Publié le 16 Janvier 2023 par 3guerremondiale

Publié dans : #Les infos les plus cruciales

Vers une guerre de religion, infos du 16 janvier 2023

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Les Infos du 16 janvier 2023

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Vladimir Poutine dénonce les livraisons croissantes d'armes occidentales à Kiev…

L’ESSENTIEL

L’Otan a annoncé dimanche que l’Ukraine pouvait s’attendre à recevoir de nouveaux armements lourds occidentaux « dans un futur proche », tandis que le président russe Vladimir Poutine a évoqué une « dynamique positive » pour ses troupes sur le front.
Les secours s’activent toujours pour retrouver des survivants dans les ruines d’un immeuble de Dnipro, dans l’est de l’Ukraine, touché samedi par une frappe dont le bilan est d’au moins 30 morts. Des dizaines de personnes restent portées disparues.
Le Royaume-Uni a annoncé samedi qu’il allait livrer 14 chars Challenger 2 en Ukraine « dans les prochaines semaines ». C’est le premier pays à fournir des chars lourds de facture occidentale à Kiev.

15h39 : Vladimir Poutine dénonce les livraisons croissantes d’armes occidentales à Kiev

Le président russe a dénoncé lundi les livraisons croissantes d’armes occidentales à l’Ukraine, lors d’un entretien téléphonique avec son homologue turc, au moment où le Royaume-Uni s’apprête à livrer des chars à Kiev.

Lors de cette conversation avec Recep Tayyip Erdogan, Vladimir Poutine a critiqué les « parrains occidentaux » de l’Ukraine qui « augmentent leurs livraisons d’armes et de matériel militaire » à Kiev, a indiqué le Kremlin dans un communiqué.

13h59 : La frappe russe contre un immeuble à Dnipro est un « crime de guerre »

Selon l'UE, le bombardement russe qui a fait 36 morts dans un immeuble résidentiel de Dnipro, est un « crime de guerre ».

- Des militaires ukrainiens sont arrivés en Oklahoma, aux États-Unis, pour s’entraîner à manipuler des systèmes de défense antiaérienne Patriot, relate Fox News.

Au total, une centaine de personnes devraient être formées en quelques mois.

Une vidéo diffusée sur Twitter montre leur arrivée. (Spoutnik)

12h29 : Le bilan du bombardement de Dnipro grimpe à 36 morts

Le bilan d’une frappe russe sur un immeuble résidentiel de Dnipro en Ukraine a grimpé lundi à 36 morts, un décompte qui devrait encore s’alourdir et qui constitue l’un des plus lourds depuis le début de la guerre.

Près de 48 heures après la frappe, le chef de la police nationale ukrainienne Igor Klymenko a annoncé, qu’après une seconde nuit de recherches, 36 morts dont deux enfants avaient été retrouvés, et que 75 personnes, dont 15 enfants, ont été blessées.

Selon le gouverneur régional ukrainien Valentyn Reznichenko, « le sort de 35 autres habitants de l’immeuble est inconnu », laissant donc craindre un doublement du bilan des morts. Les opérations de sauvetage se poursuivent toujours pour tenter de retrouver des survivants sous les décombres fumants. Une brigade cynophile a notamment été déployée. Depuis le début des opérations de sauvetage, « 39 personnes ont été sauvées » des ruines, d’après le gouverneur.

12h08 : Les Occidentaux utilisent l’Ukraine « pour atteindre des objectifs anti-russes », dénonce le Kremlin

Le porte-parole du Kremlin a estimé une fois encore que les Occidentaux utilisent l’Ukraine « pour atteindre des objectifs anti-russes » et que Moscou restait déterminé à atteindre « les objectifs de l’opération militaire spéciale », euphémisme des autorités russes pour décrire l’offensive contre leur voisin.

Motivées et fortes d’une aide militaire et financière croissante, les forces ukrainiennes ont repoussé l’armée russe en lui infligeant au printemps dernier et à l’automne des revers cinglants.

