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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 6 janvier 2023

 

 

Guerre en Ukraine: La Russie assure respecter son cessez-le-feu et accuse l'Ukraine de bombardements

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 6 janvier 2023

Le cessez-le-feu unilatéral russe de 36 heures ordonné par Vladimir Poutine pour le Noël orthodoxe est entré en vigueur vendredi mais les heures précédant la trêve ont été marquées par une reprise des affrontements.

Reuters n'a pas pu établir dans l'immédiat s'il y avait eu effectivement une accalmie dans les combats. Le cessez-le-feu, qui a été décrété de façon inattendue par le président russe jeudi, a débuté sur toutes les lignes de front en Ukraine depuis ce midi, heure de Moscou (10 heures en France), a annoncé la télévision publique russe.

Il doit prendre fin samedi à minuit. Le président ukrainien Volodimir Zelensky a estimé que le cessez-le-feu proposé par la Russie visait à empêcher l'Ukraine de progresser dans la région du Donbass, dans l'est du pays. Avant la trêve, des obus russes ont touché vendredi matin Kramatorsk, une ville ukrainienne proche de la ligne de front dans la région industrielle de Donetsk que la Russie revendique comme son territoire, a déclaré le maire de la ville.

"Kramatorsk est sous le feu. Restez dans les abris", a écrit le maire Oleksandr Honcharenko sur les réseaux sociaux. Il n'a pas donné de détails sur les dégâts.

Bombardements ukrainiens

Peu après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu, des responsables pro-russes ont accusé l'Ukraine de bombarder la ville de Donetsk, a rapporté l'agence de presse russe TASS.

En dépit des sirènes d'alerte qui ont retenti dans plusieurs régions, aucune attaque aérienne majeure n'a été rapportée par les responsables ukrainiens après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu.

Selon l'état-major militaire ukrainien, ses soldats ont repoussé de multiples attaques au cours des dernières 24 heures, Moscou tentant de prendre des villes dans la région de Donetsk, notamment Bakhmout, qui a été le théâtre des combats les plus intenses ces dernières semaines.

"L'ennemi concentre ses principaux efforts pour tenter d'établir un contrôle sur la région de Donetsk", sans succès, a déclaré l'état-major général dans un communiqué, ajoutant que l'Ukraine et la Russie avaient lancé de multiples frappes aériennes au cours de la journée écoulée.

Signe d'espoir

Reuters n'a pas pu vérifier de manière indépendante ces derniers comptes rendus des combats.

Le président américain Joe Biden a suggéré que l'offre de cessez-le-feu ordonné par Vladimir Poutine était un signe de désespoir.

"Je pense qu'il essaie de trouver un peu d'oxygène", a-t-il déclaré aux journalistes à la Maison Blanche.

L'ambassadeur de Russie à Washington, Anatoly Antonov, a rétorqué sur Facebook : "Washington est décidé à se battre avec nous 'jusqu'au dernier Ukrainien'".

Source

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Les frappes russes se poursuivent, malgré la trêve annoncée par Moscou...

 

 

L’ESSENTIEL

  • Une première depuis le début du conflit. Jeudi, Vladimir Poutine a ordonné aux troupes russes d’appliquer un cessez-le-feu les 6 et 7 janvier à l’occasion du Noël orthodoxe. Il a en outre appelé les forces ukrainiennes à respecter cette trêve. Du côté de Kiev, ce cessez-le-feu est jugé « hypocrite » et Moscou est accusé de vouloir « gagner du temps ».
  • Les Russes reculent et Vladimir Poutine semble de plus en plus affaibli. Le président russe a affirmé une nouvelle fois ce jeudi que qu’un dialogue avec l’Ukraine peut avoir lieu mais à condition que celle-ci accepte les « nouvelles réalités territoriales » née de l’offensive.
  • Après la France, les Etats-Unis et l’Allemagne vont livrer aux forces armées ukrainiennes des blindés d’infanterie, de type Bradley côté américain et de modèle Marder côté allemand. « La guerre en Ukraine a atteint un tournant », a déclaré ce jeudi Joe Biden lors d’une réunion à la Maison-Blanche.

