars et de véhicules de combat d’infanterie, et près de 350 soldats. Face aux pertes importantes, certaines unités ukrainiennes refusent alors d’appliquer les ordres et de monter à l’assaut.

Il faut souligner que la 47e brigade mécanisée des FAU, qui a subi de lourdes pertes près d’Orekhov, a été entraînée par les forces de l’OTAN dans toute l’Europe au cours des derniers mois et a été équipée d’armes occidentales. Le problème c’est qu’ils ont été entraînés à combattre avec l’aide de systèmes de coordination des troupes, qui ont été brouillés (signal GPS et communication) par les systèmes de guerre électronique russes. Privés de cette béquille high-tech, les soldats ukrainiens se sont retrouvés totalement désorganisés sur le champ de bataille, incapables de faire face efficacement aux tirs de l’armée russe.

Le même jour, les combats se sont poursuivis dans la partie sud de la RPD. Malgré les pertes effroyables l’armée ukrainienne a continué d’envoyer de nouvelles vagues de soldats sans arrêt (en fait quand les médias français accusent la Russie de faire cela, il s’agit d’inversion accusatoire, car c’est l’Ukraine qui utilise massivement cette tactique). Mais les soldats ukrainiens se rendent compte des pertes importantes dans leurs rangs, et de plus en plus refusent alors de suivre les ordres. De leur côté, les troupes russes continuent de tenir bon.

C’est à ce moment-là que les premières informations sur la destruction de chars Léopard ont commencé à apparaître.

 

 

 

Informations confirmées par vidéo de drone dès le lendemain :

 

 

 

Et les chars Léopards ne sont pas les seuls à montrer une piteuse performance sur le terrain, les véhicules de combat d’infanterie M2 Bradley, et les M1224 MaxxPro se font aussi massivement détruire par les tirs de l’armée russe.

 

 

 

Le 9 juin au matin, l’armée ukrainienne a envoyé de nouvelles troupes tenter une percée en région de Zaporijia. Les FAU ont essayé de créer un puissant poing de choc pour encercler les troupes russes, et s’accrocher à leurs positions avancées. Des combats intensifs se sont alors engagés, avec le soutien de l’artillerie et de l’aviation russe pour détruire l’équipement ukrainien. Pendant tout ce temps, la ligne de front est restée stable et les forces russes n’ont pas bougé de leurs positions.

 

 

 

Dans la nuit du 9 au 10 juin 2023, il y a eu de nouveau des combats près d’Orekhov après de lourdes frappes de l’artillerie ukrainienne contre les positions russes. Mais toujours pas de réussite pour les FAU qui ont de nouveau subi de lourdes pertes en hommes et en matériel.

Les troupes russes ont frappé au sud de Novoandreyevka, détruisant plusieurs véhicules blindés ukrainiens. Quatre autres sont restés coincés dans les champs de mines de la région de Malaya Tokmachka. Les unités des forces spéciales russes ont aussi détruit un char et un dragueur de mines dans cette zone.

L’armée ukrainienne a aussi essayé d’organiser des contre-mesures électroniques afin de réduire les capacités des forces russes en matière de reconnaissance, et de communication. En vain. Les soldats ukrainiens ont aussi fait face à de gros problèmes dus aux champs de mines installés par les forces russes. Ces dernières utilisent des systèmes de minage à distance avant et après les combats dans les champs traversés par les FAU, ce qui fait que les troupes ukrainiennes roulent sur les mines à l’aller (lorsqu’ils tentent d’avancer vers les positions russes), mais aussi au retour lorsqu’ils tentent de fuir ou d’évacuer les blessés ou le matériel endommagé.

Au bout de six jours d’offensive, l’armée ukrainienne avait déjà perdu plus de 10% des M2 Bradley livrés, ainsi qu’environ 20% des chars Léopard 2A6.

 

 

 

Malgré cela, l’armée ukrainienne a de nouveau tenté une percée le 10 juin au soir, vers 21:20. Des combats ont eu lieu près d’Orekhovo, Lobkovoye, et Novodonetskoye. Mais les troupes russes ont repoussé ces attaques avec l’aide de l’aviation, de l’artillerie et des missiles antichars.

 

 

 

À Ougledar, les drones FPV russes ont aussi infligé des frappes destructrices sur les équipements des FAU situés en zone urbaine.

