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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

 

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Les Infos du 14 janvier 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Londres va envoyer des chars d'assaut Challenger 2 en Ukraine, une « bonne décision » pour Volodymyr Zelensky…

 

L’ESSENTIEL

  • Au 325e jour de guerre, l’incertitude demeure autour de Soledar, une petite ville proche de Bakhmout. Désertée par ses habitants, elle est le théâtre de « violents combats » maison par maison. Vendredi, les troupes russes ont annoncé en avoir le plein contrôle, ce qui a été démenti par Kiev.
  • Les pays de l’Otan envisagent de livrer des chars lourds et récents à l’Ukraine, après de multiples demandes de Volodymyr Zelensky en ce sens. Mais il faudra aussi former les soldats ukrainiens à utiliser cette cavalerie disparate, entre Leopard, Challenger 2 et blindés de reconnaissance comme le Marder.
  • Trois jours après une tentative manquée de lancement de satellites depuis un avion décollant du Royaume-Uni, la Suède a inauguré vendredi son nouveau site de lancement de satellites, en pleine course au premier tir depuis le continent européen. Une avancée cruciale pour l’indépendance de l’Europe en matière spatiale, puisque les accords avec la Russie pour utiliser ses fusées depuis Baïkonour ont été rompus.

 

 

 

 

14h08 : Pour Zelensky, le Royaume-Uni « envoie le bon signal » en fournissant des chars d’assaut

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué samedi la décision britannique de fournir des chars de combat lourds à son pays, affirmant que Londres « envoie le bon signal », alors que Kiev multiplie les demandes en matériel militaire. « Lors d’une conversation avec le Premier ministre Rishi Sunak, je l’ai remercié pour avoir pris des décisions qui non seulement nous renforcent sur le champ de bataille, mais envoient également le bon signal à nos partenaires », a déclaré Volodymyr Zelensky sur Twitter

 

 

13h34 : Londres va envoyer des chars d’assaut Challenger 2 en Ukraine

Le Royaume-Uni va fournir à l’Ukraine des chars Challenger 2, devenant le premier pays occidental à envoyer des chars lourds pour aider Kiev face à l’invasion russe, a indiqué samedi Downing Street dans un communiqué. Lors d’un entretien avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le Premier ministre britannique Rishi Sunak a souligné « la volonté du Royaume-Uni d’intensifier son soutien à l’Ukraine, notamment en fournissant des chars Challenger 2 et des systèmes d’artillerie supplémentaires », a précisé Downing Street.

 

12h38 : La ville de Soledar « sous le contrôle » de l’Ukraine, selon un responsable ukrainien

La petite ville de Soledar, dans l’est de l’Ukraine, au centre d’une bataille acharnée avec les forces russes et dont Moscou revendique la prise, est toujours « sous contrôle » ukrainien, a déclaré samedi le gouverneur de la région de Donetsk, Pavlo Kyrylenko. « Soledar est sous le contrôle des autorités ukrainiennes, nos forces en ont le contrôle », a-t-il déclaré, en ajoutant que cette localité et la ville proche de Bakhmout étaient les points « les plus chauds » du front.

 

10h17 : Le Conseil de sécurité de l’ONU impuissant

Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est réuni une nouvelle fois pour discuter de la situation en Ukraine vendredi, près de onze mois après le début de l’invasion russe. « L’Ukraine, la Russie, le monde ne peuvent se permettre que cette guerre continue », a souligné la secrétaire générale adjointe de l’ONU pour les affaires politiques, Rosemary DiCarlo. Mais « c’est la logique militaire qui domine, avec très peu d’espace de dialogue pour le moment, si tant est qu’il y en ait le moindre », a-t-elle ajouté, ne voyant « aucun signe d’une fin des combats ».

 

 

22:50 (hier, 13 janvier)

Cinq pays prêts à transférer des chars Leopard, selon l’Ukraine, Berlin appelle à la prudence

Un Leopard 2 lors d’une démonstration organisée par la Bundeswehr à Münster, en 2011.

