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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

 

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Les Infos du 21 mars

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev salue « la visite historique » du Premier ministre japonais

 

L’ESSENTIEL

  • Vladimir Poutine et Xi Jinping doivent se retrouver ce mardi pour des discussions officielles au deuxième jour de la visite du président chinois en Russie, avec au programme l’Ukraine et le rapprochement entre Moscou et Pékin.
  • Lundi, les deux présidents se sont entretenus en tête-à-tête pendant quatre heures et demie, lors d’une première rencontre informelle au Kremlin. Vladimir Poutine a dit à son homologue considérer « avec respect » le plan de paix de Pékin en Ukraine.
  • Le Premier ministre du Japon Fumio Kishida est en route vers Kiev pour une rencontre avec Volodymyr Zelensky. Il est le seul dirigeant membre du G7 à ne pas encore être allé en Ukraine depuis le début du conflit.
  • La Cour pénale internationale a obtenu lundi davantage de moyens financiers et techniques de la part d’une quarantaine de pays réunis à Londres pour poursuivre ses investigations en Ukraine, trois jours après avoir émis un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine.

 

13h54 : Les images du sommet entre Vladimir Poutine et Xi Jinping au Kremlin

 

 

13h40 : L’Assemblée Nationale va voter cette semaine pour ou contre une résolution sur Wagner

 

 

13h32 : Xi Jinping arrive au Kremlin pour un sommet avec Vladimir Poutine

Le président russe Vladimir Poutine a accueilli mardi son homologue chinois Xi Jinping au Kremlin pour un sommet consacré notamment au conflit en Ukraine et aux relations bilatérales de plus en plus étroites entre Pékin et Moscou.

D'après des images retransmises par les chaînes de télévision russes, Vladimir Poutine a accueilli Xi Jinping avec une franche poignée de main, puis une fanfare militaire a joué les hymnes des deux pays. Après la cérémonie d'accueil, les deux dirigeants doivent avoir des discussions officielles, au lendemain d'un premier entretien «informel» qui a duré plus de quatre heures.

 

13h18 : Le Premier ministre japonais est à Boutcha, ville-martyre près de Kiev

Le Premier ministre japonais Fumio Kishida s’est rendu mardi à Boutcha, ville-martyre près de Kiev devenue symbole des atrocités de l’occupation russe, dans le cadre de sa première visite en Ukraine, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Fumio Kishida s’est rendu à Boutcha par le train, en début d’après-midi, peu après son arrivée à Kiev par le train et avant sa rencontre avec le président Volodymyr Zelensky. Son déplacement dans ce pays en guerre a été qualifié d'« historique » par Kiev.

 

12h49 : L’Ukraine a attaqué au drone une station de pompage de pétrole en Russie

L’Ukraine a mené mardi une attaque au drone sur une station de pompage de pétrole dans une région russe frontalière, sans faire de victime, a annoncé le gouverneur régional.

« Les forces armées ukrainiennes ont utilisé un drone pour attaquer le territoire de la station de pompage de pétrole Novozybkov appartenant à Transneft. Aucune victime n’est à déplorer », a indiqué sur Telegram Alexandre Bogomaz, à la tête de la région russe Briansk.

 

10h26 : Gazprom annonce des livraisons record à la Chine lundi via le gazoduc « Force de Sibérie »

Le géant russe Gazprom a annoncé mardi des livraisons journalières record à Pékin la veille via le gazoduc « Force de Sibérie » qui parcourt l’Extrême-Orient russe en direction du nord-est de la Chine, en pleine visite de Xi Jinping en Russie.

Lundi, « Gazprom a livré les volumes demandés et établi un nouveau record historique d’approvisionnement quotidien en gaz vers la Chine », a indiqué Gazprom dans un communiqué. Interrogée par l’AFP notamment sur le chiffre précis de livraison, l’entreprise a indiqué « ne pas fournir d’informations complémentaires".

 

09h59 : La Chine et la Russie sont de « grandes puissances voisines » et des « partenaires stratégiques », dit Xi Jinping

 

09h42 : Les dirigeants des pays d’Asie centrale invités en Chine

Les dirigeants des ex-républiques soviétiques d’Asie centrale ont été invités par le président chinois Xi Jinping en mai au premier sommet « Chine-Asie centrale », Pékin renforçant son empreinte dans cette région où l’ex-puissance tutélaire russe, embourbée en Ukraine, est contestée.