 

 

 

Par contre, près de Vremievka, le bataillon Kaskad (forces armées russes) a préféré se retirer vers des positions en hauteur pour éviter d’être encerclé par les troupes ukrainiennes, ce qui a permis à ces dernières de prendre le contrôle de Blagodatnoye et Neskoutchnoye sans combats. Je tiens à souligner avant que certains réagissent de manière très émotionnelle, que ces villages et les positions russes qui s’y trouvaient sont dans la zone grise. La première ligne de défense de l’armée russe est plus au sud, et n’a jamais été approchée par l’armée ukrainienne. D’ailleurs Neskoutchnoye a été reprise dès le lendemain par les forces russes, après un pilonnage massif des troupes ukrainiennes qui avaient tenté de s’y installer.

La même situation a lieu à Velikaya Novossiolka, au nord de Neskoutchnoye, qui a changé plusieurs fois de main en une seule journée. Dès que les troupes russes se sont retirées et que l’armée ukrainienne est entrée dans le village, des frappes d’artillerie lourde et de lance-roquettes multiples, ainsi que des frappes aériennes, ont été infligées à la zone. Les troupes ukrainiennes ont quitté le village, les troupes russes sont revenues. L’armée ukrainienne a de nouveau attaqué avec des unités mécanisées. Les troupes russes se sont retirées et dès que les unités des forces armées ukrainiennes sont entrées dans la localité, elles se sont de nouveau fait tirer dessus, et cela s’est répété plusieurs fois. Les pertes des forces armées ukrainiennes en 24 h ont été d’environ 350 soldats et d’environ 40 pièces d’équipement.

D’ailleurs même le Telegraph a conclu que l’offensive ukrainienne aurait du mal à franchir les lignes de défense russe, qu’elle n’a toujours pas atteintes.

 

 

 

Le 11 juin, l’armée ukrainienne a de nouveau tenté d’approcher des positions russes situées face à Orekhov. Mais après avoir reçu des tirs de lance-grenades automatiques de mitrailleuses lourdes, les soldats ukrainiens se sont retirés avec des pertes. À en juger par les interceptions radio les pertes ont été de huit morts, et 11 blessés.

Par contre, plus à l’est, vers Vremievka et Ougledar, le mauvais temps a temporairement bénéficié à l’armée ukrainienne, en empêchant l’aviation et les drones russes de voler. Privé de reconnaissance aérienne et de possibilité de mener des frappes par avion ou hélicoptère, l’armée russe a reculé, permettant aux troupes ukrainiennes de prendre le contrôle du village de Makarovka.

 

 

 

Mais cet avantage météorologique n’a pas duré. Dès le lendemain, le 12 juin 2023, l’armée russe a pu de nouveau faire voler drones, avions et hélicoptères. La 127e division motorisée russe a lancé une contre-offensive massive et a pu reprendre le contrôle de Makarovka, et s’approcher de Neskoutchnoye. À l’heure où j’écris ces lignes, les combats sont toujours en cours dans cette zone.

 

 

 

Le bilan après huit jours d’offensive de l’armée ukrainienne est terrible pour cette dernière. Un grand nombre de réservistes ont été envoyés dans des attaques frontales, quelques semaines à peine après leur enrôlement. Les unités entraînées par les pays de l’OTAN, comme la 47e brigade des FAU ont littéralement disparu des rapports, ce qui semblent indiquer que l’unité a subi des pertes irrémédiables tellement lourdes que l’unité n’est plus opérationnelle.

À en juger par les informations de terrain, tant à Zaporijia qu’à Velikaya Novossiolka, les FAU ont perdu la partie la plus active de leurs troupes. Les chiffres exacts n’ont pas encore été établis, cependant, à en juger par la quantité d’équipement détruit, les troupes ukrainiennes auraient perdu environ entre 7000 à 7500 soldats (tués et blessés) en huit jours «d’assauts successifs de chair à canon».

À Zaporijia, au cours des quatre derniers jours, presque toutes les institutions médicales de la ville étaient remplies de soldats ukrainiens. Rien qu’à l’hôpital n°5, environ 1500 soldats blessés des FAU ont été amenés.

