12h37 : La Russie assure respecter sa trêve mais accuse Kiev de poursuivre les bombardements
L’armée russe a assuré vendredi respecter le cessez-le-feu unilatéral de deux jours décrété par Moscou en Ukraine pour le Noël orthodoxe, mais a accusé Kiev de poursuivre les bombardements.
« Malgré le respect du régime de cessez-le-feu par les troupes russes (…) le régime de Kiev a continué à bombarder les villes et les positions russes », a indiqué le ministère russe de la Défense dans son rapport quotidien.
12h10 : Frappes à Kramatorsk, malgré le cessez-le-feu annoncé par Moscou
L’armée russe a frappé vendredi à deux reprises la ville de Kramatorsk, dans l’est de l’Ukraine, après le début annoncé d’un cessez-le-feu unilatéral décrété par Moscou, a indiqué le chef adjoint de l’administration présidentielle ukrainienne.
« Les occupants ont frappé la ville avec des roquettes à deux reprises. Un immeuble résidentiel privé a été touché. Selon les informations préliminaires, il n’y a pas de victimes », a écrit Kyrylo Tymochenko sur Telegram.
11h56 : Les bombardements se poursuivent à Bakhmout, malgré la trêve annoncée par Moscou
Les tirs d’artillerie se poursuivaient vendredi des deux côtés du front à Bakhmout, l’épicentre des combats dans l’est de l’Ukraine, malgré l’entrée en vigueur d’une trêve unilatérale annoncée plus tôt par Moscou, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Des tirs côté ukrainien comme côté russe se faisaient entendre après le début du cessez-le-feu à 11 heures (heure française) dans cette ville aux rues en grande partie détruites et désertées, mais leur intensité était moindre par rapport aux jours précédents.
11h00 : Début officiel du cessez-le-feu
Un cessez-le-feu unilatéral décrété par la Russie en Ukraine à l’occasion du Noël orthodoxe est censé avoir commencé vendredi à 12 heures (11 heures, heure française), une initiative dont la sincérité a été mise en doute par Kiev.
10h21 : Vladimir Poutine cherche « à se donner de l’air »
Pour le président américain, Vladimir Poutine cherche « à se donner de l’air ». Il « était prêt à bombarder des hôpitaux, des crèches et des églises (…) le 25 décembre et lors du Nouvel an », a ironisé ce jeudi Joe Biden. Ce cessez-le-feu « ne fera rien pour faire avancer les perspectives de paix », a réagi le ministre britannique des Affaires étrangères James Cleverly, en réclamant un retrait définitif des forces russes. Une telle trêve n’apportera « ni liberté ni sécurité » en Ukraine, a abondé la diplomatie allemande.
Note ; on constate encore que se sont bien les Occidentaux qui refusent le cessez-le-feu. Ils parlent sans arrêt de paix mais financement la guerre et refusent tout compromis ou cessez-le-feu
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