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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 26 avril 2023
L’ESSENTIEL
14h10 : La Chine dit qu’elle enverra une délégation en Ukraine pour chercher un « règlement politique » du conflit
« Xi Jinping a eu un appel téléphonique avec le président ukrainien Zelensky », et lui a dit que « le dialogue et la négociation » sont la « seule issue » au conflit avec la Russie, a indiqué la télévision d’Etat chinoise CCTV. Selon la chaîne, le président chinois a assuré que « la Chine a toujours été du côté de la paix ».
L'entretien a été « long et significatif » selon la présidence ukrainienne. Il s'agit du premier appel entre les deux hommes depuis le début de l'offensive russe en Ukraine.
13h01 : Moscou annonce l’expulsion de 10 diplomates norvégiens en réponse à celle de 15 Russes
La Russie a annoncé mercredi l’expulsion de 10 diplomates norvégiens en réponse à celle mi-avril de 15 employés de son ambassade à Oslo soupçonnés d’espionnage, en pleine détérioration des relations depuis le début de l’offensive en Ukraine. Dans un communiqué, la diplomatie russe a dit avoir convoqué mercredi l’ambassadeur norvégien, Robert Kvile, et l’avoir informé de ces expulsions « dans le cadre de mesures de rétorsion », tout en adressant « une vigoureuse protestation » contre l’expulsion de diplomates russes par Oslo.
12h44 : Pourquoi le risque d’un accident nucléaire continue à planer ?
Le premier jour de l’invasion russe en Ukraine, le 24 février 2022, des troupes de Moscou sont entrées par la Biélorussie dans la zone d’exclusion hautement radioactive entourant Tchernobyl et ont occupé le site de la centrale qui n’est plus en activité depuis 2000. Elles y sont restées un mois avant de se replier en saccageant, selon Kiev, du matériel scientifique. Depuis, « les entreprises scientifiques et sécuritaires dans la zone de Tchernobyl ont repris un fonctionnement normal », a souligné Volodymyr Zelensky.
Mais Kiev n’exclut pas une nouvelle attaque russe depuis la Biélorussie et a renforcé ses positions de défense le long de la frontière nord, y compris dans la zone d’exclusion entourant Tchernobyl dans un rayon de 30 kilomètres. Dans le sud de l’Ukraine, l’armée russe occupe toujours la centrale nucléaire de Zaporojie, un immense complexe, qui produisait auparavant 20 % de l’électricité ukrainienne avant que la Russie ne se l’approprie formellement en octobre dernier via un décret signé par Vladimir Poutine.
Cette centrale a continué à fonctionner les premiers mois de l’invasion russe, malgré des périodes de bombardements, avant d’être mise à l’arrêt en septembre. Kiev et Moscou se sont accusés mutuellement à plusieurs reprises d’avoir bombardé ce site, ces frappes faisant resurgir le spectre d’un « nouveau Tchernobyl ». Le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafaël Grossi, a estimé le 14 mars que l’on était « en sursis » concernant la « sûreté » de la centrale de Zaporojie, à proximité de laquelle deux mines ont récemment explosé.
12h21 : Le Kremlin menace d'« élargir » la liste des entreprises étrangères visées par des saisies « temporaires » d’actifs en Russie
Le Kremlin a menacé mercredi d'« élargir » la liste des entreprises étrangères visées par des saisies « temporaires » d’actifs en Russie, au lendemain d’un décret signé par Vladimir Poutine approuvant la prise de contrôle de deux groupes occidentaux, Fortum et Uniper.
« Si nécessaire, la liste des entreprises peut être élargie. L’objectif principal du décret est de constituer un fonds d’indemnisation pour l’application éventuelle de contre-mesures contre l'"expropriation illégale" des avoirs russes à l’étranger », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, assurant que les saisies annoncées étaient « temporaires ».
L’armée russe a empêché des tentatives de l’armée ukrainienne de transférer des réserves dans la ville stratégique d’Artiomovsk, selon la Défense russe. Kiev a perdu en 24h 15 drones et un système d’armes sol-air ukrainien S-300.
Les troupes aéroportées et l’aviation russe ont empêché des tentatives de l’armée ukrainienne de transférer des réserves dans la ville stratégique d’Artiomovsk (Bakhmout en ukrainien), a fait savoir ce mardi le porte-parole de la Défense russe Igor Konachenkov.
