Mikhaïl Gorbatchev, mort mardi à 91 ans, a été enterré au cimetière de Novodievitchi à Moscou, au côté de son épouse Raïssa, décédée en 1999, pendant qu’un orchestre militaire jouait l’hymne national russe.
Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
___________________________________
Les Infos du 3 septembre 2022
Mikhaïl Gorbatchev, mort mardi à 91 ans, a été enterré au cimetière de Novodievitchi à Moscou, au côté de son épouse Raïssa, décédée en 1999, pendant qu’un orchestre militaire jouait l’hymne national russe.
« Nous sommes favorables au principe d’un plafonnement du prix du gaz », a déclaré le ministre français de l’Economie Bruno Le Maire, saluant la déclaration d’Ursula von der Leyen sur cette option. « Mais pour que le plafonnement du prix du gaz soit efficace, il faut qu’il y ait des achats en commun », a-t-il relevé, s’exprimant en marge du forum économique.
Le ministre a également estimé qu’un projet cher à la France, le « découplage entre le prix du gaz, énergie fossile, et le prix de l’électricité, énergie décarbonée », ne devrait « pas attendre la réforme du marché de l’énergie, car elle prendra des mois ». Paris souhaite que « le découplage ait lieu dans les prochaines semaines ou les prochains mois (…) c’est maintenant qu’il faut agir, c’est maintenant qu’il faut découpler définitivement le prix du gaz du prix de l’électricité », a-t-il réclamé.
Interrogé sur une éventuelle coupure totale du gaz russe, il a assuré que « la France est bien préparée ». « Le gaz est utilisé comme une arme » par la Russie, « cette arme, nous l’avons anticipée, ce ne sera pas une surprise ».
14h30 : Des images de Viktor Orban rendant hommage à Gorbatchev
Le commissaire européen à l’Economie Paolo Gentiloni a assuré samedi que l’Union européenne était « bien préparée » en cas d’arrêt total des livraisons de gaz russe, grâce au stockage et aux mesures d’économie d’énergie.
« Nous sommes bien préparés à résister à l’utilisation extrême de l’arme du gaz par la Russie », a-t-il déclaré devant la presse en marge du forum économique organisé par The European House - Ambrosetti à Cernobbio, sur le lac du Côme.
« Nous n’avons pas peur des décisions de Poutine, nous demandons aux Russes de respecter les contrats, mais s’ils ne le font pas, nous sommes prêts à réagir », a-t-il souligné.
LIRE AUSSI: L'Union européenne se dit prête à résister à une coupure totale du gaz russe
La Russie s’est inquiétée dans une lettre au secrétaire général de l’ONU de n’avoir pour l’instant reçu aucun visa des Etats-Unis pour la venue en septembre à l’Assemblée générale de l’ONU de sa délégation menée par le ministre des Affaires étrangères.
« A la date du 1er septembre, aucun des 56 représentants russes (…) n’a reçu de visa d’entrée pour les Etats-Unis » dans la perspective de la semaine de haut niveau de l’Assemblée générale du 20 au 26 septembre à New York, écrit l’ambassadeur russe auprès de l’ONU Vassily Nebenzia dans cette lettre adressée à Antonio Guterres. « La même situation existe pour les journalistes et les membres d’équipage du vol de notre ministre ».
« C’est d’autant plus inquiétant que, ces derniers mois, les autorités américaines ont refusé sans cesse d’accorder des visas à un certain nombre de délégués russes devant participer à des événements officiels de l’ONU », affirme-t-il, appelant les Etats-Unis à respecter « leurs obligations légales » et à « accorder rapidement » les visas demandés. Selon un accord datant de 1947 entre les Etats-Unis et l’ONU, les Etats-Unis ne doivent pas empêcher le transit vers le siège des Nations unies des représentants des Etats membres.
