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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 31 janvier 2023

 

 

Note; nous sommes maintenant le 31 décembre 2023, et toujours rien, ce qui veut dire que cette comète n'est pas celle prédite par Nostradamus. Il reste bien encore deux jours  ou cette comète sera vue ...

LIRE AUSSI : La comète verte qui semble défier les lois de la physique sera visible le 1er février

.. mais cela me semble impossible que L’Iran prenne le dessus sur Israël en 48 heures, pour après s'attaquer de-suite  a l’Italie  (Nostradamus affirme que le Pape nourrira lorsque la comète prédite disparaitra)

Je voulais déjà poster ce message le 28 janvier dernier, mais les attentats à Israël, mon fait croire que cela était encore possible

Par contre attention la comète prédite par Nostradamus, est en lien avec "l'invasion de l’Italie", "la mort du Pape à Lyon" (qui fuit l’Italie conquise)  et "les trois grands princes se feront ennemis". Nostradamus ne donne pas de lien direct avec la  guerre  Otan - Russie et cette comète, mais je pense que tout est lié, comme Nostradamus l’écrit dans sa lettre "les rois du nord allié aux Orientaux

Je continue a travaillé quelque jours sur mon blog et après j’aviserai sur la continuité ou non de mon travail 

 

 

 

Téhéran prévient que toute action militaire américaine contre l'Iran sera une déclaration de guerre

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 31 janvier 2023

MOSCOU (Spoutnik) - La mission permanente iranienne auprès de l'ONU a prévenu mardi, après la récente attaque de drones dans la province d'Ispahan, qui aurait été menée par Israël, que Téhéran considérerait toute action militaire des États-Unis contre l'Iran comme une déclaration de guerre qui se heurterait à des mesures de représailles.

"Du point de vue de l'Iran, l'utilisation de l'option militaire à n'importe quel niveau signifie l'entrée des États-Unis dans la guerre. Pour l'instant, l'Iran considère qu'une telle possibilité est faible", a déclaré la mission au magazine américain.

Téhéran a également déclaré que si les États-Unis « calculaient mal et déclenchaient une guerre », alors Washington serait responsable des conséquences d'un tel conflit « pour la région et le monde », a rapporté le média. Dans un tel cas, l'Iran sera capable d'assurer sa propre sécurité et de défendre les intérêts du pays, a déclaré le magazine citant la mission.

 

Washington a jusqu'à présent nié toute implication dans la récente attaque contre l'Iran, a rapporté le média.

"Nous avons vu les articles de presse, mais nous pouvons confirmer qu'aucune force militaire américaine n'a mené de frappes ou d'opérations à l'intérieur de l'Iran. Nous continuons de surveiller la situation, mais n'avons rien d'autre à fournir", a déclaré un porte-parole du Pentagone cité par les médias.

Samedi soir, une explosion s'est produite dans le quartier nord d'Ispahan, dans l'une des entreprises militaires du ministère iranien de la Défense, ont rapporté les médias. Des mini-drones auraient attaqué un dépôt de munitions. Aucune victime n'a été enregistrée. La même nuit, une explosion et un incendie subséquent se sont produits dans une usine de production de pétrole industriel dans la ville d'Azarshahr, dans le nord-ouest de l'Iran.

Le Wall Street Journal a rapporté, citant des responsables américains, qu'Israël était derrière l'attaque du drone. Des hypothèses similaires ont été exprimées par un responsable iranien cité par le diffuseur Al Jazeera.

Spoutnik

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Moscou revendique la prise d’un nouveau village au nord de Bakhmout…

 

L’ESSENTIEL

  • Joe Biden a opposé lundi un refus catégorique à l’idée d’envoyer des avions de combat américains de type F-16 à l’Ukraine, dont la liste d’aide en armement s’allonge pour chasser les forces russes de son territoire occupé. Du côté du bloc européen, Berlin a déjà rejeté catégoriquement l’idée d’envoyer des avions de combat, tandis qu’Emmanuel Macron a estimé prudemment que « par définition, rien n’est exclu », tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.
  • Les réserves de munitions d’artillerie ukrainiennes s’étant fortement épuisées, la France et l’Australie ont annoncé un accord pour produire conjointement des obus de 155 mm à destination de l’Ukraine.
  • Sur le front, les combats se poursuivent en Ukraine, les Russes cherchant à étendre leur emprise à l’est du pays, où les affrontements s’intensifient ces derniers temps. Mais l’Ukraine a démenti lundi que les troupes russes progressaient dans la région de Donetsk, comme l’a affirmé Moscou, près de la ville de Vougledar, nouveau point chaud du front.

