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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 21 février 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : La Russie tue « sans pitié » des civils à Kherson, dénonce Zelensky après une frappe qui a fait six morts…

 

L’ESSENTIEL

  • Joe Biden a effectué une visite surprise à Kiev lundi, confirmant ainsi son soutien « indéfectible » à Volodymyr Zelensky. Par mesure de précaution, Washington avait averti Moscou « quelques heures avant » du départ du président américain pour sa première visite dans la capitale ukrainienne depuis le début le 24 février 2022 de l’invasion de l’Ukraine.
  • A Kiev, Joe Biden a promis pas moins de 500 millions de dollars d’armes supplémentaires, « notamment des munitions d’artillerie, des systèmes antiblindage et des radars de surveillance aérienne ».
  • Après l’Ukraine, le président américain est en Pologne. Il doit rencontrer ce mardi à Varsovie les dirigeants polonais, qui sont parmi les principaux soutiens européens de Kiev, et prononcer un discours très attendu.
  • Le PIB de la Russie s’est contracté de 2,1 % en 2022, résistant mieux que prévu à l’impact des lourdes sanctions occidentales après l’offensive de Moscou en Ukraine, selon les statistiques officielles publiées lundi.
Vers une guerre de religion, infos du 21 février 2023

 

13h47 : La décision de la Russie de suspendre sa participation à New Start est « très décevante et irresponsable », estime Antony Blinken

Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a jugé mardi à Athènes que la décision de la Russie de suspendre sa participation à l’accord New Start sur le désarmement nucléaire était « très décevante et irresponsable ».

« L’annonce par la Russie qu’elle suspend sa participation à New Start est très décevante et irresponsable », a-t-il indiqué à quelques journalistes à l’ambassade des Etats-Unis à Athènes. « Mais bien évidemment nous restons prêts à discuter sur la limitation des armes stratégiques à n’importe quel moment avec la Russie », a-t-il ajouté.

 

12h55 : L’Ukraine jure de « chasser et punir » la Russie après le discours de Poutine

Les menaces de Vladimir Poutine lors de son discours ce mardi matin n’ont pas fait fléchir la présidence ukrainienne. « Pour le dire brièvement, [les Russes] sont stratégiquement dans une impasse. Notre tâche est de les chasser d’Ukraine et de les punir pour tout », a indiqué sur Telegram, Andriï Iermak, le chef de cabinet de Volodymyr Zelensky.

 

12h52 : Moscou exige que les Etats-Unis retirent d’Ukraine « soldats et équipements » de l’Otan

La diplomatie russe a convoqué mardi l’ambassadrice américaine à Moscou pour lui remettre une note exigeant des Etats-Unis le retrait des « soldats et équipements » de l’Otan en Ukraine, référence à l’aide militaire que Kiev reçoit des Occidentaux. « Il a été noté en particulier que pour aboutir à une désescalade de la situation, Washington doit prendre des mesures en vue du retrait des soldats et équipements américains et de l’Otan, et cesser ses activités antirusses », a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères, dans un communiqué. Pas dit que les Etats-Unis accèdent à se demande…

 

11h17 : Washington dénonce « l’absurdité » du discours anti-occidental de Poutine

Un haut responsable américain a dénoncé mardi « l’absurdité » des accusations du président Vladimir Poutine qui a affirmé que la menace occidentale contre la Russie justifiait l’invasion de l’Ukraine.

« Personne n’attaque la Russie. Il y a une sorte d’absurdité dans l’idée que la Russie était sous une forme de menace militaire de la part de l’Ukraine ou de quiconque d’autre », a déclaré aux journalistes le conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche, Jake Sullivan.

 

Note: " Personne n’attaque la Russie " c'est faux, les américains se servent de l'Ukraine pour faire la guerre a la Russie. Et notez bien le nom de Jake (jacob) Sullivan  très proche de Biden, son nom apparais en "fevrier 2014" dans la communication téléphonique qui démontre l’ingérence américaine en Ukraine

 

11h10 : Poutine accuse l’Occident d’avoir fait de la pédophilie « la norme »

Vladimir Poutine a appelé mardi à poursuivre les « traîtres » en Russie, en pleine répression de toute voix critique du Kremlin et du conflit en Ukraine, à coups d’arrestations et de lourdes peines de prison.

« Ceux qui ont choisi de trahir la Russie doivent être tenus responsables devant la loi », a déclaré le président russe, lors d’un discours à la nation, avant d’assurer qu’il ne s’agissait pas pour autant d’une « chasse aux sorcières ».

