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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 15 janvier 2023

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : La dynamique de l'offensive russe est « positive », selon Vladimir Poutine…

 

 

L’ESSENTIEL

  • Londres a promis samedi la livraison « dans les prochaines semaines » de 14 chars lourds Challenger 2 à l’Ukraine. Le Royaume-Uni devient ainsi le premier pays à s’engager à envoyer à Kiev ce type de blindés.
  • Les secours s’activaient toujours ce dimanche à l’aube pour tenter de trouver des survivants dans les ruines d’un immeuble de Dnipro (est) touché par une frappe russe qui a fait au moins 14 morts.
  • Sur le front, le bourg de Soledar est toujours « sous contrôle » ukrainien, a assuré samedi le gouverneur de la région de Donetsk, Pavlo Kirilenko, notant que « les combats continuent dans la ville et à l’extérieur ». Cette localité et celle proche de Bakhmout restent actuellement les points « les plus chauds » du conflit.

 

 

12h23 : La dynamique de l’offensive russe est « positive », selon Vladimir Poutine

Le président russe Vladimir Poutine a estimé que la campagne militaire en Ukraine suivait une « dynamique positive » après l’annonce de la prise de la ville de Soledar, dans l’est de l’Ukraine, toujours démentie par Kiev. « La dynamique est positive et tout se déroule selon les plans du ministère de la Défense et de l’état-major. J’espère que nos combattants vont encore nous ravir plus d’une fois avec leurs résultats militaires », a-t-il déclaré dans une interview à la télévision publique russe, diffusée dimanche.

 

 

08h50 : Le bilan de la frappe à Dnipro grimpe à 20 morts

Le bilan de la frappe russe survenue samedi sur un immeuble à Dnipro, dans l'est de l'Ukraine, s'est alourdi à 20 morts, a annoncé dimanche le chef de l'administration militaire régionale de Dnipropetrovsk, Valentyn Reznichenko.

 

 

08h15 : L’Asie après l’Ukraine ?

« L’Asie pourrait être l’Ukraine de demain », a averti samedi le Premier ministre japonais Fumio Kishida depuis les Etats-Unis, alors qu’il conclut une tournée des pays du G7. Il a donc fait part aux dirigeants de ces pays de son « fort sentiment de crise en matière de sécurité pour l’Asie orientale ».

« La leçon à tirer de l’Ukraine est que la sécurité de l’Europe et celle de la région indo-pacifique sont inséparables », a-t-il indiqué, au lendemain de sa rencontre avec le président américain Joe Biden.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : l'armée ukrainienne devra attendre, les chars Leopard allemands ne seront pas prêts avant 2024

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 janvier 2023

 

Une question de coût de réparations. 

Le fabricant d'armes allemand Rheinmetall ne pourrait pas fournir de chars d'assaut Leopard 2 à l'Ukraine avant 2024 au plus tôt, le temps de procéder à leur réparation, si le gouvernement de Berlin décidait d'en livrer à Kyiv, prévient le patron du groupe dans les colonnes du Bild ce dimanche. Le gouvernement allemand a annoncé début janvier qu'il fournirait à l'Ukraine une quarantaine de véhicules de combat d'infanterie Marder avant la fin du premier trimestre pour combattre les forces d'invasion russes mais il semble toujours réticent à la livraison de chars lourds, même si le ministre de l'Economie, Robert Habeck, a dit le week-end dernier "ne pas exclure" cette option.

A lire aussi : Guerre en Ukraine : Berlin ne devrait pas bloquer l'envoi des chars Leopard 2 polonais à Kiev, selon le vice-chancelier allemand

Nouvelle étape

La réparation des chars Leopard que Rheinmetall a en stock coûterait plusieurs centaines de millions d'euros et le groupe ne pourra pas entamer ces travaux avant que la commande soit confirmée, a déclaré Armin Papperger, président du directoire de la société, au journal allemand. "Les véhicules doivent être complètement démontés et reconstruits", a-t-il expliqué. La France, la Pologne et le Royaume-Uni ont annoncé ces derniers jours la fourniture à l'Ukraine de chars d'assaut, ce qui marque une nouvelle étape dans le soutien militaire occidental à Kyiv.

Source

 

 

 

Londres livrera ses chars lourds à Kiev: "On ne peut pas éteindre un incendie avec de l'essence"

 

Les livraisons à l’Ukraine de chars britanniques Challenger 2 va intensifier les hostilités, mais ne pourra pas renverser la situation sur le champ de bataille, considère l’ambassade russe au Royaume-Uni.

La mission russe à Londres a réagi à l’annonce de l’envoi par le Royaume-Uni de Challenger 2, les premiers chars lourds de fabrication occidentale à destination de Kiev.