« Outre la Pologne et la Finlande, trois autres pays sont prêts à nous transférer des chars, mais ils ne l’annonceront publiquement que s’ils sont sûrs que l’Allemagne soutiendra cette décision », affirme Dmytro Kuleba, le ministre des affaires étrangères ukrainien.

Mardi, Dmytro Kuleba a réclamé à l’Allemagne la livraison de chars de combat allemands Leopard 2, à l’occasion de la visite de son homologue allemande, Annalena Baerbock, à Kharkiv. La Pologne, qui en possède, s’est dite prête à en fournir à l’Ukraine, sous réserve du feu vert de Berlin. Cette semaine, M. Kubela a demandé aux Occidentaux qui fournissent au pays une aide militaire davantage de munitions, de pièces d’artillerie, de systèmes antiaériens et de blindés d’infanterie.

Lors d’une conférence de presse avec son homologue irakien à Berlin, le chancelier allemand, Olaf Scholz, a appelé à la prudence affirmant que la « nécessité de dire quelque chose toutes les dix minutes » ne devrait pas conduire à des décisions « liées à la guerre et à la paix ». L’Allemagne agira toujours « de manière étroitement coordonnée avec [ses] amis et alliés » sur les questions d’armements pour Kiev, a-t-il ajouté. Il a déclaré également que la majorité des Allemands soutenaient l’attitude pondérée du gouvernement. (source)

LIRE AUSSI; Chars a l'Ukraine, le gouvernement allemand devrait annoncer sa décision la semaine prochaine.

DIRECT

 

Les blindés français des années 1980 AMX-10RC, que l’Élysée qualifie de "chars de combat légers", devraient être livrés en Ukraine "dans les deux mois", a confirmé le ministre français des Armées Sébastien Lecornu. (Source Spoutnik)

 

Note ; les gouvernements se sont depuis le début du conflit, toujours refusé à donner des chars à l'Ukraine, de peur que le conflit dégénère en 3 GM. Mais voila qu'ils se croient devenus cette année plus inteligent que l'année précedente.  Ils n'ont plus de crainte, ils s'inpliquent de plus en plus dans cette guerre, sans  aucune conscience ce que va leur couté de donner de telles armes à l'Ukraine (pour tuer des russes)

Après le massacre d'une centaine de recrus avec des lance-missiles HIMARS américains, il a quelques jours, qu'elle va être la réponse russe à ces chars de l'Otan ! (il reste maintenant que quelques jours, la comète arrive)

 

 

Profitez bien de la comète « ZTF », car elle ne reviendra jamais nous voir

 

 

Une comète baptisée C/2022 E3 (ZTF) pourrait devenir visible à l’œil nu très bientôt. Si cela arrive, il faudra bien en profiter. L’objet ne reviendra probablement plus jamais nous voir ensuite.

2023 commence avec une nouvelle comète très médiatisée, C/2022 E3 (ZTF). Cette comète prometteuse pourrait devenir visible à l’œil nu. L’objet est passé au périhélie, c’est-à-dire au plus près du Soleil sur sa trajectoire, le 12 janvier. C/2022 E3 (ZTF) se trouvait alors à environ 160 millions de km de l’astre.

La comète continue sa traversée du système solaire, désormais en s’approchant de notre planète. C/2022 E3 (ZTF) devrait se trouver au plus près de nous le 1er février. Il faut toutefois relativiser la notion de « proximité » : la comète sera alors à un peu plus de 42 millions de km de la Terre.

(..)

Si la comète devient visible sans instrument ces prochains jours, il faudra donc bien en profiter. Si vous voulez voir d’un peu plus près à quoi ressemble la comète, vous pouvez aussi suivre un événement en direct organisé par le Virtual Telescope Project. Il faut toutefois être bien motivé, car il commence à partir de 5h le samedi 14 janvier. À l’origine, il était prévu de diffuser ce direct le 13 janvier, mais la couverture nuageuse a contraint à un report.

