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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 3 mars 2023

 

La Chine exige que les États-Unis cessent tout contact militaire avec Taïwan (ministère de la Défense)

 

BEIJING (Spoutnik) - La Chine exige que les États-Unis mettent fin à tous les contacts militaires avec Taïwan et arrêtent les ventes d'armes à l'île, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère chinois de la Défense, Tan Kefei.

"La Chine exige que les Etats-Unis cessent de vendre des armes à Taïwan et des contacts militaires avec Taipei, cessent de s'ingérer dans la question de Taïwan et aggravent les tensions dans le détroit de Taïwan", a déclaré Tan.

Pékin a également fait une représentation auprès de Washington sur l'approbation d'un éventuel accord de vente de munitions taïwanaises pour des avions de combat F-16 fabriqués aux États-Unis et d'équipements d'une valeur de plus de 600 millions de dollars, a ajouté le responsable.

Vers une guerre de religion, infos du 3 mars 2023

"La Chine s'oppose fermement à la vente d'armes à Taïwan par les États-Unis. Les actions américaines constituent une ingérence flagrante dans les affaires intérieures de la Chine, violent gravement le principe d'"une seule Chine" et les dispositions des trois communiqués conjoints américano-chinois, causent de graves dommages à la Chine. intérêts de souveraineté et de sécurité, et constituent une menace sérieuse pour la paix et la stabilité dans le détroit de Taiwan », a déclaré M. Tan, ajoutant que la Chine avait déjà fait une démarche auprès de la partie américaine sur cette question.

L'armée chinoise est toujours prête à sauvegarder sa souveraineté nationale et son intégrité territoriale, a conclu le responsable.

Plus tôt dans la semaine, l'Agence de coopération en matière de sécurité et de défense (DSCA) du Pentagone a déclaré que le département d'État américain avait accordé une approbation préliminaire pour une vente de 619 millions de dollars de munitions F-16 et d'équipements connexes à Taïwan.

Spoutnik

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : La ville de Bakhmout est « pratiquement encerclée », selon le patron de Wagner...

 

L’ESSENTIEL

  • Le président russe Vladimir Poutine a dénoncé jeudi une attaque « terroriste » après que Moscou a fait état d’une incursion de « saboteurs » ukrainiens dans une région du sud-ouest de la Russie frontalière de l’Ukraine, ce que Kiev a démenti.
  • L’Ukraine a ordonné jeudi aux personnes vulnérables d’évacuer la ville de Koupiansk, sur le front nord-est, qui risque d’être prise par les forces russes, a annoncé l’administration militaire.
  • Les Etats-Unis vont annoncer vendredi une nouvelle aide à l’Ukraine, consistant surtout en munitions, a fait savoir jeudi la Maison-Blanche, sans donner de détails. « Elle comprendra surtout des munitions pour les systèmes que les Ukrainiens ont déjà », a expliqué John Kirby, porte-parole de l’exécutif américain, lors d’un point presse, citant notamment les systèmes de lance-roquettes Himars.

 

13h00 : La condamnation de Bialiatski en Biélorussie est « scandaleuse », affirme Varsovie

Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a qualifié de « scandaleuse » la condamnation vendredi à dix ans de prison du militant biélorusse Ales Bialiatski, colauréat du prix Nobel de la paix 2022, par un tribunal de Minsk. « Cette condamnation aujourd’hui est une nouvelle décision scandaleuse d’un tribunal biélorusse », a déclaré Mateusz Morawiecki, sur son compte Facebook.

« Les autorités (biélorusses) ont à plusieurs reprises tenté de le faire taire mais Ales Bialiatski n’a jamais cédé d’un pouce dans sa lutte en faveur des droits humains et de la démocratie en Biélorussie », a-t-il affirmé, tout en rappelant les deux autres militants condamnés en même temps, Valentin Stefanovitch et Vladimir Labkovitch, à des peines de 9 et de sept ans de prison. Ce lourd verdict s’inscrit dans une nouvelle série de procès visant militants, journalistes et opposants, réprimés implacablement depuis le mouvement de protestations de l’été 2020, déclenchées après la réélection controversée du président Alexandre Loukachenko.

