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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 22 décembre 2022

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Le Kremlin accuse Washington de mener une « guerre indirecte » contre la Russie...

 

L’ESSENTIEL

  • Volodymyr Zelensky a été reçu en héros à Washington pour son premier voyage international depuis le début de l’offensive russe le 24 février. Un déplacement de quelques heures seulement, au cours duquel Joe Biden lui a promis une nouvelle aide financière et la fourniture du système de défense antiaérienne Patriot.
  • Le président ukrainien a affirmé devant le Congrès américain que l’aide des Etats-Unis à son pays était un « investissement dans la sécurité mondiale et la démocratie », et « pas de la charité ».
  • Vladimir Poutine s’est quant à lui engagé mercredi à accroître les capacités de son armée et son potentiel nucléaire, tout en se défaussant de toute responsabilité dans la « tragédie commune » ukrainienne.

 

12h16 : Le ministre russe de la Défense s’est rendu pour une inspection sur le front en Ukraine

Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, s’est rendu sur la ligne de front en Ukraine pour inspecter les positions de son armée, a indiqué jeudi son ministère, la deuxième visite annoncée de ce type en moins d’une semaine.

« En première ligne », Sergueï Choïgou a « vérifié les conditions de déploiement du personnel et du matériel militaire » et il a « inspecté les zones de positionnement des unités militaires, les conditions d’hébergement et de chauffage du personnel », a précisé le ministère sur Telegram, accompagnant son message d’une vidéo du ministre.

 

11h22 : Pour Moscou, il n’y a pas eu « de véritables appels à la paix » pendant la visite de Zelensky à Washington

D’après le Kremlin, il n’y a pas eu lors de cette visite « de véritables appels à la paix » ou de « mises en garde » américaines à Volodymyr Zelensky contre « la poursuite du bombardement des immeubles résidentiels dans les zones peuplées du Donbass », région de l’est de l’Ukraine en partie contrôlée par des séparatistes prorusses et régulièrement visée par les forces ukrainiennes.

« Cela montre que les Etats-Unis poursuivent leur ligne de guerre de facto et indirecte avec la Russie, jusqu’au dernier Ukrainien », a ajouté le porte-parole du Kremlin.

 

11h07 : La visite de Zelensky aux Etats-Unis n’a illustré aucune « volonté d’écouter la Russie », accuse Moscou

Le Kremlin a estimé jeudi que la visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky aux Etats-Unis n’a illustré aucune « volonté d’écouter la Russie » et que Washington menait en Ukraine une « de facto une guerre indirecte » contre Moscou.

« Jusqu’à présent, nous pouvons constater avec regret que ni le président [américain Joe] Biden ni le président Zelensky n’ont dit quoi que ce soit qui puisse être perçu comme une volonté potentielle d’écouter les préoccupations de la Russie », a déclaré aux journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov

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11h00 : Le Kremlin accuse Washington de mener une « guerre indirecte » contre la Russie

 

DIRECT

 

 

Guerre en Ukraine: Accueilli en héros à Washington, Zelensky demande plus d'argent aux États-Unis pour "un investissement dans la sécurité mondiale"

 

  • Le président ukrainien s'est exprimé devant le congrès américain.
    Le président ukrainien s'est exprimé devant le congrès américain. MAXPPP - PAT BENIC
 

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré mercredi devant le Congrès américain que les dizaines de milliards de dollars d'aides fournis par les Etats-Unis pour aider l'Ukraine à lutter contre l'invasion russe représentaient un investissement dans la sécurité mondiale.

Volodymyr Zelensky, qui effectuait son premier déplacement à l'étranger depuis le début de l'offensive lancée par la Russie, a dit espérer que le Congrès continuerait à soutenir l'Ukraine, alors que les républicains doivent prendre le contrôle de la Chambre des représentants le 3 janvier.

"Vous ne nous faites pas l'aumône", a dit Volodimir Zelensky dans un discours prononcé en anglais. "Il s'agit d'un investissement dans la sécurité mondiale et la démocratie."

