Le Kremlin a appelé mercredi toutes les parties "au calme" après le lancement par la Corée du Nord de plusieurs missiles sol-air.
Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 2 novembre
Tensions en Asie : après avoir lancé plusieurs missiles balistiques, la Corée du Nord a procédé à 100 tirs d'artillerie vers une "zone tampon" maritime
Pyongyang persiste et signe.
La Corée du Nord a procédé à 100 tirs d'artillerie vers une "zone tampon" maritime, a annoncé l'armée sud-coréenne. De nouveaux tirs qui interviennent quelques heures après des échanges de lancements de missiles entre la Corée du Nord et du Sud.
Pyongyang a tiré dix missiles balistiques à courte portée (SRBM), dont un qui est tombé près des eaux territoriales sud-coréennes. Il a d'abord franchi la Ligne de limite du Nord, qui constitue de fait la frontière maritime entre les deux pays.
A lire aussi : Tensions en Asie : "La situation dans la péninsule est entrée dans une phase de confrontation grave" alerte la Corée du Nord
Selon Séoul, c'est "la première fois depuis la division de la péninsule" à l'issue des combats de la guerre de Corée en 1953 qu'un missile de Pyongyang est tombé si proche des eaux territoriales du Sud. Il a amerri dans des eaux situées à seulement 57 kilomètres du continent. Dénonçant une "invasion territoriale", la Corée du Sud a riposté en tirant trois missiles air-sol.
Lundi, les plus importantes manœuvres aériennes communes aux Etats-Unis et à la Corée du Sud ont débuté, auxquelles participent plusieurs centaines d'avions des deux pays. Ces manœuvres, qui doivent s'achever vendredi, prévoient environ 1.600 sorties.
Washington et Séoul soupçonnent Pyongyang de préparer un essai nucléaire militaire, qui serait le premier en Corée du Nord depuis 2017. Les deux alliés ont donc choisi de multiplier les manœuvres militaires communes pour tenter de dissuader le régime nord-coréen de mettre ce projet supposé à exécution.
LIRE AUSSI: Tirs de missiles, évacuation, riposte… Que s’est-il passé cette nuit entre les deux Corées ?
L’Otan renforce sa présence militaire près des frontières russes et déploie de nouveaux bataillons tactiques dans plusieurs pays européens, a déclaré la Défense russe. L’Alliance transmet aussi des données secrètes à l’Ukraine, leur désigne directement des objectifs et y envoie des mercenaires et des conseillers militaires.
La confrontation entre l’Occident et la Russie s'intensifie, a déclaré ce 2 novembre le ministre russe de la Défense.
La présence de l'Otan se renforce près des frontières russes. Depuis le mois de février, elle a augmenté de 2,5 fois, dépassant les 30.000 militaires, a noté Sergueï Choïgou.
Prochainement, ses effectifs pourraient augmenter davantage, a-t-il souligné.
D’après le ministre, l’Otan déploie de nouveaux bataillons tactiques en Bulgarie, en Hongrie, en Roumanie et en Slovaquie.
En plus de cela, l’Otan transmet des informations secrètes aux forces de Kiev et leur désigne directement des objectifs. L’Alliance continue également d’envoyer en Ukraine des conseillers militaires et des mercenaires.
Enfin, "l’Otan mène une guerre de sanctions et informationnelle contre nous", conclut M.Choïgou.
Par ces actes, l’Otan mise sur l’effondrement de la Russie:
"L’objectif principal des efforts destructeurs de l’Occident est sans doute la Russie. Il s’agit notamment de détruire son économie, son potentiel militaire et de la priver de sa capacité d’exercer une politique extérieure indépendante".
Les pays occidentaux ignorent sciemment le fait que le régime de Kiev recourt à des méthodes interdites, dont des assassinats et des pilonnages avec des armements lourds contre la population civile.
Les éléments du chantage nucléaire exercé par Kiev sont aussi ignorés par les États-Unis et l’Europe.
Il s’agit notamment de la tentative de Kiev de fabriquer une "bombe sale", soit une bombe conventionnelle entourée de déchets nucléaires.