Mais Kiev dit avoir besoin de chars lourds, de blindés légers, de systèmes de missiles longue portée et de défenses antiaériennes pour vaincre définitivement l’armée russe et reprendre la totalité des territoires que Moscou occupe dans l’Est et le Sud de l’Ukraine.

10h53 : La Russie promet de « brûler » les chars occidentaux livrés à Kiev

« Ces chars brûlent et brûleront », a dit Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe, dans son briefing téléphonique quotidien à la presse, évoquant notamment les chars que vont livrer Londres et Varsovie à Kiev.

10h50 : La Russie nie avoir frappé un immeuble d’habitations à Dnipro

Le Kremlin a nié lundi toute frappe des forces russes sur un immeuble d’habitations à Dnipro (est) où un bombardement samedi à fait au moins 36 morts, assurant que Moscou ne visait que des cibles militaires.

« Les forces armées russes ne bombardent pas les immeubles résidentiels, ni les infrastructures civiles, elles bombardent des cibles militaires », a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, avant d’évoquer la piste d’un missile de défense antiaérienne ukrainien qui serait tombé sur le bâtiment.

09h00 : Début d’exercices militaires aériens russo-biélorusses

Des exercices militaires aériens russo-biélorusses ont débuté lundi en Biélorussie, pays allié de la Russie, en pleine offensive de Moscou en Ukraine, a indiqué Minsk, assurant qu’ils étaient de nature « défensive ». Ces manœuvres interviennent alors que Moscou s’efforce d’entraîner Minsk dans son action militaire contre l’Ukraine, selon nombre d’observateurs, la Biélorussie servant déjà de base arrière aux forces russes.

« Du 16 janvier au 1er février 2023, des exercices aériens tactiques impliquant des unités de l’armée de l’air de la Biélorussie et de la Russie (…) auront lieu » sur le territoire biélorusse, a déclaré le ministère biélorusse de la Défense dans un communiqué. « Tous les aérodromes et tous les terrains de tir des forces aériennes et de la défense antiaérienne » de l’armée biélorusse seront impliqués dans ces manœuvres, selon la même source.

« Le principal objectif de cet exercice est de renforcer la compatibilité opérationnelle » entre les deux armées, a ajouté le ministère. Des unités des forces aériennes russes sont arrivées ces derniers jours en Biélorussie pour participer à ces exercices, a indiqué le ministère, sans toutefois préciser le nombre de militaires impliqués.

07h34 : L’Otan annonce davantage d’armes lourdes

L’Otan a annoncé dimanche que l’Ukraine pouvait s’attendre à recevoir de nouveaux armements lourds occidentaux « dans un futur proche ». Le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, a jugé dimanche que Vladimir Poutine avait « surestimé la force » de ses troupes en envahissant l’Ukraine. « Nous voyons leurs faux pas, leur absence de moral, leurs problèmes de commandement, leur mauvais équipement » et leurs « lourdes pertes », a-t-il déclaré au quotidien allemand Handelsblatt.

« Les récentes promesses [occidentales] de livraison d’armement lourd sont importantes - et je m’attends à ce qu’il y en ait davantage dans un futur proche », a-t-il ajouté, à quelques jours d’une nouvelle réunion de coordination en Allemagne, le 20 janvier, des pays occidentaux apportant une aide à l’Ukraine.

DIRECT

Note : c'est l’escalade, il ne manque qu'une petite étincelle pour que le tous prennent feu. Cette étincelle pourrait être l'arrivée de ces chars, comme une attaque meurtrière ukrainienne sur le sol russe, ce qui conduirait une riposte sur l’Otan. Mais ne sommes-nous pas déjà dans des 3GM depuis 2014 !

