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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 6 mars 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Zelensky qualifie la bataille pour le Donbass de « douloureuse et difficile »…

 

L’ESSENTIEL

  • Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rendu hommage dimanche à la « bravoure » des soldats qui combattent l’armée russe avec acharnement dans l’est du pays, au moment où ils pourraient être contraints d’abandonner la ville de Bakhmout, devenue l’épicentre d’une guerre totale, et menacée d’encerclement.
  • Le ministère russe de la Défense a affirmé que le ministre Sergueï Choïgou s’était rendu samedi dans un poste de commandement avancé en Ukraine, dans la zone « Donetsk-Sud », sans préciser le lieu exact, ni la date de cette visite. Selon ISW, cette visite visait « visiblement à estimer l’ampleur des pertes autour de Vougledar et la possibilité de poursuivre une offensive dans cette direction ».
  • Le parquet de Kharkiv, dans le nord-est de l’Ukraine, a annoncé ouvrir une enquête pour crime de guerre après la mort d’un couple de civils dans une frappe russe qui a touché leur voiture dimanche dans le village de Boudarky.

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine: Le Royaume-Uni va livrer deux fois plus de chars Challenger 2 que prévu aux troupes de Zelensky

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 6 mars 2023

Les forces armées ukrainiennes devraient recevoir deux fois plus de chars britanniques qu'initialement annoncé.

Alors que des équipages ukrainiens sont déjà en formation sur le sol britannique, l'ambassadeur d'Ukraine au Royaume-Uni assure que le double des chars d'assaut initialement prévus seront finalement livrés aux troupes de Zelensky.

L'armée de sa royale Majesté devrait donc fournir, non pas 14 comme initialement annoncé, mais 28 chars Challenger 2 à Kyiv, explique Vadym Prystaiko à Radio Svoboda.

Ces chars lourds, très attendus par les forces ukrainiennes notamment dans la défense de Bakhmout, sont attendus d'ici la fin du mois de mars.

L'ambassadeur ne précise pas si ces 28 véhicules seront livrés en une fois ou par lots.

Le Challenger 2 est le char de combat principal des forces terrestres britanniques. D'un poids de 62,5 tonnes, il a été construit dans les années 1990 par BAE Systems et mis en service en 1998. Le char a été retiré de la production en 2009.  En 2022, le Royaume-Uni dispose d'environ 230 chars Challenger 2 en service. 

En juin 2014, le Royaume-Uni a lancé une campagne de modernisation de ce char dans le cadre du programme CR2 LEP, Life Extension Programme. D’après l’annonce faite le 22 mars 2021, l’armée britannique recevra 148 chars modernisés sous l’appellation Challenger 3.

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine: Poutine bientôt chassé du pouvoir? Cette contre-offensive ukrainienne décisive qui pourrait tout bouleverser selon un général britannique

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 6 mars 2023

Les conditions semblent de plus en plus réunies pour une contre-offensive ukrainienne d'ampleur avant l'été. De quoi chasser Poutine du Kremlin? Un général britannique le pense.

Ancien chef de l'Etat-Major britannique, le général Lord Richard Dannatt, a estimé, auprès du Guardian, que l'Ukraine serait en mesure de mener une contre-offensive réussie à la fin du printemps ou au début de l'été.

"Il y a toutes les chances que les Ukrainiens puissent monter une contre-offensive réussie… à la fin du printemps, au début de l'été, et à condition que cela soit correctement planifié et mené à bien et que nous continuions à leur donner autant d'équipement et de munitions qu'ils en ont besoin, il y a une chance d'avoir un résultat décisif sur le champ de bataille cette année."

Conséquence de cette contre-offensive ukrainienne décisive, pour Richard Dannatt, Vladimir Poutine sera chassé du pouvoir.

Selon Lord Dannatt, l'Occident n'a, jusqu'ici, pas fait assez pour mettre fin à la guerre. Mais la fourniture de matériel lourd dans les semaines à venir pourrait changer la donne.

Et le Britannique de préciser qu'il n'est pas "le seul à croire que quelques coups décisifs portés à l'armée russe en certains points de ce front très étendu pourraient bien avoir pour effet de briser le moral des soldats et de briser les reins de l'armée russe".

"Vous n'êtes pas obligé de vaincre une armée partout sur le champ de bataille. Vous devez juste convaincre suffisamment de soldats qu'ils ont perdus et quand ils pensent qu'ils ont perdu, ils ont perdu".

Poutine chassé par les généraux russes eux-mêmes?