 

11h33 : La Russie va « prendre des mesures » pour empêcher des incursions ukrainiennes

La Russie va « prendre des mesures » pour empêcher des incursions ukrainiennes, après que les autorités russes ont rapporté la veille une « infiltration » de « saboteurs » ukrainiens dans une région russe frontalière de l’Ukraine, a déclaré vendredi le Kremlin. « Des conclusions seront tirées à l’issue de l’enquête » sur cette incursion présumée jeudi dans la région de Briansk, a indiqué à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

Les autorités vont « prendre des mesures pour empêcher de tels événements à l’avenir », a-t-il souligné. Les services russes de sécurité (FSB, héritier du KGB) ont annoncé jeudi avoir repoussé vers l’Ukraine des « saboteurs » ukrainiens infiltrés dans la région de Briansk (sud-ouest de la Russie) et qui ont ouvert le feu sur une voiture en tuant deux civils et blessant un enfant, selon Moscou.

Kiev a démenti toute incursion et accusé les autorités russes de « provocation » visant à justifier leur offensive militaire contre l’Ukraine.

 

11h07 : De nouvelles armes à l’Ukraine ne feront que prolonger le conflit, avertit le Kremlin

De nouvelles livraisons d’armes occidentales ne feront que « prolonger » le conflit en Ukraine, a mis en garde vendredi le Kremlin, avant une rencontre à Washington entre le président américain Joe Biden et le chancelier allemand Olaf Sholz.

« Nous notons que les Etats-Unis poursuivent leur politique visant à augmenter les livraisons d’armes à l’Ukraine et à persuader leurs protégés de faire de même », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. De telles livraisons « vont prolonger ce conflit, avec de tristes conséquences pour le peuple ukrainien », a-t-il ajouté.

 

10h14 : Wagner appelle les forces ukrainiennes à se retirer de Bakhmout

Evguéni Prigojine, le patron de Wagner, dont les hommes sont en première ligne dans cette bataille, a appelé le président ukrainien Volodymyr Zelensky à ordonner aux troupes ukrainiennes de se retirer de la ville, aujourd’hui en grande partie détruite et où les deux camps ont subi de lourdes pertes.

« Si avant nous faisions face à une armée ukrainienne professionnelle, qui combattait contre nous, aujourd’hui nous voyons de plus en plus de personnes âgées et d’enfants. Ils se battent, mais leur vie à Bakhmout est courte, un jour ou deux », a lancé Evguéni Prigojine. « Donnez-leur une chance de quitter la ville, elle est pratiquement encerclée », a-t-il ajouté.

 

 

09h26 : La ville de Bakhmout est « pratiquement encerclée », selon le patron de Wagner

La ville de Bakhmout, épicentre des combats dans l’est de l’Ukraine, est « pratiquement encerclée » par les forces russes, a affirmé vendredi le patron du groupe paramilitaire Wagner. « Les unités de Wagner ont pratiquement encerclé Bakhmout, il ne reste plus qu’une seule route » pour en sortir, a déclaré Evguéni Prigojine dans une vidéo publiée sur Telegram par son service de presse.

 

 

07h45 : Une livraison d’armes chinoises à la Russie « reste sur la table », selon Washington

Les Etats-Unis n’ont « pas d’indication que (la Chine) ait pris la décision » de fournir des armes à la Russie, mais cette éventualité « reste sur la table », a dit jeudi un porte-parole de la Maison-Blanche.

« Nous pensons que cette décision ne serait pas dans l’intérêt de la Chine et de sa réputation internationale, à laquelle elle attache beaucoup de prix », a dit John Kirby, porte-parole de l’exécutif américain pour les questions de sécurité nationale, lors d’un point presse à la Maison-Blanche. « Nous avons fait part aux Chinois de notre préoccupation », a-t-il ajouté.