Les pertes matérielles de l’armée ukrainienne sont à l’avenant. Pour 100 m de gagnés, l’armée ukrainienne perd à chaque fois plusieurs chars et véhicules blindés ou de combat d’infanterie. Un pourcentage important de l’armement occidental fourni à l’Ukraine est d’ores et déjà détruit. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si l’Ukraine réclame de nouveau à cor et à cri que l’Allemagne lui fournisse plus de chars Léopards, trois fois plus ! Cette nouvelle demande indique clairement que Kiev a perdu une grande partie de l’équipement précédemment fourni. Équipement qui s’est avéré ne pas être la «super arme» tant vantée par les Ukrainiens.

Je rappelle que le ministère ukrainien de la Défense avait dit aux Russes de trembler de peur car bientôt l’armée ukrainienne aurait des chars Léopards.

 

 

 

Résultat plusieurs de ces derniers, dont deux Léopards de déminage, ont brûlé dans les plaines des régions de Zaporijia et Donetsk, comme l’avait promis le député russe Piotr Tolstoï sur le plateau de BFM TV.

 

 

 

Si l’Allemagne et les autres pays occidentaux continuent de fournir ainsi leur armement à Kiev pour son offensive, l’armée russe non seulement démilitarisera l’armée ukrainienne, mais aussi un grand nombre de pays de l’OTAN par la même occasion.

Ce soir, les combats se poursuivent, et pour ceux qui veulent être tenus au courant en temps réel de ce qui se passe, je vous encourage à me suivre sur Telegram, où je publie plus d’informations, et surtout de preuves vidéos, que je n’ai pas pu inclure dans cet article car les vidéos sont trop lourdes et ne peuvent être visionnées que dans l’application.

Christelle Néant

source : Donbass Insider

 

 

Washington aurait décidé de livrer à Kiev des obus à uranium appauvri

 

Après des semaines de débat interne, l’administration Biden serait disposée à approuver la livraison à l’Ukraine d’obus de char à uranium appauvri, selon le Wall Street Journal. Il s’agit de munitions perforantes qui ont soulevé des inquiétudes quant aux effets sur la santé et l’environnement.

L'administration Biden devrait fournir à l'Ukraine des obus à uranium appauvri, après plusieurs semaines de débat portant sur la manière d'équiper les chars Abrams que les États-Unis donnent à Kiev, a rapporté ce mardi 13 juin le Wall Street Journal (WSJ) en se référant à des responsables américains.

Un haut responsable de l'administration a déclaré au journal qu'il ne semble y avoir aucun obstacle majeur à l'approbation des munitions.

Selon le WSJ, le Pentagone a demandé instamment que les chars Abrams que les États-Unis fournissent à l'Ukraine soient armés des munitions à uranium appauvri qui sont régulièrement utilisées par l'armée américaine et sont très efficaces contre les chars russes. Tirés à grande vitesse, les obus sont capables de pénétrer à distance dans leur blindage frontal.

Risques médicaux et environnementaux

Vers une guerre de religion, infos du 13 juin 2023

L'administration Biden devrait fournir à l'Ukraine des obus à uranium appauvri, après plusieurs semaines de débat portant sur la manière d'équiper les chars Abrams que les États-Unis donnent à Kiev, a rapporté ce mardi 13 juin le Wall Street Journal (WSJ) en se référant à des responsables américains.

Un haut responsable de l'administration a déclaré au journal qu'il ne semble y avoir aucun obstacle majeur à l'approbation des munitions.

Selon le WSJ, le Pentagone a demandé instamment que les chars Abrams que les États-Unis fournissent à l'Ukraine soient armés des munitions à uranium appauvri qui sont régulièrement utilisées par l'armée américaine et sont très efficaces contre les chars russes. Tirés à grande vitesse, les obus sont capables de pénétrer à distance dans leur blindage frontal.

Risques médicaux et environnementaux

"La proposition a été débattue à la Maison-Blanche, où certains responsables ont exprimé leur inquiétude quant au fait que l'envoi des obus en question pourrait exposer Washington à des critiques selon lesquelles il fournirait une arme pouvant comporter des risques pour la santé et l'environnement", signale le journal.

En mars, le Royaume-Uni a annoncé ses projets de remettre à Kiev des obus à uranium appauvri pour ses chars Challenger.

La porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova a qualifié l’utilisation de ces munitions de génocide de la population contre laquelle cette arme est utilisée.