Le président ukrainien a été salué par de nombreuses ovations au cours de son discours, plusieurs membres du Congrès arborant les couleurs du drapeau ukrainien.

Faisant référence à l'ancien président américain Franklin D. Roosevelt, qui a servi entre 1933 et 1945, et aux efforts déployés pour libérer l'Europe de l'occupation nazie, Volodimir Zelensky a également lancé un appel aux Américains, qui se réunissent à l'occasion des fêtes de fin d'année.

"Tout comme les courageux soldats américains, qui ont résisté et repoussé les forces d'Hitler lors du Noël de 1944, les courageux soldats ukrainiens font de même contre les forces de Poutine cette année", a dit le président ukrainien.

Volodymyr Zelensky, avait rencontré plus tôt dans la journée le président américain, Joe Biden, à la Maison blanche. Il s'était ensuite entretenu avec les chefs de file parlementaires démocrates et républicains.

Près de 50 milliards de dollars

Volodymyr Zelensky a prononcé un discours visant à toucher tant les démocrates que les républicains du Congrès, ces derniers ayant émis des réserves quant à la poursuite du soutien financier apporté à l'Ukraine.

Près de 50 milliards de dollars d'aides ont été fournis par Washington à Kyiv depuis le début, en février dernier, du plus important conflit en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale.

Le Congrès devrait également approuver le versement d'une aide d'urgence supplémentaire de 44,9 milliards de dollars, mais certains républicains ont appelé à mettre fin à ces financements et réclamé un audit pour vérifier de quelle manière les fonds déjà alloués à l'Ukraine avaient été utilisés.

Volodymyr Zelensky a régulièrement appelé les pays occidentaux à fournir à l'Ukraine des armes avancées, les alliés restant toutefois prudents afin de ne pas envenimer le conflit.

Missiles Patriot

Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a annoncé mercredi que Washington allait fournir à Kyiv une aide militaire supplémentaire de 1,85 milliard de dollars, comprenant notamment un système Patriot de défense anti-aérienne afin d'aider l'armée ukrainienne à contrer les bombardements russes.

"Il s'agit du seul moyen que nous ayons de priver l'Etat terroriste de son principal instrument de terreur: la capacité de frapper nos villes, notre énergie", a déclaré le président ukrainien lors d'une conférence de presse à la Maison blanche.

Selon l'agence de presse russe TASS, l'ambassadeur de Russie à Washington a estimé que le déplacement de Volodimir Zelensky confirmait que les déclarations américaines selon lesquelles les Etats-Unis ne souhaitaient pas d'un conflit avec la Russie étaient dénuées de sens.

Selon Anatoli Antonov, les actions des Etats-Unis en Ukraine représentent une escalade dont les conséquences sont impossibles à prévoir, a rapporté TASS.

Moscou a indiqué la semaine dernière que le système Patriot constituerait une cible légitime pour les forces russes.

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine: Zircon, Sarmat… Pourquoi ces missiles de dernière génération déployés par Poutine font-ils craindre le pire?

 

  • Les missiles Sarmat vont être déployés par l'armée russe.
    Les missiles Sarmat vont être déployés par l'armée russe. MAXPPP - RUSSIAN DEFENCE MINISTRY PRESS SERVICE / HANDOUT
Publié le

Ce mercredi, Vladimir Poutine a annoncé que la flotte russe allait être équipée de missiles hypersoniques Zircon alors que l'armée aurait à sa disposition des missiles intercontinentaux Sarmat. Le tout étant appelé à être déployé très rapidement pour des missions de combat.

C'est fin juillet, lors d'une parade organisée à Saint-Pétersbourg à l'occasion du Jour de la Marine, que Vladimir Poutine avait annoncé l'arrivée prochaine des missiles Zircon et Sarmat dans l'arsenal russe. Cette fois-ci, le chef de l'Etat russe va plus loin en annonçant leur déploiement pour des missions de combat...

