Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
troisiemeguerremondiale.net

troisiemeguerremondiale.net

Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

___________________________________

Les Infos du 9 octobre 2022

 

 

Guerre en Ukraine : Spada Aspide, quelle est cette arme que des militaires ukrainiens apprennent à utiliser en Espagne depuis trois semaines ?

 

Depuis trois semaines, 19 militaires ukrainiens sont accueillis à Saragosse dans un objectif de formation. D'autres devraient suivre dès le mois prochain.

  • Les Ukrainiens formés en Espagne, apprennent à utiliser les missiles Spada Aspide.
    Les Ukrainiens formés en Espagne, apprennent à utiliser les missiles Spada Aspide. MAXPPP

L'Espagne a toujours clamé haut et fort son soutien au président ukrainien Volodymyr Zelensky et ses hommes, qui font face à l'invasion russe depuis le 24 février dernier. Depuis trois semaines, 19 militaires ukrainiens sont ainsi accueillis en formation du côté de Saragosse. Et pendant une semaine encore, les militaires actuellement en Aragon vont apprendre à utiliser une arme bien précise connue sous le nom de Spada Aspide ou encore Skyguard Aspide.

A lire aussi : Guerre en Ukraine : Des militaires ukrainiens formés en Espagne

Alignement possible "en quelques minutes"

Cette arme, développée en coopération par la Suisse et l'Italie, est un missile surface-air, également appelé missile antiaérien

Le Spada Aspide "est un système de missile à courte portée contre la menace aérienne à basse altitude", détaille le ministère italien de la Défense"Il est composé d'un axe de conduite de tir et de deux lanceurs appelés U2. Le système a une grande mobilité tactique et pour cette raison son alignement est possible en quelques minutes". Il y a plus de dix ans déjà, le fabricant MBDA présentait ses missiles dans le clip ci-dessous. 

"L'objectif principal n'est pas qu'ils deviennent des experts du matériel, mais qu'ils soient capables de l'exploiter", a expliqué le chef de l'Escadron de soutien au déploiement aérien (EADA), le colonel Carlos Forcano.

Dès le 1er novembre, l'Espagne doit encore accueillir d'autres militaires ukrainiens, toujours afin de les former. 

 

Note: ces nouveaux engins de guerre pour l'Ukraine sont encore un  pat qui nous raproche vers un conflit assuré

Je voudrais attirer votre attention sur les  prophesies de la voyante bulgare Baba Vanga que j'ai publié en  2012.

"Pendant le règne d'un président noir Américain il y aurait une crise économique et va commencer une troisième guerre mondiale. La guerre démarrera d’abord de façon conventionnelle , puis deviendra mondiale , elle rajoute que le président noir sera le dernier président Américain et après il aura plus que des États ».
Vanga parle aussi d’un « miracle des miracles » pour le monde entier à cette période "

Vrai ou faux, cette prophesie est interessente, parce qu'elle parle d'un conflit qui commencera lorsqu'un président américain sera noir. Et la guerre en Ukraine a bien commencé en 2014 lorsque Obama était président des USA (et Joe Biden son vice président). Je pense que cette prophesie est toujours d'actualité , mm si Baba Banga a fait quelque erreur puisque Obama n'est plus président depuis longtemps, mais malgré cela le conflit en Ukraine continue et va obligatoirement s'etendre, jusqu'à devenir mondiale, et nucléaire

Dans les deux précédentes guerres mondiales, jamais les USA n'ont été touché sur leur propre sol (Pearl Harbor est au milieu du Pacifique). Mais je sais que cette guerre va cette foit etre très destructive pour les villes américaines, un quatrain de Nostradamus me le fait pensé.

