Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Guerre en Ukraine : vers une guerre mondiale ? Pour Poutine, les pays de l'OTAN participent au conflit en livrant des armes
"Ils envoient des dizaines de milliards de dollars d'armes à l'Ukraine. Ceci est vraiment de la participation", a dit Poutine.
Le président russe Vladimir Poutine a accusé l'Otan de participer au conflit en Ukraine en fournissant des armes aux forces de Kiev, dans une interview diffusée dimanche. "Ils envoient des dizaines de milliards de dollars d'armes à l'Ukraine. Ceci est vraiment de la participation", a dit Poutine dans un entretien accordé pour l'émission "Moscou.Kremlin.Poutine", diffusée sur la chaîne de télévision Rossiya-1.
Moscou n'a pas d'autre choix que de prendre en compte les capacités nucléaires de l'Otan alors que l'alliance militaire occidentale cherche à infliger une défaite stratégique à la Russie, a aussi estimé dimanche Vladimir Poutine.
L'Occident complice des "crimes" de l'Ukraine
"Quand tous les principaux pays de l'Otan ont déclaré que leur principal objectif est de nous infliger une défaite stratégique, pour que notre peuple souffre comme ils disent, comment pouvons-nous ignorer leurs capacités nucléaires dans ces conditions ?", a déclaré le président russe.
"(Les Occidentaux) ont un objectif : démanteler l'ancienne Union soviétique et sa partie fondamentale, la Fédération russe", a ajouté le chef du Kremlin. L'Ouest, a-t-il poursuivi, est le complice indirect des "crimes" commis par l'Ukraine.
Poutine déclare que les pays de l'OTAN sont indirectement impliqués dans les crimes contre les civils en Ukraine
MOSCOU (Spoutnik) - La fourniture gratuite d'armes à l'Ukraine par les pays de l'OTAN les rend complices, bien qu'indirectement, des crimes commis par Kiev contre les civils dans les régions qui s'en sont séparées à l'Est, a déclaré le président russe Vladimir Poutine Dimanche.
"Ce n'est pas une simple coopération militaire, car ils [les pays de l'OTAN] ne reçoivent pas d'argent en retour . Ils fournissent unilatéralement des armes [à l'Ukraine], ce qui signifie qu'ils sont impliqués - au moins indirectement - dans les crimes commis par l'armée de Kiev. régime, y compris le bombardement de zones résidentielles à Novorossiya et Donetsk", a déclaré Poutine à l'émission de télévision Moscow.Kremlin.Putin.
Le président a également déclaré que la Russie devrait garder un œil sur le potentiel nucléaire des États membres de l'OTAN , car l'alliance avait déclaré une défaite stratégique de la Russie comme objectif principal.
Les pays occidentaux ont fourni à l'Ukraine divers types de systèmes d'armes , notamment des missiles de défense aérienne, des lance-roquettes multiples, des chars, de l'artillerie automotrice et des canons antiaériens depuis que la Russie a lancé son opération militaire spéciale en Ukraine il y a un an.
"Ce n'est pas une simple coopération militaire, car ils [les pays de l'OTAN] ne reçoivent pas d'argent en retour . Ils fournissent unilatéralement des armes [à l'Ukraine], ce qui signifie qu'ils sont impliqués - au moins indirectement - dans les crimes commis par l'armée de Kiev. régime, y compris le bombardement de zones résidentielles à Novorossiya et Donetsk", a déclaré Poutine à l'émission de télévision Moscow.Kremlin.Putin.
Le président a également déclaré que la Russie devrait garder un œil sur le potentiel nucléaire des États membres de l'OTAN , car l'alliance avait déclaré une défaite stratégique de la Russie comme objectif principal.
Les pays occidentaux ont fourni à l'Ukraine divers types de systèmes d'armes , notamment des missiles de défense aérienne, des lance-roquettes multiples, des chars, de l'artillerie automotrice et des canons antiaériens depuis que la Russie a lancé son opération militaire spéciale en Ukraine il y a un an.
Poutine: Moscou s'oppose à la construction d'un monde qui serait dans l'intérêt d'un seul pays
Selon Vladimir Poutine, le monde doit changer, mais la Russie est contre l'idée d'en bâtir un nouveau dans l'intérêt d'un seul pays, les États-Unis.
