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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 19 novembre

 

 

 

 

Tensions en Asie : la Corée du Nord promet de répondre aux "menaces" par des "armes nucléaires", l'ONU va réunir son Conseil de sécurité

Vers une guerre de religion, infos du 19 novembre 2022

Kim Jong-un a déclaré que les menaces des États-Unis ont poussé son pays à "accélérer considérablement le renforcement de sa dissuasion nucléaire".

Le numéro un nord-coréen a assisté vendredi à l'essai du nouveau missile balistique intercontinental nord-coréen, au cours duquel il a appelé au développement de davantage d'armes stratégiques et à la formation d'unités nucléaires tactiques, a indiqué l'agence de presse officielle KCNA.

Kim Jong-un a aussi promis de répondre aux menaces nucléaires des Etats-Unis avec des armes nucléaires. Assistant à l'essai en compagnie de sa fille et de son épouse, Kim Jong-un a déclaré que les menaces des États-Unis et de leurs alliés menant une politique hostile ont poussé son pays à "accélérer considérablement le renforcement de sa dissuasion nucléaire".

Réunion du Conseil de sécurité de l'ONU

"Kim Jong-un a déclaré solennellement que si les ennemis continuent de poser des menaces, (...) notre parti et notre gouvernement réagiront résolument aux armes nucléaires par des armes nucléaires et à la confrontation totale par une confrontation totale", a rapporté l'agence KCNA.

En conséquence, le Conseil de sécurité des Nations unies va discuter de la Corée du Nord lors d'une réunion lundi, peut-on lire sur l'agenda du Conseil de sécurité. Un haut responsable de l'administration américaine a déclaré plus tôt dans la journée que le dernier essai de missile effectué par la Corée du Nord portait sur un "missile de plus longue portée (...) pouvant frapper beaucoup, beaucoup de pays", et a indiqué que le Conseil de sécurité des Nations unies allait se réunir pour en discuter. 

Vendredi, la Corée du Nord a lancé ce qui a été initialement identifié comme un missile balistique intercontinental Hwasong-17, également connu sous le nom de "fusée monstre" capable d'atteindre le continent américain.

L'armée sud-coréenne a rapporté que le missile a parcouru environ 1 000 kilomètres (621 miles) et atteint une altitude de 6 100 kilomètres à une vitesse maximale de Mach 22, soit 22 fois plus rapide que la vitesse du son. Selon des responsables japonais, le missile est tombé à environ 200 kilomètres à l'ouest de l'île d'Oshima à Hokkaido, dans la zone économique exclusive du Japon.

Selon KCNA, le missile balistique intercontinental Hwasong-17 lancé depuis l'aéroport international de Pyongyang, a parcouru jusqu'à une altitude maximale de plus de 6 040 kilomètres (plus de 3 753 miles) et a survolé une distance de plus de 999 kilomètres (plus de 620 miles) en 4 135 secondes avant d'atterrir dans les eaux libres de la mer du Japon.

Spoutnik

LIRE AUSSI: Main dans la main, le regard fixé vers un missile balistique : le leader nord-coréen Kim Jong-un dévoile pour la première fois une image de sa fille

 

LIRE AUSSI: Tension en Asie : un missile balistique intercontinental tombe à 200 km des côtes japonaises, réunion d'urgence de l'Apec

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Lavrov interdit d'entrée en Pologne, Moscou dénonce une attitude « provocatrice et sans précédent »

 

L’ESSENTIEL

  • Moscou a accusé hier l’Ukraine d’avoir commis « un crime de guerre », après la publication sur les réseaux sociaux russes de vidéos présentées comme montrant l’exécution de soldats russes venant de se rendre aux forces ukrainiennes.
  • « Près de la moitié de notre système énergétique a été mis hors d’état de fonctionner » par les frappes russes, alerte le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal. Il a réclamé un « soutien supplémentaire » de l’UE, alors que 10 millions d’Ukrainiens sont dans le noir selon Kiev.
  • La Russie a annoncé hier qu’elle effectuait des travaux de fortification dans la péninsule de Crimée annexée, après le repli de ses soldats dans la région ukrainienne voisine de Kherson face à la contre-offensive de Kiev.

