Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
troisiemeguerremondiale.net

troisiemeguerremondiale.net

Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

_________________________________

Les Infos du 6 mai 2023

 

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le groupe Wagner demande à Moscou de céder ses positions à Bakhmout aux troupes tchétchènes...

 

L'ESSENTIEL

  • Evguéni Prigojine, le chef du groupe Wagner, menace de retirer ses troupes de Bakhmout le 10 mai faute de munitions. Dans une série de vidéos, il exprime sa colère contre l'état-major russe, dont les décisions ont selon lui causé la mort de « dizaines de milliers » de Russes.
  • Malgré les démenti de Kiev et Washington, Moscou continue de blâmer les deux capitales pour l'attaque au drone sur le Kremlin. « Il est clair que les terroristes de Kiev n’auraient pu le commettre sans que leurs patrons soient au courant », estime Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères.
  • Le site Internet du Sénat était inaccessible en milieu de matinée vendredi à la suite d’un blocage revendiqué par le collectif de hackers prorusse NoName. Le collectif a indiqué sur sa chaîne Telegram avoir lancé cette attaque en réaction au nouveau plan d'aide discuté par la France avec l'Ukraine.

 

 

14h48 : Le chef du groupe Wagner demande à Moscou de céder ses positions aux troupes tchétchènes de Kadyrov

 

13h52 : La Russie ouvre une enquête pour « acte terroriste », un suspect arrêté

Les autorités russes ont annoncé samedi avoir ouvert une enquête pour « acte terroriste » et arrêté un suspect après l’explosion ayant blessé en Russie un célèbre écrivain nationaliste, Zakhar Prilépine, soutien de l’offensive contre l’Ukraine. Dans un communiqué, le Comité d’enquête a annoncé l’ouverture de cette investigation en précisant que le chauffeur de l’écrivain avait été tué dans l’attentat. Pour sa part, le ministère de l’Intérieur a indiqué qu’un homme « qui pourrait être lié à l’explosion » avait été arrêté dans la région de Nijni Novgorod, où ont eu lieu les faits.

 

13h15 : La diplomatie russe accuse l’Ukraine et l’Occident pour l’explosion impliquant Prilépine

La Russie a accusé samedi les Etats-Unis, l’Otan et l’Ukraine d’avoir fomenté une attaque « terroriste » contre l’écrivain nationaliste Zakhar Prilépine, blessé en Russie dans l’explosion de sa voiture. « Washington, avec l’Otan, a nourri une nouvelle cellule de terrorisme internationale - le régime de Kiev », a réagi la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, sur Telegram. « Responsabilité directe des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne. Nous prions pour Zakhar », a-t-elle ajouté.

 

12h22 : L’écrivain nationaliste russe Prilépine blessé dans une « explosion », une autre personne tuée

L’écrivain nationaliste russe Zakhar Prilépine, soutien de l’attaque du Kremlin en Ukraine, a été blessé samedi dans l'« explosion » d’une voiture en Russie et une autre personne a été tuée, a indiqué le ministère de l’Intérieur, en pleine vague d’attaques touchant le pays. « Selon des informations préliminaires, une personne a été tuée par l’explosion, et l’écrivain Zakhar Prilépine, qui se trouvait dans la voiture, a été blessé », a indiqué dans un communiqué le service de presse du ministère de l’Intérieur, précisant que l’incident a eu lieu dans la région de Nijni Novgorod.

 

11h24 : Kiev indique avoir abattu un missile hypersonique grâce au système Patriot

L’armée de l’air ukrainienne affirme avoir abattu un missile hypersonique russe au-dessus de Kiev le 4 mai en utilisant des systèmes de défense américains Patriot. C’est la première fois que l’utilisation du système Patriot est mentionné en Ukraine. Le commandant de l’armée de l’air Mykola Oleshchuk précise, dans un texte sur Telegram, que le missile abattu était un missile balistique de type Kinzhal.