Neuf fois la vitesse du son

Selon le chef du Kremlin, les missiles Zircon sont uniques au monde et devraient permettre, "à la marine russe" d'être "capable de répondre à une vitesse foudroyante à quiconque décider d'enfreindre notre souveraineté et notre liberté", selon Poutine lui-même.

Ces missiles hypersoniques peuvent se déplacer à une vitesse neuf fois supérieure à celle du son. La Russie a effectué au cours de l'année écoulée plusieurs tirs d'essais de missiles Zircon depuis des navires de guerre et sous-marins.

En mai, le Kremlin s'était ainsi félicité du test réussi d'un tir de missile Zircon de plus de 1.000 kilomètres.

Sarmat, l'arme de destruction massive?

Des tests, la Russie en a aussi mené sur le tout nouveau missile intercontinental à capacité nucléaire, le Sarmat, capable de transporter 10 ogives ou plus. Des missiles capables de frapper les États-Unis depuis la Russie.

Ces missiles de nouvelle génération voient leurs têtes nucléaires ou conventionnelles suivre chacune une trajectoire indépendante lors de leur entrée dans l'atmosphère.

Il a été testé et tiré pour la première fois le mercredi 20 avril dans une région située au nord-ouest de la Russie. Le missile aurait touché sa cible dans l’Extrême-Orient de la Russie, à 5 000 kilomètres de l’aire de lancement.

"C'est véritablement une arme unique qui va renforcer le potentiel militaire de nos forces armées, qui assurera la sécurité de la Russie face aux menaces extérieures et qui fera réfléchir à deux fois ceux qui essayent de menacer notre pays avec une rhétorique déchaînée et agressive", avait alors déclaré Vladimir Poutine.

Missile thermonucléaire de très longue portée, le cinquième de sa génération, le Sarmat n'a "pratiquement pas de limites en matière de portée" selon une déclaration de Poutine, en 2019. Celui-ci avait indiqué qu'il était capable de "viser des cibles en traversant le pôle Nord comme le pôle Sud".

Depuis de nombreuses semaines, face à la déroute amorcée en Ukraine, la propagande sur les télévisions russes appelait à utiliser ces armes au plus vite.

Source

 

 

 

La visite de Zelensky à Washington a confirmé les plans américains de combattre la Russie jusqu'au dernier Ukrainien : le Kremlin

 

Le président ukrainien a atterri à Washington mercredi pour des entretiens avec le président Joe Biden et un discours devant le Congrès, au milieu de la nervosité à la Maison Blanche au sujet des récriminations républicaines au sujet du "chèque en blanc" de l'aide américaine à l'Ukraine.

La visite du président ukrainien Zelensky aux États-Unis confirme les plans de Washington de continuer à utiliser Kiev comme mandataire pour une guerre indirecte contre la Russie, a indiqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

Vers une guerre de religion, infos du 22 décembre 2022

"Cela montre que les États-Unis poursuivent leur ligne de combat de facto et indirect contre la Russie jusqu'au dernier Ukrainien", a déclaré Peskov, s'adressant aux journalistes jeudi.

Peskov a regretté que le voyage n'ait pas vu d'appels sincères à la paix, ni fait aucune mention de la souffrance des civils dans le Donbass.

"... Nous pouvons affirmer avec regret que ni le président Biden ni le président Zelensky n'ont prononcé ne serait-ce que quelques mots qui pourraient être interprétés comme une volonté potentielle d'écouter les préoccupations de la Russie", a déclaré le porte-parole du Kremlin. "Pas un seul mot n'a été entendu de M. Zelensky au sujet de la poursuite des bombardements barbares d'immeubles résidentiels dans les colonies du Donbass... Aucun véritable appel à la paix, pas pour la caméra, mais de vrais, n'a été lancé."

Lors de sa conférence de presse conjointe avec Biden mercredi, Zelensky a déclaré qu'"il ne peut y avoir de paix juste" en Ukraine "dans la guerre qui nous a été imposée" par des "non-humains" russes.

