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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 7 septembre 2022

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'UE propose un plafonnement du prix du gaz russe...

 

L’ESSENTIEL

  • Dans un rapport, l’AIEA préconise la création d’une zone démilitarisée à l’extérieur de la centrale nucléaire de Zaporojie, la plus grande d’Europe. Russes et Ukrainiens s’accusent mutuellement de procéder à des tirs d’artillerie sur le site, qui ont encore eu lieu mardi malgré les recommandations de l’organisme de surveillance.
  • Symbole fort, le 1er appel de la nouvelle Première ministre britannique Liz Truss a été réservé au président ukrainien. Ils se sont accordés pour accroître la pression sur la Russie.
  • La situation est confuse dans la région de Kharkiv. Des rumeurs se sont multipliées mardi concernant une contre-offensive ukrainienne. Un conseiller du chef de cabinet de Zelensky a même évoqué l’annonce « d’excellentes nouvelles », mais il a depuis effacé son tweet.

 

14h38 : Kiev accuse Moscou d’avoir planifié ses coupures de gaz en Europe

Le ministère des Affaires étrangères ukrainien accuse la Russie d’avoir planifié ses coupures de gaz en Europe. « Ne vous y trompez pas, les coupures d’approvisionnement en gaz de la Russie n’ont rien à voir avec les sanctions », écrit le porte-parole du ministère qui accuse Moscou de passer à la « prochaine étape de sa guerre hybride ». « La propagande russe bat son plein, menaçant l’Europe d’un hiver glacial » et allant « perturber la stabilité des foyers européens », fustige Oleg Nikolenko.

 

13h49 : Les pays occidentaux coupables de « provocation » envers la Russie, accuse Erdogan

« Je peux dire très ouvertement que je ne trouve pas que l’attitude actuelle de l’Occident (…) soit la bonne. L’Occident mène une politique basée sur la provocation », a déclaré le chef de l’Etat turc lors d’une conférence de presse avec son homologue serbe Aleksandar Vucic, répondant à une question sur la crise énergétique en Europe.

 

13h20 : L’Ukraine poursuit son rapprochement avec la Turquie

La conseillère au ministre ukrainien des Affaires étrangères, Emine Dzheppar, a rencontré son homologue turc. Au menu des discussions : « approfondir la coopération entre l’Ukraine et la Turquie dans le domaine de la défense », mais aussi poursuite des travaux sur « l’initiative céréalière ». La Turquie a joué un rôle majeur dans la reprise des exportations de céréales depuis l’Ukraine, en devenant une plateforme intermédiaire d’inspection des cargos.

 

 

12h33 : L’UE va verser une nouvelle aide financière de cinq milliards d’euros à l’Ukraine

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a proposé mercredi que l’UE verse une aide financière de 5 milliards d’euros pour aider l’Ukraine à faire face aux conséquences de la guerre, deuxième tranche d’un paquet maximum de 9 milliards pour 2022 proposé le 18 mai.

« Aujourd’hui, la Commission propose une assistance macro-financière supplémentaire de 5 milliards d’euros pour l’Ukraine », a-t-elle annoncé sur Twitter. Cette aide, sous forme de prêts, devra encore être approuvée par les 27 pays membres de l’UE qui ont prévu d’en discuter vendredi lors d’une réunion des ministres des Finances à Prague.

 

11h25 : La Russie ne livrera plus ni pétrole ni gaz si les prix sont plafonnés, prévient Poutine

La Russie ne livrera plus de pétrole ou de gaz aux pays qui plafonneraient les prix des hydrocarbures vendus par Moscou, a prévenu mercredi le président Vladimir Poutine, au moment où les Occidentaux travaillent à une telle mesure.

Plafonner les prix « serait une décision absolument stupide », a lancé M. Poutine lors d’un forum économique à Vladivostok (Extrême-Orient russe). « Nous ne livrerons rien du tout si c’est contraire à nos intérêts, en l’occurrence économiques. Ni gaz, ni pétrole, ni charbon (…). Rien », a-t-il ajouté.