La Russie est consciente du fait qu'après le démembrement de l'URSS, la situation dans le monde a changé. Elle ne l'empêche pas, y compris au sein de l'Onu. Mais elle ne veut pas que le nouveau monde soit construit uniquement dans l'intérêt d'un seul pays, les États-Unis. C'est ce qu'a déclaré le Président russe dans une interview à la chaîne de télévision Rossiya 1.
Dans l'après-URSS, de nouveaux centres de force apparaissent. "Cela doit, naturellement, influer l'édification des relations internationales. […] La Russie a un potentiel différent [de celui de l'URSS]. nous en sommes conscients et sommes d'accord que le monde change", a précisé Vladimir Poutine.
La Russie songe en même temps à réformer l'Organisation des Nations unies.
"À quoi nous opposons-nous? À ce que le nouveau monde qui se profile se forme uniquement dans l'intérêt d'un seul pays, en l'occurrence les États-Unis. Et c'est cela qu'ils veulent faire, tout le monde le comprend, je vous assure."
Les Américains ont humilié la France dans l’affaire des sous-marins, selon Poutine
Humiliée par les Américains suite à la rupture du contrat avec l’Australie portant sur ses sous-marins, la France a avalé un crapaud, juge le Président russe.
Vladimir Poutine estime que la France a été humiliée par les Américains sans pourtant rien dire. En effet, l’Australie avait annulé un contrat sur les sous-marins français en leur privilégiant des sous-marins américains.
"On a retiré à la France la commande de sous-marins en Australie, on a tout simplement humilié le pays, mais tous l’ont avalé et ont dit : Merci beaucoup, soyez les bienvenus", a-t-il signalé dans une interview accordée à la chaîne de télévision Rossiya 1.
Intérêts égoïstes des USA
Le Président russe a indiqué que les satellites américains se rendaient parfaitement compte du fait que les États-Unis ne faisaient que ce qui correspondait "à leurs intérêts égoïstes", même si cela ne répondait pas aux intérêts d'autrui.
"De quels intérêts des alliés peut-il être question quand ils [les Américains, ndlr] ont adopté des lois sur la lutte contre l’inflation [l'Inflation Reduction Act, qui offre des subventions copieuses aux constructeurs de voitures électriques et aux fabricants de batteries et d’équipements énergétiques à condition qu’ils soient produits aux États-Unis, ndlr], etc., et détournent vers leur territoire le business européen? Est-ce agir en allié?", s’est-il interrogé.
Rappel des ambassadeurs
À l’automne 2021, l’Australie a conclu un accord avec les États-Unis et le Royaume-Unis sur la mise en place de l’alliance militaire AUKUS. Canberra a parallèlement annulé un contrat d’environ 55 milliards d’euros signé avec la France et portant sur la construction de 12 sous-marins diesel-électriques.
L’Australie a préféré des sous-marins nucléaires américains.
Paris a accusé les autorités australiennes de "coup dans le dos" et a rappelé ses ambassadeurs aux États-Unis et en Australie pour consultations.
Note : si Marine le Pen aurrais était président à ce moment-là, les Américains ne s'en seront pas sortie sans aucun incident. Je pense qu'il aurait eu des représailles, comme la France qui quitte l'Otan (voir lien) . Mais avec le petit macron, le léchasse de cul a continué, comme si rien n'était
Vous imaginez bien la malhonnêteté des Américains, Joe Biden est allé voire les Australiens, en sachant sciemment qu'ils avaient déjà un contrat avec les Français signé en 2016, mais cette pourriture de Biden n'a pas hésité à leur faire de nouvelle proposition, pour passer au-dessus du contrat français. Pour l'argent il n'a pas hésité a poignarddé la France dans le dos. Que peut-on attendre de bon, de personnes qui n'ont aucun état d'âme et ne s'interresent qu'au profit !