Dans des télégrammes de félicitations envoyés séparément lundi et mardi à l’occasion de Norouz – fête traditionnelle marquant l’arrivée du printemps et le Nouvel an persan – Xi Jinping convie les dirigeants du Kazakhstan, du Kirghizstan, de l’Ouzbékistan et du Tadjikistan en mai pour le « premier sommet Chine-Asie centrale ».

Ces quatre pays ont publié le télégramme. Le Turkménistan, Etat reclus et principal fournisseur de gaz à Pékin, n’a pas encore communiqué.

Ces pays autoritaires font partie des « Nouvelles routes de la soie », un gigantesque projet d’infrastructures routières, ferroviaires et portuaires initié par la Chine.

DIRECT

 

 

 

 

 

Un détail inquiétant pour les États-Unis remarqué lors de la rencontre Poutine-Xi

Vers une guerre de religion, infos du 21 mars 2023

Selon un politologue cité par le journal Newsweek, l’accolade entre les Présidents russe et chinois rappelle que Pékin a émergé en tant qu’"intermédiaire du pouvoir mondial" et que Washington peut facilement perdre son autorité sur la scène diplomatique internationale.

Vladimir Poutine et Xi Jinping se sont pris dans les bras. Cela devrait être une source de préoccupation pour Washington, a déclaré l'analyste politique américain Thomas Graham, cité par Newsweek.

Selon lui, ce geste a attiré l’attention du monde entier, "rappelant que la Chine a émergé en tant qu’intermédiaire du pouvoir mondial". De plus, ça a soulevé des questions quant à savoir "si l’Amérique risque de perdre sa place de leader incontesté de la diplomatie internationale".

En outre, le média cite le porte-parole du département de la Défense des États-Unis, John Kirby, qui a déclaré le 20 mars, lors d’une conférence de presse, que les deux pays se sont rapprochés et s’irritent du leadership américain.

Rencontre officielle

Le Président chinois est arrivé à Moscou pour une visite d’État du 20 au 22 mars. Il s’agit de sa première visite depuis près de quatre ans, et de son premier voyage officiel à l’étranger après qu’il a été réélu pour un troisième mandat.

Le jour de son arrivée Xi Jinping a négocié avec Vladimir Poutine en tête-à-tête, l’entretien se poursuivant au cours d’un dîner informel.

Selon le porte-parole du Président russe, une rencontre officielle aura lieu au Grand Palais du Kremlin ce mardi 21 mars.

Spoutnik

 

 

 

 

Des développements géopolitiques étonnants

Vers une guerre de religion, infos du 21 mars 2023

 

par Bruno Bertez

Au cours du mois dernier, nous avons assisté à des développements géopolitiques étonnants écrit « b » de MoA ;

En février, la Chine a publiquement fustigé l’hégémonie américaine, lancé une initiative de sécurité mondiale et proposé un plan de paix pour l’Ukraine.

Le 10 mars, la Chine a négocié un accord qui a rétabli les relations entre l’Arabie saoudite et l’Iran.

Le 15 mars, Moscou a déroulé le tapis rouge au président syrien Bachar al-Assad.

Hier, al-Assad et sa femme Asma sont arrivés aux Émirats arabes unis pour des entretiens avec le cheikh Mohammed.

Hier également, l’Iran et l’Irak ont ​​signé un accord de coopération en matière de sécurité qui mettra fin aux activités kurdes parrainées par la CIA contre l’Iran.

Hier également, le roi Salmane d’Arabie saoudite a invité le président iranien à une visite à Riyad.

Au cours des 30 dernières années, les États-Unis ont considéré le Moyen-Orient comme leur arrière-cour. Il y a vingt ans, il a illégalement envahi l’Irak et causé des centaines de milliers de morts et des décennies de chaos. Maintenant, la Chine, par des moyens pacifiques, a changé l’équilibre au Moyen-Orient en un mois seulement.

