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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 25 avril 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev dénonce « l'hypocrisie » de Sergueï Lavrov, en visite à l'ONU...

 

 

L’ESSENTIEL

  • En visite en Ukraine, la Première ministre estonienne Kaja Kallas a appelé lundi à entamer dès cette année des négociations sur l’entrée de Kiev au sein de l’Union européenne. Devant Volodymyr Zelensky, elle a toutefois admis que ce serait « un processus difficile » et que l’Ukraine devait « remplir à 100 % les conditions » posées par l’UE.
  • Les propos de l’ambassadeur chinois en France qui, questionné sur la province ukrainienne de Crimée, a nié la souveraineté des ex-républiques soviétiques, ont provoqué une levée de boucliers parmi les États concernés. Lu Shaye a notamment été traité de « perroquet » et accusé de faire la « propagande russe ».
  • Emmanuel Macron a affirmé lundi qu’il retournerait en Ukraine « dans les prochaines semaines » ou « mois », quand ce sera le « bon moment ». « A chaque fois j’ai veillé à avoir une approche utile, c’est-à-dire être présent en Ukraine pour apporter des résultats ou à des moments qui étaient décisifs », a-t-il ajouté, soulignant s’être entretenu encore mi-avril avec Volodymyr Zelensky.

 

14h31 : La Suède affirme expulser cinq diplomates russes

Le ministère des Affaires étrangères du pays scandinave a déclaré avoir « convoqué l’ambassadeur de Russie Viktor Tatarintsev et l’avoir informé que cinq fonctionnaires de l’ambassade de Russie en Suède sont priés de quitter le pays en raison d’activités qui ne sont pas compatibles avec la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques », a-t-il indiqué dans un communiqué sans préciser la nature de ces activités.

 

 

13h41 : Les pertes russes diminuent

Au cours du mois d’avril 2023, le nombre moyen de victimes quotidiennes de la Russie a très probablement diminué d’environ 30 %, rapporte le ministère britannique de la Défense. Une baisse qui s’explique par des pertes russes exceptionnellement élevées au cours des mois de janvier et mars 2023. « Les chiffres publiés par l’état-major ukrainien indiquent que le nombre de victimes russes est passé d’une moyenne quotidienne de 776 en mars à une moyenne de 568 jusqu’à présent en avril », expliquent encore les services britanniques.

 

 

13h01 : L’Ukraine dénonce « l’hypocrisie » de Lavrov à l’ONU

Kiev a dénoncé mardi « l’hypocrisie » du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, qui a présidé la veille à New York un Conseil de sécurité sur la « défense des principes » de la Charte de l’ONU.

« Un cirque hypocrite complet. Lavrov préside le Conseil de sécurité de l’ONU justifiant la guerre, les massacres, la destruction totale… », a fustigé sur Twitter Mykhaïlo Podoliak, conseiller de Volodymyr Zelensky. L’authenticité du tweet de Mykhaïlo Podoliak a été confirmée à l’AFP par une source au sein de la présidence ukrainienne.

DIRECT

 

 

 

 

À l’ONU, Lavrov exhorte la « minorité occidentale » à respecter les autres pays

 
 

S’exprimant lors d’une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU sur le multilatéralisme, le chef de la diplomatie russe a appelé les États occidentaux à cesser de parler au nom de toute l’humanité.

La « minorité occidentale » doit « bien se comporter » et respecter les autres membres de la communauté internationale, a déclaré ce lundi 24 avril le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov devant les Nations unies.

 

 

 

« Appelons un chat un chat : personne n’a autorisé la minorité occidentale à parler au nom de toute l’humanité », a déclaré le ministre lors d’une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU sur le multilatéralisme.

Selon lui, l’Occident doit « se comporter décemment et respecter tous les membres de la communauté internationale ».

Le ministre russe a affirmé que les États-Unis avaient en effet procédé à la « destruction de la mondialisation », bien qu’ils aient présenté cette dernière comme le plus grand bien de l’humanité.

« Washington et le reste de l’Occident qui lui obéit utilisent leurs propres règles chaque fois qu’ils ont besoin de justifier des mesures illégitimes prises contre ceux qui conduisent leur politique conformément au droit international en refusant de suivre les intérêts égoïstes du dénommé milliard d’or », a insisté Lavrov.

source : Sputnik Afrique

 

 

 

La Russie et la Chine exigent l’application de tous les Traités

 
 

Le Conseil de sécurité des Nations unies se réunit, en ce moment, sous la présidence du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, pour débattre du thème : « Maintien de la paix et de la sécurité internationales : un multilatéralisme efficace reposant sur la défense des principes consacrés dans la Charte des Nations unies ».

