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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 19 décembre 2022

 

 

Tirs de missiles et d'artillerie : la Russie et la Chine vont mener des exercices militaires navals conjoints cette semaine

Vers une guerre de religion, infos du 19 décembre 2022

 

La Russie et la Chine vont organiser des exercices navals conjoints du 21 au 27 décembre, a déclaré lundi le ministère russe de la Défense.

Ces exercices, qui ont lieu chaque année depuis 2012, comprendront des tirs de missiles et d'artillerie en mer de Chine orientale, a précisé le ministère.

"L'objectif principal de ces exercices est de renforcer la coopération navale entre la Russie et la Chine, et de maintenir la paix et la stabilité dans la région Asie-Pacifique."

Depuis que la Russie a envahi l'Ukraine en février, Moscou a cherché à accroître ses liens politiques, de défense et économiques avec Pékin et considère le dirigeant chinois Xi Jinping comme un allié face à l'Occident.

La Russie et la Chine ont signé un partenariat stratégique "sans limites" quelques jours seulement avant que Moscou ne lance, en février, la plus grande invasion terrestre en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. Mais depuis, Pékin a exprimé ses préoccupations quant aux actions de la Russie en Ukraine.

Moscou a précisé que quatre de ses navires participeraient aux exercices - dont le croiseur lance-missiles Varyag - et six côté chinois.

Les navires russes ont quitté lundi le port de Vladivostok, en Extrême-Orient, pour prendre part aux exercices qui débutent mercredi.

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Vladimir Poutine est arrivé en Biélorussie ...

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 décembre 2022

L’ESSENTIEL

  • Une personne a été tuée dimanche et huit autres ont été blessées dans des frappes ukrainiennes sur la région russe de Belgorod, frontalière de l’Ukraine, a annoncé le gouverneur de la région, Viatcheslav Gladkov.
  • Les présidents russe et biélorusse Vladimir Poutine et Alexandre Loukachenko doivent se retrouver lundi à Minsk pour un sommet destiné à resserrer encore leur alliance. Selon Alexandre Loukachenko, le sommet sera « avant tout (consacré) à la sphère économique », mais les deux dirigeants parleront aussi de « la situation politico-militaire autour de (leurs) pays ».
  • La capitale ukrainienne a été attaquée par des drones ce lundi matin, a indiqué l’administration militaire de la ville de Kiev, exhortant la population à se tenir prête à se mettre à l’abri. Elle précise que les forces russes ont procédé à des tirs de barrages, utilisant les drones iraniens « Shahed ».

 

14h53 : Poutine prépare la Russie à une guerre longue en Ukraine, avertit l’Otan

« Rien n’indique que Poutine a renoncé à son objectif de contrôler l’Ukraine », avertit, ce lundi, Jens Stoltenberg, le chef de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (Otan). Près de dix mois après l’invasion par Moscou de son voisin pro-occidental, les forces ukrainiennes ont infligé au Kremlin une succession de défaites qui ont permis de libérer des pans entiers de territoire. Pour autant, Jens Stoltenberg estime que la Russie n’a pas dit son dernier mot. « Nous ne devons pas sous-estimer la Russie. Elle se prépare pour une guerre longue », a-t-il déclaré dans un entretien avec l’AFP, vendredi. Pour en savoir plus, c'est ci-dessous : 

 

14h52 : Moscou a-t-elle reçu « un nouveau lot » de 250 drones de la part de l’Iran ?

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a assuré que Moscou avait reçu « un nouveau lot » de 250 drones de la part de l’Iran. Il a réclamé à l’occasion d’un sommet européen à Riga des batteries de missiles norvégiennes NASAMS, des chars allemands Leopard, des systèmes d’artillerie suédois Archer et des canons français Caesar.

 

14h31 : Des allégations de « stupides » et « sans fondement »

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a démenti que Vladimir Poutine soit allé en Biélorussie pour convaincre Minsk de directement participer au conflit en Ukraine, qualifiant ces allégations de « stupides » et « sans fondement ».