 

13h32 : L’Allemagne livrera 40 blindés « Marder » d’ici le printemps

L’Allemagne va envoyer à l’armée ukrainienne 40 blindés « Marder » au premier trimestre 2023, a affirmé vendredi un porte-parole du gouvernement, au lendemain de l’annonce, par Berlin et Washington, d’une nouvelle phase dans le soutien militaire à Kiev.

« Quarante véhicules seront prêts au premier trimestre, et pourront être envoyés à l’Ukraine », après une « formation de 8 semaines » dispensée à l’armée ukrainienne, a déclaré Steffen Hebestreit, lors du point-presse régulier du gouvernement vendredi

 

13h02 : Bombardements sur Donetsk

Les autorités séparatistes prorusses de l’est de l’Ukraine ont fait état de plusieurs bombardements ukrainiens sur leur bastion de Donetsk avant et après l’entrée en vigueur théorique du cessez-le-feu, annoncé la veille par le président Vladimir Poutine

 

12h37 : La Russie assure respecter sa trêve mais accuse Kiev de poursuivre les bombardements

L’armée russe a assuré vendredi respecter le cessez-le-feu unilatéral de deux jours décrété par Moscou en Ukraine pour le Noël orthodoxe, mais a accusé Kiev de poursuivre les bombardements.

« Malgré le respect du régime de cessez-le-feu par les troupes russes (…) le régime de Kiev a continué à bombarder les villes et les positions russes », a indiqué le ministère russe de la Défense dans son rapport quotidien.

 

12h10 : Frappes à Kramatorsk, malgré le cessez-le-feu annoncé par Moscou

L’armée russe a frappé vendredi à deux reprises la ville de Kramatorsk, dans l’est de l’Ukraine, après le début annoncé d’un cessez-le-feu unilatéral décrété par Moscou, a indiqué le chef adjoint de l’administration présidentielle ukrainienne.

« Les occupants ont frappé la ville avec des roquettes à deux reprises. Un immeuble résidentiel privé a été touché. Selon les informations préliminaires, il n’y a pas de victimes », a écrit Kyrylo Tymochenko sur Telegram.

 

11h56 : Les bombardements se poursuivent à Bakhmout, malgré la trêve annoncée par Moscou

Les tirs d’artillerie se poursuivaient vendredi des deux côtés du front à Bakhmout, l’épicentre des combats dans l’est de l’Ukraine, malgré l’entrée en vigueur d’une trêve unilatérale annoncée plus tôt par Moscou, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Des tirs côté ukrainien comme côté russe se faisaient entendre après le début du cessez-le-feu à 11 heures (heure française) dans cette ville aux rues en grande partie détruites et désertées, mais leur intensité était moindre par rapport aux jours précédents.

 

11h00 : Début officiel du cessez-le-feu

Un cessez-le-feu unilatéral décrété par la Russie en Ukraine à l’occasion du Noël orthodoxe est censé avoir commencé vendredi à 12 heures (11 heures, heure française), une initiative dont la sincérité a été mise en doute par Kiev.

 

10h21 : Vladimir Poutine cherche « à se donner de l’air »

Pour le président américain, Vladimir Poutine cherche « à se donner de l’air ». Il « était prêt à bombarder des hôpitaux, des crèches et des églises (…) le 25 décembre et lors du Nouvel an », a ironisé ce jeudi Joe Biden. Ce cessez-le-feu « ne fera rien pour faire avancer les perspectives de paix », a réagi le ministre britannique des Affaires étrangères James Cleverly, en réclamant un retrait définitif des forces russes. Une telle trêve n’apportera « ni liberté ni sécurité » en Ukraine, a abondé la diplomatie allemande.

DIRECT

 

Note ; on constate encore que se sont bien les Occidentaux qui refusent le cessez-le-feu. Ils parlent sans arrêt de paix mais financement la guerre et refusent tout compromis ou cessez-le-feu

 

 

 

 

 

 

Guerre en Ukraine: Pour Zelensky, le cessez-le-feu décidé par Poutine est une excuse pour stopper la progression des forces ukrainiennes

Vers une guerre de religion, infos du 6 janvier 2023

 

Le président ukrainien Volodimir Zelensky a estimé ce jeudi que la trêve proposée par la Russie visait à empêcher l'Ukraine de progresser dans la région du Donbass, dans l'est de l'Ukraine.