Les commentaires de Zelensky ont marqué une douce réplique de son hôte américain, qui avait déclaré aux journalistes quelques minutes auparavant que Kiev était "ouverte à une paix juste" avec Moscou si les conditions étaient réunies.

Le président ukrainien a exhorté Washington à augmenter son soutien militaire et financier à Kiev, y compris les systèmes de défense aérienne Patriot.

Biden a promis à son invité que les États-Unis resteraient "avec l'Ukraine tant qu'il y aura une Ukraine".

Zelensky a poursuivi ses entretiens avec Biden par un discours devant une session conjointe du Congrès , exhortant le peuple américain à fournir plus d'armes et à imposer davantage de sanctions à la Russie. "Nous avons de l'artillerie, oui - merci", a-t-il déclaré. "Est-ce suffisant ? Honnêtement, pas vraiment. Pour s'assurer que les Russes se retirent complètement, il faut plus d'obus et de canons", a-t-il insisté.

La visite du président ukrainien à Washington intervient alors que la Maison Blanche et le parti du président craignent de plus en plus qu'un nombre important de républicains ne soient plus prêts à faire des "chèques en blanc" à l'Ukraine lorsque le nouveau Congrès se réunira en janvier. L'aide américaine à Kiev est déjà sur la bonne voie pour dépasser les 100 milliards de dollars en 2022, en plus des milliards supplémentaires livrés au pays depuis le coup d'État de 2014 soutenu par les États-Unis. De nombreux initiés de Washington restent convaincus que le flux d'argent et d'armes vers l'Ukraine se poursuivra au cours de la nouvelle année, les sceptiques pour la plupart républicains pro-MAGA d'une aide supplémentaire constituant une minorité dans leur propre parti , tandis que les faucons de guerre néoconservateurs comme Mitch McConnell, Mitt Romney , Lindsey Graham promet de voter avec les démocrates dans de nouvelles dépenses.

Spoutnik (traduction)

 

 

Moscou s'attend à ce que Paris condamne l’attentat contre la Maison russe à Bangui

 

Jugeant que les autorités françaises ont "vivement encouragé ces derniers temps une campagne antirusse en Afrique", la diplomatie russe espère tout de même que Paris exprimera ses regrets et condamnera le récent attentat à l’explosif dans lequel Dmitry Sytyï, chef de la Maison russe à Bangui, a été grièvement blessé.

Le ministère russe des Affaires étrangère a réagi à l’absence de condamnation par Paris de l’attentat à Bangui qui a visé le 16 décembre le chef de la Maison russe.

Vers une guerre de religion, infos du 22 décembre 2022

"Nous pensons que les autorités françaises, qui ont vivement encouragé ces derniers temps une campagne antirusse en Afrique et qui cherchent à discréditer de manière injuste l'amitié de la Russie avec ses partenaires africains, doivent réfléchir plus souvent aux conséquences de leurs actions, paroles et actes parfois irresponsables", a déclaré Maria Zakharova.

Et d’ajouter:

"Nous attendons et espérons vivement que Paris exprimera sa sympathie, ses regrets et sa condamnation à l'égard de l'attaque terroriste, s’il est tellement préoccupé ces derniers temps au sujet de la Russie en Afrique".

Attentat à Bangui

Le chef de la Maison russe à Bangui, Dmitri Sytyï, a été grièvement blessé le 16 décembre lorsqu’un colis piégé lui a explosé dans les mains. Sur les lieux, la police locale a découvert un petit bout de papier avec une inscription en russe "C’est pour toi au nom de tous les Français. Les Russes doivent quitter l’Afrique".

La ministre française de l’Europe, Catherine Colonna, a alors qualifié cette note de "propagande" et a évoqué de "violences" commises, selon elle, par certaines structures militaires privées russes contre les civils centrafricains.

En réaction, le ministère russe des Affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur de France en Russie, Pierre Lévy, et a protesté contre les propos de la ministre, les jugeant "déplacés" compte tenu du fait qu’un citoyen russe a été blessé par cet acte criminel.