Hausse de la radioactivité en Pologne

La destruction de ces munitions à uranium appauvri fournies par l’Occident à l’Ukraine au mois de mai a entraîné la formation d’un nuage radioactif. Ce nuage s’est dirigé vers l’Europe et une hausse de la radioactivité a été enregistrée en Pologne.

La poussière fine formée lorsque ces munitions rencontrent un obstacle pénètre dans les voies respiratoires. L'impact avec la cible disperse des particules de cet alliage, d’où la contamination du sol qui ne peut pas être désactivée.

Jusqu'à présent, ces obus n'ont été utilisés que par les pays de l'Otan, notamment en Irak et en Yougoslavie. Ces pays ont connu une explosion de cancers et de maladies inconnues rares.

Spoutnik

 

 

 

Aujourd’hui ! L’exercice Air Defender 2023 de l’OTAN commence

 
 

Le plus grand exercice de déploiement de forces aériennes de l’histoire de l’OTAN, Air Defender 23, démarre aujourd’hui. Beaucoup de gens craignent que cet «exercice» ne soit en fait une «couverture» pour que l’OTAN s’implique directement dans le conflit russo-ukrainien, et déclenche ainsi la Troisième Guerre mondiale, qui deviendrait nucléaire.

Du 12 au 23 juin, 10 000 participants de 25 pays s’entraîneront sur 250 avions, dont 190 avions de combat, dans l’espace aérien européen.

La base aérienne de Wunstorf en Allemagne est la pièce maîtresse de l’exercice, qui abrite un parc de réservoirs spécialement conçu à cet effet.

L’entrepôt est le plus grand d’Allemagne et contient environ 2,4 millions de litres de kérosène. Nous ne faisons allusion à rien.

Samedi, environ 300 personnes ont manifesté devant la base aérienne contre les exercices de l’OTAN. Les manifestants ont exigé des solutions diplomatiques au lieu de l’utilisation des armes et ont appelé à la fin du conflit en Ukraine.

La Cause du Peuple

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Opinion éditoriale de Hal Turner

Tout le monde attend que l’autre chaussure tombe avec le conflit russo-ukrainien dont l’OTAN se sert comme prétexte pour s’impliquer directement. Dieu sait que l’OTAN a fait tout ce qu’elle savait pour amener la Russie à les attaquer : l’OTAN a fourni à l’Ukraine des fusils, des munitions, de l’artillerie, des obus, des missiles, HIMARS MLRS, Intelligence, Surveillance, Reconnaissance et même des informations sur le ciblage sur comment et où frapper les troupes russes. D’innombrables MILLIARDS d’argent liquide ont été versés en Ukraine depuis les pays de l’OTAN pour tuer des Russes.

Que la Russie n’ait pas mordu à cet appât est incroyable. La patience et l’autodiscipline des Russes et de leurs dirigeants sont ahurissantes. Pourtant, que Dieu les bénisse, les Russes ont maintenu le cap.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la Russie a combattu l’Allemagne nazie. À l’époque, la Russie faisait partie de l’Union soviétique de l’époque, mais c’est la Russie qui a le plus perdu dans cette guerre : 27 MILLIONS de Russes ont été tués en combattant les NAZIS.  

Avance rapide jusqu’en 2014, que se passe-t-il en Ukraine ? Un gouvernement infesté de nazis, installé par l’Occident, après que l’Occident ait fomenté, incité et financé des émeutes qui ont renversé le gouvernement du président Viktor Ianoukovitch.  

Après avoir renversé le gouvernement ukrainien, l’Occident a poussé l’Ukraine à commencer à attaquer les populations russophones de Lougansk et de Donetsk. Ces deux provinces voulaient rejoindre la Crimée et se séparer de l’Ukraine après le renversement de son gouvernement par l’Occident. Le nouveau gouvernement fantoche de l’Ukraine a refusé de permettre à ces deux provinces de faire sécession et a plutôt envoyé des troupes pour commencer à attaquer les civils russophones là-bas.

La Russie est intervenue secrètement avec des troupes pour aider à défendre Lougansk et Donetsk. Les deux provinces, avec l’aide de la Russie, ont combattu l’Ukraine jusqu’à l’arrêt.

Alors l’Occident est devenu sournois. Une conférence de paix a été convoquée à Minsk, en Biélorussie. L’Ukraine, Lougansk, Donetsk, la France, l’Allemagne et la Russie y ont participé. Un accord de paix a été signé… et l’Ukraine n’a RIEN respecté pendant des années.