 

 

12h51 : « La décision de la Pologne » de déclarer Lavrov persona non grata « est provocatrice et sans précédent », dénonce Moscou

La Russie a dénoncé samedi une décision « provocatrice » de Varsovie, après le refus de la Pologne d’autoriser l’entrée sur son territoire au ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov pour une réunion ministérielle de l’OSCE. « La décision de la Pologne (…) est provocatrice et sans précédent », a déclaré la diplomatie russe dans un communiqué. « Non seulement Varsovie s’est discréditée de cette manière, mais elle a porté un préjudice irréparable à l’autorité de toute l’Organisation » pour la sécurité et la coopération en Europe, estime le communiqué.

 

 

10h47 : L’adhésion à l’Otan, une « étape naturelle » pour la Finlande après l’invasion russe

La demande d’adhésion de la Finlande à l’Otan était « une étape naturelle » à franchir après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, a affirmé samedi le chef de la diplomatie finlandaise Pekka Haavisto lors d’une conférence sur la sécurité à Manama. Le ministre finlandais a rappelé qu’Helsinki avait déjà annoncé en 2004 que « l’option Otan » serait envisagée en cas de « changement dramatique » sur le plan de la sécurité. « Et qu’est-ce qui pourrait être plus dramatique comme changement que l’attaque par votre voisin d’un pays de 50 millions d’habitants ? », a-t-il ajouté.

 
 

9h48 : L’Otan dénonce un survol « dangereux » par des chasseurs russes de ses navires en mer Baltique

Deux avions de chasse russes « ont approché dangereusement et de façon non-professionnelle » en début de semaine des navires de l’Otan qui croisaient en mer Baltique pour une opération de routine, a affirmé vendredi l’Alliance atlantique. L’incident s’est produit mardi matin lorsque les deux appareils russes se sont approchés de ces navires jusqu’à « une altitude de 300 pieds (91 mètres) et une distance de 80 yards (73 mètres) » sans que leurs pilotes ne répondent aux communications, a indiqué le commandement naval de l’Otan.

« L’Otan a jugé l’interaction dangereuse et non professionnelle car elle a été menée dans une zone de danger connue, qui a été activée pour l’entraînement à la défense aérienne, et en raison de l’altitude et de la proximité des avions », selon un communiqué. « L’interaction a augmenté le risque d’erreurs de calcul, d’erreurs et d’accidents. » Le communiqué indique que les forces de l’Otan ont « agi de manière responsable » face à cet incident, conformément à la réglementation maritime.

 

08h46 : Londres accuse l’Iran de « répandre le sang » en Ukraine et au Moyen-Orient

Le ministre britannique des Affaires étrangères, James Cleverly, a accusé samedi l’Iran de « répandre le sang » du Moyen-Orient à l’Ukraine, promettant de collaborer avec ses partenaires pour « contrer la menace iranienne », après la fourniture de drones par Téhéran à la Russie. Accusé par Kiev et ses soutiens occidentaux, l’Iran a admis avoir fourni des drones à la Russie, tout en assurant les avoir livrés avant l’invasion de l’Ukraine par Moscou en février.

« Alors que leur peuple manifeste contre des décennies d’oppression, les dirigeants iraniens répandent le sang et la destruction dans toute la région, et jusqu’à Kiev », a déclaré James Cleverly, en référence à la répression des manifestations anti-régime dans la République islamique. « Les armes iraniennes menacent l’ensemble de la région. Aujourd’hui, le programme nucléaire iranien est plus avancé que jamais, et le régime vend à la Russie des drones armés qui tuent des civils en Ukraine », a déclaré le chef de la diplomatie britannique, lors d’une conférence annuelle sur la sécurité à Bahreïn.

DIRECT

 

LIRE AUSSI: L’Ukraine aurait exécuté 10 prisonniers de guerre russes selon Moscou

 

 

Moscou accuse l’UE de provoquer une escalade en Ukraine

 

Le 17 nov  2022

En lançant sa mission d'assistance militaire à l'Ukraine, l'UE contribue à une escalade du conflit, a estimé la porte-parole de la diplomatie russe. Pour elle, cette initiative va à l’encontre des déclarations occidentales quant à l'engagement en faveur d'un règlement pacifique de la situation.