Rappelons que l’interprétation de la Charte des Nations unies a été précisée dans la « Déclaration relative aux principes du Droit international touchant les relations amicales et la coopération entre les États conformément à la Charte des Nations unies » (résolution 2625 du 15 décembre 1970). Celle-ci ne proscrit pas la guerre, mais précise les cas d’échec des moyens de résoudre pacifiquement les crises.

Les Occidentaux ont dressé un réquisitoire contre la Fédération de Russie et son « invasion de l’Ukraine », selon eux contraire à la Charte des Nations unies. Ils s’appuient sur la décision de la Cour internationale de Justice (le tribunal interne de l’ONU), enjoignant la Russie de retirer ses troupes d’Ukraine. C’est malhonnête car cette décision ne porte pas sur l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, mais sur l’accusation de génocide formulée par la Russie contre l’Ukraine au Donbass. Or, la Russie a publié depuis quantité de documents écrits et vidéos attestant de ses dires.

De leur côté, la Russie et la Chine, dans la lignée des déclarations de l’ambassadeur chinois à Paris, Lu Shaye, ont réclamé en priorité le respect des engagements écrits de chacun, c’est-à-dire l’application des traités, de tous les traités. Cette position commune prolonge la proposition russe de garanties de sécurité, présentée le 17 décembre 2021, dans l’esprit du sommet des présidents Poutine et Xi du mois dernier.

Il ne s’agit pas seulement de remettre en question l’extension à l’Est de l’OTAN en violation les multiples engagements écrits en la matière.

Ainsi :

• la Finlande s’est engagée par écrit en 1947 à rester neutre. Son adhésion à l’OTAN est donc une violation de sa propre signature.

les États baltes se sont engagés par écrit, lors de leur création en 1990, à conserver les monuments honorant les sacrifices de l’Armée rouge. Leur destruction de ces monuments est donc une violation de leur propre signature.
 les Nations unies ont adopté la résolution 2758 du 25 octobre 1971 reconnaissant que Beijing, et non pas Taïwan, est le seul représentant légitime de la Chine. À le suite de quoi, le gouvernement de Tchang Kaï-chek a été expulsé du Conseil de sécurité et remplacé par celui de Mao Zedong. Par conséquent, par exemple, les récentes manœuvres navales chinoises dans le détroit de Taïwan ne constituent pas une agression contre un État souverain, mais un libre déploiement de ses forces dans ses propres eaux territoriales.

• etc, etc.

La paix internationale dépend donc de savoir si les règles qui s’appliquent sont celles du Droit international, fondé sur les traités bilatéraux et les règles élaborées collectivement, ou si ce sont les règles rédigées par les seuls Occidentaux.

(À suivre…)

source : Réseau Voltaire

 

 

Guerre en Ukraine : Quatre drones crashés près de Moscou, l'armée de Zelensky essaie-t-elle de frapper la capitale russe?

 

  • Les trois quadrocoptères étaient équipés de caméras.
    Les trois quadrocoptères étaient équipés de caméras. Image par Lars Nissen de Pixabay

Les autorités russes font état de la découverte de trois drones équipés de caméras écrasés dans la région de Moscou.

Trois drones quadrocoptères équipés de caméras ont été retrouvés dans différentes zones de la région de Moscou, rapporte Kommersant. Selon le journal en ligne russe, l'un d'entre eux a même été découvert près du site d'un précédent crash de drone ukrainien.

Les drones ont été retrouvés lundi 24 avril. L'un d'eux, équipé d'une caméra et d'un microphone, s'est écrasé dans le district urbain de Bogorodsky.

Deux autres appareils ont été trouvés dans d'autres zones de la région de Moscou.

"Actuellement, tous les quadrocoptères ont été envoyés pour examen, il s'agira d'établir à qui ils appartenaient et dans quel but ils ont été envoyés", a précisé un représentant des forces de l'ordre au média russe.

17 kg d'explosifs

La veille, dimanche, un drone rempli d'explosifs avait été retrouvé dans une zone forestière dans le district de Bogorodsky de la région de Moscou.

Selon des données préliminaires, il s'agirait d'un drone UJ-22 Airborn de fabrication ukrainienne, à bord duquel 30 briquettes de 570 g d'explosif C-4 ont été trouvées, soit un total de 17 kg.