Il s’est avéré que l’Occident a ouvertement menti lors des pourparlers de paix de Minsk. Il est apparu plus tard que la chancelière allemande de l’époque, Angela Merkel, et le président français de l’époque, François Hollande, avaient signé les accords de Minsk en sachant que c’était une ruse ; disaient-ils à la presse en 2022, ils voulaient juste gagner du temps pour armer l’Ukraine !

Donc, depuis le début de l’année 2014, l’Occident avait l’intention de déclencher une guerre entre l’Ukraine et la Russie !

Pendant huit ans, de 2014 à 2022, l’Occident a armé et entraîné l’Ukraine selon les normes de l’OTAN. L’Ukraine avait une armée permanente de 800 000 hommes ; le plus grand d’Europe.

En décembre 2021, l’Ukraine a massé davantage de troupes, de chars, d’artillerie, d’avions de chasse et autres, aux frontières de Lougansk et de Donetsk. L’Ukraine allait massacrer les gens là-bas. 

La Russie a dit «non» et est intervenue le 24 février 2022.

L’Occident est devenu fou, affirmant qu’il s’agissait «d’une agression non provoquée de la Russie». Ce n’était pas le cas. Elle a été provoquée encore et encore et encore et encore par l’Occident.

Au cours des presque 16 mois qui se sont écoulés depuis le début du conflit, l’OTAN a fait tout ce qu’elle pouvait pour aider l’Ukraine à tuer les Russes. L’OTAN a échoué. L’Ukraine est écrasée sur le champ de bataille malgré toute l’aide de l’OTAN. L’Ukraine est en train de perdre le conflit – mal.

C’est tellement mauvais pour l’Ukraine qu’ils doivent retirer des garçons de 16 ans des rues, sous la menace d’une arme – pour les forcer à se battre au front. Le bain de sang est horrifiant, mais l’OTAN ne cessera de pousser l’Ukraine à se battre davantage.

Alors que vous lisez cette histoire le 12 juin 2023, le seul espoir de l’Ukraine est que l’OTAN entre en guerre et combatte directement la Russie. Mais la Russie n’a pas attaqué l’OTAN. Donc, à ce stade, un «incident» doit avoir lieu pour justifier l’entrée de l’OTAN dans le conflit. Et c’est de cela qu’il s’agit probablement dans cet exercice «Air Defender, 2023».

Quelqu’un est susceptible de créer un «incident» que l’OTAN utilisera ensuite pour justifier son entrée en guerre.  

D’aujourd’hui au 24 juin, c’est le moment le plus dangereux au monde depuis la crise des missiles cubains de 1962. Si un «incident» se produit et que l’OTAN entre dans le combat, il ira presque immédiatement à la guerre nucléaire. Il n’y aura aucun avertissement pour aucun d’entre nous.

Si vous êtes du genre à prier, c’est le moment. Le monde va être très différent, et plus tôt que les gens ne le soupçonnent. Il suffit d’une clé de voûte retirée de l’arche pour menacer l’intégralité du système sur lequel repose notre société.

source : Hal Turner Radio Show via La Cause du Peuple

 

États-Unis : Elon Musk appelle les Soros père et fils à « cesser de détruire la sécurité publique en faisant élire des procureurs qui refusent d’inculper les criminels violents »

En mai

 

 

Quesnoy-sur-Deûle (59) : Bernard, 63 ans – pas encore à la retraite mais qui venait de s’installer dans son « havre de paix » – battu et égorgé par des individus à qui il avait demandé de faire moins de bruits (Màj)

12/06/2023

Dans la nuit du dimanche 11 au lundi 12 juin 2023, un premier homme âgé de 20 ans s’était présenté dans les locaux de la gendarmerie, expliquant faire partie du groupe qui avait eu une altercation avec la victime. Ses trois comparses ont finalement pu être identifiés. Nous ignorons à ce stade s’ils ont été interpellés ou se sont rendus d’eux-mêmes.