Aujourd’hui, le président chinois Xi est arrivé à Moscou pour trois jours de pourparlers avec le président russe Poutine. Un article du président Poutine a été publié dans le Quotidien du Peuple tandis que les médias russes ont publié un article signé du président Xi.

Les États-Unis craignent que l’initiative de paix de la Chine pour l’Ukraine ne gagne du terrain. Il s’est ouvertement prononcé contre un cessez-le-feu et des pourparlers de paix. J’avais pensé que c’était à l’Ukraine de décider ?

Il est probable que Poutine approuvera publiquement le plan de paix chinois alors que les États-Unis sont paranoïaques que la paix pourrait effectivement avoir lieu. Il pourrait même vouloir saboter l’accord saoudo-iranien.

Source

 

 

Londres remettra à Kiev des munitions en uranium appauvri avec des chars Challenger 2, déclare le ministre adjoint de la Défense

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 21 mars 2023

Le Royaume-Uni a promis 14 de ses 227 chars de combat principaux Challenger 2, ainsi qu'une pléthore d'autres armes lourdes, à l'Ukraine – dont la Russie a averti qu'elle ne ferait que prolonger le conflit là-bas.

Le gouvernement britannique donnera à l'Ukraine des munitions radioactives à l'uranium appauvri pour les chars qu'il a promis au régime de Kiev.

"Parallèlement à notre octroi d'un escadron de chars de combat principaux Challenger 2 à l'Ukraine, nous fournirons des munitions, y compris des obus perforants contenant de l'uranium appauvri", a déclaré mardi au Parlement la ministre adjointe de la Défense, Annabel Goldie, en réponse à une question de Lord Raymond . Hylton "Ces obus sont très efficaces pour vaincre les chars et les véhicules blindés modernes."

Le gouvernement du Premier ministre Rishi Sunak a déjà promis 14 de ses Challenger 2 chars de combat principaux au régime de Volodymyr Zelensky à Kiev. Les chars ne sont plus produits depuis plus de 20 ans et seuls 227 sont encore en service dans l'armée britannique.

Le secrétaire à la Défense, Ben Wallace, a également annoncé que trois batteries d'obusiers automoteurs AS90 de 155 mm de l'armée seront également envoyées, totalisant au moins 24 véhicules. Le ministère de la Défense aurait passé une commande d'obusiers motorisés à roues Archer auprès de Bofors, filiale suédoise de BAE Systems, après qu'il est apparu que les véhicules donnés représentaient la majeure partie de l'artillerie fonctionnelle de l'armée.

La Russie a averti les membres de l'OTAN que l'armement de l'Ukraine ne ferait que prolonger le conflit et entraînerait davantage d'effusions de sang, sans en changer l'issue.

Les obus à l'uranium appauvri (UA) en question sont des projectiles de sous-calibre de sabot de rejet stabilisés par ailettes perforants (APFSDS) pour les canons principaux rayés de calibre 120 mm des chars. Ils ne sont pas compatibles avec les mêmes canons de 120 mm sur les chars allemands Leopard 2 déjà fournis à l'Ukraine ou les chars américains M1 Abrams dont la livraison est promise en 2024, car ils utilisent des canons à âme lisse plus modernes.

L'uranium appauvri est utilisé dans les projectiles en forme de fléchette en raison de sa très haute densité - deux tiers plus lourd par centimètre cube que le plomb - qui augmente la pénétration de l'armure, ainsi que sa propriété pyrophorique de s'enflammer à l'impact.

Les munitions à l'uranium appauvri ont été largement utilisées par les forces américaines et leurs alliés lors de la guerre du Golfe de 1991 et de l' invasion de l'Irak en 2003 . Les médecins ont déclaré que les matières radioactives – un sous-produit du combustible nucléaire usé – laissées éparpillées dans le pays ont causé d'horribles malformations congénitales et une augmentation des taux de cancer.

Une étude publiée par les National Institutes of Health des États-Unis en 2021 a conclu que les preuves recueillies "suggèrent des associations possibles entre l'exposition à l'uranium appauvri et des effets néfastes sur la santé de la population irakienne".

Des citoyens serbes ont également poursuivi l'OTAN pour avoir utilisé environ 15 tonnes de munitions à l'UA dans sa guerre de 1999 contre la république des Balkans en soutien aux militants séparatistes kosovars, mais l'alliance américaine a affirmé qu'elle jouissait de l'immunité légale contre les poursuites.