Il a également présenté le bilan quotidien du ministère. Ainsi, l’armée russe a détruit un radar d’un système d’armes sol-air ukrainien S-300. La défense antiaérienne a abattu en 24 heures 15 drones de Kiev.
Voici le bilan sur les axes principaux :
Axe de Koupiansk : les forces russes ont mis fin aux actions de quatre groupes de sabotage et de reconnaissance ukrainiens. L’Ukraine a perdu deux blindés et un pick-up, mais aussi un dépôt de munitions.
Axe de Krasny Liman : deux véhicules blindés de transport de troupes et un obusier D-20 ont été détruits.
Axe de Donetsk : les pertes de Kiev se sont élevées à 15 véhicules blindés, sept autres véhicules, un obusier D-20 et deux canons automoteurs Gvozdika.
Axes de Donetsk-Sud et Zaporijia : un blindé, neuf véhicules, des obusiers D-20 et Msta-B et un canon automoteur Akatsiya ont été détruits.
Axe de Kherson : les forces ukrainiennes ont perdu un obusier américain M777.
source : Sputnik Afrique
La première vidéo d’utilisation des bombes américaines de haute précision sur le terrain ukrainien a été diffusée sur internet.
Au début de l'année 2023, les États-Unis ont promis de livrer des bombes JDAM-ER (Joint Direct Attack Munition - Extended Range) à l'Ukraine. Si l'armée ukrainienne semblait les utiliser depuis mars, les premières images de ses munitions de précision guidées par GPS ont fait surface mardi 25 avril sur internet.
A lire aussi : Guerre en Ukraine : les Etats-Unis vont livrer des bombes Jdam-ER à longue portée guidées par GPS
Le projet Army of Drones a publié une vidéo montrant un appareil de la 77e brigade aéromobile des forces armées ukrainiennes en train de frapper des bâtiments à Bakhmut à l'aide de ces engins guidés. Selon les analystes militaires, la frappe a été réalisée à l'aide de quatre bombes équipées de kits JDAM-ER.
La localisation de la séquence a été confirmée par le compte Geoconfirmed sur Twitter qui valide la localisation de la séquence à Bakhmout sur des positions occupées par le groupe paramilitaire Wagner.
Développés par Boeing, en collaboration avec la Royal Australian Air Force, les JDAM-ER ont une portée maximale de 72,5 km lorsqu'un propulseur à poudre leur est adjoint. Ces munitions de précision peuvent être emportées par des chasseurs ou des drones. L'aviation ukrainienne semble les lancer depuis des avions.
Trois avions militaires russes volant sans transpondeur ont été interceptés dans l'espace aérien international au-dessus de la mer Baltique, a annoncé ce mercredi l'armée de l'air allemande.
Les Eurofighter de la Royal air force (RAF) et de la Luftwaffe ont été alertés pour identifier trois engins militaires qui volaient sans signal de transpondeur dans l'espace aérien international au-dessus de la mer Baltique, explique l'armée de l'air allemande sur Twitter. Ces appareils se sont avérés être deux chasseurs Soukhoï Su-27 et un Iliouchine Il-20, a précisé la Luftwaffe, en diffusant plusieurs photos de ces avions en vol.
Le quadrimoteur Iliouchine Il-20 (Code OTAN "Coot-A") est une version de renseignement électromagnétique (SIGINT) de l'avion IL-20. Le Soukhoï Su-27 est un avion de chasse monoplace russe, équipé de deux turboréacteurs et connu sous la dénomination OTAN "Flankers". Il est doté de 10 points d’emports pour des roquettes et des missiles, ils possèdent un rayon d’action de 1800 km et peuvent emporter une charge utile de 6 000 kg.
Il s'agit de la sixième interception de ce type effectuée par la RAF et la Luftwaffe dans le cadre de leur mission de police aérienne de l'OTAN dans la Baltique.
Lundi dernier, 17 avril, le même scénario s'était produit. Trois avions militaires russes survolant la mer baltique et le golfe de Finlande avaient été interceptés par des Eurofighters Typhoons britannique et allemand.
A lire aussi : Guerre en Ukraine : Trois avions russes interceptés au-dessus de la mer Baltique par des chasseurs de l'OTAN
Les deux forces aériennes européennes travaillent actuellement conjointement dans le cadre de l'opération Azotize de l'OTAN à partir de la base aérienne d'Amari en Estonie en tant que force combinée pour protéger le flanc est de l'Alliance.
