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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

Vers une guerre de religion, infos du 24 avril 2023

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Les Infos du 24 avril 2023

 

Le convoi de l’ambassade de France attaqué pendant l’évacuation des ressortissants français au Soudan

 

Le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et le ministère des Armées ont annoncé qu’ils coordonnaient une opération d’évacuation rapide du personnel diplomatique et des ressortissants français au Soudan. Cette opération inclut également des ressortissants d’autres États ainsi que le personnel diplomatique européen.

« Le Ministère de l’Europe et des affaires étrangères et le Ministère des Armées coordonnent une opération d’évacuation rapide de notre personnel diplomatique et de nos ressortissants au Soudan, en lien avec toutes les parties prenantes ainsi que nos partenaires européens et alliés. Cette opération inclut des ressortissants de ces États ainsi que le personnel diplomatique européen. »

 

 

 

Les différentes factions se rejettent la responsabilité de l’attaque contre un convoi d’évacuation de l’ambassade de France au Soudan

Selon l’agence TASS, les forces de réaction rapide du Soudan ont attaqué un convoi organisé par l’ambassade de France pour évacuer ses citoyens. La chaîne de télévision Al Hadath rapporte qu’un Français aurait été blessé lors d’une fusillade près du bâtiment de la mission diplomatique.

« La force de réaction rapide a attaqué le convoi de l’ambassade de France lors de l’évacuation », a indiqué la chaîne de télévision Al Arabiya citant un communiqué des forces armées soudanaises. Selon l’armée, un Français a été blessé lors d’une fusillade près du bâtiment de la mission diplomatique.

De son côté, le porte-parole officiel des Forces de soutien rapide a publié un communiqué de presse le 23 avril 2023 concernant l’attaque contre un convoi d’évacuation de ressortissants français.

Selon le communiqué, les Forces de soutien rapide ont été attaquées par des avions lors de l’évacuation de ressortissants français de l’ambassade de leur pays. L’attaque a eu lieu alors que le convoi se déplaçait de Bahri vers Omdurman et a mis en danger la vie des ressortissants français, blessant l’un d’entre eux. Les Forces de soutien rapide indiquent qu’elles étaient en pleine coordination avec le gouvernement français pour l’évacuation des ressortissants français. Elles dénoncent cette attaque comme une violation flagrante du droit international et humanitaire et réaffirment leur engagement à respecter l’armistice déclaré et à ouvrir des couloirs humanitaires pour faciliter le mouvement des ressortissants étrangers.

 

 

 

La situation est extrêmement tendue 

Génération2Nils (G2N), une organisation qui vise à être un lien entre les Franco-Soudanais de la deuxième génération, s’est exprimée sur Twitter au sujet de la situation difficile des citoyens français au Soudan.

« Malheureusement, nous sommes en contact avec certains de nos concitoyens qui ne peuvent pas arriver jusqu’au point de RDV fixé par l’ambassade de France du fait des combats. Situation extrêmement difficile, et aujourd’hui coupure d’internet », a tweeté G2N.

 

 

 

La ministre de l’Europe et des Affaires étrangères de France, Catherine Colonna, a adressé un message de solidarité et de soutien aux citoyens français au Soudan : « À tous nos compatriotes du Soudan, j’adresse un message de solidarité et de soutien dans l’épreuve qu’ils traversent. Soyez assurés que tous les services de l’État sont mobilisés pour votre sécurité. Suivez bien les consignes de l’Ambassade et du Centre de crise du Ministère »

 

 

 

source : Le Média en 4-4-2

Guerre en Ukraine : Le patron de Wagner ordonne de ne plus faire de prisonniers et de « tous les tuer »...