Guerre en Ukraine EN DIRECT : Poutine estime que l'Otan participe au conflit en fournissant des armes…
L’ESSENTIEL
Quelque 3.000 personnes se sont rassemblées samedi à Paris en soutien à l’Ukraine, au lendemain de manifestations en France et en Europe pour marquer le premier anniversaire de l’invasion du pays par la Russie. Des rassemblements se sont également déroulés dans d’autres grandes villes en régions comme Bordeaux (300 personnes), Montpellier (une centaine) ou encore Rennes (250).
La Chine a appelé Moscou et Kiev à tenir des pourparlers de paix et a rejeté tout recours à l’arme nucléaire, dans un document publié vendredi. Volodymyr Zelensky a jugé « nécessaire » de « travailler » avec Pékin et a indiqué prévoir une rencontre prochaine avec son homologue chinois. Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a pour sa part estimé que le document chinois ne constituait « pas un plan de paix ».
La Russie a accusé les Occidentaux d’avoir « déstabilisé » le sommet du G20 Finances en Inde en tentant de faire adopter par « chantage » un communiqué commun sur l’Ukraine, ce qui n’a pas eu lieu en raison de divergences.
Les marines russo-chinoises-sud-africaines commencent la phase active des exercices militaires
La marine russe est représentée par la frégate "Admiral Gorshkov" transportant des missiles hypersoniques Zircon et le pétrolier moyen "Kama". La marine chinoise est représentée par une frégate et un destroyer, ainsi qu'un navire de ravitaillement, et la marine sud-africaine, à son tour, par une frégate.
Selon le communiqué, les équipages des trois pays ont commencé à effectuer les opérations élaborées au stade de la planification.
La phase active des exercices s'achèvera le 27 février. Elle comprend un entraînement au tir d'artillerie, à repousser les attaques aériennes d'un ennemi potentiel, des actions anti-terroristes, des manœuvres techniques et une assistance technique à un navire en détresse.
Selon un responsable de la défense sud-africaine, l'objectif des manœuvres est d'améliorer la coordination et la coopération entre les flottes navales des trois pays participants. Les exercices "Mosi-II" serviront de plate-forme d'échange de connaissances militaires, de savoir-faire et d'expérience opérationnelle pour les trois armées.
Au début des exercices, Tan Kefei, porte-parole du ministère chinois de la Défense, a déclaré qu'ils renforceraient "la capacité de toutes les parties impliquées à assurer conjointement la sécurité maritime".
Canada : Amira Elghawaby, nommée par Justin Trudeau pour la lutte contre l’islamophobie ; 200 personnalités exigent son départ et l’abolition de son poste (Màj : elle a travaillé pour le CNMC, une organisation islamiste)
26/02/2023
26/02/2023
Le Conseil national des musulmans canadiens (CNMC) est une organisation islamiste de plus en plus influente. Amira Elghawaby par exemple, la controversée commissaire contre «l’islamophobie», entrée en fonction cette semaine, a travaillé cinq ans pour le CNMC.
Stephen Brown, son président, a comparé la loi 21 au racisme anti-noir. L’organisation conteste cette législation grâce à des subventions de villes canadiennes-anglaises. Ceci est illégal selon une poursuite contre Toronto soutenue par l’organisme Justice pour le Québec que je préside.
[…]
Conspiration terroriste
On compte l’imam Siraj Wahhaj. Dans le passé, celui-ci a comparé l’homosexualité à une maladie et s’en est pris au fait que, à Toronto, des musulmans modérés voulaient créer une mosquée ouverte aux gais (ce qui a été fait depuis). Il fallait refuser cela même si la loi le permettait. «Nous ne les laisserons pas établir cette mosquée […] nous lutterons contre eux, ces homosexuels devront bloquer l’accès à leur mosquée».
[…]
Dans un livre publié il y a quelques années, il explique aussi qu’un homme peut battre sa femme, mais pas fort, je vous rassure, et seulement si certaines conditions sont remplies! Lesquelles? Si «elle commet des abus physiques ou verbaux ou si elle viole les règles de l’islam».
Al-Qaida
Que dire par ailleurs de Ustadh Yahya Rhodus? En 2004, alors qu’il suivait une formation religieuse au Yémen, cet Américain converti à l’islam a été interviewé par la chaîne télévisée australienne ABC. Il a refusé de condamner Al-Qaida en prétextant qu’il n’était pas assez informé sur le sujet. Trois ans plus tôt, ce groupe terroriste avait pourtant revendiqué l’assassinat de presque 3000 des concitoyens de M. Rhodus lors des attentats du 11 septembre.