 

 

13h27 : Poutine veut des centres d’entraînement militaire avec la Biélorussie

Le président russe a demandé mardi à son gouvernement de négocier la création de centres d’entraînement militaire communs avec la Biélorussie, son voisin et rare allié à soutenir l’offensive contre l’Ukraine. Dans un décret publié mardi, Vladimir Poutine a chargé ses ministres de la Défense et des Affaires étrangères de négocier avec Minsk la création de tels centres, sans autre précision.

Allié de la Russie, la Biélorussie a servi de base arrière aux troupes russes pour leur offensive contre l’Ukraine depuis le 24 février dernier, mais l’armée biélorusse s’est gardée jusqu’ici d’aller au combat sur le territoire ukrainien. Mi-octobre, la Biélorussie et la Russie avaient annoncé la création d’une force militaire commune, qui selon Minsk avait une mission purement « défensive ».

 

12h32 : Un transfert de F-16 polonais à l’Ukraine ? « Le sujet n’existe pas »

Le sujet du transfert éventuel des avions de combat F-16 de l’armée de l’air polonaise à l’Ukraine ne fait l’objet d’aucune « discussion officielle », a déclaré mardi un vice-ministre de la Défense, au lendemain du refus des Etats-Unis de livrer ces machines à Kiev.

« Pour le moment, il n’y a pas de discussion officielle sur le transfert des F-16 » polonais à l’Ukraine, a déclaré Wojciech Skurkiewicz, en ajoutant : « le sujet n’existe pas ».

LIRE AUSSI: En quete davions de combat occidentaux l'ukraine lorgne sur les f-16 polonais

 

12h28 : Moscou revendique la prise d’un nouveau village près de Bakhmout

La Russie a revendiqué mardi la prise du village de Blagodatné, au nord de la ville de Bakhmout, dans l’est de l’Ukraine, où l’armée russe a intensifié son offensive et progresse lentement depuis plusieurs semaines.

Le ministère de la Défense a indiqué dans son communiqué quotidien que « la localité de Blagodatné avait été libérée » après une offensive d'« unités d’assaut de volontaires » appuyées par l’aviation et l’artillerie.

 

07h35 : Désaccord en Europe sur les avions de combat

Les Européens ne sont pas tous sur la même ligne sur les livraisons d’avions de combat. Berlin a déjà rejeté catégoriquement cette idée, tandis qu’Emmanuel Macron a estimé prudemment que « par définition, rien n’est exclu », tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.

Le président a en outre souligné des « critères » avant toute décision : une « demande formulée » par l’Ukraine, que cela ne « soit pas escalatoire » et « pas de nature à toucher le sol russe mais bien à aider l’effort de résistance » et que « ça ne vienne pas affaiblir la capacité de l’armée française ».

Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a pour sa part déjà émis l’idée d’envoyer des F-16 à Kiev, soulignant qu’il n’y avait aucun « tabou » sur ce sujet, mais que ce serait « un grand pas ».

HIER

20h42 : Les Ukrainiens ne demandent pas d’avions pour le moment d’après Macron et Rutte

Les Ukrainiens « ne font pas cette demande [d’avions] aujourd’hui », a affirmé Emmanuel Macron. « C’est en fonction des demandes qui sont formulées mais pas en fonction des bruits qui courent » que les décisions sont prises, a encore souligné le chef de l’Etat français en précisant que le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiï Reznikov, était attendu mardi à Paris pour des entretiens avec son homologue Sébastien Lecornu.

Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a souligné de son côté qu’il n’y avait « pas de tabou mais que ce serait un grand pas » si des avions de chasse étaient livrés à Kiev. Les Pays-Bas n’ont pas non plus reçu pour l’heure de demande de Kiev en ce sens, a-t-il dit, en approuvant les critères déroulés par son homologue français.

 

19h50 : « Rien n’est interdit par principe », estime Macron au sujet d’un possible envoi d’avions à Kiev

« Rien n’est interdit par principe », a répondu prudemment Emmanuel Macron, interrogé lundi à La Haye à propos de l’hypothèse d’envoi d’avions de chasse à l’Ukraine pour l’aider à combattre l’invasion russe.