Y figurent également la disponibilité de l’Ukraine à déployer des armes nucléaires otaniennes sur son territoire, des appels de Volodymyr Zelensky à mener des "frappes nucléaires préventives" contre la Russie et des tirs contre la centrale nucléaire de Zaporojié, a détaillé la Défense russe.
L'armée russe a détruit plus d’une vingtaine de lance-roquettes, dont la moitié sont des Himars, a intercepté deux missiles américains Harm et repoussé des attaques ukrainiennes dans deux régions.
Le ministère russe de la Défense continue de communiquer, dans son rapport journalier, les derniers changements sur le terrain.
Ainsi, en une journée, les forces russes ont détruit 24 lance-roquettes, dont 14 Himars, et 2 missiles Harm.
Dans la région de Kharkov, un avion MiG-29 ukrainien a été détruit. Les troupes russes ont anéanti un dépôt ukrainien de munitions dans la République populaire de Donetsk, ainsi qu’un dépôt de carburant dans la région de Tcherkassy.
De plus, l'armée russe a mis en échec des tentatives de percée entreprises par les troupes ukrainiennes dans la région de Kherson. 105 soldats ukrainiens ont été éliminés. Les forces russes ont également détruit un radar de système S-300.
Dans la République populaire de Lougansk, des tentatives de percée entreprises par les troupes ukrainiennes ont été également repoussées, avec plus de 250 militaires ukrainiens éliminés.
L’ESSENTIEL
14h00 : Londres sanctionne quatre oligarques russes
Accusé par le Kremlin d’avoir attaqué la flotte russe, le Royaume-Uni annonce ce mercredi prendre des sanctions à l’encontre de quatre oligarques russes. « Nous sanctionnons quatre oligarques de plus qui comptent sur Poutine pour assurer leurs positions et financent sa machine militaire », a commenté James Cleverly, le chef de la diplomatie britannique.
La Russie va convoquer l’ambassadeur britannique pour lui remettre des « preuves », selon elle, de l’implication de Londres dans de récentes attaques contre la flotte russe en Crimée, a indiqué mercredi Moscou.
Les autorités britanniques ont à plusieurs reprises démenti ces accusations, reprochant à Moscou de chercher à « détourner l’attention » de ses revers militaires en Ukraine.
« Il n’y a bien sûr aucun doute sur l’implication des services secrets britanniques » dans l’attaque contre des navires russes fin octobre en mer Noire et dans le sabotage de gazoducs en septembre, a déclaré à la presse la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova.
Le Kremlin accuse le Royaume-Uni d’être à l’origine des explosions ayant endommagé en septembre les gazoducs Nord Stream 1 et 2 en mer Baltique, construits pour acheminer du gaz russe en Europe.
100 millions d’euros supplémentaires sont budgétés au titre du fonds spécial pour l’équipement militaire de l’Ukraine, comme l’avait annoncé Emmanuel Macron début octobre. Le fonds servira à financer l’achat « d’armes défensives » au profit de Kiev, avait précisé le chef de l’Etat à l’époque.
Les armées bénéficient de 1,3 milliard d’euros de crédits supplémentaires pour 2022, « dans un contexte notamment marqué par la guerre en Ukraine » qui sévit depuis février.
12h37 : L’utilisation d’armes nucléaires tactiques discutée par les généraux russes, sans Poutine
Selon le journal le Times, le renseignement américain a des informations à propos de discussions entre des chefs militaires russes sur la possibilité de frappes nucléaires tactiques en Ukraine. Vladimir Poutine ne serait pas dans la bouche des discussions.
« Le renseignement US n’aurait, toujours selon le Times, noté aucun mouvement russe pour déployer de telles armes nucléaires en Ukraine », ajoute Corentin Sellin, analyste de la vie politique américaine et journaliste pour Les Jours.