Ce jeudi, le Conseil européen a lancé sa mission d'assistance militaire en soutien à l'Ukraine (EUMAM) dont l’objectif est de renforcer les capacités de ses forces armées. Pour la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Maria Zakharova, ce geste n’est qu’"un investissement dans la poursuite des hostilités".

Vers une guerre de religion, infos du 19 novembre 2022

"Il est évident que l'UE provoque une escalade du conflit en Ukraine. C’est une nouvelle étape qui contredit ouvertement les déclarations que nous entendons à différents niveaux sur l'engagement en faveur du dialogue et d'un règlement politique en Ukraine", a déclaré Mme Zakharova dans un communiqué.

Un fardeau supplémentaire

Selon elle, les coûts de cette mission de plusieurs millions d'euros feront peser un fardeau supplémentaire sur la population de l'Union européenne.

L’initiative permettra d'entraîne les combattants qui continueront à bombarder des villes paisibles", tuant des civils avec des armes européennes et américaines, a ajouté la diplomate russe.

"L'UE reste sourde aux appels de la société civile européenne à stopper les livraisons d'armes, à cesser d’attiser activement le conflit et à prêter attention aux problèmes internes et aux besoins des citoyens européens", a conclu Mme Zakharova.

 

 

Les sanctions de l'UE, sont «un pas vers la guerre» pour Orban

Vers une guerre de religion, infos du 19 novembre 2022

Le 17 nov 2022

Le premier ministre hongrois Viktor Orban a qualifié vendredi les sanctions de l'UE contre la Russie de «pas vers la guerre», intensifiant ses critiques contre une stratégie bruxelloise jugée «dangereuse». «Quiconque intervient économiquement dans un conflit militaire prend position», a déclaré le dirigeant nationaliste lors de sa traditionnelle interview à une radio proche du pouvoir.

«Petit à petit, nous glissons vers la guerre», a-t-il insisté, s'inquiétant de l'accumulation de mesures prises pour sanctionner l'offensive russe en Ukraine. Viktor Orban dénonce régulièrement les sanctions européennes, même s'il les a votées aux côtés de ses partenaires, les blâmant pour les déboires économiques de ce pays d'Europe centrale.

L'économie s'est contractée au troisième trimestre (en comparaison du deuxième) et l'inflation dépasse les 20%, atteignant même 45% dans l'alimentation. Le gouvernement a lancé une «consultation nationale» sur le sujet et placardé dans le pays des affiches avec un message flanqué d'une photo de missile: «Les sanctions de Bruxelles nous ruinent».

Le premier ministre s'est dit prêt à «combattre» un éventuel nouveau paquet de sanctions et à faire en sorte que la Hongrie, très dépendante des hydrocarbures russes, en soit «exemptée», comme c'est le cas pour l'embargo sur le pétrole.

«Maintenant nous fournissons des armes destructrices, nous entraînons des soldats ukrainiens sur notre propre territoire, nous imposons des sanctions sur l'énergie.(...) Nous devenons partie intégrante» du conflit, a insisté M. Orban. «On ne nous tire pas encore dessus, mais nous sommes sur le point de devenir un belligérant. L'Europe se livre à un jeu très dangereux», a-t-il conclu.

Source

 

 

Les fausses infos sur l’Ukraine risquent de déclencher une guerre mondiale, insiste Ségolène Royal

 

L’ex-candidate du Parti socialiste à la présidentielle française Ségolène Royal a appelé à la prudence face à la diffusion de fausses informations sur la crise ukrainienne.

Les informations non vérifiées sur la chute meurtrière de missiles en Pologne ont « failli déclencher une guerre mondiale », estime l’ex-ministre française de l’Environnement Ségolène Royal. Elle appelle ainsi à plus de prudence en la matière dans le contexte des hostilités entre forces russes et ukrainiennes.*

« L’Ukraine annonce des centaines de frappes tous les jours. Qui a vérifié ces informations? Après les fausses informations sur la Pologne qui ont failli déclencher une guerre mondiale, seule une information indépendante doit être relayée. Une mission de médiation, vite Paix », a-t-elle tweeté.

La veille, Mme Royal avait appelé à imposer des sanctions à l’encontre de ceux qui avaient diffusé notamment de fausses infos sur la chute meurtrière de fragments de missile en Pologne.