 

Les dépenses mondiales pour les besoins militaires battent des records

 
 

Les dépenses militaires en Europe en 2022 ont atteint leur plus haut niveau depuis la guerre froide. Les experts font des prévisions sombres, estimant que la militarisation des États européens augmentera davantage en 2023. 

En 2022, les dépenses mondiales pour les besoins militaires ont établi un nouveau record, atteignant 2224 milliards de dollars. Cette conclusion figure dans un nouveau rapport de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI). 

La croissance la plus rapide a été affichée par le continent européen, en particulier les pays d’Europe de l’Est et d’Europe centrale, qui ont augmenté leurs dépenses de défense à des niveaux record depuis la fin de la guerre froide. Au total, un peu plus de 80% des dépenses militaires mondiales étaient réparties entre 15 pays, alors que les trois leaders – les États-Unis, la Chine et la Russie – représentaient plus de la moitié, rapporte Bloomberg

Le Sipri a préparé une autre revue annuelle des dépenses militaires. Les dépenses mondiales de défense augmentaient au cours des huit dernières années, et en 2022, selon les estimations du Sipri, elles ont augmenté de 3,7% en termes réels, pour atteindre 2224 milliards de dollars. C’est un nouveau record pour toute la période d’observation menée par le SIPRI. L’augmentation des dépenses militaires s’explique avant tout par la hausse des dépenses correspondantes de la part de la Russie et de l’Ukraine. Cependant, de nombreux pays d’Europe, d’Asie et d’Océanie ont également contribué à ce processus. Les experts en sont venus à la conclusion que le conflit autour de l’Ukraine et l’augmentation des tensions en Asie du Sud-Est ont eu un impact significatif sur les décisions de nombreux pays concernant l’allocation de fonds pour l’entretien de l’armée. 

Les dépenses militaires des pays européens ont augmenté de 13%, à 480 milliards de dollars, soit la plus forte croissance des 30 dernières années. Les pays d’Europe centrale et occidentale ont alloué 345 milliards de dollars aux besoins militaires l’année dernière, soit une hausse de 30% par rapport aux niveaux d’il y a dix ans. Les fonds dépensés par ces pays pour la défense ont dépassé en termes réels l’indicateur de 1989, à la fin de la guerre froide. Parmi les pays de l’UE, la Finlande (36%), la Lituanie (27%), la Suède (12%) et la Pologne (11%) ont connu la plus forte augmentation de leur budget militaire. 

Selon les experts, le budget militaire russe a augmenté de 9,2%, pour atteindre 86,4 milliards de dollars (4,1% du PIB). 

Le SIPRI souligne que la Russie a dépensé 34% de plus pour la « défense nationale » que prévu dans le budget. Cela a permis à la Russie de devenir le troisième pays au monde en termes de dépenses militaires, gagnant deux places en un an. Cependant, le rapport note que les experts de l’institut ne sont pas entièrement convaincus que leurs estimations concernant la Russie reflètent la situation réelle, car les autorités russes publient de moins en moins de données, en particulier concernant la sécurité. 

De son côté, l’Ukraine a dépensé 44 milliards de dollars pour la défense (34% du PIB) et s’est placée 11ème dans le classement mondial. Ses dépenses militaires ont augmenté de 640%, ce qui représente la plus forte croissance relative pour un pays individuel depuis 1949. Le Sipri n’a pas pris en compte l’aide militaire gratuite fournie à Kiev par d’autres pays dans le cadre de ce rapport. 

Les États-Unis étaient en tête du budget militaire en 2022, tout comme les années précédentes, avec 887 milliards de dollars, soit 39% du total mondial des dépenses de défense. Cependant, la majeure partie de cette augmentation a été, comme mentionné dans le rapport, nivelée par une inflation record au cours des 40 dernières années, de sorte que les dépenses réelles des États-Unis pour la défense n’ont augmenté que de 0,7%. De plus, l’année dernière, les États-Unis ont fourni un soutien militaire à l’Ukraine pour un montant de 19,9 milliards de dollars, soit la plus grande aide militaire accordée par un pays à un autre depuis la guerre froide. À cet égard, les États-Unis ont largement dépassé le Royaume-Uni (2,5 milliards de dollars) et l’Allemagne (2 milliards de dollars). Au total, les dépenses militaires des pays membres de l’OTAN en 2022 ont atteint 1.232 milliards de dollars. 