 

10h40 : La Pologne veut des sanctions en cas d’importations de produits agricoles russes

Après la polémique sur les produits alimentaires ukrainiens, qui les pays de l’est de l’UE ont vu affluer sur leur marché, Varsovie veut s’assurer qu’aucun produit agricole russe ne circule en Europe. « L’Europe n’est plus menacée par des perturbations dans la chaîne d’approvisionnement des produits agricoles, au contraire, nous avons un problème d’excédents », a rappelé l’ambassadeur polonais auprès de l’UE Andrzej Sados, cité par l’agence de presse PAP.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : Bakhmout plus une priorité pour l'armée russe ? Le Kremlin aurait réduit ses opérations militaires sur ce front pour se préparer à la contre-offensive ukrainienne

 

  • Moscou a réduit les opérations militaires de son armée régulière dans l'attente de la contre-offensive ukrainienne.
    Moscou a réduit les opérations militaires de son armée régulière dans l'attente de la contre-offensive ukrainienne. MAXPPP - Russian Ministry

Les forces russes ont revu leurs priorités en Ukraine, selon l'Institute for the Study of War. La prise de Bakhmout, cible majeure du Kremlin depuis le début du conflit, a été reléguée au second plan par Moscou qui se prépare à la contre-offensive ukrainienne de printemps.

Ce revirement peut-il expliquer la colère d'Evgueni Prigojine ? Le patron du groupe paramilitaire russe Wagner s'en est violemment pris au commandement de l'armée du Kremlin ce vendredi dans trois vidéos, lui reprochant notamment un manque de munitions qui entraînerait la mort de ses miliciens sur le champ de bataille.

Evgueni Prigojine ne s'est pas arrêté là et a menacé de retirer le 10 mai ses combattants de la ville de Bakhmout, théâtre de violents affrontements entre les forces russes et celles de Kiev depuis dix mois, où les miliciens de Wagner sont en première ligne.

Wagner dans "une position potentiellement délicate"

Or, selon l'organisation américaine Institute for the Study of War (ISW), la prise de Bakhmout ne serait plus un objectif à court terme pour l'Etat-major russe. Sa priorité serait désormais de préparer au mieux la contre-offensive ukrainienne, annoncée comme imminente, et donc de réduire les opérations militaires de son armée régulière dans l'attente de cette échéance, indique le dernier rapport de l'ISW. Un changement de stratégie qui place Wagner dans "une position potentiellement délicate", note l'ISW.

"Les pertes massives subies par Wagner à Bakhmut au nom de gains tactiques, ainsi que l'évolution générale de l'armée russe vers une posture plus prudente en préparation d'opérations défensives, semblent offrir aux forces ukrainiennes des opportunités de contre-attaques fructueuses", écrit également le think tank américain.

Source

 

 

 

"Washington et l’Otan ont nourri encore une autre cellule terroriste, le régime de Kiev"

 

Réagissant à l’explosion de la voiture de l’écrivain russe Zakhar Prilepine, la porte-parole de la diplomatie russe a accusé de cet acte les États-Unis et le Royaume-Uni. Selon elle, après Ben Laden et Daech*, les deux pays occidentaux ont nourri une autre cellule terroriste: Zelensky.

Washington et Londres sont derrière l’attaque contre l’écrivain russe Zakhar Prilepine, blessé ce 6 mai en Russie, a réagi Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.

Vers une guerre de religion, infos du 6 mai 2023

"Le fait est accompli: Washington et l’Otan ont nourri encore une autre cellule terroriste, le régime de Kiev. Ben Laden, Daech*, et maintenant Zelensky et ses exécuteurs. C’est la responsabilité directe des États-Unis et du Royaume-Uni", a-t-elle écrit sur Telegram.

"Je prie pour Zakhar", a ajouté la diplomate.

La voiture de l’écrivain russe Zakhar Prilepine, grand défenseur de l’opération militaire russe en Ukraine, a explosé dans la région de Nijni Novgorod, à environ 400 kilomètres à l'est de Moscou, selon les forces de l’ordre locales. Il est blessé, tandis que le conducteur de la voiture est mort.

Le Kremlin affirme ne pas encore savoir qui est derrière l’attaque contre l’écrivain. Il faut attendre une réponse officielle de la part des forces de l’ordre, a réagi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, interrogé par Sputnik au sujet de l’auteur de l’explosion.

Zakhar Prilepine soutient activement l’opération spéciale russe en Ukraine, tout comme la journaliste Daria Douguina et le correspondant de guerre Vladlen Tatarski tués dans des attentats en août 2022 et en avril 2023.