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine : "Nous ne fournirons pas de gaz, de pétrole, de charbon, de fioul domestique, nous ne fournirons rien", Vladimir Poutine menace de bloquer l'approvisionnement d'énergie en Europe en cas de plafonnement des prix

 

Vladimir Poutine a menacé mercredi de couper les exportations russes de gaz et de pétrole si les Occidentaux en plafonnent le prix, une idée qualifiée de "stupide" par le président russe.

  • Vladimir Poutine a qualifié cette idée de stupide.
    Vladimir Poutine a qualifié cette idée de stupide. MAXPPP - Sergei Bobylev/TASS Host Photo Agency HANDOUT

La Commission européenne (CE) va proposer un plafonnement du prix du gaz russe entre autres mesures destinées à surmonter la crise énergétique actuelle et à combattre la "manipulation" des marchés énergétiques par la Russie, a annoncé ce mercredi la présidente de l'exécutif européen, Ursula von der Leyen. Dans un discours prononcé lors du Forum économique oriental, à Vladivostok, dans l'Extrême-Orient russe, Vladimir Poutine a déclaré que cette proposition "stupide" conduirait à une nouvelle hausse des cours.

"Nous condamnerions la queue du loup à être gelée"

Le Groupe des Sept a parallèlement annoncé la semaine dernière son intention d'imposer un plafonnement des prix des exportations de pétrole russe. Vladimir Poutine a déclaré que la Russie se retirerait de ses contrats d'approvisionnement si l'Occident poursuivait ses projets. "Y aura-t-il des décisions politiques qui contredisent les contrats? Oui, nous ne les exécuterons pas. Nous ne fournirons rien du tout si cela contredit nos intérêts", a-t-il déclaré. "Nous ne fournirons pas de gaz, de pétrole, de charbon, de fioul domestique - nous ne fournirons rien." "Il ne nous resterait qu'une seule chose à faire : comme dans le célèbre conte de fées russe, nous condamnerions la queue du loup à être gelée", a ironisé le président russe.

Source

 

 

 

 

Les États-Unis perdent leur domination à mesure que l'influence de l'Asie augmente, la Russie renforce sa souveraineté : points saillants du discours de Poutine sur l'EEF

 

 

Le président russe Vladimir Poutine a prononcé un discours lors d'une session plénière le 3e jour du Forum économique de l'Est (EEF), un événement annuel consacré au développement de l'Extrême-Orient russe.

Le président Vladimir Poutine a souligné le changement tectonique dans les relations internationales, la domination mondiale décroissante des États-Unis, le rôle croissant de la région asiatique ainsi que la résilience de la Russie face aux sanctions lors d'un discours prononcé le troisième jour du Forum économique de l'Est (EEF) à Vladivostok.

La « fièvre des sanctions » déclenchée par le soi-disant Occident collectif est une menace pour le monde entier, a déclaré Poutine lors de la session plénière de l'EEF. Selon le président russe, la pandémie de COVID-19 a été remplacée par d'autres défis, également de nature mondiale, menaçant le monde entier.

Vers une guerre de religion, infos du 7 septembre 2022

"Je fais référence à la fièvre des sanctions de l'Occident, ses tentatives non déguisées et agressives d'imposer des modèles de comportement à d'autres pays, de les priver de souveraineté et de les soumettre à leur volonté."

La domination mondiale décroissante des États-Unis dans la politique et l'économie, associée à « la réticence et l'incapacité obstinées des élites occidentales à voir et à reconnaître la réalité objective », a servi de catalyseur à ces processus, a déclaré Poutine.

"Diktat & Arbitraire"

Les pays occidentaux, dans une tentative de résister au cours de l'histoire, ont sapé les piliers essentiels du système économique mondial, forgés au cours des siècles, a déclaré Vladimir Poutine.

"Nous voyons à quel point la confiance dans le dollar, l'euro et la livre sterling en tant que devises pour effectuer des paiements, stocker des réserves, nommer des actifs a été perdue", a souligné Poutine.