Spoutnik

 

 

 

 

Le gouvernement compte plus que jamais sur les étrangers pour répondre aux problèmes de pénuries de médecins

La création de cette carte de séjour « talent-professions médicales et de la pharmacie » est prévue dans le projet de loi immigration. Le gouvernement veut faciliter les démarches des étrangers désireux de travailler à l’hôpital à l’heure où les établissements peinent à recruter.

L’exécutif compte plus que jamais sur les étrangers pour répondre aux problèmes de pénuries de médecins. Le projet de loi « pour contrôler l’immigration et améliorer l’intégration », en cours de préparation, prévoit la création d’une carte de séjour pluriannuelle « talent-professions médicales et de la pharmacie » censée faciliter l’exercice des médecins, sages-femmes, chirurgiens-dentistes ou encore pharmaciens étrangers en France.

« Vous avez des médecins […] qui viennent de pays pour lesquels il n’y a pas forcément d’accord de reconnaissance des diplômes et qui sont là à vous dire : ‘Mais nous on voudrait bien aller travailler à l’hôpital.’ A chaque fois, on est obligés de faire des procédures et de demander une dérogation au préfet », ou encore de solliciter des ordres médicaux, a justifié le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran (lui-même médecin hospitalier d’origine), sur France Inter ce mercredi.

Une forme d’automaticité

« On va avoir une forme d’automaticité, de reconnaissance plus rapide qui va nous permettre de bénéficier des compétences de ces soignants étrangers sans délai et pour ces soignants étrangers, de pouvoir subvenir à leurs besoins sans délai », a poursuivi l’ex-ministre de la Santé, évoquant notamment le cas des médecins et dentistes libanais.

(…) Les Echos

 

Déplorant des « lacunes préoccupantes » chez les élèves et constatant la montée du secteur privé, Pap Ndiaye annonce ses priorités : enseignements fondamentaux et mixité sociale

Pap Ndiaye dévoile sa feuille de route pour améliorer l’école, où les préoccupations ne manquent pas. Le ministre de l’Éducation a réitéré jeudi 22 décembre dans une tribune publiée dans Le Monde ses priorités pour l’école, avant des annonces qui devraient intervenir en début d’année 2023.

Selon Pap Ndiaye, « les constats sont durs. Ils concernent la crise du recrutement des professeurs », mais aussi « le niveau des élèves, dont les comparaisons internationales révèlent les lacunes préoccupantes. Ils reflètent également l’expérience quotidienne des établissements, où les horaires annuels dans chaque discipline peinent à être couverts », écrit-il en préambule d’une tribune intitulée « pourquoi nous devons réformer l’école ».

Le ministre évoque ensuite « la défiance générale, marquée par la montée en puissance du secteur privé et par le scepticisme exprimé d’une partie des parents », rappelant qu’« un Français sur deux ne fait pas confiance à l’institution scolaire, bien que les trois quarts d’entre eux fassent confiance aux professeurs ». Il met en avant son « exigence » sur le niveau scolaire des élèves. « Les résultats aux évaluations nationales et internationales ne sont pas satisfaisants. Disons-le clairement : le niveau d’ensemble baisse ! » s’exclame-t-il, proposant de fixer « des objectifs ambitieux ».

Il faut selon lui « encore insister sur les enseignements fondamentaux, en particulier en CM1, CM2 et 6e ». « La rupture entre le CM2 et la 6e est trop forte. Elle renforce les inégalités scolaires plutôt qu’elle ne les réduit. Travailler régulièrement l’orthographe, la conjugaison et la grammaire, consolider encore ou approfondir le français et les mathématiques en 6e » sont notamment des pistes avancées pour « faciliter le passage de l’école primaire au collège ».

Des mesures concernant ce passage sont attendues en début d’année 2023. Des évolutions concernant les classes de 5e, 4e, 3e « feront l’objet d’une concertation », annonce le ministre. Il évoque également l’égalité des chances. « Une école qui, tout en la promettant, n’accorde pas l’égalité produit non seulement des injustices, mais aussi une défiance et un sentiment de colère dans les classes populaires », affirme-t-il.