LIRE AUSSI: Guerre en Ukraine : Poutine se rend à Minsk ce lundi pour une rencontre avec Alexandre Loukachenko, Kiev craint une offensive conjointe de Moscou et de la Biélorussie

 

14h16 : « Pas une seule seconde de silence sur les terrains d’entraînement »

L’armée russe a déclaré lundi qu’elle allait prendre part à des manoeuvres « tactiques » en Biélorussie, après l’annonce en octobre de la formation d’une force commune de plusieurs milliers d’hommes (voir notre post de 9h29). Le ministère russe de la Défense a diffusé lundi des images de manoeuvres en Biélorussie sur lesquelles on voit des soldats avec des chars et s’exerçant à tirer à l’artillerie dans un paysage recouvert de neige. « De l’aube au crépuscule, il n’y a pas une seule seconde de silence sur les terrains d’entraînement de la Biélorussie », s’est vanté le ministère dans un communiqué.

 

13h52 : Londres va maintenir le niveau de son aide militaire à l’Ukraine en 2023

Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a annoncé lundi à Riga que son pays allait en 2023 au moins maintenir le montant de son aide militaire à l’Ukraine, évaluée à 2,3 milliards de livres, dans un discours d’inauguration d’une réunion des dirigeants d’Europe du Nord. Selon Rishi Sunak, « la première chose à faire est de s’assurer que nous fournissons une aide militaire plus importante à l’Ukraine et que cette aide militaire évolue pour répondre à la situation à laquelle nous sommes maintenant confrontés ».

« Cela signifie plus de systèmes de défense antiaérienne, plus d’artillerie, plus de véhicules blindés. Pour sa part, le Royaume-Uni s’est engagé à égaler l’année prochaine, voire à dépasser, les 2,3 milliards de livres d’aide que nous avons fournies cette année et j’espère encourager les autres pays autour de cette table à faire tout ce qu’ils peuvent pour poursuivre leur soutien », a-t-il déclaré dans un bref discours retransmis en direct.

 

13h29 : Poutine est arrivé en Biélorussie

Le président russe Vladimir Poutine est arrivé en Biélorussie pour une rencontre avec son homologue Alexandre Loukachenko, son allié dans le conflit en Ukraine, au moment où Kiev dit craindre une éventuelle attaque depuis le territoire bélarusse en 2023.

La télévision publique russe a montré Poutine descendre de l'avion avant d'être chaleureusement salué par Loukachenko et un comité d'accueil sur le tarmac de l'aéroport, par des témpératures glaciales.

 

12h42 : Zelensky demande plus d’armes aux Occidentaux

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a demandé aux dirigeants occidentaux réunis en Lettonie d’augmenter l’envoi d’armes à son pays. « L’agression russe peut et doit échouer. La tâche consiste maintenant à faire en sorte que cela se produise plus rapidement. Je vous appelle à tout faire pour accélérer la défaite des occupants », a-t-il déclaré ce lundi.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky affiché sur un écran écoute par liaison vidéo pendant que le Premier ministre britannique Rishi Sunak (gauche) parle à côté du Premier ministre letton Krisjanis Karins à Riga, en Lettonie, le 19 décembre 2022.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky affiché sur un écran écoute par liaison vidéo pendant que le Premier ministre britannique Rishi Sunak (gauche) parle à côté du Premier ministre letton Krisjanis Karins à Riga, en Lettonie, le 19 décembre 2022. - HENRY NICHOLLS / POOL / AFP

 

 

12h05 : Moscou dit avoir abattu quatre missiles de fabrication américaine près de l’Ukraine

L’armée russe a affirmé lundi avoir abattu quatre missiles HARM de fabrication américaine au-dessus de son territoire, dans le ciel de la région de Belgorod frontalière de l’Ukraine, où Moscou mène une offensive depuis février.

« Quatre missiles antiradar américains HARM ont été abattus dans l’espace aérien de la région de Belgorod », a indiqué le ministère russe de la Défense dans son rapport quotidien publié sur Telegram, sans plus de précisions.