Le monde s'éloigne progressivement de l'utilisation de devises aussi peu fiables et compromises, a souligné le président, ajoutant que même les alliés des États-Unis réduisaient leurs actifs en dollars.
Le soi-disant Occident collectif cherche à préserver un ordre mondial ne servant que ses propres intérêts, a déclaré le président russe.

"Les pays occidentaux s'efforcent de maintenir l'ancien ordre mondial qui ne profite qu'à eux, pour forcer la communauté mondiale à vivre selon les règles notoires qu'ils ont inventées et qu'ils violent eux-mêmes régulièrement et modifient constamment en fonction de l'état actuel des choses", - Poutine a dit.

Les États-Unis poursuivent constamment et sans vergogne leurs propres intérêts, ne reculant devant rien pour atteindre leurs objectifs, y compris en sacrifiant des entreprises européennes qui doivent fermer en raison de coûts énergétiques paralysants, a averti le président. Il a ajouté qu'il ne serait pas surprenant que cette politique se traduise par l'accaparement de créneaux commerciaux européens, tant sur le continent que sur le marché mondial, par leurs « patrons américains ».

La réticence des autres pays à se soumettre à un tel diktat et à un tel arbitraire pousse les élites occidentales à adopter des décisions irréfléchies, à courte vue et aventureuses tant du point de vue de la sécurité mondiale que de la politique et de l'économie », a déclaré le président russe Vladimir Poutine, s'exprimant à l' Le Forum économique de Ces décisions vont à l'encontre des intérêts des pays et des citoyens des États occidentaux eux-mêmes, a-t-il ajouté.

Croissance dynamique de la région Asie-Pacifique

Selon le dirigeant russe, des changements tectoniques se sont produits dans le système des relations internationales.

"Le rôle des États et des régions du monde dynamiques et prometteurs s'est considérablement accru. Et surtout, bien sûr, la région Asie-Pacifique. Ses pays sont devenus de nouveaux centres de croissance économique et technologique, des points d'attraction pour le personnel, les capitaux, production », a déclaré Poutine lors de la session plénière du Forum économique de l'Est (EEF).

L'économie des pays asiatiques croît plus vite que celle des pays occidentaux, cette tendance se poursuivra à l'avenir, a déclaré le président russe Vladimir Poutine lors de la session plénière du Forum économique de l'Est, ajoutant :

"Permettez-moi de vous rappeler qu'au cours des 10 dernières années, le PIB des pays asiatiques a augmenté chaque année d'environ 5 %, tandis que celui du monde - de 3 % ; le PIB des États-Unis - de 2 %, celui de l'UE de 1,2 %."

Note ; attention ici, si notre économie se porte plus mal depuis 30 ans, c'est parce l'Europe achète tous en Asie, elle se dépouille de ces propres entreprises, de son savoir faire, se qui fortifie et fait grandir  les autres nation d’Asie

 

 

Une majorité absolue de pays de la région Asie-Pacifique n'acceptent pas la politique de sanctions , déclenchée contre la Russie pour son opération militaire spéciale en cours en Ukraine, a déclaré Vladimir Poutine.

Insécurité alimentaire mondiale

Poutine a déclaré à la session plénière de l'EEF que, bien que les restrictions sur les céréales russes soient toujours en place dans le cadre de la politique de sanctions, cela continue de faire grimper les prix.

La Russie est le plus grand exportateur mondial de blé, avec l'Ukraine à la cinquième place. Ensemble, les deux pays représentent plus d'un tiers des exportations mondiales de céréales et la moitié du marché mondial des exportations d'huile de tournesol.

Cela survient alors que 345 millions de personnes dans le monde connaissent déjà des pénuries alimentaires, soit 2,5 fois plus qu'en 2019.