La Chine a conservé le deuxième budget militaire le plus élevé, avec 292 milliards de dollars. Pékin augmente ses dépenses de défense depuis ces 28 dernières années, ce qui est un record en termes de durée de croissance. « Les priorités actuelles en matière de dépenses militaires de la Chine correspondent aux principes directeurs énoncés dans le 14ème plan quinquennal pour 2021-2025. Ils ont été confirmés lors du XXème congrès du Parti communiste en octobre 2022, qui a accordé une attention particulière au renforcement de la base industrielle militaire de la Chine et à la promotion des technologies militaires les plus récentes, y compris l’application militaire de l’intelligence artificielle », explique le rapport. 

Les dépenses militaires des États-Unis, de la Chine et de la Russie représentent 56% des dépenses mondiales correspondantes, selon les estimations du SIPRI. Les États-Unis dépensent dix fois plus pour la défense que la Russie. 

L’Inde occupe la quatrième place en termes de dépenses, avec une augmentation de 6% de son budget militaire, pour atteindre 81,4 milliards de dollars. En cinquième position, l’Arabie saoudite a augmenté ses dépenses de défense de 16%, à 75 milliards de dollars. En conséquence, Riyad a dépassé des pays tels que le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France en matière de budget militaire, passant de la huitième à la cinquième place. 

« La croissance continue des dépenses militaires mondiales au cours des dernières années indique que nous vivons dans un monde de plus en plus dangereux », souligne Nan Tian, chercheur principal au programme de dépenses militaires et de production d’armes du SIPRI. « Les États renforcent leur puissance militaire en réponse à la détérioration de la situation en matière de sécurité, dont ils ne prévoient pas d’amélioration dans un avenir proche. » 

En 2022, les dépenses militaires ont augmenté dans quatre des cinq régions géographiques. La plus forte croissance a été observée en Europe (+13%), suivie par le Moyen-Orient (+3,2%), l’Asie et l’Océanie (+2,7%) et l’Amérique du Nord et du Sud (+0,3%). 

L’Afrique est la seule région où, selon les estimations du SIPRI, les dépenses consacrées aux besoins militaires ont diminué. En un an, le budget de défense des pays africains a diminué de 5,3%, à 39,4 milliards de dollars. La majeure partie de la réduction est imputable à plusieurs grands pays de la région : le Nigeria (-38%), l’Afrique du Sud (-8,4%) et l’Algérie (-3,7%). Cependant, l’Éthiopie a connu une augmentation de 88% de ses dépenses militaires, pour atteindre 1 milliard de dollars, en raison de la reprise des hostilités actives entre les forces gouvernementales et des groupes rebelles dans le nord du pays.

source : Observateur Continental

 

 

 

Donbass: l’armée russe engagerait ses chars dernier cri Armata

 

Les forces armées russes ont fait entrer dans la danse au Donbass les chars dernier cri T-14 Armata pour cibler des positions ukrainiennes, note une source de Sputnik. Ils ne sont cependant pas engagés dans les opérations offensives.

La Russie s'est mise à utiliser des chars T-14 Armata dans son opération militaire spéciale, selon une source bien informée de Sputnik.

Vers une guerre de religion, infos du 25 avril 2023

"Les chars dernier cri Armata sont désormais utilisés pour tirer sur des positions ukrainiennes. Ils n’ont pas encore participé à des combats proprement dits", a indiqué la source.

Celle-ci a précisé que dans la zone de l’opération militaire spéciale les flancs des Armata ont été dotés d’une protection supplémentaire contre les munitions antichars.

"Depuis la fin 2022, les équipages des Armata se sont exercés à l’interopérabilité dans des sites d’entraînement d’une république populaire du Donbass", a ajouté la source de Sputnik.

Pour la première fois, l’Armata a été testé au combat en Syrie.

Une coque blindée pour l’équipage et un blindage composite

Le T-14 Armata a été développé par un bureau d’études d’Uralvagonzavod et dévoilé lors du défilé militaire du 9 mai 2015.

Le trait distinctif principal du char est sa tourelle inhabitée. L’équipage se trouve dans une capsule blindée spéciale située dans la partie avant de l’engin. Cela permet de l’isoler des munitions et du carburant et, en cas d’endommagement du char, la probabilité de survie de l’équipage est très élevée.

Le char est doté d’un blindage composite multicouche Malachite. Il est capable de résister à l’impact de la plupart des munitions antichars et même de les détruire lors de l’approche.

Il est équipé d’un canon à âme lisse de 125 mm capable d’utiliser des projectiles guidés d’une portée de 8 kilomètres.