Si telle prédiction se produit, Lord Dannatt n'a pas de doute sur les conséquences jusqu'au plus haut niveau de l'Etat russe. "J'aime à penser que si la contre-offensive ukrainienne est suffisamment bien planifiée, soutenue et exécutée, Poutine ne sera pas en mesure de prendre trop de décisions en se disant que son armée s'effondre et s'enfuit. Et je pense qu'il est fort probable qu'il soit également chassé du Kremlin".

Et le haut gradé britannique d'assurer que les militaires russes sont les premiers mécontents de la tournure des événements en Ukraine. "Ils ont vu Poutine s'immiscer totalement dans une guerre avec laquelle ils ne sont probablement pas largement d'accord. Ils se rendent compte que leur armement est nettement inférieur à celui de l'Occident. Et c'est en grande partie à cause de la corruption dans le processus d'approvisionnement de la défense russe".

Et Dannatt de parier que le général Gerasimov, le chef de l'état-major général nommé à la tête du commandement général en Ukraine, pourrait "être le seul, s'il pouvait élaborer un plan suffisamment sensé et avoir le courage moral de le mener à bien, à renverser Poutine et à le pousser hors du Kremlin."

Source

 

 

 

L'"enlèvement" d'enfants ukrainiens et autres infox antirusses de l'Occident

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 6 mars 2023

Depuis le début de l'opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine, les médias occidentaux regorgent d'histoires fausses et carrément absurdes sur des crimes présumés commis par les troupes russes. Sputnik résume les fausses nouvelles les plus médiatisées qui ont fait les gros titres de la presse étrangère.

La liste commence par le canular le plus récent sur l'enlèvement d'enfants ukrainiens par la Russie. Cette fausse nouvelle suit le moule de toutes les nouvelles de ce type : une absence totale de preuves et des accusations qui ne reposent sur rien d'autre que des déclarations et des opinions non fondées provenant de Kiev et de ses alliés.

La "rééducation forcée" des enfants ukrainiens: une nouvelle accusation absurde contre la Russie

Les informations sur le sort des enfants ukrainiens qui circulent actuellement dans les médias occidentaux sont fondées sur un rapport publié par un groupe de chercheurs de l'université de Yale dans le cadre d'un programme financé par le département d'État américain. Ce programme a un objectif clairement affiché : "tenir la Russie pour responsable" des crimes que la Maison Blanche lui attribue.

L'étude fait référence à la pratique présumée d'enlèvement d'enfants ukrainiens sous prétexte de les évacuer vers la Russie, et au fait que ces mineurs sont ensuite rééduqués dans certains "camps". L'accent est mis sur le mot "camp" pour évoquer des associations avec les camps de concentration nazis, mais il est peu fait mention du fait qu'il s'agit en fait de camps de vacances d'été, où les enfants sont placés dans de bonnes conditions de confort.

L'étude elle-même précise que ses conclusions sont fondées sur les messages publiés sur les médias sociaux et les déclarations de Kiev. Dans le même temps, de nombreuses publications mentionnées sur Internet ne contenaient aucune accusation contre la Russie, mais étaient simplement interprétées de la manière appropriée par les auteurs de l'"étude".

Par exemple, des vidéos montrant des enfants joyeux accueillis dans le camp ont également été considérées comme des preuves des enlèvements mentionnés, car il semblait aux auteurs du rapport qu'il s'agissait d'un "spectacle bien mis en scène", comme l'a déclaré Caitlin Howarth, directrice opérationnelle du Yale Lab.

Les chercheurs ont également utilisé des images satellites montrant les camps d'été et la présence de personnes sur place. C'est un mystère toutefois que de savoir comment les auteurs du rapport ont pu dire, à partir de ces images, que des enfants y étaient "rééduqués" ou enfermés de force.

On se trouve donc face à une recette classique de fake news par les médias occidentaux : un manque total de preuves, des accusations basées sur les opinions des personnes concernées et une forte emphase sur la partie émotionnelle, qui est l'un des éléments clés indiquant une tentative de manipulation.

 

 

"Massacre de Boutcha"

La ville de Boutcha (région de Kiev) a été le théâtre de l'un des plus retentissants simulacres orchestrés par Kiev pour discréditer l'armée russe. Ce qui s'y est passé a ensuite été présenté dans les médias occidentaux comme le "massacre de Boutcha". L'Ukraine a accusé les troupes russes d'avoir massacré et soumis à des représailles des civils dans la ville, laissant prétendument des montagnes de cadavres dans les rues après leur départ.