 

07h24 : Signal à Pékin

Les Etats-Unis accusent aussi la Chine d’envisager la livraison d’armes à la Russie pour l’aider dans son offensive contre l’Ukraine, ce que dément Pékin. Une crainte également exprimée par Olaf Scholz : « Ne fournissez pas d’armes à l’agresseur russe ! », a-t-il lancé jeudi à la tribune du Bundestag. La rencontre entre les deux dirigeants offre ainsi « une occasion précieuse d’envoyer un signal clair et persuasif à la Chine », résume Jeffrey Rathke, président de l'Institut d'études allemandes contemporaines de l'Université Johns Hopkins à Washington.

DIRECT

 

 

 

 

G20 : Moscou et Pékin s’en prennent aux pays occidentaux

 

Le 2 mars 2023

Le chef de la diplomatie russe a fustigé le « comportement obscène d’une série de délégations occidentales, qui ont transformé le travail sur l’agenda du G20 en une farce »

Pékin et Moscou main dans la main. Ils ont accusé jeudi au G20 les pays occidentaux d’avoir recours au « chantage » et aux « menaces » pour imposer leurs vues, au moment où le G20 se retrouve en Inde divisé par la guerre en Ukraine.

L’Inde, qui préside cette année le Groupe des Vingt, entretient une amitié de longue date avec la Russie et n’a pas condamné l’invasion de l’Ukraine. New Delhi est par ailleurs un important client de Moscou dans le domaine militaire et a accru depuis un an ses importations de pétrole russe, à rebours des pays occidentaux.

Divisions au G20

Signe des divisions au sein du G20, le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a prévenu qu’il ne prévoyait pas de rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov à une réunion des ministres des Affaires étrangères.

En marge de cette réunion, Sergueï Lavrov s’est entretenu avec son homologue chinois Qin Gang, dont le pays entretient des liens étroits avec Moscou. Ils ont « unanimement rejeté les tentatives d’ingérence dans les affaires internes d’autres pays, d’imposer des approches unilatérales par le chantage et les menaces », selon un communiqué de la diplomatie russe. Devant ses homologues du G20, le chef de la diplomatie russe a fustigé le « comportement obscène d’une série de délégations occidentales, qui ont transformé le travail sur l’agenda du G20 en une farce », d’après l’agence publique russe TASS.

L’Inde souhaite que sa présidence du G20 cette année se concentre sur des questions telles que la réduction de la pauvreté et le réchauffement climatique. Mais la guerre en Ukraine a jusqu’à présent éclipsé les autres points de l’ordre du jour.

Source

 

Note:  avec les Américains, il n'a aucune diplomatie, c'est menace et chantage, et avec ces méthodes ils se font haïr dans le monde entier. Je suis de plus en plus convaincu, que l'Inde regoindra, la chine et la Russie  (et les Orientaux)  dans cette future guerre

 

 

 

 

Le rapprochement entre la Russie et la Chine inquiète les États-Unis

 

Vers une guerre de religion, infos du 3 mars 2023

On entend de plus en plus aux États-Unis que la Chine songerait à l’éventualité de livrer des drones de combat à la Russie ainsi que des munitions pour les armes d’infanterie et d’artillerie. Dans ce contexte, Washington appelait à décréter des sanctions contre Pékin. 

Les discussions sur les restrictions visant la Chine ont commencé après que l’armée de l’air américaine a abattu un ballon chinois qui avait traversé pratiquement tout le territoire américain. Pour l’instant, les États-Unis se sont contentés d’adopter des sanctions contre plusieurs compagnies chinoises et un institut de recherche. 