Source

 

 

 

Une frégate russe équipée des Zircon passe près des côtes françaises

 

La nouvelle frégate russe Amiral Gorchkov qui porte à son bord des missiles hypersoniques Zircon a transité dans la Manche le 12 janvier. Cet événement a été annoncé d’avance par Moscou. La frégate, mise en service dans le nord de la Russie, doit accomplir une mission dans les océans Atlantique et Indien ainsi qu’en Méditerranée.

Сonformément au plan annoncé par la Défense début janvier, la frégate russe Amiral Gorchkov, armée de missiles hypersoniques Zircon capables d'atteindre Mach 9, poursuit sa mission dans l’océan Atlantique passant près côtes françaises et britanniques.

Vers une guerre de religion, infos du 14 janvier 2023

"La frégate Amiral Gorchkov de la flotte du Nord a terminé aujourd'hui son passage de la Manche vers le sud et a franchi hier sa partie la plus étroite, le Pas de Calais. Le navire continuera à naviguer comme prévu", indique le communique de la Défense russe.

Cité par BFM TV, l’État-major des Armées français a annoncé "avoir suivi et bien suivi" le déplacement du navire qui a été aperçu au large des côtes de Boulogne-sur-Mer.

"Il y a des transferts d'autorité suivis par l'Otan de la mer du Nord jusqu'à la Manche avec un transfert quand elle [la frégate ] arrivera au sud du golfe de Gascogne", a expliqué l'État-Major des Armées à la chaîne.

Sa mission

La mise en service de la frégate Amiral Gorchkov a été annoncée par Vladimir Poutine le 4 janvier à Severomorsk, dans le nord de la Russie. Le même jour, le ministre russe de la Défense a indiqué que le navire se dirigerait vers l'océan Atlantique, avant de mettre le cap sur l'océan Indien et enfin la Méditerranée.

Des missiles hypersoniques Zircon (Tsirkon) qu’il transporte à son bord peuvent voler à une vitesse de plus de 10.000 km/h et à 20 kilomètres d’altitude. Ils ont une portée de 1.000 kilomètres. D’après la Défense russe, le Zircon est le premier missile hypersonique de croisière au monde capable d’effectuer un vol aérodynamique prolongé en manœuvrant dans l’atmosphère grâce à son propre moteur.

Le vice-président du Conseil de sécurité de la Russie, Dmitri Medvedev, a qualifié le 5 janvier la frégate Amiral Gorchkov avec ces missiles Zircon "d’un cadeau essentiel pour le Nouvel An" de Moscou à l’Alliance. Il a alors souligné que la frégate était "partie vers les côtes des pays de l’Otan", en particulier vers les États-Unis.

Spoutnik

 

 

 

La Chine demande aux États-Unis et au Japon de ne pas transformer la région Asie-Pacifique en ring de catch

Vers une guerre de religion, infos du 14 janvier 2023

Tokyo a annoncé son intention de plus que doubler les dépenses de défense le mois dernier dans ce qui s'annonce comme le plus grand renforcement militaire de la nation insulaire depuis la Seconde Guerre mondiale. Les responsables japonais ont justifié les dépenses en citant les prétendues menaces régionales posées par la Chine et la Corée du Nord.

Vendredi, le ministère chinois des Affaires étrangères a balayé Washington et Tokyo sur les charbons au milieu des perspectives de poursuite de la militarisation de l'Asie de l'Est, appelant les deux nations à éviter de faire de Pékin un "ennemi imaginaire" et de transformer la région en un ring de lutte.

le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Wang Wenbin "L'Asie-Pacifique est un point d'ancrage pour la paix et le développement, pas un terrain de lutte pour la concurrence géopolitique", a déclaré lors d'un point de presse régulier. « Les pays de la région sont pour la justice et contre l'hégémonisme. Ils espèrent s'engager dans la coopération, pas dans la confrontation. Ils aspirent à un véritable multilatéralisme et rejettent les petits cercles qui incitent à la confrontation des blocs », a ajouté le porte-parole.