Direct

 
 

 

 

"Finissons le travail" : à 80 ans, Joe Biden annonce sa candidature à sa réélection en 2024

 

L'actuel président des Etats-Unis a annoncé ce mardi 25 avril briguer un second mandat à la Maison-Blanche. 

Joe Biden vise un second mandat à la Maison-Blanche. Dans un message vidéo publié ce mardi 25 avril, l'actuel président des Etats-Unis a officiellement lancé sa campagne en vue d'une réélection à la présidentielle 2024"Je suis candidat à ma réélection", a annoncé le président américain. "Finissons le travail", a également déclaré Biden, insistant sur le combat toujours en cours selon lui pour la liberté et la démocratie. Le démocrate a dénonce les attaques commises par des "extrémistes républicains". 

Comme lors du dernier scrutin, il présentera un "ticket" avec son actuelle vice-présidente, Kamala Harris.Le principal handicap du démocrate, dont la cote de popularité reste médiocre, est son âge (80 ans). Jamais encore les Américains n'avaient élu un président aussi âgé, jamais non plus un candidat ne leur avait demandé de lui laisser les clés de la Maison-Blanche jusqu'à ses 86 ans.

Source

 

 

Note ;  "finissons le travail" ! Il fait allusion aux nombreux feux de guerre que son partie de démocrate a mis un peu partout en ce monde. Il lui faut encore du temps pour nous envoyer vers une troisième guerre mondiale

 

 

Opération « Wuambushu » : Les Comores refusent toujours de reprendre leurs migrants clandestins expulsés de Mayotte (MàJ : Un tribunal suspend la destruction d’un bidonville prévue ce matin, la député se dit consternée)

25/04/2023

“Je suis consternée, mais pas surprise”, déplore mardi 25 avril sur franceinfo Estelle Youssouffa, députée LIOT de la 1ère circonscription de Mayotte, après la décision prise par le tribunal judiciaire de Mamoudzou de suspendre l’opération de destruction du bidonville “Talus 2” dans le quartier de Majicavo, dans la commune de Koungou. […]

(…)

France TV Info

 


24/04/23

Le préfet de Mayotte a en retour déclaré espérer «reprendre rapidement» les rotations de bateaux vers les Comores.

Les Comores ont déclaré ce lundi avoir refusé l’accostage d’un bateau transportant des migrants en provenance de Mayotte, où les autorités françaises ont annoncé une opération anti-migrants controversée, et suspendu le trafic de passagers dans le port où les personnes expulsées sont habituellement débarquées.

«Tant que la partie française décidera de faire des choses de façon unilatérale, nous prendrons nos responsabilités. Aucun expulsé ne rentrera dans un port sous souveraineté comorienne», a déclaré à l’AFP le ministre comorien de l’Intérieur, Fakridine Mahamoud. «Le port de Mutsamudu (sur l’île comorienne d’Anjouan) n’est pas en mesure d’opérer sur l’embarquement et débarquement de passagers de ce jour jusqu’au 26/04/2023, date à laquelle nous vous informerons de l’éventuelle reprise des opérations», ont annoncé de leur côté les services maritimes dans une note adressée à une compagnie maritime et dont l’AFP a eu copie.

(…) Le Figaro


21/04/23

Alors que Paris prévoit d’expulser dans les prochains jours des personnes en situation irrégulière à Mayotte, les Comores «n’entendent pas les accueillir», a déclaré à l’AFP le porte-parole du gouvernement de Moroni ce vendredi 21 avril.

Ce vendredi 21 avril, le porte-parole du gouvernement de Moroni, Houmed Msaidie, s’est opposé à la volonté de Paris d’expulser dans les prochains jours les personnes en situation irrégulière dans une vaste opération anti-migrants controversée estimant que «les Comores n’entendent pas les accueillir».

«Les Comores n’entendent pas accueillir des expulsés issus de l’opération projetée par le gouvernement français à Mayotte», a affirmé le porte-parole du gouvernement de Moroni dans une déclaration téléphonique à l’AFP.

Baptisée «Wambushu» (reprise en mahorais : ndlr), cette opération contre la délinquance et l’immigration illégale à Mayotte, voulue par Gérald Darmanin, prévoit de détruire des bidonvilles dans ce 101e département français situé dans l’océan Indien et expulser les migrants illégaux, majoritairement originaires de l’archipel voisin des Comores, vers Anjouan, à 70 km de Mayotte.

