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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 31 octobre 2022

 

 

Demain 1er novembre 2022 (fin d'année), je posterais une analyse de la situation en Ukraine, et la manière dont je prévois l'évolution de cette guerre, par rapport aux prophéties

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Des centaines de localités sans électricité, 80 % des habitants de Kiev privés d’eau, après les frappes russes…

 

 

L’ESSENTIEL

  • L’Ukraine dénonce des exportations de céréales devenues « impossibles » du fait du blocus russe réinstauré par la Russie après sa sortie samedi de l’accord permettant leur acheminement, après une attaque sur sa flotte en Crimée, que Moscou a imputé à Kiev avec l’aide de Londres.
  • Kiev critique un « faux prétexte » et appelle la communauté internationale à faire pression pour que Moscou « respecte de nouveau ses obligations ». Londres dément toute responsabilité dans l’attaque en Crimée et Washington et l’UE condamnent le retrait russe de cet accord essentiel pour l’approvisionnement alimentaire mondial, conclu en juillet sous l’égide de l’ONU et de la Turquie.
  • Dans la région de Kherson, dans le sud du pays, où est attendue la prochaine bataille d’envergure entre les forces russes et ukrainiennes, des duels d’artillerie sporadiques ont lieu dans le village de Kotliarevé.

 

13h25 : « Nous sommes résolus à poursuivre nos efforts au service de l’humani », déclare Erdogan, l’un des garants de l’accord sur les céréales ukrainiennes

La Russie a prévenu ce lundi qu’il serait « dangereux » et « difficile » de continuer à appliquer l’accord sur les céréales ukrainiennes sans elle. Moscou a suspendu sa participation, alors que des navires continuent de quitter l’Ukraine.

« Bien que la Russie se montre hésitante parce que les mêmes facilités ne lui ont pas été offertes (qu’à l’Ukraine, ndlr), nous sommes résolus à poursuivre nos efforts au service de l’humanité », a commenté le président turc Recep Tayyip Erdogan. Le retrait de Moscou jette en tout cas un voile d’incertitude sur l’avenir de cet accord, réveillant la crainte de pénuries, notamment chez les pays les plus pauvres.

 

 

12h42 : Appliquer l’accord sur les céréales ukrainiennes sans la Russie serait « dangereux »

Il serait « dangereux » et « difficile » de continuer à mettre en œuvre l’accord sur les céréales ukrainiennes sans Moscou, qui a suspendu sa participation, a prévenu lundi le Kremlin, alors que des navires continuent de quitter l’Ukraine.

« Dans des conditions où la Russie évoque l’impossibilité de garantir la sûreté de la navigation dans ces zones, alors un tel accord est difficilement applicable. Et cela prend un tour différent, beaucoup plus risqué, dangereux », a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, interrogé sur la possibilité de continuer cet accord sans la Russie.

 

 

11h49 : Moscou dit avoir frappé des infrastructures énergétiques en Ukraine

La Russie a frappé des installations énergétiques en Ukraine avec des « armes de haute précision », a indiqué lundi son ministère de la Défense, Kiev faisant état d’une « attaque massive » ayant notamment entraîné des coupures d’eau et de courant.

Les forces armées russes « continuent leurs frappes avec des armes de haute précision et de longue portée (…) contre le commandement militaire et les systèmes énergétiques de l’Ukraine. Toutes les frappes ont atteint leur objectif. Toutes les cibles désignées ont été touchées », a affirmé le ministère dans un communiqué.

 

11h39 : Les réservistes déployés par la Russie sont « mal équipés »

Dans son dernier point quotidien sur la guerre en Ukraine, le ministère de la Défense britannique souligne qu’« en septembre, des officiers russes se sont inquiétés du fait que certains réservistes récemment mobilisés arrivaient en Ukraine sans armes ». « Des images de source ouverte suggèrent que les fusils qui ont été remis aux réservistes mobilisés sont généralement des AKM, une arme introduite pour la première fois en 1959. Beaucoup sont probablement dans un état à peine utilisable à la suite d’un mauvais stockage », ajoute-t-il.

 

10h58 : 80 % de consommateurs privés d’eau à Kiev

De nouvelles frappes russes lundi matin ont privé d’eau 80 % des consommateurs à Kiev et coupé l’électricité pour 350.000 foyers, a indiqué le maire de la capitale Vitali Klitschko sur Telegram.

