Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
La sœur de Kim Jong Un dit que tout le monde verra bientôt ce que les missiles nord-coréens peuvent faire
SEOUL (Spoutnik) - La sœur du dirigeant nord-coréen Kim Jong Un et directrice adjointe d'un département du Comité central du Parti des travailleurs au pouvoir, Kim Yo Jong, a déclaré que ceux qui doutent des capacités des missiles nord-coréens pourront bientôt voir ce qu'ils peuvent faire , a rapporté l'agence de presse coréenne.
Kim Yo Jong l'a dit dans un article critiquant Séoul et des experts étrangers qui ont mis en doute les performances des technologies de missiles et de satellites nord-coréens.
Pyongyang a récemment effectué de nombreux essais de missiles balistiques.
Selon les médias d'État, la sœur de Kim Jong Un a également démenti les déclarations d'experts étrangers anonymes qui doutaient que les systèmes satellitaires , également testés par la Corée du Nord, puissent fonctionner normalement.
Elle a également réaffirmé que la Corée du Nord n'avait pas peur des sanctions.
Note ; "le monde verras bientot" le mois prochain !
Washington met la Russie et les USA au bord d'un affrontement direct, selon la diplomatie russe
Alors que la Russie appelle à ne pas faire tourner la spirale de l'escalade, la politique menée par les autorités américaines met Moscou et Washington au seuil d'un affrontement direct, a déclaré ce lundi la porte-parole de la diplomatie russe.
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a commenté ce lundi les propos du porte-parole du département d'État américain Ned Price. Selon lui, Washington essaie de construire des relations plus stables et plus prévisibles avec la Russie, mais par la faute de Moscou, elles sont devenues plus instables et plus imprévisibles.
Selon Maria Zakharova, Washington a présenté "une construction fausse, qui est facile à corriger si l'on inverse les États-Unis et la Russie". "C'est l'aspiration des États-Unis à conserver coûte que coûte l'hégémonie américaine en ignorant les nouvelles réalités géopolitiques, ainsi que l'absence de volonté de mener un dialogue sérieux sur les garanties de sécurité qui ont entraîné ce résultat logique."
Une politique "à courte vue"
"Après un fiasco retentissant en Afghanistan, l'Amérique s'engage de plus en plus dans un nouveau conflit, non seulement en soutenant financièrement et avec des armes le régime néonazi à Kiev, mais aussi en augmentant sa présence ‘in situ’. Il s'agit d'une politique dangereuse et à courte vue qui met Moscou et Washington au seuil d'un affrontement direct. De son côté, Moscou exhorte l'administration Biden à évaluer la situation sobrement et à ne pas faire tourner la spirale d'une escalade dangereuse."
Tout en espérant que Washington entendra ces appels, la diplomate a noté qu'il n'y avait pour l'instant aucune raison d'être optimiste.
Guerre en Ukraine EN DIRECT : Volodymyr Zelensky est à Bakhmout, le « point le plus chaud » de la ligne de front
L’ESSENTIEL
Vladimir Poutine a assuré lundi que la Russie n’allait pas absorber la Biélorussie, tout en prônant un renforcement des liens militaires avec ce pays allié, à l’issue des pourparlers avec le président Alexandre Loukachenko.
L’armée russe a déclaré qu’elle allait prendre part à des manœuvres « tactiques » en Biélorussie, après l’annonce en octobre de la formation d’une force commune de plusieurs milliers d’hommes. Le Kremlin a toutefois démenti que Vladimir Poutine soit allé à Minsk pour convaincre son voisin de directement participer au conflit en Ukraine, qualifiant ces allégations de « stupides » et « sans fondement ».
Kiev a subi dans la nuit de dimanche à lundi un nouvel assaut massif de drones envoyés par la Russie. Selon les autorités locales, 23 de ces engins ont été aperçus dans le ciel de la capitale, dont 18 ont été neutralisés par la défense antiaérienne.