 

Note : vu l'actualité de ce mois-ci, je pense que c'est une attaque Ukrainienne meurtrière (avec arme de l'OTAN) sur le territoire russe, qui  clachera une riposte nucléaire de la part de la Russie, et la suite on la connaît

 

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine: La Russie attaque des "infrastructures critiques" à Kyiv et dans ses environs avec des drones iraniens Shahed

Vers une guerre de religion, infos du 19 décembre 2022

Des bombardements russes ont frappé des "infrastructures critiques" dans et autour de Kyiv aux premières heures de la journée de ce lundi, ont déclaré les autorités ukrainiennes, selon lesquelles les systèmes de défense anti-aériens ont détruit une quinzaine des 20 drones dirigés contre la capitale de l'Ukraine.

Ces attaques n'ont pas fait de victimes dans Kyiv même d'après les premières informations disponibles, a dit le maire de la capitale ukrainienne, Vitali Klitschko, sur la messagerie Telegram.

"En conséquence des attaques contre la capitale, des sites d'infrastructures critiques ont été endommagés", a-t-il déclaré.

"Des ingénieurs spécialistes de l'énergie et du chauffage sont à l'œuvre pour stabiliser rapidement la situation en matière d'approvisionnement en énergie et chauffage."

Un journaliste de Reuters a rapporté qu'un incendie s'était déclenché à la suite d'un bombardement sur le quartier central de Chevtchenkivskyi, régulièrement pris pour cible.

Le quartier de Solomyanskyi, dans l'ouest de Kyiv, a lui aussi été touché. Il abrite une gare et l'un des deux aéroports de la capitale.

35 drones

Au total, la Russie a tiré environ 35 drones de conception iranienne, des Shahed, ce lundi matin à travers l'Ukraine et 30 d'entre eux ont été détruits, a dit l'armée de l'air ukrainienne.

Oleskiy Kouleba, gouverneur de la région de Kyiv, a déclaré que des infrastructures et des habitations avaient été touchées dans ces attaques nocturnes autour de la capitale.

Deux personnes ont été blessées. Reuters n'a pas été en mesure de vérifier ces affirmations.

D'après l'armée de l'air ukrainienne, les drones ont été tirés de la rive orientale de la mer d'Azov.

Les sirènes ont retenti pendant quasiment toute la nuit à Kyiv et dans ses environs et l'alerte a été levée avant l'aube.

Source

 

 

L’échec français avec zéro expulsion depuis le début du bras de fer avec les pays du Maghreb : « Tout le monde rentre, et personne ne sort » (MàJ : Darmanin annonce un retour « à la normale » pour l’octroi de visas avec l’Algérie et le Maroc)

Après plus d’un an de tensions, Gérald Darmanin, a annoncé un retour « à une relation consulaire normale » avec l’Algérie depuis lundi 12 décembre.

est une nouvelle qui devrait soulager de nombreux ressortissants algériens désireux de venir en France. En déplacement en Algérie, le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, s’est entretenu avec son homologue et a annoncé dans la foulée un retour « à une relation consulaire normale » avec Alger concernant l’octroi de visas par la France aux ressortissants de ce pays.

Depuis la crise du Covid-19, la France avait considérablement réduit le nombre de visas octroyés à l’Algérie, la Tunisie et le Maroc, les conditionnant à des efforts de ces pays pour accepter leurs ressortissants expulsés de France. Cette normalisation de l’octroi de visas aux ressortissants algériens survient après celle avec la Tunisie fin août et celle avec le Maroc annoncée vendredi 16 décembre par la cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna.

[…]

 

Le Point


16/12/2022

La ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna, en visite dans la capitale marocaine, Rabat, a annoncé, vendredi, « le retour à la normale » en matière d’attribution des visas aux Marocains.