Spoutnik

 

 

 

Washington "ne peut pas fabriquer des armes assez rapidement" pour protéger ses alliés, affirme un membre du Congrès américain

Vers une guerre de religion, infos du 21 mars 2023

L'administration Biden a annoncé lundi que les États-Unis enverraient à l'Ukraine 350 millions de dollars supplémentaires d'assistance militaire, y compris davantage de systèmes de roquettes d'artillerie à haute mobilité (HIMARS) et d'obusiers.

Le président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des États-Unis, Michael McCaul, a affirmé que Washington ne pouvait pas fabriquer de nouvelles armes assez rapidement pour protéger les États-Unis ou ses alliés, comme Taïwan .

Il a déclaré à un réseau d'information américain qu'il "avait approuvé il y a trois ans des armes qui n'avaient pas encore été introduites dans [le] pays", et que Taiwan n'était "pas préparé à cela" et était "incapable de mener sa propre guerre en cas d'invasion". ”

« Lorsque nous vendons à un allié ou à quelqu'un comme Taïwan nos ventes militaires à l'étranger… pourquoi cela prend-il trois ans ? Pourquoi n'avons-nous pas de systèmes d'armes dans [le] pays en ce moment pour dissuader le président Xi d'envahir ? Parce que, le fait est que nous ne le faisons pas. Et je ne pense pas que [le secrétaire d'État Antony Blinken] puisse répondre à cette question autrement que de dire que notre système de base industrielle de défense est brisé et que nous ne pouvons pas fabriquer ces armes assez rapidement », a ajouté le président de la commission des affaires étrangères de la Chambre.

Dans un clin d'œil apparent à l'opération militaire spéciale russe en Ukraine, McCaul a ajouté que les États-Unis n'avaient "aucune dissuasion".

Entre-temps, un média américain a rapporté le mois dernier que les États-Unis manquaient d'armes et de munitions alors que Washington continuait de fournir à Kiev une assistance militaire, qui a été renforcée après le lancement de son opération spéciale par la Russie. L'administration Biden a engagé plus de 31,7 milliards de dollars d'aide à la sécurité à Kiev depuis le début de l'opération spéciale. Moscou a averti à plusieurs reprises qu'une telle assistance ne faisait qu'allonger le conflit ukrainien.

Les remarques de McCaul sont intervenues après qu'Avril Haines, la directrice américaine du renseignement national (DNI), a clairement indiqué qu'elle pensait que l'éventuelle "invasion de Taïwan" par Pékin n'aurait pas lieu.

"Ce n'est pas notre évaluation que la Chine veut entrer en guerre", a déclaré Haines au House Intelligence Committee lors d'un briefing annuel vendredi sur les menaces mondiales auxquelles sont confrontés les États-Unis.

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Mao Ning, a réagi en décrivant Taiwan comme "une partie inaliénable du territoire chinois", ajoutant que "la résolution de la question de Taiwan est l'affaire des Chinois et doit être décidée par les Chinois eux-mêmes".

Le président chinois Xi Jinping, pour sa part, s'est engagé à ce que le gouvernement élargisse activement le « développement pacifique » des relations inter-détroit et promeuve « sans relâche » la réunification avec Taïwan. Il a ajouté que l'ingérence extérieure et les activités séparatistes à Taiwan seraient résolument opposées.

Cela fait suite au directeur de la CIA, William Burns, qui a déclaré à un média américain qu'il pensait que Washington devait "prendre très au sérieux" les "ambitions du président chinois concernant le contrôle ultime de Taiwan". Selon Burns, "Cela ne signifie cependant pas, à notre avis, qu'un conflit militaire [sur Taiwan] est inévitable."

 

Tensions en Asie : deux bombardiers russes survolent la mer du Japon alors que le Premier ministre Kishida doit rencontrer Zelensky

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 21 mars 2023

Deux bombardiers stratégiques russes ont survolé la mer du Japon pendant plus de sept heures, a déclaré mardi 21 mars le ministère russe de la Défense dans un communiqué, publié au moment où le premier ministre japonais entame une visite en Ukraine.