13h42 : La visite surprise de Zelensky à Bakhmout, un défi lancé à Vladimir Poutine
La visite surprise de Volodymyr Zelensky à Bakhmout apparaît comme un défi lancé à son homologue russe Vladimir Poutine. C’est en effet le point le plus chaud du front, l’armée russe essayant de s’emparer de la ville depuis l’été et se trouvant aux portes de la ville. Le chef de l’Etat ukrainien « a rencontré des militaires, s’est entretenu avec eux » sur place, a déclaré le service de presse de la présidence, sans plus de précisions. Une vidéo diffusée par la chaîne ukrainienne d’Etat Freedom l’a montré se prenant en photo aux côtés de soldats dans un bâtiment et leur donnant des médailles.
Guerre en Ukraine: La situation est "extrêmement difficile" dans les régions annexées par la Russie, reconnaît Poutine
Vladimir Poutine a jugé ce mardi que la situation était "extrêmement difficile" dans les régions d'Ukraine annexées en septembre.
"La situation dans les républiques populaires de Donetsk et Louhansk, dans les régions de Kherson et Zaporijjia est extrêmement difficile", a déclaré le président russe dans un message vidéo à destination des employés des services de sécurité.
"Les personnes vivant là-bas, des citoyens russes, comptent sur votre protection", a-t-il ajouté, en demandant également au Service fédéral de sécurité (FSB) et aux autres agences de sécurité de renforcer leur surveillance de la société russe pour combattre "l'émergence de nouvelles menaces" émanant de "traîtres" ou de l'étranger.
"Long conflit"
Le chef du Kremlin a déjà admis ce mois-ci que la guerre lancée en février dernier, qualifiée d'"opération militaire spéciale" par Moscou, pourrait être un "long conflit".
La Russie a annexé en septembre les régions de Donetsk et Louhansk dans l'Est, Kherson et Zaporijjia dans le Sud, une initiative très majoritairement condamnée par la communauté internationale, mais les forces russes ont cédé en octobre une partie du territoire de la région de Kherson et piétinent depuis des semaines devant Bakhmout, dans l'Est, où Volodimir Zelensky s'est rendu mardi pour décorer des militaires.
Nouvelles armes
Le président ukrainien a également réclamé de nouveau de nouvelles armes aux Occidentaux pour se défendre contre les frappes russes visant les infrastructures stratégiques du pays.
Selon l'armée ukrainienne, 30 à 35 drones "kamikazes" tirés par la Russie ont été abattus lundi. La plupart ciblaient Kyiv. L'approvisionnement en électricité de la capitale ukrainienne a atteint un "niveau critique", ont déclaré des responsables locaux, moins de la moitié de la ville étant alimentée selon eux après les frappes russes.
Cinq personnes ont été tuées mardi dans les régions de Donetsk et Kherson, ont déclaré les autorités ukrainiennes, et 21 missiles tirés sur Zaporijjia ont privé la ville d'électricité.
Les forces russes ont également attaqué durant la nuit des installations pétrolières et gazières ukrainiennes dans l'est de l'Ukraine, a déclaré la compagnie ukrainienne Naftogaz.
Explosion en Russie
"Des missiles ennemis ont touché une de ces installations dans la région de Kharkiv. Un incendie de grande ampleur s'est déclaré sur le site, son extinction est en cours. Il n'y a pas de victimes", a précisé le groupe gazier dans un communiqué.
Une explosion s'est par ailleurs produite en Russie, près de la ville de Kazan, sur le gazoduc d'exportation Ourengoï-Pomary-Oujgorod, qui relie la Russie à l'Ukraine, a rapporté la chaîne russe RBC citant des responsables locaux.
Comment l’argent public finance l’immigration clandestine : « Les ONG ont des intérêts financiers à la poursuite de cette immigration illégale » (MàJ)
19/12/2022
19/12/22
17/12/22
ENQUÊTE – Les gouvernements successifs ont sous-traité l’essentiel de la gestion des migrants à des associations qui militent pour l’accueil inconditionnel des étrangers dans notre pays. Elles les hébergent, subviennent à leurs besoins quotidiens et leur fournissent une assistance juridique dans leurs démarches. Le tout aux frais du contribuable.