Mais le 28 février déjà, le secrétaire d’État américain Antony Blinken a déclaré que Washington pourrait élargir les sanctions contre les entreprises et les personnes physiques chinoises qui soutiennent la Russie. Il s’agit d’un avertissement pour les entreprises et l’État chinois : réfléchissez si vous voulez vraiment coopérer avec la Russie. De plus, cette déclaration était également adressée au public intérieur afin de montrer la capacité de l’administration Biden de réagir aux différentes démarches de Pékin. 

Ces actions de l’establishment américain visent plusieurs objectifs à la fois. Premièrement, empêcher les livraisons de Chine en Russie. Deuxièmement, faire pression sur son principal concurrent sur la scène internationale, qu’est la Chine, infliger un préjudice économique et empêcher à terme d’apporter la moindre assistance à la Russie, et pas seulement militaire. Troisièmement, créer les conditions empêchant les relations sino-russes de se développer. 

La même initiative avait été avancée par l’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger. Dans la seconde moitié des années 1960, sa diplomatie de la navette avait permis aux Américains d’améliorer les relations avec la Chine et même la retourner contre Moscou jusqu’à la fin des années 1980. Le succès de Kissinger n’était pas dû seulement à son approche du changement des relations avec Pékin, mais également au fait que la Russie et la Chine avaient à l’époque déjà des divergences idéologiques et politiques. 

Le président de l’URSS Mikhaïl Gorbatchev a réussi à améliorer les relations entre l’Union soviétique et la Chine. De plus, à la fin des années 1990, au vu des évènements sur le territoire de l’ex-Yougoslavie, la Russie a compris que les pays occidentaux n’étaient pas prêts à être autant amis que Moscou le voudrait. Puis des tournants se sont produits en 2001 : Moscou et Pékin ont signé un accord de bon voisinage, d’amitié et de coopération et ont créé l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS). 

Un tel renforcement des relations entre Moscou et Pékin ne convient pas à Washington. Avant tout parce qu’il cherche à empêcher l’apparition d’une force équivalente à lui sur la scène internationale. Pour cela les États-Unis pourraient proposer à la Russie différentes préférences qui permettraient de laisser la Russie dans la zone d’influence de l’Occident. Ainsi, l’Amérique pourrait plus facilement contenir la puissance grandissante de Pékin. Mais les actions américaines dans l’espace postsoviétique, l’expansion de l’OTAN et la pression économique ne faisaient que pousser Moscou vers Pékin. 

La nécessité de semer la discorde entre la Russie et la Chine était également promue par l’ancien président Donald Trump. C’est pourquoi les États-Unis poursuivent la même ligne: ils menacent de sanctions, encerclent la Russie et la Chine par un environnement hostile pour eux.  Par exemple, les alliances Aukus et Quad visent à faire face à la Chine en Asie et en Océanie. Tandis que l’Otan tente de contenir la Russie. De plus, les États-Unis sont actifs dans l’espace postsoviétique. C’est notamment la raison de la tournée du secrétaire d’État américain Antony Blinken en Asie centrale, qui a commencé le 28 février.  

Néanmoins, il sera difficile de diviser Moscou et Pékin. Le niveau d’interaction dans différents domaines entre les deux pays est extrêmement élevé. Deuxièmement, ils ont de nombreux intérêts communs en politique étrangère. En outre, la Russie et la Chine savent contourner et régler les problèmes difficiles. Ils se considèrent comme des partenaires ayant un haut niveau de confiance et de respect mutuel établi depuis plusieurs dizaines d’années. 

Quant aux nouvelles sanctions américaines contre la Chine, il est difficile de faire des prévisions. Les évènements depuis un mois indiquent que les États-Unis s’apprêtent à décréter encore plus de restrictions contre la Chine. Sachant que même le coronavirus pourrait servir de prétexte supplémentaire. Le 1er mars, le FBI a déclaré que la version la plus plausible d’apparition de la pandémie était une fuite de Covid-19 d’un laboratoire biologique à Wuhan. 