Moscou fait régulièrement voler des Tupolev Tu-95MS, capables de transporter des armes nucléaires, au-dessus des eaux internationales de l'Arctique, de l'Atlantique Nord et du Pacifique en guise de démonstration de force. Ce vol intervient alors que le Premier ministre japonais Fumio Kishida doit se rendre plus tard à Kiev pour témoigner de sa solidarité au président ukrainien Volodimir Zelensky dans la guerre qui l'oppose à la Russie. La chaîne publique japonaise NHK a montré le Premier ministre montant à bord d'un train dans la ville polonaise de Przemysl, près de la frontière ukrainienne.

La Russie a déclaré que les bombardiers stratégiques avaient effectué un "vol planifié", escortés par des avions de chasse. Selon le ministère russe de la Défense, ce vol a été effectué dans le strict respect du droit international et au-dessus d'eaux neutres. En février, les forces de défense aérienne nord-américaines ont été envoyées pour intercepter plusieurs bombardiers stratégiques et avions de chasse russes qui survolaient l'espace aérien international près de l'Alaska.

Le Japon, qui depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale a son propre différend territorial avec Moscou dans le Pacifique Nord, est un allié clé des États-Unis en Asie ainsi qu'un membre du G7, et s'est joint aux sanctions occidentales contre la Russie après son invasion de l'Ukraine. Le voyage de Fumio Kishida en Ukraine coïncide également avec la visite d'État du président chinois Xi Jinping à Moscou.

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine: Deux bombardiers B-52 de l'US Air force escortés par un chasseur russe au-dessus de la mer Baltique

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 21 mars 2023

Deux appareils de l'US Air force ont été repérés à proximité de l'espace aérien russe.

"Le 20 mars 2023, les radars de la force de défense aérienne du district militaire occidental ont détecté deux cibles aéroportées au-dessus de la mer Baltique, volant vers la frontière de la Fédération de Russie. Les appareils ont été identifiés comme deux bombardiers stratégiques B-52H de l'US Air Force", a annoncé lundi soir le Centre de contrôle de la défense nationale russe, rapporte TASS, l'agence de presse officielle du Kremlin.

Le B-52H Stratofortress est un bombardier stratégique subsonique (1 015 km/h à 7 250 m) à réaction et à long rayon d'action (7.700 km), seule version du B-52 développé dans les années 50 encore en service dans l'armée américaine. Équipé de huit turboréacteurs, il peut emporter jusqu'à 20 tonnes de bombes, à charge conventionnelle ou nucléaire.

Zone de patrouille russe

Le ministère russe de la Défense a indiqué qu'un chasseur Soukhoï Su-35 a rapidement décollé de sa base afin d'identifier les avions et empêcher leur entrée dans l'espace aérien de la Fédération de Russie. Les deux aéronefs de l'armée de l'air des États-Unis ayant atteint une zone de patrouille aérienne russe.

"Après que les avions militaires étrangers se sont éloignés de la frontière d'Etat de la Fédération de Russie, l'avion russe est retourné à sa base d'attache", a indiqué le ministère qui ajoute que les avions militaires étrangers n'ont pas violé la frontière de la Russie.

L'intervention du chasseur russe s'est déroulée dans le strict respect du droit aérien international tiennent à préciser les autorités russes. 

Et d conclure : "La violation de la frontière de la Fédération russe n’était pas autorisée".

Source

 

 

 

Moscou révèle à quelle condition les enfants ukrainiens évacués seront ramenés dans leur pays

 

En attendant que des conditions sûres soient maintenues de la zone de conflit pour y ramener les enfants évacués, les diplomates russes envisagent de convoquer à l’Onu une réunion afin de montrer que les accusations à l’encontre de Poutine sont "totalement surfaites".

La Russie envisage de ramener en Ukraine les enfants qui ont été évacués de la zone de conflit après que des conditions sûres y seront maintenues, a annoncé le représentant russe auprès de l'Onu Vassili Nebenzia.

Vers une guerre de religion, infos du 21 mars 2023

"Nous voulons les protéger contre le danger des actions militaires. La question des ‘enfants envoyés par force en Russie est totalement surfaite. C’est ce que nous voulons montrer lors d’une réunion informelle du Conseil de sécurité [début avril, ndlr]", a-t-il indiqué.