 

10h59 : Poutine accuse l’Occident d’avoir fait de la pédophilie « la norme »

Le président russe Vladimir Poutine a accusé mardi l’Occident d’avoir fait de la pédophilie « la norme », dans un discours annuel à la nation très attendu, un an après le début de l’offensive militaire en Ukraine.

« Regardez ce qu’ils font avec leurs propres peuples : la destruction des familles, des identités culturelles et nationales, la perversion et la maltraitance des enfants jusqu’à la pédophilie, sont déclarées comme étant la norme (…). Et les prêtres sont obligés de bénir les mariages entre homosexuels », a-t-il lancé dans son allocution.

 

Note; la pédophilie ! un peut exagéré, mais il fait peut être allusion au penchant de Biden père et fils qui circule sur le net. 

 

10h53 : Pas d'« effondrement de l’économie » russe

 

Les Occidentaux « s’attendaient à un effondrement de notre économie », a critiqué Vladimir Poutine, assurant que contrairement aux espérances de l’Ouest, l’économie russe a résisté et reste en forme. Ils « ont cherché à s’en prendre aux entreprises russes, à limiter notre accès au marché d’exportation, à faire chuter le rouble et à entraîner une inflation » mais « notre économie change rapidement », a déclaré le chef d’Etat.

 

10h47 : Poutine fustige les sanctions

Vladimir Poutine a fustigé les sanctions des pays occidentaux, assurant que l’unique objectif de celles-ci était d'« imposer des souffrances à nos citoyens ». « Voilà les humanistes qu’ils sont ! », a grincé le président russe.

« Mais la gouvernance russe s’est avérée beaucoup plus solide que ne le pensait l’Occident », s’est-il félicité, ajoutant que Moscou a « pu protéger la population » des sanctions occidentales.

 

 

10h41 : Giorgia Meloni est arrivée à Kiev

 

 

10h38 : Moscou ne se bat « pas contre le peuple ukrainien »

Moscou ne se bat « pas contre le peuple ukrainien », assure Vladimir Poutine. C’est l’Occident qui veut « en finir » avec la Russie, selon le président russe. « Les élites de l’Occident ne cachent pas leur objectif : infliger une défaite stratégique à la Russie, c’est-à-dire en finir avec nous une bonne fois pour toutes », a-t-il martelé, dans une allocution intervenant trois jours avant le premier anniversaire de l’offensive russe.

 

10h35 : Poutine réaffirme l’annexion des régions ukrainiennes de Lougansk et de Donetsk

« Nous nous inclinons devant le courage des habitants de Lougansk et de Donetsk », déclare Vladimir Poutine qui affirme que ces derniers ont choisi « leur destin » après les référendums d’annexion, décriés par la communauté internationale.

 

10h30 : Vladimir Poutine remercie le peuple russe

Vladimir Poutine remercie le peuple russe pour « son courage et sa détermination », devant l’élite politique du pays et des militaires qui ont combattu en Ukraine. Professeurs, militaires, aumôniers, fonctionnaires… De nombreuses professions sont saluées par le président russe dans son discours à la nation.

 

10h26 : « Sur le champ de bataille, il est impossible de battre la Russie »

« Sur le champ de bataille, il est impossible de battre la Russie », affirme Vladimir Poutine qui ajoute que « l’Occident va essayer de faire vaciller » la société russe.

 

10h24 : « Plus des systèmes à longue portée arriveront en Ukraine, plus nous serons contraints de repousser la menace à nos frontières »

« L’Occident cherche aujourd’hui à augmenter les approvisionnements militaires pour changer le cours des évènements. Plus des systèmes à longue portée arriveront en Ukraine, plus nous serons contraints de repousser la menace à nos frontières », prévient le président russe.

 

10h21 : Poutine dénonce une « politique revancharde » contre la Russie

Vladimir Poutine continue à utiliser les mêmes discours, fustigeant d’un côté la « russophobie », de l’autre le « néonazisme » de Kiev. « C’est une politique revancharde contre notre pays » qui est menée par les Occidentaux qui « occupent l’Ukraine politiquement, militairement et économique », dénonce le chef d’Etat.