 

"La hausse des prix sur les marchés mondiaux peut être une véritable tragédie pour la plupart des pays les plus pauvres qui sont confrontés à des pénuries de nourriture, de ressources énergétiques et d'autres biens vitaux. Je voudrais mentionner les chiffres qui soulignent le danger du problème : en 2019, selon aux Nations Unies, 135 millions de personnes dans le monde ont connu des pénuries alimentaires aiguës, mais ce nombre a maintenant été multiplié par 2,5 pour atteindre 345 millions de personnes », a déclaré Poutine au Forum économique de l'Est (EEF).

Les pays les plus pauvres perdent de plus en plus l'accès aux produits alimentaires essentiels alors que les pays développés les achètent "en masse", a averti Poutine, provoquant une forte hausse des prix. Le dirigeant russe a appelé à unir leurs forces pour inverser cette tendance. Selon le président russe, il y a toutes les chances pour cela. Il est nécessaire non seulement de prendre des décisions sous un "prétexte plausible", mais aussi de "travailler ensemble à la mise en œuvre des décisions prises", a déclaré Poutine lors de la session plénière du FEE.

Une catastrophe humanitaire pourrait être déclenchée par le fait que l'Occident exporte la plupart des céréales ukrainiennes vers son pays, et non vers les États africains dans le besoin, a déclaré mercredi le président russe Vladimir Poutine. Sur 87 navires transportant des céréales, seuls deux ont été envoyés vers des pays dans le besoin, selon les données du Programme alimentaire mondial des Nations unies citées par le président lors de la session plénière. il a noté que ceux qui en avaient besoin ne recevaient que 3% de céréales sur 2 millions de tonnes exportées d'Ukraine. ....

 

 

Note: c'est pas se que dit  le direct du  journal 20 minutes, mais cela ne m’étonnerais pas qu'ils est des trafics, pour que certain se remplissent les poches 

15h30 : Où sont allées les céréales ukrainiennes ? (source)

Selon les données communiquées mercredi à l’AFP par le Centre de coordination conjointe (CCC) d’Istanbul, chargé de superviser cet accord, 100 navires ont quitté depuis début août les ports ukrainiens d’Odessa, de Tchornomorsk et de Pivdenny, transportant à leur bord 2.334.310 tonnes de céréales et autres produits agricoles.

Les principaux pays destinataires de ces livraisons ont été la Turquie (20 %), l’Espagne (15 %), l’Egypte (10 %), la Chine (7 %) et l’Italie (7 %). Les pays européens représentent 36 % du total, et les pays africains 17 %. Au total, « 30 % des cargos sont allés vers des pays à faible revenu ou à revenu intermédiaire inférieur », indique le CCC.

 

 

...  suite de l'article

Note: c'est pas se que dit  le direct du  journal 20 minutes, mais cela ne m’étonnerais pas qu'ils est des trafics, pour que certain se remplissent les poches 

15h30 : Où sont allées les céréales ukrainiennes ? (source)

Selon les données communiquées mercredi à l’AFP par le Centre de coordination conjointe (CCC) d’Istanbul, chargé de superviser cet accord, 100 navires ont quitté depuis début août les ports ukrainiens d’Odessa, de Tchornomorsk et de Pivdenny, transportant à leur bord 2.334.310 tonnes de céréales et autres produits agricoles.

Les principaux pays destinataires de ces livraisons ont été la Turquie (20 %), l’Espagne (15 %), l’Egypte (10 %), la Chine (7 %) et l’Italie (7 %). Les pays européens représentent 36 % du total, et les pays africains 17 %. Au total, « 30 % des cargos sont allés vers des pays à faible revenu ou à revenu intermédiaire inférieur », indique le CCC.

( 20 % en Turquie alrs que ce pays est surtout un inportateur lire aussi = L'Ukraine accuse la Turquie d'acheter du blé volé par la Russie - juin2022  - et  La Turquie, parmi les gros importateurs de blé)

 

 

...  suite de l'article

"Je veux dire que, tout comme de nombreux pays européens au cours des décennies et des siècles précédents ont agi en colonialistes, ils continuent d'agir aujourd'hui... avec cette approche, l'ampleur des problèmes alimentaires dans le monde ne fera que croître, ce qui, malheureusement, à notre grand regret, peut conduire à une catastrophe humanitaire sans précédent", a déclaré Poutine.