Et nous sommes à l'époque des missiles intercontinentaux,  les Américains vont devoir affronter des adversaires (Russie, Chine, Corée du nord, Iran) très déterminé a leur causer des pertes, ils subiront des pertes bien pire que l'Europe. C'est pour cela qu'après ce conflit les États-Unis ne seront plus unis, comme le dit cette prophesie

Pour ce qui est du « miracle des miracles » Nostradamus le prédit aussi, mais il faut d'abord que mes interprétations fassent leurs preuves, pour que je me confie

 

 

 

 

Munitions pour l'Ukraine: l'armée américaine parvient à ses limites

Vers une guerre de religion, infos du 9 octobre 2022

L'armée américaine ne pourra bientôt plus fournir à l'Ukraine les équipements de pointe qu'elle lui a donnés jusqu'ici, ses réserves arrivant à leurs limites notamment en termes de munitions, selon les responsables et des experts américains.

Les Etats-Unis sont de loin les premiers donateurs d'armement à l'Ukraine depuis l'invasion du pays par la Russie le 24 février, avec plus de 16,8 milliards d'assistance militaire à Kiev.

Mais les stocks américains de certains équipements "atteignent les niveaux minimums nécessaires à la planification et la formation", et le réapprovisionnement des stocks à leur niveau pré-invasion pourrait prendre "plusieurs années", selon Mark Cancian, du Center for strategic and international studies (CSIS).

Des équipements plus anciens sont disponibles et "ils représenteront une part de plus en plus importante des transferts" à l'avenir, ajoutait dans une note récente cet ancien colonel du corps des Marines qui fut responsable des achats d'armement du Pentagone de 2008 à 2015.

 

"Nous sommes en train de tirer des leçons" sur les besoins en munitions de l'armée américaine dans un conflit entre grandes puissances, qui sont "bien supérieurs" aux prévisions, a reconnu un militaire américain sous le couvert de l'anonymat.

L'industrie américaine de défense, qui a été forcée de réduire sa production de façon drastique dans les années 1990, lorsque les Etats-Unis ont voulu récolter les bénéfices de la paix après l'effondrement de l'URSS, s'est ultra-concentrée pour amortir le choc.

Le nombre de groupes de défense et de construction aéronautique est passé de 51 à 5 en quelques années.

 

Aujourd'hui, le gouvernement américain doit convaincre l'industrie de rouvrir des chaînes de montage et de relancer des productions qui avaient été abandonnées, comme celle des missiles antiaériens Stinger, dont la production a cessé en 2020.

Certains de ces équipements sont devenus emblématiques de la guerre en Ukraine, comme le Javelin, l'arme antichar largement utilisée par les forces ukrainiennes au début du conflit pour faire reculer une colonne de chars russes qui tentait d'entrer dans Kiev, ou encore le Himars, lance-roquettes monté sur des blindés légers, qui joue un rôle important dans les contre-offensives ukrainiennes dans l'est et le sud du pays.

"Proche de la limite"

Les stocks américains de munitions nécessaires aux Himars, des roquettes guidées par GPS dites GMLERS, d'une portée de plus de 80 km, sont toutefois limités, selon M. Cancian.

 

"Si les Etats-Unis ont livré à l'Ukraine un tiers de leur inventaire de GMLERS, comme ils l'ont fait pour les Javelin et les Stinger, l'Ukraine en a reçu entre 8.000 et 10.000", un nombre suffisant pour "quelques mois", explique l'expert du CSIS.

Or Lockheed Martin ne produit actuellement que 5.000 de ces roquettes de haute précision par an, et même si le gouvernement américain a débloqué des fonds pour accélérer cette production, les Etats-Unis mettront plusieurs années à reconstituer leurs stocks, ajoute-t-il.

Washington a livré à Kiev quelque 8.500 missiles pour Javelin, mais la production annuelle de cet armement symbole de la résistance ukrainienne n'est que de 1.000 missiles.

Les Etats-Unis en ont commandé en mai pour 350 millions de dollars à la société commune entre Raytheon et Lockheed Martin qui les fabrique, mais là encore, il faudra plusieurs années avant que les stocks américains soient reconstitués.

