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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 2 au 3 décembre 2022

 

 

La Russie bientôt confrontée au plafonnement du prix de son pétrole

La Russie devrait être confrontée à partir de lundi au plafonnement du prix de son baril de pétrole à 60 dollars, après l'accord scellé par les pays de l'Union européenne, du G7 et de l'Australie, afin de limiter les revenus de Moscou pour financer le conflit en Ukraine.

 

Des doutes subsistaient sur la capacité des États européens à s'accorder sur un plafonnement du prix du pétrole russe. Les 27 – et dans leur sillage les pays du G7 et l'Australie – y sont finalement parvenus, vendredi 2 décembre, à trois jours de l'entrée en vigueur de l'embargo européen.

"Le G7 et l'Australie (...) sont parvenus à un consensus sur un prix maximum de 60 dollars américains le baril pour le pétrole brut d'origine russe transporté par voie maritime", ont annoncé vendredi soir ces pays dans un communiqué commun.

Cet accord a été permis par le consensus trouvé plus tôt dans la journée par les 27 pays de l'UE. Ils s'étaient entendus sur ce prix après avoir réussi à rallier la Pologne, qui s'était d'abord montrée très critique sur l'efficacité du plafond fixé, réclamant un prix beaucoup plus bas, certaines sources évoquant 30 dollars le baril. Le cours du baril de pétrole russe (brut de l'Oural) évolue actuellement autour de 65 dollars, soit à peine plus que le plafond européen, impliquant un impact limité à court terme.

Les ministres des Finances des pays du G7 s'étaient entendus début septembre sur cet outil, conçu pour priver Moscou des moyens de financer sa guerre en Ukraine. Le prix fixé doit être suffisamment élevé pour que la Russie ait intérêt à continuer à leur vendre du pétrole, mais inférieur au cours pour limiter les revenus qu'elle pourra en tirer.

Le mécanisme entrera en vigueur lundi "ou très peu de temps après", précisent le G7 et l'Australie dans leur communiqué. C'est en effet lundi que débute l'embargo de l'UE sur le pétrole russe acheminé par voie maritime.

Concrètement, seul le pétrole vendu à un prix égal ou inférieur à 60 dollars pourra continuer à être livré. Au-delà de ce plafond, il sera interdit pour les entreprises de fournir les services permettant le transport maritime (fret, assurance, etc.). Cela doit limiter les recettes tirées par Moscou de ses livraisons à des pays comme la Chine et l'Inde.

La Russie a tiré 67 milliards d'euros de ses ventes de pétrole à l'UE

"L'UE reste unie et est solidaire avec l'Ukraine", s'est félicitée la présidence tchèque du Conseil de l'UE dans un tweet, précisant que la décision entrerait en vigueur dès publication au Journal officiel. L'instrument doit renforcer l'efficacité de l'embargo européen qui intervient plusieurs mois après celui déjà décidé par les États-Unis et le Canada.

La Russie est le deuxième exportateur mondial de brut et, sans ce plafond, il lui serait facile de trouver de nouveaux acheteurs aux prix du marché.

Actuellement, les pays du G7 fournissent les prestations d'assurance pour 90 % des cargaisons mondiales et l'UE est un acteur majeur du fret maritime – d'où un pouvoir de dissuasion crédible, mais aussi un risque de perdre des marchés au profit de concurrents.

La Russie a tiré 67 milliards d'euros de ses ventes de pétrole à l'UE depuis le début de la guerre en Ukraine, tandis que son budget militaire annuel s'élève à environ 60 milliards, rappelle Phuc-Vinh Nguyen, un expert des questions énergétiques à l'Institut Jacques-Delors.

Les Occidentaux doivent aussi composer avec les intérêts des puissants assureurs britanniques ou armateurs grecs.

L'instrument proposé par Bruxelles prévoit d'ajouter une limite fixée à 5 % en-dessous du cours du marché, dans le cas où le pétrole russe passerait sous les 60 dollars. De fait, certains experts craignent une déstabilisation du marché mondial et s'interrogent sur la réaction des pays producteurs de l'Opep, qui se réunissent dimanche à Vienne.

Un mécanisme qui pourra être "ajusté au fil du temps"

La Russie avait déjà prévenu qu'elle ne livrerait plus de pétrole aux pays qui adopteraient ce plafonnement.