Mentionnons aussi Mufti Hussain Kamani, de l’institut Qalam. Cette organisation a produit un manuel qui enjoint notamment aux musulmans d’être propres et purs de façon à «ne pas ressembler aux Juifs». Kamani a par ailleurs déclaré que dans la religion islamique les gens qui commettent l’adultère ou ont des relations sexuelles hors mariage doivent être lapidés à mort.
Notons ici qu’Ottawa subventionne le CNMC pour un total de 635 423$ pour la période allant de 2018 à 2024. Une partie de cet argent est censé servir à la promotion du multiculturalisme, à lutter contre le racisme, contre «l’islamophobie»… et contre la haine! Parallèlement à tout cela, les fédéraux vont contester la loi 21 en Cour suprême.
C’est ça le Canada. D’une part, on finance le Québec bashing, l’antisémitisme, la misogynie et l’homophobie. D’autre part, on attaque en justice la laïcité québécoise.
Plus de 200 personnes exigent le départ d’Amira Elghawaby et l’abolition de son poste
La tourmente entourant la nomination d’une conseillère fédérale à la lutte contre l’islamophobie, dont certaines affirmations au sujet des Québécois ont provoqué un tollé, ne faiblit pas.
Plus de 200 personnes ont transmis une lettre au premier ministre Justin Trudeau lundi pour exiger le départ d’Amira Elghawaby et l’abolition de son poste.
On compte parmi celles-ci la présidente du Rassemblement pour la laïcité, Nadia El-Mabrouk, ainsi que de nombreux professeurs et intellectuels, notamment Guy Rocher, Daniel Turp et Normand Baillargeon. La militante Ensaf Haidar et la comédienne Nabila Ben Youssef figurent aussi parmi les signataires.
Projet de loi immigration : la Défenseuse des droits s’inquiète des procédures permettant de faciliter les expulsions des étrangers ayant fait l’objet d’une condamnation
26/02/2023
Le projet de loi visant à «contrôler l’immigration et améliorer l’intégration» qui doit être examiné au Sénat à partir du 28 mars, «fragilise considérablement les droits et libertés fondamentaux des étrangers», s’inquiète la Défenseuse des droits, Claire Hédon, dans un avis très critique rendu public ce jeudi.
Le projet, porté par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, et critiqué par l’opposition car jugé trop répressif, «intensifie la logique» qui prévoit de conditionner le droit au séjour à une intégration déjà réussie, ce qui «expose […] les étrangers à un pouvoir discrétionnaire croissant de l’administration», a commenté Claire Hédon. La Défenseuse des droits s’inquiète en particulier d’une mesure prévoyant de conditionner l’octroi d’un titre de séjour pluriannuel à un niveau minimal de connaissance du français, «et non pas seulement d’une assiduité à la formation».
Sur ce point, le gouvernement n’a prévu «aucune exception liée à l’âge, à l’état de santé, au handicap ou à la particulière vulnérabilité économique», qui pourrait empêcher les étrangers de «suivre les formations requises ou d’acquérir un niveau de français suffisant» : de ce fait, «les personnes les plus fragiles ne pourraient plus accéder à aucun titre de séjour pérenne», redoute Claire Hédon.
Le projet de loi prévoit par ailleurs de faciliter de manière «inquiétante» l’expulsion des étrangers ayant fait l’objet d’une condamnation, en considérant non plus la peine qui leur a été réellement infligée, mais la peine théorique encourue. Or, observe la Défenseuse : «Dans les faits, les peines encourues sont très supérieures aux peines prononcées, si bien que la levée des protections contre l’expulsion concernera un champ très large de personnes pour lesquelles la gravité de la menace» à l’ordre public «sera loin d’être établie».
Claire Hédon se dit également préoccupée par une mesure visant à «faire du juge unique le principe et non plus l’exception à la Cour nationale du droit d’asile» (CNDA), une disposition qui fait peser selon elle un «risque majeur» sur l’«impartialité de la justice».