Les pays du G7 ont décidé vendredi de plafonner « urgemment » le prix du pétrole russe, un mécanisme complexe à mettre en place. Une « large coalition » de pays est invitée à mettre en œuvre cette décision, finalisée vendredi lors d’un sommet virtuel des ministres des Finances des sept pays les plus industrialisés.
« Aujourd’hui, le G7 a franchi une étape essentielle dans la réalisation de notre double objectif, à savoir exercer une pression à la baisse sur les prix mondiaux de l’énergie tout en privant (Vladimir) Poutine de revenus pour financer sa guerre brutale en Ukraine », a immédiatement salué la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen.
La Russie a de son côté, avant même son officialisation, dénoncé une mesure « complètement absurde ». Une telle « ingérence » dans le marché pétrolier « ne fera que déstabiliser l’industrie pétrolière, le marché pétrolier. Et pour cela, les consommateurs européens et américains seront les premiers à payer », a menacé le vice-premier ministre russe Alexandre Novak, cité par les agences de presse russes.
Note : une autre info affirme que les russes ont de nouveaux ouvert le gaz
L'Ukraine a indiqué vendredi avoir frappé une base russe à Energodar, dans le sud du pays, non loin de la centrale nucléaire de Zaporijia d'où elle accuse la Russie d'avoir retiré ses armements avant son inspection par une équipe de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
Dans le même temps, alors que les pays du G7 visaient la manne énergétique de la Russie en convenant de plafonner le prix de son pétrole, Moscou a fait trembler les Européens en annonçant que le gazoduc Nord Stream serait totalement arrêté jusqu'à la réparation d'une turbine, un motif jugé fallacieux par l'Allemagne, hautement dépendante du gaz russe.
Le département d'Etat américain a approuvé vendredi une vente d'armes à Taïwan pour un montant de 1,1 milliard de dollars (1,1 milliard d'euros), provoquant l'ire de Pékin.
Deux avions de chasse chinois ont franchi samedi la ligne médiane du détroit de Taiwan, qui sépare l'île de la Chine continentale, a déclaré le ministère taïwanais de la Défense. Quatre avions et cinq navires chinois au total ont été repérés autour de Taiwan, a-t-il ajouté. La Chine effectue depuis début août des manœuvres militaires autour de l'île, qu'elle considère comme une partie intégrante de son territoire.
La Chine a mené le mois dernier ses plus importantes manœuvres militaires autour de Taiwan à la suite de la visite de la présidente de la Chambre américaine des représentants, Nancy Pelosi, laquelle a dit afficher le soutien des Etats-Unis à l'île démocratique.
Ces manœuvres militaires cristallisent les tensions entre la Chine et Taïwan, sur fond de soutien américain. Un soutien d'autant plus significatif que les USA s'apprêtent à fournir à Taïwan des armes pour un montant de plus d'1 milliard de dollars.
Le porte-parole de l'ambassade de Chine à Washington, Liu Pengyu, a indiqué dans un communiqué qu'une telle vente d'armes "mettait grandement en péril les relations entre les deux pays, ainsi que la paix et la stabilité dans le détroit de Taïwan". "La Chine prendra toutes les mesures nécessaires et légitimes au regard de l'évolution de la situation", a-t-il déclaré. Le projet doit être examiné par le Congrès américain, mais des conseillers démocrates et républicains ont estimé qu'il ne devrait pas rencontrer d'opposition.
LIRE AUSSI : Nouvelles ventes d'armes de Washington à Taïwan: Pékin exige l'annulation du contrat
Invité d’Europe midi ce vendredi, Frank Roubanovitch, vice-président d’une association de grands consommateurs et d’industriels, a appelé le gouvernement à agir pour juguler des hausses de prix, devenues déraisonnables. Il est également revenu sur la protection offerte par le bouclier tarifaire, qu’il juge insuffisante.
La Première ministre Elisabeth Borne a récemment appelé les entreprises à faire preuve de “sobriété” dans leur consommation énergétique afin de se prémunir d’un éventuel défaut d’approvisionnement en gaz et en électricité. Toutefois, certaines d’entre elles n’ont pas le choix et leur activité nécessite une forte consommation.