"Ce plafonnement contribuera à stabiliser les marchés mondiaux de l'énergie (...) et bénéficiera directement aux économies émergentes et aux pays en développement", puisque le pétrole russe pourra leur être livré à des prix inférieurs au plafond, a au contraire assuré sur Twitter la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

Le mécanisme pourra être "ajusté au fil du temps" en fonction des réactions du marché, a-t-elle ajouté.

À compter de lundi, l'embargo de l'UE sur le pétrole russe acheminé par voie maritime va supprimer les deux tiers de ses achats de brut à la Russie. L'Allemagne et la Pologne ayant par ailleurs décidé d'arrêter leurs livraisons via un oléoduc d'ici à la fin de l'année, les importations russes totales seront touchées à plus de 90 %, affirment les Européens.

En revanche, "un plafond de prix du pétrole, ça ne s'est jamais vu. On est dans l'inconnu", s'alarme Phuc-Vinh Nguyen, soulignant que la réaction des pays de l'Opep ou de gros acheteurs comme l'Inde et la Chine sera cruciale. 

Seule certitude, selon lui : un plafonnement, même à un prix élevé, enverra "un signal politique fort" au président russe Vladimir Poutine, car, une fois en place, ce mécanisme pourra être durci.

Source

LIRE AUSSI: L'OTAN s’engage à fournir plus d’armes et à réparer le réseau électrique

 

 

 

La Russie demande avec confiance que son pétrole reste malgré le plafonnement des prix : Ambassade

Vers une guerre de religion, infos du 2 au 3 décembre 2022

WASHINGTON (Spoutnik) - La Russie ne doute pas que son pétrole continuera d'être demandé sur les marchés mondiaux même après l'introduction du plafonnement des prix, a déclaré l'ambassade de Russie aux États-Unis.

"Le résultat de telles mesures sera une augmentation généralisée de l'incertitude et des coûts plus élevés pour les consommateurs de matières premières. De plus, aucun pays n'est désormais à l'abri de l'imposition d'un" plafond "sur ses produits d'exportation pour des raisons politiques", a déclaré l'ambassade de Russie à Washington a déclaré vendredi, ajoutant qu'indépendamment du "" flirt "" actuel avec un outil dangereux et illégitime, nous sommes convaincus que notre pétrole continuera d'être demandé".

L'ambassade a souligné qu'en mettant en œuvre de telles mesures, les pays occidentaux tentent de remodeler les principes de base du fonctionnement des marchés libres, en essayant en même temps d'« étouffer le fait que les déséquilibres énergétiques actuels sont le résultat de leur propre imprudence Actions." ...

Spoutnik

 

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev appelle la population à « tenir » face aux coupures régulières de courant...

 

L'ESSENTIEL

  • Le prix du pétrole vendu par la Russie aux pays occidentaux sera plafonné à 60 dollars le baril à partir des prochains jours, les pays de l'Union européenne, puis ceux du G7 et l'Australie ayant trouvé vendredi un accord à trois jours de l'entrée en vigueur de l'embargo européen.
  • Lors d'un entretien téléphonique, le chancelier allemand Olaf Scholz a demandé à Vladimir Poutine de retirer ses troupes pour permettre « une solution diplomatique » au conflit. Ce que le président russe a refusé, tout en précisant que les frappes sur les infrastructures énergétiques de l'Ukraine étaient « nécessaires et inévitables ».
  • L'Ukraine a affirmé vendredi avoir reçu à plusieurs de ses représentations diplomatiques en Europe des colis contenant des «yeux d'animaux», dénonçant une «campagne planifiée de terreur» de Moscou, deux jours après qu'une lettre piégée eut blessé un de ses employés à Madrid.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine - Jusqu'à 2500 soldats par mois : Washington envisage d'accélérer significativement la formation de militaires ukrainiens

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 2 au 3 décembre 2022

Washington envisage d'étendre considérablement son programme de formation de militaires de l'armée ukrainienne, rapporte CNN.

L'administration américaine est-elle sur le point d'étendre de manière spectaculaire sa mission de formation militaire des forces ukrainiennes ? Si rien n'est acquis, cette possibilité est sérieusement étudiée par les Etats-Unis, indique CNN, qui cite plusieurs responsables américains.

Selon ces sources, les Américains pourraient former jusqu'à 2500 soldats ukrainiens par mois dans une de leurs bases située en Allemagne. Une telle évolution serait majeure puisque les Etats-Unis n'ont formé jusque-là que 3000 membres des forces de défense ukrainienne, selon Le Monde.