Eu égard à la «trentaine de réformes législatives» sur l’immigration depuis les années 70, qui ont été «fréquemment contre-productives», Claire Hédon dit par ailleurs douter que le projet soit efficace pour atteindre ses objectifs. «Légiférer à brefs intervalles entraîne une complexification constante du droit applicable aux étrangers et alimente les difficultés des administrations» pour l’appliquer, observe la Défenseuse, dont les services sont massivement saisis de réclamations relatives aux droits des étrangers : leur nombre a augmenté de 233 % entre 2019 et 2022.
Saint-Brévin-les-Pins (44) : manifestation contre un futur centre de migrantsqui serait situé sur la même parcelle qu’une école maternelle. Echauffourées entre immigrationnistes d’extrême-gauche et la police. (MàJ)
25/02/2023
Bélâbre (36) : manifestation des habitants contre l’ouverture en cachette d’un centre d’hébergement pour 38 migrants dans ce village de 900 habitants (MàJ)
25/02/2023
21/02/23
Après la Bretagne et la Corrèze, c’est dans le Berry que Viltaïs, association à la tête d’un réseau d’hébergements pour migrants, prévoit d’ouvrir très prochainement un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA). Une nouvelle fois, les riverains ne semblent pas avoir été consultés…
Une population tenue à l’écart
« Nous avons le sentiment d’avoir été trahis par notre maire. » À Bélâbre (Indre), dix jours après le dernier conseil municipal, la colère ne retombe pas. Sans les avertir, le maire a décidé de vendre l’ancienne chemiserie à l’association bourbonnaise pour en faire un centre pour demandeurs d’asile. Adopté lors du dernier conseil municipal (13 voix pour, 2 contre), la vente doit être ratifiée par le maire d’ici le 28 février prochain, pour la modique somme de 40.000 euros. Une fois réhabilitée, cette ancienne friche industrielle pourra accueillir au maximum 38 migrants.
Comme Corlay (Côtes d’Armor), les habitants du village ont été tenus à l’écart. « Jusqu’au vote, nous avons eu aucune information de la part de la mairie » s’insurge une Bélâbraise auprès de BV. « Tout se fait en catimini » dénonce un de ses voisins. Aucune communication ne semble avoir été faite par la municipalité en amont. Seule une publication sur les réseaux sociaux de Viltaïs annonçait des offres d’emploi pour s’occuper du prochain CADA Solïs dans l’Indre. Une annonce passée inaperçue à Bélâbre… Ce n’est donc qu’avec la publication des délibérations du conseil municipal que la population locale a pu prendre connaissance du projet. « Quand nous avons découvert le vote, il y a eu une levée de boucliers dans le village » nous explique une riveraine. Pour beaucoup, l’incompréhension domine. « Bélâbre est une commune rurale, où il n’y absolument aucun boulot… » réagit Jean-Michel Perroux, candidat Reconquête aux élections législatives, qui s’interroge encore sur la volonté de répartir les migrants à la campagne. Contactée à plusieurs reprises, la mairie n’a pas donné suite à nos sollicitations.
Tunisie : le porte-parole de la Garde nationale Houssemeddine Jebabli prévient que les Tunisiens qui hébergent ou emploient des migrants clandestins seront arrêtés
25/02/2023
Le porte-parole de la Garde nationale, Houssemeddine Jebabli, a affirmé, lors de son intervention, hier, jeudi 24 février 2023, dans l’émission « Rendez-Vous 9 » animée par Malek Baccari et diffusée sur la chaîne Attessia, qu’une campagne d’arrestations sera menée contre les Tunisiens qui hébergent ou emploient des migrants en situation irrégulière.
Houssemeddine Jebabli a précisé que les Tunisiens qui emploient des clandestins, principalement des Subsahariens, veulent échapper à leurs obligations légales d’employeurs.
Il a souligné que la migration clandestine est en rapport direct avec la hausse du taux de criminalité dans le pays. « Nous allons communiquer sur les mesures et le travail qui sera accompli par nos services et nous tenons à remercier les citoyens qui ont alerté sur de nombreuses embarcations clandestines qui auraient pu conduire à des catastrophes » a conclu Houssemeddine Jebabli.