"Ils veulent utiliser Noël comme une excuse pour tenter, ne serait-ce que temporairement, d'arrêter la progression de nos hommes dans le Donbass et nous empêcher d'y acheminer des équipements, des munitions et d'y mobiliser des soldats", a déclaré Volodimir Zelensky dans son allocution quotidienne.

"Qu'y gagneront-ils? Seulement des pertes supplémentaires", a-t-il ajouté.

Le président ukrainien a ajouté que la guerre "ne se terminera que lorsque vos soldats partiront ou lorsque nous les aurons jetés dehors".

Source

 

 

Missiles Zircon : la réponse hypersonique de Poutine au système Patriot et au fiasco de Makiïvka

 

 

Le 5 janvier 2023

Vers une guerre de religion, infos du 6 janvier 2023

Alors que les critiques se font entendre en Russie après le bombardement contre une base militaire russe à Makiïvka, dans l'est de l'Ukraine, Vladimir Poutine a exhibé mercredi une nouvelle fois les missiles hypersoniques Zircon, un des fleurons de l’arsenal de Moscou. Une manière de répondre à cette attaque et au déploiement en Ukraine du système de défense antiaérien américain Patriot.

 

L'onde de choc du bombardement de Makiïvka, la ville ukrainienne proche de Donetsk, dans le Donbass, dans la nuit du 31 décembre 2022 au 1er janvier 2023, qui aurait tué 89 soldats russes d'après Moscou, continue de faire des vagues en Russie.

Soucieux de ne pas laisser le champ libre aux critiques et de reprendre la main sur la communication en détournant les regards du fiasco de Makiïvka, Vladimir Poutine a contre-attaqué en assistant en visioconférence, mercredi 4 janvier, au lancement en mission d'un navire de guerre équipé de nouveaux missiles de croisière hypersoniques Zircon.

"Je suis sûr que des armes aussi puissantes vont permettre de protéger efficacement la Russie des menaces extérieures et aideront à défendre les intérêts nationaux", a déclaré le maître du Kremlin lors de cette cérémonie, à laquelle assistait le ministre de la Défense Sergueï Choïgou depuis un lieu non précisé.

"Il fallait apporter une réponse à cet échec sur le terrain alors qu'aujourd'hui, la Russie cache moins ses morts qu'avant, estime Lukas Aubin, directeur de recherche à l'Iris, docteur en géopolitique spécialiste de la Russie. Vladimir Poutine prépare la riposte avec cette image de navire de guerre équipé de missiles hypersoniques. Néanmoins on ne sait pas encore la teneur de cette réponse".

Pour les experts, il s'agit également d'une riposte de Moscou à la promesse de l'administration Biden de fournir à Kiev le système de défense antiaérienne Patriot, le plus performant et le plus sophistiqué dont dispose l'armée américaine. C'est dans ce sens que Sergueï Choïgou a tenu à souligner mercredi que les missiles Zircon étaient "capables de surmonter tout système de défense antiaérienne actuel ou futur". Une allusion à peine voilée au système Patriot.

Le Zircon n'est, en effet, pas n'importe quel missile puisqu'il est hypersonique, c'est-à-dire capable de dépasser la vitesse de Mach 5 (6 174 km/h) "pour toucher n'importe quelle cible à 1 000 km de distance", avait assuré Vladimir Poutine, le président russe, lors d'un discours en décembre 2018 durant lequel il avait confirmé l'existence de ces armes de nouvelle génération.

"Pendant le vol, le missile serait entièrement recouvert d'un nuage de plasma qui absorbe tout rayon de radiofréquences et rend le missile invisible aux radars. Cela lui permettra de rester indétectable", explique le think tank américain Missile Defense Advocacy Alliance, dans une note d'information sur le Zircon.

Quelle efficacité sur le champ de bataille ukrainien ?

Impossible de savoir combien de missile de ce type, fabriqué par l'entreprise russe KB Mashinostroyeniya (KBM) et mesurant entre huit et neuf mètres de long, dispose la Russie, ni dans quelle mesure elle peut en produire malgré les sanctions qui la frappent.

D'aucuns s'interrogent également sur leur efficacité dans le conflit ukrainien, alors qu'en mars 2022, le ministère russe de la Défense avait déclaré avoir utilisé des missiles hypersoniques "Kinjal" dans l'ouest de l'Ukraine, sans que cette affirmation ne soit confirmée par une autre source.