Si cette option retenait l'attention de Washington, ce n'est pas seulement le nombre de soldats ukrainiens qu'entraîneraient les Américains qui augmenterait drastiquement, mais aussi l'étendue du contenu de ces formations. Selon CNN, ce programme comprendrait l'enseignement de "tactiques de champ de bataille plus sophistiquées" et notamment la coordination "des manœuvres d'infanterie avec le soutien de l'artillerie".

La formation en question serait "beaucoup plus intense et complète" que celle proposée au Royaume-Uni ou en Pologne, selon les responsables américains cités par CNN.

Cette proposition, qui aurait été faite par les Ukrainiens, serait actuellement examinée par l’administration Biden.

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine: Biden et Macron résolus "à demander des comptes à la Russie"

 

  • Emmanuel Macron et Joe Biden ont tenu une conférence de presse commune.
    Emmanuel Macron et Joe Biden ont tenu une conférence de presse commune. Capture écran Twitter - @bfmtv
Publié le

Joe Biden et Emmanuel Macron ont réaffirmé leur détermination à faire front contre la guerre menée par la Russie en Ukraine, jeudi lors d'un entretien à la Maison blanche, et admis des tensions dans la gestion des conséquences économiques du conflit.

Le président américain a reçu son homologue français dans le Bureau ovale à l'occasion de la deuxième visite d'Etat d'Emmanuel Macron dans le pays depuis 2017. Dans une déclaration conjointe diffusée après leur tête-à-tête et avant une conférence de presse, les deux dirigeants se sont dits résolus à demander des comptes à la Russie "pour les atrocités et les crimes de guerre largement documentés" commis à la fois par les forces armées régulières et les forces supplétives russes en Ukraine.

Ils ont également promis de se coordonner face au défi représenté par la Chine et annoncé leur intention d'élargir la coopération franco-américaine en matière de défense. En recevant le chef de l'Etat français pour leur entretien, Joe Biden a salué en la France le "plus vieil allié" des Etats-Unis, "un partenaire inébranlable pour la cause de la liberté".

Evoquant une "amitié enracinée à travers les siècles", Emmanuel Macron a quant à lui estimé que les deux pays devaient savoir redevenir des "frères d'armes" face à l'invasion de l'Ukraine par la Russie et partageaient la responsabilité de protéger la démocratie. "Nos nouvelles frontières sont là", a-t-il déclaré.

Au-delà de la célébration en grande pompe de l'amitié franco-américaine, cette visite a pour enjeu les conséquences de la guerre en Ukraine sur l'économie mondiale et l'impact sur l'industrie européenne de la loi américaine sur la réduction de l'inflation (Inflation Reduction Act ou IRA) et les subventions massives réservées aux fabricants américains qui en découlent.

Mercredi, devant des parlementaires américains, Emmanuel Macron a parlé d'une loi "super agressive" pour les entreprises européennes, selon l'un des participants à la réunion. Les questions énergétiques devaient figurer également en bonne place dans les discussions à la Maison blanche entre les deux dirigeants.

Source

 

 

 

Coupures d’électricité : “Il y aura un gâchis conséquent” des “produits frais”, prévient la grande distribution ; certaines enseignes vont fermer de façon préventive

” Il y aura un gâchis conséquent” des “produits frais” en cas de coupures d’électricité, a prévenu ce jeudi sur franceinfo Franck Charton, délégué général de Perifem, fédération des enseignes de la grande distribution. Les entreprises et les commerces se préparent à des coupures d’électricité éventuelles cet hiver en cas de surconsommation énergétique. Les entreprises seront prévenues la veille à 21h30 d’une coupure possible, notamment par l’application Ecowatt. Un délai trop court “pour réagir”, estime Franck Charton. Cela aura pour conséquences “des fermetures préventives” de magasins, a-t-il assuré.

franceinfo : Comment allez-vous être prévenu des coupures éventuelles ?

Franck Charton : Nous nous préparons à ce dispositif de coupures. Nous serons prévenus la veille à 21h30 des lieux géographiques potentiellement coupés. Ça nous laisse effectivement peu de délais puisqu’être prévenue la veille à 21h30 d’une potentielle coupure le lendemain, sans être certain que le site sera coupé, nous laisse peu de temps pour réagir et obligera des fermetures préventives de magasins, ce qui va être difficile à gérer, notamment au regard des produits frais pour la partie alimentaire et de la gestion de ces produits.