« Écrire ensemble une nouvelle page » des liens entre la France et le Maroc : Paris et Rabat ont affiché, vendredi, leur volonté de renouveler leur relation, mettant de côté les récents sujets de crispations, avant une visite d’État d’Emmanuel Macron prévue début 2023.

Signe d’une volonté de repartir sur de nouvelles bases, la ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, en visite dans la capitale marocaine, a annoncé, vendredi, « le retour à la normale » en matière d’attribution des visas aux Marocains. Cette « pleine coopération est effective depuis lundi dernier », a-t-elle précisé, lors d’une conférence de presse avec son homologue, Nasser Bourita. En d’autres termes, c’est la fin de la politique de restriction en matière de délivrance des visas.

En septembre 2021, Paris avait décidé de réduire de moitié les permis d’entrée accordés aux Marocains, arguant de la réticence du royaume à réadmettre ses ressortissants en situation irrégulière dans l’Hexagone.

Une mesure similaire avait été décidée à l’égard de l’Algérie voisine, où le ministre de l’Intérieur français Gérald Darmanin effectue à partir de vendredi une visite pour discuter, entre autres, des questions migratoires.

Cette mesure, qualifiée d’« injustifiée » par Rabat et décriée par les ONG humanitaires ainsi que les milieux francophones marocains, empoisonnait les relations bilatérales, même si Nasser Bourita s’est efforcé, vendredi, d’en minimiser la portée.

(…) Le Télégramme


19/06/2022

Du nouveau concernant la question des sans-papiers algériens expulsés depuis la France. Après un bras de fer qui a duré plusieurs mois avec le gouvernement français, les autorités algériennes auraient accepté de délivrer les autorisations consulaires aux ressortissants algériens faisant l’objet de décisions d’expulsion du territoire français. Mais cela sous certaines conditions, que la France devra respecter.

La question des sans-papiers algériens faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) constitue l’une des principales questions de divergence entre la France et l’Algérie. Une question soulevée au plus haut sommet de l’État des deux pays, sans pour autant arriver à une solution. Chaque partie accuse l’autre concernant le manque de coopération dans ce lourd dossier, qui touche des milliers de ressortissants algériens en France.

En septembre 2021, le gouvernement français a décidé de réduire de 50 % le nombre de visas accordés aux Algériens, comme mesure de représailles contre les autorités algériennes. Selon Paris, le gouvernement algérien ne coopère pas dans le dossier des ressortissants algériens visés par l’expulsion de France. Selon le ministère de l’Intérieur français, entre janvier et juillet 2021, la justice française a, en effet, ordonné 7731 obligations de quitter le territoire français et seulement 22 sont repartis chez eux, soit à peine plus de 0,2,%.

Un chiffre contesté par le chef de l’État algérien Abdelmadjid Tebboune, en personne. Ce dernier a accusé, dans une déclaration le 10 octobre 2021, le ministre de l’Intérieur français Gerald Darmanin de bâtir « un gros mensonge ». Réagissant à cette sortie, l’entourage du ministre français de l’Intérieur est revenu à la charge en affirmant que le nombre d’Algériens en situation irrégulière en France dépassait les 7 000.

Les sans-papiers algériens en France ne peuvent toutefois faire l’objet d’expulsion vers l’Algérie sans la fameuse autorisation consulaire délivrée par les autorités algériennes, pour chacun de ses ressortissants faisant l’objet d’une OQTF. Ce n’est pas tout. Depuis la crise sanitaire, aucun sans-papiers ne peut être expulsé de France sans passer un test PCR contre le Covid-19.

Voici la condition de l’Algérie pour accueillir les sans-papiers expulsés de France

Une condition qui a compliqué davantage l’exécution des OQTF contre les ressortissants algériens, pour la simple raison que la majorité d’entre eux refusent de passer ce test. En refusant de se soumettre aux tests PCR, ces sans-papiers algériens ne peuvent donc faire l’objet d’expulsion vers l’Algérie. Sachant qu’ils ne peuvent pas être obligés à faire ce test, de nombreux sans-papiers algériens se retrouvent ainsi non expulsables vers leur pays.