(…) Au-delà de ces actions spectaculaires, d’autres ONG comme la Cimade et France terre d’asile prennent en charge les demandeurs d’asile, leur fournissent assistance matérielle et juridique, s’occupent de les héberger et sont censées veiller à leur intégration. Elles aident aussi les déboutés, le tout dans un cadre fixé par la loi. « Le choix de sous-traiter la gestion des immigrés à des associations diverses et variées a été fait depuis très longtemps, rappelle Patrick Stefanini. Pour des raisons idéologiques, sous l’influence de la gauche, mais en partie aussi pour des raisons budgétaires. On s’est dit que ça permettrait d’économiser les deniers de l’État. » Un calcul qui s’est révélé « totalement erroné », précise l’ancien secrétaire général du ministère de l’Immigration, auteur en 2020 d’un livre * qui fait autorité sur la situation migratoire en France.
(…) Tout un écosystème s’est ainsi constitué autour des étrangers qui tentent leur chance dans notre pays. Au-delà de leur idéologie, les ONG qui les aident sont mues par des motifs humanitaires qu’il n’est pas, ici, question de contester, mais force est de constater qu’elles ont financièrement intérêt à ce qu’ils soient les plus nombreux possible.
(…) Quand l’État ne les mandate pas directement, la plupart des associations qui s’occupent des migrants bénéficient de subventions, nationales et/ou versées par des collectivités publiques, dans des proportions variables.
(…) Certaines associations ne se contentent pas du combat idéologique contre l’État qui les finance, au moins partiellement : elles l’attaquent aussi en justice. En 2019, huit ONG dont Amnesty International France, la Cimade, Gisti, la Ligue des droits de l’homme et Médecins sans frontières ont saisi le tribunal administratif pour « dénoncer la complicité de la France dans les violations des droits humains en Libye ».
Le budget de la Cimade est alimenté à plus de 50% par l’argent des contribuables
(…) Parmi les missions officielles des associations figure « l’aide au récit » : elles mettent en forme et en français le dossier que les demandeurs d’asile devront présenter aux différentes instances et juridictions devant lesquelles ils vont plaider leurs cas, de l’Office français pour les réfugiés et apatrides (Ofpra) à la Cour nationale du droit d’asile (CNDA).
(…) Un bon connaisseur du droit des étrangers raconte que « curieusement, il semble souvent n’exister qu’un récit par nationalité » : « Au Nigeria, ce sont presque exclusivement des femmes, qui racontent qu’une amie immigrée en Italie leur a dit “tu devrais venir, ils cherchent des coiffeuses”. Une fois sur place, elles s’aperçoivent que l’amie est en fait tombée aux mains d’un réseau de prostitution, alors elles passent en France. En Somalie, ce sont des hommes menacés d’être enrôlés de force par les shebabs (groupe islamiste). Au Bangladesh, on voit défiler des pauvres jeunes gens victimes d’un méchant oncle qui veut faire main basse sur le terrain… Les récits se ressemblent au détail près, comme s’ils étaient fabriqués à la chaîne ! »
(…) Le projet de loi sur l’immigration qui doit être adopté en janvier n’aborde pas, dans sa partie connue, la question de la mainmise des associations sur l’hébergement et l’accompagnement des migrants.
Violences urbaines à Plaisir et aux Mureaux (78) : les pompiers caillassés dans deux embuscades hier soir
20/12/2022
Les guets-apens dont font régulièrement l’objet les policiers font parfois d’autres victimes collatérales. C’était le cas ce lundi soir. Appelés pour un feu de local poubelle vers 20h30, à Plaisir (Yvelines), dans l’allée Saint-Just, les pompiers essuient des jets de projectiles qui ne leur sont pas destinés. Les policiers font usage de l’armement collectif pour leur permettre d’intervenir en toute sécurité. Mais après avoir éteint le feu, alors qu’ils s’apprêtent à quitter les lieux, ils reçoivent des tirs de mortiers.