Source

 

Note: Une vidéo qui date de 2 jours , mais je la poste parce qu'elle reste une très bonne analyse de la situation (apparemment seul les personnes de "l’extrême" droite sont lucide aussi bien sur les dangers de l'immigration que sur la guerre en Ukraine) 

 

UKRAINE QUI TIRE LES FICELLES DE LA MARIONETTE ZELENSKY ?

 

Missiles hypersoniques : le vrai DANGER - On Se l'Demande #30 - Le Journal de l'Espace

 

 

Ocean Viking: l'extrême droite fustige l'exécutif après la fugue de 26 migrants mineurs

 

Le 18 nov 2022

L'extrême droite estime que "le gouvernement ne contrôle plus rien", alors que 26 migrants arrivés à Toulon depuis l'Ocean Viking vendredi ont fugué. Pour autant, la législation n'autorise pas à retenir ces derniers contre leur gré.
 

"Ce gouvernement couvre notre pays de ridicule". L'extrême droite fustige la politique de l'exécutif après que 26 des 44 migrants mineurs débarqués du navire Ocean Viking à Toulon le 11 novembre ont décidé de fuguer de l'hôtel où ils étaient pris en charge. Elle dénonce ainsi un prétendu laxisme du gouvernement en matière migratoire.

Marine Le Pen estime qu'"Emmanuel Macron et Gérald Darmanin ont leur 'affaire Leonarda'", du nom d'une immigrée rom et mineure dont l'expulsion en pleine sortie scolaire avait créé la polémique en 2013. Plus largement, la cheffe de file des députés du Rassemblement national juge que l'exécutif est "humilié" et que la situation est "hors contrôle".

 

"Le gouvernement est complètement impuissant"

Même son de cloche chez la nièce de la députée du Pas-de-Calais, partie à Reconquête lors de la dernière présidentielle. Ainsi, selon Marion Maréchal, "Gérald Darmanin "ne contrôle absolument rien et ridiculise notre pays". Quant à son supérieur dans le parti, Éric Zemmour, il a formulé une question puis une réponse dans le même tweet: "Rire ou pleurer? À chaque fois, je me demande si nous pouvons tomber plus bas. La réponse est invariablement oui".

L'affaire fait très largement réagir à l'extrême droite. Nicolas Dupont-Aignan s'est lui-aussi emparé du sujet. Interrogé par BFMTV, le président de Debout la France juge que "le gouvernement a menti", car "il a dit 'on secours les migrants mais vous allez voir on va être très fermes [...] et en fait, il est complètement débordé, impuissant".

"On ne peut pas s'y opposer"

Reste que la législation en vigueur ne peut empêcher la fuite de ces migrants mineurs.

"La convention internationale relative aux droits de l’enfant qui a été ratifiée par la France en 1990 exige que tout mineur soit protégé par l’administration qui dans ses décisions doit prendre en compte l’intérêt supérieur de l’enfance, explique notre éditorialiste Matthieu Croissandeau sur BFMTV.

Et de poursuivre: "C'est pourquoi aucun mineur ne peut faire l’objet d'une mesure d’éloignement, c’est-à-dire être expulsé". Ainsi, Jean-Louis Masson, président des Républicains (LR) du Var, souligne sur BFMTV qu'aucun "manquement" de la collectivité n'est à déplorer dans cette affaire.

"On ne peut pas s'y opposer (à leur départ), et malheureusement pour eux, ils sont mis dans des situations qui peuvent être dangereuses mais après, on ne peut pas les retenir de force", insiste-t-il.

Néanmoins, "on voit resurgir assez régulièrement ces polémiques sur les mineurs non accompagnés avec notamment un reproche qui tient à la difficulté à établir avec certitude leur âge", explique Matthieu Croissandeau. Sont-ils mineurs, et donc sous le coup d'une législation particulière, ou non? Ainsi, Laure Lavalette, députée RN du Var, a ironisé en évoquant des "mineurs qui le sont autant que moi je suis archevêque".

Source

 

 

Un journaliste stupéfait après avoir assisté à une journée entière d’audience de la Cour nationale du droit d’asile : Pas une seul cas ne relevait du droit d’asile. Un assesseur lui a même confié qu’en deux ans, il n’a pas vu un seul réfugié politique.