Toutefois, on ignore pour l’instant si Washington veut seulement intimider la Chine ou s’il est réellement prêt à une confrontation économique avec son principal concurrent.

source : Observateur Continental

 

 

 

 

Lavrov : la Russie ne permettra pas à l'Occident de faire sauter d'autres gazoducs

Vers une guerre de religion, infos du 3 mars 2023

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov s'est exprimé lors du forum international Raisina Dialogue à New Delhi, où il est arrivé plus tôt pour participer au conseil ministériel du G20 et tenir des entretiens bilatéraux avec le ministre indien des Affaires étrangères Subrahmanyam Jaishankar.

La Russie ne permettra plus aux pays occidentaux de faire sauter des gazoducs , a déclaré vendredi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

Moscou s'appuiera sur des partenaires fiables tels que la Chine et l'Inde dans sa politique énergétique, a-t-il ajouté, s'exprimant lors du forum Raisina Dialogue à New Delhi.

« La guerre à laquelle nous essayons de mettre fin, et qui a été déclenchée contre nous en utilisant le peuple ukrainien, a bien sûr eu un impact sur la politique russe, y compris sa politique énergétique. En bref, ce qui a changé, c'est que nous ne dépendrons plus d'aucun partenaire occidental", a déclaré Lavrov.

Lorsqu'on lui a demandé comment le conflit en Ukraine avait influencé la politique énergétique de la Russie, le ministre russe des Affaires étrangères a répondu :

"La politique énergétique de la Russie sera désormais orientée vers des partenaires fiables, ceux en qui on peut avoir confiance. L'Inde et la Chine, bien sûr, en font partie."

Auparavant, le ministre des Affaires étrangères avait exprimé le "choc" de la Russie face à l'absence de sanctions pour ceux qui avaient lancé l'attaque du Nord Stream, réitéré l'insistance de Moscou sur une "enquête juste et rapide " et promis que la Russie n'autoriserait pas une enquête sur les attentats terroristes. sur les pipelines Nord Stream à balayer sous le tapis.

"Vous vous souvenez comment l'Occident a réagi à l'enquête sur Nord Stream publiée par Seymour Hersh - leur réaction nerveuse. Ils ont commencé à dire que c'était un non-sens et qu'ils n'allaient même pas en discuter. Je pense que tout est clair. Mais nous ferons notre mieux pour mener à bien cette enquête", a déclaré le chef de la diplomatie russe à Sputnik lors d'une conférence de presse à l'issue de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G20 à New Delhi, en Inde, le 2 mars.

Les gazoducs Nord Stream 1 et 2 ont été construits par des sociétés énergétiques russes et européennes pour acheminer jusqu'à 110 milliards de mètres cubes de gaz par an de la Russie vers l'Europe le long du fond de la mer Baltique. Cependant, des sections de l'infrastructure ont été frappées lors d'une attaque terroriste coordonnée le 26 septembre 2022.

Un mois après les explosions, des responsables russes ont accusé les "Anglo-Saxons" d'être responsables, l'armée russe soupçonnant la Royal Navy britannique. En février, le journaliste d'investigation Seymour Hersh a décrit l'opération en détail dans un article explosif de Substack, pointant du doigt les militaires américains et norvégiens pour l'opération clandestine. Les responsables occidentaux ont rapidement rejeté les reportages de Hersh, tandis que la plupart des grands médias occidentaux ont emboîté le pas.

Spoutnik

 

 

 

 

Moscou s’interroge sur la complicité de l’Otan dans l’attentat de saboteurs ukrainiens en Russie

 

Du fait que l’attentat de saboteurs ukrainiens dans la région russe de Briansk ait été commis avec des armes de l’Otan, Moscou se pose la question de l’éventuelle complicité de l’Alliance. Celle-ci vise à détruire la Russie par la livraison d’armes à l’Ukraine, laquelle se transforme en terrain d'exercice pour les armes modernes otaniennes.

L’attentat de saboteurs ukrainiens en Russie a été commis avec des armes de l’Otan, a déclaré ce 3 mars le ministère russe des Affaires étrangères.