« En raison des dommages causés à une installation énergétique près de Kiev, 80 % des consommateurs de la capitale restent sans approvisionnement en eau », a-t-il dit. « 350.000 foyers à Kiev se sont retrouvés sans électricité », a-t-il ajouté.

 

09h33 : « Plus de 50 missiles de croisière » lancés lundi sur l’Ukraine

La Russie a lancé « plus de 50 missiles de croisière » dans sa nouvelle attaque massive sur des infrastructures énergétiques de l’Ukraine lundi matin, a indiqué l’armée de l’air ukrainienne.

« Plus de 50 missiles de croisière de type X-101/X-555 ont été lancés à l’aide d’avions » de type Tu-95 et Tu-160 depuis le nord de la mer Caspienne et de la région russe de Rostov, a indiqué l’armée de l’air ukrainienne sur Telegram.

DIRECT

 

 

 

 

Un deuxième groupe aéronaval US serait en route vers l’Europe

Vers une guerre de religion, infos du 31 octobre 2022

 

Un groupe aéronaval américain conduit par le porte-avions USS Gerald Ford arrivera en Europe à la mi-novembre, annonce UK Defence Journal sans préciser la date exacte.

Le porte-avions USS Gerald Ford jettera l'ancre près de Portsmouth à la mi-novembre, rapporte UK Defence Journal. La date exacte de son arrivée avec des escortes n’a pas été rendue publique.

Le bâtiment lui-même est trop grand pour entrer dans la base navale de Portsmouth et restera plutôt à l'extérieur, à Spithead.

Après avoir quitté la base de Norfolk le 4 octobre le Gerald Ford a mouillé l’ancre dans le port canadien de Halifax, selon le service de presse de la Deuxième flotte des États-Unis.

Selon UK Defence Journal, outre ce porte-avions, le groupe aéronaval comprend le croiseur Normandy, les destroyers Ramage, McFaul et Thomas Hudner, le ravitailleur Joshua Humpreys, le vraquier Robert E. Peary et le navire de la Garde côtière des États-Unis USCGC Hamilton.

Tête de série d’une nouvelle classe

Décrit comme étant le porte-avions le plus évolué de la marine américaine, ce navire construit pour 13,3 milliards de dollars est le premier d’une nouvelle catégorie de transporteurs Ford.

Il est conçu pour accueillir une plus grande variété d’avions, pour être manœuvré avec un équipage réduit et pour faire décoller les avions avec un système électromagnétique. Cette technologie vient remplacer les catapultes à vapeur utilisées sur la plupart des porte-avions.

Après sa livraison, il y a cinq ans, le navire a connu plusieurs ennuis techniques, principalement avec son système de lancement ainsi qu’avec les plateformes élévatrices servant à faire monter sur le pont les missiles et les pièces d’artillerie devant être chargées sur les chasseurs.

D’une longueur de 335 mètres, ce navire à propulsion nucléaire peut peser plus de 100.000 tonnes chargé à plein, tout en atteignant une vitesse de 54 km/h.

Les porte-avions de la classe Gerald Ford doivent remplacer la classe de porte-avions Nimitz, qui arrivent au terme de leurs 50 années de service programmées.

Un groupe aéronaval américain dirigé par le porte-avions USS George Bush est actuellement déployé en Europe.

Spoutnik

 

 

 

 

Les Etats-Unis accélèrent le déploiement de leur nouvelle bombe nucléaire en Europe

 

 

Le 27 oct 2022 (mise a jours)

Les États-Unis ont accéléré le déploiement en Europe de la nouvelle version de leur bombe nucléaire tactique, plus précise, sur des bases aériennes de l'Otan en Europe, a rapporté jeudi le site Politico, citant un câble diplomatique américain et deux personnes proches du dossier.

Vers une guerre de religion, infos du 31 octobre 2022

L'arrivée de la bombe à gravité améliorée B61-12, initialement prévue pour le printemps prochain, est désormais prévue pour décembre, ont indiqué des responsables américains à leurs alliés de l'Otan lors d'une réunion à huis clos à Bruxelles à la mi-octobre, révèle le câble cité par le média en ligne.