*organisation terroriste interdite en Russie

Spoutnik

 

 

 

Après l’attaque contre le Kremlin, un média relève le comportement suspect de Zelensky

 
 

L’Ukraine affirme n’avoir rien à voir avec l’attaque de deux drones contre le Kremlin le 3 mai dernier. Mais le président Zelensky se serait préparé à quitter l’Ukraine avant que cette attaque ait lieu, note Asia Times. Le report de son retour à Kiev aurait été décidé dans la foulée.

La décision de Volodymyr Zelensky de prolonger sa visite en Finlande aurait été prise sciemment pour laisser le temps à l’attaque de drones contre le Kremlin de Moscou de se dérouler, relate la revue en ligne Asia times.

« Le gouvernement ukrainien nie toute implication dans l’attaque visant le président russe Vladimir Poutine. Cependant, par une coïncidence bien commode, Zelensky se trouvait en Finlande pour une visite d’État à ce moment-là », a indiqué la publication.

Selon le média hongkongais, le président ukrainien aurait même décidé de reporter son retour à Kiev, ce qui serait pour le média un comportement louche de crainte de Zelensky pour sa sécurité.

Attaque de drones contre le Kremlin

Dans la nuit du 2 au 3 mai, la présidence russe annonçait que deux drones avaient essayé d’attaquer le Kremlin, qui abrite une résidence du président russe. Les moyens de guerre électroniques russes ont abattu les deux engins. Personne n’a été blessé. Le Comité d’enquête russe a ouvert une poursuite pour attentat.

Le président travaillait dans une autre résidence au moment de l’attaque. Après l’incident, il est resté serein comme dans toutes situations difficiles et extrêmes, a déclaré à Sputnik son porte-parole Dmitri Peskov.

Qui est derrière l’attaque ?

Pour la Russie, la frappe a été organisée par le régime de Kiev qui soutient et utilise depuis longtemps des méthodes terroristes contre les infrastructures civiles et la population. L’Ukraine a, par exemple organisé l’explosion du pont de Crimée en octobre 2022, et des frappes sur des cibles non militaires dans les régions russes de Briansk, Belgorod et Rostov.

La présidence russe a, de son côté, pointé les États-Unis d’être derrière l’attaque de Kiev. Selon Peskov, les tentatives américaines de le nier sont risibles, d’autant plus que les moyens et les cibles sont choisis par Kiev sous leur dictée.

source : Sputnik Afrique

 

 

 

Gilbert Doctorow : La Russie peut anéantir les États-Unis en 30 minutes

 
 
 

Si vous voulez un rapport concis et assez précis sur les raisons pour lesquelles la Russie a décidé d’envahir l’Ukraine, alors lisez « Comment l’Occident a amené la guerre en Ukraine : comprendre comment les politiques des États-Unis et de l’OTAN ont conduit à la crise, à la guerre et au risque de catastrophe nucléaire » de Benjamin Abelow.

Abelow est historien et médecin, et ses sources sont très accessibles aux universitaires et aux journalistes. Nous discuterons du contenu du livre de temps en temps ultérieurement, mais ici nous voulons souligner certains des points qu’il soulève dans les premières pages du livre.

Dans son livre « On Bullshit », le philosophe de Princeton Harry G. Frankfurt affirme que « L’une des caractéristiques les plus saillantes de notre culture est qu’il y a tellement de conneries. Tout le monde le sait. Chacun de nous y apporte sa part. »1

Francfort définit les « conneries » comme des discours qui cherchent à persuader sans aucun égard pour la vérité et l’honnêteté. Vous pouvez vous opposer à l’utilisation du mot par Francfort, mais jetez un œil à ce qui se passe réellement dans les médias, en particulier en ce qui concerne la guerre russo-ukrainienne.

Par exemple, Yahoo News a récemment perpétué : « Poutine a renoncé à ses ambitions de conquérir l’Ukraine après des pertes militaires qui pourraient prendre une décennie à réparer, selon les renseignements américains ». Dans le même ordre d’idées, le Daily Beast a déclaré : « Le Renseignement signale que le rêve de Poutine d’une prise de contrôle totale est maintenant anéanti. »

Sérieusement ? Où sont passées ces personnes ces derniers mois ? Le New York Times, le Washington Post et tous les médias contrôlés ont perpétué l’affirmation selon laquelle la Russie est sur une voie suicidaire, génocidaire et diabolique2. Pourtant, aucun de ces médias n’a été en mesure de dire à ses lecteurs pourquoi la Russie en avait assez de l’OTAN et même des États-Unis.