11h38 : La Russie reprend sa participation à l’accord sur les exportations de céréales ukrainiennes
La Russie a finalement annoncé reprendre sa participation à l’accord sur les exportations de céréales ukrainiennes après avoir reçu des « garanties écrites » de la part de l’Ukraine sur la démilitarisation du couloir utilisé pour leur transport.
« La Russie considère que les garanties reçues jusqu’à présent semblent suffisantes et reprend la mise en œuvre de l’accord », a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram. Moscou avait suspendu sa participation samedi dernier après une attaque sur sa flotte en Crimée.
Téhéran veut détourner l'attention des manifestations locales, selon les Saoudiens
L'Arabie saoudite a partagé des renseignements avec les États-Unis, les avertissant d'une attaque imminente de l'Iran contre des cibles dans le royaume, ce qui a placé l'armée américaine et d'autres armées au Moyen-Orient en état d'alerte élevé selon des responsables saoudiens et américains, a rapporté lundi le Wall Street Journal.
Le quotidien américain a également rapporté que l'Iran s'apprête à mener des attaques contre le royaume et Erbil, en Irak, afin de détourner l'attention des protestations intérieures qui secouent le pays depuis septembre.
En réponse à cet avertissement, l'Arabie saoudite, les États-Unis et plusieurs autres États voisins ont relevé le niveau d'alerte de leurs forces militaires, ont indiqué les responsables, sans donner plus de détails sur les renseignements saoudiens.
Par ailleurs, le Conseil national de sécurité de la Maison Blanche a fait part de ses préoccupations par les avertissements et s'est dit prêt à réagir si l'Iran menait une attaque.
"Nous sommes préoccupés par les menaces, et nous restons en contact permanent avec les Saoudiens par le biais des canaux militaires et de renseignement", a affirmé un porte-parole du Conseil de sécurité nationale. "Nous n'hésiterons pas à agir pour défendre nos intérêts et nos partenaires dans la région."
Ces dernières semaines, l'Iran aurait attaqué le nord de l'Irak avec des dizaines de missiles balistiques et de drones armés, dont l'un a été abattu par un avion de guerre américain alors qu'il se dirigeait vers la ville d'Erbil, où sont basées les troupes américaines. Téhéran a publiquement accusé les groupes séparatistes kurdes iraniens basés dans cette ville d'avoir fomenté les troubles dans le pays.
Les autorités iraniennes ont également accusé l'Arabie saoudite, ainsi que les États-Unis et Israël, d'être à l'origine des manifestations.
Note ; si l'Iran s'attaque à l’Arabie Saoudite, cela auras comme conséquence que ces deux pays (Saoudite - USA) vont de nouveau se approcher, alors qu'ils étaient en froid en ce moment ! Curieux choix !
Le ministre serbe de la Défense, Milos Vucevic, a annoncé que le président de son pays, Aleksandar Vucic, avait ordonné à l'armée d'hausser le niveau de préparation, en raison d'éventuelles tensions avec le Kosovo.
Dans une déclaration à une chaîne locale, mardi, le ministre serbe de la Défense a évoqué les problèmes existants entre la Serbie et le Kosovo, soulignant que l'armée est en état d'alerte en raison de la situation actuelle.
Le ministre de la Défense a ajouté que l'armée est "prête à exécuter tout ordre visant à protéger les Serbes au Kosovo et en Serbie" sur ordre de Vucic, en tant que Commandant en chef des Forces armées.
Les tensions se sont intensifiées fin juillet entre les deux pays voisins après l'entrée en vigueur d'une loi annoncée par le gouvernement du Kosovo, avant que celui-ci ne se rétracte et ne reporte son entrée en vigueur d'un mois afin d'apaiser la situation.
La loi exige que tout le monde, y compris les Serbes vivant au Kosovo, ait une carte d'identité délivrée par le pays et remplace les plaques d'immatriculation de la Serbie voisine par des plaques délivrées par le Kosovo.
Cette politique correspond à une politique de longue date imposée par Belgrade aux citoyens kosovars en visite en Serbie.
Le Kosovo, où la majorité de la population est Albanaise, s'est séparé de la Serbie en 1999 et a déclaré son indépendance en 2008, mais Belgrade le considère toujours comme faisant partie de son territoire et soutient sa minorité serbe.