Nevers : fermeture d’un centre socioculturel suite à des menaces et violences racistes visant les salariés ; le directeur traité de “sale blanc” (MàJ : le centre ravagé par un incendie criminel, les locaux de la mairie touchés)
26/02/2023
26/02/23
Après l’embrasement volontaire des locaux de la mairie de proximité installés dans l’Espace socioculturel du Grand Ouest (Esgo) de Nevers vendredi 24 février, énième exaction commise contre cette structure, le maire de Nevers et le préfet de la Nièvre sont venus ce samedi à la rencontre des habitants et usagers. Pour les assurer que force restera au droit.
Les locaux de la mairie de proximité de la Grande-Pâture, intégrés à l’Espace socioculturel du Grand Ouest de Nevers (Esgo) ne sont plus que décombres noircis par l’incendie volontaire du vendredi soir.
“C’est incompréhensible, irrationnel ! Ce sont des gens qui n’ont pas de cerveau ! Vouloir dégrader un équipement public, fait pour les gens, pour qu’ils se réunissent, qu’ils prennent des cours de danse, qu’ils pratiquent des activités associatives… Le centre social crée de l’animation dans le quartier. La mairie de proximité, elle, est au service des gens, rien d’autre. Ces personnes ne comprennent pas la vie en société. Notre premier objectif est de les trouver, et qu’ils assument, devant la justice, leurs faits.”
(…) Lors des échanges avec les Neversois présents, excédés, préoccupés et inquiets, le préfet a aussi invité les habitants à témoigner et à faire part de leurs informations à la police. Pour illustrer cet appel à participation, Daniel Barnier a regretté que les enquêtes judiciaires en cours sur les dégradations précédentes contre l’Esgo et ses personnels, n’ont bénéficié d’aucun témoignage. “Certains ont pu être menacés, il faut qu’ils le fassent savoir.”
Côté monde associatif, Jean-Claude Cluzeau, président de la Maison des Montôts et ses 160 adhérents, présents ordinairement trois après-midi par semaine, se trouvent désormais privés des activités de jeux, aquarelles, scrabble. Ce sont pour la plupart des personnes d’un certain âge, parfois des personnes seules, qui se rassemblent, ne serait-ce que pour jouer aux cartes. “Nous formons un lien social indispensable. Je suis venu pour exprimer notre inquiétude et dire que nous espérons que la Ville ne tarde pas à trouver d’autres lieux pour nous permettre de continuer nos activités.”
Un souhait qu’a voulu conforter Denis Thuriot d’un volontariste : “Il n’y aura pas de zone de non-droit dans Nevers !”
La voiture du directeur de l’Esgo de Nevers a été brûlée, lundi 23 janvier, au soir. Énième acte de délinquance contre cet établissement et son personnel. L’incendie de trop ! L’Esgo est fermé pour une durée inconnue.
(…) “Un maximum a été atteint”, déplorent les responsables du site. L’Espace est la cible, depuis près de deux ans, “de cambriolages, de dégradations du bâtiment, de menaces à l’encontre des agents et de vandalisme sur leurs véhicules personnels”, exposent-ils, sous le choc, au lendemain de cet incendie. “Cette spirale de violence […] ne cesse de croître”, s’agacent-ils.
Les quinze salariés “ont décidé, ce jour (NDLR, mardi 24 janvier), d’exercer leur droit de retrait jusqu’à ce que des garanties leur soient apportées et qu’ils puissent reprendre le travail en toute quiétude”, préviennent les responsables. Toute l’équipe s’interroge sur les motivations des délinquants alors que l’Esgo poursuit pour seuls objectifs “d’apporter des services aux habitants du Grand Ouest de Nevers, de leur offrir des activités et, dans le respect, l’écoute et la tolérance, de renforcer le lien social”.
Le directeur avait déjà été visé en juillet 2022. Trois éducateurs aussi. Ils avaient subi insultes, paroles calomnieuses, menaces à caractère raciste, actes de dégradations sur leurs véhicules. “Sale blanc” avait été écrit à la pointe sur la carrosserie de l’automobile du directeur, stationnée sur le parking.
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