 

 

10h18 : Poutine promet de continuer « soigneusement » son offensive en Ukraine

 

10h17 : « C'est eux qui ont fait éclater la guerre et nous avons utilisé la force pour mettre un terme à cette guerre ! »

 

10h16 : Se « défendre » face à la « conduite agressive » de l’Otan

Vladimir Poutine fustige pêle-mêle « l’élargissement de l’Otan à nos frontières, la création de nouveaux sites de déploiement de leurs missiles, des contingents militaires à la frontière de la Russie ». « Dans aucun pays dans le monde il n’y a autant de bases militaires qu’aux Etats-Unis, ils ont des bases dans le monde entier », juge le président russe qui dit que Moscou devait se « défendre face à leur conduite agressive ».

 

10h13 : « Nous avons tout fait pour parvenir à une solution pacifique », martèle Vladimir Poutine

« Nous réglerons les défis qui se posent à nous », promet le président russe Vladimir Poutine qui assure qu'il y a eu « des négociations entre Kiev et l'Occident pour recevoir des armes - et même la possibilité pour Kiev de recevoir l'arme nucléaire - avant l'opération militaire spéciale ». « Nous avons tout fait pour parvenir à une solution pacifique », martèle Vladimir Poutine qui dénonce une « méthode répugnante du mensonge » dans une charge acide contre les Occidentaux. 

 

10h10 : « Nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour régler ce problème de manière pacifique », estime Poutine

« Chacun d’entre nous a une responsabilité colossale, il y a un an pour défendre les habitants des régions historiques, pour protéger notre peuple et éliminer une menace du régime néonazi en Ukraine, la décision a été prise de conduire une opération militaire spéciale », déclare le président russe Vladimir Poutine devant l'élite politique du pays et des militaires qui ont combattu en Ukraine. « Nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour régler ce problème de manière pacifique », a-t-il estimé.

 

10h06 : Le grand discours annuel de Vladimir Poutine commence

 

 

10h05 : Le Kremlin dit suivre « avec attention » les visites de Biden à Kiev et à Varsovie

Le Kremlin a indiqué mardi suivre « avec attention » la visite du président américain en Ukraine et en Pologne, ajoutant que ce déplacement n'« affecterait pas » la politique russe.

« Nous avons naturellement suivi [la visite de Joe Biden en Ukraine lundi] avec attention, et nous regarderons attentivement ce qui se passera en Pologne aujourd’hui », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, lors d’une interview à la chaîne publique russe Pervy Kanal.

 

07h42 : Vladimir Poutine prononcera un grand discours annuel ce mardi

A Moscou, Vladimir Poutine doit prononcer mardi à 10 heures un grand discours annuel devant l’élite politique russe, selon le Kremlin. Il s’agira de son premier discours depuis le début de son opération militaire, selon l’agence de presse russe Ria Novosti.

D’après l’Institut pour l’étude de la guerre (ISW) il est « peu probable que le président russe Vladimir Poutine annonce des mesures pour une nouvelle escalade de la guerre en Ukraine, de nouvelles initiatives majeures de mobilisation russe ou tout autre programme ».

Dans ses adresses précédentes, le président russe avait fustigé la menace qu’il considère que l’OTAN fait peser sur son pays, et avait justifié son « opération militaire spéciale » en Ukraine en citant l’histoire de Russie.

DIRECT

 

 

 

 

"C'est l'Occident qui a déclenché la guerre et nous utilisons la force pour l'arrêter", dit Poutine

 

 

Les pays occidentaux connaissent déjà la méthode des mensonges, "la notion d'honneur n'est pas pour eux", a jugé Vladimir Poutine en s’adressant au Parlement russe. Pour le Président russe, c'est le moyen auquel a eu recours l'Occident dans le conflit ukrainien.

Lors de son adresse au parlement russe, Vladimir Poutine a imputé la responsabilité de l'attisement du conflit en Ukraine "entièrement" aux élites occidentales.

La Russie a pour sa part fait tout pour résoudre le problème du Donbass par la voie pacifique, a poursuivi le chef de l'État russe.

"Nous avons patiemment négocié une issue pacifique à ce conflit difficile. Mais un tout autre scénario se préparait dans notre dos", a-t-il déployé.

En souhaitant "transformer un conflit local en une confrontation globale", l'Occident ne cache pas son intention de "mettre fin [à la Russie] une fois pour toutes", a fait savoir le Président russe.

Kiev et l'Occident se préparaient à la guerre

Alors que Kiev avait tenu des pourparlers sur des livraisons d'armes, les pays occidentaux en ont livrés et ont également formé des officiers des bataillons nazis ukrainiens.