À cet égard, le président russe a déclaré qu'il envisagerait de limiter les exportations de céréales et d'autres denrées alimentaires le long de cette route et qu'il consulterait à ce sujet le président turc Recep Tayyip Erdogan.

"Malgré toutes les difficultés des événements qui se déroulent autour de l'Ukraine, nous avons tout fait pour que le grain ukrainien soit exporté. J'ai rencontré les dirigeants de l'Union africaine, avec les dirigeants des États africains, je leur ai promis que nous ferions tout pour garantir leurs intérêts et faciliter l'exportation de céréales ukrainiennes. Nous l'avons fait sans instructions », a ajouté Poutine.

Renforcement de la souveraineté

La Russie n'a rien perdu depuis le 24 février, date à laquelle elle a lancé une opération spéciale en Ukraine , a déclaré mercredi le président russe Vladimir Poutine, ajoutant que le principal gain était le renforcement de la souveraineté de la Russie.

"Je suis sûr que nous n'avons rien perdu [avec le début de l'opération en Ukraine] et que nous ne perdrons rien. Le principal gain est le renforcement de notre souveraineté, et c'est le résultat inévitable de ce qui se passe maintenant", a souligné Poutine.

La Russie défendra toujours ses intérêts nationaux, poursuivra une indépendance, a déclaré le président russe Vladimir Poutine lors de la session plénière de l'EEF.

"La Russie est un État souverain, nous protégerons toujours nos intérêts nationaux en poursuivant une politique indépendante, et nous apprécions les mêmes qualités chez les partenaires qui ont fait preuve de fiabilité et de responsabilité dans le cadre du commerce, des investissements et d'autres coopérations pendant de nombreuses années", a déclaré Poutine, dans une référence aux pays de la région Asie-Pacifique.

Le droit international a été foulé aux pieds à plusieurs reprises, comme en témoignent la guerre en Irak, les actions de l'Occident en Yougoslavie et le bombardement de Belgrade. Aucun d'entre eux n'a été sanctionné par les sanctions de l'ONU, a déclaré Poutine, ajoutant que la Fédération de Russie n'a violé aucun principe du droit international, mais qu'elle est pourtant blâmée.

"Maintenant, beaucoup de gens prétendent que la Russie viole le droit international. Je pense que c'est absolument faux. Qui a commencé la guerre en Irak sans aucune sanction de l'ONU ? Qui a détruit la Yougoslavie sous des prétextes plausibles ? Qui a déclenché une guerre au centre de l'Europe en bombardant Belgrade ? Personne ne se souvenait alors des principes du droit international", a déclaré Poutine.

 

L'impasse des sanctions européennes

Vladimir Poutine a qualifié de non-sens les tentatives de plafonner le prix des ressources énergétiques , avertissant que cela conduirait à une nouvelle croissance des coûts sur les marchés mondiaux, y compris en Europe.

"Rien ne peut être résolu par des moyens administratifs dans le domaine de l'économie et du commerce mondial", a-t-il déclaré, commentant la proposition de l'Union européenne et des pays du G7 de limiter les prix marginaux du pétrole et du gaz russes.

Pendant ce temps, la demande de ressources énergétiques dans le monde est si grande que la Russie n'a aucun problème à trouver des acheteurs, a déclaré le président Vladimir Poutine. En particulier, il a noté la demande croissante de ressources énergétiques dans une économie aussi vaste que celle de la Chine. Tous les principaux paramètres de l'approvisionnement en gaz de la Chine via la Mongolie ont été convenus, même les prix, a-t-il ajouté.