Le président français a souligné des « critères » avant toute décision : une « demande formulée » par l’Ukraine, que cela ne « soit pas escalatoire » et « pas de nature à toucher le sol russe mais bien à aider l’effort de résistance » et que « ça ne vienne pas affaiblir la capacité de l’armée française ».

DIRECT

 

Note: c'est lassent d'avoir un président aussi barge (pour rester polie) ! Je susi deconserté par sa bébitité d'espris

 

 

Les F-16 ne sont pas nécessaires en Ukraine, les États-Unis fournissant déjà de nouvelles capacités, selon la Maison Blanche

 

WASHINGTON (Spoutnik) - Les États-Unis n'ont pas besoin de fournir à l'Ukraine des avions de chasse F-16 car ils fournissent déjà à Kiev de nombreuses nouvelles capacités qui ont été récemment annoncées dans les derniers programmes d'aide, a déclaré le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby. dans une interview.

Plus tôt dans la journée, le président Joe Biden a déclaré aux journalistes que les États-Unis n'enverraient pas d'avions de combat F-16 en Ukraine.

"Ce que je peux vous dire, c'est qu'il y a beaucoup de capacités qui sont envoyées et qui seront envoyées dans les semaines et les mois à venir", a déclaré Kirby à CNN lundi.

Vers une guerre de religion, infos du 31 janvier 2023

"Les types de capacités que nous connaissons seront essentiels pour aider à nouveau les Ukrainiens dans les combats maintenant en hiver, ainsi que le type de combats que nous prévoyons qu'ils vont mener au printemps."

Les États-Unis ont récemment annoncé qu'ils enverraient jusqu'à 31 chars de combat M1A2 Abrams, jusqu'à 109 véhicules de combat Bradley armés de systèmes de roquettes antichars et des dizaines d'autres véhicules de combat Stryker.

Kiev fait depuis longtemps pression sur Washington pour qu'il fournisse des avions de chasse F-16 afin de renforcer ses forces dans le cadre de l'opération militaire spéciale de la Russie.

La semaine dernière, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé les pays de l'OTAN à débloquer la fourniture de missiles à longue portée et d'avions militaires à Kiev après que les pays occidentaux ont annoncé leur intention de fournir à l'Ukraine des chars de combat principaux.

Un groupe de responsables militaires américains fait discrètement pression pour envoyer des avions de combat F-16 en Ukraine, qui prend de l'ampleur au ministère de la Défense alors que Kiev se prépare à une offensive prévue ce printemps, a rapporté Politico, citant des sources.

Cela pourrait prendre des semaines aux États-Unis pour prendre une décision sur de telles livraisons, selon le rapport, ajoutant que les avions de combat devraient provenir des propres réserves du pays ou être réexportés depuis d'autres pays.

La Russie a lancé l'opération militaire spéciale en Ukraine en février 2022. En avril, Moscou a envoyé une note aux États membres de l'OTAN condamnant leur assistance militaire à Kiev au milieu du conflit. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré que fournir des armes à l'Ukraine ne contribuait pas au succès des négociations de paix.

Spoutnik

LIRE AUSSI; Pour le moment, le président américain refuse toujours de livrer des chasseurs-bombardiers F-16 à l’Ukraine

 
 

 

 

Quand LCI explique, au sujet de la Crimée, comment pourrait se dérouler la remigration des Russes et la « dérussification » de la région par l’Ukraine

Jean Quatremer : « Organiser des déplacements massifs de population, dans le cadre de traités internationaux démocratiques, c’est possible ! »

 

 

Élisabeth Borne et la moitié du gouvernement présentent le plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme et mettent en cause les médias, internet et le RN

 

Éducation et formation

L’éducation et la formation occupent une place majeure dans le plan gouvernemental.

Entre autres mesures, il prévoit l’organisation d’une visite historique ou mémorielle pour chaque élève dans sa scolarité et l’intégration dans toutes les formations de jeunes de contenus sur l’action contre la haine.

Côté formation, les professeurs, les personnels scolaires, mais aussi les agents publics seront sensibilisés aux enjeux du racisme, de l’antisémitisme, de l’antitsiganisme et des discriminations.

Des sanctions plus fortes contre les auteurs

Contre ceux qui répandent la haine en ligne, le plan mobilisera les plateformes et les influenceurs pour mettre au point de nouveaux outils numériques.