Il y a un risque pour les produits frais ?

Nous n’avons jamais connu cette situation. Les magasins comme d’autres, mais les magasins sont très peu équipés aujourd’hui en groupes électrogènes.

“Il y aura malheureusement beaucoup de fermetures et beaucoup de gaspillage.”

Franck Charton, délégué général de Perifem à franceinfo

On ne jettera pas les produits surgelés qui ont pour la plupart plus d’inertie thermique. En revanche, pour les produits frais qui ne tiennent pas deux heures, il y aura effectivement un gâchis conséquent puisque la plupart d’entre eux ne pourront pas être consommés par la suite. C’est impossible de faire autrement.

Certaines enseignes vont fermer de façon préventive ?

Oui, absolument. […]

France Info

 

 

 

Moscou accuse Paris de passer sous silence "les crimes de guerre" de l'armée ukrainienne

 

Le ministère russe des Affaires étrangères a accusé la France d'ignorer et de passer sous silence "les multiples crimes de guerre" commis par l'armée ukrainenne.

Paris refuse de prendre en considération les multiples crimes de guerre des militaires ukrainiens et les passe délibérément sous silence, a déclaré ce vendredi 2 décembre la diplomatie russe.

Vers une guerre de religion, infos du 2 au 3 décembre 2022

"Pour une raison quelconque, Paris ferme les yeux ces huit dernières années sur l'attitude anarchique du régime de Kiev vis-à-vis des habitants du Donbass, qui continuent de mourir sous les tirs quotidiens d'artillerie et de roquettes", a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.

Selon Moscou, la France préfère "d'ignorer les meurtres et les abus de civils par des combattants ukrainiens" dans les territoires contrôlés par Kiev.

La partie russe accuse également les dirigeants ukrainiens d'"intolérance extrême à l'égard de toute dissidence" qui se traduit notamment par "des pressions des plus ignobles exercées sur les médias et journalistes".

"Or, pour les autorités françaises tout cela n'a aucune importance", déplore le ministère.

Dans ce contexte, Moscou se déclare "outré" par les récentes déclarations du Quai d'Orsay sur l'eventuelle mise en place d'un "tribunal spécial pour les crimes d'agression de la Russie", qui ne serait qu'une "instance judiciaire politisée de plus".

Spoutnik

 

 

 

#TwitterFiles : Elon Musk fait publier des communications internes accablantes sur la censure politique, notamment l’affaire Hunter Biden, et en publiera encore

C’est tordu/foireux [“f-ed”].

Twitter a “simplement improvisé” sa décision sans fondement de censurer peu avant l’élection de 2020 le scoop du New York Post à propos de l’ordinateur portable de Hunter Biden. Des cadres de haut niveau du géant des réseaux sociaux convenant que cette décision controversée était tordue/foireuse [“f-ked”], comme le révèlent des communications internes accablantes publiées par le PDG Elon Musk vendredi.

Le chaos et la confusion qui ont régné à huis clos chez Twitter immédiatement après la révélation de l’affaire Hunter Biden en octobre 2020 montrent qu’un petit groupe de cadres supérieurs a décidé de qualifier l’histoire du Post de “matériel piraté” sans aucune preuve – ce derrière le dos du fondateur et PDG de l’époque, Jack Dorsey.

Peu après 18 heures, M. Musk a tweeté un lien vers le compte du journaliste indépendant Matt Taibbi, qui a mis en lumière la décision de censure louche de Twitter en publiant ce qui semblait être des courriels expurgés entre des employés de Twitter.

La décision de censurer l’histoire du Post a été prise “aux plus hauts niveaux de l’entreprise”, selon Taibbi, mais sans l’implication de Dorsey.

[…]

“Dire que c’était du piratage était l’excuse, mais en quelques heures, à peu près tout le monde a compris que ça ne tiendrait pas. Mais personne n’a eu le courage de faire marche arrière”, ajoute l’ex-employé.

“Ils se sont contentés d’improviser ça”, a déclaré un ancien employé à Taibbi à propos de la façon dont la décision a été prise.

La décision a laissé des cadres de haut niveau perplexes.

“J’ai du mal à comprendre le fondement politique de la décision de marquer ce site comme dangereux”, avait écrit Trenton Kennedy, un responsable de la communication, dans un courriel interne adressé à ses collègues.