Vers une guerre de religion, infos du 15 janvier 2023

"On ne peut pas éteindre un incendie avec de l'essence. La livraison de chars dans la zone de conflit, loin de mettre un terme aux hostilités, ne servira qu'à intensifier les combats, en provoquant de nouvelles victimes, y compris parmi la population civile", déclare l’ambassade.

Une telle décision montre ainsi la volonté de Londres de "prolonger la confrontation" et témoigne de son "implication manifeste dans le conflit".

"Il est peu probable qu’ils (les chars) aident les forces armées ukrainiennes à renverser la situation sur le champ de bataille, mais ils deviendront une cible de taille et légitime" pour la Russie, développe la mission.

La décision britannique

Après des mois d’hésitation, le Royaume-Uni a promis le 14 janvier la livraison "dans les prochaines semaines" de 14 chars lourds Challenger 2 à l'Ukraine.

Cette livraison reflète "l'ambition du Royaume-Uni d'intensifier son soutien à l'Ukraine", a fait savoir le Premier ministre Rishi Sunak.

Le Royaume-Uni est ainsi devenu le premier pays à s'engager à envoyer en Ukraine ce type de blindés. La France et l’Allemagne ont récemment annoncé la fourniture de chars d'infanterie ou de reconnaissance, plus légers.

Spoutnik

 
 

 

 

Le Royaume-Uni va envoyer jusqu'à 4 hélicoptères d'attaque Apache en Ukraine - Rapports

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 janvier 2023

MOSCOU (Spoutnik) - Le Royaume-Uni enverra jusqu'à quatre hélicoptères d'attaque Apache en Ukraine dans le cadre d'un programme d'assistance militaire qui comprend également des chars Challenger 2, a rapporté un journal britannique, citant des sources de la défense.

La livraison d'hélicoptères suivrait les expéditions de chars vers l'Ukraine, a indiqué le journal, ajoutant que le Royaume-Uni espère également que d'autres États de l'OTAN "suivront le mouvement".

Les médias britanniques ont rapporté que les hélicoptères sont armés de missiles antichars Hellfire et pourraient avoir une importance tactique significative sur le champ de bataille.

Samedi, le gouvernement britannique a déclaré qu'il fournirait à l'Ukraine 14 chars Challenger 2 dans les semaines à venir, dans le cadre de son objectif d'accélérer le soutien militaire à Kiev.

L'Ukraine a fait part de ses craintes d'une prétendue offensive russe anticipée au printemps, incitant ses alliés occidentaux à s'engager à envoyer des armes plus lourdes, y compris des chars modernes de fabrication occidentale, qui n'ont jamais fait partie des précédents programmes officiels d'aide aux armements.

Les responsables russes ont averti à plusieurs reprises que toute livraison d'armes sur le territoire ukrainien serait des « cibles légitimes » pour les forces russes.

Spoutnik

 
 

 

Une vidéo montre que les forces ukrainiennes préparent une attaque à l'arme chimique, selon l'ambassade de Russie

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 15 janvier 2023

L'ambassade de Russie au Royaume-Uni a déclaré que les bidons vus en train d'être chargés sur des drones par des militants ukrainiens pourraient contenir du phosgène, qui est interdit en vertu de la Convention sur les armes chimiques de l'ONU.

La Russie a condamné l'armée ukrainienne après la diffusion d'une vidéo qui semble montrer les forces du régime de Kiev chargeant des drones avec des armes chimiques.

« Une vidéo publiée par [l']armée ukrainienne les montre apparemment se préparant à utiliser des armes chimiques… contre [l']armée russe », a écrit vendredi l'ambassade de Russie au Royaume-Uni.

Dans la vidéo, qui est apparue sur les réseaux sociaux plus tôt cette semaine, des soldats peuvent être vus en train de visiter ce qui semble être une installation d'armes chimiques et de montrer des bidons réfrigérés remplis de substances inconnues.

La vidéo largement partagée s'ouvre sur un plan d'une caisse de munitions portant les lettres "OB".

Selon l'ambassade, "[les] lettres "OB" signifient munitions toxiques".

L'ambassade a émis l'hypothèse que les bidons pourraient contenir du phosgène, ce qui, selon elle, est interdit par la Convention sur les armes chimiques des Nations Unies.

"Cela explique également pourquoi les bouteilles de gaz doivent être conservées au réfrigérateur", ont-ils écrit.

En décembre, la Russie a annoncé qu'elle avait découvert des informations selon lesquelles des sous-traitants américains étaient arrivés en Ukraine pour aider les militants du régime Zelensky à préparer des « provocations chimiques ».

"Mais les Américains rejettent tout cela" comme de la "désinformation du côté russe", a déclaré le représentant permanent russe auprès de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques, Alexander Shulgin.