Cette décision, qui consiste à remplacer les anciennes B61 par la version la plus récente dans diverses installations de stockage en Europe pour une utilisation potentielle par des avions de combat américains et alliés, intervient dans un contexte de fortes tensions avec la Russie, dont le président, Vladimir Poutine, menace régulièrement de recourir à l'arme nucléaire en cas d'"agression".

Quelques jours avant Steadfast Noon

L'annonce américaine lors de la réunion de Bruxelles est intervenue quelques jours avant que l'Otan n'entame son exercice nucléaire annuel, baptisé Steadfast Noon. L'exercice se tient du 17 au 30 octobre et rassemble quelque 60 avions de 14 nationalités, dont une partie opère depuis la base aérienne belge de Kleine-Brogel (Limbourg). 

La Russie a pour sa part organisé mercredi un exercice nucléaire que son ministre de la Défense, Sergueï Choïgou, a décrit comme un entraînement à une contre-attaque massive contre l'ennemi.

"Ce serait étrange de se précipiter" dans le contexte actuel, a déclaré un expert de la Fédération des scientifiques américains (FAS) spécialisé dans l'armement nucléaire, Hans Kristensen, qui a suivi de près le programme de modernisation des B61.

Selon Politico, deux personnes familières avec le projet de déploiement des B61-12 en Europe ont confirmé, sous le couvert de l'anonymat, l'accélération mentionnée dans le câble diplomatique confidentiel.

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Rapport : Les États-Unis envisagent de déployer des bombardiers B-52 en Australie au milieu des tensions avec la Chine

 

En 2021, les tensions entre les États-Unis et la Chine ont augmenté d'un cran après que l'accord AUKUS alors signé a ouvert la voie à la fourniture au gouvernement australien d'une technologie capable de déployer des sous-marins à propulsion nucléaire.

L'armée américaine évaluerait la possibilité de déployer plusieurs bombardiers B-52 en Australie dans le but de créer une plaque tournante à long terme dans la région au milieu des tensions persistantes de l'administration Biden avec la Chine.

Citant des initiés familiers avec les développements, l'Australian Broadcasting Corp a révélé qu'environ six bombardiers seraient stationnés sur la base aérienne éloignée de Tindal dans le Territoire du Nord de l'Australie.

Des documents précisaient qu'une "installation d'opérations d'escadron" comprendrait une aire de stationnement pour les bombardiers et un centre de maintenance attenant. Les services devraient être utilisés pendant la saison sèche du territoire.

À l'heure actuelle, la région accueille déjà divers exercices militaires conjoints avec les forces américaines sur une base quasi annuelle, une collaboration qui a été entreprise pour la première fois sous l'administration Obama.

Bien que les tensions américano-chinoises soient restées vives pendant un certain temps, les liens entre les deux nations ont atteint un point d'ébullition début août lorsque la présidente de la Chambre Nancy Pelosi (D-CA) a choisi de se rendre à Taïwan.

À l'époque, les rumeurs persistaient sur le fait que la Chine prévoyait "d'envahir" Taïwan, une nation insulaire autonome que Pékin considère comme une province capricieuse et une question de sa propre politique intérieure. Avec la politique officielle de Pékin envisageant une unification pacifique de Taiwan avec la Chine continentale, le Parti communiste s'oppose à tout contact officiel entre l'île et les nations.

Pékin a déclaré à plusieurs reprises que le principe d'une seule Chine est un fondement politique des relations sino-américaines et que les violations par Washington de ses propres obligations compromettent la coopération entre les deux pays, tout en menaçant la paix et la stabilité dans le détroit de Taiwan.

Quelques instants après l'atterrissage de Pelosi à Taipei, le ministère chinois des Affaires étrangères a souligné que les actions de Pelosi avaient gravement affecté les relations déjà fragiles entre les États-Unis et la Chine.

Près de trois mois après le voyage à Taïwan, les inquiétudes sont à nouveau croissantes quant à la manière dont un déploiement de B-52 en Australie pourrait être accueilli par la Chine.

"C'est une grande expansion de l'engagement australien envers le plan de guerre des États-Unis avec la Chine", a déclaré Richard Tanter, chercheur associé principal à l'Institut Nautilus et militant anti-nucléaire de longue date.

"C'est un signe pour les Chinois que nous sommes prêts à être la pointe de la lance."