Or, dans le contexte actuel, les prix flambent pour ces sociétés. “On constate en moyenne pour les entreprises, entre 2022 et 2023, une multiplication par trois, quatre ou cinq de notre facture d’électricité“, assure Frank Roubanovitch, invité de Romain Desarbres dans Europe Midi ce vendredi.
“Je vous donne quelques exemples : une grande entreprise de pharmacie va devoir arrêter de produire du paracétamol et de l’ibuprofène cet hiver. Des entreprises de papier d’emballage prévoient de fermer leurs usines pendant au minimum six mois“, illustre-t-il, tout en soulignant également le cas des entreprises de BTP, particulièrement demandeuses en énergie.
“Sans compter les conséquences avec des pénuries massives sur toutes les chaînes en aval, l’arrêt des chantiers de travaux publics, la fermeture des piscines“, énumère-t-il. Selon, lui, le bouclier tarifaire mis en place par l’État ne suffit pas. “On se croit protégé avec le bouclier tarifaire mais les distributeurs d’eau, les producteurs de l’agroalimentaire, de la grande distribution, tous ces gens-là vont faire passer des hausses de 10 ou 20 %. Et donc en réalité, on va avoir une inflation massive“, estime-t-il.
Selon Frank Roubanovitch, il est donc urgent que le gouvernement prenne des “mesures indispensables” pour ne pas voir ces entreprises totalement asphyxiées par l’inflation.
La semaine dernière, le Telegraph a rapporté que le gouvernement britannique prévoyait de déployer des renflouements de type COVID pour les petites entreprises au milieu des avertissements des dirigeants de l'énergie concernant d'éventuels troubles civils liés à l'augmentation des factures d'énergie.
La flambée des factures énergétiques du Royaume-Uni pourrait entraîner la fermeture d'au moins 60% de toutes les usines du pays, a révélé une nouvelle enquête.
Le rapport réalisé par le groupe de pression MakeUK a déclaré que "la crise actuelle laisse les entreprises face à un choix difficile - réduire la production ou fermer complètement l'atelier si l'aide n'arrive pas bientôt".
L'enquête a ajouté que 13 % des usines ont désormais réduit leurs heures de fonctionnement ou évitent les périodes de pointe, tandis que 7 % arrêtent la production pour des périodes plus longues.
Le directeur général de MakeUK, Stephen Phipson, a pour sa part déclaré à l'agence de presse Bloomberg que "le nouveau gouvernement a besoin d'une action d'urgence", ajoutant que le Royaume-Uni est "déjà en retard" sur ses "concurrents mondiaux".
Cela intervient alors que le régulateur britannique de l'énergie Ofgem a annoncé la semaine dernière une décision d'augmenter le plafond des prix de l'énergie de 80 %, à 3 549 livres par an, à compter du 1er octobre en raison de la flambée des prix mondiaux de l'énergie.
Cette décision a suivi le Telegraph rapportant que le gouvernement britannique envisageait un programme de subventions de type COVID pour les petites entreprises à présenter au prochain Premier ministre britannique, après l'annonce du vainqueur de la course à la direction entre la secrétaire aux Affaires étrangères Liz Truss et l'ancien chancelier Rishi Sunak. le 5 septembre.
La question serait également sur la table de Shevaun Haviland, directeur général des chambres de commerce britanniques (BCC), qui a déclaré au Telegraph que les petites entreprises du Royaume-Uni font face à "un tsunami de coûts". Il a souligné que sans aide sérieuse, "les entreprises devront réduire leur production, arrêter d'embaucher et certaines devront cesser leurs activités".
Selon la BCC, environ 4,5 millions de petites et moyennes entreprises auront besoin d'environ 5 000 £ chacune pour payer leurs factures d'électricité pendant l'hiver, ce qui représente 23 milliards de £ d'aide gouvernementale.