D’autres mesures s’appliqueront au monde de l’entreprise pour mieux protéger les salariés, ainsi qu’au secteur de l’immobilier pour garantir l’accès au logement à tous les citoyens, quelle que soit leur origine.

Le plan gouvernemental entend punir plus lourdement les auteurs : le code pénal sera complété pour les provocations et infractions racistes non publiques.

Dans le même temps, des sanctions s’appliqueront aux médias en cas de condamnation pour racisme, antisémitisme ou apologie de crime contre l’humanité.

Un combat collectif

Agir contre la haine et les discriminations, c’est aussi les mesurer.

Des enquêtes d’opinion, menées par les ministères de l’Intérieur et de l’Éducation nationale, questionneront régulièrement les citoyens de tous âges sur les faits racistes ressentis et/ou vécus.

Pour garantir l’application de ces mesures au plus près des citoyens, l’État s’appuiera sur les préfets et des procureurs de la République.

En lien avec les associations et les élus locaux, ils dresseront un bilan annuel des actions réalisées, en métropole comme en outre-mer. Une preuve supplémentaire que l’action contre l’intolérance est l’affaire de tous.

Gouvernement.fr

 

 

Tous les indicateurs de délinquance et criminalité en forte hausse pour 2022 avec + 8 % pour les homicides, + 15 % pour les coups et blessures volontaires, + 13 % pour l’usage de stupéfiants, + 11 % pour les violences sexuelles et les cambriolages

D’après des chiffres publiés par le ministère de l’Intérieur ce mardi, « la quasi-totalité des indicateurs de la délinquance enregistrée sont en hausse en 2022 par rapport à l’année précédente ».

Les augmentations du nombre d’homicides (948, soit 69 victimes de plus qu’en 2021, selon des données encore provisoires), des coups et blessures volontaires, des violences sexuelles et escroqueries « poursuivent celles observées avant la crise sanitaire ».

Quant aux vols sans violence, cambriolages, vols de véhicules ou d’accessoires de véhicules, ils « s’accroissent nettement en 2022 »

Selon les chiffres disponibles, si les tendances s’observent partout en France, quelques départements contribuent particulièrement aux progressions, notamment « les Bouches-du-Rhône pour la hausse des vols dans les véhicules et le Nord pour la hausse des vols d’accessoires sur les véhicules ».

Le Parisien

 

« Mort aux chrétiens » : en Espagne, un sacristain tué et un prêtre grièvement blessé au cours d’une attaque à la machette dans 2 églises par un migrant clandestin marocain (MàJ : le Maroc avait refusé de donner un laissez-passer consulaire)

Le Maroc a empêché l’expulsion du djihadiste depuis novembre dernier

Les expulsions d’immigrés en situation irrégulière en Espagne ne sont pas instantanées – à moins qu’elles ne représentent un grave danger pour la sécurité nationale comme ce fut le cas de l’imam de Reus, expulsé en octobre dernier – mais c’est un long processus en proie à des recoins et à la casuistique.

Ce sont les délégations gouvernementales des différentes communautés autonomes, et surtout la collaboration des pays d’origine, le principal moteur de l’engin et que l’exécution d’un retour dépend de la charge de travail des premières agences et de la disposition de la seconde. Par conséquent, la bureaucratie et les obstacles du pays de la personne en situation irrégulière, dont l’approbation est essentielle dans cette équation, sont ce qui ralentit les expulsions.

C’est ce qui s’est passé dans le cas de Yasin Kanza, le Marocain en situation illégale en Espagne qui, mercredi dernier, a attaqué deux églises à Algésiras, tué un sacristain et grièvement blessé quatre autres personnes, dont un curé.

Les heures des expulsions, bien connues et assumées à la fois par les organismes officiels et les ONG, ont traversé le circuit interne cette semaine en raison des événements d’Algésiras. Kanza s’est installé dans la ville de Cadix en juin 2022 et le même mois, un dossier d’expulsion a été ouvert lorsque la police a constaté qu’il était en situation irrégulière.

Les agents l’ont informé de son retour définitif le 3 novembre, selon le ministère de l’Intérieur, mais il attendait d’obtenir le laissez-passer consulaire car il n’avait pas de passeport, selon les mêmes sources. Son retour dépendait donc du Maroc.