« Recevant du gaz naturel de Russie, les économies des principaux pays européens ont eu des avantages compétitifs évidents de nature mondiale pendant des décennies. S'ils pensent qu'ils n'ont pas besoin de tels avantages, eh bien, cela ne nous dérange en rien car le besoin de ressources énergétiques dans le monde sont très importantes », a déclaré Poutine.

Quant aux sanctions qui se sont retournées contre elles et à leur impact sur la crise énergétique croissante à laquelle sont confrontées l'Union européenne et la Grande-Bretagne, il a ajouté : Il n'y a qu'une seule issue - en Allemagne, nous assistons à des manifestations pour la mise en service du gazoduc Nord Stream 2". d'État a rejeté les accusations selon lesquelles la Russie recourrait au "chantage au gaz".

« Nord Stream est pratiquement fermé maintenant. Tout le monde dit : la Russie utilise l'énergie comme une arme. Encore une fois - un non-sens. Nous fournissons autant d'énergie que nos partenaires en ont besoin, autant qu'ils passent une commande", a déclaré Poutine.

Le marché européen a toujours été considéré comme un marché premium, mais depuis la crise autour de l'Ukraine, il a cessé d'en être un, a souligné mercredi le président russe Vladimir Poutine. il a ajouté que même les États-Unis avaient « redirigé leurs pétroliers avec du gaz naturel liquéfié vers les pays asiatiques, car il était plus rentable d'y vendre ».

Selon Vladimir Poutine, l'Europe s'est enfermée dans une « impasse » des sanctions et ne sait qu'en faire. La crise énergétique qui fait rage a pris une ampleur considérable après qu'une série de restrictions formelles et informelles ont été imposées sur le pétrole, le gaz, le charbon et l'électricité provenant de Russie. Pas plus tard que la semaine dernière, Nord Stream, le dernier grand pipeline acheminant du gaz russe vers l'UE, a été fermé. Gazprom a précisé qu'il avait été contraint d'arrêter de pomper du gaz via le gazoduc Nord Stream vers l'Europe en raison d'un dysfonctionnement de la dernière turbine restante. La société a déclaré avoir demandé des réparations au fabricant de turbines, mais qu'elles ne sont actuellement pas disponibles en raison des sanctions occidentales.

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

 

Des islamistes, dont Sihamedi, ont posté cette nuit la photo du casque de Muhammad Fatih, conquérant de Constantinople. En 1955, à la même date, le pogrom d’Istanbul contre les Grecs commençait, sous les auspices de ce chef de guerre

La fiche Wikipédia du pogrom d’Istanbul

Le pogrom d’Istanbul, aussi connu sous le nom d’émeutes d’Istanbul ou de pogrom de Constantinople est un pogrom principalement dirigé contre la minorité grecque d’Istanbul ayant eu lieu les 6 et 7 septembre 1955.

Les émeutes sont orchestrées par la « contre-guérilla » chapeautée par l’armée turque. Elles ont lieu après la diffusion de la nouvelle de l’explosion d’une bombe, la veille, dans le consulat turc de Thessalonique, lieu de naissance de Mustafa Kemal Atatürk1. L’enquête révèle très vite que cet attentat a été réalisé par un Turc dans le cadre d’une opération montée de toutes pièces sous fausse bannière : de l’aveu même du général de corps d’armée Fatih Güllapoğlu, c’est le « département de guerre spéciale » qui planifia cet attentat, impliquant par ailleurs deux attachés du consulat turc arrêtés en flagrant délit par la police grecque. Mais la presse turque n’informe pas le public de cette conclusion.

Des émeutiers en colère, la plupart acheminés par avance en camion dans la ville, prennent d’assaut le quartier grec d’Istanbul pendant neuf heures. Bien qu’ils n’appellent pas explicitement au meurtre de leurs victimes, plus d’une douzaine de personnes décèdent pendant ou après le pogrom, à la suite des bastonnades et des incendies volontaires. Les communautés juives et arméniennes sont elles aussi victimes d’exactions.