[…]

Selon [le journaliste indépendant] Matt Taibbi, Twitter a même eu recours à une tactique rarement utilisée pour arrêter la diffusion de l’information – bloquer le partage de liens vers l’histoire par message direct, un outil habituellement utilisé uniquement dans des “cas extrêmes”, comme pour stopper la diffusion de pornographie infantile.

La censure de l’histoire par Twitter avait conduit le compte de Kayleigh McEnany, alors attachée de presse de la Maison-Blanche, à être bloqué à quelques semaines de l’élection de 2020.

Dans un courriel partagé par Taibbi, Mike Hahn, membre du personnel de la campagne Trump, avait envoyé une missive furieuse au géant des médias sociaux, exigeant de savoir quand elle serait débloquée.

“Mais faites au moins semblant de vous y intéresser pendant les 20 prochains jours”, avait écrit Hahn.

[…]

Matt Taibbi a également révélé des courriels de l’entreprise répondant à une demande “de l’équipe de Joe Biden” pendant la période précédant l’élection de 2020 – peu de temps après que l’entreprise eut sévi contre l’histoire sur Hunter Biden du New York Post.

Un autre, daté du 24 octobre 2020, indiquait “Un signalement supplémentaire du DNC”, une référence apparente au Comité national démocratique.

Un autre, daté du 24 octobre 2020, indiquait “Encore d’autres à examiner à la demande de l’équipe Biden”, accompagné d’une liste de tweets.

En réponse, quelqu’un a répondu : “Je les ai traités.”

Matt Taibbi a également tweeté : “Les deux partis avaient accès à ces outils. Par exemple, en 2020, des demandes de la Maison Blanche de Trump et de la campagne de Biden ont été reçues et honorées.”

Mais l’ancien rédacteur de Rolling Stone a déclaré que le “système n’était pas équilibré” et “était basé sur des contacts.”

“Parce que Twitter était et est très majoritairement composé de personnes d’une seule orientation politique, il y avait plus de canaux, plus de moyens de se plaindre, ouverts à la gauche (enfin, aux démocrates) qu’à la droite”, écrit-il.

Avant son rachat pour 44 milliards de dollars, Musk avait déjà exprimé clairement sa position sur la débâcle du Post contre Twitter, en déclarant en avril que la décision de la plateforme était “évidemment incroyablement inappropriée”.

Twitter, ainsi que Facebook, ont pris des mesures de censure extraordinaires à l’encontre du Post lorsqu’il a publié pour la première fois son exposé sur le florilège d’e-mails découvert sur l’ordinateur portable de M. Hunter en octobre 2020.

La plateforme a interdit aux utilisateurs de partager l’article – et a également bloqué le New York Post de son compte Twitter pendant plus de deux semaines en raison d’allégations sans fondement selon lesquelles l’article utilisait des informations piratées.

Jack Dorsey, le PDG de Twitter à l’époque, a admis plus tard, lors d’une audience du Congrès sur la désinformation et les réseaux sociaux en mars de l’année dernière, que le blocage de l’article du Post était une “erreur totale”.

Il n’a pas voulu révéler qui était responsable de cette erreur.

Alors que de nombreux médias grand public ont d’abord ignoré ou cherché à saper les informations du Post, le New York Times et le Washington Post ont fini par authentifier le contenu de l’ordinateur portable, 18 mois plus tard.

The New York Post

 

Note: comme au précédent siècle, le monde occidental est largement gouverné par la gauche et encore une fois ces gens-là, nous mène vers une catastrophe mondiale

 

 

L’Union européenne menace Elon Musk de fermer Twitter si la plateforme ne se soumet pas à ses règles

Le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, a averti mercredi le patron de Twitter Elon Musk qu’il devrait « significativement augmenter les efforts » pour se conformer aux règles de l’UE, lors d’un entretien téléphonique, risquant l’interdiction de la plateforme en cas de non-respect.

« Soyons clairs : il reste encore un énorme travail à accomplir » et Twitter devra « renforcer considérablement la modération des contenus, protéger la liberté d’expression et s’attaquer avec détermination à la désinformation », a dit le commissaire à Elon Musk, selon un compte rendu de l’échange communiqué à Bruxelles. En cas de non-respect des règles établies par l’UE, la plateforme risque l’interdiction, selon le Financial Times.