Nous avons dit dans le passé que la Russie est en droite ligne avec la pensée rationnelle en ce qui concerne l’Ukraine, et Abelow le fait indirectement. Par exemple, Abelow déclare sur la doctrine Monroe :

« Toute puissance étrangère qui place des forces militaires à proximité du territoire américain sait qu’elle franchit une ligne rouge.  La politique américaine incarne donc la conviction que là où un adversaire potentiel place ses forces est d’une importance cruciale. En fait, cette conviction est la pierre angulaire de la politique étrangère et militaire américaine, et sa violation est considérée comme un motif de guerre. Pourtant, en ce qui concerne la Russie, les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN ont agi pendant des décennies au mépris de ce même principe. »

Abelow soutient que la Russie suit la même ligne de pensée. Abelow donne ci-dessous donne un exemple après l’autre prouvant ou montrant que : « La cause sous-jacente de la guerre ne réside pas dans un expansionnisme débridé de M. Poutine, ou dans les délires paranoïaques des planificateurs militaires du Kremlin, mais dans une histoire de 30 ans de provocations occidentales, dirigées contre la Russie, qui a commencé lors de la dissolution de l’Union soviétique et a continué jusqu’au début de la guerre. Ces provocations ont placé la Russie dans une situation intenable, pour laquelle la guerre semblait, à M. Poutine et à son état-major, la seule solution viable. L’OTAN a été rapproché de plus de mille kilomètres vers l’est, l’amenant vers les frontières de la Russie, au mépris des assurances précédemment données à Moscou. »

Nous discuterons à nouveau de certaines de ces questions plus tard ce mois-ci. Terminons par une citation de Gilbert Doctorow :

« Fais attention à ce que tu souhaites. La Russie a plus d’armes nucléaires que les États-Unis. La Russie a des armes plus modernes que les États-Unis. La Russie peut raser les États-Unis en 30 minutes. La Russie est-elle un pays dans lequel vous souhaitez créer des troubles ?

De plus, si M. Poutine devait être renversé, qui prendrait sa place ? Un petit gnangnan ? Un nouvel ivrogne comme [le premier président russe Boris] Eltsine ? Ou quelqu’un qui est un Rambo et qui est prêt à appuyer sur le bouton ?… Je pense qu’il est extrêmement imprudent pour un pays comme les États-Unis d’invoquer un changement de régime dans un pays comme la Russie. C’est presque suicidaire. »

source : Veterans Today via La Cause du Peuple

 

 

 

Pour la Hongrie, il est irréaliste qu’une puissance nucléaire comme la Russie soit vaincue

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 6 mai 2023

Le Premier ministre hongrois a jugé irréaliste l’idée que la Russie soit vaincue dans le conflit en Ukraine et le reconnaisse. Comme il l'a fait remarquer, la Russie ne resterait pas les bras croisés et n’accepterait pas une défaite militaire.

Que la Russie accepte sa défaite est impossible, a déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orban dans une émission de la radio Kossuth ce vendredi 5 mai.

Selon lui, il est "impossible d’imaginer que quelqu’un puisse vaincre une puissance nucléaire". Dans le conflit en Ukraine, la Russie ne resterait pas les bras croisés et n’accepterait pas une défaite militaire, estime-t-il.

M.Orban a aussi souligné que c'était la position de Budapest depuis le tout début du conflit en Ukraine. Il a expliqué que, d'une part, l'Ukraine est financée et armée par les pays de l'Otan, et que "c'est à l'Occident et aux États-Unis de décider combien d'argent ils sont prêts à dépenser pour cela". D’autre part, d’après lui, se trouve la Russie, un pays de 140 millions d'habitants, bien plus grand que l'Ukraine, et qui possède le plus grand arsenal nucléaire du monde.

Plus de 150 milliards d’euros de soutien

Depuis février dernier, les alliés de l'Otan ont fourni plus de 150 milliards d'euros de soutien à Kiev, dont 65 milliards d'euros d'aide militaire, avait récemment déclaré le chef de l’Alliance Jens Stoltenberg.