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Actu.fr


L’annonce est tombée ce lundi soir vers 21h30 via un communiqué de la procureure de la République. « Un individu, âgé de vingt ans, s’est présenté spontanément à la gendarmerie dans la nuit de dimanche à lundi. Il a expliqué faire partie du groupe de quatre personnes qui aurait eu une altercation avec la victime le 10 juin entre 23 h et 23 h 30 à Quesnoy-sur-Deûle. Il a été placé en garde à vue. »

Selon une femme de vingt ans, présente sur les lieux après l’altercation et le drame pour tenter de sauver la victime, et qui a été entendue dans la nuit de samedi à dimanche par les gendarmes, Bernard Delannoy, 63 ans, a été « tabassé » alors qu’il était parti promener son chien. Le fait que la victime portait de nombreux coups a aussi été confirmé par un autre témoin.

La jeune Quesnoysienne dit être également tombée sur un autre homme au visage tuméfié et qui se serait présenté comme une autre victime des agresseurs de Bernard Delannoy. « Deux adolescents d’environ quinze ans et deux autres hommes un peu plus vieux », rapporte la jeune femme. Cet autre témoin prétend que le quatuor cherchait la bagarre et qu’il était venu pour ça. « Pourtant, c’est très calme ici d’habitude », indique la riveraine.

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VDN


Un homme de 63 ans a été tué dans la nuit de samedi à dimanche, après une altercation avec des individus près des berges de la Deûle. Il leur aurait demandé de faire moins de bruit avant que ça tourne mal. 

Samedi soir, un homme de 63 ans serait sorti de son domicile pour demander à des individus « d’arrêter de faire du bruit ». Malheureusement, une altercation s’en serait ensuivie, entraînant la mort du sexagénaire, à quelques mètres de chez lui, sur le chemin de halage. « La victime a été mortellement blessée d’un coup de couteau à la gorge », indiquait ce dimanche soir la procureure de Lille.

La Voix du Nord


11/06/2023

En prévision de sa retraite, Bernard, un homme d’une soixantaine d’années avait choisi de vivre à Quesnoy-sur-Deûle, (7 000 hab) près de Lille. Il s’était s’installé il y a seulement deux mois dans un appartement au bord de la Deûle, un lieu qu’il décrivait comme « un havre de paix », explique une des voisines à La Voix du Nord.

Mais dans la nuit de samedi à dimanche, difficile de goûter au calme près du chemin de halage. Fête improvisée, conversations bruyantes, vrombissement de moteurs… on ne sait trop pour l’instant. Toujours est-il que Bernard a demandé à ces personnes « d’arrêter de faire du bruit », selon le quotidien nordiste.

Et là, samedi aux alentours de 23 heures, les choses ont mal tourné. Une altercation a éclaté et le sexagénaire a été poignardé, selon France Bleu. Les individus l’auraient auparavant roué de coups à quelques mètres de chez lui, selon La Voix du Nord. La maire de la commune, Rose-Marie Hallynck s’est rendue sur place dans la nuit. Si elle a confirmé le décès du sexagénaire, elle reste prudente sur ce qu’il s’est passé.

Le Parisien

 

 

Île-de-France : arrestation d’un réseau vendant à des migrants clandestins, pièces d’identité, fiches de paie etc… plus vrais que nature et validés informatiquement par des complices dans les préfectures d’Argenteuil, Nanterre et Bobigny

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En déboursant en moyenne la somme de 15.000 euros (payable en espèces uniquement), les clients du réseau, tous présents dans l’Hexagone en situation irrégulière, obtenaient le “kit” parfait pour accéder au droit de séjourner en France, en toute illégalité. Passeports, cartes d’identités, permis de conduire, fiches de paie, avis d’imposition, ordonnances médicales, contrats de travail… “Tout y passait”, commente un connaisseur du dossier. “Les faux documents étaient parfois plus vrais que nature, un degré de sophistication rarement vu jusqu’alors en France.”

Nombre de ces documents étaient falsifiés par des complices dans une officine basée en Turquie. Une fois terminés, ils étaient renvoyés en région parisienne par simples colis postaux, souvent déposés en “points relais”, ou ramenés en avion avec la discrète complicité de “mules”.