Un peu plus tard vers 21 heures, c’est aux Mureaux, dans la rue Molière, qu’une poubelle est incendiée. Les pompiers interviennent une nouvelle fois accompagnés des effectifs de police. C’est alors que des projectiles leur tombent dessus, sans en déterminer la provenance. Ils décident de quitter les lieux pour se préserver, l’incendie ne présentant pas de risque de propagation.
Dans ces situations, des consignes claires leur sont données. Elles se résument ainsi : s’il n’y a pas de péril pour la vie d’autrui, et que l’intervention peut mettre en danger les effectifs, ils ont le droit de ne pas intervenir. « On ne risque pas la vie d’un agent pour un véhicule ou une poubelle qui brûle, souligne le SDIS (service départemental d’incendie et de secours) 78. Si l’environnement est hostile, on ne va pas risquer d’avoir des blessés. Par contre, si la vie de quelqu’un est en danger, on va intervenir. Les tenues de protections sont aussi faites pour cela. »
Insécurité à Roanne (42) : face à l’explosion de la délinquance, une brigade anti-criminalité va être mise en place en janvier 2023
20/12/2022
Pour faire face à l’augmentation de la délinquance à Roanne, notamment depuis l’été 2022, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, a annoncé le 18 novembre 2022 la reconstitution d’une Brigade anti-criminalité (BAC) à Roanne. Elle avait été supprimée en 2019.
La ville du nord de la Loire a notamment connu une augmentation des violences urbaines. En 2022 à Roanne, les atteintes volontaires à l’intégrité physique ont augmenté de 14,3 % et la délinquance sur la voie publique de 16 %, indique Catherine Seguin, préfète de la Loire.
Cette nouvelle unité de la police nationale, spécialisée dans la recherche de la délinquance et les interventions à risque en zones urbaines, devrait être mise en place en janvier 2023.
Après plusieurs épisodes de violences dans l’agglomération de Roanne (Loire), le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé vendredi 18 novembre 2022 qu’une Brigade anticriminalité (BAC) allait être reconstituée dans cette ville dès le début de l’année prochaine. Des moyens supplémentaires avaient déjà été accordés aux forces de l’ordre après l’agression de pompiers cet été.
La création de cette unité avait été demandée le lundi précédent par le député local Antoine Vermorel-Marques (LR), précise Le Pays.
Cité par nos confrères, l’élu estimait que la ville était «désormais le terrain de jeu de nouveaux délinquants ». Ce à quoi le ministre de l’Intérieur a répondu qu’il avait effectivement constaté une « augmentation des faits de délinquance et plus récemment de violences urbaines » dans l’agglomération roannaise. Deux affirmations qui semblent faire référence à plusieurs faits divers survenus cet été.
Rouen : Deux jeunes montent sur le toit de l’église Saint-Maclou et détruisent l’un des pinacles (petite tour en pierre) de l’édifice. “C’est un peu fatiguant, quoiqu’on pense, c’est notre patrimoine”, réagit une élue PS
19/12/2022
Une soirée trop alcoolisée aux lourdes conséquences. Deux étudiants, nés en 2004, sont montés sur le toit de l’Eglise Saint-Maclou, à Rouen, et ont détruit au moins l’un des pinacles en le poussant au sol.
Deux étudiants, nés en 2004, ont détruit au moins l’un des pinacles de l’Eglise Saint-Maclou à Rouen, dans la nuit du samedi 17 au dimanche 18 décembre 2022. Le pinacle étant une petit tour en pierre située sur un côté du bâtiment, près des arches. Fortement alcoolisés, selon les policiers, ils sont montés sur le toit de l’église, autour de minuit et demi, avant de pousser au moins l’une de ces pinacles, le dernier restant de ce côté-là. Il s’est détruit en tombant, heureusement sans faire de blessé. D’autres pourraient être endommagés.