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MOSCOU (Spoutnik) - Une grande partie des avions de chasse MiG-29 que la Pologne et la Slovaquie ont récemment remis à l'Ukraine ne sont pas en état de voler et ne peuvent être utilisés que s'ils sont démontés pour les pièces de rechange, a rapporté dimanche un hebdomadaire britannique.
Le rapport note que la Pologne et la Slovaquie ont transféré environ huit MiG-29 ces dernières semaines.
Les pays occidentaux fournissent une aide militaire à l'Ukraine depuis le début du conflit avec la Russie en février 2022. L'aide est passée de munitions d'artillerie plus légères et d'entraînement en 2022 à des armes plus lourdes, y compris des chars, plus tard cette année-là et en 2023. L'Ukraine a maintenant demandé pour les avions de chasse, une demande jusqu'ici accueillie avec réticence aux États-Unis et dans la plupart des pays de l'UE.
Plus tôt en avril, le porte-parole du Commandement de l'armée de l'air ukrainienne, Yuriy Ignat, a déclaré que l'Ukraine aimerait obtenir des chasseurs F-16 car la fourniture d'autres avions occidentaux pourrait prendre plus de temps.
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MOSCOU (Spoutnik) - La Russie enquête sur les crimes commis par des mercenaires français contre des prisonniers de guerre russes, a annoncé mercredi la commission d'enquête russe.
"La commission d'enquête russe enquêtera sur les crimes des mercenaires français contre les prisonniers de guerre russes... La commission d'enquête de Russie établira toutes les circonstances de l'incident afin de traduire en justice les personnes impliquées dans la commission des crimes", a déclaré la commission d'enquête. dit sur Telegram.
français Des mercenaires ont participé aux hostilités aux côtés de l'Ukraine dans les rangs du régiment Azov* et des brigades des forces armées ukrainiennes. L'un des mercenaires a publié une photo de lui tirant à bout portant sur trois prisonniers de guerre russes.
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BEIJING (Spoutnik) - La Chine organisera mercredi des exercices d'utilisation pratique d'armes dans l'une des zones de la mer de Chine orientale, a annoncé l'Administration chinoise de la sécurité maritime.
Selon le communiqué, les exercices se dérouleront de 11h00 à 18h30 heure locale (de 03h00 à 10h30 GMT). Il sera interdit aux navires d'entrer dans la zone des exercices , a indiqué l'administration maritime, sans fournir plus de détails.
La situation autour de Taïwan s'est récemment aggravée après la rencontre du président taïwanais Tsai Ing-wen avec le président de la Chambre des États-Unis, Kevin McCarthy, plus tôt en avril, Pékin lançant des exercices militaires massifs de trois jours près de l'île dans ce qu'il a appelé un "avertissement" pour les séparatistes taïwanais. et puissances étrangères.
Taïwan est gouvernée indépendamment de la Chine continentale depuis 1949. Pékin considère l'île comme sa province, tandis que Taïwan – un territoire avec son propre gouvernement élu – soutient qu'il s'agit d'un pays autonome mais s'arrête avant de déclarer son indépendance. Pékin s'oppose à tout contact officiel d'États étrangers avec Taipei et considère la souveraineté chinoise sur l'île comme indiscutable.
WASHINGTON (Spoutnik) – La Chine est informée des plans entre les États-Unis et la Corée du Sud visant à renforcer l'activité militaire près de la péninsule coréenne à la lumière de l'avancée de la capacité de missiles nucléaires de Pyongyang, a déclaré à la presse un haut responsable de l'administration américaine.
"Nous informons les Chinois à l'avance et expliquons très clairement pourquoi nous prenons ces mesures", a déclaré le responsable. "Nous pensons que les efforts de non-prolifération dans l'Indo-Pacifique sont dans le meilleur intérêt non seulement des États-Unis et d'autres États leaders, mais aussi de la Chine."
Les États-Unis et la Corée du Sud annonceront leur intention d'améliorer les exercices militaires conjoints et de déployer un sous-marin nucléaire balistique américain dans la région de la péninsule coréenne en réponse à l'avancée des capacités de missiles nucléaires de la Corée du Nord, a déclaré le responsable.