En l’occurrence, les accusations ont été plus substantielles que dans l'histoire des prétendus enfants ukrainiens "kidnappés", car, malheureusement, il y a bien eu des victimes. En affirmant qu'il s'agit d'une autre histoire fausse, nous ne voulons pas dire que les cadavres représentés sur les photos et les vidéos sont faux. Ils sont bien réels. "Le massacre de Boutcha" est rendu une farce par les événements qui ont précédé son "dévoilement" et qui ont été presque complètement ignorés par les médias occidentaux.

Après le départ des militaires russes de Boutcha, geste de bonne volonté de Moscou montrant sa volonté de parvenir à un accord de paix avec l'Ukraine, le maire de Boutcha a publié une vidéo qu'il avait filmée dans la ville. Le maire y parle d'une voix joyeuse, se réjouissant du retrait des troupes, mais ne mentionne pas les prétendues "atrocités". Il n'y a pas de corps de morts dans sa vidéo faite dans les rues.

En fait, le maire de Boutcha n'est pas le seul à avoir publié sa vidéo sur les médias sociaux à l'époque : un député local a fait de même. Et, comme on peut s'y attendre, ses images ne montrent aucun corps mort non plus.

Pour un contexte plus complet, il convient de noter que Boutcha, bien que considérée comme une ville, n'est pas une très grande agglomération, et il est inconcevable qu'un maire ait pu l'inspecter et ne voir aucun des corps des morts, qui devaient apparaître plus tard à la une des médias mondiaux.

Après les événements décrits ci-dessus, Boutcha a été soumise à des bombardements massifs et aveugles de l'artillerie ukrainienne pendant deux ou trois jours. Selon des correspondants militaires travaillant dans la zone de conflit, les militaires ukrainiens n'ont tout simplement pas remarqué le retrait des troupes russes et ont continué à bombarder la ville.

Les forces spéciales ukrainiennes ont ensuite été introduites à Boutcha, dans le but déclaré de "nettoyer" la ville des "collaborateurs pro-russes", comme l'ont largement rapporté les médias ukrainiens eux-mêmes. Ce n'est que trois ou quatre jours après le retrait des troupes russes que les autorités ukrainiennes ont réuni les journalistes étrangers et leur ont montré leur mise en scène.

Cependant, de nombreux faits et événements indiquent que les civils de Boutcha ont été tués par l'armée ukrainienne elle-même, soit accidentellement, soit délibérément (en tant que "collaborateurs pro-russes").

En outre, même plusieurs mois après le "massacre de Boutcha", les autorités ukrainiennes n'ont pas fourni de rapports médico-légaux détaillés et vérifiés révélant les dates et les causes de la mort des civils. Néanmoins, de telles informations sont apparues dans le journal britannique The Guardian. Dans l'un de ses articles, il était affirmé que des dizaines de civils étaient morts des suites de blessures causées par des fléchettes.

Il s'agit de petites fléchettes métalliques que l'on trouve en grande quantité dans certains types d'obus d'artillerie. Comme on pouvait s’y attendre, les médias britanniques n'ont pas attendu longtemps avant d'accuser les troupes russes d'être responsables du bombardement en question. Néanmoins, l'expérience historique peut encore venir à la rescousse.

Le fait est que ce type particulier d'obus est utilisé par les forces ukrainiennes contre la population du Donbass depuis plusieurs années, ce qui suggère que le bombardement de Boutcha avec ce type de munitions n’aurait pas été inhabituel pour elles. En outre, cela correspond aux rapports des correspondants de guerre selon lesquels la partie ukrainienne a bombardé la ville après le retrait des troupes russes.

Comme nous pouvons le constater, toutes les affirmations de Kiev concernant Boutcha s'effondrent face aux faits, aux preuves (et au bon sens), et c'est peut-être pour cela que les conséquences de ce crime de guerre commis par l'armée ukrainienne ont progressivement cessé d'être couvertes par les médias occidentaux.

 

Attaque au missile sur Kramatorsk

Le 8 avril 2022, une autre tragédie s'est produite. Un missile balistique tactique a frappé la gare de Kramatorsk (une ville du Donbass toujours sous le contrôle de Kiev), tuant plus de 50 personnes et blessant des dizaines d'autres. Toutes ces personnes se trouvaient à la gare et attendaient l'arrivée d'un train d'évacuation.

Il n'est pas surprenant que le gouvernement ukrainien et les médias occidentaux aient immédiatement accusé la Russie d'être responsable de l'attaque. Cependant, des preuves, dont certaines ont été fournies par les médias occidentaux eux-mêmes, montrent que le missile a en fait été lancé par l'armée ukrainienne.