Depuis le début de l'opération militaire spéciale de la Russie en février, les autorités et les médias américains ont largement insisté sur le fait que quiconque fait référence à l'utilisation potentielle d'armes chimiques ukrainiennes comme une marionnette du Kremlin. Mais le masque a glissé au moins une fois

En mars, la sous-secrétaire d'État Victoria Nuland a reconnu que le régime de Kiev maintenait de nombreuses "installations de recherche biologique" et a déclaré que les États-Unis étaient "très préoccupés" par le fait que "les forces russes pourraient chercher à en prendre le contrôle".

Spoutnik

 

 

 

L’administration américaine veut livrer des F-16V à la Turquie pour faciliter l’adhésion de la Suède à l’Otan

 

Exclue par l’administration Trump du programme F-35, dont elle était l’un des partenaires, pour avoir acquis et mis en service des systèmes russes de défense aérienne S-400 « Triumph », la Turquie a demandé aux États-Unis de lui livrer 40 chasseurs-bombardiers F-16 « Viper » [soit la dernière version de l’appareil développé par Lockheed-Martin] ainsi que 80 kits pour porter d’anciens appareils de ce type à ce nouveau standard.

Pour appuyer cette demande, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, expliqua qu’Ankara réclamerait à Washington le remboursement des sommes investies dans le programme F-35 au moment de son exclusion [soit 1,4 milliard de dollars]. En outre, la Turquie souligna l’importance de sa place au sein de l’Otan, sa position géographique lui assurant le contrôle des accès à la mer Noire.

Pour autant, et même si l’administration Biden est plutôt bien disposée à l’égard d’Ankara [la vente de F-16 à la Turquie servirait les intérêts des États-Unis et contrerait l’influence russe, selon une responsable du département d’État, nldr], le Congrès est beaucoup plus réservé, notamment en raison de l’implication turque dans plusieurs conflits [Syrie, Libye, Haut-Karabakh, Irak] et des ambitions d’Ankara en Méditerranée orientale… et plus particulièrement de ses visées sur les zones économiques exclusives grecques et chypriotes.

Seulement, la candidature de la Suède et de la Finlande à l’Otan a donné un moyen de pression supplémentaire à la Turquie… Estimant que ces deux pays nordiques font preuve de mansuétude à l’égard des mouvements kurdes, dont certains, comme le PKK [Parti des travailleurs du Kurdistan], sont condidérés comme terroristes, Ankara bloque, pour le moment, leur adhésion à l’Alliance. Ou, du moins, celle-ci n’a toujours pas été ratifiée par le Parlement turc.

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Toulouse : la justice bloque l’expulsion de la centaine de migrants “mineurs” qui occupent l’université Paul Sabatier, pourtant des tests ont révélé que la grande majorité de ces “mineurs” sont en réalité majeurs

Le tribunal administratif de Toulouse a levé vendredi la mesure d’expulsion qu’il avait prononcée en décembre contre les jeunes migrants qui occupent depuis un mois une aile du bâtiment 4R3 sur le campus de l’université Paul Sabatier.

C’est “une victoire” pour la centaine de mineurs non-accompagnés qui occupent depuis mi-décembre une aile du bâtiment 4R3 de l’Université Paul Sabatier. Ce vendredi 13 janvier, le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse a finalement levé la mesure d’expulsion qu’il avait ordonnée le 29 décembre.

La juridiction explique avoir pris en compte “un élément nouveau” pour modifier sa décision. La direction de l’université qui avait saisi le tribunal pour obtenir l’expulsion des jeunes migrants a justifié son action en justice en mettant en avant des risques chimiques et électriques dans le bâtiment en question. Elle avait notamment évoqué la présence “de bocaux de produits chimiques en sous-sol”, l’absence d’équipement adapté pour assurer la sécurité et l’hygiène des occupants et “un défaut de système de sécurité incendie”.

Mais ce vendredi, lors d’une nouvelle audience, Me Fanny Sarasqueta, conseil des mineurs isolés a pu prouver “l’absence de risque avéré tenant à la présence de substances et produits dangereux ou à la présence de branchements électriques non sécurisés”.

(…) Dans leur grande majorité, ces jeunes migrants se sont vus refuser le statut de mineurs isolés après leur évaluation par le DDAEOMI, dispositif chapeauté par le Département de Haute-Garonne, qui a conclu à leur majorité.

La Dépêche

 

 

 

Le nombre de migrants qui ont tenté d’entrer illégalement dans l’UE en 2022 a augmenté de 64% par rapport à 2021, Syriens, Afghans et Tunisiens représentent la moitié des entrées (MàJ : plus de 130 000 demandeurs d’asile rentrés en France en 2022)

15/01/23

La France s’apprête à annoncer ses propres chiffres sur les demandeurs d’asile qui ont bondi à plus de 130.000 en 2022. Une source gouvernementale évoque au Figaro un total de demandes «proche de 135.000».