Après que la Russie a lancé son opération militaire spéciale en Ukraine en février 2022 et que les pays occidentaux ont imposé plusieurs plans de sanctions à Moscou, la situation énergétique en Europe s'est considérablement détériorée, l'inflation au Royaume-Uni atteignant son plus haut niveau depuis mars 1982.
La hausse du coût de la vie a touché des millions de ménages britanniques, incitant des dizaines de milliers de cheminots et de postiers à se mettre en grève. L'étude du mois dernier menée par l'Université de York a suggéré qu'au moins 45 millions de Britanniques pourraient être en proie à la précarité énergétique d'ici janvier 2022 en raison de l'augmentation imminente du plafond des prix de l'énergie.
Une rentrée compliquée pour Ségolène Royal. Ses propos chez nos confrères de BFMTV provoque un tollé. Ce jeudi, l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle a mis en doute les crimes de guerre en Ukraine perpétrés par les forces russes, affirmant qu'il s'agissait d'une propagande de Volodymyr Zelensky. Ségolène Royal a notamment douté de la réalité d'un bombardement à Marioupol.
"La maternité bombardée, quand Monsieur Zelensky a fait le tour des parlements européens, et c'est là que le processus de paix s'est interrompu, il a dit 'j'ai rencontré une femme enceinte qui m'a dit vengez moi..." Il a été incapable de donner le nom de cette femme. On n'a pas su le nom des victimes. Et vous pensez bien que s'il y avait eu la moindre victime, le moindre bébé avec du sang, à l'heure des téléphones portables, on les aurait eus", a-t-elle déclaré sur le plateau de la chaîne BFMTV.
Après ces propos, le collectif "Stand with Ukraine" a annoncé ce vendredi vouloir porter plainte contre Ségolène Royal. "Toutes les lignes rouges ont été franchies. Elle prétend qu'il n'y a pas d'images et qu'on n'a pas vu de bébés, ni de mères, ni de sang, ce qui est parfaitement faux et suffisamment documenté par des ONG, des journalistes de l'Associated Press, parce que le cliché d'une des victimes a fait le tour de la planète", s'insurge Aline Le Bail-Kremer, la cofondatrice du collectif.
"Elle remet un doute sur cette image-là, c'est choquant. C'est immonde. Ça provoque une immense douleur chez les gens pour un agenda politique personnel absolument médiocre. C'est à la justice de s'en méler et de juger à quoi on participe en s'exprimant de la sorte à heure de grande écoute, et la responsabilité particulière quand on a été un responsable politique de premier plan dans ce pays", ajoute la cofondatrice. Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti socialiste, a lui aussi dénoncé les propos de Ségolène Royal, tout comme l'eurodéputé Raphaël Glucksmann qui parle d'un "naufrage".
Note : on vie dans un monde où il a est pas très bon de remettre en doute la version officielle de la propagande de l'Otan, même Amesty international a du s’excuser de son rapport sur l'Ukraine !
Le préfet, la députée, le maire mais aussi la procureure de la République. Tout le monde doit se réunir ce samedi après-midi à l’hôtel de ville. L’idée de cette réunion est d’échanger sur plusieurs points avec l’Association des musulmans de Rambouillet.
En premier lieu, le procureur de la République de Versailles va confirmer la direction de l’enquête. « Je l’ai confiée à la police judiciaire de Versailles. Aujourd’hui, les constations vont être faites. Les enquêteurs vont procéder à des prélèvements, recueillir le maximum de témoignages, étudier l’environnement et l’historique de l’association à Rambouillet. Ils vont dérouler le travail habituel dans ce genre d’enquête », a précisé Maryvonne Caillebotte à 78actu.