Les armes hypersoniques  – considérés par une partie des experts militaires comme les "armes du futur" – ont l'avantage de pouvoir être téléguidées, contrairement aux missiles balistiques traditionnels, qui ne peuvent pas changer de trajectoire en plein vol. De ce fait, ce type d'armement est censé être bien plus efficace contre des cibles mouvantes, comme les bateaux de guerre.

"Les Zircon sont, prioritairement, des missiles antinavires qui peuvent être utilisés accessoirement pour viser des cibles terrestres", avait confié Gustav Gressel, spécialiste des questions militaires russes au Conseil européen pour les relations internationales, dans un article publié par France 24 en octobre 2021.

Ce qui est certain, c'est que la Russie a commencé à développer et à investir massivement dans les Zircon au début des années 2010 , tandis que "l'Europe et les États-Unis ont sans arrêt repoussé la modernisation des armements stratégiques ces dernières années, et le niveau technologique d'une partie de leur équipement remonte aux années 1990", expliquait dans le même article Alexandre Vautravers, expert en sécurité et en armement et rédacteur en chef de la Revue militaire suisse (RMS).

À l'époque, il précisait que les efforts américains pour mettre en place un bouclier antimissiles n'ont pas permis d'avoir un système de défense "capable d'intercepter tous les missiles déjà existants ; un tel système serait encore moins efficace face à des missiles hypersoniques, plus rapides et plus manœuvrants".

Source

 

 

 

L'Iran ferme un institut de recherche français après la publication par Charlie Hebdo de caricatures d'Ali Khamenei

 

 

L'Iran a averti Paris qu'il réagirait après la publication de caricatures "insultantes" du chef suprême de l'Iran, l'ayatollah Ali Khamenei, dans le magazine satirique français Charlie Hebdo. Le pays a déjà annoncé la fermeture de l'Institut Français de Recherche en Iran.

Vers une guerre de religion, infos du 6 janvier 2023

Pour son premier numéro de 2023, dans une édition spéciale pour l'anniversaire de l'attentat meurtrier contre son bureau parisien le 7 janvier 2015, l'hebdomadaire satirique a publié des dizaines de caricatures mettant en scène la plus haute personnalité religieuse et politique de la République islamique d'Iran.

Il s'agit des caricatures retenues dans le cadre d'un concours lancé en décembre, alors que des manifestations se multipliaient en Iran après la mort en détention le 16 septembre de Mahsa Amini, une Kurde iranienne arrêtée pour avoir enfreint le code vestimentaire strict du pays.

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Une conférence titrée “Métissage, une question de survie ?”, organisée par la mairie PS de Saint-Herblain (44), fait polémique

L’histoire de l’espèce humaine est celle des migrations, des rencontres, des mélanges de population. Quelles sont les implications, positives comme négatives, de ce grand brassage génétique, social, culturel et technique ? Venez en débattre à Place publique, jeudi 19 janvier à 20h.

Le métissage semble être ce qui a permis à l’homo sapiens d’évoluer, de s’adapter à un environnement naturel et des conditions de vie changeantes, de développer de nouvelles techniques, d’enrichir sa culture. Ce mélange est-il pour autant indispensable à la survie ? Peut-on vivre isolés les uns des autres ?

Rencontrer l’Autre

Parler de métissage, c’est parler de rencontres, d’ADN qui se mélangent, de musiques qui s’influencent. C’est aussi acter la présence d’un « Autre », poser la question de ce qui nous ressemble et de ce qui nous différencie. Des migrations aux moyens de communication modernes, comment au fil du temps l’humanité a-t-elle rencontré l’altérité en son sein ? Et une fois que la rencontre a eu lieu comment s’opèrent ces métissages ? Par quels mécanismes l’individu, le groupe, et même l’espèce en sortent-ils transformés ?

Tout bénéf’ ?

La prise en compte des rapports de domination entre les entités qui se mélangent autorise un regard plus nuancé sur le métissage. Pour ne prendre qu’un exemple, le mouvement d’uniformisation culturelle planétaire induit autant la constitution de très larges communautés partageant goûts, idées et valeurs communes, que l’effacement progressif de traditions, de langues, et de particularités culturelles à plus ou moins grande échelle. Alors y a-t-il toujours des gagnants et des perdants du métissage ? Quelles sont ses conséquences en termes de diversité génétique, culturelle ?