Avant même le début de l'opération militaire spéciale russe, Kiev négociait avec l'Occident sur la fourniture de systèmes de défense aérienne, d'avions de combat et d'autres équipements lourds. Nous nous souvenons également des tentatives du régime de Kiev d'obtenir des armes nucléaires, parce que nous en avons parlé publiquement ", a tenu à souligner le chef de l'État russe.

La voie des mensonges

M.Poutine a d'ailleurs rappelé que les pays occidentaux connaissaient déjà la méthode des mensonges. Ils y ont eu recours dans le conflit ukrainien.

 

"Ils se sont comportés de manière tout aussi fourbe en détruisant la Yougoslavie, l'Irak, la Libye, la Syrie. Ils ne se laveront jamais de cette honte. La notion d'honneur, de confiance, de décence n'est pas pour eux", a-t-il expliqué.*

Spoutnik

 

 

 

Poutine: l'Occident avait ouvert la voie aux nazis en Allemagne et fait de l'Ukraine une anti-Russie

 

Vers une guerre de religion, infos du 21 février 2023

L'Occident fait de l'Ukraine une "anti-Russie", de la même manière que dans les années 1930, il avait ouvert la voie vers le pouvoir aux nazis en Allemagne, a déclaré le chef de l'État russe dans son message au Parlement. Kiev, en attendant, crée des unités militaires ayant des noms identiques à des divisions d'Hitler, déplore-t-il.

Dans les années 1930, l'Occident avait ouvert la voie au pouvoir aux nazis en Allemagne. Aujourd’hui, il fait de l'Ukraine une "anti-Russie", a déclaré Vladimir Poutine lors de son discours devant le parlement russe.

Des références nazies

Pour Poutine, il est honteux d'avoir donné à l'une des brigades de l'armée ukrainienne le nom d'Edelweiss, celui utilisé par les nazis dans les années 1940.

"Les néonazis ne cachent pas de qui ils se considèrent les héritiers. Il est étonnant qu'en Occident, aucun de ceux qui détiennent le pouvoir n'y accorde d’attention", a indiqué le Président russe.

Il s'agit de la décision de Volodymyr Zelensky de nommer Edelweiss une brigade de chasseurs alpins. Un groupe de combat du même nom avait été créé en 1944 sur le territoire de la Slovaquie pour, entre autres, identifier et éliminer des détachements partisans. Il y avait aussi un autre Edelweiss, une division d'infanterie de montagne de la Wehrmacht.

"Des signes de la Wehrmacht de l'Allemagne nazie sont appliqués sur des blindés ukrainiens", a ajouté M.Poutine. Selon lui, sont aussi particulièrement populaires les chevrons "Das Reich", "Totenkopf" ou encore "Galicie", soit des unités SS "qui ont elles aussi les mains couvertes de sang". Et de rappeler que la division Edelweiss avait participé à la déportation des Juifs, à des exécutions de prisonniers de guerre, à des actions de nettoyage contre les partisans de Yougoslavie, d'Italie, de Tchécoslovaquie et de Grèce.

Spoutnik

 

 

 

Guerre en Ukraine : 10 heures de train, escale en Allemagne, Moscou prévenu... Dans les coulisses du déplacement surprise de Joe Biden à Kiev

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 21 février 2023

Alors que Joe Biden passait en apparence un week-end calme à la Maison blanche, allant dîner avec son épouse Jill Biden samedi dans un restaurant de Washington - une rare sortie en ville -, les conseillers du président américain s'affairaient activement en coulisses pour préparer une visite surprise à Kiev ce lundi.

À quelques jours du premier anniversaire de l'offensive lancée par la Russie en Ukraine, Joe Biden entendait afficher le soutien de Washington à l'Ukraine. La décision d'effectuer ce lundi cette visite dans les tuyaux depuis plusieurs mois, a été prise vendredi, a indiqué la Maison blanche.

Joe Biden a été transporté tôt dimanche matin vers la base Andrews, en périphérie de Washington, d'où il a décollé en compagnie d'une poignée de conseillers et d'une présence médiatique très limitée - seuls un journaliste et un photographe étaient à bord de l'avion, contre un "pool" de reporters habituellement.

Après une escale sur la base militaire aérienne américaine de Ramstein, en Allemagne, pour refaire le plein de carburant, l'avion transportant le président américain a pris la direction de Rzeszow, dans le sud-est de la Pologne. De là, Joe Biden a été transporté en voiture vers Przemysl, ville située à la frontière entre la Pologne et l'Ukraine.

S'en est suivi un trajet nocturne en train d'une durée de dix heures pour emmener Joe Biden à Kiev, avec un important dispositif de sécurité à bord.