Depuis le 2 mars 2022, l’Union européenne a interdit RT France et Sputnik sur l’internet dominé par Google. Or, fin août, les deux chaînes d’information avaient trouvé refuge sur la plateforme Odysée. Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications — et de la censure —, a demandé à Odysée de les bannir. C’est chose faite.
Emmanuel Macron avait jugé que les très contrôlés YouTube, BFMTV, Facebook & Cie étaient largement suffisants pour informer les Français. Or, tandis que notre information est de plus en plus limitée à des communiqués officiels, des publicités pour Pfizer et des jeux débiles, entre-temps Elon Musk a rouvert des comptes supprimés sur Twitter et viré les dirigeants qui avaient supprimé le compte de Trump après sa défaite aux élections. Un air de liberté anti-démocrate — du nom d’un parti américain fort peu démocrate — qui ne plaît guère à la macronie déjà fragilisée par les révélations de Pfizer sur ses vaccins.
Panique des démocrates à la veille des élections de mi-mandat, obéissance stricte aux ordres de BlackRock (Larry Fink a été un des premiers chefs d’entreprise reçu à l’Élysée en 2017) ont fait prendre une décision ouvertement dictatoriale.
Dans le silence assourdissant de ses médias, la macronie vient, le 1er novembre, de supprimer non pas des sites d’information, mais une plateforme tout entière. Il s’agit de Rumble qui a signé un accord avec Truth Social créé par Trump après son éviction de Twitter et qui intente un procès antitrust à Google. Les élections vont se dérouler aux États-Unis. Or la France n’est pas à la veille d’élections. La guerre est entre la Russie et les États-Unis via l’Ukraine. Or la France n’est pas en guerre. Ah ! si, nous sommes en guerre ! Alors pourquoi pas à une censure anti-trump à présent. Conséquence : si vous voulez voir les vidéos du Média en 4-4-2 ou d’autres que vous aimez bien sur Rumble, vous n’aurez que cet avis :
AVIS AUX UTILISATEURS EN FRANCE
En raison des demandes du gouvernement français de retirer les créateurs de notre plateforme, Rumble est actuellement indisponible en France. Nous contestons ces demandes du gouvernement et espérons rétablir l’accès prochainement.
Après avoir confiné toute la population, masqué les enfants, « soigné » les personnes âgées au Rivotril, retiré leur emploi à des non-vaccinés, supprimé des milliers de lits d’hôpitaux, le gouvernement supprime la liberté d’expression. Nous leur faisons confiance, ils vont trouver d’autres choses à supprimer. Se poser des questions est qualifié de complotisme. Alors, soyons fous et demandons-nous : pour quel objectif toutes ces immondes décisions
Le gouvernement veut inscrire les immigrés menacés d’expulsion au fichier des personnes recherchées, a affirmé mercredi au Monde Gérald Darmanin, détaillant les principales mesures de sa future loi sur l’immigration, qui visera à améliorer ces procédures et faciliter l’insertion des travailleurs étrangers.
Ce nouveau projet de loi, prévu au premier semestre 2022, doit introduire une série de mesures pour rendre les «obligations de quitter le territoire français» (OQTF) plus efficaces, un sujet qui occupe le débat public depuis le meurtre d’une jeune fille de 12 ans, Lola, tuée mi-octobre par une ressortissante algérienne sous le coup d’une OQTF.
«Nous allons désormais inscrire toutes les OQTF au fichier des personnes recherchées, le FPR. Il ne s’agit pas de rétablir le délit de séjour irrégulier mais de pouvoir constater que la personne repart (…) et ainsi de compter tous les départs d’étrangers», a expliqué au quotidien le ministre de l’Intérieur, dont le gouvernement est critiqué, notamment par le Rassemblement national, pour le faible taux d’exécution de ces mesures. «D’abord, il y a près de 50% des OQTF qui font l’objet de recours qui les suspendent», a défendu le ministre, réaffirmant vouloir «fortement simplifier les procédures» en passant «de douze à quatre catégories de recours» possibles.