(…) CNews

 

VOIRE AUSSI: DIRECT. L'opération Wuambushu

 

 

 

«Il faut peut-être en tuer» : Polémique après les propos du Premier-vice président du conseil départemental de Mayotte contre les bandes armées

 

«À un moment donné, il faut peut-être en tuer.» Polémique après les propos de Salime Mdéré, premier vice-président du conseil départemental de Mayotte, visant les bandes qui sèment le chaos sur l’île. 

L’élu mahorais explique par ailleurs qu’il se refuse à qualifier ces bandes de jeunes de «gamins», évoquant plutôt «ces délinquants, ces voyous, ces terroristes». Interrompu par la présentatrice, il insiste : «Si y’en a pas un qui est tué, y’en aura toujours d’autres qui vont oser tenter à tuer [sic] des policiers.» Tout en précisant qu’il «pèse [s]es mots».

Le Figaro

 

 

Début de l’opération « Wuambushu » à Mayotte : une action consistant à remigrer 10.000 migrants clandestins comoriens et à détruire les bidonvilles ; 1.800 policiers et gendarmes mobilisés (MàJ)

La compagnie CRS 8 et des policiers du RAID déployés à Mayotte ont amorcé l’opération « Wuambushu », ordonnée par Paris, qui vise à déloger les migrants en situation irrégulière des bidonvilles de l’archipel et de les expulser vers les Comores.

Selon le ministère de l’Intérieur, 1 800 policiers et gendarmes ont été dépêchés sur ce petit archipel de l’océan Indien, pour vider les bidonvilles de leurs occupants illégaux, la plupart des migrants venus des Comores voisines. Selon l’Insee, près de la moitié des 350 000 habitants estimés de Mayotte ne possède pas la nationalité française. Les migrants venus des Comores voisines sont accusés par la population et les élus de déséquilibrer le peu d’infrastructures et de ressources de l’île et de nourrir la délinquance. Plusieurs organisations, dont la Ligue des droits de l’homme, se sont inquiétées

Le Parisien


L’unité de CRS a été dépêchée à Mayotte depuis mercredi pour appuyer les opérations de police contre la délinquance des étrangers en situation irrégulière.

Loin de leur terrain d’intervention urbain de l’Hexagone, les policiers de la CRS8, sous une pluie tropicale qui cogne sur le casque embué par 38°C, scrutent inquiets la jungle mahoraise, leur bouclier brandi vers le «grand vert». Face à eux, de la colline aux bananiers monte un concert de cris de guerre. Simultanément, entre les trombes de pluie de ce dimanche, des pierres ocres et boueuses s’écrasent sur leur colonne. Au sol, les cailloux font la taille d’une main. Dans la forêt, les caillasseurs sont tapis, invisibles.

Lance-grenades Cougar calé sur l’épaule ruisselante, le policier tire en cloche une grenade de gaz lacrymogène vers le sommet de la colline. «Est-ce qu’il y a des blessés chez vous les gars»?, s’inquiète l’un des CRS (de la compagnie républicaine de sécurité 8), en repli derrière la fourgonnette blanche. «T’as vu ce qu’on a en face?», répond son camarade policier. «Là, il faut rentrer dans les bosquets. Si on reste fixes, c’est sûr qu’on va ‘manger’».

(…) Le Figaro

 

 

Sondage : 69% des Français estiment que la réélection d’Emmanuel Macron a été une mauvaise chose pour le pays

Coupe du monde 2022 : «Il ne faut pas politiser le sport», affirme Emmanuel Macron

D’après une enquête “L’Opinion en direct”, menée par l’institut Elabe pour BFMTV et publiée ce lundi 24 avril, 69% des Français estiment que la réélection d’Emmanuel Macron a été une mauvaise chose pour la France. Une opinion qui a progressé de +14 points depuis la dernière enquête menée quelques semaines après sa réélection le 24 avril 2022. Seuls 30% des Français pensent que ce deuxième quinquennat est une “bonne chose”.

Désaccord (44%), déception (42%), colère (39%) et hostilité (26%) sont les mots qui reviennent le plus dans la bouche des Français quand on évoque le chef de l’Etat. Les mots positifs sont, eux, sous-représentés : respect (13%), soutien (10%), satisfaction (7%), sympathie (7%). Près de 25% des électeurs qui ont voté pour lui au premier tour et 40% de ceux qui ont mis son nom dans l’urne au second jugent aujourd’hui son action “décevante”. 

La dépêche

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