De ce fait, Moscou se demande si la question d’une éventuelle complicité des membres de l’Alliance dans ce crime et de leur financement du terrorisme se pose.

Cette attaque est considérée comme "un acte terroriste fermement condamné", lequel "ne restera pas impuni", a noté l’instance dans un communiqué.

Vers une guerre de religion, infos du 3 mars 2023

À ce sujet, le ministère indique que "Washington et ses alliés de l’Otan continuent de mettre progressivement en action leurs projets géopolitiques de destruction de la Russie. Pour cela, ils gonflent l’Ukraine avec des armes de manière de plus en plus active".

En outre, ils forment des militaires ukrainiens et aident à définir les cibles et à les viser, souligne Moscou.

"Livrant leurs armes de haute technologie à l’Ukraine, les États-Unis et d’autres pays de l’Otan la transforment en leur laboratoire personnel et en un terrain d’entraînement pour leurs innovations", conclut Moscou.

Attaque mortelle

Un groupe d’éclaireurs ukrainiens s’est introduit le 2 mars dans la région russe de Briansk, voisine de l’Ukraine, pour attaquer la population civile. Les assaillants ont tiré sur un véhicule dans le village de Lubetchané.

Deux civils ont été tués et un garçon de 11 ans blessé. Plus tard dans la journée, le Service fédéral russe (FSB) a informé que les auteurs de l’attaque avaient été repoussés vers l'Ukraine où ils ont été ciblés par une frappe d'artillerie massive.

Spoutnik

 

 

 

Guerre en Ukraine: La Russie tire un missile Kalibr depuis un sous-marin en mer du Japon, sa cible touchée 1.000 kilomètres plus loin

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 3 mars 2023

L'exercice a été un succès pour l'armée russe qui s'est félicitée de ce tir de missile Kalibr.

Un sous-marin russe déployé en mer du Japon a lancé, dans le cadre d'un exercice, un missile de croisière Kalibr qui a atteint une cible terrestre située à plus de 1.000 kilomètres, a déclaré vendredi le ministère russe de la Défense.

Il s'agit de l'un des missiles utilisés par Moscou dans le cadre de son offensive en Ukraine, notamment pour viser des centrales électriques, depuis des navires et sous-marins situés en mer Noire.

Une vidéo publiée par le ministère russe de la Défense montre un missile émerger de l'eau puis atteindre une cible située dans une zone d'entraînement de la région de Khabarovsk, dans l'est de la Russie.

Plusieurs bâtiments de la marine russe, ainsi que des avions de chasse et des drones, ont été déployés pour sécuriser le périmètre, a indiqué Moscou, alors qu'une querelle oppose depuis des décennies la Russie et le Japon à propos de la souveraineté territoriale sur un ensemble d'îles du Pacifique.

Source

 

 

 

Le Maroc et la Tunisie exportent le pétrole importé de la Russie

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 3 mars 2023

Début février 2022, l’embargo de l’Union européenne sur les produits pétroliers russes a pris effet.

Le Kremlin semble de son côté adopter une politique de renforcement de ses partenariats énergétiques, africains notamment. L’Afrique du Nord serait actuellement l’une des destinations privilégiées des expéditions pétrolières de la Russie. Des données du transport maritime russe, divulguées lundi 27 février 2023 par le fournisseur Kpler, révèlent que d’importants volumes d’hydrocarbures russes ont été acheminés ces dernières semaines vers des pays maghrébins comme le Maroc et la Tunisie.

Au cours du mois de janvier 2023, ce serait environ 2 millions de barils de diesel russe qui ont été expédiés vers le Maroc. C’est plus du double de la quantité de ce combustible, importé par le Maroc en 2021 (600 000 barils). La situation serait similaire en Tunisie. Sur la même période, le pays se serait fait livrer près de 2,8 millions de barils de brut russe. Un chiffre qui d’après les analystes pourrait dépasser la barre des 3 millions de barils au terme du mois de février. Ceci, alors même que la Tunisie importait déjà de Russie, des quantités non négligeables de pétrole.