Contacté, le préfet des Yvelines a qualifié cet incendie de « regrettable et de pénible. C’est une situation douloureuse. Mais elle n’entame pas notre détermination à trouver une solution pour cette communauté. Nous allons continuer à travailler avec une confiance mutuelle et une sérénité pour leur permettre de construire en dur. Pour l’instant, nous attendons leur demande de permis de construire. Et d’ici là, avec le maire et d’autres institutions, nous allons étudier comment trouver un lieu de salle transitoire. »
Fermée durant le premier confinement et le deuxième, la salle de prière n’a rouvert ses portes que le 20 mars dernier. « A la mosquée, on a le souvenir d’avoir croisé le terroriste à partir de là », se souvient Malik. Même si ses souvenirs sont un peu confus, il en est sûr, le tueur était là les deux derniers vendredis qui ont précédé le drame.
« Vendredi dernier, il – Jamel G. – est venu à 13 heures et nous avons terminé la prière à 13h45… » Soit quarante-cinq minutes avant l’assassinat de Stéphanie devant le commissariat, situé à deux kilomètres de là.
Le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif a qualifié les inondations de « pires de l'histoire du pays ». Les autorités pakistanaises ont en outre estimé qu'environ 33 millions de personnes, soit 15% de la population, ont été touchées par les inondations, qui ont également submergé environ un tiers du pays.
Le Programme alimentaire mondial (PAM), soutenu par les Nations unies, a averti que les inondations au Pakistan pourraient avoir des "ramifications" sur la sécurité alimentaire en Afghanistan, car la majeure partie de l'aide alimentaire destinée à ce pays d'Asie centrale est acheminée via le réseau routier pakistanais.
L'Autorité nationale pakistanaise de gestion des catastrophes (NDMA) a affirmé qu'environ 5 000 kilomètres de routes avaient été emportées par les inondations. La NDMA a déclaré que 1 208 personnes ont été tuées et que plus d'un million de maisons ont été détruites par les inondations, qui ont eu un impact majeur sur les provinces du Balouchistan, du Sindh et du Khyber Pakhtunkhwa ainsi que sur la région du Gilgit-Baltistan au Pakistan. Cachemire.
"Nous devenons très, très préoccupés par la sécurité alimentaire globale, non seulement au Pakistan dans l'immédiat et à moyen terme, mais aussi par ce que cela va impliquer pour les opérations en Afghanistan", a déclaré Chris Kaye, directeur du PAM au Pakistan, aux journalistes de Dubaï. un briefing en ligne vendredi, selon l'AFP.
Kaye a déclaré que le Pakistan fournissait une "voie d'approvisionnement vitale" vers l'Afghanistan, avec une quantité importante d'aide alimentaire à destination de la nation d'Asie centrale entrant dans la région par le port de Karachi.
Kaye a expliqué que les agences humanitaires fournissant de l'aide aux deux nations ont été confrontées à un "défi logistique majeur" car le réseau routier du Pakistan a été gravement touché par les inondations.
Kaye a également noté dans le briefing que le PAM a acheté plus de 320 000 tonnes métriques de nourriture l'année dernière pour soutenir les opérations en Afghanistan, mais les inondations au Pakistan ont mis une "énorme brèche" dans la capacité de l'organisation à fournir cette aide aux destinataires prévus.
Kaye s'est également dit préoccupé par l'inondation des champs de blé du Pakistan, qui a encore mis en péril la sécurité alimentaire dans la région Afghanistan-Pakistan (Af-Pak).
L'avertissement inquiétant du responsable du PAM intervient alors que l'Afghanistan est déjà confronté à une situation de sécurité alimentaire précaire, en raison des efforts déployés par les États-Unis pour couper le pays du système financier mondial à la suite de l'arrivée au pouvoir des talibans à Kaboul en août dernier.
En février, le président américain Joe Biden a signé un décret gelant environ 7 milliards de dollars de fonds de la banque centrale afghane détenus dans des institutions financières basées aux États-Unis.
Le PAM a déclaré qu'environ 22,8 millions d'Afghans, soit environ la moitié de la population totale, sont confrontés à une "insécurité alimentaire aiguë", qui est en augmentation en raison d'un manque de fonds paralysant.
Note : et une guerre mondiale ne va pas arranger les choses
Commenter cet article