Encore une chose, les Occidentaux affirment que la Russie est à genoux, ce qui est faux, c'est son armée de terre qui a été mal mené en Ukraine mais son armée de l'air et de mer est encore opérationnel à 95 %, ce qui explique que Nostradamus est prophétisé que les Russes prendront le dessus contre les Anglais

L'Ukraine est un laboratoire d'essai pour les armes occidentales "dans tous les sens", selon les médias américains

Moscou a mis en garde à plusieurs reprises Washington et ses alliés contre la fourniture d'armes à Kiev, ce qui, selon le Kremlin, contribue à une nouvelle escalade du conflit ukrainien.

L'Ukraine est devenue un "banc d'essai" pour les armes occidentales qui ne répondent pas toujours aux attentes et pourraient finalement appartenir au passé, a rapporté un média américain.

Le média a affirmé que le conflit ukrainien "offrait aux États-Unis et à leurs alliés une occasion rare d'étudier le fonctionnement de leurs propres systèmes d'armes en cas d'utilisation intensive".

Vers une guerre de religion, infos du 16 janvier 2023

Une source anonyme familière avec les renseignements occidentaux a été citée par le média comme disant que l'Ukraine est "absolument un laboratoire d'armes dans tous les sens, car aucun de ces équipements n'a jamais été utilisé dans une guerre entre deux nations développées industriellement". Selon la source, "Ce sont des tests de combat dans le monde réel."

Un autre initié a déclaré au point de vente que certains systèmes sophistiqués livrés à Kiev, notamment le drone Switchblade 300 et un missile conçu pour cibler les systèmes radar ennemis, se sont révélés moins efficaces que prévu sur le champ de bataille.

L'initié a fait valoir qu'une leçon que Washington pourrait tirer du conflit ukrainien est que l'artillerie remorquée - comme le système d'obusier M777 fourni à Kiev - pourrait ne jamais être utilisée à l'avenir en raison du fait que le système est "plus difficile à déplacer rapidement pour éviter". riposter.

Depuis le début de l'année, les États-Unis et leurs alliés ont fourni plus de 40 milliards de dollars d'aide militaire à Kiev. Moscou a mis en garde à plusieurs reprises contre la fourniture d'armes à Kiev, ce qui, selon le Kremlin, contribue à une nouvelle escalade du conflit en Ukraine.

Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, a pour sa part souligné que le conflit ukrainien était devenu un autre prétexte pour les États-Unis et leurs alliés pour déclencher une guerre économique et de l'information contre Moscou afin de l'épuiser stratégiquement.

"L'Ukraine a été choisie [par l'Occident] comme instrument d'une guerre hybride contre la Russie", a ajouté Choïgou, soulignant que les livraisons d'armes occidentales à Kiev prolongent le conflit et font plus de victimes.

Spoutnik

Les chars britanniques "vont brûler comme les autres" en Ukraine, annonce le Kremlin

Le Kremlin a indiqué que les chars britanniques qui devraient bientôt être livrés à l'armée ukrainienne seraient anéantis, tout "comme les autres". Et de réaffirmer que "les objectifs de l'opération militaire spéciale seront atteints".

Les chars britanniques promis à l’Ukraine seront détruits comme les autres, a déclaré le porte-parole du Président russe.

En effet, 14 chars lourds Challenger 2 devraient être fournis à Kiev dans les deux prochaines semaines.

"L’opération militaire spéciale va se poursuivre. Ces chars brûlent et vont brûler comme les autres. Les objectifs de l’opération seront atteints", a indiqué Dmitri Peskov interrogé à ce sujet par les journalistes.

La Russie condamne les projets de l’Occident de fournir des blindés lourds à Kiev, poursuit le porte-parole de Vladimir Poutine.

"Nous l’évaluons et le percevons très négativement. Nous ne cachons pas notre attitude. Le Royaume-Uni et les autres pays européens dont la Pologne parlent maintenant de leurs intentions de tripler les livraisons de matériel militaire plus moderne du point du vue technique. Cependant, ils sont incapables de changer la situation sur le terrain. Ils doivent le comprendre", a lancé Dmitri Peskov.