Twitter a annoncé, mardi 29 novembre, le rétablissement en masse de comptes bannis et la fin de la politique controversée de lutte contre la « désinformation sur le Covid ».

Source F-S

 

Note : "se conformer aux règles de l’UE"' c-a-d propager la propagande pro migrants et Woke de l'UE et censurer toute les oppositions,  un peut comme l'UE le fait avec la Hongrie ! 

 

 

 

 

Viktor Orban accuse l'UE de bloquer des milliards d’euros d’aide "pour des raisons politiques"

 

Vers une guerre de religion, infos du 2 au 3 décembre 2022

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a accusé Bruxelles, vendredi, de geler des fonds de soutien destinés à la Hongrie pour "des raisons politiques", notamment la politique migratoire de Budapest et son opposition aux sanctions contre la Russie après son invasion de l'Ukraine.

 

C’est un bras de fer entre Budapest et Bruxelles. Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a accusé la Commission européenne, vendredi 2 décembre, de geler des fonds d'aide pour "des raisons politiques". 

13 milliards d’euros de fonds bloqués 

La Commission européenne avait recommandé, mercredi, le gel de plus de 13 milliards d'euros de fonds européens destinés à la Hongrie, en réponse notamment aux problèmes de corruption identifiés dans ce pays

L'exécutif européen a choisi de rester ferme face au dirigeant nationaliste. Et ce malgré le "chantage" dont ce dernier est accusé, Budapest bloquant le plan d'aide commun de 18 milliards d'euros à l'Ukraine et l'impôt minimum sur les bénéfices des multinationales. 

Sous la pression du Parlement européen, la Commission a proposé aux États membres, qui ont jusqu'au 19 décembre pour se prononcer, de suspendre 7,5 milliards de fonds de cohésion qui devaient être versés à la Hongrie dans le cadre du budget 2021-2027. 

L'exécutif européen a par ailleurs décidé de valider le plan de relance post-Covid de la Hongrie, à hauteur de 5,8 milliards d'euros, mais en l'assortissant de 27 conditions, qui reprennent les 17 mesures de lutte anticorruption, ainsi que des réformes pour améliorer l'indépendance de la justice. 

Bruxelles “n'aime pas le gouvernement hongrois", selon Orban 

Dans une interview accordée à la radio publique vendredi, Viktor Orban a accusé, "les bureaucrates de Bruxelles" de différer la mise en place d'un plan de soutien à la Hongrie pour des "raisons politiques évidentes". 

"Sur quelques sujets fondamentaux, il existe des divergences de vue entre l'UE et la Hongrie... et c'est pour cette raison que (Bruxelles) n'aime pas le gouvernement hongrois", a affirmé Viktor Orban. 

Bruxelles "exige l'ouverture de nos frontières aux migrants, mais nous le ne ferons pas, l'introduction dans nos écoles de leur propagande sexuelle, mais nous ne le ferons pas", a-t-il dit. Bruxelles "exige aussi notre soutien inconditionnel aux sanctions et à la guerre (contre Moscou), mais ça non plus, nous ne le ferons pas", a-t-il prévenu. 

"Même si les bureaucrates de Bruxelles sont injustes à l'égard de la Hongrie en posant toujours de nouvelles conditions, nous devons nous efforcer de parvenir à un accord" avec l'UE, a ajouté le dirigeant nationaliste. 

La réaction de Budapest mercredi s'était toutefois voulue constructive. "Nous allons mettre en place les mesures supplémentaires exigées et en 2023, nous ne doutons pas que nous parviendrons à convaincre la Commission", avait assuré le négociateur hongrois, Tibor Navracsics. 

Source

 

 

 

Vu des États-Unis : « L’Europe montre un lien clair entre immigration et criminali »

Sur le média :

RealClearPolitics (RCP) est un site Web américain d’informations politiques et un agrégateur de données de sondage, créé en 2000 par John McIntyre, ancien trader en options, et Tom Bevan, ancien chargé de clientèle d’une agence de publicité. Le site présente une sélection d’articles d’actualité politique et d’articles d’opinion provenant de diverses publications, ainsi que les commentaires de ses propres contributeurs. Le site est très en vue pendant les saisons électorales pour son agrégation des données des sondages.