Tout d'abord, les images qu'ils ont publiées montrent sans aucun doute qu'il s'agissait d'un Tochka-U: un missile balistique tactique largement utilisé par l'armée ukrainienne dans le conflit, et ces systèmes ont également été activement utilisés pendant la soi-disant "opération anti-terroriste" de Kiev dans l'est de l'Ukraine. On pouvait même voir le numéro de série du missile, indiquant son origine ukrainienne.

Certes, la Russie avait également eu ces missiles en service. Cependant, ils ont été retirés du service car leurs caractéristiques sont inférieures à celles de l'Iskander-M. En outre, des éléments du missile trouvés sur le site ont montré de quelle direction il avait été lancé, et les calculs ont montré que le site de lancement se trouvait dans une zone contrôlée par l'armée ukrainienne.

En fait, même en faisant abstraction de ces informations, il suffisait de regarder les territoires contrôlés par les forces russes pour comprendre que la portée du missile ne lui aurait pas permis d'atteindre Kramatorsk s'il avait été lancé depuis un territoire contrôlé par l'armée russe.

L'argument que l'on a voulu présenter comme preuve de l'utilisation par la Russie de missiles Tochka-U dans le conflit est le déplacement de camions BAZ-5921 de l'armée russe dans la zone de combat, filmé sur vidéo. Toutefois, il s'agit de camions polyvalents, qui sont utilisés à diverses fins, et pas seulement comme lanceurs de missiles Tochka-U.

Enfin, l'utilisation de missiles Tochka-U par l'armée russe n'a jamais été enregistrée, ni avant ni après la tragédie de Kramatorsk, alors que les forces armées ukrainiennes ont régulièrement tiré ces missiles sur des villes hors du contrôle ukrainien dans le Donbass.

Il est presque impossible d'établir si le missile a été lancé délibérément pour mettre en scène une attaque sous faux drapeau ou s'il s'agit d'un accident tragique, mais une chose est sûre et certaine : le missile a été lancé par l'armée ukrainienne.

Mais toutes ces preuves n'ont pas suffi aux médias occidentaux qui, jusqu'à aujourd'hui, continuent de rendre la Russie responsable de cette tragédie.

 

 

Viols collectifs commis par les militaires

Les autorités ukrainiennes accusent depuis longtemps les soldats russes de viols collectifs, qui seraient particulièrement cruels et pervers. L'auteur de ces accusations est la médiatrice pour les droits Humains de la Verkhovna Rada d'Ukraine, Lioudmyla Denissova.

Parmi les cas qu'elle a relatés figurent le viol d'un nourrisson de quelques mois seulement et le viol collectif d'hommes et de femmes de 80 ans. De plus, aucun des crimes que Denissova a publiquement allégués n'a jamais fait l'objet d'une enquête de la part des autorités ukrainiennes, car aucune preuve n'a pu être trouvée, ni les victimes elles-mêmes.

Après un certain temps, la fonctionnaire a été limogée par le gouvernement ukrainien et il s'est avéré que toutes ses accusations avaient été littéralement inventées de toutes pièces : l'enquête a révélé qu'il n'y avait même pas d'appels téléphoniques cités par Denissova comme source de ses documents.

Par la suite, l'ancienne fonctionnaire a elle-même admis, lors d'une conversation téléphonique avec les farceurs russes Lexus et Vovan, que tous ses propos avaient été une invention qu'elle diffusait sur l'ordre du gouvernement de Zelenski.

La représentante spéciale de l'Onu, Pramila Patten, a diffusé des informations similaires, affirmant que la stratégie militaire russe prévoyait des viols massifs et que les soldats russes recevaient même du Viagra dans ce but précis.

Quelque temps plus tard, les mêmes farceurs Lexus et Vovan ont réussi à contacter Patten, qui a indiqué qu'elle n'avait en fait aucune preuve pour porter de telles accusations : toutes ses déclarations étaient uniquement fondées sur ce que des fonctionnaires ukrainiens lui avaient dit lors de leur visite aux États-Unis. Patten a simplement fait passer leurs propos pour des faits établis.

"Mon rôle n'est pas d'enquêter, je n'ai aucune autorité pour le faire. Mon rôle est d'être dans le bureau de New York et j'ai l'autorité pour protéger les intérêts", a déclaré la fonctionnaire lors de sa conversation avec les farceurs.