 

 

L'ESSENTIEL 

  • Les dépenses militaires en Europe ont redépassé en 2022 leur niveau de la fin de la Guerre froide, avec une progression record depuis plus de trois décennies dopée par l'invasion de l'Ukraine par la Russie, selon un rapport de référence publié lundi. Tous continents confondus, les dépenses militaires ont atteint l'an dernier un nouveau sommet de 2.240 milliards de dollars, soit 2,2% du PIB mondial, selon les données de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri).
  • Plusieurs dizaines de manifestants ont réclamé dimanche à Paris que l'Union européenne élargisse ses sanctions contre la Russie à la femme du vice-ministre russe de la Défense, accusé de contourner les mesures coercitives européennes. Timur Ivanov, sous sanctions européennes depuis octobre, a divorcé de sa femme Svetlana Maniovich à l'été 2022 afin de la protéger, affirment des soutiens de l'opposant emprisonné en Russie d'Alexeï Navalny, à l'origine d'un rassemblement devant le domicile présumé de cette femme.
  • Les propos controversés de l'ambassadeur chinois en France qui, questionné sur la province ukrainienne de Crimée, annexée depuis 2014 par Moscou, a nié la souveraineté de ex-républiques soviétiques, ont provoqué une levée de bouclier parmi les États concernés. L'ambassadeur chinois en France, Lu Shaye a notamment été traité de « perroquet » et accusé de faire la « propagande russe ».

DIRECT

 

 

 

 

 

L’armée ukrainienne aurait abattu un combattant blessé du PMC Wagner, qui était en captivité, Wagner ne fera plus de prisonniers

 
 

L’homme d’affaires Yevgeny Prigozhin a annoncé une nouvelle tactique du PMC Wagner contre l’armée ukrainienne.

Le service de presse de la société Concorde a publié sur sa chaîne Telegram un enregistrement audio du chef de Wagner PMC, l’homme d’affaires Yevgeny Prigozhin. 

Dans cet enregistrement audio, il a déclaré que les combattants du groupe Wagner ne feraient plus de prisonniers militaires ukrainiens, mais détruiraient plutôt tout le monde sur le champ de bataille. Prigozhin a donc commenté les informations sur l’exécution par l’armée ukrainienne d’un soldat blessé capturé du PMC Wagner.

La situation a éclaté après des informations selon lesquelles l’armée ukrainienne aurait abattu un combattant blessé du PMC Wagner, qui était en captivité. En réponse à cela, Yevgeny Prigozhin a fait une déclaration sur le changement de tactique de PMC « Wagner » par rapport à l’armée ukrainienne.

Prigozhin affirme que la décision a été prise après discussion avec le commandement Wagner PMC et qu’elle fait partie intégrante de la nouvelle stratégie d’action.

La situation a suscité de vives discussions entre personnalités politiques et publiques, ainsi qu’avec des représentants de la communauté internationale. 

Cependant, jusqu’à présent, il n’y a pas de déclarations officielles de responsables ukrainiens concernant ce scandale.

source : Avia.pro via Bruno Bertez

 

 

 

Guerre en Ukraine : une bagarre générale éclate entre des soldats russes et des mercenaires du groupe Wagner, plusieurs morts des deux côtés

 

  • Des mercenaires du groupe Wagner et des soldats russes se seraient tirés dessus.
    Des mercenaires du groupe Wagner et des soldats russes se seraient tirés dessus. DR

L'affrontement a dégénéré en une fusillade, faisant des victimes de chaque côté.

Une bagarre aurait éclaté entre des soldats de l'armée russe et des mercenaires du groupe Wagner. L'affrontement aurait dégénéré en une fusillade, a rapporté ce dimanche 23 avril l'état-major général des forces armées ukrainiennes.

Selon le commandement des troupes de Kiev, il y aurait eu des victimes des deux côtés à la suite de l'affrontement. Les faits se seraient déroulés dans la ville occupée de Stanytsia Luhanska dans l'oblast de Louhansk, sous contrôle russe. Aucune information quant à la date exacte des faits ni le nombre de morts n'a en revanche été divulguée.