L'armée américaine a fourni 880.000 obus de calibre 155 à Kiev, soit les trois quarts de ces munitions aux standards de l'Otan livrées à l'Ukraine par l'ensemble des pays occidentaux, selon les chiffres du Pentagone.

"C'est probablement proche de la limite de ce que les Etats-Unis sont prêts à donner sans risque pour leurs propres capacités de défense", selon M. Cancian. Mais de nombreux pays fabriquent ces munitions dans le monde et il est peu probable que les livraisons à l'Ukraine s'interrompent, ajoute-t-il.

La production industrielle de défense américaine "s'accélère", a assuré mardi la responsable chargée de la Russie au sein du ministère américain de la Défense, Laura Cooper, assurant que les Etats-Unis continueraient à fournir une assistance à l'Ukraine "aussi longtemps que nécessaire".

Source Le Point

 

Note; la plupart des pays de l'Otan entament sérieusement  leurs stocks d'arme pour l'Ukaine, et lorsque le vrai conflit contre les pays musulmans va arriver, il ne leur restera plus grand-chose, ce qui ouvrera la voie de l'Europe aux conquérants musulmans

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Vladimir Poutine réunira son Conseil de sécurité lundi...

 

L’ESSENTIEL

  • Le pont de Crimée, infrastructure clé et symbolique reliant la Russie à la péninsule annexée en 2014 au détriment de l’Ukraine, a été partiellement détruit samedi par une énorme explosion attribuée par Moscou à un camion piégé. L’attaque a fait trois morts.
  • Le conseiller de la présidence ukrainienne Mykhaïlo Podoliak a pour sa part renvoyé vers une « piste russe », avançant que l’explosion était le résultat d’une lutte interne entre le FSB (services spéciaux russes) et les militaires russes.
  • Selon un dernier bilan de Kiev, au moins dix-sept personnes sont mortes jeudi lors de bombardements dans la ville de Zaporojie, frappée au petit matin par sept missiles.

 

15h12 : Six bataillons biélorusses près de la frontière avec l'Ukraine

Le renseignement ukrainien indique que six bataillons biélorusses seraient stationnés près de la frontière avec l'Ukraine et que « Poutine essaie de convaincre Loukachenko » d'entrer directement en guerre.

 

 

14h43 : Vladimir Poutine réunira son Conseil de sécurité lundi

Le président russe Vladimir Poutine réunira lundi son Conseil de sécurité, un format rassemblant les principaux ministres, responsables politiques et représentants des services de sécurité et de l'armée, a annoncé dimanche le Kremlin aux agences russes.

« Une réunion du président avec les membres permanents du Conseil de sécurité est prévue demain », a indiqué le porte-parole de Poutine, Dmitri Peskov. Si le président russe tient régulièrement de telles rencontres, celle-ci interviendra deux jours après l'explosion ayant endommagé le pont de Crimée, une infrastructure clé.

 

13h35 : « La Russie est prête à participer à la résolution des problèmes alimentaires mondiaux et à aider les pays les plus pauvres »

Vladimir Poutine s'est exprimé à l'occasion de la Journée des travailleurs de l'agriculture et des industries de transformation, comme le rapporte l'agence russe TASS : « Nous développons notre potentiel d'exportation et - je tiens à le souligner - nous sommes prêts à apporter notre contribution à la résolution des problèmes alimentaires mondiaux et à fournir l'aide nécessaire aux nations les plus pauvres et en développement. »

« Le travail sous une pression de sanctions sans précédent pose de nouveaux défis au secteur agricole », a-t-il déclaré. « Nous allons les relever conjointement, avec le soutien de l'État, en utilisant les restrictions imposées pour notre propre développement. »

 

 

11h15 : Des plongeurs russes examinent le pont de Crimée après l'explosion

Des plongeurs russes devaient examiner ce dimanche le pont de Crimée, infrastructure clé reliant la Russie à cette péninsule annexée, endommagé la veille par une puissante explosion que les autorités ont attribué à un camion piégé.