En 2022, la Russie a envoyé une note aux pays de l'Otan concernant la fourniture d'armes à l'Ukraine. Moscou a à maintes reprises déclaré que toute cargaison d’armes destinées à Kiev deviendrait une cible légitime pour la Russie.

Spoutnik

 

 

 

Cette décision chinoise qui aurait un effet dévastateur pour les États-Unis

 
 

L’abandon par la Chine du dollar entraînera des répercussions graves pour les États-Unis, soutient le China Daily. Un nombre croissant de pays choisit de commercer avec la Chine en utilisant le yuan comme monnaie d’échange, contribuant à la tendance à la dédollarisation.

Un nouvel ordre commercial basé sur la tendance à la dédollarisation est en train d’émerger, écrit le quotidien China Daily. Ce mouvement aura un impact majeur sur les paiements et les réserves de devises internationales.

« Les États-Unis ont transformé le dollar en arme, utilisant son statut de monnaie de réserve internationale pour contrôler les transactions mondiales, ce qui a entraîné un manque de sécurité pour de nombreux pays », selon le journal chinois.

La flambée de la dette fédérale américaine, les fortes fluctuations du dollar et les incertitudes sur les taux d’intérêt américains ont entraîné la perte de confiance dans le dollar pour de nombreux pays.

Dès que la Chine abandonnera le dollar, « les conséquences pour les États-Unis pourraient être dramatiques », soutient le China Daily.

Ainsi, les exportations de la Chine vers les pays en développement et les principales économies de marché dépassent déjà ses exportations combinées vers les États-Unis, l’Union européenne et le Japon. Si les États-Unis devaient se « dissocier » de la Chine, d’autres pays pourraient choisir de commercer avec elle en utilisant le yuan comme monnaie d’échange, contribuant ainsi à la tendance à la dédollarisation, développe le journal.

Commerce en yuans

Récemment, nombre de pays ont émis le souhait d’abandonner l’utilisation du dollar dans les échanges commerciaux avec les pays tiers. Fin avril, l’Argentine a annoncé qu’en mai elle commencerait à payer les importations chinoises en yuans plutôt qu’en dollars. Début avril, le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva avait appelé les BRICS à rechercher une monnaie alternative au dollar dans le commerce. Toujours en avril, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a fait savoir que l’abandon du billet vert était « irréversible ».

« La tendance mondiale à la dédollarisation a créé des opportunités pour le yuan d’améliorer sa part dans les règlements du commerce mondial », selon le journal.

source : Sputnik Afrique

 

 

Les États-Unis accéléreraient l'achat d'armes de 500 millions de dollars pour Taïwan au milieu du récit de la "menace" chinoise

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 6 mai 2023

Le président américain Joe Biden a été autorisé par le Congrès l'année dernière à utiliser 1 milliard de dollars pour renforcer Taïwan conformément à la loi d'autorisation de la défense nationale de 2023, au milieu du récit souvent répété d'une "menace" ostensible de la Chine. Cependant, il y a eu des rapports faisant état d'un sérieux retard dans la livraison d'armes à l'île.

Washington, qui a équipé Taïwan d'armes modernes pour repousser une « invasion » chinoise, aurait l'intention d'accélérer encore plus le processus, en préparant un autre paquet militaire pour l'île d'une valeur de 500 millions de dollars. De plus, pour accélérer la livraison, il a l'intention de recourir à la Presidential Drawdown Authority , ont indiqué des sources citées.

Ce sera apparemment la première fois que les États-Unis exerceront cette autorité d'urgence en ce qui concerne l'aide militaire à Taiwan. L'administration Biden s'est appuyée avec enthousiasme sur cet outil de politique étrangère pour envoyer une assistance militaire au régime de Kiev .

La Presidential Drawdown Authority permet la livraison rapide "d'articles et de services de défense des stocks du ministère de la Défense aux pays étrangers et aux organisations internationales pour répondre aux urgences imprévues", selon le site Web du département d'État américain. En fait, ces envois peuvent être effectués en quelques jours, voire quelques heures, après approbation.

Le rapport n'a pas précisé quel type d'équipement se trouverait dans le paquet d'armes.