Il a d’ailleurs souligné que la tenue de la réunion ne serait pas liée à la décision de la Cour pénale internationale (CPI) car Moscou voulait le faire depuis longtemps.

Le diplomate a souligné que la décision de la CPI, qui a émis un mandat d’arrêt contre Poutine, était "purement politique" et qu’elle "ne signifie rien" pour Moscou. Elle ne fait de plus pas non plus avancer les négociations sur la paix en Ukraine.

Le mandat d’arrêt

Le 17 mars la CPI a émis un mandat d'arrêt contre le chef de l’État russe. L’institution, basée à La Haye, le considère responsable du "crime de guerre présumé de la déportation d'enfants" d’Ukraine en Russie.

La cour a également émis des accusations similaires à l’encontre de Maria Lvova-Belova, commissaire présidentielle aux droits de l'enfant. Le Kremlin a jugé que la décision n'avait aucune valeur juridique.

En réaction le Comité russe d’enquête a engagé des poursuites pénales à l’encontre du procureur et des juges de la CPI.

Spoutnik

 

 

 

L’Échiquier Mondial : Iran, l’autre adversaire de l’Occident

 

L’Iran sera-t-elle la nouvelle cible ? Dans ce nouveau numéro de L’Échiquier mondial, Xavier Moreau et Baki Maneche, associé gérant du cabinet Ferdowsi Legal en Iran, nous livrent leur analyse géopolitique de la situation.

 

source : RT France

 

 

Il fût, depuis 1999, le directeur de l’école Jules-Ferry, à Blois (41) : “Quand je suis arrivé, 50 % des jeunes étaient issus de l’immigration, aujourd’hui on atteint 95 %. L’école elle-même a changé

Pascal Blanchet est, depuis 1999, le directeur de l’école Jules-Ferry, au cœur de la Zup de Blois. Portrait d’un homme libre.

(…)

Mais les coups de pinceaux n’ont pas effacé la misère sociale. Les couleurs ne se sont pas mélangées. « Chaque barre d’immeuble a sa communauté ethnique », regrette le directeur.

Aux antipodes de ces logements « communautarisés », l’école doit résister et demeurer le berceau de la République : « Quand on me dit “ mixité ”, je pense au mélange. Entre ces murs, les gens se mêlent. On travaille là-dessus, en tous les cas. »

« L’école a changé »

Ici, sont scolarisés 180 élèves du CE2 au CM2, « tous bien français mais issus de vingt-six origines différentes », souligne le directeur, qui a vu la sociologie des enfants évoluer. « Quand je suis arrivé, 50 % des jeunes étaient issus de l’immigration, aujourd’hui on atteint 95 %. L’école elle-même a changé. »

(…) La Nouvelle République

 

 

Céline Pina sur la Belgique : “Il devient difficile d’affirmer que le grand remplacement est un fantasme (…) Il est le rêve des islamistes qui espèrent bien faire de la Belgique le 1er Etat musulman d’Europe

 

 

Paris 19 : des “patriotes algériens” manifestent pour dénoncer l’attitude de la France vis-à-vis de leur pays (MàJ : entendu lors de la manif : “Donnez-lui des bananes, le Marocain est un animal”)

21/03/2023

20/03/2023

Ce 19 Mars 2023, des milliers d’Algériens se sont mobilisés pour manifester à Paris afin de montrer leur soutien à la patrie et à son armée contre les attaques incessantes des traîtres à la nation. Ce faisant, ils ont aussi voulu répondre au régime français qui cautionne sans éprouver le moindre scrupule ceux qui cherchent à nuire à l’Algérie, ce qui ne l’empêche pas d’envoyer des délégations mendier à Alger pour obtenir du gaz et des contrats.