Vers une guerre de religion, infos du 31 octobre 2022

Le responsable a en outre souligné que par rapport aux déploiements réguliers des Marines américains dans le Territoire du Nord, la présence de B-52 était beaucoup plus importante et prouvait "un signal plus ouvert aux Chinois que nous suivons la planification américaine d'un guerre avec la Chine."

La nouvelle du déploiement potentiel survient alors que les États-Unis sont déjà en train de construire une installation de stockage de carburéacteur de 270 millions de dollars à la périphérie de Darwin, située à environ 200 milles de la base de Tindal.

Spoutnik

 

 

 

 

Des méthaniers patientent pour décharger leur cargaison de GNL en attendant la hausse des prix

 

Des dizaines de méthaniers patientent depuis des jours au large des côtes espagnoles pour décharger leur cargaison de gaz naturel liquéfié, rapportent les médias. Ils devraient y rester jusqu'à fin novembre, en attendant que les prix du gaz européen augmentent.

Un embouteillage de méthaniers s'est formé dans les eaux européennes depuis plus d’une semaine, dans l’attente de décharger leur cargaison.

Le Wall Street Journal fait état de "dizaines de navires" qui flottent au large des côtes.

La BBC indique pour sa part que sur les 268 méthaniers recensés tout autour du monde au mois d’octobre, 51 se trouvent actuellement à proximité de l’Europe.

Reuters indique cependant, citant des sources de l'industrie, que les navires devraient y rester jusqu'à fin novembre, en attendant que les prix du gaz européen augmentent.

Selon les sources de l’agence, la surabondance de GNL au large des côtes pourrait faire partie d'une stratégie commerciale des fournisseurs, car les navires attendent que les prix augmentent pour décharger.

Une attente pour ne pas faire s’effondrer les prix

Les prix du gaz naturel sont à leur plus bas niveau en Europe depuis juin, après avoir chuté de 28% en une semaine, en partie en raison de températures supérieures à la normale et de niveaux de stocks élevés, car le stockage de gaz de l'UE est désormais rempli à près de 95%, selon Rystad Energy.

Vers une guerre de religion, infos du 31 octobre 2022

"Si un seul navire décharge sa cargaison, le prix s'effondrera immédiatement en affectant les autres cargaisons dans la file d'attente et cet effet domino est très douloureux en termes de coût d'opportunité", a déclaré l'une des sources à Reuters.

"En attendant simplement de livrer en décembre plutôt qu'en novembre, la différence de profit pourrait être de l'ordre de dizaines de millions de dollars par expédition", a déclaré Michelle Wiese Bockmann du journal maritime Lloyd's List à la BBC.

Les pays de l'UE ont massivement acheté du GNL au cours de l'été pour remplir leurs réserves avant l'hiver compte tenu de la réduction des approvisionnements en provenance de Russie.

Un business prometteur pour Moscou

Cette dernière reste cependant en jeu, bien que ses livraisons de gaz par pipeline soient notablement réduites.

Selon le porte-parole de la Commission européenne Tim McPhee, au cours des trois premiers trimestres de 2022, la Russie a livré à l’UE 15 milliards de mètres cubes de GNL.

Signalons à titre de comparaison qu’en 2021 les Européens en avaient acheté 53 milliards, dont 20% avaient été livrés par la Russie.

Ses méthaniers ne sont pas frappés de sanctions. Les exportations russes au mois d’août ont augmenté de 41% par rapport au même mois de 2021. La Russie est ainsi devenue le deuxième fournisseur de GNL à l’UE.

"Il n’y a pas de dépendance du transit. Contrairement au gaz livré par pipeline, les acheteurs ne paient pas le GNL en roubles, mais en monnaies qui leur conviennent. La Baltique et l’Arctique sont plus proches que les États-Unis et le Proche-Orient", explique à Sputnik Mark Goïkhman, expert du centre d’analyse et d’information Tele Trade.

Pour la Russie, ce business devient particulièrement prometteur alors que certains de ses gazoducs sont à l'arrêt.

Spoutnik

 

 

 

La note choc des renseignements sur l’explosion des atteintes à la laïcité : “La frange fondamentaliste islamiste bénéficie d’un contexte favorable (…) Ils mènent ouvertement une croisade pour le droit au port du voile

 

 

Revendications vestimentaires au lycée: «Ne parlons pas d’atteintes à la laïcité, ce sont des offensives islamistes» répond François-Xavier Bellamy

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