Par ailleurs, si l’on en croit les chiffres de Frontex, le nombre de franchissements illégaux vers la Grande-Bretagne est largement supérieur aux 50.000 à 60.000 tentatives redoutées outre-Manche pour 2022. Dans la zone, principalement depuis la France, «plus de 71.000 franchissements irréguliers de la frontière ont été détectés», dont une large part de tentatives et de passages réussis. «Plus de 50 nationalités différentes ont été enregistrées…» […]

Le Figaro

13/01/23

En six ans, il n’y avait jamais eu autant de réfugiés à tenter de venir dans l’Union européenne de façon illégale. Le nombre d’entrées irrégulières a augmenté de 64% en 2022 par rapport à 2021, indique Frontex, l’agence de surveillance des frontières de l’Union ce vendredi.Les ressortissants syriens, afghans et tunisiens représentent la moitié des entrées.

Le nombre de personnes qui tentent de pénétrer les frontières de l’Union européenne de façon illégale n’avait jamais été aussi élevé depuis six ans. En 2022, le nombre d’entrées irrégulières dans l’Union a augmenté de 64% par rapport à l’année précédente, un niveau jamais atteint depuis 2016, a annoncé ce vendredi l’Agence européenne de surveillance des frontières, Frontex.

Selon l’agence, 330.000 entrées irrégulières ont été enregistrées en 2022. Le nombre de ressortissants syriens concernés a pratiquement doublé, à 94.000. “Il s’agit de la deuxième année consécutive avec une forte augmentation du nombre d’entrées irrégulières“, a déclaré Frontex dans un communiqué, ajoutant que les Syriens, les Afghans et les Tunisiens représentaient ensemble 47% des entrées irrégulières en 2022.

L’Agence indique aussi que 45% des réfugiés sont arrivés par la route des Balkans occidentaux. Elle a compté 145.600 passages enregistrés, une hausse de 136% par rapport à l’année précédente.

La route de la Méditerranée centrale, deuxième la plus empruntée, a vu le nombre de passages dépasser 100.000, soit une hausse de plus de 50%.

Environ 10% d’entrées irrégulières ont été effectuées par des femmes et environ 9% par des mineurs.

France Bleu

 

 

 

Le prédicateur islamiste Hassan Iquioussen a été expulsé par la Belgique vers le Maroc (MàJ : il fait part d’un accueil chaleureux offert par les autorités marocaines)

 

En Corée du Sud, l’apparition d’une mosquée dans la ville de Daegu provoque des tensions et suscite la colère des habitants (MàJ)

L’apparition d’un lieu de culte musulman dans une ville de province, pour des fidèles originaires du Pakistan et du Bangladesh, provoque des tensions. Les opposants les plus acharnés accusent l’islam d’être une religion « diabolique ».

Il a suffi d’un projet de construction de mosquée dans la ville de Daegu, dans la partie méridionale de la Corée du Sud, pour alimenter des tensions et mettre en évidence les limites de l’ouverture de la société dans ce pays.

Avec le temps, le différend s’est transformé en épreuve de force, obligeant les autorités locales à agir. Elles ont annoncé, vendredi 6 janvier, l’installation d’une caméra de surveillance près d’un chantier qui alimente un climat de défiance entre les habitants et la petite communauté musulmane locale. Cette dernière, réunie dans le Groupe de travail pour une résolution pacifique du problème de la mosquée, avait annoncé à la presse, le 26 décembre 2022, avoir transmis une pétition au rapporteur spécial des Nations unies (ONU) sur la liberté religieuse, dénonçant « la négligence et la tolérance du gouvernement et de la municipalité de Daegu face à des actes de discrimination religieuse et de haine raciale ». (…)

Musulmans traités de « terroristes »

Ces décisions n’ont pas dissuadé les opposants au projet, qui ont sommé l’arrondissement de trouver un autre site. Or, aucun lieu envisagé ne répondait aux souhaits des musulmans en quête d’un emplacement accessible à pied depuis l’université toute proche et pouvant accueillir au moins cent fidèles. « Presque tous les quartiers consultés se sont opposés au projet », a dû admettre l’arrondissement.

(…) Début décembre, un étudiant pakistanais a été accusé d’avoir bousculé un habitant qui voulait démonter la tente dressée par le promoteur du chantier. Le comité a dénoncé cette « agression » et promis « de fermes représailles ». Le 15 décembre, ses membres ont organisé une « fête de fin d’année de Daehyeon-dong », un barbecue de viande de porc devant le chantier. La police a dû être déployée pour éviter des incidents.

Le Monde

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