Mais les suspects – qui se donnaient entre eux les noms de code “le directeur”, “la dame” ou encore “Kevin” pour brouiller les pistes – ne se sont pas arrêtés là. Ils avaient mis au point “une combine particulièrement ingénieuse”, comme le raconte un responsable de la préfecture de police de Paris, encore interloqué par le mode opératoire inventé par l’équipe. Les faux titres d’identité étaient ainsi faits sous des identités de nombreuses nations européennes : Tchéquie, Slovénie, Lituanie, Croatie, Italie, Pologne… Autant de pays dont les documents officiels sont plus faciles à reproduire, car moins sécurisés que ceux fabriqués par exemple par les autorités françaises. “Ces pays d’Europe de l’Est attirent également moins l’attention de l’État”, décrypte un magistrat. “Face à l’afflux de migrants, les préfectures peuvent mettre en place des processus plus contraignants avec les ressortissants africains ou du Moyen-Orient.”

Pierres angulaires du système, des agents présumés corrompus entraient alors en scène. Deux hommes affectés à la préfecture d’Argenteuil (Val-d’Oise) puis à Bobigny (Seine-Saint-Denis) ainsi qu’à Nanterre (Hauts-de-Seine) jouaient un rôle clef pour faire valider informatiquement ces faux documents, en toute connaissance de cause d’après l’enquête. Considérés comme un maillon central du système, ces deux suspects n’avaient jusqu’alors jamais attiré l’attention de leurs supérieurs hiérarchiques.

Ce trafic, dont le “service de recrutement” se situait dans des bars à chicha franciliens, permettait ainsi à de très nombreux clandestins de se faire passer pour des ressortissants de l’Union européenne. En prouvant frauduleusement qu’ils avaient travaillé ces dernières années sur le sol français, ils pouvaient alors obtenir de la part de l’État un précieux sésame, bien authentique celui-là : une carte de séjour de citoyen européen ou suisse. Le document si convoité fait office de titre de séjour pendant cinq ans, et offre les mêmes droits qu’une pure et simple naturalisation. Il est renouvelable automatiquement, pour cinq années supplémentaires. 

Une quarantaine de clients ont été identifiés au fil des investigations. Mais le nombre final se chiffre sans doute en centaines, le trafic ayant opéré depuis environ deux ans au moins et sans répit.

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TF1 Info

 

 

Paris : un incendie s’est déclaré devant l’église Saint-Gabriel dans le 20e arrondissement

 

 

Les sapeurs-pompiers ont rapidement maîtrisé un incendie le long d’un mur de l’église Saint-Gabriel à Paris (XXe), ce lundi soir. Il n’y a pas de victimes à déplorer et une enquête a été ouverte.

“C’est un important amas de détritus qui a pris feu pour des raisons encore inconnues” nous indique le porte-parole de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris. “Cet amas se trouvait le long du côté nord de l’église. Il y avait environ 100 mètres carrés de détritus divers et variés, avec des barrières”. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les causes du départ du feu.

Une centaine de sapeurs-pompiers et près de 25 engins ont été envoyés sur les lieux après les premiers appels de témoins. “On nous a signalé un important incendie dans l’église, c’est pourquoi le dispositif a été important au départ, puis il a été allégé”, poursuit le porte-parole. Les fumées toxiques ont pénétré dans l’édifice et les sapeurs-pompiers étaient en train de procéder à la ventilation de l’édifice au moment où nous écrivons ces lignes. Une reconnaissance des lieux est également en cours, afin de s’assurer qu’aucune victime n’est restée à l’intérieur.

(…) Actu 17

 

 

 

 

Lyon : un prêtre de la paroisse Notre Dame du Liban agressé par des “jeunes”, des insultes anti-chrétiens prononcées

(…) il était environ 20h30 quand plusieurs individus ont dégradé le grillage de la paroisse maronite Notre Dame du Liban pour entrer dans le périmètre de la paroisse (…) Ces derniers auraient voulu récupérer un ballon de football (…) De quoi énerver le prêtre, âgé d’une quarantaine d’années, qui a alors décidé de réprimander les intrus.

Mais le ton est monté avec une dizaine de jeunes, le prêtre a rapidement été violemment projeté au sol puis saisi par la nuque. Ce sont des témoins qui ont mis fin à l’agression de l’homme d’église. Des insultes à destination des chrétiens auraient aussi été prononcées par les mis en cause qui ont pris la fuite avant l’arrivée de la police (…)

Lyon Mag

 

 

Ecosexualité, performance de jardinage avec sextoy nus devant des enfants : une subvention culturelle de la Ville de Lyon fait grincer des dents

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