La Cour nationale du droit d’asile est la juridiction française qui traite le plus de dossiers en France. Rien qu’en 2021, les magistrats se sont penchés sur 70.000 dossiers de demandeurs d’asile, soit 48% de plus qu’en 2020. Europe 1 a pu assister à une journée d’audiences et chose frappante, la plupart des demandeurs ne relèvent pas du droit d’asile.

Europe 1

 

 

Le projet de finance pour 2023 prévoit d’allouer 706 millions d’euros pour l’allocation pour demandeur d’asile, le budget était de 579 millions d’euros en 2022

Le projet de finance pour 2023 prévoit d’allouer 706 millions d’euros pour l’allocation pour demandeur d’asile (ADA). La Dépêche s’interroge : «  VRAI OU FAUX. Existe-t-il vraiment une carte bleue délivrée aux migrants pour leurs dépenses ? »

Projet de loi de finances pour 2023 : Immigration, asile et intégration (Sénat)

La protection temporaire ouvre notamment le droit au versement de l’ADA, à un hébergement et à un accompagnement social. Le coût estimé total pour l’année 2022 est de 579 M€. pour ce qui est de la mission « Immigration, Asile et Intégration ». Pour l’année 2022, le financement a reposé principalement sur un abondement de 300 M€ via le décret d’avance du 7 avril, et sur des économies réalisées en gestion. Le coût prévisionnel pour 2023 est estimé à 706,3 M€ par le ministère de l’intérieur. Ce dernier a néanmoins fait le choix de ne pas inscrire ces crédits au PLF (Projet de loi de fiance) en raison des incertitudes sur l’évolution du conflit en Ukraine et de la difficulté à établir une prévision sincère qui en résulte.

Au total, 1,47 Mds€ en AE et 839 M€ en CP sont demandés au titre de l’action n° 2 du programme 303 pour le financement du parc d’hébergement en 2023 (contre respectivement 826 M€ et 741 M€ l’année précédente) et le parc devrait atteindre 108 800 places en fin d’année. Cette forte augmentation s’explique à la fois par la revalorisation salariale des intervenants sociaux dans les dispositifs et par la prise en compte des coûts supplémentaires liés à l’inflation. [..]

Existe-t-il une carte bleue réservée aux migrants délivrée par l’Etat ? La Dépêche fait le point sur un dispositif spécifique et encadré.

Au cours des derniers jours, plusieurs posts sur les réseaux sociaux se sont indignés de l’existence d’une carte bleue spéciale pour les migrants, leur permettant de retirer des sommes importantes tous les jours au frais du contribuable. Ce dispositif concerne en fait les demandeurs d’asile et est soumis à plusieurs conditions.

Selon un rapport du projet de loi finances 2021, 141 331 personnes bénéficiaient de l’ADA en août 2020, dont 47 % d’entre elles perçoivent un montant additionnel si elles n’ont pas accès gratuitement à un hébergement ou un logement. 459 millions d’euros devaient être alloués à cette mesure dans le projet de loi finances 2021.

L’Allocation pour les demandeurs d’asile, ou ADA, a été créée en 2016. Elle est seulement disponible pour les demandeurs d’asile remplissant plusieurs conditions selon le site service public : avoir accepté les conditions matérielles d’accueil proposées par l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), avoir plus de 18 ans, posséder l’attestation de demandeurs d’asile, avoir des revenus inférieurs au RSA.

Ce dispositif existe en raison d’une règle concernant les demandeurs d’asile leur interdisant de travailler dans les six mois qui suivent leur arrivée. L’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) statue en théorie sur la demande d’asile pendant ce délai.

Une carte de paiement est donc bien délivrée aux demandeurs d’asile mais il est impossible de retirer de l’argent avec ou de payer et transférer de l’argent en ligne. Seul le paiement en magasin est possible. Le revenu alloué est par ailleurs calqué sur la situation familiale. Selon l’AFP, pour atteindre la barre des 40 euros par jour, il faudrait cumuler 9 enfants et ne pas posséder de logement. Une personne seule bénéficie de 6,80 euros + 7,40 euros en cas de non-accès à un logement gratuit.