De ce fait ce nouveau développement suscite des interrogations notamment sur l’efficacité des sanctions à l’encontre du secteur de l’énergie russe, mais également liées à l’utilisation effective par ces pays de telles quantités de produits pétroliers. Il semblerait selon des économistes que cette hausse des importations des produits se justifie par le besoin, toujours croissant, de couvrir la demande énergétique en Tunisie et au Maroc.

Toutefois d’après Viktor Katona, analyste pétrolier en chef chez Kpler, cité par l’agence Ecofin tel n’est pas le cas. Car, souligne-t-il, on ne constate pas d’augmentation significative des capacités de raffinage de ces pays. « Croyez-moi, nous n’assistons pas à une renaissance du raffinage maghrébin », a-t-il déclaré. Si ces pays du Maghreb ne consomment pas eux-mêmes les quantités de pétrole importé de Russie, l’analyste pense que cette augmentation s’expliquerait par la réexportation vers d’autres destinations, dont l’Europe. De fait, une part non négligeable d’hydrocarbures russes serait réacheminée vers le marché européen en la mélangeant à des cargaisons provenant d’autres fournisseurs. Ce qui rendrait par ailleurs leur traçabilité plus difficile.

Source

 

 

 

Il y a 4 jours, Emmanuel Macron affirmait que les relations avec le roi Mohammed VI étaient « amicales » et qu’elles « le demeureront » ; Rabat rétorque que ces relations « ne sont ni bonnes ni amicales »

Le 27 février, le président français a qualifié ses relations avec le roi Mohammed VI d’« amicales ». Il n’en est rien, réplique-t-on sèchement à Rabat.

Lors de la conférence de presse qui a suivi son discours consacré aux relations entre la France et l’Afrique, le 27 février au palais de l’Élysée, le président Emmanuel Macron (arrivé ce 1er mars à Libreville pour le One Forest Summit), après avoir reconnu l’existence de problèmes entre le Maroc et la France, à cause notamment de l’affaire Pegasus (qualifiée par lui de « sujet d’écoutes qui ont été révélées par la presse ») et du vote hostile au royaume au Parlement européen, le 19 janvier 2023, a néanmoins souligné que ses relations personnelles avec le roi Mohammed VI étaient « amicales » et « le demeureront ».

Un message qui n’a manifestement pas convaincu à Rabat. Interrogée par JA, une source officielle au sein du gouvernement marocain affirme au contraire que « les relations ne sont ni amicales ni bonnes, pas plus entre les deux gouvernements qu’entre le Palais royal et l’Élysée ». Selon elle, les deux sujets évoqués par le président français comme sources de tensions « ne sont que l’illustration de cette situation. D’autres points de tension ont été volontairement occultés, notamment la restriction arbitraire des visas, la campagne médiatique et le harcèlement judiciaire ».

[…] Jeune Afrique

 

 

 

Marseille : Stéphane Ravier renvoyé en correctionnelle pour avoir twitté que l'”immigration tue la jeunesse de France” après le meurtre d’un jeune français par un immigré

En cause, un tweet daté du 11 janvier 2022 faisant écho à un fait-divers sordide, le meurtre d’un jeune homme de 18 ans en région parisienne par un ressortissant sénégalais de 62 ans. Dès le lendemain, Stéphane Ravier s’empressait de publier la photo de la victime assortie d’un commentaire maison : “Théo, 18 ans, assassiné hier par un Sénégalais “#ClayeSouilly. L’immigration tue la jeunesse de France.”

Indignées par cette position “nauséabonde”, la ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) et la ligue des droits de l’Homme (LDH) ont aussitôt déposé une plainte pour “provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence”. Une procédure validée par le parquet, qui a estimé que ce tweet contenait “des allégations ou imputations portant atteinte à l’honneur ou la considération d’un groupe de personnes, en l’espèce les migrants, à raison de leur origine ou leur appartenance ou leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion”.