Le pogrom accélère le départ des Grecs d’Istanbul : la communauté passe de 135 000 membres avant l’attaque à 7 000 en 19782 et 2 500 en 2006. Selon certains analystes, cet événement s’inscrit dans le processus de nettoyage ethnique commencé durant le déclin de l’Empire ottoman plus que dans le cadre d’un conflit bilatéral entre deux États. Cette fois ce n’est pas, comme dans la période 1912-1922, l’intégrité de la Turquie qui est en jeu, mais la question foncière : à l’époque des faits, environ 40 % des biens fonciers stambouliotes appartiennent aux minorités.

(…)


Commentaire d’Etienne Copeaux, spécialiste de la Turquie sur Susam-Sonkak

Lors de cet événement, les provocateurs ont mêlé la double sacralité d’Atatürk et celle du monument, jouant, sciemment ou non, de la proximité entre celui-ci et le quartier « étranger ». Car, de 1928 à 1955, ce qui se joue est bien la conquête d’un quartier non-musulman, le point final de la conquête (Fetih*) de Constantinople, qui va alors perdre la majeure partie de ceux qui la nommaient ainsi, pour devenir pleinement Istanbul. La première étape, 1928, est une conquête symbolique par mise en place du monument, et la seconde, 1955, est conquête effective, par le saccage du quartier et le « départ » des Rum polites.

Un détail illustre mon interprétation. Sur quelques photos de la nuit du 6 au 7 septembre, on peut voir un groupe d’émeutiers parcourant fièrement la rue Istiklâl en brandissant un portrait du sultan Mehmet le Conquérant (Mehmet Fatih), qui a donné Constantinople aux Turcs et à l’islam en 1453 (Güven et Karaca, 2005, 48-49. Le Sultan est à sa place dans cette manifestation. Ces gens, accompagnés du davul (tambour) des jours de fête, rient et s’amusent, joyeux et sans doute fiers d’accomplir la Fetih.

Cet acte et ce portrait trahissent l’existence d’un « discours latent » ; il s’agit, selon les termes de J.P. Faye, d’une « narration qui va de la périphérie vers le centre, “centre invisible“ sur quoi les narrateurs en action s’interrogent, avant de le voir soudain prendre un nom » (Faye, 1972 : 10). Ici, c’est le discours de la conquête religieuse, qui, par la suite, émergera périodiquement dans le cadre de la Turquie républicaine et « laïque ».

*Au plein sens du mot, Fetih désigne l’ « ouverture » à l’islam, la conquête par et pour l’islam.

Susam Sokak

 

 

 

On nous a dit qu’il fallait fermer les centrales nucléaires” : le patron d’EDF fustige les revirements et le manque de stratégie de l’État en matière de nucléaire, Emmanuel Macron le recadre très sévèrement

 

Une semaine après avoir pointé du doigt la responsabilité d’Emmanuel Macron dans les tensions rencontrées par le parc nucléaire français, le patron d’EDF Jean-Bernard Lévy est recadré par le président.

NUCLÉAIRE – Pas besoin de le nommer, pour comprendre à qui il s’adresse. À l’occasion d’une allocution sur la crise énergétique lundi 5 septembre, le président Emmanuel Macron a dénoncé, sans prononcer son nom, les propos « inacceptables » de l’actuel PDG d’EDF, Jean-Bernard Lévy. Ce dernier s’était montré très critique sur la stratégie de l’État pour le parc nucléaire français à quelques semaines de son départ.

Jean-Bernard Lévy avait critiqué, lors des Rencontres des entrepreneurs de France du Medef, fin août, le manque de vision stratégique de long terme de l’État sur le nucléaire. « On n’a pas de problèmes d’expertise, les compétences, les experts on les a (…) On a beaucoup de chantiers en parallèle et d’une certaine manière, on manque de bras, parce qu’on n’a pas assez d’équipes formées (…) Un soudeur, un tuyauteur, il faut deux-trois ans pour le former », avait-il développé. « Et pourquoi on n’a pas assez d’équipes formées ? Parce que l’on nous a dit que le parc nucléaire va décliner, préparez-vous à fermer des centrales », avait-il assuré.