Les invités de Place publique

Pour débattre de ces questions avec le public de la Maison des Arts, la Ville de Saint-Herblain a invité :

  • Christian Dinaingénieur de recherche au CNRS, spécialiste des causes génétiques des pathologies humaines et de génétique des populations, ses travaux lient génétique des populations, évolution et santé cardiaque et vasculaire,
  • Jean-Paul Demoule, professeur émérite d’archéologie à l’université de Paris I Panthéon Sorbonne, ancien président de l’Institut national de recherches archéologiques préventives. Ses travaux portent sur l’histoire des civilisations. Il a publié en 2022 « Homo migrans. De la sortie d’Afrique au grand confinement »,
  • Fatima Ouachour, historienne, membre associée du Centre de recherches en histoire internationale et atlantique de l’Université de Nantes. Elle a participé au projet MEDI qui prend pour hypothèse « le caractère nécessairement métissé de toute culture et de tout parcours individuel ».

Infos pratiques

Conférence-débat « Métissage, une question de survie ? »
Jeudi 19 janvier 2023 de 20h à 22h à la Maison des Arts.
Entrée libre et gratuite.
Le débat est retransmis en direct sur la chaîne YouTube de la Ville de Saint-Herblain.

Saint-Herblain

 

 

Depuis le 1er janvier, 7 nouvelles maladies sont dépistées dès la naissance lors du dépistage néonatal : la vidéo du ministère de la santé

 

 

 

Le procès des attentats de Bruxelles tourne au fiasco : les accusés, qui se plaignent de leurs conditions de détention, ne viennent même plus à l’audience ; la Justice leur donne raison (MàJ)

05/01/23

Le procès des attentats terroristes de Paris s’est déroulé comme du papier à musique. En comparaison, celui de Bruxelles est un véritable fiasco. Les accusés ne viennent même plus

La présidente de la cour d’assises chargée du procès des attentats à Bruxelles du 22 mars 2016, Laurence Massart, a décidé mercredi peu avant 15h de suspendre l’audience jusqu’au lendemain dans l’attente de documents individualisés motivant les fouilles à nu des accusés détenus. Les avocats de la défense refusaient en effet que l’audience se poursuive tant qu’ils n’avaient pas reçu les documents prouvant que les fouilles à nu pratiquées mardi et mercredi avaient bien été motivées.

« On suspend l’audience jusque demain 9h00. À ce moment-là, s’il n’y a pas eu de fouilles à nu avec génuflexion, les accusés sont là. S’il y a des fouilles et qu’ils ne sont pas là mais que la défense a reçu un document individualisé pour justifier la fouille à nu de chaque détenu, je prendrai une ordonnance de prise de corps, car il faut avancer », a-t-elle déclaré, visiblement agacée.

Et on la comprend. Car on peut désormais l’affirmer : ce procès des attentats de 2016 à Bruxelles, un des plus grands rendez-vous de l’histoire judiciaire en Belgique, est en train de prendre l’eau de partout.

On bute depuis l’ouverture sur les conditions de sécurité imposées aux accusés détenus, une polémique qui a encore bousculé l’agenda mardi et qui a fait des remous aussi ce mercredi. Dès la reprise après dix jours de trêve pour les fêtes, déjà, l’audience avait dû être écourtée, et les témoins convoqués – des enquêteurs – renvoyés chez eux sans avoir pu s’exprimer à la barre. Pas glorieux.

En cause, cette fois : un nouveau débat qui a duré plus de trois heures, mardi, autour de la question des fouilles à nu imposées aux accusés détenus, le matin avant leur transfèrement au palais de justice. Le sujet perturbe les débats depuis leur ouverture le 5 décembre (lire également ci-dessous).

Jeudi dernier, un juge des référés saisi par six accusés, dont Salah Abdeslam et Mohamed Abrini, a ordonné l’interdiction des fouilles systématiques. Cette pratique quotidienne, justifiée par des motifs de sécurité, a été jugée contraire à la Convention européenne des droits de l’homme qui proscrit les « traitements inhumains ou dégradants ».