Mais cette question devrait être résolue, à en croire une source diplomatique algérienne citée ce dimanche 19 juin 2022 par le quotidien Le Jeune Indépendant. En effet, l’Algérie a accepté de délivrer les autorisations consulaires aux ressortissants algériens faisant l’objet de décisions d’expulsion du territoire français (OQTF) à condition qu’ils soient munis de tests PCR tels que fixés par les procédures en cours dans l’Hexagone, rapporte la même source.

La France ayant placé l’Algérie sur sa liste orange, il est donc impossible pour un voyageur en provenance de l’Algérie d’entrer en France sans se soumettre à un test PCR. Et comme l’Algérie applique le principe de réciprocité, toute personne désirant se rendre en Algérie depuis la France devra être aussi munie d’un résultat négatif d’un test PCR. C’est pour dire que si la France veut lever cette condition de test PCR sur les sans-papiers algériens visés par une OQTF, elle doit lever les restrictions de voyages pour les Algériens en plaçant l’Algérie sur sa liste verte.

ObservAlgérie / Jeune-Independent

 

 

Le Collectif Némésis s’est rendu devant le Musée de l’immigration à Paris pour rendre hommage aux femmes victimes de criminels sous OQTF jamais expulsés

 

 

 

Scandale de corruption au Parlement européen : l’un des 4 inculpés a avoué “faire partie d’une organisation utilisée à la fois par le Maroc et par le Qatar dans le but de s’ingérer dans les affaires européennes” (MàJ : Doha menace l’UE)

19/12/22

Le Qatar menace l’UE d’un « effet négatif » sur « la sécurité énergétique mondiale » après des accusations de corruptions

La diplomatie qatarie a envoyé un message on ne peut plus clair après les premières mesures prises par le Parlement européen, quite aux révélations de corruption liée à l’émirat.

C’est une menace à peine voilée envoyée de Doha à Bruxelles. Dimanche 18 décembre, quelques heures avant que le Qatar organise la finale de son Mondial de football, qui devait voir le sacre de l’Argentine face à la France, sa diplomatie envoyait un message on ne peut plus clair en réaction aux premières mesures prises par le Parlement européen après les révélations de corruption liée à l’émirat et concernant notamment l’ancienne vice-présidente de l’assemblée, la Grecque Eva Kaili. Cela pourrait avoir un « effet négatif » sur les discussions en courssur « la sécurité énergétique mondiale », a prévenu un diplomate qatari dans un communiqué.

Le Qatar, qui a passé des accords d’approvisionnement en gaz avec l’Allemagne, l’Italie, la France et de nombreux pays de l’Union européenne (UE) pourrait-il fermer le robinet ?

Depuis le déclenchement de l’invasion russe de l’Ukraine, le 24 février, l’Europe s’est lancée dans une course pour diversifier ses sources de gaz à travers la planète. Dans ce cadre, un défaut qatari lui serait très préjudiciable. Avant d’en arriver à cette extrémité, le Qatar tente de maintenir le dialogue et de se tenir à distance de l’affaire, qui secoue l’institution européenne depuis dix jours. « Nous rejetons fermement les allégations associant notre gouvernement à des fautes », a répété ce diplomate.

Or, a-t-il ajouté, « nous avons observé avec une grande inquiétude la condamnation sélective de notre pays cette semaine. Des informations inexactes divulguées aux médias par des personnes impliquées dans l’enquête ont cherché à manipuler l’opinion publique et à déformer les opinions des députés ». Jeudi 15 décembre, six jours après la révélation de l’affaire et l’interpellation de quatre personnes, dont Eva Kaili, le Parlement a en effet adopté à une écrasante majorité une résolution où il se dit « consterné » par l’affaire de corruption, avec de l’argent issu, selon l’enquête en cours, du Qatar.

[…]

 

Le Monde


17/12/22

Le Maroc pourrait avoir lui aussi offert des pots-de-vin à des élus :


BFMTV

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