La tentative d'éluder le processus généralement prolongé de passation de contrats et de production d'armes intervient alors que les législateurs américains ont soulevé des tollés sur un arriéré d'armements déjà approuvés destinés à Taiwan, d'une valeur de 19 milliards de dollars. La pandémie de COVID-19 et la crise ukrainienne sont responsables des retards.

Fil "menace chinoise"

Les États-Unis ont augmenté avec véhémence l'aide militaire à Taïwan , justifiant cette décision en tissant le fil d'une «menace» d'invasion chinoise.

Taïwan est gouvernée de manière indépendante depuis 1949, lorsque Taipei a rompu tous les liens avec Pékin à la suite de la guerre civile chinoise. Pékin considère l'île comme une province séparatiste, tandis que Taïwan – un territoire avec son propre gouvernement élu – soutient qu'il s'agit d'un pays autonome, mais s'arrête avant de déclarer son indépendance. Les responsables chinois ont annoncé à plusieurs reprises leur aspiration à assurer une réunification pacifique de Taiwan avec le continent selon le modèle dit "Un pays, deux systèmes" - qui permettrait à l'île de préserver des éléments de ses systèmes politiques, juridiques et économiques existants tout en restant sous la juridiction de la Chine. Cependant, Pékin a également averti que toute tentative de séparatistes soutenus par l'étranger de déclarer l'indépendance pourrait déclencher une solution militaire au problème. En conséquence, la République populaire de Chine (RPC) a adressé de nombreux avertissements aux décideurs politiques de Washington contre la militarisation de Taiwan et l'alimentation du sentiment séparatiste sur l'île.

Au mépris total des avertissements, les États-Unis ont récemment renforcé leurs relations diplomatiques informelles avec Taipei, en violation des engagements pris envers la Chine lors du rétablissement des relations diplomatiques en 1979.

Récemment, Pékin a imposé des sanctions au membre du Congrès américain Michael McCaul, président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des États-Unis, pour sa visite à Taïwan, alors qu'il y dirigeait une délégation bipartite de législateurs américains, violant le principe d'une seule Chine, "envoyant ainsi un mauvais signal à l'indépendance de Taïwan " . forces séparatistes. » En août 2022, la prédécesseure de McCarthy, Nancy Pelosi, a également provoqué une dispute en se rendant à Taipei pour rencontrer la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen.

Quant à l'aide militaire, Washington a approuvé plus de 20 milliards de dollars de ventes d'équipements à Taïwan depuis 2019, dont des missiles anti-navires Harpoon et des missiles Sidewinder pour avions de combat, des centaines d'armes antichars Javelin, des missiles sol-air Stinger, des obusiers. , et autres munitions.

À la fin de 2022, le président américain Joe Biden a promulgué un projet de loi sur la défense qui comprenait 10 milliards de dollars d'aide militaire à Taïwan, la législation autorisant également la constitution d'un "stock d'urgence régional" pour l'île qui comprend jusqu'à 100 millions de dollars de munitions. En mars, le département d'État américain a approuvé un accord d'une valeur de 619 millions de dollars pour vendre des centaines de missiles à Taïwan pour armer 66 avions de chasse F-16V . L'île devrait les recevoir d'ici la fin de 2026.

Le 28 mars, le secrétaire à la Défense Lloyd Austin a déclaré que le Pentagone utiliserait une autorisation d'un milliard de dollars pour transférer rapidement des armes à Taïwan via la Presidential Drawdown Authority.

"Mon équipe travaille avec diligence pour s'assurer que nous avons les bonnes capacités dans ce retrait particulier", a déclaré Austin au Comité sénatorial des forces armées en mars. Il avait ajouté que pour remplacer le matériel militaire livré, "nous aurons également besoin des crédits".

Les tensions entre la Chine et Taiwan ont été exacerbées par les États-Unis qui envoient à plusieurs reprises des navires de guerre et des avions de surveillance dans le détroit de Taiwan. Pékin a qualifié ces missions de provocations et a dépeint Washington comme « un créateur de risques pour la sécurité dans la région ».

La Chine a mis en garde à plusieurs reprises les décideurs politiques de Washington contre la militarisation de Taïwan et l'alimentation du sentiment séparatiste sur l'île, considérée par Pékin comme une partie inaliénable de la République populaire.