En publiant ce tweet, “l’élu ne se contente pas de réagir à un fait d’actualité mais tient à souligner la nationalité de son auteur et à y associer l’ensemble des personnes issues de l’immigration”, déplore Me Alain Lothe, qui entend se constituer partie civile pour la Maison des potes. “Cette pratique de récupération de certains drames n’est d’ailleurs pas nouvelles pour Stéphane Ravier”, rappelle-t-il.

www.laprovence.com

 

 

Les députés macronistes et les mélenchonistes bloquent le durcissement de la loi sur la récidive (MàJ)


  • Les députés Horizons, soutiens de la majorité présidentielle, ont proposé un texte défendant les peines minimales contre les récidivistes.
  • Son article-clé prévoyait un an d’emprisonnement pour des délits de violences, commis en récidive, contre les agents publics.
  • Mais leurs alliés macronistes ont rejeté la proposition de loi, ne la jugeant pas “utile”.

www.tf1info.fr



Les députés Horizons ont retiré leur proposition de loi de lutte contre la récidive. L’article Ier, qui prévoyait une peine minimale d’un an d’emprisonnement pour des délits de violences, commis en récidive, contre les agents publics, a été repoussé par 98 voix contre 87. L’autrice du texte, Naïma Moutchou, a annoncé après une suspension de séance que son groupe, lié à l’ancien Premier ministre Édouard Philippe, le retirait. Le parti fondé par Edouard Philippe dénonce des «  manœuvres »   de ses alliés de la majorité présidentielle, Renaissance et MoDem, qui s’étaient prononcés contre la proposition de loi, y voyant le retour des « peines plancher » chères à Nicolas Sarkozy.

« Ça me coûte et ça coûte à mon groupe. J’étais prête au combat, argument contre argument, conviction contre conviction. J’étais moins prête aux coups tordus, je dois vous le dire, les amis, aux manœuvres, aux coups de procédure… Quel gâchis », a-t-elle lâché devant l’Assemblée.

 « Nous étions attendus sur ce sujet » et « nous ne sommes pas des députés hors-sol », a ajouté Mme Moutchou. « Nous continuerons à défendre nos convictions sur ce sujet. »

La gauche était également contre, à l’inverse de la droite et du RN. Les débats qui ont duré toute la matinée ont donné lieu à des longues interventions du ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti, vent debout contre le texte, ainsi que d’autres orateurs. Des élus à gauche et à droite ont pointé une « forme d’obstruction ».

Le Point

 

 

Éducation sexuelle : SOS homophobie, Sidaction et le planning familial attaquent l’État en justice et demandent davantage de financements publics pour intervenir auprès de chaque élève, au moins 3 fois par an, et ce, “dès le plus jeune âge”

SOS Homophobie, Sidaction et le planning familial ont annoncé mercredi attaquer l’État devant la justice administrative pour le contraindre à organiser chaque année au moins trois séances d’éducation à la sexualité à l’école, comme le prévoit la loi.

D’après le code de l’Éducation, les élèves des écoles, collèges et lycées doivent bénéficier d’au moins trois séances annuelles d’éducation à la sexualité, y compris une sensibilisation aux violences sexistes et sexuelles. Dans la pratique, on est toutefois loin du compte, affirment les associations, pour qui ces thématiques « restent délaissées par les autorités publiques ».

Pour les associations, seule l’éducation à la sexualité, « dès le plus jeune âge », doit permettre de « s’attaquer à la racine des inégalités et des violences de genre ».

20 minutes

« Il faut mettre en place une politique interministérielle et pérenne. Financer une telle stratégie de prévention représente des sommes ridicules pour le budget de l’Etat », abonde Lucile Jomat, présidente de SOS homophobie. (…) Mais une demande d’intervention sur deux ne peut aboutir, faute de moyens humains et de financements publics.

Le Monde

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