Selon lui, ces actions sont susceptibles de "faire traîner cette histoire et de causer plus de malheurs à l’Ukraine".

"Par ailleurs, nous avons de forts doutes quant à leurs préoccupations sur l’avenir des gens qui habitent en Ukraine. Ils utilisent simplement ce pays comme un instrument pour atteindre leurs objectifs antirusses", a ajouté le Kremlin.

Prochaines livraisons

Après des mois d’hésitation, Londres a promis le 14 janvier cette livraison qui reflète une ambition "d'intensifier son soutien à l'Ukraine", a fait savoir le Premier ministre Rishi Sunak.

Le Royaume-Uni est ainsi devenu le premier pays à s'engager à envoyer en Ukraine ce type de blindés. La France et l’Allemagne ont récemment annoncé la fourniture de chars d'infanterie ou de reconnaissance, plus légers.

Washington a également approuvé un transfert pour un total de 3 milliards de dollars.

Parmi ces armes figurent 50 véhicules de combat Bradley, des dizaines d’autres véhicules blindés et des systèmes de défense antiaérienne Patriot, ainsi que des obusiers motorisés.

Spoutnik

Guerre en Ukraine : La Russie produit ses premières ogives nucléaires pour la torpille Poséidon, arme "pratiquement indestructible", selon Moscou

La Russie a produit les premières charges nucléaires pour les torpilles Poséidon qui seront installées sur le sous-marin nucléaire Belgorod, a rapporté l'agence de presse russe TASS lundi, citant une source de défense non identifiée.

"Les premières charges de munitions Poséidon ont été fabriquées, et le sous-marin Belgorod les recevra dans un avenir proche", a rapporté TASS citant la source.

Dans un discours de 2018, le président russe Vladimir Poutine décrivait les torpilles Poséidon comme étant un nouveau type d'arme nucléaire stratégique, à portée illimitée et pouvant fonctionner à des profondeurs extrêmes et à une vitesse bien supérieure à celle des sous-marins ou autres torpilles existantes.

"Elles sont très peu bruyantes, ont une grande maniabilité et sont pratiquement indestructibles pour l'ennemi. Aucune arme ne peut les contrer dans le monde actuel", disait Vladimir Poutine.

Source

L’Iran confirme la livraison prochaine d’avions de combat russes Su-35 « Flanker E »

L’éventualité d’une livraison à l’Iran d’avions de combat multi-rôles Su-35 « Flanker E » initialement destinés à l’Égypte fut évoquée en janvier 2022, peu avant une visite à Moscou du président iranien, Ebrahim Raïssi, au cours de laquelle il devait sceller un « partenariat stratégique » avec Vladimir Poutine, son homologue russe.

Puis il n’en fut plus question par la suite… Du moins jusqu’en septembre de la même année, quand le général Hamid Vahedi, le chef des forces aériennes iraniennes confia avoir bon espoir d’obtenir des « avions de combat de génération 4+ » russes… tout en assurant qu’aucune décision « finale » n’avait été encore prise. À l’époque, le renseignement américain avait avancé que Moscou cherchait à se procurer des drones – dont des Shahed-136, qui relèvent de la catégorie des munitions téléopérées – auprès de Téhéran.

Depuis, rebaptisés « Geran-2 », Shahed-136 ont fait leur apparition en Ukraine, où ils sont utilisés par les forces russes pour viser les infrastructures critiques ukrainiennes. Au passage, il est apparu que ces appareils sont fabriqués avec une cinquantaine de composants fournis par des entreprises américaines [au moins pour quarante d’entre-eux], canadiennes, japonaises, suisses, taïwanaises et chinoises. Ce qui ne manque pas de poser des questions sur l’efficacité des sanctions économiques et commerciales dont l’Iran a jusqu’ici fait l’objet de la part de Washington…

Cela étant, en décembre, une nouvelle évaluation du renseignement américain avança que Moscou et Téhéran avaient l’intention de resserrer davantage leurs liens dans le domaine militaire… au point de transformer « leur relation en partenariat de défense plein et entier ». En outre, il confirma une information selon laquelle des pilotes et des techniciens iraniens avaient commencé à prendre en main le Su-35 « Flanker-E » dès le printemps dernier.