La raison pour laquelle, après sept mois, il était encore sur le territoire national doit être recherchée dans un système qui est avant tout coincé dans la réponse – ou l’absence de réponse – des pays d’où ils proviennent.

Les expulsions d’immigrés en situation irrégulière en Espagne ne sont pas instantanées – à moins qu’elles ne représentent un grave danger pour la sécurité nationale comme ce fut le cas de l’imam de Reus, expulsé en octobre dernier – mais c’est un long processus en proie à des recoins et à la casuistique.

Ce sont les délégations gouvernementales des différentes communautés autonomes, et surtout la collaboration des pays d’origine, le principal moteur de l’engin et que l’exécution d’un retour dépend de la charge de travail des premières agences et de la disposition de la seconde. Par conséquent, la bureaucratie et les obstacles du pays de la personne en situation irrégulière, dont l’approbation est essentielle dans cette équation, sont ce qui ralentit les expulsions.

C’est ce qui s’est passé dans le cas de Yasin Kanza, le Marocain en situation illégale en Espagne qui, mercredi dernier, a attaqué deux églises à Algésiras, tué un sacristain et grièvement blessé quatre autres personnes, dont un curé.

Les heures des expulsions, bien connues et assumées à la fois par les organismes officiels et les ONG, ont traversé le circuit interne cette semaine en raison des événements d’Algésiras. Kanza s’est installé dans la ville de Cadix en juin 2022 et le même mois, un dossier d’expulsion a été ouvert lorsque la police a constaté qu’il était en situation irrégulière.

Les agents l’ont informé de son retour définitif le 3 novembre, selon le ministère de l’Intérieur, mais il attendait d’obtenir le laissez-passer consulaire car il n’avait pas de passeport, selon les mêmes sources. Son retour dépendait donc du Maroc.

La raison pour laquelle, après sept mois, il était encore sur le territoire national doit être recherchée dans un système qui est avant tout coincé dans la réponse – ou l’absence de réponse – des pays d’où ils proviennent.

El Mundo

 

 

Belgique : 3 personnes blessées, dont une grièvement, dans une attaque au couteau dans le tro de Bruxelles, un suspect interpellé

Trois personnes ont été blessées, dont une grièvement, dans une attaque au couteau ce lundi dans la station de métro bruxelloise Schuman, située à quelques dizaines de mètres des sièges de la Commission européenne et du Conseil européen. La police ne s’est pas exprimée sur les motivations de l’assaillant.

Trois personnes ont été blessées dans une attaque au couteau ce lundi en fin d’après-midi dans une station de métro de Bruxelles. Selon la police fédérale, l’un des blessés se trouve « dans un état critique ».

« Attaque au couteau dans la station Schuman : la collaboration avec les différents services de police (…) a permis l’arrestation rapide de l’auteur », a tweeté le maire de Bruxelles Philippe Close. La police ne s’est pas exprimée sur les motivations de l’assaillant. Le parquet fédéral a indiqué n’avoir pas été saisi « à ce stade ». Selon une source proche du dossier, la personne interpellée « était déjà connue pour des antécédents psychiatriques ».

Près des instances européennes

L’attaque est survenue autour de 18h dans la station de métro Schuman, située à quelques dizaines de mètres des sièges de la Commission européenne et du Conseil européen. Selon un journaliste de l’AFP présent sur les lieux, plusieurs policiers en civil accourraient alors vers un quai de la station. Au même moment, une femme incitait les passagers qui entraient dans la station à rebrousser chemin, faisant état de la présence à l’intérieur d’une personne armée d’un couteau.

Le Progrès

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K
Ça serait ballot que vous aballonniez notre vlog, parce que vous vous êtes trompé comme les autres sur une histoire de comète! (apprenez à prononcer les phonèmes comme Nostradamus l'aurait fait en français moderne)<br /> Allez dans deux années vos souhaits les plus déments seront comblés, et déjà 2023 réserve pas mal de surprise... un peu de patience
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3
"Un peu de patience" j'ai été patient pendent 11 ans et je commence a fatiguer a passé des heures sur le net. Et ma vue n'est plus aussi bonne qu'avant (j'ai 55 ans)
W
Bonjour,<br /> <br /> Peut-être que Nostradamus parle de la disparition de la comète du système solaire et non de sa disparition pour les yeux d'un être humain ?
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3
Peut être, c'est une éventualité