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"Nous annoncerons que nous avons l'intention de prendre des mesures pour rendre notre dissuasion plus visible grâce au déploiement régulier d'actifs stratégiques, y compris une visite de sous-marin balistique nucléaire américain en Corée du Sud, ce qui ne s'était pas produit depuis le début des années 1980", a déclaré le responsable américain. avant la rencontre du président Joe Biden avec son homologue sud-coréen. "Nous renforcerons notre formation, nos exercices et nos activités de simulation pour améliorer l'approche de l'alliance US-ROK [Corée du Sud] en matière de dissuasion et de défense contre les menaces de la RPDC [Corée du Nord], notamment en intégrant mieux les ressources conventionnelles de la ROK dans notre planification stratégique. "
Les États-Unis et la Corée du Sud, lors de la visite du président Yoon Suk-yeol aux États-Unis, annonceront une nouvelle déclaration de Washington visant à renforcer les engagements de dissuasion financés par les États-Unis dans le contexte des capacités nucléaires croissantes de la Corée du Nord, selon un responsable.
"Pour construire la paix et la stabilité dans la péninsule, lors de la visite, l'alliance annoncera une déclaration de Washington qui comprend une série d'étapes conçues pour renforcer les engagements de dissuasion financés par les États-Unis et renforcer la clarté avec laquelle ils sont perçus par la Corée. public ainsi que par les voisins face à l'avancée des capacités de missiles nucléaires de la RPDC [nord-coréen] », a déclaré le responsable avant les pourparlers de mercredi entre le président Joe Biden et Yoon à la Maison Blanche.
Selon le responsable américain, la déclaration de Washington fait l'objet de discussions avec le gouvernement sud-coréen depuis des mois et comprendra également la création d'un nouveau mécanisme appelé le groupe consultatif nucléaire américano-sud-coréen, un mécanisme de consultation bilatérale régulière qui se concentrera sur les questions de planification nucléaire et stratégique pour donner à la Corée du Sud un aperçu supplémentaire sur la planification des éventualités majeures.
Joe Biden lors de sa rencontre avec son homologue sud-coréen Yoon Suk-yeol voudra savoir à quoi pourrait ressembler l'avenir du soutien de Séoul à l'Ukraine, a-t-il ajouté.
"Je sais que le président Biden devra avoir une conversation avec le président Yoon sur ce que cela signifie pour tous les alliés partageant les mêmes idées de continuer à soutenir l'Ukraine pendant quelques mois difficiles et voudra savoir ce que Séoul pense de l'avenir de leur pourrait ressembler à un soutien », a déclaré un responsable américain.
La rencontre entre les deux dirigeants intervient à la suite de fuites du Pentagone révélant la frustration des États-Unis face à l'incapacité de la Corée du Sud à fournir des armes à l'Ukraine . Alors que Yoon arrivait à Washington avant les pourparlers de mercredi avec Biden à la Maison Blanche, un responsable présidentiel sud-coréen a déclaré aux journalistes que l'Ukraine pourrait être discutée lors de la réunion, mais uniquement en tant que "problème mondial".
Malgré la pression des États-Unis et de ses alliés, un responsable présidentiel sud-coréen a déclaré la semaine dernière que Séoul ne fournissait pas d'armes à l'Ukraine dans l'intérêt de la stabilité des relations avec la Russie, selon les médias. Moscou a averti Séoul, un important État producteur de munitions, que l'envoi d'une assistance militaire à l'Ukraine aurait un impact négatif sur les relations russo-sud-coréennes.
Plus tard mercredi, le président américain Joe Biden et le président sud-coréen Yoon Suk Yeol annonceront la soi-disant déclaration de Washington, qui comprend une série de mesures conçues pour renforcer les engagements de dissuasion financés par les États-Unis et les rendre plus visibles pour le public coréen. ainsi que par des voisins, selon le responsable américain.
« Sensiblement, les pays européens, et notamment les plus pauvres, glissent dans l’économie de guerre » voici le titre de cet article du Monde qui, enfin, décrit la réalité de ce qu’il commence à se passer en Europe.
Une économie de guerre, ce n’est jamais, JAMAIS une économie prospère, une économie de guerre, c’est toujours, de l’inflation, des pénuries et beaucoup d’impôts pour « payer » et « financer » l’effort de guerre.
Personne n’a demandé au peuple si nous avions envie de payer le prix de la guerre en Ukraine et le prix de l’affrontement contre la Russie.
Personne n’a donné mandat à la grosse Commission de Bruxelles pour faire tonner la grosse Bertha.
« Thierry Breton s’est trouvé un nouveau combat : réarmer l’Europe. Le très remuant commissaire européen au marché intérieur parcourt le Vieux Continent, à la recherche d’obus. L’Ukraine en consomme en masse, près de 5 000 par jour, et en demande encore. C’est bien plus que ce que peuvent produire actuellement les usines allemandes, françaises ou espagnoles.