En 2008, les fondateurs du site ont déclaré que leur objectif était de donner aux lecteurs une “diversité idéologique”. Selon un article de 2012 du Chicago Sun-Times, les concurrents et les personnes à l’intérieur de la politique ont loué l’équilibre des sujets du site, bien qu’un article de 2020 du New York Times ait noté que depuis la fin de 2017, RealClearPolitics a eu un virage à droite, pro-Donald Trump dans son contenu. Selon une étude de la Knight Foundation de 2020, RealClearPolitics est généralement lu par un public modéré, penchant légèrement vers la droite.

Wikipédia


Les crimes violents deviennent courants en Suède, choquant les résidents de la célèbre nation scandinave placide, où les actes de violence horribles sont devenus “trop familiers”, selon Common Sense Media, qui fait partie d’une organisation suédoise à but non lucratif.

Depuis 2018, les autorités suédoises ont enregistré environ 500 attentats à la bombe, tandis que ce qu’elles décrivent comme des fusillades de gangs sont devenues de plus en plus courantes. Le pays a signalé un record de 124 homicides en 2020 et de nombreux résidents ont été choqués en avril lorsque de violentes émeutes ont blessé plus de 100 policiers.

Mais le pic de criminalité en Suède n’est pas une anomalie en Europe, puisque les homicides ont augmenté au cours de la dernière décennie dans toute l’Union européenne, de la Hongrie et l’Allemagne au Danemark et à la Finlande. Une analyse des données sur la criminalité de l’UE et des Nations unies réalisée par RealClearInvestigations montre que, comme en Suède, la vague de criminalité générale est fortement corrélée à l’immigration.

“Les données nationales des pays de l’UE contiennent des données sur l’immigration qui permettent d’examiner de nombreux endroits différents au fil du temps, ce que nous ne pouvons tout simplement pas faire en examinant les États américains”, a déclaré Carl Moody, professeur d’économie au William & Mary College et spécialiste de la criminologie.

Les experts en justice pénale estiment que la précision offerte par les données européennes peut servir de guide aux États-Unis, qui sont aux prises avec une série de pathologies allant de la hausse des crimes violents et des fusillades de masse aux perturbations sociales dues à la pandémie de coronavirus. L’expérience de l’Europe suggère aux décideurs politiques et aux experts en justice pénale de se pencher sur la criminalité directement liée à l’immigration et au trafic de drogue à travers la frontière poreuse entre les États-Unis et le Mexique.

Toutefois, à l’heure actuelle, les statistiques sur la criminalité aux États-Unis ne permettent généralement pas aux chercheurs de tirer des conclusions définitives sur l’influence des immigrants illégaux sur l’augmentation des crimes violents. En raison de la sensibilité politique de la question, presque aucun responsable d’État ne garde trace du statut d’immigration des détenus dans leurs prisons.

Au cours des dix années allant de 2012 à 2021, environ 41 millions de personnes ont immigré dans l’Union européenne, et l’on estime que 3,8 millions d’entre elles, soit plus de 9 %, l’ont fait illégalement. L’afflux largement légal de nouveaux arrivants en Suède s’est élevé en moyenne à près de 130 000 par an de 2012 à 2019, avant que le pays ne commence à restreindre l’immigration en 2020.

L’ancienne Première ministre suédoise Magdalena Andersson a déclaré que les problèmes croissants de gangs et de violence du pays sont dus à son incapacité à intégrer les résidents nés à l’étranger, dont le nombre a doublé au cours des deux dernières décennies pour atteindre environ deux millions de personnes (soit près de 20% de la population totale). La chef des services de renseignement suédois, Linda H. Staaf, a déclaré à la BBC en 2019 que de nombreux auteurs de crimes ont un profil similaire. “Ils ont grandi en Suède et sont issus de groupes socio-économiquement faibles, de zones socio-économiquement faibles, et beaucoup sont peut-être des immigrants de deuxième ou troisième génération”, a-t-elle déclaré.

RCI a recueilli des données sur les homicides pour l’Union européenne auprès de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime pendant 11 ans, de 2010 à 2020, et les a comparées aux pourcentages croissants de la population de chaque pays née à l’étranger. Même en tenant compte des variations entre les pays, les données montrent que chaque augmentation d’un point de pourcentage de la population immigrée est associée à une augmentation de 3,6 % du taux d’homicide.

“Ces résultats sont cohérents avec d’autres études menées dans divers pays européens, qui montrent que les immigrants – en tant que groupe – commettent des crimes à des taux plus élevés que la population née dans le pays”, a déclaré Tino Sanandaji, de l’Institut de recherche sur l’économie et l’histoire des entreprises, en Suède.