"C'est bon de revenir à Kiev", a dit le président américain à son arrivée à la station Pasazhyrsky de la capitale ukrainienne lundi aux alentours de 8 heures.

Membre de la délégation ayant accompagné Joe Biden, le conseiller à la sécurité nationale de la Maison blanche a indiqué que des représentants américains avaient prévenu leurs homologues russes que Biden allait se rendra à Kiev.

"Nous l'avons fait quelques heures avant son départ, à des fins de déconflictualisation", a déclaré Jake Sullivan lors d'une conférence téléphonique avec des journalistes, refusant de donner davantage de précisions.

Il a ajouté que ce déplacement avait nécessité des efforts sécuritaires et logistiques du gouvernement et d'agences fédérales américaines afin que le niveau de risque soit "gérable".

Joe Biden a ensuite repris la direction de la Pologne pour une visite à Varsovie, d'où il tiendra un discours ce mardi.

Source

 

 

La Chine accuse les États-Unis de "doubles standards" sur le problème nucléaire nord-coréen et déclare que les sanctions sont une "impasse"

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 21 février 2023

Le Conseil de sécurité s'est réuni lundi après que la Corée du Nord a effectué un autre test de missile balistique à courte portée, tirant deux missiles vers ses eaux orientales dans un avertissement aux États-Unis, qui continuent de déployer leurs muscles militaires près de la frontière du pays.

Les États-Unis et d'autres pays faisant pression pour discuter de la question nucléaire de la Corée du Nord au niveau du Conseil de sécurité de l'ONU ont été accusés par la Chine d'avoir une mentalité de "deux poids deux mesures".

lecture de Selon une remarques faites par l'ambassadeur de Chine Dai Bing lors du briefing du Conseil de sécurité de l'ONU sur la question nucléaire nord-coréenne.

Pékin a suivi de près l'escalade des tensions autour de la péninsule coréenne et exhorte toutes les parties concernées à "rester calmes, à faire preuve de retenue et à rester attachées à la bonne direction du règlement politique".

"Manipulation géopolitique"

La Corée du Nord, officiellement la République populaire démocratique de Corée (RPDC), est depuis longtemps confrontée à d'énormes pressions, défis et menaces en matière de sécurité, a souligné l'ambassadeur de Chine à l'ONU, soulignant les activités militaires conjointes autour de la péninsule cette année, qui ont été intensifiées. par les États-Unis et leurs alliés.

"Les États-Unis ont annoncé des exercices militaires conjoints à un niveau supérieur et à plus grande échelle, ainsi qu'un déploiement rapide d'actifs stratégiques. Le secrétaire général de l'OTAN a effectué une visite très médiatisée dans les pays de la région, où il a promu la mentalité de la guerre froide et la confrontation des blocs. De telles mesures sont hautement provocateur pour la RPDC et aggraver son sentiment d'insécurité. Les pays concernés devraient sérieusement réfléchir à la causalité pertinente », a averti l'ambassadeur Dai Bing.

La Chine exhorte vivement à tirer les leçons de l'histoire et à éviter un cercle vicieux d'escalades répétées risquant de « pousser la situation hors de contrôle ».

"Certains pays, en particulier, devraient renoncer à leur manipulation géopolitique, arrêter les clameurs sur la guerre et s'abstenir de recourir à la pression à chaque tournant par le biais d'exercices et de sections militaires", a déclaré l'envoyé de la Chine auprès de l'ONU.

Concernant le Conseil de sécurité de l'ONU, la Chine a insisté pour que l'organe joue un rôle constructif, toutes les discussions relatives à la situation actuelle dans la péninsule étant conçues pour apaiser les tensions et, à la place, renforcer la confiance mutuelle et incorporer un appel à la reprise des pourparlers entre les deux parties. Ces dernières étaient une série de négociations multilatérales tenues par intermittence à partir de 2003 et impliquant la Chine, le Japon, la Corée du Nord, la Russie, la Corée du Sud et les États-Unis.

Pékin a fustigé certains membres du conseil pour avoir continuellement poussé à des réunions sur la question nucléaire de la RPDC, tout en exigeant davantage de sanctions contre la Corée du Nord.

« La mise en œuvre des sanctions et la promotion de la reprise des pourparlers sont deux façons de mettre en œuvre les résolutions du Conseil. L'un ne doit pas peser sur l'autre ni se substituer à l'autre, ni être mis en œuvre de manière sélective. La poursuite exclusive et l'accumulation de sanctions ne mèneront qu'à une impasse », a conclu l'envoyé chinois à l'ONU.