L’Union européenne a adopté le 20 mars un plan qui prévoit de puiser dans les réserves militaires et d’aider les industriels à monter en cadence. Et si cela ne suffisait pas, il faudrait se résoudre à acheter en dehors de l’Europe, ce que cherche à éviter le commissaire européen. Tout comme les masques ou le Doliprane, la priorité est désormais à l’autonomie stratégique.
Mais à la différence des nécessités nées avec la crise sanitaire, le besoin devrait malheureusement durer plus longtemps. Le monde sort les fusils de toutes parts, et singulièrement en Europe. Le dernier rapport de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, publié dimanche 23 avril, fait état d’un nouveau record sur le front des armes.
Les gouvernements de la planète, qui s’inquiètent pour la préservation du climat et de la biodiversité, n’ont de cesse de s’approvisionner en armes. Les dépenses en 2022 ont atteint le montant inédit de 2240 milliards de dollars (2040 milliards d’euros), soit 2,2% du produit intérieur brut (PIB) mondial. Si les États-Unis sont, de très loin, les premiers en termes de dépenses (39% du total), ils précèdent une cohorte d’ambitieux gradés comme la Chine (13%), la Russie (3,9%), l’Inde et l’Arabie saoudite. »
La guerre ce n’est jamais la prospérité.
Pendant la guerre c’est toujours misère et pauvreté, économie de subsistance.
Après la guerre, les pénuries perdurent pendant des années, car pour tout reconstruire il faut du temps, du capital, des matières, des ressources et de la main-d’œuvre, plein de choses qui généralement manque cruellement.
La guerre n’est jamais la prospérité, c’est la paix qui apporte la prospérité aux peuples.
Ceux qui veulent la guerre, ne veulent certainement pas votre prospérité, et c’est une règle intangible depuis la nuit des temps.
La guerre détruit et appauvrit.
source : Insolentiae
Un laboratoire soudanais abritant des échantillons des virus de la rougeole, de la poliomyélite et du choléra inquiète l'Organisation mondiale de la Santé, alors que le pays est en proie à de violents affrontements entre groupes armés.
"J'ai reçu hier un appel téléphonique du chef du laboratoire central de santé publique. Il est occupé par l'une des parties combattantes", s'inquiète le représentant de l'OMS (Organisation mondiale de la Santé) au Soudan ce mardi 25 avril, rapporte france info.
"Ils ont enlevé tous les techniciens du laboratoire qui est maintenant complètement sous le contrôle d'une des parties combattantes comme base militaire", ajoute Nima Saeed Abid.
La situation est "extrêmement dangereuse" s'alarme-t-il car le laboratoire abrite des échantillons des agents pathogènes de la rougeole, du choléra et de la poliomyélite et cette occupation militaire présente donc un "risque biologique énorme".
L'agent pathogène qui inquiète le plus est celui du choléra. Maladie diarrhéique aiguë, il peut provoquer la mort du sujet infecté en quelques heures.
Le tribunal judiciaire de Bobigny vient de trancher : une centaine de femmes, enfants et hommes occupant des bureaux vides à Montreuil se sont vus accorder un délai de huit mois supplémentaires pour trouver un nouveau logement.
Une gazinière et un micro-ondes sont posés à même le sol. Recouvertes de draps et de foulards, les parois en verre rappellent qu’il s’agit d’anciennes salles de bureaux. Chaque pièce d’une dizaine de mètres carrés est occupée par environ cinq personnes, chauffées grâce à de petits radiateurs d’appoint.
C’est ici, à Montreuil, que vivent depuis le mois de juin des dizaines de familles, majoritairement des femmes dont certaines sont enceintes, et leurs enfants. Menacées d’expulsion depuis le mois d’août par le tribunal de proximité de Montreuil (Seine-Saint-Denis), elles ont obtenu le 20 avril un délai de huit mois de la part du juge de l’exécution du tribunal judiciaire de Bobigny.
« On est vraiment tous très heureux de cette décision, on ne s’attendait pas du tout à obtenir un délai aussi long, ça nous enlève un gros poids », admet Émilie Niamba. Arrivée en France il y a un peu plus d’un an après avoir fui la Côte d’Ivoire avec son mari, elle a, comme la majorité des familles avec lesquelles elle cohabite, vécu dans la rue puis dans des tentes fournies par l’association Utopia 56.
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