Pour autant, Téhéran garda le silence… Et il aura fallu attendre le 15 janvier, et les déclarations de Shahriar Heydari, un membre de la commission pour la sécurité nationale et la politique étrangère du Parlement européen, pour en savoir un peu plus.

En effet, a rapporté l’agence semi-officielle Tasnim, M. Heydari a affirmé que les forces iraniennes recevraient un « certain nombre » d’avions de combat Su-35 « Flanker E » d’ici le 21 mars prochain [date qui marque la nouvelle année en Iran, nldr], dans le cadre d’une commande plus large comprenant des « systèmes de défense aérienne, des missiles et des hélicoptères », sans plus de détails.

A priori, la commande iranienne porterait sur 24 Su-35. Selon Tasnim, ils devraient être basés près de la ville d’Ispahan [centre de l’Iran].

Pour rappel, les forces aériennes iraniennes disposent, pour une très grande partie, d’avions de combat de facture américaine [F-14 Tomcat, F-5 Tiger, F-4 Phantom II] acquis avant la révolution islamique de 1979. Elles disposent également de Mirage F1 anciennement irakiens, de Chengdu F-7 acquis auprès de la Chine, de bombardiers tactiques Su-24 « Fencer » et d’une grosse quizaine de MiG-29 « Fulcrum », qui est l’appareil le plus moderne qu’elles mettent en eouvre [si l’on excepte les HESA Saeqeh et les HESA Kowsar, dont la conception est basée sur le F-5, ainsi que Qaher 313, qui n’a jamais été pris au sérieux].

Source

Note ; comment va réagir Israël ! Cela pourrait pousser Israël à mener une attaque contre l’Iran avant que l'Iran reçoive ces avions. De toute façon il va bien ce passé quelque chose ces prochains jours. je dois surveiller l’actualité au plus près pour tenter de comprendre comment la guerre entre Israël et l'Iran va commencer

Rima Abdul Malak, ministre de la culture, menace à demi-mot les patrons et présentateurs de C8 et CNews de ne pas reconduire leur autorisation de diffusion, notamment s’ils “ne respectent pas le pluralisme des opinions”

16/01/2023

L’automne a été marqué par des débordements dans l’émission « Touche pas à mon poste ! », sur C8. Les réponses apportées par l’Arcom vous paraissent-elles adaptées, suffisamment rapides, et à la hauteur de l’émoi suscité ?

Nous ne pouvons pas, d’un côté, reprocher à Cyril Hanouna de réclamer une justice expéditive pour le meurtre de Lola [une adolescente de 12 ans tuée à Paris, mi-octobre] et, de l’autre, faire appel à une forme de justice expéditive pour lui ! Nous sommes dans un Etat de droit, il faut respecter le temps des procédures – je rappelle qu’il est arrivé que le Conseil d’Etat donne tort à l’Arcom.

L’Autorité dispose d’un panel de moyens d’action et de sanctions prévu par la loi. Elle est intervenue une vingtaine de fois depuis 2019 à propos de C8 et de CNews. Il faut responsabiliser les présentateurs, les chroniqueurs, mais aussi les patrons de chaînes, pour leur rappeler que l’autorisation d’utilisation gratuite de leurs fréquences s’accompagne d’obligations, comme celle de traiter les affaires judiciaires avec mesure, celle de respecter le pluralisme des opinions, etc. Lorsqu’on arrivera, en 2025, au moment de l’analyse de leur bilan pour la reconduction de leurs autorisations de diffusion, l’Arcom saura regarder comment elles ont respecté ces obligations.