Une réunion urgente du Conseil de sécurité de l'ONU a été demandée à la demande du Japon pour discuter des derniers essais de missiles effectués par la Corée du Nord - le lancement samedi d'ICBM et le tir d'essai lundi de deux missiles balistiques. Washington a proposé que le Conseil condamne les lancements de missiles balistiques de la Corée du Nord, l'ambassadrice américaine aux Nations Unies Linda Thomas-Greenfield déclarant que l'inaction était "pire que honteuse. C'est dangereux".

Pyongyang a confirmé plus tôt qu'il avait testé deux missiles à partir d'un système de lance-roquettes multiples (MLRS) le 20 février, selon l'agence de presse officielle. Il a déclaré que les deux missiles, tirés vers la mer du Japon, avaient parcouru 395 kilomètres (245 miles) et 337 kilomètres.

Samedi, la Corée du Nord a testé un missile balistique intercontinental Hwasong-15 (ICBM). Le lancement a été effectué depuis l'aéroport international de Pyongyang et le missile a atteint une altitude maximale de 5 768 kilomètres (3 584 miles), couvrant une distance de 989 kilomètres, selon l'armée sud-coréenne.

En outre, Kim Yo-jong, un haut responsable politique nord-coréen et la sœur du dirigeant du pays Kim Jong-un, a émis un avertissement alors que les États-Unis, qui ont mené un exercice aérien conjoint avec la Corée du Sud le 19 février, impliquant des F-35 et Des avions militaires F-16, ainsi qu'un bombardier stratégique américain B-1 Lancer, et un exercice aérien conjoint séparé avec le Japon le même jour.

"La fréquence d'utilisation du Pacifique comme champ de tir dépend du caractère d'action des forces américaines. Nous sommes bien conscients du mouvement des moyens de frappe stratégique des forces américaines, (qui sont) récemment devenus rapides autour de la péninsule coréenne", a-t-elle déclaré.

Spoutnik

 

 

 

 

Espionnage, lobbying, infiltration, drogue et immigration : comment le Maroc tient la France

Bien sûr, on s’espionne entre alliés. C’est même le moyen de savoir si l’autre est bien un allié. Mais le Maroc n’aurait pas « seulement » écouté Emmanuel Macron et certains de ses ministres. Il aurait aussi cherché à corrompre des eurodéputés.

Le 19 janvier, pour la première fois de leur histoire, les eurodéputés ont taclé le royaume du Maroc, lui enjoignant de « respecter la liberté d’expression et la liberté des médias » et de « mettre un terme au harcèlement de tous les journalistes ». Ils en ont aussi profité pour dire combien ils étaient « profondément préoccupés par les allégations selon lesquelles les autorités marocaines auraient corrompu des députés au Parlement européen ».

Une attaque en règle, aux antipodes des propos de l’ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier, qui, au lendemain de ce vote fort mal reçu du côté de Rabat, a clamé que « la résolution du Parlement européen n’engage aucunement la France ». Une manière de rappeler que, entre ces deux pays, ce n’est pas une histoire comme une autre, et ce, malgré les coups bas que le royaume inflige régulièrement à la République.

CORRUPTION À BRUXELLES

Loin de ce que sous-entend la dénomination de « Qatargate », tout est en effet parti de soupçons d’ingérence portant sur le Maroc. Ce dernier constitue bel et bien le point de départ des investigations lancées par les services de renseignement belge et désormais entre les mains de la justice de nos voisins d’outre-Quiévrain, laquelle enquête notamment pour corruption. L’enjeu : le royaume chérifien a-t-il corrompu des élus pour faire voter à Bruxelles des lois en sa faveur ? En France, cela n’émeut manifestement pas grand monde parmi nos politiques et leaders d’opinion…

INFLUENCE ET INGÉRENCE

À croire que le Maroc est dans notre pays comme chez lui. « Les services marocains se sont toujours mal comportés en France », glisse à Marianne un ponte du renseignement, qui rappelle l’affaire Ben Barka – chef de file de l’opposition marocaine au roi Hassan II, le père de l’actuel monarque –, lequel avait disparu en plein Paris à l’automne 1965. Et notre homme de poursuivre : « Les services marocains [la DGED] n’ont aucune pudeur en France, quand bien même ils sont pris la main dans le sac. Souvenez-vous de cet espion qui, identifié en 2016, avait notamment corrompu un membre de la police aux frontières pour se procurer des documents ulltraconfidentiels, comme des fiches “S” de personnes radicalisées. » On nous opposera que la France n’est pas un parangon de vertu. Certes. Il n’empêche, l’ancien protectorat déploie ses réseaux dans tous les rouages de la République, du sommet de l’État au conseil municipal d’Ivry-sur-Seine.