« Nous avons ordonné un examen par nos plongeurs. Ils vont commencer à travailler à six heures du matin », a annoncé samedi soir le vice-Premier ministre russe Marat Khousnoulline. Selon lui, les « premiers résultats » de cet examen sous-marin sont à attendre dès dimanche.

Le dirigeant de la Crimée Sergueï Aksionov a appelé dimanche les habitants de la péninsule à rester « calmes » et assuré que la situation était « sous contrôle ».

 

11h06 : Jusqu'à 15.000 Ukrainiens devraient s'entraîner militairement en Allemagne ou en Pologne cet hiver

 

 

10h47 : Le ministre de la Défense slovaque envoie des véhicules militaires à l'Ukraine, et un message à Vladimir Poutine : « Pour marquer son 70e anniversaire, nous avons livré un autre cadeau à l'agresseur Poutine"

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 9 octobre 2022

 

08h37 : Réouverture du pont de Crimée

Le pont de Crimée, infrastructure clé et symbolique reliant la Russie à la péninsule annexée en 2014 au détriment de l’Ukraine, a rouvert à la circulation routière et ferroviaire après avoir été partiellement détruit samedi par une énorme explosion attribuée par Moscou à un camion piégé.

« Le trafic ferroviaire sur le pont de Crimée a été totalement rétabli », a affirmé le vice-Premier ministre russe Marat Khousnoulline, sans précision horaire. « Tous les trains programmés vont passer en totalité », a-t-il ajouté. Cette reprise concerne aussi bien « les trains de passagers que de marchandises ».

Les autorités de Crimée avaient annoncé dans l’après-midi que la circulation avait repris pour les voitures et les bus sur la seule voie routière du pont restée intacte. Ce qu’a confirmé Marat Khousnoulline, précisant que la seconde voie serait de nouveau opérationnelle « dans un proche avenir » et que les conclusions des observations menées samedi sur les parties endommagées seraient connues ce dimanche. Des ferries vont prendre le relais, notamment pour la traversée des poids lourds. « Nous ne prévoyons pas de pénurie », a relevé le vice-Premier ministre.

DIRECT

 

 

 

 

 

Observateurs : L'attaque d'un pont de Crimée amène la crise ukrainienne à une nouvelle phase où l'infrastructure est un jeu équitable

 

Le 8 oct 2022

Le pont de 19 km reliant la Crimée à la région de Krasnodar via la mer d'Azov a été frappé samedi par une explosion massive, coupant tout trafic routier et ferroviaire. Un conseiller principal du président ukrainien s'est immédiatement vanté que l'attaque n'était que "le début", Moscou qualifiant ces commentaires de preuve de la "nature terroriste" des autorités ukrainiennes.

L'attaque extraordinaire contre le pont de Crimée porte la crise sécuritaire sur l'Ukraine à un nouveau niveau dangereux, les deux parties étant susceptibles d'étendre les attaques contre les infrastructures civiles, ont déclaré des observateurs politiques, des journalistes et des universitaires à Sputnik.

Trace américaine

« L'attaque de l'Ukraine contre le pont de Crimée a sans aucun doute eu lieu après avoir obtenu le feu vert des États-Unis et utilisé des armes américaines. La partie américaine a l'intention d'augmenter encore le degré d'escalade du conflit et des hostilités militaires », a déclaré le journaliste iranien et expert russe Ruhollah Modaber.

Modaber souligne que l'attaque du pont a eu lieu moins de deux jours après que le président Volodymyr Zelensky a appelé l'Occident à mener une attaque "préemptive", éventuellement nucléaire, contre la Russie, et peu après la "reconnaissance" par Kiev des îles Kouriles russes comme "occupées". « Territoires japonais.

Vers une guerre de religion, infos du 9 octobre 2022

« Tout cela montre que le scénario élaboré pour Zelensky par la Maison Blanche est entré dans une nouvelle phase dangereuse, et le gouvernement russe réagira sans aucun doute comme bon lui semble. Mais il ne fait aucun doute que l'Ukraine aujourd'hui, conformément au plan américain, sert de tremplin pour étendre la zone des frappes à grande échelle contre la Russie, et il est même impossible de prédire où les frappes ukrainiennes pourraient avoir lieu ensuite », a déclaré le dit l'observateur.