Wang a appelé la Chine et le Japon à "abandonner" leur "mentalité de guerre froide et leurs préjugés idéologiques" contre la Chine, "cesser de créer des ennemis imaginaires et cesser d'essayer de semer les graines d'une nouvelle guerre froide en Asie-Pacifique, et de ne pas devenir des perturbateurs de une Asie-Pacifique stable.

Wang a également rejeté le contenu d'une déclaration conjointe du 11 janvier du Comité consultatif sur la sécurité américano-japonais à Washington à la suite de réunions des ministres des Affaires étrangères et de la Défense des deux pays, qui décrivait les prétendues tentatives de la Chine de "remodeler l'ordre international" et de "changer unilatéralement le statut". quo par la force en mer de Chine orientale » comme source de préoccupation.

"Le libellé sur la Chine dans cette déclaration commune sent fortement une mentalité de guerre froide à somme nulle et contient des calomnies et des attaques sans fondement contre la Chine", a déclaré Wang. « Les États-Unis et le Japon prétendent faire progresser la paix et la sécurité régionales, mais s'engagent à trouver des prétextes pour un renforcement militaire et l'usage délibéré de la force. Ils prétendent défendre un Indo-Pacifique libre et ouvert, mais mettent en place divers blocs d'exclusion pour créer la division et la confrontation. Ils prétendent défendre l'ordre international fondé sur des règles, mais bafouent le droit international et les normes fondamentales régissant les relations internationales et s'immiscent grossièrement dans les affaires intérieures d'autres pays », a déclaré le porte-parole.

Les remarques de Wang viennent dans le contexte des plans du Japon de plus que doubler les dépenses de défense au cours des cinq prochaines années et de devenir le troisième plus grand dépensier militaire au monde après les États-Unis et la Chine.

Pékin a également exprimé à plusieurs reprises ses inquiétudes concernant les politiques américaines dans l'arrière-cour de la nation asiatique au cours des derniers mois, citant les mesures provocatrices et progressives de Washington à Taïwan, la poursuite des missions de «liberté de navigation» dans le détroit de Taïwan et la mer de Chine méridionale, et les efforts du Pentagone pour trouver des alliés prêts à héberger une nouvelle génération de systèmes de missiles à capacité nucléaire américains basés au sol près de la Chine.

Lors d'un débat au Conseil de sécurité des Nations unies sur l'état de droit international jeudi, l'ambassadeur chinois Zhang Jun a critiqué la rhétorique américaine sur le soi-disant "ordre international fondé sur des règles", affirmant que Pékin n'avait pas encore reçu de réponse claire concernant "ce que sorte de règles » ce soi-disant ordre et « qui crée ces règles ».

Zhang a exprimé des soupçons quant aux motivations des pays « scandant le mantra fondé sur des règles à chaque occasion », suggérant que leur véritable objectif était « de créer une alternative au système de droit international existant, d'imposer leurs propres normes et volonté aux autres en mettant leurs propres intérêts étroits au centre de l'univers, et d'ouvrir la porte dérobée aux doubles standards et à "l'exceptionnalisme".

Lors du débat, l'ambassadrice des États-Unis à l'ONU, Linda Thomas-Greenfield, a accusé la Chine et la Russie de bloquer les efforts visant à condamner les éventuels préparatifs de la Corée du Nord pour un nouvel essai nucléaire, et a juré que Washington "poursuivrait la progression de l'État de droit" tant chez lui que chez lui. à l'étranger.

« La déclaration faite par le représentant américain plus tôt dans la journée nous convainc davantage que nos soupçons sont pleinement justifiés. Si nous laissons cette tendance dangereuse sans contrôle, notre monde régressera à l'ère où la loi de la jungle et la politique du pouvoir régnaient en maître », a déclaré Zhang.

Source Spoutnik (traduction)

 

Note:  la Chine a raison sur certains points, mais elle ne fait rien pour calmer son "pitbull" garde frontière Kim Jong Un. je pense mm qu'elle l'encourage

 

 

L'Iran exécute par pendaison un ressortissant Irano-Britannique condamné pour espionnage

Vers une guerre de religion, infos du 14 janvier 2023
L'homme de 61 ans avait été condamné pour "corruption sur Terre et pour atteinte à la sécurité intérieure et extérieure du pays pour avoir transmis des renseignements".
 