(…) Marianne


(…) Afin d’obliger le Maroc à reprendre ces clandestins, Emmanuel Macron avait décidé à l’automne 2021 de restreindre le nombre de visas délivrés ; et Mohammed VI, de jouer la rétorsion. À l’été 2022, Rabat a annulé le laissez-passer consulaire nécessaire à l’expulsion de l’imam marocain Hassan Iquioussen (prédicateur du nord de la France par ailleurs fiché « S ») pour des « propos incitant à la haine et à la discrimination ». Il a finalement été expulsé vers son pays par la Belgique, où il avait fui. Une politique de fermeté sur les visas, levée depuis, et qui n’a pas eu l’heur de faire véritablement fléchir notre ami le roi.

PARCE QUE C’EST L’UNE DES PORTES D’ENTRÉE DE LA DROGUE VERS L’EUROPE

Premier producteur mondial de résine de cannabis selon l’ONU, le Maroc devrait figurer au sommet de la « wanted list » du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui proclame régulièrement que « la lutte contre la drogue, partout sur le territoire, est une priorité ». Sollicité par Marianne, le ministère refuse pourtant tout commentaire sur sa coopération avec Rabat dans la lutte antidrogue, à l’instar de l’Office antistupéfiants (Ofast). Preuve que le sujet est sensible Place Beauvau. Et pour cause.

(…) Marianne

 

 

 

Des étudiants de l’IUT de Mantes-la-Jolie et SOS Racisme bloquent l’entrée de l’établissement : un professeur aurait fait toucher un outil nommé “queue de cochon” à des élèves musulmans (MàJ : Suspendu)

Un professeur de l’IUT de Mantes-la-Jolie (Yvelines) a été suspendu provisoirement suite à des accusations de racisme. Il aurait notamment harcelé un élève depuis le début de l’année scolaire.

[…]

 

Selon les éléments recueillis par France Bleu, le professeur s’en serait pris physiquement à l’étudiant harcelé. Ce dernier s’était plaint à la direction, et c’est en représailles qu’il a été poussé contre un mur. C’est ce geste qui a déclenché une vague de colère et d’indignation chez les autres étudiants. Un blocage de l’IUT a été organisé de mardi 14 à vendredi 17 février 2023. Suite à ce mouvement, la présidence de l’université a décidé de suspendre le professeur.

Contactée par France Bleu Paris, la présidence de l’université n’a pas donnée suite aux demandes d’interviews. Elle précise dans un communiqué que “la suspension du professeur n’est pas une appréciation de l’affaire sur le fond mais a pour objectif de mettre fin à un trouble manifeste à l’ordre public”. L’Université a sollicité le ministère. Ce dernier a saisi l’inspection générale de l’Education, du Sport et de la Recherche. Une mission va être lancée.

France Bleu


19/02/2023

« Étudiants musulmans, levez la main ! » La scène se passe en cours de maintenance industrielle, au sein de l’IUT de Mantes-la-Jolie (Yvelines). Quelques secondes plus tard, le prof qui vient de donner cette consigne à sa classe distribue un outil d’usinage appelé « queue-de-cochon » dans le jargon. Et fait ce commentaire à peine croyable : « Je suis bien content d’avoir fait toucher une queue-de-cochon à des musulmans. » Stupeur sur les bancs.

Devant l’établissement, le blocus entamé mardi 14 février au matin, à l’initiative d’une cinquantaine d’étudiants, se poursuit ce jeudi. Des chaînes ont été apposées sur les portes de l’IUT alors qu’une enquête administrative est en cours, diligentée par l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ).

(…) Le Parisien

Des étudiants de l’IUT de Mantes-la-Jolie ont bloqué l’entrée de l’établissement ce mardi matin. Ils dénoncent notamment des “propos racistes” et des “remarques à répétition” de la part de professeurs. Une enquête interne a été lancée par l’université.

Non au racisme“, dénonce une banderole accrochée sur les grilles de l’établissement. Ce mardi matin, une quarantaine d’étudiants ont bloqué l’entrée de l’institut universitaire de technologie (IUT) de Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines. Alors qu’aucun cours n’a été dispensé ce matin, les étudiants mobilisés demandent “la mise à pied à titre conservatoire” d’un professeur.