Ce pinacle ne devrait pas être remplacé, selon la Ville de Rouen, qui rappelle que d’autres dégradations récentes sont à déplorer : un vitrail brisé à l’Eglise Saint-Godard l’année dernière, ou le portail de l’église Saint-Patrice tagué l’année dernière. “C’est un peu fatiguant, quoiqu’on en pense, c’est notre patrimoine national et celui des rouennais”, explique Elizabeth Labaye, conseillère municipale déléguée au patrimoine.
Les deux étudiants ont été interpellés dans la nuit, ils avaient par la suite volé des bières dans une épicerie, ils ont tous les deux été placés en garde à vue.
Sécurité : la ville de Nice va installer des boutons d’appel d’urgence dans les églises
19/12/2022
Protéger, partout. Après l’attentat terroriste qui a frappé Nice, en la basilique Notre-Dame, le 29 octobre 2020, la municipalité a renforcé la sécurité dans les lieux de culte. Une réunion a eu lieu, courant 2021, avec les ecclésiastiques de la ville pour leur proposer l’installation de boutons d’urgence. Un dispositif également mis à disposition de commerçants qui le souhaitaient.
Lors d’une interview accordée à BFM Côte d’Azur le 28 octobre dernier, le recteur de la basilique Notre-Dame a reconnu qu’il avait utilisé ce bouton depuis son installation. Contacté par Nice-Matin, le père Franklin Parmentier cite l’exemple d’un jeune homme entré dans la basilique en juillet 2021 en présentant un comportement «agressif» et «très louche». La police a été prévenue au moyen d’un bouton d’appel d’urgence installé depuis l’attentat et des agents ont arrêté l’individu.
“Ça a montré son utilité et ça fonctionne, livre le père Parmentier. Ce qui rassure c’est l’intervention rapide et efficace des services de police.”
Pays-Bas : les excuses officielles du gouvernement sur le passé esclavagiste du royaume suscitent la polémique
19/12/2022
Mark Rutte a présenté ses excuses pour le rôle de l’État néerlandais dans l’esclavage qu’il a qualifié de crime contre l’humanité.
Le premier ministre des Pays-Bas Mark Rutte a présenté ce lundi 19 décembre lors d’un discours à La Haye les excuses officielles du gouvernement néerlandais pour le rôle de l’État néerlandais dans l’esclavage, qu’il a qualifié de crime contre l’humanité.
«Aujourd’hui, je présente des excuses au nom du gouvernement néerlandais pour les actions de l’Etat néerlandais dans le passé: à titre posthume à tous les esclaves du monde entier qui ont souffert de cet acte. À leurs filles et fils et à tous leurs descendants», a déclaré Mark Rutte.
Ce discours sur l’implication des Pays-Bas dans les 250 ans de traite d’êtres humains dans les anciennes colonies était très attendu. Au même moment, plusieurs de ses ministres étaient présents dans sept anciennes colonies pour «discuter» de la question avec les habitants. La volonté du gouvernement de présenter des excuses lundi, qui avait fuité dans la presse néerlandaise en novembre, suscitait depuis plusieurs semaines une vive controverse aux Pays-Bas et outre-mer.
(…)
Le premier ministre avait longtemps émis des réserves
Les villes d’Amsterdam, Rotterdam, Utrecht et La Haye ont déjà officiellement présenté leurs excuses pour leur rôle dans la traite des esclaves. Des ministres néerlandais étaient lundi dans les îles des Caraïbes: Bonaire, Sint Maarten, Aruba, Curaçao, Saba et Saint-Eustache, et au Suriname.
Mark Rutte a longtemps émis des réserves quant à la présentation d’excuses officielles, affirmant par le passé que la période de l’esclavage était trop ancienne et que des excuses attiseraient les tensions dans un pays où l’extrême droite reste forte, avant de finalement changer de cap. Un récent sondage avait indiqué qu’à peine 38% de la population adulte était en faveur d’excuses officielles.
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