Le slogan que les patriotes algériens ont scandé ce dimanche Place du Colonel-Fabien est un résumé de ce qu’ils pensent de Macron et de son régime : «Djeïch chaâb khawa khawa w wled franssa m’âa el-khawana» (l’armée et le peuple sont des frères et les enfants de la France sont avec les traîtres). C’est une réponse du berger à la bergère pour n’avoir pas permis à la manifestation patriotique de se tenir Place de la République comme cela avait été demandé, le ministre de l’Intérieur Gérald-Moussa Darmanin, petit-fils de harki, ayant intimé l’ordre au préfet de police de réserver la Place de la République aux traîtres du MAK et de Rachad, considérés comme mouvements terroristes en Algérie et que la France refuse d’extrader. C’est la preuve que la France officielle d’Emmanuel Macron soutient ces terroristes et ne veut pas que notre diaspora s’organise pour défendre notre Etat national.

Dans une ambiance bon-enfant, l’hymne national accompagné de youyous a résonné en plein cœur de la capitale française avec une nuée de drapeaux algériens, mais aussi sahraouis et palestiniens. Des fumées de couleur rouge, blanche et verte ont été dispersées dans le ciel maussade et la foule réunie pour cette communion d’un peuple avec son pays et son armée a repris en chœur «daoula âskaria !» (Etat militaire !), en ovationnant et scandant les noms du président Tebboune et du chef d’état-major, le général d’armée Saïd Chengriha. Qassaman chanté ce dimanche à Paris et les youyous qui terrorisaient jadis les colons français ont encore fait trembler tous les traîtres et les nostalgiques de l’Algérie française.

Ce 19 Mars constitue une victoire cinglante des patriotes algériens sur tous les ennemis de l’Algérie.

Algérie Patriotique

 

 

Plus de 160 journalistes “de la diversité” annoncent la création de l’Association des journalistes antiracistes et racisé·e·s (AJAR) : ils dénoncent le racisme dont ils seraient victimes des écoles de journalisme aux salles de rédactions

Nous sommes journalistes de presse écrite, web, radio, télévision et photographes. Nous sommes, par nos histoires, nos origines ethniques, nos couleurs de peau, nos religions, concerné·e·s par le racisme dans la société française, y compris dans les médias. Nous avons décidé de créer l’Association des journalistes antiracistes et racisé·e·s (AJAR) pour s’attaquer au racisme dans le journalisme.

Les rédactions, de gauche comme de droite, restent en grande majorité blanches, notamment aux postes à responsabilités. Il y a urgence à nous y faire une place.

Nous voulons soutenir nos consœurs et confrères discriminé·e·s, exploité·e·s et marginalisé·e·s en école, en recherche d’emploi, en situation de précarité et en rédaction. Inspiré·e·s par les initiatives de l’Association des journalistes LGBTI (AJLGBTI) et de Prenons la une créée par des femmes journalistes, nous nous sommes réuni·e·s afin d’agir ensemble.

Le racisme, de l’école aux rédactions

Le racisme en rédaction, c’est un chef d’un grand journal parisien qui recommande à l’un de nous de changer de nom pour être plus employable. C’est un collègue, dans un média de gauche, qui s’oppose à un sujet sur le racisme anti-asiatique, car ce serait une nouvelle invention «pour une communauté qui cherche à exister». C’est un chef dans la presse professionnelle qui surnomme l’une de nos membres «la petite beurette».

Ces exemples vécus ne sont pas isolés. D’après l’enquête du SNJ-CGT à venir sur le racisme dans les médias, près d’un·e journaliste sur deux ayant répondu à l’enquête est témoin de racisme sur son lieu de travail. Et cela commence dès l’école de journalisme, où les personnes racisées sont en grande minorité et de fait, déjà exclues des réseaux de la profession. Les blagues racistes sont omniprésentes dans les cercles d’étudiant·e·s. Il y a un an, une étudiante noire se voit par exemple affublée d’un filtre singe sur une photo que l’un de ses camarades de classe fait circuler. Il y a quelques mois, pendant le voyage scolaire d’une école prestigieuse, un professeur imite Jean-Marie Le Pen auprès de l’un de nos membres d’origine algérienne. Il blague sur les massacres coloniaux : «Nous faisions barbecue d’Algériens.»