Des tensions croissantes entre Wagner et l'administration russe

"En l'absence de réalisations significatives sur le champ de bataille, les forces armées russes et le groupe Wagner tentent de plus en plus de trouver quelqu'un à blâmer pour les défaites", indique le rapport des autorités militaires de Kiev. "Ils se renvoient mutuellement la responsabilité de leurs propres erreurs de calcul tactiques et des pertes subies".

Si aucune preuve extérieure n'a émergé pour étayer cette information, il est de notoriété publique que des tensions existent entre les forces de Wagner et le ministère russe de la Défense alors même que les mercenaires du groupe paramilitaire russe figurent parmi les alliés du Kremlin dans son invasion de l'Ukraine.

Source

 

 

 

La Flotte de la mer Noire a repoussé une attaque de drones au large de Sébastopol

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 24 avril 2023

Ce 24 avril au matin, la rade de Sébastopol a été fermée et la navigation du transport maritime a été suspendue suite à une attaque de drones menée dans la nuit de dimanche à lundi.

Les autorités de Sébastopol ont annoncé ce lundi 24 avril la fermeture de la rade et la suspension de la navigation des transbordeurs et ferries dans la baie de la ville.

"Le transport de passagers n’est pas effectué [dans la baie de Sébastopol]", a fait savoir la municipalité, précisant que le trafic entre le centre et le nord de la ville était effectué par des bus.

Plus tôt lundi, le gouverneur de Sébastopol Mikhaïl Razvojaïev a déclaré que dans la nuit les forces de la Flotte de la mer Noire avaient repoussé une attaque de drones de surface.

Tentatives d’attaque

Il a précisé plus tard qu’un drone avait été neutralisé et qu’un autre s’était détruit lui-même dans la rade extérieure. Aucun dégât n’a été causé, mais tous les services municipaux ont été mis en état d'alerte.

Depuis juillet dernier des drones ukrainiens essaient régulièrement d’attaquer Sébastopol, la base principale de la Flotte de la mer Noire, ainsi que d’autres sites en Crimée. La dernière en date a eu lieu le 22 mars. Elle a été repoussée par deux femmes militaires.

Les attaques ukrainiennes ont notamment visé le quartier général de la flotte, des sites énergétiques et des aérodromes militaires.

La plupart des drones ont été détruits par des systèmes antiaériens.

Spoutnik

 

 

 

L’Ukraine désosse des avions que lui envoie l’Europe pour récupérer des pièces

 

 

Plusieurs avions de combat dernièrement livrés à l’Ukraine ne sont pas opérationnels et sont donc démontés pour en extraire des pièces de rechange, rapporte The Economist.

Kiev a une drôle de manière d’utiliser les avions que lui envoient ses alliés. Alors que certains pays de l’Est ont accepté de livrer des MiG-29 à l’Ukraine, celle-ci les désosse pour en tirer des pièces de rechange, affirme The Economist.

"La Pologne et la Slovaquie ont livré environ huit avions MiG-29 ces dernières semaines, mais ceux-ci sont également limités. De nombreux jets ne sont pas en état de vol et sont utilisés comme pièces de rechange. L'Ukraine a besoin d'une nouvelle flotte", souligne ainsi l’hebdomadaire britannique.

Selon le périodique qui se réfère à un document américain récemment divulgué, l’Ukraine a perdu 60 avions de chasse l’an dernier, soit 40% de sa flotte avant le conflit. Les appareils russes sont bien plus nombreux et disposent en outre "d’un meilleur radar et de munitions à plus longue portée", signale encore l’hebdomadaire.

Depuis quelques semaines, Kiev connaît en outre des pénuries de missiles sol-air pour sa défense anti-aérienne, ce qui fragilise sa position, rappelle The Economist. Début avril, des fuites de documents du Pentagone avaient d’ailleurs révélé que ces stocks de missiles pourraient être "complètement réduits" d’ici le 23 mai.