Spoutnik

 

 

 

« Je suis venu d’Italie » : accompagnées par quatre associations, 400 migrants clandestins occupent illégalement une école du 16e arrondissement de Paris, ils étaient 169 en avril (Màj : L’adjoint à la sécurité s’explique)

06/05/2023


05/05/2023


04/05/2023

 

 

Le gouvernement français ordonne la déchéance de nationalité d’une Franco-Turque condamnée pour terrorisme, une mesure rarissime (Màj : le Conseil d’État confirme la décision)

05/05/2023

Pour avoir projeté un attentat en France, Unzîle Nûr Sert, 25 ans, a perdu sa nationalité française. Estimant la sanction « excessive et disproportionnée », la jeune femme avait demandé au Conseil d’État de suspendre la décision du gouvernement. Ce vendredi, la plus haute juridiction administrative l’a déboutée, en confirmant sa déchéance de nationalité.

Née à Lyon, cette jeune franco-turque avait acquis la nationalité française en 2010. Elle a été définitivement condamnée en novembre 2017 à cinq ans de prison, dont six mois avec sursis, pour sa participation à un projet d’attentat à Paris déjoué en mars 2016 visant une salle de concert, des cafés et un centre commercial.

Unzîle Nûr Sert justifiait de ses efforts de réinsertion, avec plusieurs périodes d’emploi depuis sa sortie de prison et la signature d’un contrat à durée indéterminée (CDI) à compter du 1er février 2023.

Dans son ordonnance, consultée par l’AFP, le Conseil d’État a considéré que sa déchéance de nationalité, qui a pour effet de la priver de ses droits civils et politiques en France, n’était pas « disproportionnée » au regard « de la nature et de la gravité des faits commis ».

En France, ne peuvent être déchus de leur nationalité que les binationaux, pour ne pas rendre une personne apatride, mais pas ceux, parmi eux, qui sont nés Français. Depuis 2019, une vingtaine de déchéances de nationalité ont été prononcées pour terrorisme en France, selon des chiffres officiels. La déchéance de nationalité peut être décidée en cas d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ou en cas de condamnation pour crime ou délit terroriste. Elle est prononcée par décret du Premier ministre.

Le Parisien

29/09/2022

Une mesure de déchéance de nationalité vise une Franco-Turque de 25 ans condamnée pour association de malfaiteurs terroriste en 2017 après un attentat déjoué. Il s’agit de la neuvième déchéance depuis 2020. La mesure, contestée par les avocats, doit encore être validée par le Conseil d’Etat. Rarissime, la mesure traduit une nette fermeté voulue par le ministère de l’Intérieur.

Selon les informations de l’Obs, la femme définitivement condamnée pour association de malfaiteurs terroriste et désormais arrivée au terme de sa peine, s’apprête à devenir la première femme déchue de la nationalité française : la procédure a été engagée au début du mois d’août dernier.

La décision du gouvernement, loin des polémiques qui avaient entouré le débat sur la déchéance de la nationalité au lendemain des attentats de 2015, s’appuie sur les dispositions de l’article 25 du Code civil. La déchéance peut en effet s’appliquer à des personnes condamnées pour terrorisme ayant obtenu la nationalité française par acquisition depuis moins de dix ans et ayant conservé une autre nationalité, ne pouvant ainsi devenir apatride.

Le 6 novembre 2017, Umrän Safak (le prénom et le nom ont été changés) avait été condamnée par la 16e chambre du tribunal judiciaire de Paris pour un projet d’attentat déjoué en 2016 contre le Casino de Paris, un soir où des centaines de spectateurs devaient se trouver sur place. La jeune femme avait été arrêtée alors qu’elle s’apprêtait à « monter à Paris » en compagnie de trois autres adolescentes radicalisées pour « faire mieux que le Bataclan ». Ces dernières, mineures, avaient été jugées séparément devant le tribunal pour enfants. Au moment des faits, le quatuor était « télécommandé » depuis la Syrie par l’un des plus redoutables recruteurs de l’Etat islamique. […]

L’Obs

 

 

 

Sin-le-Noble (59) : Hocine F. jugé pour l’agression sexuelle d’une femme de 88 ans

Que s’est-il passé au domicile de Léonie(1), 88 ans, domiciliée dans la rue Paul-Foucaut à Sin-le-Noble, entre les 11 et 18 avril ? L’octogénaire, dont l’état de santé est précaire, est incapable de le dire mais il y a de forts soupçons qu’elle ait été victime (au moins) d’agression sexuelle par un homme qu’elle aurait fait entrer chez elle.