À son tour, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré qu'il était difficile de commenter des déclarations qui dépassent la raison et reposent sur des informations non confirmées, comme l'a reconnu Mme Patten elle-même. Mais il avait été important de diffuser cette nouvelle plutôt que de la confirmer, car un certain nombre de médias occidentaux ont volontiers diffusé la fausse histoire sans se soucier du manque de sources d'information.

 

Missiles ukrainiens en Pologne

Le 15 novembre 2022, l'un des missiles de défense aérienne ukrainiens a touché la Pologne, tuant deux agriculteurs.

Traditionnellement, sachant que le missile appartenait en réalité à Kiev, le gouvernement ukrainien a prétendu qu'il était russe et que la Russie aurait commis un acte d'agression contre la Pologne. De toute évidence, l'objectif était de profiter de sa propre erreur pour entraîner la Pologne et même l'Otan dans le conflit.

Cependant, la Pologne et les États-Unis ont clairement indiqué qu'ils savaient que c'était un missile ukrainien S-300 qui avait dévié de sa trajectoire. Malgré cela, Vladimir Zelenski a continué à affirmer qu'il s'agissait d'un missile russe.

Les faits parlent d'eux-mêmes: la Russie n'utilise pas de missiles anti-aériens pour frapper des cibles au sol. Même en l'imaginant de manière hypothétique, il est physiquement impossible qu'un de ces missiles ait pu atteindre la Pologne depuis les territoires contrôlés par les troupes russes.

Étonnamment, les médias occidentaux n'ont pas blâmé la Russie aussi péremptoirement qu'ils le font habituellement, et certains médias européens ont même désigné Zelenski comme l'instigateur du conflit.

Toutefois, les propos du secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, ont confirmé la position bien établie : "ce n'est pas la faute de l'Ukraine" et "la responsabilité finale incombe à la Russie".

 

Le bombardement de la centrale nucléaire de Zaporojié

Depuis que les troupes russes ont pris le contrôle des installations de la plus grande centrale nucléaire d'Europe, les rumeurs de leur bombardement prétendument effectué par la Fédération de Russie n'ont cessé d'apparaître dans les médias occidentaux.

Pendant des mois, l'armée ukrainienne a bombardé les installations de la centrale, y compris les dépôts de combustible nucléaire usé, mais ce fait n'a jamais été mentionné dans les médias occidentaux. Au mieux, ils se sont fait l'écho de la rhétorique absurde de Kiev : l'armée russe se bombarde dans une centrale nucléaire sur un territoire qu'elle contrôle.

En fait, il s'agit d'une distorsion du bon sens et de la logique que les médias occidentaux utilisent pour tout ce qui concerne la Russie : selon leur version absurde, Moscou aurait fait sauter ses propres gazoducs Nord Stream, les habitants du Donbass se seraient bombardés pendant des années, etc.

Malheureusement, même la visite d'une délégation de l'AIEA dirigée par son directeur général Rafael Grossi n'a pas réussi à mettre fin à ces bombardements. L'organisation s'est contentée de confirmer le fait que la centrale nucléaire était régulièrement bombardée, mais a refusé de préciser de quelle direction provenaient les obus. Or, il est facile de le déterminer afin d'identifier l'auteur de ces attaques.

Même face à la menace de l'une des plus grandes catastrophes d'origine humaine de l'histoire du continent, les médias occidentaux continuent de diffuser les accusations en provenance de Kiev, qui, très souvent, manquent non seulement de preuves et de justification, mais aussi du plus élémentaire bon sens.

Spoutnik

 

 

 

Royaume-Uni : demander l’asile sera bientôt impossible pour les migrants traversant illégalement la Manche (MàJ)

05/03/23

Le gouvernement britannique souhaite rendre irrecevables les demandes d’asile des migrants qui ont traversé la Manche illégalement pour rejoindre le Royaume-Uni.

Le gouvernement britannique veut empêcher les migrants qui ont traversé la Manche d’effectuer une demande d’asile au Royaume-Uni. A cet effet, le Premier ministre Rishi Sunak et la ministre de l’Intérieur, Suella Braverman, présenteront la semaine prochaine leur plan pour rendre irrecevables les demandes d’asile des migrants traversant la Manche illégalement pour rejoindre le Royaume-Uni. Ces derniers ne pourront plus déposer de demande d’asile et une fois expulsés, ils seront interdits de séjour outre-Manche, rapporte le Daily Mail ce samedi 4 mars.