Le Monde

Toulouse : un homme de 56 ans entre la vie et la mort après avoir été agressé en pleine rue pour une cigarette refusée, deux suspects de 16 et 30 ans interpellés, l’un avait le téléphone de la victime sur lui

16/01/2023

Un homme âgé de 56 ans se trouve dans le coma à l’hôpital après une violente agression à Toulouse (Haute-Garonne), survenue dimanche vers 06h30 raconte La Dépêche. Deux suspects âgés de 16 et 30 ans ont été interpellés et placés en garde à vue.

La victime sortait d’une nuit festive lorsqu’elle a croisé le chemin de ses agresseurs au niveau de la place Robert-Schuman. Ces derniers lui ont réclamé une cigarette et le quinquagénaire aurait répondu qu’il n’en avait pas. Les deux hommes auraient aperçu un paquet qui dépassait de sa poche et l’ont agressé. Frappée, la victime s’est effondrée avant d’être dépouillée.

(…) Les deux suspects ont été interpellés par les policiers à proximité du lieu des faits. L’un avait le téléphone de la victime sur lui. Le duo serait passé aux aveux durant ses auditions. Les enquêteurs du groupe d’appui judiciaire (GAJ) sont chargés de l’enquête.

Actu 17

Lyon : déjà condamné 39 fois, Nabil Bensaada dissimule des allumettes dans son anus et met le feu à sa cellule

16/01/2023

Le 2 novembre, un détenu avait été extrait de la maison d’arrêt de Corbas et transféré au palais de justice de Lyon 3^e pour être jugé pour des violences. Alors qu’il se trouvait au « petit dépôt » (les geôles du tribunal), l’individu avait mis le feu à sa cellule après avoir insulté un policier et menacé de se jeter dans les escaliers.

Cet homme, c’est Nabil Bensaada, 34 ans, 39 condamnations au compteur ; ce polytoxicomane d’une dangerosité élevée souffre de troubles psychopathiques sévères, selon l’expert psychiatre qui l’a examiné. Le 2 novembre, Bensaada avait dissimulé dans son anus des allumettes et un grattoir. C’est ainsi qu’il avait pu mettre le feu à son caleçon. Le sinistre avait été rapidement éteint mais avait dégagé une épaisse fumée, incommodant plusieurs policiers.

Un mois plus tard, son codétenu de Corbas l’avait accusé de faits de violences et d’humiliation. Bensaada l’aurait giflé, lui aurait ordonné de faire le ménage, de se déshabiller, de rester sous le lit, avant de menacer de « le charcler ». Une nuit cauchemardesque qui a valu au plaignant 8 jours d’ITT (incapacité totale de travail).

[…]

Le Progrès

Note : condamné 39 fois ! J'ai un ami qui disait, la France devrait appliquer la charia pour les musulmans, c-a-d leurs coupés une main lorsqu’ils volent, puisque que c'est leur religion autant qu'ils en profitent exclusivement

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Yoann

16/01/2023 21:55

Les nouvelles torpilles poseidon préfigurent le tsunami en qui va toucher les cotes Française en atlantiques et la manche quand les prophetie de Nostradamus et MJJ vont se realiser.

Répondre

3guerremondiale

17/01/2023 07:27

La comète arrive on va bientôt pouvoir constaté si mes calculs sont exact.

Vener

16/01/2023 18:34

Pourquoi ne pas avoir publié mon commentaire ?

Répondre

3guerremondiale

17/01/2023 07:25

Vos commentaires ont étaient publié <br /> Désolé d'avoir été aussi long je n'avais pas vu les notifications (qui sont écrite en très petit caractère, pas très voyant)

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Guerre en Ukraine EN DIRECT : Vladimir Poutine dénonce les livraisons croissantes d'armes occidentales à Kiev…

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