Ils dénoncent l’”agression violente” d’un étudiant par le professeur en question, dans un couloir de l’établissement. Une étudiante, qui explique avoir été témoin de la scène, évoque “des bousculades et des hurlements“. “Le professeur a bousculé violemment un étudiant en lui hurlant dessus“, explique-t-elle. Elle évoque par ailleurs “des propos racistes” par rapport à l’origine maghrébine de l’étudiant, “avant l’agression“.

Les étudiants mobilisés dénoncent aussi un “climat” inapproprié à l’IUT. “Il y a déjà eu des mises à pied avec deux professeurs qui nous ont harcelés toute l’année. C’était de la pression, du chantage : ‘Si vous ne faites pas la visio de ce soir à 22 heures, vous serez défaillants, vous aurez des malus’“, affirme une autre étudiante, qui témoigne également de manière anonyme.

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Brest (29) : un voleur tunisien multirécidiviste, sous le coup d’une OQTF, interpellé grâce à ses traces de sang

Suite à l’appel d’un témoin, la brigade anticriminalité a interpellé un homme, rue François-Luzel, dans le quartier de Lambézellec à Brest, samedi 18 février 2023. Ce dernier tentait de s’introduire dans un logement et saignait de la main.

Il avait sur lui un brise-vitre et plusieurs objets, probablement volés, dans son sac à dos.

Le sang de l’individu, éparpillé sur le chemin, a permis aux policiers de découvrir deux véhicules fracturés et un sac à dos taché de sang abandonné dans un jardin.

Les policiers ont également pu lui imputer cinq tentatives de vols dans des garages.

D’autres atteintes aux biens

Cet homme était recherché pour d’autres atteintes aux biens : trois tentatives de vol par effraction en février et mars 2022 et un vol à la roulotte en juin 2022. Du sang avait été retrouvé à l’époque, l’ADN correspond avec celui de individu arrêté.

Placé en garde à vue, ce ressortissant tunisien âgé de 37 ans a été déféré au parquet lundi 20 février. Il a reconnu tous les faits reprochés. En situation irrégulière sur le sol français, il faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire (OQTF).

Côté Brest

 

 

Brunstatt-Didenheim (68) : Khalid Oussou, 26 ans, condamné à une peine de 7 mois sous bracelet électronique pour un rapport sexuel non consenti avec une enfant de 13 ans, après l’avoir accostée dans la rue

Y a-t-il eu consentement, ce 1er  mai 2020, quand un Mulhousien de 26 ans demande à une enfant ayant la moitié de son âge de le masturber avant d’éjaculer sur ses fesses, à bord d’une Opel Astra stationnée à hauteur d’un entrepôt de La Poste, à Brunstatt-Didenheim ?

Près de trois ans après les faits, ce lundi 20 février, la procureure de la République de Mulhouse en doute fortement. Sa rencontre avec l’individu, le fait qu’il lui aurait demandé une fellation « sous menace de lui faire des trucs par-derrière », qu’elle aurait repoussé une pénétration vaginale, qu’en rentrant chez elle, en pleurs, elle ait en premier lieu demandé à ses parents de « prendre une douche » et de « se brosser les dents », « ça respire la sincérité », affirme Edwige Roux-Morizot.

Le mis en cause, à qui la justice reproche également d’avoir détenu du cannabis – 9,4 grammes découverts dans la voiture, près de 20 grammes à son domicile – reconnaît qu’il lui arrive d’accoster des jeunes filles dans la rue, de temps en temps.

(…) Pour Edwige Roux-Morizot, « son âge, ça n’a jamais été sa préoccupation ». « Elle a beau dire non, lui, il y va, il essaie, il cherche son plaisir à lui, sans chercher à savoir si elle, elle a pris du plaisir. On lui a donc imposé un rapport sexuel sans le vouloir. Lui, jamais il n’avouera, il se persuade de sa propre vérité », reprend la procureure de la République. Une peine de 18 mois de prison est requise.

Le tribunal condamne Khalid Oussou conformément aux réquisitions. Ayant déjà purgé une peine de onze mois, il effectuera les sept mois restants avec un bracelet électronique. Il doit également verser 5000 € à la victime et 1500 € à chacun de ses deux parents, en réparation de leur préjudice moral. Son nom va être inscrit au Fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (Fijais). Il a dix jours pour faire appel de cette décision.

L’Alsace

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