Le Point

 

Effectif des détenus suisses en 2021 selon leurs nationalités : les Algériens en tête du classement des étrangers les plus représentés avec 287 incarcérations pour 3897 résidents algériens dans le pays (màj : cartes interactives)

 
 

Le taux de personnes incarcérées en prévalence par année et par 1000 habitants de la Suisse en 2021 :

  • Allemagne : 0,15
  • Algérie : 3,18
  • Cameroun : 2.61
  • France : 0,18
  • Maroc : 1,84
  • Nigéria : 4,98
  • Pakistan : 1,54
  • Suisse : 0,26
  • Tunisie : 1.41
  • [...]
Cliquez pour agrandir

Office fédéral de la statistique (Gouvernement Suisse)

 

 

Royaume-Uni. La fuite des cerveaux face à l’explosion du coût de la vie : chaque année, 600.000 personnes quittent le pays, un million y entrent

Avec un PIB et un niveau de vie en berne, le pays ne tient plus la comparaison avec ses rivaux, comme l’Allemagne ou le Canada. Et voit fuir en masse ses jeunes diplômés. Au fait de politique migratoire, on parle surtout de ceux qui débarquent. Une plus grande attention devrait être accordée à ceux qui sortent. Environ un million de personnes entrent désormais chaque année sur le territoire britannique, et près de 600.000 le quittent. Un rythme qui a tendance à s’accélérer.

Historiquement, le Royaume-Uni est un pays d’émigration plutôt que d’immigration. Au siècle, seules l’Irlande, l’Italie et la Norvège exportaient leurs citoyens à un rythme plus élevé. La tendance ne s’est inversée qu’en 1983.

En 1974, le fataliste Jim Callaghan, alors ministre des Affaires étrangères et futur Premier ministre, en plaisantait presque: “Parfois, quand je me couche le soir, je pense que si j’étais un jeune homme, j’émigrerais.” Après tout, le Royaume-Uni souffrait d’une croissance stagnante, d’une inflation et d’impôts élevés, d’une crise énergétique et d’un Etat ayant un besoin dramatique de réforme.

Les circonstances qui ont poussé Callaghan à rêver d’ailleurs sont similaires à celles d’aujourd’hui. Ce sont les jeunes travailleurs, potentiellement les plus mobiles, qui connaissent le plus de difficultés. La rémunération moyenne des stagiaires diplômés a ainsi chuté de 22% en termes réels (corrigé des effets inflationnistes) depuis 2010, selon High Fliers, une agence de recrutement. Ceux qui doivent rembourser un prêt étudiant sont dans une situation critique en raison de la hausse des taux.

Peu à peu, la réalité s’impose, le pays n’est plus aux standards des grandes nations. Le PIB par habitant est désormais inférieur aux pays avec qui le Royaume rivalisait autrefois, que ce soit l’Allemagne, l’Australie ou le Canada. On arrive à une situation semblable à celle de l’Italie, où le départ des jeunes est la norme plutôt qu’une exception. Dans quelques années, le point de comparaison sera peut-être la Pologne.

Pour l’instant, les derniers arrivés sont les premiers sortis. L’afflux net de citoyens européens s’est transformé en exode. Fanny, une Française de 25 ans diplômée de la London School of Economics en 2020, en fait partie. Sur la vingtaine d’étudiants français de son cursus, elle était l’une des deux à rester. Maintenant, elle aussi s’en va, après avoir trouvé un emploi à Marseille. Son salaire net sera le même, mais au lieu de payer une chambre dans une colocation miteuse dans l’est de Londres, elle aura un vrai studio. D’ailleurs, les travailleurs londoniens, condamnés à partager un logement jusqu’à la trentaine, y compris les plus diplômés, sont tentés par l’exil.