Un Irano-Britannique a été exécuté par pendaison après avoir été condamné à mort pour espionnage pour le compte des services de renseignements britanniques, a annoncé samedi l'agence de l'Autorité judiciaire iranienne.

Ancien haut responsable de la défense iranienne, Alireza Akbari, 61 ans, avait été condamné pour "corruption sur Terre et pour atteinte à la sécurité intérieure et extérieure du pays pour avoir transmis des renseignements" au Royaume-Uni, selon Mizan Online.

Dans la foulée, le Royaume-Uni a dénoncé un "acte barbare". "Je suis horrifié par l'exécution du citoyen irano-britannique Alireza Akbari en Iran", a réagi samedi matin sur Twitter le Premier ministre britannique Rishi Sunak, évoquant "un acte cruel et lâche commis par un régime barbare".

"Cet acte barbare (...) ne restera pas impuni", a tweeté de son côté le chef de la diplomatie britannique James Cleverly.

De son côté, le ministère français des Affaires étrangères a France a condamné "avec la plus grande fermeté" cette nouvelle exécution, exprimant "sa pleine solidarité avec les autorités britanniques et présente ses condoléances à la famille de M.Akbari".

Le chargé d’affaires de l’ambassade d’Iran à Paris a été "convoqué une nouvelle fois, ce matin, pour exprimer notre indignation", ajoute le communiqué. "Il lui a également été signifié une mise en garde : les violations répétées du droit international par l’Iran ne pourront rester sans réponse, particulièrement s’agissant du traitement de ressortissants étrangers que ce pays détient arbitrairement".

Un "espion clé" selon Téhéran

Son exécution est intervenue trois jours après l'annonce par la justice iranienne de la condamnation à mort de cet homme, présenté comme ayant été un "espion clé" pour le "Secret intelligence service" britannique (SIS) en raison de "l'importance de sa position".

Cette annonce avait provoqué la colère de Londres qui a demandé la non exécution de la sentence. "L'Iran doit cesser l'exécution du ressortissant britannique et iranien Alireza Akbari et le libérer immédiatement", avait réagi le chef de la diplomatie britannique James Cleverly.

"Il s'agit d'un acte politiquement motivé par un régime barbare qui a un mépris total pour la vie humaine", selon lui.

Jeudi, les médias officiels iraniens avaient rapporté qu'Alireza Akbari avait occupé des postes haut placés dans l'appareil sécuritaire et de défense.

Appel des États-Unis à abandonner l'exécution

Selon l'agence de presse IRNA, il était un ancien combattant de la guerre entre l'Iran et l'Irak (1980-1988) avant d'occuper des postes importants, comme "vice-ministre de la Défense pour les Affaires étrangères", chef d'une unité dans un centre de recherche ministériel, "conseiller pour le commandant de la Marine", entre autres.

Lire la suite et voir video

 

 

 

 

Île de Ré : la justice ordonne en appel le démontage d’une statue de la Vierge Marie située au milieu d’un carrefour, donnant raison à l’association de gauche/communiste La Libre Pensée (MàJ)

La statue située dans la commune de La Flotte-en-Ré doit être placée hors du domaine public en vertu de la loi de séparation de l’Église et de l’État.

La cour administrative d’appel de Bordeaux a ordonné à la commune de La Flotte-en-Ré, sur l’Île de Ré, le déplacement hors du domaine public d’une statue de la Vierge située au milieu d’un carrefour, en vertu de la loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905, a appris l’AFP vendredi 13 janvier.

Confirmant une première décision du tribunal administratif de Poitiers, en mars dernier, elle a par ailleurs enjoint cette commune de Charente-Maritime de 2800 habitants de «procéder à son enlèvement dans un délai de six mois», dans un communiqué de presse.