L'analyste politique et ancien député européen Nick Griffin convient qu'il n'est pas question d'une implication américaine dans l'attaque du pont, mais estime qu'il y a des distinctions importantes à faire entre cette attaque et le sabotage des pipelines Nord Stream le mois dernier, par exemple.

"Premièrement, frapper le pont était un acte de guerre contre la Russie, alors que la cible du sabotage du pipeline était principalement l'Allemagne. Deuxièmement, la bombe suicide de style ISIS* sur le pont était un type de violence très différent de l'opération navale hautement sophistiquée au niveau de l'État dans la Baltique », a déclaré Griffin. "Bien sûr, l'attaque du pont n'aurait pas été menée sans l'approbation de la CIA, mais alors qu'ils font partie de la même guerre, il est difficile de voir un lien direct."

Les deux actions visaient l'opinion publique, affirme Griffin, avec la bombe du pont de Crimée destinée à irriter les Russes et à pousser Moscou "à des représailles qui peuvent être utilisées comme une nouvelle propagande pour une intervention accrue" de l'Occident, tandis que le sabotage de Nord Stream était censé priver les Allemands de la capacité de faire pression sur leur gouvernement pour qu'il rouvre les robinets de gaz à temps pour empêcher la base industrielle du pays de se désintégrer.

Escalade garantie

Griffin pense que l'attaque contre le pont de Crimée permettra à Moscou de cibler "plus facilement" les infrastructures ukrainiennes - ce que l'armée russe a jusqu'à présent généralement évité de faire dans le but de limiter les pertes civiles et les dommages économiques. "Le public occidental verrait une telle décision comme des représailles compréhensibles", dit-il.

"Cela contraste avec, par exemple, une frappe sur une base de l'OTAN dans l'est de la Pologne, qui serait très "satisfaisante", mais mal jugée, une sorte de réponse que le régime de Zelensky et ses conseillers de l'État profond américains espèrent sûrement voir", suggère l'observateur.

Ma Youjun, expert principal au Centre de recherche sur la coopération stratégique globale sino-russe de l'Université du Heilongjiang à Harbin, en Chine, convient que l'attaque contre le pont va probablement aggraver la crise.

« Au cours des six derniers mois, l'accent a été mis sur les opérations de combat observables. À l'avenir, la situation sera très probablement plus une guerre avec un accent sur des aspects tels que la logistique, les infrastructures, etc. Cela s'est déjà manifesté dans les explosions visant les gazoducs Nord Stream 1 et 2, et [maintenant] le pont de Crimée. De toute évidence, des attaques contre les gares ferroviaires, les gares routières, les voies ferrées et les routes sont possibles à l'avenir. Une guerre est menée pour détruire l'ennemi, et le but ne se limite pas à détruire sa puissance de combat physique », craint Ma.

Le chercheur soutient qu'à mesure que l'aide occidentale à Kiev continue d'augmenter, "son image en tant que participant indirect à leur guerre devient plus distincte... De plus, le rejet public par Zelensky des négociations avec la Russie n'est pas une décision ukrainienne, mais la décision des pays occidentaux". Ma souligne.

Tiberio Graziani, président de Vision & Global Trends – un groupe de réflexion sur les affaires internationales basé en Italie, fait écho aux préoccupations exprimées ci-dessus, déclarant à Sputnik qu'il pense que l'attaque contre le pont faisait "partie d'un plan complexe" pour aggraver la confrontation entre Kiev et Moscou , et « pourraient marquer une nouvelle phase » de nouveaux actes de terreur sur le sol russe.