Les policiers sont arrivés à cette conclusion au terme de leur enquête, cette semaine. C’est le fils de Léonie qui les a alertés en leur apportant sur un plateau des preuves solides. Après avoir surpris un homme à proximité de la maison de sa mère, le fils craignait qu’elle soit victime de cambriolage.

Scènes filmées

Il a fait installer des caméras chez sa mère mais ce n’est pas un cambrioleur qu’il a vu sur le film. Au moins à deux reprises durant cette semaine du 11 au 18 avril, Hocine F., Sinois de 65 ans, est soupçonné d’avoir agressé sexuellement le femme de 88 ans. Une femme qu’il connaissait depuis plusieurs mois.

(…)

La Voix du Nord

 

 

 

« Le mouvement woke menace la science en ce qu’il conteste l’existence d’une réalité objective et prétend que le monde ne peut être perçue qu’à travers “l’expérience vécue”. »

Andreas Bikfalvi travaille au Bordeaux Institute of Oncology. Ses travaux portent sur le cancer et la biologie vasculaire.

Vingt-neuf scientifiques de différentes nationalités, dont moi-même, se sont levés pour s’opposer aux attaques contre le mérite dans les sciences. Dans un article publié dans la revue à comité de lecture Journal of Controversial Ideas , nous mettons en lumière l’attaque idéologique contre la science qui se déroule dans les coulisses des universités, des maisons d’édition scientifiques et des instituts et agences de financement tels que l’Institut national de la santé (NIH) et la Fondation nationale des sciences américaine (NSF).

(…)

Cette nouvelle vision s’oppose à l’existence d’une réalité objective et prétend que le monde ne peut être perçu qu’à travers l’« expérience vécue », qui à son tour dépend des caractéristiques immuables du scientifique telles que son sexe et son origine ethnique. Par ailleurs, selon cette vision, la science est coupable car elle aurait perpétué le racisme et le sexisme et aurait été l’instrument d’un projet colonial. Et cela ne concernerait pas seulement le passé mais perdurerait et s’appliquerait aussi à la situation présente. Selon cette théorie, en raison de l’importance centrale de l’« expérience vécue », les scientifiques et leurs recherches devraient être évalués sur la base de leur identité de groupe (ethnie, sexuelle, genre, etc.) plutôt que sur leur mérite.

Parce que la science est basée sur la recherche de vérités objectivables, l’idéologie de la « théorie de la justice sociale » menace l’ensemble de l’entreprise scientifique. Le mérite est l’un des piliers des sociétés modernes, de l’humanisme et de la démocratie car il est basé sur les qualités et les accomplissements de l’individu qui sont indépendants de son ethnie, de son sexe ou de ses croyances. Même imparfait, le mérite se traduit dans les sciences par de la sélection des individus, de projets ou d’articles pour leurs qualités intrinsèques. Le mérite est attaqué par la « théorie de la justice sociale », car il fait fi des appartenances aux groupes sociaux spécifiques (qui ne doivent pas entrer comme critères dans l’évaluation) et perpétuerait donc inégalité et injustice sociale.

Or, la science, fondée sur le mérite, s’est avérée efficace et a produit une meilleure connaissance de la nature qui a conduit à des avancées technologiques et à l’amélioration de la condition humaine.

Nous lançons aussi un avertissement pour la science sur le continent européen. La pénétration de l’idéologie identitaire y est en marche forcée, notamment dans les pays du Nord, mais maintenant aussi en France. Cette diffusion est aussi promue par certains appels d’offres de la Commission européenne, ainsi que des projets nationaux et régionaux (European Commission, Priorities for 2021-2027). La « théorie de la justice sociale » a une emprise forte sur les sciences sociales et s’est diffusée maintenant dans les sciences dures, les sciences de la nature et la médecine (STEMM).

(…)

Le Figaro

 

Commenter cet article