Une statue commémorative

Cette statue de la discorde, qui comporte la mention «vœux de guerre», a été réalisée après la Seconde Guerre mondiale pour une famille reconnaissante de voir un père et son fils rentrer vivants du conflit. D’abord exposée dans un jardin privé, elle a ensuite été donnée à la commune qui l’a installée en 1983 à un carrefour.

Mais au printemps 2020, la statue est endommagée après avoir été percutée par un automobiliste. La municipalité décide alors de la reconstruire à l’identique, au même emplacement, sur un promontoire.

À la suite de cette décision, la Libre-pensée 17, association de défense de la laïcité, avait saisi la justice pour réclamer ce retrait, en invoquant la loi de 1905 qui interdit l’installation de monuments à caractère religieux sur le domaine public.

(…) Le Figaro


03/03/2022

C’est «inacceptable que des élus (…) confondent encore commune et paroisse», a dénoncé l’association La Libre-pensée 17 après avoir obtenu le démontage d’une statue religieuse à La Flotte-en-Ré.

Le tribunal administratif de Poitiers a ordonné jeudi 3 mars à la commune de La Flotte-en-Ré, sur l’île de Ré, le déplacement hors du domaine public d’une statue de la Vierge située au milieu d’un carrefour, invoquant la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État.

Cette commune de Charente-Maritime a six mois pour «procéder à l’enlèvement du domaine public communal de la statue de la Vierge Marie» selon le jugement consulté par l’AFP, conforme aux conclusions du rapporteur public. L’association La Libre-pensée 17 avait saisi la justice pour réclamer ce retrait, en demandant l’application de la loi de 1905 qui interdit l’installation de monuments à caractère religieux sur le domaine public. Un recours né d’un banal accident.

(…) À l’audience, la municipalité soutenait que la statue n’avait «pas un caractère uniquement et totalement religieux». «La population est unanime pour considérer que la statue fait partie d’un patrimoine historique, au même titre qu’une statue de roi ou de Napoléon», a souligné jeudi auprès de l’AFP le maire Jean-Paul Héraudeau. Mais le tribunal a tranché : elle constitue bien «un symbole principalement religieux».

(…) Le Figaro

 

 

Loi immigration : des parlementaires de gauche prônent l’accueil “inconditionnel” des migrants quel que soit le motif de leur arrivée

Ils prônent la “solidarité” face au “rejet”: des parlementaires de gauche ont défendu l’accueil “inconditionnel” des exilés dans la future loi sur l’immigration, un texte qu’ils jugent stigmatisant et face auquel ils ont affiché leur volonté de ferrailler unis. Le projet de loi, qui sera présenté en Conseil des ministres dans les prochaines semaines avant d’arriver en première lecture probablement en mars au Sénat, vise surtout à favoriser les expulsions d’étrangers qui présentent une menace pour l’ordre public, notamment par une réforme “structurelle” de l’asile et du contentieux des étrangers. 

En amont, “il nous a paru important (…) de mettre en avant une politique d’accueil fondée sur des principes de solidarité et de fraternité“, a expliqué devant la presse Guillaume Gontard, le président du groupe écologiste qui a organisé vendredi au Sénat un colloque sur les enjeux de “l‘accueil et de l’accompagnement des personnes exilées“. Quel que soit le motif de leur arrivée, “on se doit de les accueillir dignement, de manière inconditionnelle“, a-t-il insisté, rejetant toute forme d’angélisme.

On ne peut pas demander aux gens de s’insérer, d’apprendre le français (…) et en même temps les accueillir comme on les accueille“, a abondé le sénateur Guy Benarroche, qui sera le chef de file du groupe sur le projet de loi.

La situation de l’accès aux droits des exilés est “ubuesque” à “tous les niveaux de la chaîne“, a jugé le sénateur des Bouches-du-Rhône. “C’est notre devoir d’essayer de changer la loi car, a minima, elle ne doit pas être un frein à l’accueil“, a-t-il ajouté.