(…) Sudinfo.be


05/12/22

Le procès de neuf hommes pour les attentats de Bruxelles en mars 2016 s’est ouvert ce lundi avec une nouvelle dénonciation des conditions de détention et de jugement des accusés.

“On nous humilie!”. Les débats au procès des attentats jihadistes de 2016 à Bruxelles se sont ouverts ce lundi avec un premier coup d’éclat de Mohamed Abrini, un des principaux accusés, qui a menacé de rester mutique faute d’assouplissement des conditions de sécurité.

Le Belgo-marocain connu comme “l’homme au chapeau”, pour avoir été filmé le 22 mars 2016 poussant un chariot à bagages à l’aéroport de Bruxelles juste avant que deux kamikazes ne se fassent exploser, a demandé la parole quand la présidente assurait que ce procès ne devait pas être “une vengeance d’Etat”.

“Ca ne passe pas! Ca fait sept ans que je subis une vengeance”, a lancé Mohamed Abrini.

“Les choses doivent changer”

Le terroriste, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une période de sûreté de 20 ans par la cour d’assises spéciale de Paris, a jugé “pitoyables” les conditions de transfert vers le palais de justice, marquées par des fouilles à nu et pertes de repère sensorielles avec les yeux bandés et “de la musique satanique à fond”.

“Les choses doivent changer, sinon je garderai le silence jusqu’à la fin du procès”, a mis en garde celui qui avait longuement parlé dans la procédure française du 13-Novembre.

(…) Ce lundi à l’ouverture des débats, les contestations de la défense se sont portées dès les premières heures sur les conditions drastiques de sécurité imposées aux sept accusés détenus.

Le conseil a annoncé une mise en demeure du ministère de la Justice afin d’obtenir l’assouplissement des mesures.

(…) BFMTV

 

 

Violences du Nouvel An en Allemagne : la police annonce avoir interpellé 145 individus, représentant un total de 18 nationalités, dont 27 Afghans et 21 Syriens (MàJ)

 

05/01/23

La police allemande a annoncé qu’elle avait interpellé 145 individus en lien avec les violences du 1er janvier 2023, représentant un total de 18 nationalités. Les Allemands sont les plus représentés avec 45 individus, suivis par les Afghans (27) et les Syriens (21).

France 24

Nouvel An en Allemagne : 15 pompiers blessés au cours de 38 attaques en intervention

RTBF


02/01/23

Réveillon du Nouvel An en Allemagne – Ce sont des scènes dignes d’une zone de guerre : des fusées de feu d’artifice sont tirées de manière ciblée sur des personnes, des pétards et des cocktails Molotov volent sur des voitures qui passent, un extincteur s’est écrasé sur le pare-brise d’une ambulance en intervention.

Un jeune homme tire une fusée de détresse dans une voiture de police, plusieurs voitures brûlent. Et à côté d’un pompier, un migrant cagoulé montre avec ses mains “l’aigle bicéphale albanais” avant de tirer à plusieurs reprises avec une arme.

Ces hors-la-loi ne respectent plus rien, même les policiers ne leur font plus peur. Au contraire, ils montrent fièrement la violence qu’ils peuvent exercer. Les policiers agressés sont considérés comme des représentants d’un pays qu’ils rejettent. Des témoins oculaires, des policiers et des pompiers affirment que de nombreux jeunes migrants et immigrés se trouvaient parmi les émeutiers et les violents. Mais personne ne veut l’entendre.

Les politiques préfèrent demander une interdiction générale des pétards plutôt que de désigner clairement les auteurs de ces actes.

(…) Bild.de


La nuit de la Saint-Sylvestre a été marquée par des attaques brutales contre la police et les pompiers à Berlin. Plus de 100 suspects ont été arrêtés. Mais qui sont ces délinquants sans scrupules ? Selon le syndicaliste de la police Rainer Wendt, beaucoup sont issus du “milieu des migrants”.

Après les excès de violence de la nuit de la Saint-Sylvestre à Berlin, le syndicat allemand de la police (DPolG) exige une explication politique implacable des événements, y compris en ce qui concerne l’origine des auteurs.

Le chef du DPolG, Rainer Wendt, a déclaré à FOCUS online : “Chez de nombreuses forces d’intervention, l’impression qui prédomine est que les groupes de jeunes hommes issus de l’immigration sont largement surreprésentés dans ces débordements”.

(…) Focus.de

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