Le Gouvernement conservateur a fait de la question de l’immigration une priorité depuis le Brexit et dit vouloir réduire fortement le nombre de migrants que le pays prend en charge. En octobre dernier, Suella Braverman avait affirmé qu’il y avait « trop de demandeurs d’asile qui abusent du système » et qui ne servent pas « les besoins de l’économie ».

Suella Braverman a confirmé que les autorités britanniques expulseront « dès que possible » tous les migrants arrivés au Royaume-Uni par la Manche. Ils seront transférés au Rwanda ou dans un autre « pays tiers sûr ».

(…) Valeurs


04/10/22

BIRMINGHAM, Angleterre (Reuters) – La ministre britannique de l’Intérieur, Suella Braverman, va proposer mardi de durcir la législation pour interdire aux migrants qui traversent illégalement la Manche de demander l’asile au Royaume-Uni et faciliter leur expulsion, a-t-on appris de source gouvernementale.

La secrétaire au Home Office va faire ces propositions lors de la conférence annuelle du Parti conservateur, alors que la Première ministre Liz Truss est sous pression pour répondre à l’augmentation du nombre de personnes qui traversent la Manche, malgré l’accord conclu par le gouvernement de Boris Johnson avec le Rwanda pour les expulser.

Plus de 30.000 migrants ont rallié les côtes britanniques depuis le début de l’année, soit davantage qu’en 2021 qui avait pourtant été une année record.

Suella Braverman, née de parents d’origine indienne arrivés au Royaume-Uni du Kenya et de l’île Maurice dans les années 1960, va souligner devant les délégués conservateurs que le Royaume-Uni “continuera de tendre une main amicale à ceux qui en ont vraiment besoin”, selon des extraits de son discours.

“Une partie du système (d’asile) ne fonctionne pas”, va-t-elle cependant ajouter. “Nous devons mettre fin aux abus et réduire le nombre (de migrants) qui ne répondent pas aux besoins de notre économie.”

La ministre de l’Intérieur va demander au Parlement de lui octroyer pour cela de nouveaux pouvoirs, qui reviendront à interdire à quiconque entre illégalement au Royaume-Uni de demander à y bénéficier du statut de réfugié, a dit la source gouvernementale.

(…) Boursier.com

 

 

Montluçon (03) : deux policiers en civil roués de coups dans le centre-ville par 4 “jeunes”

Deux policiers, qui n’étaient pas en service, ont été pris à partie par quatre jeunes, dans la nuit du jeudi 2 au vendredi 3 mars, à Montluçon (Allier). Ces derniers seront poursuivis pour violences en réunion, mercredi 8 mars, devant le tribunal correctionnel.

Deux fonctionnaires de police, qui étaient en civil, ont été agressés dans la nuit du jeudi 2 au vendredi 3 mars 2023, dans le centre-ville de Montluçon (Allier). Les faits se seraient déroulés aux alentours d’une heure du matin dans le secteur de la place Piquand. Les deux policiers, qui n’étaient pas en service, auraient été reconnus par quatre jeunes gens qui sortaient d’une soirée dans un bar du vieux Montluçon.

En état d’ébriété, les quatre individus, qui habitent dans la région de Montluçon, auraient frappé à plusieurs reprises les représentants des forces de l’ordre. Les coups portés ont occasionné une incapacité temporaire totale (ITT) de deux jours pour chacune des deux victimes.

(…)

La Montagne

 

 

Rixes dans les cinémas pour « Creed III » : Ivry-sur-Seine, Saint Etienne, Thionville, Charleville-Mézières, Saint-Raphaël (Màj : des cinémas de Dreux, Cluses et Annemasse annonce l’arrêt des projections du film)

 

 

06/03/2023


Via un communiqué de la direction sur les réseaux sociaux, le cinéma Studio 6 à Annemasse annonce la fin des diffusions du film Creed III sorti en salles mercredi 1er mars. “À partir de ce samedi soir (4 mars) nous arrêtons les projections du film Creed III. Il n’y a plus de séances de ce film au cinéma Studio 6 à Annemasse. Trop de problèmes en séance, pas de respect de son voisin. Et impossible pour nous de nous faire respecter. C’est décevant mais c’est le malheureux constat de la situation. Les remboursements des places réservées sur internet sont en cours. Et pour les personnes ayant acheté leur place au cinéma, il est possible de venir se faire rembourser”.

Pour les mêmes raisons, ce film ne sera plus diffusé au cinéma à Cluses mais il reste pour l’instant à l’affiche dans d’autres cinémas avec parfois des remous.

[…]

 

Le Dauphiné



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