Le montant moyen par mois est actuellement de 380 euros selon l’OFII, soit 12,25 euros par jour : un montant légèrement inférieur à un foyer de 3 personnes, ou une personne qui bénéficie de l’aide supplémentaire.

Le montant cesse d’être versé après la décision définitive sur la demande d’asile, ou lorsque la personne bénéficiaire quitte la France. Il est également supprimé dans plusieurs situations : en cas de refus d’une proposition d’hébergement, un refus de donner les documents demandés ou une dissimulation de ressources.

La Dépêche

 

Besançon (25) : Polémique autour des nouvelles couleurs de la statue de Victor Hugo voulues par la mairie EELV

La statue de Victor Hugo sur l’esplanade de la mairie de Besançon, œuvre d’Ousmane Sow, a été restaurée. La veuve du grand sculpteur proteste contre ce « visage noir » que n’aurait jamais voulu l’artiste.

Victor Hugo a pris un sacré coup de soleil. La belle statue de l’écrivain né à Besançon va bientôt fêter ses vingt ans de présence sur l’esplanade des droits de l’homme face à l’Hôtel de ville.

Pour l’occasion et face à une usure certaine de la patine, la Ville a décidé de faire opérer une restauration de l’œuvre signée du grand sculpteur sénégalais, aujourd’hui disparu, Ousmane Sow. C’est la prestigieuse fonderie de Coubertin en banlieue parisienne, celle qui avait fondu, à l’origine la statue d’Hugo, qui a été sollicitée pour assurer cette nouvelle patine.

www.estrepublicain.fr

 

 

États-Unis : Un procureur spécialisé dans les crimes de guerre pour superviser les enquêtes sur Donald Trump

 

Le procureur général des États-Unis, Merrick Garland (démocrate) , a annoncé vendredi avoir nommé Jack Smith, actuellement procureur spécialisé dans les crimes de guerre, procureur spécial pour superviser les investigations visant l'ancien président Donald Trump.

Jack Smith supervisera à la fois l'enquête sur la gestion par Donald Trump de documents confidentiels du gouvernement et celle sur les tentatives d'entrave au transfert pacifique du pouvoir lors de l'élection présidentielle de 2020, a indiqué Merrick Garland, le procureur général des Etats-Unis. Cette nomination survient trois jours après que Donald Trump a annoncé sa candidature à l'élection présidentielle de 2024.

Merrick Garland a expliqué que cette candidature de Donald Trump et l'intention prêtée à Joe Biden de briguer un second mandat rendaient nécessaire la nomination d'un procureur spécial. "Nommer un conseiller spécial à ce moment est la bonne chose à faire", a déclaré Merrick Garland lors d'une conférence de presse.

Enquêtes sensibles

Il s'agit ainsi du troisième procureur spécial nommé par le département de la Justice depuis 2017 pour superviser des enquêtes politiquement sensibles. Ces procureurs spéciaux bénéficient d'un niveau élevé d'indépendance pour éviter tout conflit d'intérêts.

L'ancien patron du FBI, Robert Mueller, a été nommé procureur spécial en 2017 pour superviser les enquêtes sur la campagne présidentielle de Donald Trump en 2016 et les liens de l'ex-président avec la Russie. En 2019, John Durham a quant à lui été nommé pour enquêter sur les origines de l'enquête du FBI sur la campagne de Trump en 2016.

Actuellement procureur auprès du tribunal spécial pour le Kosovo à La Haye, Jack Smith a promis d'agir en "toute indépendance". "Je compte exercer un jugement indépendant et ferai avancer les enquêtes de façon rapide et minutieuse quelles que soient les conclusions qui découleront des faits et de la loi", a réagi Jack Smith dans un communiqué. Une source a indiqué que la Maison blanche n'avait été impliquée dans la décision de nommer un procureur spécial.

 

Source

 

 

Après avoir été clashé par Cyril Hanouna, le député LFI Louis Boyard demande l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire contre Bolloré et Hanouna (MàJ : Hanouna se paye la tête de Mélenchon)

19/11/22

 

Note: personnellement je n'ai jamais appréciais Hanouna et son équipe de bras cassé (plutôt a gauche). Mais il faut le dire, en vérité Hanouna adore Mélenchon, ils s'aiment beaucoup, enfin ils s’aimait beaucoup 

 

 

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