Pas beaucoup d’échos

L’hebdomadaire britannique revient par ailleurs sur les difficultés éprouvées par l’Ukraine à obtenir d’autres avions de ses alliés. Kiev mise notamment sur l’envoi de F-16, mais "certains pilotes militaires ukrainiens expérimentés sont sceptiques quant à la quête du gouvernement", note The Economist.

Plusieurs pays occidentaux semblent voir dans la livraison d’avions opérationnels à Kiev une ligne rouge à ne pas franchir. Le Royaume-Uni a ainsi plusieurs fois refusé de livrer des chasseurs à l’Ukraine. "Nous n'avons pas de p*tains de jets à donner!", s’était même agacé un ministre du gouvernement Sunak en février dernier. Kiev ne recevra des Eurofighter Typhoon qu’après la fin du conflit, avait encore récemment précisé Ben Wallace, ministre britannique de la Défense.

Côté américain, Joe Biden lui aussi avait dit non à la livraison de F-16, fin janvier.

Spoutnik

 
 

 

 

Guerre en Ukraine : L'ancien président russe Dmitri Medvedev menace les "idiots du G7" de mettre fin à l'accord sur l'export de céréales par la mer Noire

 

 

  • Le vice-président du Conseil de sécurité russe fustige les Occidentaux.
    Le vice-président du Conseil de sécurité russe fustige les Occidentaux. Capture d'écran Telegram

L'ancien président et Premier ministre russe Dmitri Medvedev a menacé dimanche de mettre fin à l'accord sur les exportations de céréales à partir des ports de la mer Noire si le G7 décidait de restreindre drastiquement ses exportations vers la Russie.

L'agence de presse japonaise Kyodo, citant des sources gouvernementales nippones, a rapporté cette semaine que les pays du G7 réfléchissaient à une interdiction quasi totale des exportations à destination de la Russie.

Moscou a plusieurs fois menacé de se retirer de l'accord céréalier conclu sous l'égide des Nations unies et de la Turquie en juillet 2022, cinq mois après le début de la guerre en Ukraine, et qui doit expirer le 18 mai.

Le gouvernement russe réclame des Occidentaux qu'ils lèvent leurs restrictions sur les ventes de fertilisants.

"Ils n’ont plus de cerveau du tout, apparemment"

"Cette idée des idiots du G7 à propos d'une interdiction totale des exportations vers notre pays est magnifique par défaut car elle implique une interdiction réciproque des importations à partir de notre pays, y compris pour des catégories de biens qui sont les plus sensibles pour le G7", a déclaré sur Telegram Dmitri Medvedev. "Ils n’ont plus de cerveau du tout, apparemment", lance celui qui occupe désormais le poste de vice-président du Conseil de sécurité russe.

"Dans un tel cas de figure", a-t-il ajouté, "l'accord céréalier - et de nombreuses autres choses dont ils ont besoin - serait terminé pour eux."

Les ministres de l'Agriculture du G7 (Etats-Unis, Japon, Allemagne, France, Royaume-Uni, Canada, Italie) ont appelé dimanche dans un communiqué au renouvellement et à la pleine mise en oeuvre de l'accord qui sécurise l'exportation de céréales ukrainiennes de plusieurs ports de la mer Noire.

Source

 

 

 

Crise dans le Caucase : Nouvelles tensions au Haut-Karabakh entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan après l'installation d'un checkpoint par Bakou

 

  • Le ministère arménien de la Défense a également déclaré qu'un soldat arménien avait été tué.
    Le ministère arménien de la Défense a également déclaré qu'un soldat arménien avait été tué. L'Indépendant

L'Azerbaïdjan a annoncé ce dimanche l'installation d'un point de contrôle sur la seule voie terrestre reliant l'Arménie à l'enclave azerbaïdjanaise du Haut-Karabakh, peuplée à majorité d'Arméniens, ce qui a provoqué de nouvelles tensions entre Bakou et Erevan.