« C’est absolument inacceptable que les gens qui ont eu la responsabilité des travaux de maintenance du parc (expliquent) aujourd’hui que nous n’avons pas pris nos responsabilités, parce que dès les premiers mois de mon premier mandat nous avons redonné de la visibilité à la filière », a dénoncé Emmanuel Macron devant la presse, alors que plus de la moitié des réacteurs nucléaires français sont à l’arrêt pour maintenance, notamment pour un problème de corrosion important.

« Chacun doit prendre ses responsabilités ; pour ma part, je les ai prises prise (…). Les travaux de maintenance du parc existant ne sont en rien conditionnés à la création, la décision de nouveaux réacteurs nucléaires que j’ai prise en fin de (premier) mandat (…) Ce que j’ai entendu dans le débat public ces dernières semaines est inacceptable parce que c’est faux et irresponsable », a-t-il encore ajouté.

Huff Post

 

 

De janvier à juillet 2021, la France a prononcé 3.301 OQTF visant des Marocains, 80 expulsions ont eu lieu… Dans le même temps, le Maroc a demandé 24.191 visas, la France en a accordé 18.579

 

 

Londres : une bande de jeunes cassent et volent dans des magasins puis agressent une jeune femme blanche en pleine rue (MàJ)

Les images du pillage de la boutique :


  • Chloe Miller a été attaquée par un gang de jeunes à South Norwood, Londres
  • Elle était en route pour son magasin du coin avec sa mère et sa sœur
  • De nouvelles images montrent un gang saccageant un marchand de journaux à proximité avant l’attaque
  • Mlle Miller a déclaré qu’elle avait trop peur de quitter la maison la nuit après avoir été battue

Daily Mail

 

 

Ligne très à droite, pro-Brexit et anti-wokiste : qui est Suella Braverman, la nouvelle ministre de l’Intérieur britannique ?

Ligne très à droite, pro-Brexit et anti-wokiste : qui est Suella Braverman, la nouvelle ministre de l'Intérieur britannique ?

La nouvelle Première ministre britannique Liz Truss nomme comme ministre de l’Intérieur une ancienne procureure générale, Suella Braverman, qui prône des solutions radicales et choque parfois jusque dans son propre camp.

Avec ses opinions tranchées, Suella Braverman, la nouvelle ministre de l’Intérieur britannique, ne laisse pas indifférent, même dans son propre camp. Née il y a 42 ans à côté de Wembley, dans le Nord-Ouest de Londres, ses parents sont arrivés du Kenya et de l’Île Maurice. Elle aime son pays, le Royaume-Uni, qui lui a tout donné, dit-elle. 

 

Elle voulait d’ailleurs devenir Première ministre. Lors de la primaire, elle s’est présentée avec un programme très à droite : l’immigration est l’un de ses thèmes favoris de campagne. Lorsque la Cour européenne des droits de l’homme empêche l’envoi de migrants vers le Rwanda, elle s’énerve. “Nous ne pouvons pas régler le problème de l’immigration illégale à cause de revendications en matière de droits de l’homme et à cause d’une cour étrangère à Strasbourg, politisée et interventionniste qui se mêle de notre politique intérieure. Je crains que la seule solution soit de quitter la Cour européenne des droits de l’homme.”

Une “pro-Brexit authentique”

Elle qui se présente comme une “pro-Brexit authentique”, a milité ardemment pour la sortie de l’Europe. Elle veut un Royaume Uni souverain qui ne rendra de compte à personne. Elle a le wokisme en horreur et certains débats de l’époque l’horripilent. Pour elle, les écoles ne devraient pas être obligées d’accueillir les élèves transgenres.

Elle a clamé pendant des semaines qu’elle était la seule capable de régler le problème des migrants qui traversent la Manche illégalement. Désormais ministre de l’Intérieur, elle peut appliquer sa méthode.

www.francetvinfo.fr

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