C’est par exemple le cas des médecins, qui sont accueillis à bras ouverts ailleurs. Etant donné que leur rémunération moyenne a baissé de 10% en termes réels depuis 2010 et que les conditions de travail se dégradent, il n’est pas surprenant qu’ils plient bagage. Un médecin sur trois formé au Royaume-Uni quitte le pays, selon une enquête du General Medical Council.

Même si les chiffres prouvent que le phénomène est bien enclenché, celui-ci s’invitant de plus en plus dans le débat politique, la réalité est un peu plus compliquée. S’installer à l’étranger n’est pas évident. Il faut se procurer des visas, naviguer dans la bureaucratie, obtenir des jobs stables, trouver un logement, puis se faire de nouveaux amis. Certains pays traditionnellement accueillants pour les Britanniques, comme l’Australie et le Canada, ont marqué une pause lors des confinements sanitaires. Mais le flux a repris, et Ottawa se vante d’avoir pour objectif le million d’immigrants.

Certes, la situation au Royaume-Uni pourrait s’améliorer. Mais pour l’instant, l’émigration reste une option. En 1978, un an avant d’arriver au pouvoir, Margaret Thatcher était plutôt désespérée. Elle avait confié que si elle ne gagnait pas les élections face à Callaghan, elle resterait au Royaume-Uni. Mais qu’elle avait pris ses dispositions pour envoyer ses enfants faire carrière au Canada.

msn

 

Note : 1 million, çà peut pas être réel ce n'est pas possible ! 😦 Ils sont encore plus fou qu'en France !  (on remarquera que les anglais commence a être gouverné par des indous ou des pakistanais)

 

 

Châteauroux (36) : “De tels faits sont gravissimes” ; l’adjoint à la sécurité réagit après des tirs de Kalachnikov sur la façade d’un immeuble

Une dizaine de tirs de fusil d’assaut ont touché la façade d’un immeuble dans le quartier Saint-Jean / Saint-Jacques à Châteauroux, dans la nuit de dimanche à lundi. Des coups de feu sous fond de trafic de stupéfiants. Les patrouilles de policiers sont renforcées.

Une dizaine d’impacts de balle était visible sur la façade de l’immeuble. Plusieurs tirs de kalachnikovs se sont produits à l’entrée dans immeuble dans le quartier Saint-Jean / Saint-Jacques dimanche soir, vers 22h30. Des tirs sous fond de trafic de stupéfiants, selon les premiers éléments de l’enquête. Ils visaient une personne en particulier, mais n’ont heureusement touché personne.

Des faits condamnés par l’adjoint à la sécurité

L’adjoint en charge de la Sécurité, Brice Tayon, condamne évidement ces tirs : “De tels faits sont gravissimes, dans la mesure où ils comportent un danger qui est assez incroyable, puisque si on considère que quelqu’un était visé, pour le coup, il y aurait pu avoir d’autres victimes que celle [la personne] qui était visée. Heureusement, c’est la seule chose dont on peut se satisfaire aujourd’hui, il n’y a eu aucun blessé. Néanmoins je peux vous assurer que tout est fait pour que ça ne se reproduise pas.”

(…) France Bleu

 

 

Wokisme : Un rapport universitaire recommande aux US Marines de bannir de leur vocabulaire les termes “Sir” ou “Ma’am”, les soldats étant susceptibles de se méprendre sur le genre de leur supérieur

Les Marines américains pourraient prochainement bannir de leur langage les termes “Sir” et “Ma’am” afin d’éviter le risque de “confondre le genre” de leurs supérieurs. L’utilisation de telles salutations met en effet les soldats face à des erreurs d’identification du genre de la personne à qui ils s’adressent selon ce rapport de 738 pages écrit par l’Université de Pennsylvanie.

“Nous allons mettre en place cette nouvelle façon de s’adresser aux supérieurs lors de la formation de nos soldats, bien qu’il soit possible que cela ne se passe pas du jour au lendemain”, a déclaré le colonel Howard Hall, chef d’état-major du Marine Corps Training and Education Command.

Les soldats auront désormais à s’adresser à leur supérieur en citant leur grade, suivi de leur nom de famille.

Washington Examiner

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