 

La Crimée a fait le bon choix

Unver Sel, chef de la Fédération des communautés tatares de Crimée de Turquie, rappelle que l'attaque du pont de Crimée a été précédée de déclarations répétées de responsables ukrainiens et de leurs alliés sur la nécessité de cibler l'infrastructure russe de 3,7 milliards de dollars. L'attaque de samedi est la preuve que le peuple de Crimée a fait le bon choix lorsqu'il a voté à une écrasante majorité lors d'un référendum en mars 2014 pour se séparer de l'Ukraine et rejoindre la Russie après le coup d'État d'Euromaidan en février 2014.

 

« Après la révolution orange, les gouvernements ukrainiens ont changé plusieurs fois, mais leurs méthodes n'ont pas changé », dit Sel. « En utilisant les mêmes méthodes, ils se tournent vers la terreur et frappent des biens civils. Le peuple de Crimée, qui avait anticipé cette situation en 2014, ne s'est pas engagé dans la guerre civile en Ukraine, mais a rejoint la Russie après un vote populaire. [L'attaque terroriste sur le pont] montre clairement à quel point ils avaient raison. Parce que le pont de Crimée relie la péninsule au continent russe, il est utilisé par la population, pourvoit aux besoins de la péninsule. C'est un coup dur pour tout le peuple de Crimée.

La réponse de la Russie

La réponse de la Russie à l'attaque de samedi dépendra des plans du Kremlin pour résoudre la crise sécuritaire, a déclaré Nick Griffin.

« S'il a été décidé que la démilitarisation et la dénazification ne peuvent être réalisées que par une occupation complète, alors évidemment la destruction d'infrastructures critiques crée un énorme fardeau financier futur. En supposant que l'intention est uniquement de libérer les zones russophones et une zone tampon - laissant une Ukraine croupion enclavée être une énorme responsabilité financière pour ses sponsors occidentaux - alors une vaste campagne aérienne contre ses infrastructures affaiblirait non seulement l'effort de guerre de Kiev, mais accumulent également l'agonie financière pour les puissances occidentales qui souscrivent à la guerre impossible à gagner de Zelensky », affirme Griffin.

En fin de compte, l'observateur suggère que la "meilleure réponse" que la Russie puisse apporter en réponse à l'attaque sur le pont, "et à la vantardise "ça ne fait que commencer" de Zelensky - qui est bien sûr à la fois un aveu tacite de culpabilité et la menace de nouvelles attaques terroristes pour venir sur le sol russe - est simplement de continuer à gagner la guerre....

Source Spoutnik

LIRE AUSSI: Russie : la Douma considère l'incident du pont de Crimée comme une "déclaration de guerre"

 

 

 

 

 

Russie : la Douma considère l'incident du pont de Crimée comme une "déclaration de guerre"

Vers une guerre de religion, infos du 9 octobre 2022

Le 8 /10/22

Oleg Morozov, vice-président de la Douma en Russie, a qualifié l'explosion d'un camion sur le pont de Crimée de "déclaration de guerre", dans une première réaction après l'incident qui a mis le feu à un train russe de carburant.

La chaîne d’information Russia Today a rapporté les déclarations de Morozov qui a affirmé : “Une guerre terroriste peu convaincante est menée contre nous. L'attaque terroriste contre le pont de Crimée n'est plus seulement un défi, mais une déclaration de guerre sans règles“.

Le Parlementaire a souligné que le fait de ne pas riposter de manière adéquate et appropriée à cet acte, fera que de tels incidents se reproduiront dans de nombreux cas.

"Si nous restons silencieux et ne répondons pas de manière adéquate, ces attaques se multiplieront plus tard", a ajouté Morozov.

Plus tôt dans la journée, les autorités russes ont annoncé qu'un train de carburant avait pris feu à la suite de l'explosion d'un camion sur un pont reliant la Russie à la Crimée.

Par la suite, le président russe, Vladimir Poutine, a ordonné la formation d'une commission chargée d'enquêter sur les circonstances de l'incident survenu sur un pont d’importance stratégique pour la Russie.