Racisme sur les ondes

Cette marginalisation s’ajoute à un climat de violences racistes dans l’espace public. En février, des journalistes du Poher, hebdomadaire breton, ont été visés par des menaces de mort et une alerte à la bombe, après des articles sur un projet d’accueil de réfugié·e·s. Un billet antisémite sur un site d’extrême droite commente la supposée judéité de deux journalistes de la rédaction, avant de les qualifier de «collabos», puisqu’iels soutiendraient «l’invasion migratoire».

Très régulièrement, des plateaux de télévision aux colonnes des journaux, des propos stigmatisants sont tenus sans que grand monde ne s’en émeuve. Ainsi, en février, pour décrire la désorganisation des débats parlementaires, un sénateur compare l’Assemblée nationale à «un camp de gitans» sur Radio J. L’expression est ensuite reprise, sans être critiquée, par une journaliste sur BFM TV. Comme la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, nous pensons que «l’antitsiganisme n’a pas sa place dans le débat public».

Un mois plus tôt, Omar Sy est interviewé sur son rôle dans le film Tirailleurs, qui raconte l’injustice vécue par les tirailleurs sénégalais. Il pointe du doigt le manque d’empathie envers les victimes de la guerre dans des pays non-occidentaux, comparée à celle accordée aux Ukrainiens. Cette remarque déclenche une avalanche de critiques racistes. Le terme d’«ingratitude» est lâché, plusieurs fois, sur différents plateaux. A des heures de grande écoute, des journalistes exigent d’un Français noir qu’il se fasse petit et dise «merci» pour sa carrière.

En décembre, l’ancien dirigeant de la chaîne LCI déclarait sur CNews que les «musulmans s’en foutent de la République, ils ne savent même pas ce que le mot veut dire». L’obsession médiatique islamophobe frappe régulièrement les musulman·e·s, en particulier les femmes musulmanes portant un foulard.

En janvier 2020, le Courrier picard titre «Alerte jaune», à propos du coronavirus, avec une femme est-asiatique en photo. Le journal finit par s’excuser. Préciser l’origine ou la nationalité des criminels lorsqu’ils ne sont pas européens reste encore un réflexe peu remis en question.

Face à ces constats, nous appelons les rédactions et les écoles à prendre leurs responsabilités. Nous croyons qu’un autre traitement médiatique est possible, respectueux des personnes, donnant la parole aux concerné·e·s. Les dynamiques racistes méritent une attention sérieuse et une couverture médiatique exigeante. Cela passe aussi par le recrutement de personnes racisées et pas uniquement celles issues des milieux les plus favorisés.

Nous, l’Association des journalistes antiracistes et racisé·e·s, invitons les journalistes confronté·e·s au racisme à nous rejoindre, et appelons avec nos soutiens, les rédactions, les écoles, les syndicats et les collectifs de journalistes à travailler ensemble.

Signataires

Un collectif de syndicats et d’organisations (SNJ, SNJ-CGT, Prenons la une, AJLGBTI, Femmes Journalistes de Sport, Profession : pigiste, et la Chance) ainsi que 167 journalistes issus d’une pluralité de rédactions, dont :

Sarah Bos, Estelle Ndjandjo, Iris Ouedraogo, Rémi-Kenzo Pagès, Arno Pedram, Khedidja Zerouali, Mariétou Bâ, Arwa Barkallah, Sarah Benichou, Maya Elboudrari, Christelle Murhula, Aziz Oguz, Anissa Rami, Kadiatou Sakho, Amine Abdelli, Cyrielle Bedu, Inès Belgacem, Baya Bellanger, Helena Berkaoui, Sophie Boutboul, Syanie Dalmat, Linh-Lan Dao, Samba Doucouré, Rachida El Azzouzi, Sébastien Folin, Renée Greusard, Rachid Laïreche, Mouna El Mokhtari, Balla Fofana, Nora Hamadi, Dan Israel, Juliette Jabkhiro, Jalal Kahlioui, Camélia Kheiredine, Gurvan Kristanadjaja, Grace Ly, Ouafae Mameche, Merwane Mehadji, Mejdaline Mhiri, Soraya Morvan-Smith, Nordine Nabili, Lauriane Nembrot, Linda Nguon, Jennifer Padjemi, Ilyes Ramdani, Ali Rebeihi, Lina Rhrissi, Redwane Telha, Mélody Thomas, Raphäl Yem, Faïza Zerouala.

Libération

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