Le ministère azerbaïdjanais des Affaires étrangères a justifié la mise en place de ce checkpoint par la nécessité d'assurer la sécurité du trafic routier dans cette zone, en accusant l'Arménie d'utiliser cette route pour transporter des armes vers la région contestée.

L'Arménie a estimé que ce barrage constituait une violation flagrante de l'accord de cessez-le-feu ayant mis fin au conflit de l'automne 2020 entre les deux pays.

Elle a exhorté la Russie, médiatrice entre les deux camps, de s'assurer, comme le prévoit l'accord, que le corridor de Latchine, seule route reliant l'Arménie au Haut-Karabakh en traversant l'Azerbaïdjan, soit placé sous le contrôle de forces russes de maintien de la paix.

Soldat tué

Le ministère arménien de la Défense a également déclaré qu'un soldat arménien avait été tué dimanche matin par des tirs des forces azerbaïdjanaises à Sotk, un village arménien à l'est du lac Sevan. Bakou a démenti avoir tué un militaire arménien.

L'Azerbaïdjan a de son côté affirmé que des soldats arméniens avaient ouvert le feu sur des unités azerbaïdjanaises en fin de matinée dans le district de Latchine, ce qu'a nié Erevan.

Les Etats-Unis ont exprimé leur préoccupation quant à l'installation du checkpoint, estimant que cela compromettait les efforts de paix dans la région.

"Les États-Unis sont profondément préoccupés par le fait que l'établissement par l'Azerbaïdjan d'un checkpoint sur le corridor de Latchine sape les efforts visant à établir la confiance dans le processus de paix", a déclaré le département d'État américain dans un communiqué ce dimanche.

Le département d'État a appelé à une circulation libre et ouverte des personnes et des marchandises sur ce corridor et a exhorté les parties "à reprendre les pourparlers de paix et à s'abstenir de provocations et d'actions hostiles le long de la frontière".

Source

 

 

 

 

“Wokisme, les conservateurs à l’assaut des minorités” : CNEWS ouvertement accusée sur le plateau de CPol sur France 5 de mener une “guerre culturelle”, interdisant tout débat contradictoire

 
24/04/2023

 

L’émission complète

 

 

Échirolles, Grenoble, Villefontaine (38) : des rodéos sauvages filmés dans des galeries de centres commerciaux (MàJ : Nantes aussi)

 
 
23/04/2023

19/04/2023

Rodéos sauvages dans The Village et Carrefour : plusieurs jeunes interpellés

[…]

 

Le premier, Amine Ben Mohamed, tout juste 20 ans, a été condamné pour deux rodéos ainsi que le non-respect d’une interdiction de séjour sur la commune, à une peine de 10 mois de prison ferme. Un mandat de dépôt a été délivré à la barre à son encontre. Par ailleurs, le tribunal a révoqué une peine de six mois de sursis d’une précédente condamnation. Le second, âgé de 23 ans, a été condamné à 3 mois de sursis et à 800 euros d’amende avec une interdiction de paraître sur la commune pour une durée de trois ans. Un mandat de dépôt a été délivré à la barre à l’encontre de ce dernier.

Pour le rodéo de Villefontaine, seuls deux jeunes ont pu être identifiés. Les autres, équipés de casques, n’ont pu l’être. Défavorablement connus de la justice, ces deux jeunes Villards ont été interpellés samedi après-midi alors qu’un appel à un nouveau rodéo avait été lancé, une fois encore sur les réseaux sociaux, pour le soir même. Déférés ce lundi 17 avril, tous les deux ont été placés en détention provisoire en vue d’une audience de comparution immédiate ce mercredi 19 avril.