[…]

La hausse des taux d’homicides en Europe est éclipsée par celle des États-Unis, où des villes comme Philadelphie, Chicago, Saint-Louis et Los Angeles enregistrent des centaines d’homicides chaque année. Les homicides aux États-Unis sont également beaucoup plus concentrés dans de petites zones qu’en Europe, plus de la moitié des meurtres aux États-Unis ayant lieu dans seulement 2 % des comtés. Mais l’Europe présente depuis longtemps des taux globaux de criminalité violente bien plus élevés que ceux des États-Unis.

[…]

En 2020, le professeur de sociologie suédois Göran Adamson a publié une étude sur la criminalité montrant un lien indéniable avec l’immigration. Il conclut qu’entre 2002 et 2017, 58 % des suspects de crimes en Suède étaient des immigrants. Ce chiffre a augmenté pour les meurtres, les tentatives de meurtre et les homicides involontaires, où les immigrants ont été identifiés comme suspects dans 73% des cas, et les vols, où les immigrants étaient suspects dans 70% des cas.

Adamson a déclaré à RCI que si les membres de certains groupes d’immigrants, comme les Vietnamiens, sont moins enclins à commettre des crimes que les Suédois de souche, d’autres, comme ceux du Moyen-Orient et d’Afrique – régions qui représentent la majeure partie de l’immigration en Suède – sont beaucoup plus susceptibles de le faire. Dans l’ensemble, l’étude d’Adamson a conclu que le taux de meurtre en Suède avait quadruplé en raison de l’immigration. Par conséquent, il a déclaré que l’analyse statistique de RCI était “crédible”.

Des chercheurs danois sont parvenus à des conclusions similaires sur l’immigration et la criminalité. Un indice montre qu’en 2020, la criminalité était 51 % plus élevée chez les immigrants masculins et 149 % plus élevée chez les descendants masculins d’origine non occidentale que dans l’ensemble de la population masculine.

En Norvège et en Finlande également, une incidence plus élevée de la criminalité se retrouve dans les populations immigrées, selon des recherches récentes. Des données similaires sur le statut de citoyenneté des personnes arrêtées ou en prison sont rarement collectées aux États-Unis. Un État où des données sont collectées, le Texas, montre que les étrangers en situation irrégulière sont condamnés pour homicide 32 % plus fréquemment que le reste de la population texane. Le taux pour les agressions sexuelles est 91% plus élevé.

Les fusillades en Suède ont commencé à s’étendre de Stockholm à des villes plus petites, bien que, comme aux États-Unis, elles aient tendance à se concentrer dans certains quartiers. En ce sens, les immigrants sont le plus souvent les victimes et les auteurs d’une grande partie de la violence croissante.

“Au cours des dernières décennies, ceux qui commettent des crimes se sont de plus en plus regroupés à la fois géographiquement et socialement”, selon l’étude d’Adamson. “Le risque de devenir victime d’un crime est de plus en plus inégalement réparti.”

Ces conclusions ont été reprises dans les débats politiques scandinaves, les candidats de droite faisant de la hausse de la criminalité un élément central de leur campagne 2022. Du côté de la gauche progressiste, les critiques ont tendance à rejeter ces études statistiques en les qualifiant de “racistes”.

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Real Clear Investigations

 

 

 

Elections au Conseil supérieur de la magistrature : le Syndicat de la magistrature (extrême-gauche) se renforce

Elections au Conseil supérieur de la magistrature : le Syndicat de la magistrature se renforce

C’est l’un des baromètres les plus importants pour comprendre l’état d’esprit des magistrats. Lors des élections au Conseil supérieur de la magistrature (CSM), qui ont eu lieu fin novembre, le Syndicat de la magistrature (SM, gauche) a recueilli 33,3 % des suffrages (contre 30 % en 2018). C’est sa meilleure performance depuis 2010. L’Union syndicale des magistrats (USM), qui se présente comme apolitique, reste largement majoritaire mais voit son score se tasser (66,6 % contre 70 % il y a quatre ans).

www.lemonde.fr

 

 

 

En Autriche, l’État se dit “dépassé” face à une vague de migrants sans précédent

 

En Autriche, les autorités sont confrontées à une vague de migrants sans précédent. L’administration autrichienne se dit “dépassée”.

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