Interpellé le 23 janvier 2020 à Épinal, Khalil Ed Dahri vient d’être jugé par le tribunal correctionnel de Paris. Reconnu coupable de préparation individuelle à la commission d’un acte de terrorisme, l’homme de 50 ans écope d’une peine de dix ans de prison ferme dont les deux tiers incompressibles, ainsi que d’un suivi socio-judiciaire de cinq ans.
[…]
Avant d’être interpellé le jeudi 23 janvier 2020, Khalil Ed Dahri avait déjà fait parler de lui à de nombreuses reprises. Hormis ses multiples condamnations pour trafic de stupéfiants, il était radicalisé de longue date et appartenait à Forsane Alizza. Difficile d’écrire si le Spinalien était un membre actif de ce groupe salafiste radical. Dissoute en février 2012 par le ministre de l’Intérieur de l’époque, Claude Guéant, la structure était dans le tourbillon médiatique au printemps de cette même année. Plusieurs de ses membres ont été interpellés pour détention d’armes, notamment des kalachnikovs. Ils étaient notamment soupçonnés d’avoir évoqué un « projet » d’enlèvement d’un magistrat lyonnais. Trois ans plus tard, Mohammed Achamlane, le leader de ce groupe islamiste, a été condamné à neuf ans de prison par le tribunal correctionnel de Paris pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste.
[…]
Des engins explosifs ont été découverts jeudi matin dans un immeuble d’Epinal. Le Raid et des démineurs sont intervenus.
Le Parquet national antiterroriste s’est saisi après la découverte d’engins explosifs dans un immeuble d’Epinal dans le département des Vosges, a appris franceinfo de source judiciaire jeudi 23 janvier. Un homme a été interpellé. Une enquête a été ouverte pour association de malfaiteurs terroriste criminelle, détention et fabrication d’engins explosifs en relation avec une entreprise terroriste.
[…]
Le Canada a rehaussé ses seuils d’immigration avec comme objectif d’accueillir 500.000 nouveaux arrivants chaque année d’ici 2025 afin de compenser un manque de main-d’œuvre criant, a annoncé mardi le ministre de l’Immigration.
«Le Canada a besoin de plus de monde», a déclaré Sean Fraser lors d’une conférence de presse. Plus de 900.000 postes sont actuellement à pourvoir dans de nombreux secteurs du pays. Le chômage a également atteint des niveaux historiquement bas au cours des derniers mois, s’établissant à 5,2% en septembre. Afin d’y pallier, Ottawa prévoit donc d’accorder la résidence permanente à 465.000 personnes en 2023 (soit 18 000 de plus que précédemment), 485.000 en 2024 (soit 34.000 de plus) et 500.000 en 2025.
Le gouvernement fédéral compte notamment améliorer ses programmes de sélection pour répondre au mieux «aux pénuries criantes de main-d’œuvre» dans des secteurs «tels que les soins de santé, les emplois spécialisés, le secteur manufacturier et les STEM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques)». D’ici 2025, l’objectif est que plus de 60% des admissions totales soient des migrants économiques, a déclaré Fraser. Le Canada vise également à réunir plus rapidement les familles dont certains membres se trouvent à l’étranger, mais à accueillir un peu moins de réfugiés.
En 2021, le pays a accepté plus de 405.000 immigrants, soit «le plus grand nombre que nous ayons jamais accueilli en une seule année», a souligné le ministère de l’Immigration dans un communiqué. «À l’heure actuelle, la population du Canada croit presque deux fois plus vite que celle de toute autre économie du G7», a ajouté le ministre Sean Fraser. Parmi le groupe des sept grandes puissances, le Canada, qui compte près de 39 millions d’habitants, enregistre la plus grande proportion d’immigrants avec près d’un Canadien sur quatre né à l’étranger. Toutefois, le pays se trouve également à l’aube d’une «vague record» de départs à la retraite, avait averti Statistique Canada au printemps.
Le Figaro
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