Surtout qu’une “grande majorité” des exilés “vont rester” et que “80% des OQTF ne sont pas exécutées“, a-t-il souligné, en référence aux “obligations de quitter le territoire français” dont le gouvernement veut améliorer l’efficacité.

La mouture du texte déjà transmise au Conseil d’Etat laisse un “mauvais pressentiment” à Guy Benarroche: “Quand on commence une loi sur l’asile en se demandant comment on va faire pour reconduire les gens plus rapidement dans leur pays, c’est un peu bizarre“, avance-t-il. “Il va y avoir du pain sur la planche pour essayer de changer les choses.

Des inquiétudes partagées par Guillaume Gontard, qui s’inquiète des “arbitrages” décidés entre la majorité et les Républicains. “Ici au Sénat, on n’a pas de groupe Rassemblement national, mais on constate clairement une vraie dérive de la droite vers les extrêmes“, ce qui est “particulièrement inquiétant sur ce texte“, juge-t-il.

Cela donne “des raisons de s’inquiéter, mais aussi de s’unir pour faire face“, a estimé la députée (PCF) Elsa Faucillon. “Poser les termes du débat sur des enjeux d’accueil et d’accompagnement, ça inverse la logique actuelle de rejet“, a-t-elle expliqué devant un parterre d’élus et d’ONG.

Même la mesure-phare du gouvernement en faveur de l’intégration, la proposition de créer un titre de séjour “métiers en tension” dans les secteurs en pénurie de main d’œuvre, est rejetée par les élus de gauche. Elle relève même d’une “vision profondément déshumanisante et utilitariste“, a taclé Elsa Faucillon.  “La personne ne vient que pour remplir des tâches utiles à la nation mais surtout pas pour y participer, y contribuer et en bénéficier“, a ajouté l’élue des Hauts-de-Seine.

En attendant que le texte passe au Sénat, dominé par la droite, puis à l’Assemblée nationale, l’accueil des exilés est l’otage d’un “jeu politicien malsain“, a pour sa part regretté l’eurodéputé EELV Damien Carême, dirigeant de l’Anvita (Association nationale des villes et territoires accueillants) qui a co-organisé le colloque.

On est en train de stigmatiser cette population, qu’on rend responsable de tous les maux. Or, on a vu qu’en Europe on a été capables d’accueillir sept millions d’Ukrainiens en trois mois en leur donnant un droit au logement, à la santé, au travail“, a-t-il poursuivi. Donc on a la capacité d’accueillir.

actu.orange/AFP

 

 

Le nombre de migrants qui ont tenté d’entrer illégalement dans l’UE en 2022 a augmenté de 64% par rapport à 2021, Syriens, Afghans et Tunisiens représentent la moitié des entrées

En six ans, il n’y avait jamais eu autant de réfugiés à tenter de venir dans l’Union européenne de façon illégale. Le nombre d’entrées irrégulières a augmenté de 64% en 2022 par rapport à 2021, indique Frontex, l’agence de surveillance des frontières de l’Union ce vendredi.Les ressortissants syriens, afghans et tunisiens représentent la moitié des entrées.

Le nombre de personnes qui tentent de pénétrer les frontières de l’Union européenne de façon illégale n’avait jamais été aussi élevé depuis six ans. En 2022, le nombre d’entrées irrégulières dans l’Union a augmenté de 64% par rapport à l’année précédente, un niveau jamais atteint depuis 2016, a annoncé ce vendredi l’Agence européenne de surveillance des frontières, Frontex.

Selon l’agence, 330.000 entrées irrégulières ont été enregistrées en 2022. Le nombre de ressortissants syriens concernés a pratiquement doublé, à 94.000. “Il s’agit de la deuxième année consécutive avec une forte augmentation du nombre d’entrées irrégulières“, a déclaré Frontex dans un communiqué, ajoutant que les Syriens, les Afghans et les Tunisiens représentaient ensemble 47% des entrées irrégulières en 2022.

L’Agence indique aussi que 45% des réfugiés sont arrivés par la route des Balkans occidentaux. Elle a compté 145.600 passages enregistrés, une hausse de 136% par rapport à l’année précédente.