Le Dauphiné

 

 

Aubignosc (04) : « Renvoyez-moi en Afghanistan », implore le passeur de migrants sous OQTF de 22 ans, qui a bénéficié d’une formation en tant que mineur isolé à son arrivée en France à 15 ans ; le tribunal n’accède pas à sa demande

 
 
24/04/2023

« Renvoyez-moi en Afghanistan » implorait le prévenu, ressortissant du pays et interpellé le 17 avril dernier par les gendarmes au péage d’Aubignosc après une course-poursuite de plusieurs kilomètres. Dans le box des accusés, le jeune passeur de 22 ans acquiesçait la décision du tribunal judiciaire de ne pas accéder à sa demande. Sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), il a été pris en flagrant délit de transport de clandestins. Arrêtés, les militaires tombaient sur sept passagers dans la Volkswagen Passat. Les forces de l’ordre l’ont pris en chasse depuis la Saulce en apercevant deux têtes qui dépassaient du coffre. Après avoir tenté d’échapper aux militaires en refusant d’obtempérer aux injonctions réglementaires, la voiture a été immobilisée. Deux des sept passagers se sont alors enfuis.

Si la juridiction, présidée par Timothée de Montgolfier, ne rendait pas de jugement, l’avocat du prévenu Me Arnault Chapuis a demandé le report de l’audience pour préparer la défense de son client, l’occasion fut donnée de simplement évoquer la personnalité du jeune homme arrivé en France à l’âge de 15 ans et qui bénéfice d’une formation professionnelle en tant que mineur non accompagné. Le bâtonnier bas-alpin expliquait que son client a travaillé de 2017 à 2022, preuve de son intégration, tout en promettant d’apporter les preuves matérielles de son insertion sociale.

(…)

Le Dauphiné

 

 

Royaume-Uni : un jeune migrant de 17 ans à l’histoire larmoyante, hébergé en centre pour mineurs, était en réalité un ex-combattant de l’État islamique de 42 ans

 
 
23/04/2023

Un ancien combattant de l’État islamique s’est introduit clandestinement en Grande-Bretagne à bord d’un petit bateau en traversant la Manche, en se faisant passer pour un jeune de 17 ans alors qu’il est âgé de 42 ans, révèle le Mail on Sunday.

L’homme serait la personne la plus âgée à se faire passer pour un mineur non accompagné et aurait passé jusqu’à une semaine dans un centre d’hébergement des autorités locales avec d’autres jeunes de moins de 18 ans avant que ses mensonges ne soient découverts.

L’Irakien, dont le seul nom est “AJ”, représente une menace pour la sécurité en raison de ses activités antérieures au sein du groupe terroriste dans son propre pays.

Il est actuellement hébergé dans un hôtel trois étoiles avec d’autres migrants adultes, alors qu’il fait appel d’une décision d’expulsion prise aux frais du contribuable.

[…]

Malgré sa barbe épaisse, ses cheveux dégarnis et ses “nombreux” tatouages sur les bras et le cou, il a demandé l’asile en tant qu’enfant demandeur d’asile non accompagné et a été pris en charge par les autorités locales à Londres.

Mais après que des fonctionnaires soupçonneux eurent vérifié ses empreintes digitales dans une base de données européenne de demandeurs d’asile, sa véritable identité fut révélée et il a été appréhendé.

Le ministère de la justice a appris qu’il avait été appréhendé pour la première fois par les forces de sécurité américaines et britanniques en Iraq en 2006 et qu’il avait été enregistré comme terroriste.

Il est actuellement en liberté conditionnelle sous caution et s’oppose à son expulsion dans le cadre d’une affaire financée par l’aide juridique, affirmant qu’il souffre d’une dépression qui ne peut être traitée que par le service de santé britannique [NHS] et que son expulsion vers l’Iraq constituerait une violation de ses droits de l’homme.

[…]

L’effronterie de ses affirmations était époustouflante. Il a d’abord déclaré qu’il s’était réfugié seul en Grande-Bretagne après que ses parents agriculteurs l’eurent abandonné, mais son histoire avait des trous.