Source

 

 

Russie : nomination d’un nouveau commandant de l’ »opération militaire spéciale »

 

L’armée russe a annoncé samedi la nomination d’un nouveau commandant de son « opération militaire spéciale » en Ukraine après une série de revers cuisants sur le terrain et de signes de mécontentement croissant au sein des élites sur la conduite du conflit.

« Le général d’armée Sergueï Sourovikine a été nommé commandant du groupement combiné de troupes dans la zone de l’opération militaire spéciale » en Ukraine, a annoncé le ministère russe de la Défense sur Telegram.

 

M. Sourovikine, 55 ans, est un vétéran de la guerre civile au Tadjikistan dans les années 1990, de la deuxième guerre de Tchétchénie dans les années 2000 et de l’intervention russe en Syrie lancée en 2015.

Il dirigeait jusque-là le groupement de forces « Sud » en Ukraine, selon un rapport du ministère russe datant de juillet.

Le nom de son prédécesseur n’a jamais été révélé officiellement, mais selon les médias russes, il s’agissait du général Alexandre Dvornikov, lui aussi un vétéran de la deuxième guerre de Tchétchénie et commandant des forces russes en Syrie de 2015 à 2016.

Lire la suite de l’article sur lalibre.be

 

 

 

L’accord sur l’achat d’armes entre l’Algérie et la Russie ne plaît pas à Washington

 

Le porte-parole du département d’Etat a estimé que l'accord sur l’armement conclu entre Alger et Moscou représente un problème. Des députés américains ont appelé à sanctionner les responsables gouvernementaux algériens.
Les États-Unis ont dans le viseur l’Algérie, qui a signé avec Moscou un accord sur la livraison d'armes. Vedant Patel, porte-parole du Département d’État, vient de prévenir Alger que tout pays qui continuait à soutenir la Russie représentait un problème.

"Je n'ai aucune action à prévoir, et comme vous l'avez noté, nous n'allons pas commenter la correspondance du Congrès. Mais bien sûr, tout pays continuant à soutenir la Russie en ce qui concerne le conflit en Ukraine en ce moment, la violation injuste et illégale de l'intégrité territoriale et de la souveraineté de l'Ukraine, serait profondément problématique", a déclaré M.Patel.

Fin septembre, 27 députés américains ont adressé une lettre à Anthony Blinken afin de lui demander de sanctionner l’Algérie pour avoir passé un accord l’an passé avec la Russie sur la fourniture d’armes. D’une valeur de 7 milliards de dollars, le contrat comprenait particulièrement des avions de combat Su-57 et des systèmes de défense aérienne.

Pour les membres du Congrès, cette transaction entre dans le cadre de la loi CAATSA (Countering America’s Adversaries Through Sanctions Act) de 2017 qui prévoit des sanctions aux pays qui signent des accords de défense et de renseignement avec certains pays, dont la Russie.

Source Spoutnik

 

 

 

 

Europe : La crise énergétique fait tanguer l’Union

D’ordinaire, à la veille d’un conseil européen, les diplomates se veulent rassurants. Mais, ces derniers jours, alors que la réunion des chefs d’Etat et de gouvernement à Prague, vendredi 7 octobre, se rapprochait, plusieurs d’entre eux ne cachaient pas leur inquiétude. Et pas seulement en raison des risques d’escalade, notamment nucléaire, de la guerre en Ukraine. Alors que la flambée des prix de l’énergie, nourrie par l’offensive gazière du Kremlin, menace la paix sociale et leurs économies, les Vingt-Sept restent incapables de s’entendre sur la marche à suivre pour en atténuer les effets délétères. Entre panique et bataille rangée, ils ont essayé, vendredi, « d’identifier leurs points de convergence », confiait-on dans l’entourage de Charles Michel, le président du Conseil, façon de dire qu’un compromis est encore lointain.