La route de la Méditerranée centrale, deuxième la plus empruntée, a vu le nombre de passages dépasser 100.000, soit une hausse de plus de 50%.

Environ 10% d’entrées irrégulières ont été effectuées par des femmes et environ 9% par des mineurs.

France Bleu

 

 

États-Unis : après la plainte d’une étudiante musulmane, une professeure d’histoire de l’art virée pour avoir montré une peinture de Mahomet en classe (MàJ)


09/01/23

L’université Hamline, située dans l’État du Minnesota dans le nord des États-Unis, est sous le feu des critiques après la mise à l’écart cet hiver d’une professeure ayant montré des images du prophète Mahomet en classe, plusieurs associations dénonçant une atteinte à la liberté académique. L’établissement « admet n’avoir pas renouvelé le contrat d’une professeure d’histoire de l’art le semestre dernier après la plainte d’une étudiante musulmane », a indiqué l’association de défense des libertés civiles FIRE dans une plainte déposée le 4 janvier auprès d’un conseil de l’enseignement supérieur américain.

L’étudiante avait en effet considéré comme une atteinte à ses croyances religieuses le fait que sa professeure « montre en classe, de façon optionnelle, un tableau du XIVe siècle dépeignant le prophète Mahomet dans le cadre d’une discussion sur l’art islamique », a poursuivi l’organisme. La professeure avait prévenu les étudiants. L’islam, dans son interprétation stricte, interdit toute représentation du prophète Mahomet. Une telle mise à l’écart est « une claire violation » des règles de l’université qui « l’engagent à garantir la liberté d’expression et son corollaire, la liberté académique », a ajouté l’association FIRE. Erika Lopez Prater, professeure vacataire, qui avait par ailleurs montré une autre image du prophète lors de son cours en ligne en octobre, avait auparavant dispensé de nombreux avertissements à ses étudiants les invitant à quitter la session s’ils le souhaitaient, ont rapporté plusieurs médias américains.

« Le respect pour les étudiants observant la foi musulmane dans cette classe aurait dû supplanter la liberté académique », a estimé la présidente de l’université Hamline, Fayneese Miller, dans un courriel cité par le New York Times. Une association exige sa réintégration « Si un professeur d’histoire de l’art ne peut pas montrer à des étudiants d’université une œuvre d’art essentielle de peur que des étudiants ou un groupe offensé puissent le faire renvoyer, alors il n’y a aucune garantie de liberté académique dans cette institution et aucun engagement envers l’enseignement supérieur », a réagi de son côté l’association Academic Freedom Alliance dans un courrier à l’université, daté de début janvier, exigeant la réintégration immédiate d’Erika Lopez Prater. Une pétition sur le site Change.org en soutien à l’universitaire et réclamant une enquête a recueilli plus de 7 600 signatures depuis le 24 décembre. En France, un professeur d’histoire-géographie, Samuel Paty avait été poignardé puis décapité près de son collège en 2020 par un jeune de 18 ans, radicalisé, qui lui reprochait d’avoir montré en classe des caricatures de Mahomet. Ce meurtre avait bouleversé un pays déjà fragilisé depuis 8 ans par le massacre de la rédaction de « Charlie hebdo » et les attentats de 2015 à Paris. Il avait relancé les débats passionnels autour de la liberté d’expression, la religion, la laïcité, le droit de blasphémer.

Le Parisien

 

 

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V
Vivement que ce que tu prédis depuis tout ce temps se déclenche . Je te suis chaque jours depuis le tout début de ton blog , car j'étai tombé dessus en tapant 3ème guerre mondiale, et ce que tu disais a tout de suite fait écho en moi , je me suis immédiatement dis "oui , c'est exactement ce que je pense qu'il arrivera aussi". Quand on lis toutes ces infos horribles, on ne peut plus rien attendre d'autre de la vie que tout explose subitement , car sinon , personne ne fera rien , et cette situation de lente agonie vers notre erradication est vraiment la pire situation qui soit...
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