Il n’avait manifestement pas l’âge qu’il prétendait avoir. Certains des tatouages qu’il portait sur les bras étaient là depuis longtemps et avaient commencé à s’estomper. Il portait également une barbe épaisse et avait des rides sur le front et autour des yeux. […]

Une source du ministère de l’Intérieur a déclaré : “Il s’agit d’un autre exemple flagrant de la raison pour laquelle nous devons arrêter les bateaux – nous devons sécuriser nos frontières, sévir contre ce problème et détenir et expulser rapidement les personnes qui viennent ici illégalement”.

Daily Mail

 

 

Début de l’opération « Wuambushu » à Mayotte : une action consistant à remigrer 10.000 migrants clandestins comoriens et à détruire les bidonvilles ; 1.800 policiers et gendarmes mobilisés (MàJ)

 
 
24/04/2023

La compagnie CRS 8 et des policiers du RAID déployés à Mayotte ont amorcé l’opération « Wuambushu », ordonnée par Paris, qui vise à déloger les migrants en situation irrégulière des bidonvilles de l’archipel et de les expulser vers les Comores.

Selon le ministère de l’Intérieur, 1 800 policiers et gendarmes ont été dépêchés sur ce petit archipel de l’océan Indien, pour vider les bidonvilles de leurs occupants illégaux, la plupart des migrants venus des Comores voisines. Selon l’Insee, près de la moitié des 350 000 habitants estimés de Mayotte ne possède pas la nationalité française. Les migrants venus des Comores voisines sont accusés par la population et les élus de déséquilibrer le peu d’infrastructures et de ressources de l’île et de nourrir la délinquance. Plusieurs organisations, dont la Ligue des droits de l’homme, se sont inquiétées

Le Parisien

L’unité de CRS a été dépêchée à Mayotte depuis mercredi pour appuyer les opérations de police contre la délinquance des étrangers en situation irrégulière.

Loin de leur terrain d’intervention urbain de l’Hexagone, les policiers de la CRS8, sous une pluie tropicale qui cogne sur le casque embué par 38°C, scrutent inquiets la jungle mahoraise, leur bouclier brandi vers le «grand vert». Face à eux, de la colline aux bananiers monte un concert de cris de guerre. Simultanément, entre les trombes de pluie de ce dimanche, des pierres ocres et boueuses s’écrasent sur leur colonne. Au sol, les cailloux font la taille d’une main. Dans la forêt, les caillasseurs sont tapis, invisibles.

Lance-grenades Cougar calé sur l’épaule ruisselante, le policier tire en cloche une grenade de gaz lacrymogène vers le sommet de la colline. «Est-ce qu’il y a des blessés chez vous les gars»?, s’inquiète l’un des CRS (de la compagnie républicaine de sécurité 8), en repli derrière la fourgonnette blanche. «T’as vu ce qu’on a en face?», répond son camarade policier. «Là, il faut rentrer dans les bosquets. Si on reste fixes, c’est sûr qu’on va ‘manger’».

(…) Le Figaro

Baptisée « Wuambushu », l’opération « secrète » ne l’est plus : le gouvernement s’apprête à déclencher dans les prochains jours une série d’interventions policières contre la délinquance et l’immigration illégale à Mayotte, en procédant à des expulsions massives d’étrangers en situation irrégulière et à des destructions de bidonvilles.

Révélée fin février par Le Canard enchaîné, l’opération « Wuambushu » – qui peut vouloir dire « reprise » comme « poil à gratter » en mahorais – n’avait jusqu’à présent pas été officialisée par le gouvernement. Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a confirmé vendredi dans une interview au Figaro, puis sur Franceinfo, la tenue d’une opération « au long cours ».

M. Darmanin a démenti un lancement lundi et pour une durée de deux mois, avancé par la presse. « Il n’y a pas un moment où on la commence et un moment où on la termine », a-t-il ajouté, affirmant même que l’opération avait « déjà commencé ». « Il y a 1 800 policiers et gendarmes en ce moment même à Mayotte qui font des opérations de police, qui mettent fin au trafic d’armes, qui mettent fin aux bandes criminelles », a-t-il dit.

Le Monde

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