(…)

Plus largement, les Vingt-Sept, qui ont réussi à faire front depuis le début du conflit en Ukraine, savent qu’aujourd’hui leur unité est menacée par le retour de l’inflation galopante. Depuis l’invasion de l’Ukraine, ils ont certes fait en sorte de se passer autant que possible du gaz russe : remplissage des réserves à 90 %, diversification des approvisionnements et réduction de la consommation. Mais, ce faisant, ils ont aussi exacerbé la hausse des prix, à leurs dépens. « Nous avons très substantiellement réduit notre dépendance au gaz russe », s’est réjoui Emmanuel Macron, mais, « à très court terme, nous avons un problème de prix ».

Pour ne rien arranger, le cavalier seul de l’Allemagne, en achetant d’abord du gaz à des prix élevés pour remplir ses réserves, puis en annonçant, le 29 septembre, un bouclier tarifaire de 200 milliards d’euros, constitue un défi quasi existentiel pour l’Union européenne (UE). Au risque de fragmentation du marché intérieur s’ajoute celui de voir les taux d’intérêt consentis aux pays de la zone euro diverger et l’Union monétaire tanguer. Certes, tous les gouvernements ont adopté des plans pour soutenir les ménages et les entreprises, mais tous n’ont pas les mêmes moyens, au sud et plus encore à l’est du continent. « L’économie allemande est si grande que ce que l’Allemagne donne à ses entreprises pourrait détruire le marché intérieur », a ainsi attaqué le premier ministre letton, Krisjanis Karins, jeudi matin. « C’est le début du cannibalisme dans l’UE. Bruxelles doit agir à ce sujet, car cela va détruire l’unité européenne », commentait, pour sa part, le Hongrois Viktor Orban, le 3 octobre, pourtant peu enclin à appeler l’UE à la rescousse. « L’égoïsme allemand doit être remisé au placard », a, pour sa part, pesté le premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki.

(…)

Vingt-sept cas particuliers
Dans ce contexte, chaque capitale a poussé ses propositions, dans le plus grand désordre et en fonction de ses intérêts. Or, d’un pays à l’autre, les modèles énergétiques ne sont pas les mêmes : certains, comme la France, misent sur le nucléaire, d’autres, comme la Hongrie, dépendent encore très largement du gaz russe quand, à l’instar de l’Espagne, d’autres encore ont développé le renouvelable.

(…)

Le Monde

 

 

 

Espagne : 46 % des personnes condamnées pour agression sexuelle sont des ressortissants étrangers

46 % des personnes condamnées pour agression sexuelle en Espagne sont des ressortissants étrangers.

Les Africains commettent 20% des viols dans notre pays alors que, démographiquement, ils ne représentent que 2,4% de la population.

(…) En termes de condamnés pour 1 000 habitants adultes, le taux de condamnés de nationalité étrangère (15,9%) est 2,6 fois plus élevé que celui des condamnés de nationalité espagnole (6,1).

The Objective

 

 

 

 

L’Arabie saoudite désignée pour accueillir les Jeux asiatiques d’hiver en 2029, le Royaume va bâtir une station de montagne dans le cadre d’un projet de 500Mrd$ (Màj : Trois hommes condamnés à mort pour refus de quitter leur maison)

On connaissait le volet ”scandale écologique” de l’attribution des Jeux asiatiques d’hiver à l’Arabie saoudite en 2029, en plein désert. Sans surprise, au niveau des droits de l’Homme, le bilan ne semble guère plus reluisant.

D’après le média britannique Middle East Eye, des membres d’une tribu auraient été forcés de quitter leur maison pour permettre la réalisation du projet futuriste, baptisé ”Neom”. Trois d’entre eux, qui auraient résisté, ont été condamnés à mort. Un des frères de ces ”résistants” ayant été abattu lors de l’arrestation, qui date de 2020.

Depuis, l’organisation de défense des droits humains en Arabie Saoudite (ALQST) se bat devant la justice saoudienne pour obtenir les libérations des trois hommes, toujours incarcérés en attendant leur peine capitale.

Le Dauphiné

Commenter cet article